TOXICOLOGIE EN TOC.

Quand la santé revient enfin, il faut le dire et même le crier!

Réponses au plaidoyer

Messagede Sophocle » Mar 1 Oct 2024 06:33

un ex de l'Inspection générale des services sociaux a écrit:Bonjour Monsieur,

Sensible à votre message et à la cause qui vous préoccupe, je ne suis cependant pas en poste à l’IGAS aujourd’hui et me consacre à une mission dans le secteur du dialogue social et des transports.

Je ne puis donc malheureusement vous être d’aucune aide dans votre démarche.

Avec mes meilleures salutations




Bonjour,
Je vous remercie de cette transmission que je vais regarder avec attention.
Bien cordialement
X
Direction des Autorisations de Mise sur le Marché (DAMM)
AGENCE NATIONALE DE SÉCURITÉ SANITAIRE de l’alimentation, de l’environnement et du travail
14 rue Pierre et Marie Curie 94701 Maisons-Alfort Cedex
http://www.anses.fr — @Anses_fr


l'Agence régionale de santé de l'ile de france a écrit:Monsieur,

 

Le département réclamations évènements indésirables et vigilance de l’ARS Ile-de-France accuse réception de votre courriel du 26 septembre 2024, concernant des excès de métaux (cuivre, fer) dans le cerveau des patients atteints d'Alzheimer, détectés post-mortem mais non traités du vivant des malades.

 

Nous vous remercions de nous avoir fait part de votre témoignage.

 

Nous prenons bien note de vos démarches d'alerte, notamment celles adressées à la Présidence de la République, au Premier ministre ainsi qu'au Ministère de la Santé. Votre préoccupation concernant la gestion des excès de métaux chez les patients atteints de maladies chroniques a bien été enregistrée et nous comprenons l'importance que vous y attachez.

 

Restant à votre disposition, nous vous prions d’agréer, Monsieur, l’assurance de notre considération distinguée.

 

Département Réclamations, Evénements Indésirables et Vigilances

Coordination Sanitaire

Direction Veille et Sécurité Sanitaire

13, rue du Landy 93200 - SAINT DENIS



Un Préfet a écrit:Bonjour Monsieur,

Nous vous informons que M. X, préfet de la région Nouvelle-Aquitaine, préfet de la Gironde a bien pris connaissance de votre mail et il l'a transféré au directeur de l'Agence régionale de santé.

Bien cordialement

Le secrétariat

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Plainte CMP

Messagede Sophocle » Mar 1 Oct 2024 09:28

sur demande de l'ARS, l'hôpital a écrit:Monsieur,
J’accuse réception de vos différentes réclamations.

Je vais prendre attache, dès à présent, avec le service de soins concerné afin d’obtenir des éléments de réponse.

Par ailleurs, je tiens à vous informer que votre réclamation fera l’objet d’une étude en Commission des Usagers. Elle a pour mission d’analyser les réclamations afin d’améliorer la qualité et la sécurité de la prise en charge des patients et de veiller au respect de leurs droits.
Restant à votre écoute,
Cordialement,
X
Chargée des Relations avec les Usagers
Direction des usagers, de la qualité et de la gestion des risques

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RÉPONSE DE LA D.G. DE L'ANSES

Messagede Sophocle » Mar 1 Oct 2024 19:01

voici la réponse de la Direction Générale de l'Anses.

Enfin.

Mais,
c'est de la langue de bois qui noie le poisson.

D.G. ANSES

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Ptit Gars a raison, je n'arriverai pas à obtenir gain de cause...


Je ferai une réponse longue plus tard...
Il faut que je murisse ma réponse.


Dernière édition par Sophocle le Jeu 24 Oct 2024 17:46, édité 1 fois.
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REPONSE DE MA PART AU D.G. DE L'ANSES

Messagede Sophocle » Sam 5 Oct 2024 01:57


Au Directeur Général de l'ANSES à Maisons-Alfort.
Copie Ministre de la Santé, Elysée et Matignon.
Copie Directeur Général de la Santé.
Copie Vice-présidente C.A. ANSES.



Paris, le 28 octobre 2024



Monsieur le Directeur général de l’ANSES,


Suite à votre courrier réponse du 1er octobre 2024, il est hors de question de vous laisser écrire ou de laisser entendre que l'imprégnation corporelle est surveillée car cela n'est absolument pas le cas. Je note également que vous refusez que, concernant les particules oxydantes, la prise en compte du corps passe de 5% à 100%. Je note également vos menaces à peine voilées de me poursuivre en Justice.

Concernant l'imprégnation corporelle, comme les analyses des Agences de santé se cantonnent aux analyses validées, ces Agences ne surveillent absolument pas l'imprégnation corporelle. Le mot "imprégnation" employé par les Agences de santé est un abus de langage qui trompe les néophytes de façon à rassurer avec une prétendue exhaustivité des analyses quant à l'exploration du corps. Dans les faits, les Agences de santé ne surveillent uniquement l'exposition (sang, urine, salive) et uniquement l'exposition chronique du sang (ongles, cheveux). La seule imprégnation que surveillent les Agences de santé est l'imprégnation capillaire ; mais, l'imprégnation des organes n'est absolument pas surveillée. L'urine, les cheveux, la salive et les ongles ne sont que des reflets du sang et ils n'expriment absolument aucune information sur l'imprégnation du corps ou d'un organe spécifique. Par exemple, ces matrices validées sont totalement aveugles quant à l'état d'intoxication du cerveau ou de tout autre organe. Pour connaître l'état d'intoxication d'un organe, il faut impérativement dissoudre l'organe en question et comparer à la valeur en population en santé. Avec les analyses validées actuelles, les Agences de santé sont donc dans l'impossibilité d'évaluer l'état d'intoxication d'un organe du vivant du patient car ces analyses se limitent à la superficialité du sang. Prétendre qu'un organe n'est pas intoxiqué au motif que le sang est négatif est une erreur car l'analyse doit se faire impérativement avec l'organe car les organes accumulent les particules et que le sang est filtré en permanence par les émonctoires. Du fait de cette spécificité, le sang et les organes sont totalement décorrélés. Le sang donne donc toujours l'illusion d'une absence d'intoxication car il est filtré en permanence par les 5 émonctoires. L'exposition chronique et l'imprégnation corporelle sont deux choses totalement différentes, elles ne peuvent absolument pas être confondues. Il est trompeur de faire passer une exposition chronique ou imprégnation capillaire pour une imprégnation corporelle. L'imprégnation est la charge corporelle en métaux ou des organes ; et l'exposition chronique est l'enregistrement des valeurs sanguines dans le temps. Or, les analyses sur l'imprégnation corporelle sont totalement manquantes aussi bien du vivant du patient que post-mortem. La seule analyse qui explore le corps dans les profondeurs au-delà du sang du vivant du patient est l'analyse d'urine après traitement, mais cette analyse n'est pas encore validée ; post-mortem, il est possible de dissoudre l'organe et d'évaluer la charge ; mais, les références n'ont pas encore été dressées, cette évaluation est donc non interprétable. Les références post-mortem auraient peut-être déjà dégagé des cofacteurs des maladies chroniques ; aussi, ces cofacteurs auraient pu être traités et prévenus du vivant des patients.

Dans ses enquêtes publiques, SANTÉ PUBLIQUE FRANCE (SPF) doit donc nécessairement écarter l’analyse après traitement de son éventail d'analyses car cette analyse n'est pas encore validée. Faute de mieux, SPF se contente donc du sang, de l’urine et des cheveux dans l'Étude Estéban. SPF se sert des cheveux pour prétendre mesurer une imprégnation mais cela est une erreur. SPF et toute autre agence se contentent factuellement de l'exposition car elles ne peuvent pas faire autrement. L’imprégnation corporelle n'est donc jamais surveillée ni en individuel, ni en population par aucune Agence de santé, ni par aucun médecin, ni par les Centres antipoison, ni par personne car il n'existe pas d'analyse validée qui concerne le corps au-delà du sang ni du vivant, ni post-mortem. Seuls l’Allemagne et les États-Unis traitent l'imprégnation corporelle dans des filières médicales alternatives qui pratiquent l'analyse après traitement. Les dispositifs médicaux et les maladies chroniques sont donc mal évalués car ni les organes ni le corps ne sont absolument pas examinés ni du vivant ni post-mortem. Les analyses validées mènent donc aux maladies chroniques dans une douce confiance trompeuse. Et, j’alerte en demandant de lever le doute par l'établissement des références des analyses après traitement et par les analyses d'organes post-mortem.

Votre courrier du 1er octobre 2024 n’exprime aucune d'explication quant aux Alzheimer du traité de toxicologie CHELATION THERAPY dont les autopsies des cerveaux présentent des taux très inquiétants de fer et cuivre et à qui on n’a pas annoncé de leur vivant qu'ils étaient intoxiqués car les analyses validées nient l'entièreté du cerveau. Les analyses validées ont donc sévèrement menti à ces Alzheimer. Les analyses validées sont insuffisantes car elles privent les populations de la prévention, de guérison ou d'arrêt de l'évolution de l'intoxication. Pour évaluer la charge précise du cerveau et pour affirmer s'il y a intoxication ou pas du cerveau, il faut dissoudre le cerveau et comparer à une population en bonne santé, cela est absolument et totalament incontournable ; bien sûr, cela est évidemment inenvisageable du vivant du patient. De plus, il aurait fallu dresser la référence en population mais cela n'a pas encore été réalisé post-mortem. Sans intrusion, une ventouse humide sur la tête permettra de sonder l'état de la lymphe cérébrale, mais l'exploration du cerveau demeurera relative à la zone des foramens pariétaux et donc incomplète. Aucuns cheveux, aucun sang, aucune autre matrice déjà validée n'exprimera jamais rien du cerveau ; seul le cerveau parle du cerveau. À jamais, la toxicologie ignorera si le cerveau d'un patient vivant est intoxiqué car l'analyse adéquate (dissolution) et circonscrite à l'organe ne peut pas être réalisée du vivant du patient. Avec les références post-mortem du cerveau, il sera peut-être possible d'établir quelques liens entre cofacteurs et symptômes, et traiter en conséquence ; mais, les références post-mortem demeurent encore non réalisées, les liens ne peuvent donc pas être encore dressés car les relevés demeurent non interprétables faute de référence. Les excès de fer et de cuivre sont peut-être une généralité qu'il convient de vérifier chez les Alzheimer en combinant les analyses après traitement et les autopsies. Comme les maladies neuro-dégénératives parviennent de cofacteurs, il est possible que chez certains Alzheimer se soit les excès de métaux qui participent à la maladie ; et, il est possible que chez d'autres Alzheimer, ce soit les excès de pesticides, ou un mix. Il en va de même pour tous les autres organes (rate, reins, muscles, ...). Dans ce cas, le doute doit bénéficier au patient. Or, à tort, le doute n'est jamais retenu car l'arbitrage ne tient compte uniquement que du sang. La seule alternative qui demeure rapportée dans la littérature scientifique du vivant du patient, c'est une analyse après traitement des métaux car le traitement circule dans le cerveau et dans les autres organes. Mais les métaux du corps tout entier seront tous confondus dans l'urine, il sera donc impossible de cibler un organe (cerveau, muscles, …). Dans le doute, le patient doit donc être traité tant que les excès apparaissent aux analyses après traitement. En dépit que les diagnostics et les traitements existent, les cerveaux des français sont laissés sans surveillance faute de validation. Cependant, le traitement n'est jamais pratiqué en France car les références n'ont pas été dressées. Faute de référence, l'analyse après traitement est non interprétable. Les cerveaux de ces Alzheimer ont donc été laissés sans surveillance appropriée. Au contraire, les analyses validées auront écarté à tort l'intoxication. L'exposition a peut-être eu lieue 20 ans auparavant, les cheveux n'exprimeront donc plus aucune information sur l'exposition chronique. Au moment où l’intoxication des cheveux disparaîtra, l’Alzheimer naîtra par excès de métaux dans le cerveau au long cours. Les analyses validées sont donc trompeuses, elles disent des choses qui sont fausses car les Agences de santé prétendent à tort qu'elles surveillent l’imprégnation ; or, les analyses après traitement auraient pu permettre à ces patients de se dire des choses qui sont vraies à temps pour réduire ou éviter la pathologie. De plus, l'Alzheimer n'est qu'un symptôme, d'autres symptômes (Parkinson, SEP, …) pourraient être concernés par les excès de métaux. Il ne sera jamais possible d'apporter la preuve que l'imprégnation corporelle est surveillée par les analyses actuellement validées car du mercure apparaît en grande quantité lors des analyses après traitement par rapport aux analyses validées. Ce mercure prouve que les analyses validées ne représentent pas le corps. Si l'imprégnation était surveillée, on aurait retrouvé du mercure ou des excès de cuivre et de fer chez ces Alzheimer de leur vivant, ces excès auraient été traités et éliminés du vivant du patient de façon à ce que les autopsies ne présentent pas d'excès.

De plus, le Docteur Monsieur Grégory EMERY, Directeur Général de la Santé (DGS, échelon au-dessus des Agences de santé), m'a confirmé que les personnes particulièrement imprégnées nécessitaient des travaux de recherche afin d'optimiser leur prise en charge. Le DGS reconnaît donc qu'il existe une faille dans le système. La science médicale se transforme donc en machine qui nie des intoxiqués. Le nombre de personnes concernées demeure à évaluer, mais, suite aux informations consignées dans le traité de toxicologie CHELATION THERAPY, le million d'Alzheimer en ferait peut-être parti. En dressant les références, on pourra établir le nombre de personnes concernées. Mais comme 95% du corps est actuellement laissé sans surveillance, il est envisageable que le nombre de personnes concernées soit très élevé.

L'établissement des références après traitement est une mesure salubre car l'excrétion des excès de métaux stockés dans le cerveau et autres organes est forcée. Grâce à ces références, il sera enfin possible d'extraire les excès de métaux stockés chez un patient. Je reconnais que les analyses validées actuelles sont fiables et éprouvées pour déceler une exposition et une exposition chronique ; mais, j'affirme que ces mêmes analyses demeurent totalement inopérantes pour évaluer une imprégnation corporelle car du mercure sort en grande quantité lors des analyses après traitement chez les personnes exposées par rapport aux analyses validées. Du vivant du patient et post-mortem, la charge corporelle et la charge organe par organe échappent complètement à la toxicologie conventionnelle faute d'analyse adéquate validée. Les références après traitement seraient confisquées au motif que la science internationale est muette sur le sujet ; cela est totalement incompréhensible et absolument désolant. Il n'y a pas à attendre quoi que ce soit pour explorer 100% du corps car il n'existe pas d'accord pour nier 95% du corps. 95% du corps demeurent donc non sondés par toutes les Agences internationales alors qu'on sait explorer le corps par les analyses après traitement. Or, des millions de Français souffrent de maladies chroniques dont on ignore encore les cofacteurs. Par prudence, il convient donc d'établir ces références pour vérifier si les excès de métaux corporels stockés ne sont pas un cofacteur d'une part de ces malades. Ces références permettront trois choses : prévenir, guérir ou empêcher l'aggravation de la maladie chronique sur 95% du corps. Actuellement, les analyses se limitent à 5% du corps ; seuls 5% sont donc prévenus, guéris ou empêchés de s'aggraver. Tant que ces références ne sont pas réalisées, on ne peut pas affirmer que les excès de métaux ne sont pas les cofacteurs des maladies chroniques au niveau individuel. Valider les amalgames dentaires au mercure avec des analyses qui ne couvrent que 5% du corps est très hautement surprenant et trompeur. À ce jour, 5 microgrammes de mercure par gramme de créatinine dans l’urine déclenche une prise en charge ; mais, faute de référence, 100 microgrammes dans les urines après traitement sont refusés. Autrement dit, aujourd'hui, le traitement est donné uniquement si le sang était intoxiqué mais il est refusé si c'était le cerveau qui était intoxiqué ; le traitement pour un cerveau intoxiqué n'est donc pas administré au motif que le sang n'est pas intoxiqué. Cela est kafkaïen.

Une analyse et un traitement se mesurent à leur rayon d'exploration. L'analyse d'une matrice est circonscrite à la matrice en question. Le sang ne donne une information uniquement sur le sang, l'urine sur l'urine, la salive sur la salive, et ainsi de suite. Seuls les cheveux et les ongles enregistrent certes un historique du sang, mais le sang n'est pas le corps ni le cerveau. Toutes les analyses validées excluent donc tout le corps sauf les matrices validées, sang, urine, cheveux, ongles, salive. Les cerveaux, muscles, rates, poumons, intestins, moelles, articulations, foies, peaux, reins, muqueuses, ..., soit 95% du corps, sont niés par la validation. Les analyses après traitement ne sont certes pas la panacée car elles ne représentent absolument pas la charge corporelle, mais elles sondent beaucoup plus profondément le corps que les matrices validées. Elles décèlent des excès de métaux stockés dans les organes qui passent totalement inaperçus chez chacune et chez toutes les matrices validées. En dépit de leurs défauts, les analyses après-traitement portent donc une plus-value majeure qui ne peut pas encore être activée faute de validation. Les analyses après traitement sondent les profondeurs du corps. Les Français sont donc victimes de la perte de cette plus-value, ils sont victimes de perte de chance de guérir par le défaut de la validation. Ils sont également victimes de ne pas être informés du cofacteur de leur maladie. Pour des raisons uniquement administratives (défaut de validation), la santé des Français n'est pas significativement améliorée. Comme il n'existe pas d'impossibilité technique à valider les analyses après-traitement, cela est étonnant.

Par exemple, les Français qui présentent les symptômes d'une intoxication chronique lourde au mercure et qui disposent d'analyses après traitement du mercure très inquiétantes et réalisées en Allemagne sont interdits de traitement sur le territoire français car les Centres antipoison font régner la terreur en proférant des menaces publiques contre les médecins français qui traitent avec des analyses après traitement au motif que ces analyses ne sont pas validées ; cela est étonnant car, dans ce cas, l'administratif prime sur la santé des populations. Alors que les traitements existent, de lourds intoxiqués avec des symptômes lourds et caractéristiques sont donc laissés pour mort au motif que les Centres antipoison sont tatillons sur les procédures. De plus, ces Français ne seront pas reconnus comme intoxiqués car leurs analyses validées sont négatives. Au motif que, contrairement au sang, le cerveau n'est pas un organe validé en France, ces Français doivent se déplacer en Allemagne ou se diriger vers des filières clandestines ou se traiter eux-mêmes afin de réduire les symptômes cognitifs avec des analyses après traitement. Il existe même un forum internet français où environ 5.000 intoxiqués en errance expriment comment ils traînent leur langueur à propos de leurs excès de métaux. Comme il existe un unique traitement du cerveau et qu'il n'existe pas d'alternative, il faut faire valider ces analyses après traitement afin de permettre aux personnes qui ont une intoxication cérébrale de se faire traiter.

Dans le cadre de la prévention, il est même intéressant d'éliminer ces excès de particules chez les personnes en bonne santé car des maladies irrémédiables à retardement naîtraient 20 ans après l'élimination naturelle de ces particules. Si les Français avec ou sans symptômes caractéristiques veulent se faire enlever les excès de métaux corporels et les excès de particules organiques (pesticides), il faut donc permettre qu'ils le fassent en validant toute la gamme des analyses après traitement. Cela est une hygiène de vie car la salubrité en particules oxydantes du corps aura été obtenue au niveau cérébrale et pour tout le reste du corps. Il est désormais indiscutable que les pollutions participent à l'Alzheimer et autres maladies chroniques (réf : Collège de France). Sans enlever les métaux et les pesticides, nous vivons légitimement dans la crainte accentuée d'un Alzheimer car toutes les précautions n'auront pas été prises. En enlevant les excès de métaux et les excès de pesticides du cerveau, nous sommes assurés de réduire la survenue de maladies neuro-dégénératives et autres cancers au strict minimum. Je rappelle qu'une personne sur cinq est susceptible de déclencher un Alzheimer, le danger est donc très élevé.

En ne traitant pas le cœur de la contestation sur la représentation des analyses par rapport au corps, l'ANSES impose aux Français que les analyses validées persistent à nier 95% du corps au prétexte qu'il n'existe pas de débat scientifique international nourri sur le sujet. Cependant, la contestation des analyses validées par des scientifiques est relatée plusieurs fois dans le traité de toxicologie CHELATION THERAPY (voir plaidoyer) et elle a démarré en 1992. De plus, le Ministre Américain de la Santé a accusé réception de mon plaidoyer depuis son agence nationale de toxicologie. Sa réponse est donc très sérieuse ; Or, ce ministre est particulièrement et lourdement visé par ces accusations car le reste du monde récupère ses références.

De plus, les références post-mortem organe par organe (sauf le foie) ne sont pas encore disponibles car ces références sont négligées par les filières officielles de toxicologie. Tant de lacunes sont étonnantes. Avec toutes ces lacunes au niveau des analyses validées, il est impossible d'acter une absence d'intoxication. Je demande donc que ces références post-mortem organe par organe soient enfin dressées afin de mieux cerner les maladies chroniques. Par exemple, pour Alzheimer et le diabète, ces références seraient éventuellement décisives et elles croiseraient et affineraient localement les résultats des analyses après traitement. Cependant, on ne peut pas mesurer le taux des particules organiques post-mortem car ces dernières seront dissoutes avec l'organe, ces analyses seront donc nécessairement incomplètes. Le doute doit donc bénéficier au patient en appliquant les médecines traditionnelles car seules ces médecines traitent les particules organiques oxydantes. Je rappelle que l'application des médecines traditionnelles est très économique. Comme les analyses des médecines traditionnelles sont parfois difficiles, ce sera au patient d'ajuster les applications selon ses ressentis.

Pour tous ces motifs, je demande donc que l'ANSES procède à la validation des analyses après traitement des particules inorganiques (ex: métaux) par la chélation. Je demande également que les ventouses, l'Ayurveda, et le jeûne fassent l'objet d'une validation car seules ces médecines déstockent les particules organiques dont les particules oxydantes organiques (PCB, bisphénols, mitochondries vieillissantes, ...). Je rappelle que les populations traditionnelles pratiquent ces médecines de façon préventive une fois par an. Je demande également que les références post-mortem de tous les organes soient dressées. La santé est au-dessus de tout, il n'existe donc aucune raison valable pour négliger 95% du corps et retarder l'établissement de ces références.

Le Ministre Américain de la Santé n'a pas été ému par les lourdes accusations que je porte contre la toxicologie conventionnelle internationale car les analyses après traitement augmentent significativement l'exploration corporelle des analyses de 5% à 95%. Il a donc accusé réception du plaidoyer depuis son Agence nationale de toxicologie. Je confirme que je lui ai écrit directement sur son mail et il ne s'est pas plaint de mes multiples messages. Le Ministre américain a accusé réception au 8ème message. Même les DG des trois Agences Américaines m'ont répondu. L’agence américaine de santé CDC a confirmé que je soulevais un problème important. Monsieur Hervé MORIN, Président de la Région Normandie m’a conforté trois fois sur lettre à en-tête. Sur les nombreux hauts responsables à qui j'ai écrit une dizaine de fois, vous êtes le premier et le seul à vous plaindre. De plus, un lien de désabonnement est mis en évidence pour cesser de recevoir mes messages et je n'envoie jamais deux fois le même message. Mes démarches respectent la loi aussi bien au niveau de la forme que du contenu. Même le secrétariat et le chef de cabinet du Président de la République m'ont répondu avec courtoisie à mon cinquième message. La nature de l’alerte rapportée dans le traité de toxicologie CHELATION THERAPY nécessite d'interpeller directement les hauts responsables.

Mon plaidoyer rapporte la parole de scientifiques qui se plaignent des analyses validées et qui promeuvent les analyses après traitement dans la littérature scientifique ; le rapport de cette parole auprès des Institutions et des Agences de santé sous forme d’alerte est donc pertinent car les enjeux sont majeurs. Des millions de français sont concernés par la faiblesse du rayon d'exploration des analyses validées. Cela est d'autant plus valable lorsque l'agence en charge des références demeure silencieuse aux alertes de la littérature scientifique. Une réponse circonstanciée à cette contestation est attendue. Or, votre courrier du 1er octobre 2024 n'est pas circonstancié à mon alerte concernant l'étroitesse et superficialité des compartiments corporels explorés par les analyses validées ; ce courrier n’énumère que des rappels de façon à entretenir le statu-quo tout en annonçant à tort que l'imprégnation soit surveillée afin de se débarrasser du problème en entretenant la confusion entre imprégnation capillaire et entre imprégnation corporelle ; de plus, la plus-value de la largeur et de la profondeur des analyses après traitement est passée à la trappe sans explication. Cela indique qu'il n'existe pas d’explication valable à la confiscation des références après traitement. Je considère donc que l'ANSES nie les alertes des traités de toxicologie car le problème de fond de la représentation corporelle des analyses biologiques est esquivé.

Je rappelle qu'en 2021, l'ANSES a promis aux Français de répondre à tous les commentaires soumis à la consultation publique sur la 5G. Sans motivation, une quinzaine de commentaires soumis par des scientifiques et mon commentaire ont été censurés, ces commentaires n'ont donc pas obtenu de réponse de la part de l'ANSES. Le ton de mon commentaire était d’une grande douceur. Les commentaires censurés sont listés dans le rapport de l'Anses. Ensuite, ces scientifiques censurés se sont réunis et ils ont donc tous crié à la mascarade ensemble. Suite à cette censure, j'ai donc décidé d'émouvoir le monde quant aux insuffisances de la toxicologie conventionnelle rapportées dans les traités de toxicologie. Le Ministre Américain de la Santé et votre hiérarchie, le DGS français, ont répondu favorablement.

Comme les analyses après traitement contredisent la prétendue innocuité des amalgames dentaires car les études après traitement qui accusent les amalgames sont déjà disponibles, je soupçonne donc que les analyses après-traitement sont empêchées afin d'éviter le scandale de la mauvaise évaluation passée des amalgames. Les contradictions révèlent une anarchie masquée par un ordre apparent. Les analyses organes par organes post-mortem n'ont également pas encore été réalisées pour des raisons similaires car les conclusions de ces analyses bousculeront les vérités actuellement établies. En réalisant toutes ces références, le système de santé actuel sera nécessairement accusé d'amateurisme qui aura causé de nombreuses maladies chroniques car les cofacteurs des maladies jailliront des analyses des profondeurs du corps et que ces cofacteurs auraient pu être prévenus et traités bien plus tôt.

Avec un tiers des Français qui sont porteurs de maladies chroniques dont les cofacteurs ne sont pas traités, le calcul Bénéfice/Risque indique que le risque de nier 95% du corps est maximum et que le bénéfice est nul.

Récapitulatif :
Les analyses actuellement validées induisent en erreur et, là où il y a intoxication, elles annoncent une absence d'intoxication,
Dresser les références des analyses après traitement des métaux car elles permettront d'ouvrir le rayon d'exploration des intoxications jusqu'au cerveau,
Dresser les références après traitement des médecines traditionnelles citées, Ayurveda, ventouses, jeûne,
Dresser les références des organes post-mortem et comparer avec les symptômes chroniques.
Le nombre de Français concernés par les excès de particules peut s'élever en millions.

L’ANSES masque les profondeurs du corps (cerveaux, ...) et le possible des analyses devient donc impossible. La profondeur du corps est une face cachée de la toxicologie, elle est également un voile qu'il ne faut pas toucher sous peine de menaces. Comme la surface sanguine satisfait la communauté et que la foule ne sait pas vérifier la profondeur, l'inconnu du corps est donc caché. Qu'une Agence de santé, qui se targue d'être scientifique, donne les directives pour établir une intoxication convient mais uniquement à condition que 100% du corps soit pris en compte et que 100% des analyses pertinentes soient validées. Or, à ce jour, seuls 5% du corps sont pris en compte et de nombreuses analyses pertinentes sont laissées-pour-compte, cela ne convient donc pas. Le monde entier imagine que les Agences de santé explorent 100% du corps ; mais, dans les faits, seuls 5% sont analysés. Le monde se portera beaucoup mieux en augmentant le nombre de diagnostics validés qui sondent les profondeurs du corps et qui extraient les particules oxydantes du cerveau et du reste du corps. Le sang n'est pas suffisant pour examiner le corps car le sang est filtré en permanence ; or, les particules s'accumulent dans les organes. Pour sonder les profondeurs du corps, il n'y a pas d'autre choix que d'appliquer les traitements, d'analyser ce qui est extrait et de traiter tant que les excès apparaissent aux analyses. Pour que cela se fasse, il faut valider les analyses après traitements, y compris celles des médecines traditionnelles.

Je confirme que je remets en cause lourdement le travail de la toxicologie occidentale car j'accuse les rares et insuffisantes analyses validées de mener vers les millions d’Alzheimer. Toutes ces lacunes et tous ces malades chroniques permettent d'affirmer que les cofacteurs des maladies neuro-dégénératives ne sont pas bornés. L'absence de référence après traitement et l'absence de référence des organes post-mortem suggèrent une négligence qui mène à une hécatombe de maladies chroniques car seuls 5% du corps sont validés et donc surveillés. En comblant ces larges lacunes et en rehaussant la validation et la surveillance à 100% du corps, un enseignement substantiel en sera tiré pour améliorer la santé publique. Quand on fait de la médecine publique, on prend tout en compte. Depuis zéro, je demande donc que les rayons d'exploration des analyses validées soient réduits à leurs strict périmètre et je demande que le rayon d'exploration des analyses soit augmenté à la portée de la plus-value des références après traitement des chélations, des médecines traditionnelles, et des analyses post-mortem. Les Français, qui sont porteurs d'excès de particules oxydantes dans les organes, ont le droit de le savoir afin de s'organiser en préventif et en curatif car même un léger excès permanent de particules oxydantes mène à une lente et longue dégénérescence du cerveau. Seules les analyses après traitement permettront de déceler ces légers excès du vivant. Il convient donc que la vraie imprégnation corporelle soit enfin surveillée afin de réduire la vallée de larmes de sang des maladies neuro-dégénératives et autres maladies (cancers, SEP,...). Suite à votre courrier, je me réserve des recours pour forcer l'ANSES à tenir compte de 100% du corps quitte à ce que vous me poursuiviez en Justice. Comme vous n’avez rien de mieux qu’une imprégnation capillaire à proposer et comme les 95% de l'imprégnation corporelle restants sont niés, je demeure assez confiant dans l’issue d’un procès. Devant une telle lacune des analyses validées, je ne m'étonne pas de vos menaces car refuser de prendre en compte 100% du corps est particulièrement étonnant et étrange. Vos menaces s’ajoutent aux lacunes des analyses et elles se substituent à un manque de langage qui dessinerait la silhouette du contour d'exploration de toutes les analyses. Lorsque l'affaire éclatera, je publierai votre courrier pour montrer aux journalistes comment vous étouffez les alertes sur la charge corporelle : selon vous, la publication des faiblesses des analyses devient une diffamation ; cependant, les analyses validées ne mesurent uniquement 5% du corps, les seules victimes dans cette affaire sont donc les Français. Je rappelle que, en plus du courrier de votre DGS, le Ministre Américain de la Santé, que la Directrice générale du National Institute of Health NIH et que le Directeur général du NIEHS, National Institute of Environmental Health Sciences, Agence nationale américaine de toxicologie, se sont concertés pour m'écrire ensemble sur un même courrier à en-tête qu'ils appréciaient mes travaux. La référence mondiale scientifico-médico-politique et votre hiérarchie immédiate ne partagent donc pas votre avis.

Nier 95% du corps est bien un acabit à craquer la voûte des cieux et l’ANSES en hérite de la responsabilité. Comme cela fait trente ans que les analyses après traitement contestent les analyses validées, l’ANSES n’a donc pas traité l’affaire ni avec sérieux ni diligence en dépit de mes alertes depuis 2021.




Je vous prie, Monsieur le Directeur général de l’ANSES, de croire en l'expression de mes salutations distinguées.




Sophocle



PIÈCES ATTACHÉES
- Votre Lettre réponse du 1er octobre 2024
- Réponse du DGS
- Ministre Américain de la Santé, NIH, NIEHS


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Édit :
Je suis content de ce texte, car j'ai pu exprimer ses 4 vérités à l'ANSES.
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LA PRISON SELON SHAKESPEARE

Messagede Sophocle » Ven 8 Nov 2024 19:57

Dans Richard II, (Trad. HUGO) Shakespeare a écrit:RICHARD II EN PRISON :
J’ai cherché jusqu’ici comment je pourrais comparer — la prison où je vis avec le monde ; — mais, comme le monde est populeux, — et qu’ici il n’y a d’autre créature que moi, — je n’ai pas trouvé moyen. Pourtant forgeons ce rapprochement. — Je considère ma cervelle comme la femelle de mon esprit : — mon esprit est le père, et à eux deux ils procréent — une génération de pensées qui pullulent — et qui peuplent ce microcosme — de fantaisies sombres comme les populations de ce monde ; — car aucune pensée ne contient la satisfaction. Les plus élevées, — les pensées qui ont trait aux choses divines, sont mélangées — de doutes et mettent le verbe même — en contradiction avec le verbe. — Ainsi à cette parole : Laissez arriver à moi les petits, elles opposeront celle-ci : — Il est aussi difficile d’arriver qu’à un chameau — de passer par le trou d’une aiguille. — Les pensées qui tendent à l’ambition complotent — d’inexécutables miracles : elles cherchent comment ces faibles ongles pourraient — creuser un passage à travers les flancs de pierre — de ce dur monde, les murs de ma sordide prison ; — et, comme c’est impossible, elles expirent dans leur propre vanité. — Les pensées qui tendent à la résignation insistent sur ce point — que nous ne sommes pas la première victime de la fortune, — et que nous ne serons pas la dernière ; comme ces mendiants stupides, — qui, assis au pilori, donnent à leur ignominie ce refuge — que bien d’autres y ont été et que bien d’autres encore y seront assis, — et qui trouvent ainsi une sorte de soulagement — à mettre leur propre infortune sur le dos — de ceux qui ont déjà enduré la pareille. — Ainsi je joue à moi seul bien des personnages, — dont aucun n’est content. Par moments, je suis roi ; — alors les trahisons me font souhaiter d’être mendiant, — et me voilà mendiant. Alors l’écrasante misère — me persuade que j’étais mieux, étant roi ; — et me voilà redevenu roi : mais immédiatement — je songe que je suis détrôné par Bolingbroke, — et aussitôt je ne suis plus rien. Mais quoi que je sois, — ni pour moi, ni pour aucun homme de cette humanité, — il ne saurait y avoir de satisfaction avant ce soulagement suprême, — l’anéantissement.

On entend une musique.
Qu’entends-je ? de la musique !… — Ah ! ah ! observez la mesure… Comme la plus douce musique est aigre, — quand les temps sont manqués et les accords non observés ! — Il en est de même dans l’harmonie des existences humaines. — Ici j’ai l’ouïe assez délicate — pour reprendre une note fausse dans une corde dérangée. — Mais, dans le concert de mon pouvoir et de mon temps, — je n’ai pas eu l’ouïe assez fine pour discerner les temps manqués ! — J’ai abusé du temps, et à présent le temps abuse de moi ; — car à présent le temps fait de moi son horloge. — Mes pensées sont des minutes, dont chaque seconde est marquée par un soupir — à ce cadran extérieur de mes yeux, — auquel est fixé, comme la pointe de l’aiguille, — mon doigt qui sans cesse en essuie les larmes. — Le son qui indique l’heure, c’est — le bruyant sanglot qui est le battant — du timbre de mon cœur. Ainsi les soupirs, les larmes et les sanglots — marquent les secondes, les minutes et les heures… Mais le temps — vole pour Bolingbroke en joie superbe, — tandis que je fais ici pour lui le stupide office d’un ressort d’horloge. — Cette musique m’exaspère : qu’elle cesse ! — Quoique parfois elle ramène le fou à la raison, — elle aurait sur moi l’effet de rendre fou le raisonnable. — N’importe ! béni soit le noble cœur qui me donne ce concert ! — C’est une preuve d’affection ; et l’affection pour Richard — est un étrange joyau en ce monde de haine.
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RACINE, L'attaque par le monstre

Messagede Sophocle » Ven 8 Nov 2024 20:42

Dans Phèdre, Racine a écrit:À peine nous sortions des portes de Trézène,
Il était sur son char ; ses gardes affligés
Imitaient son silence, autour de lui rangés ;
Il suivait tout pensif le chemin de Mycènes ;
Sa main sur les chevaux laissait flotter les rênes ;
Ses superbes coursiers qu’on voyait autrefois
Pleins d’une ardeur si noble obéir à sa voix,
L’œil morne maintenant, et la tête baissée,
Semblaient se conformer à sa triste pensée.
Un effroyable cri, sorti du fond des flots,
Des airs en ce moment a troublé le repos ;
Et du sein de la terre une voix formidable
Répond en gémissant à ce cri redoutable.
Jusqu’au fond de nos cœurs notre sang s’est glacé ;
Des coursiers attentifs le crin s’est hérissé.
Cependant sur le dos de la plaine liquide,
S’élève à gros bouillons une montagne humide ;
L’onde approche, se brise, et vomit à nos yeux,
Parmi des flots d’écume, un monstre furieux.
Son front large est armé de cornes menaçantes ;
Tout son corps est couvert d’écailles jaunissantes,
Indomptable taureau, dragon impétueux,
Sa croupe se recourbe en replis tortueux ;
Ses longs mugissements font trembler le rivage.
Le ciel avec horreur voit ce monstre sauvage ;
La terre s’en émeut, l’air en est infecté ;
Le flot qui l’apporta recule épouvanté.
Tout fuit ; et sans s’armer d’un courage inutile,
Dans le temple voisin chacun cherche un asile.
Hippolyte lui seul, digne fils d’un héros,
Arrête ses coursiers, saisit ses javelots,
Pousse au monstre, et d’un dard lancé d’une main sûre,
Il lui fait dans le flanc une large blessure.
De rage et de douleur le monstre bondissant
Vient aux pieds des chevaux tomber en mugissant,
Se roule, et leur présente une gueule enflammée
Qui les couvre de feu, de sang et de fumée.
La frayeur les emporte ; et, sourds à cette fois,
Ils ne connaissent plus ni le frein ni la voix ;
En efforts impuissants leur maître se consume ;
Ils rougissent le mors d’une sanglante écume.
On dit qu’on a vu même, en ce désordre affreux,
Un dieu qui d’aiguillons pressait leur flanc poudreux.
À travers les rochers la peur les précipite ;
L’essieu crie et se rompt : l’intrépide Hippolyte
Voit voler en éclats tout son char fracassé ;
Dans les rênes lui-même il tombe embarrassé.
Excusez ma douleur : cette image cruelle
Sera pour moi de pleurs une source éternelle.
J’ai vu, seigneur, j’ai vu votre malheureux fils
Traîné par les chevaux que sa main a nourris.

Il veut les rappeler, et sa voix les effraie ;
Ils courent : tout son corps n’est bientôt qu’une plaie.
De nos cris douloureux la plaine retentit.
Leur fougue impétueuse enfin se ralentit :
Ils s’arrêtent non loin de ces tombeaux antiques
Où des rois ses aïeux sont les froides reliques.
J’y cours en soupirant, et sa garde me suit :
De son généreux sang la trace nous conduit ;
Les rochers en sont teints ; les ronces dégouttantes
Portent de ses cheveux les dépouilles sanglantes.
J’arrive, je l’appelle ; et me tendant la main,
Il ouvre un œil mourant qu’il referme soudain :
« Le ciel, dit-il, m’arrache une innocente vie.
« Prends soin après ma mort de la triste Aricie.
« Cher ami, si mon père un jour désabusé
« Plaint le malheur d’un fils faussement accusé,
« Pour apaiser mon sang et mon ombre plaintive,
« Dis-lui qu’avec douceur il traite sa captive ;
« Qu’il lui rende… » À ce mot, ce héros expiré
N’a laissé dans mes bras qu’un corps défiguré :
Triste objet où des dieux triomphe la colère,
Et que méconnaîtrait l’œil même de son père.




Quelle langue, c'est épatant.
Avec les années d'écriture que je pratique, j'arrive à peine à sortir un vers qui me semble pas trop mal,
Or, Racine déroule des tonnes de vers avec précision et concision.
Le plus spectaculaire, c'est que ce long passage s'emboite à la perfection dans toute une intrigue.
Racine est un maître absolu, je peux ouvrir n'importe quelle page de n'importe quelle de ses pièces, et il se passe toujours une tension extrême dans les dialogues.
Ça ne se passe pas comme ça chez Shakespeare.
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NOUVELLE PLAINTE EN JUSTICE CONTRE L'ANSES

Messagede Sophocle » Dim 17 Nov 2024 10:54

Au : Tribunal judiciaire de Paris
Parvis du Tribunal de Paris
75 859 PARIS CEDEX 17



Objet : Dépôt de plainte auprès du Procureur

Madame ou Monsieur le Procureur de la République,


j’ai l’honneur de vous informer des négligences organisées par les Agences françaises de santé. Les conséquences de ces négligences peuvent avoir mené à des millions de victimes pendant des décennies.

Pour évaluer la charge cérébrale et corporelle toxique en mercure, les Agences françaises de santé auraient pu établir les références d'une analyse d'urine après traitement des métaux lourds car le traitement élimine tous les métaux stockés en masse dans le cerveau et dans tous les autres organes. Comme les stocks massifs et excessifs de métaux lourds dans les organes passent totalement inaperçus dans les analyses validées (sang, urine, cheveux), des filières de toxicologie dans le monde ont mis en place la généralisation des analyses après traitement en Allemagne et aux Etats-Unis. En dépit que les polémiques mondiales s'enflamment à répétition depuis trente ans à propos des résultats stupéfiants des analyses après traitement chez les personnes portant des amalgames dentaires, les Agences françaises de santé (ANSES) n'ont pas réalisé les références des analyses corporelles et cérébrales via les analyses après traitement. Les preuves biologiques de mon intoxication ne sont donc pas reconnues par les autorités françaises car les Agences de santé n'ont mystérieusement pas placé le cerveau et le reste du corps dans leur agenda de priorité. L'ANSES dissimule que le sang n'est pas fiable et qu'il ne représente pas le corps. Or, de nombreux pays, y compris européens, ont interdit les amalgames dentaires au mercure suite à ces analyses. En France, les autorités se veulent rassurantes à répétition suite à chaque polémique mondiale au motif que les rares analyses validées (sang, urine, cheveux), qui nient factuellement 95% du corps, demeurent négatives. Afin de tromper les Français, les autorités nient les cohortes d’analyses après traitement. Loin devant le reste du monde, je rappelle que la France possède le record de mercure en bouche. Seuls 5% du corps sont surveillés par les analyses validés, le reste du corps s'intoxique et dégénère donc lentement comme une épave à la dérive.

Mon diagnostic d’intoxication a été établi par un médecin toxicologue à Paris en 2014 qui m'a affirmé que mes analyses biologiques conformes aux protocoles toxicologiques Allemands confirment que l'ensemble de mon corps est lourdement intoxiqué par le mercure de mes amalgames dentaires. Pour établir son diagnostic, il a effectué une simple analyse sur un échantillon d’urine 1H30 après avoir administré traitement des métaux de façon à extraire le mercure cérébral et du reste du corps dans les urines. Selon ce toxicologue, ce mercure est la cause de mes lourds et nombreux symptômes chroniques caractéristiques d'une intoxication au mercure. Mes analyses corporelles présentent des taux jusqu'à 70 fois supérieurs à la norme allemande sur 10 ans. Mais, comme le nuage de Tchernobyl, les intoxications au mercure s'arrêtent à la frontière entre l'Allemagne et la France car les souveraines Agences françaises de santé ont décidé que le cerveau et le corps ne faisaient pas partie du rayon d'exploration de leur validation. Pour extraire sciemment le cerveau et le corps de la validation, l’Agence de Santé ANSES et les Centres antipoison ont délibérément interdit les analyses d’urine lorsqu’elles sont pratiquées pendant les trois jours suivant une administration du traitement, car c’est uniquement à ce moment que le mercure cérébral et corporel apparaît aux analyses.

J'ajoute que, en dépit des mes symptômes caractéristiques, les Centres antipoison français m'ont informé qu'il refusaient de prendre en charge les taux inquiétants de mon mercure dans mon cerveau en m'expliquant qu'il leur manquait les références officielles pour traiter le cerveau et pour traiter tout le reste du corps (sauf le sang). Faute de référence biologique en population générale des analyses après traitement, les Centres antipoison ne savent pas dire factuellement si un kilo de mercure dans le cerveau chez un patient est toxique car la comparaison en population saine est manquante. Dans le doute administratif et scientifique, les Centres antipoison refusent donc de prendre en charge les nombreux intoxiqués qui, lourdement malades, se traînent jusqu’à leur porte après des années d’errance. Tant de sérieux des toxicologues pour les procédures au risque d'écarter des milliers d'intoxications possibles est épatant, et cela est tout à leur honneur car les Centres antipoison ont opté pour la retraite spirituelle secrète lorsqu’il y a un balancement philosophique entre l’humain et la science. Leur honneur et leur sérieux est même redoublé car les Centres antipoison n'ont absolument pas alerté les Agences de santé du besoin impérieux de références et de validations adéquates (analyses après traitement) pour traiter les métaux lourds dans le cerveau des malades. Le raffinement ultime de leur honneur s'élève à des sommets car les Centres antipoison profèrent même des menaces publiques en 2015 contre les services hospitaliers français qui traitent les métaux lourds de façon à faire cranter l’interdit des analyses après traitement sur tout le territoire jusqu'aux confins de l’empire des esprits de chaque médecin et de chaque malade. Par ces menaces, les Centres antipoison ont fait avorter l’installation de la filière alternative de toxicologie en France car le service visé a fermé dans la précipitation suite à ces menaces. Les Centres antipoison ont donc confisqué les guérisons par des moyens certes non conventionnels mais efficaces. Cachons ce mercure que l’on ne saurait voir et vivons avec une médecine orwellienne. C’est comme si on interdisait les textes de Victor HUGO au motif que seuls les textes de loi ont le droit de cité. En effet, la guérison des métaux lourds des amalgames dentaires par des analyses d’urines non validées est un danger scélérat car elle est une goutte homéopathique de vérité pure qui risquerait de dévoiler tout un océan de mercure dentaire dans le cerveau de la société française. Comme la défaillance générale des analyses validées craque sous toutes les coutures, les failles béantes de la science sont donc délibérément exploitées au maximum par les fonctionnaires des Agences françaises de santé et des Centres antipoison français afin d’effacer toute trace compromettante. Comble de l’ironie, le Centre antipoison prétend que les excès de métaux qui apparaissent chez tous les analysés sains faussent les résultats chez les malades ; les analyses après traitement de ces derniers deviennent donc officiellement ininterprétables car les valeurs de référence changent. C’est donc un seul atome de mercure chez une personne saine qui prive de traitement de toutes les personnes qui portent des charges massives de mercure. Comme les chevaliers de l'apocalypse, les toxicologues volent donc de crime en crime et de forfaits en forfaits afin de masquer leur incurie. Plus les victimes sont nombreuses, plus les Agences de santé savourent leur réussite dans l’entreprise de la dissimulation de la contamination par les amalgames. En effet, autour duquel gravite toute une population de médecins, les maladies chroniques sont un marché juteux. De plus, le traité de toxicologie CHELATION THERAPY annonce que les excès massifs de métaux (cuivre, fer) se retrouvent à l'autopsie des cerveaux Alzheimer ; le sacrifice de la santé des Français sur le prétendu autel du doute philosophique secret peut donc s'élever jusqu'au million de Français Alzheimer dans un fleuve tumultueux de larmes de sang au bord duquel nos toxicologues caressent le bon respect de leurs validations délibérément défaillantes aussi cruelles soient-elles. Aux Alzheimer, il faut ajouter toutes les maladies intermédiaires, sclérose, arthrose, épilepsie, ... Le nombre de malades chroniques s'élève à 20 millions. Bien sûr, les rigoureuses Agences françaises de santé n'ont pas encore pris la peine de vérifier l'état d'intoxication aux autopsies des cerveaux des personnes Alzheimer car, à nouveau, ces autopsies dévoilent la défaillance générale et massive des analyses validées (sang, urine, cheveux). En effet, ces dernières ne présentent pas d'anomalie chez les Alzheimer de leur vivant.

En consultation, les yeux dans les yeux, mes analyses dans ma main, son dédouanement juridique dans la sienne, sourire carnassier aux lèvres, la FRANCE m’a exigé à répétition ces références cérébrales qui lui incombent. De qui se moque-t-on ? Comme la science sans conscience n'est que ruine de l'âme, les toxicologues sans référence sont un caniveau et le reste de la médecine est relégué à un service après vente qui profite du fruit du crime (cancers, arthrites, ….). En niant le cerveau et le corps, L’ANSES s’est donc transformée en une gueule rotative d’une machine à broyer.

Dans sa réponse, le Directeur Général de la Santé annonce que les personnes particulièrement imprégnées en métaux lourds ne sont pas prises en charge correctement par la médecine conventionnelle et qu'il compte lancer des études pour remédier à cela. Je rappelle que les alertes scientifiques datent d’il y a trente ans et qu'elles ont été éclatantes. Le Ministre américain de la santé a également accusé réception de mon plaidoyer pour la confection des références biologiques cérébrales et corporelles depuis son Agence Nationale de Toxicologie (NIEHS).

Si vous désiriez approfondir la question dans le détail, je vous adresse des pièces jointes.
A) Réponse du Julien PERRIN à l’ANSES
B) Plaidoyer pour la confection des références après traitement

Dans sa réponse à mon alerte, l’ANSES nie tout défaut. J’accuse donc l’ANSES d’empoisonnement délibéré des Français en empêchant les études adéquates pour évaluer un dispositif médical. J’accuse également l’ANSES de privation délibéré de chances de guérir. J'accuse l'ANSES de dire des choses qui sont fausses en prétendant que leurs validations sont satisfaisantes.
J’accuse également les Centres antipoison de privation assidue et répétée de chance de guérir de la population française.
Dans sa réponse, j’ai également reçu des menaces voilées de poursuites pour diffamation car je dénonce que 95% du corps demeurent non surveillés.

Le scandale ne s'arrête pas au mercure, il s'étend à tous les métaux. Par exemple, même le cuivre et les 100 autres métaux (Arsenic, cadmium,...) sont également niés. Le cuivre est essentiel à faible dose mais il devient toxique à haute dose, c'est la dose qui fait le poison. Le scandale s'étend également aux particules organiques toxiques (PCB, bisphénols, la liste est longue,... ). Contrairement aux métaux, il n'existe pas de traitement contemporain pour décorporer les particules organiques. Il faut donc passer par des médecines traditionnelles (Ayurvéda, ventouses, jeûne) pour décorporer ces particules. J’accuse donc l’ANSES de nier les médecines traditionnelles afin d’augmenter délibérément l’intoxication des Français et afin d’augmenter le travail des médecins. Au mépris de la santé des Français, l’ANSES cherche délibérément à dissimuler sa défaillance générale. Les évaluation des organes post-mortem n’ont également pas été réalisées. Tous les compartiments qui permettent d’explorer 100% du corps sont donc niés. Tout ce qui dévoile la défaillances des analyses actuellement validées est balayé d’un revers de la main. Selon l’ANSES, l’exploration doit absolument se limiter à 5% (sang) du corps sous peine de recevoir ses foudres.

En conséquence, je souhaite, pour ces faits, porter plainte contre l’Agence de santé ANSES et contre les Centres antipoison.

En 2022, j’ai déjà porté plainte sur le même thème mais le contenu du texte de ma première plainte de 2022 se cantonnait à décrire mon parcours médical chaotique. Ce texte présent est plus général et beaucoup plus précis. L'appel a lieu en novembre 2024.

Je vous remercie de considérer ce courrier comme un dépôt de plainte.

Dans l’attente des suites que vous donnerez à ce courrier, je vous prie d’agréer, Madame ou Monsieur le Procureur de la République, l’expression de ma plus haute considération.

Paris, le 15 novembre 2024.

Sophocle

Pièces attachées complémentaire :
- C) Accusé de réception du Ministre américain de la santé
- D) Réponse du Directeur général de la santé
- E) Réponse de l’ANSES à mon alerte. Cette réponse nie tout défaut.
- F) Première étude après traitement. Date : 1992. Cette étude a fait une polémique mondiale suite à un reportage sur la BBC en dévoilant que du mercure était caché dans le corps chez les personnes qui portent des amalgames. Titre : Urinary mercury after administration of (DMPS) : correlation with dental amalgam score.
- G) Cohorte après traitement sur 2000 personnes portant des amalgames. Date : 2003. La moyenne après traitement est à 47 alors que la moyenne sans traitement est à 1,7. La référence sans traitement est à 4. Titre : Evaluation of the exposure of dental amalgam patients by the Mercury Triple Test.
- H) Article scientifique donné par le Centre antipoison de Paris pour expliquer le refus de traiter les taux inquiétants de mercure dans le cerveau. Titre : Diagnostic des intoxications par des métaux ou des métalloïdes et mésusage des chélateurs. Auteur : Sociétés françaises de toxicologie. Le refus est motivé par l’absence de comparaison faute de référence disponible
- I) Menaces des Centres antipoison : Dosages urinaires post-chélation des métaux lourds et
pseudoscience : il faut agir ! Date : 2015.
- J) Fermeture du service hospitalier visé par les menaces : Titre : « L’hôpital public abandonne plusieurs centaines de patients qui frappaient à ses portes ». Date : 2015.
- K) Traité de toxicologie CHELATION THERAPY, excès de métaux chez les Alzheimer : Page 334. Date 2016.
- L) Carte Nationale d’Identité




Il est beau, ce texte ! :love:

Pour ma part, il me libère la parole, j'avais besoin de sortir ces accusations qui étaient tapies au fond de moi faute de mots.

Ces mots, qui étaient tapis au fond de moi, me gangrennaient à petit feu. Je remercie donc tous les lecteurs de mon fil, ils m'auront bien aidé. :jap:

Avec ce texte, je vous pouvoir renverser la honte du côté des coupables.

J'aurai mis dix ans à l'écrire car mes premières notes datent du 6 février 2014 dans des cahiers. [img]kator/smiley223.gif[/img]
Ensuite, c'est en 2016 que j'ai rédigé mes premiers posts sur le forum.
Et, mes symptômes handicapants (ehs,...) auront commencé en 2008, ça fait donc 16 ans....
On ne pourra pas me reprocher de ne pas avoir sorti les doigts du c... Au passage, j'aurai écrit un petit traité de désintoxication qui montre à quel point j'étais intoxiqué et à quel point j'étais déterminé à m'en sortir.

Cependant, j'ai l'impression de toujours autant crier dans le désert. :hurle: :/



Wait and see.
Si, dans 3 mois, le Proc ne répondait pas, je pourrai saisir le Doyen de juges. 16 février 2025...


#####
J'ai une pensée émue pour le jeune Nicolah qui était un compagnon d'infortune et qui disait que la médecine était à l'ère du Moyen-Âge.
Il aimait terminer ses posts par ce smiley : :hello:

Il avait intitulé un de ses recueils : "Aphorismes à la frontière", ça sonne comme du Baudelaire...


...
J'ai fait relire ma plainte par un service de conseil juridique.
Il la trouve un peu complotiste, un peu brouillon et difficile à lire.
Il faudra donc que je la réécrive lors que je l'adresserai au doyen des juges...


...


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CMP - Confrontation à l'Ordre des médecins

Messagede Sophocle » Mer 20 Nov 2024 13:35

Pour toucher les allocs, je me suis rendu au CMP en 2021.
Ce sont des médecins fonctionnaires.
Je leur ai raconté mon histoire et je leur ai transmis toutes mes analyses d'Allemagne.
Les médecins m'ont annoncé que les intoxiqués étaient interdits d'être pris en charge par le CMP (et donc de toucher les allocs).
Ils m'ont pris quand-même pris en charge mais, comble de l'ironie, c'est pour délire d'intoxication.
Si j'en ai jamais parlé sur le forum jusqu'à aujourd'hui c'est parce que j'attendais les désordres pour en parler.

Ils ont été conciliants pendant de nombreuses années en me laissant parler des métaux lourds de temps à autre,
mais, avec la lettre du DGS, les choses se sont corsées d'un coup au cours d'une consultation explosive car ce DGS promet de prendre en charge les personnes fortement imprégnées de métaux lourds.
J'ai donc porté plainte et l'Ordre des médecins a organisé une confrontation.

Lors de la confrontation sont présents un médecin de l'Ordre, le médecin accusé et le plaignant (moi en l'occurrence).
Ca a été un moment intéressant,
car le médecin accusé m'a reproché de mettre guéri en Allemagne avec des méthodes non validées en France.
Il m'a reproché d'acheter des chélateurs sur internet.
Il m'a également reproché d'avoir porté plainte contre les Centres antipoison car ils ont oublié de valider le cerveau et il a mis en doute la lettre du Ministre américain.
Sa défense, c'était de me reprocher que, comme un mouton, je ne montre pas que je fasse une confiance absolue aux médecins français...

Ce médecin représente tout un système.
Ce médecin voudrait donc que me laisse mourir sans que je pointe les lacunes de la toxicologie d'Etat... [img]kator/smiley89.gif[/img]
Comme le médecin était jugé devant ses pairs, toutes les bassesses du système ont donc jailli en pleine réunion car ce médecin désirait expliquer sa défaillance...

C'était très drôle :lol:
J'étais amusé...
Après m'avoir empoisonné, puis empêché de guérir, le système médical veut maintenant me casser sur le plan du mental...
Cependant, même si l'Ordre est resté neutre en façade,
il m'a quand-même discrètement soutenu par des petites phrases.
De plus, il m'aura laissé engueuler le médecin accusé avec colère. J'ai donc pu lui rendre la monnaie de sa pièce.
Ce sont les interstices d'un mur en béton avec lesquels on peut le grimper.

Lors de la confrontation, le médecin accusé m'a reproché de l'avoir traité de "langue de reptile" dans ma plainte. Il m'a ensuite annoncé qu'il cessait d'être mon médecin. Je répondu qu'il cesse ses grimaces et je cesserai mes jeux de mots cruels. Que croit-il ? Que je ne pratique pas la légitime défense ? Ses grimaces auront glissé sur ma peau comme de l'eau sur une aile d'oiseau. Mais, j'aurai décoché une petite fléchette et il jette l'éponge.

Suite à l'Ordre des médecins, j'ai pris rdv avec la hiérarchie du CMP pour leur imposer la lettre du DGS...

Il est temps de relire "Les Misérables" d'Hugo car c'est l'histoire d'un bagnard qui sauve un enfant contre les obligations de la loi. Le personnage de la loi, c'est J'avert, il est odieux car il veut que la loi s'applique sans discernement. Mais, il se suicide.
Je rappelle que les lois sur l'enfance datent de l'entrée des enfants dans la littérature avec "Les Misérables".

Jusqu'à présent, l'Etat s'est comporté avec moi comme une machine à broyer dans tous les compartiments de la vie.
Il a tout fait pour me plaire... :lol:

Le DGS s'est certes quand même engagé mais il aura fallu que je lui fasse des menaces pour obtenir sa lettre.


(lien vers la plainte : https://www.forum-melodie.fr/phpBB3/vie ... 85#p123158)


Dernière édition par Sophocle le Ven 22 Nov 2024 13:55, édité 3 fois.
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Directeur Général de la Santé - D.G.S.

Messagede Sophocle » Mer 20 Nov 2024 20:50

Il n'y aura jamais eu personne qui m'aura félicité pour la lettre du D.G.S. :ouin:
Il est vrai que je n'aurai pas mis cette réponse en avant jusqu'à aujourd'hui.
Le DGS est l'échelon immédiat sous le Ministre et il est l'échelon au-dessus des Agences de santé.
Les intoxiqués (dont moi) vont peut-être enfin être pris en charge avec cette lettre.
Le DGS fait Justice aux intoxiqués car il reconnaît qu'ils ne sont pas pris en charge correctement.
Cependant, il faut encore que le DGS passe à l'action car le ton de la lettre laisse entendre autant son amour pour la Santé des Français que sa courtoisie pour éviter le scandale.
En attendant son action, je vais m'ennuyer à mourir tout en me demandant à chaque instant s'il va passer à l'action... [img]smile/bigboum.gif[/img]
Le plus cruel, c'est qu'ils vont peut-être pas prévenir qu'ils vont passer à l'action.
Voici la lettre : https://www.forum-melodie.fr/phpBB3/vie ... GS#p123087
Pour terminer sa lettre, voici ce qu'il écrit :

Le Directeur Général de la Santé a écrit:"Bien évidemment, en ce qui concerne la prise en charge des personnes particulièrement imprégnées (en métaux lourds), des travaux de recherche devront encore être menés pour optimiser cette prise en charge et l'étendre à tous les polluants d'intérêt. Ces travaux pourront conduire à des recommandations officielles."


Image

Rappel: voici la lettre du Ministre Américain de la Santé : https://www.forum-melodie.fr/phpBB3/vie ... 10#p123040



AUTRE SUJET
Ma plainte de janvier 2022 (https://www.forum-melodie.fr/phpBB3/vie ... 35#p120135) est jugée aujourd'hui en appel.
Seuls les avocats sont autorisés à être présents à l'audience.
Comme je n'ai pas d'avocat, le Juge va se retrouver tout seul... :gla:
Je suppose que je devrai recevoir un courrier prochainement...

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SHAKESPEARE - HENRY VI

Messagede Sophocle » Lun 25 Nov 2024 15:33

Voici un extrait d'une pièce de Shakespeare : HENRY VI (Partie 2).
Le Roi Henry VI est faible, ses conseillers s'associent donc entre eux pour manipuler le Roi.
Seul Glocester est fidèle au Roi, tous les autres conseillers du Roi vont donc s'allier entre eux dans un complot pour faire arrêter Glocester.
Même la Reine fait parti du complot... [img]kator/smiley156.gif[/img]
Après avoir arrêté Glocester devant le Roi pour soupçons, les comploteurs vont donc décider de tuer Glocester comme des assassins.

Shakespeare, c'est magnifique, c'est du faux qui dit tellement du vrai sur les sociétés...
Ce qui est beau chez Shakespeare, c'est qu'il aura fait de la très haute philosophie sous un format divertissant.
On se croirait dans un mélange entre les grecs et Netflix...

TRADUCTION PAR LE FILS DE VICTOR HUGO.
Le Roi Henry VI
La Reine Margueritte
Glocerter : Conseiller fidèle du Roi
Suffolk : Conseiller comploteur et amant de la Reine
York : Conseiller comploteur
Cardinal : Conseiller comploteur
Les conseillers sont des gens très proches du Roi, frères, oncles,...





glocester.
— Tous les bonheurs à mon seigneur le roi ! — Pardonnez-moi, mon suzerain, d’avoir tant tardé.

suffolk.
— Non, Glocester, sache-le, tu ne pouvais qu’arriver trop tôt, — déloyal que tu es. — Je t’arrête ici pour haute trahison.

glocester.
— C’est bien. Suffolk ; tu ne me verras pas rougir, — ni changer de visage pour cela. — Un cœur immaculé n’est pas facilement intimidé. — La source la plus limpide n’est pas plus exempte de fange — que je suis pur de toute trahison envers mon souverain. — Qui peut m’accuser ? En quoi suis-je coupable ?

york.
— On croit, milord, que vous vous êtes laissé corrompre par la France, — et qu’étant protecteur, vous avez retenu la paie des soldats : — ce qui fait que son Altesse a perdu la France.

glocester.
— Voilà ce qu’on croit ! qui sont ceux qui le croient ? — Jamais je n’ai dérobé leur paie aux soldats, — ni reçu une obole de la France. — Que Dieu me refuse son aide, s’il n’est pas vrai que je passais les nuits, — oui, les nuits après les nuits, à travailler pour le bien de l’Angleterre ! — Puisse le liard dont j’aurais frustré le roi, — puisse le denier que j’aurais détourné pour mon usage, — être produit contre moi au jour de mon jugement ! — Non ! maintes fois de ma propre bourse, — ne voulant pas taxer les communes appauvries, — j’ai donné de l’argent pour la solde des garnisons, — et je n’ai jamais demandé de restitution.

le cardinal.
— Tout cela vous est bon à dire, milord.

glocester.
— Je ne dis que la vérité, Dieu m’en est témoin !

york.
— Pendant votre protectorat, vous avez inventé — contre les condamnés des supplices étranges et inouïs, — en déshonorant l’Angleterre par la tyrannie.

glocester.
— Eh ! l’on sait bien que, tant que j’ai été protecteur, — la pitié a été mon seul tort. — Car je m’attendrissais aux larmes du coupable, — et quelques mots repentants étaient pour moi la rançon de ses fautes. — À moins que ce ne fût un meurtrier sanguinaire, — ou un brigand affreusement criminel ayant dévalisé de pauvres passants, — jamais je ne lui iniligeais de peine assez sévère. — il est vrai que j’ai torturé le meurtre, ce crime sanglant, — plus que la félonie ou tout autre délit.

suffolk.
— Milord, il est aisé et commode de répondre à ces accusations. — Mais on met à votre charge des crimes plus graves — dont vous ne pourrez aisément vous purger. — Je vous arrête au nom de Son Altesse, — et vous remets céans à la garde de milord cardinal — jusqu’au jour de votre procès.

le roi henry.
— Milord de Glocester, c’est mon spécial espoir — que vous vous laverez de tout soupçon. — Ma conscience me dit que vous êtes innocent.

glocester.
— Ah ! mon gracieux lord, ces temps sont dangereux ! — La vertu est étouffée par la noire ambition, — et la charité chassée d’ici par la main de la haine. — Une odieuse corruption prédomine, — et l’équité est exilée de la terre de Votre Altesse. — Je sais que leur complot a pour but d’avoir ma vie ; — et, si ma mort pouvait rendre ce pays heureux, — et mettre un terme à leur tyrannie, — je la subirais bien volontiers. — Mais ma mort n’est que le prologue de leur pièce ; — et mille autres, qui ne soupçonnent pas encore le péril, — ne concluront pas la tragédie qu’ils méditent. — L’œil rouge et étincelant de Beaufort décèle la malveillance de son cœur, — comme le front nébuleux de Suffolk, sa haine tempêteuse. — L’ironique Buckingham se soulage par la parole — du fardeau d’envie qui pèse à son cœur ; — et le hargneux York, qui voudrait atteindre à la lune, — et dont j’ai rabattu le bras outrecuidant, — dirige contre ma vie de fausses accusations. — Et vous, comme les autres, ma souveraine dame, — vous avez sans motif accumulé les disgrâces sur ma tête ; — et vous avez fait tous vos efforts pour soulever — contre moi l’inimitié de mon bien-aimé suzerain. — Oui, vous vous êtes tous concertés ensemble, — moi-même j’ai eu avis de vos conciliabules, dans le but unique de détruire mon innocente vie ; — il ne manquera pas de faux témoins pour me condamner — ni de prétendues trahisons pour ajouter à ma charge. — Le vieil adage sera pleinement justifié : — Pour battre un chien un bâton est vite trouvé.

le cardinal.
— Mon suzerain, ces invectives sont intolérables. — Si ceux qui ont à cœur de protéger votre royale personne — contre le couteau caché de la trahison et la rage des traîtres — sont ainsi tancés, insultés et outragés, — toute licence de parole étant accordée au coupable, — cela refroidira leur zèle pour Votre Grâce.

suffolk.
— N’a-t-il pas offensé notre souveraine dame — par des paroles injurieuses, quoique savamment conçues, — insinuant qu’elle avait suborné des gens pour attester sous serment — de fausses allégations destinées à le ruiner ?

la reine marguerite.
— Mais je puis permettre les récriminations à celui qui perd.

glocester.
— Le mot est plus juste que vous ne le croyez : je perds, en effet. — Mais malheur aux gagnants qui m’ont triché ! — Ceux qui perdent ainsi ont bien le droit de parler.

buckingham.
— Il va extravaguer et nous retenir ici tout le jour. — Lord cardinal, il est votre prisonnier.

le cardinal, à ses gens.
— Vous autres, emmenez le duc et gardez-le bien.

glocester.
— Ah ! le roi Henry rejette ainsi sa béquille, — avant que ses jambes soient assez fermes pour le porter. — Ainsi voilà le berger chassé loin de toi, — tandis que les loups hurlent à qui te dévorera le premier. — Ah ! puissent mes craintes être vaines ! Ah ! puissent-elles l’être ! — car, bon roi Henry, c’est ta chute que je crains.

Glocester sort, emmené par des gardes (17).
le roi henry.
— Milords, agissez comme vous le trouverez bon dans vos sagesses : — faites et défaites, comme si nous étions ici en personne.

la reine marguerite.
— Quoi ! Votre Altesse veut quitter le Parlement !

le roi henry.
— Oui, Marguerite ; la douleur inonde mon cœur, — et ses flots commencent à déborder dans mes yeux. — Ma vie est de toutes parts enveloppée par la misère ; — car quoi de plus misérable que le mécontentement ? — Ah ! mon oncle Homphroy ! je vois sur ta face — la mappemonde de l’honneur, de la franchise et de la loyauté : — et jusqu’à cette heure, bon Homphroy, il ne m’est jamais arrivé — de te trouver perfide ou de douter de ta fidélité. — Quelle est donc l’étoile hostile qui s’acharne contre ta fortune, — pour que ces puissants lords et Marguerite, notre reine, — cherchent ainsi la ruine de ton innocente existence ? — Tu ne leur as jamais fait de mal ; tu n’as fait de mal à personne. — Et de même que le boucher emmène le veau, — et lie le malheureux, et le bat quand il s’écarte — du chemin de l’abattoir sanglant, — de même ces implacables t’ont enlevé d’ici ; — et, de même que la mère erre en mugissant — du côté où s’en est allé son petit innocent, — ne pouvant rien que pleurer la perte de ce chéri, — de même je déplore l’infortune du bon Glocester — avec des larmes impuissantes, et je le cherche — avec des yeux troubles, sans rien pouvoir pour lui, — tant sont formidables ses ennemis jurés ! — Je vais gémir sur ses malheurs, et, entre chaque sanglot, — je dirai : S’il y a un traître, ce n’est pas Glocester.

Il sort.
la reine marguerite.
— Lords libres de préjugés, la froide neige fond aux ardents rayons du soleil. — Henry, mon seigneur, froid pour les plus grands intérêts, — est trop accessible à un fol attendrissement ; et les dehors de Glocester — le fascinent, comme le crocodile plaintif — prend le voyageur compatissant au piége de ses gémissements, — ou comme le serpent, étalant sur un banc de fleurs — sa peau brillante et bigarrée, mord l’enfant — qui admire sa beauté. — Croyez-moi, milords, si nul n’était plus sage que moi — (et en cette conjoncture je me crois assez sage), — ce Glocester serait bientôt débarrassé de cette vie — pour nous débarrasser des craintes qu’il nous inspire.

le cardinal.
— Qu’il meure, cela est d’une bonne politique ; — mais nous manquons encore de prétextes pour sa mort. — Il convient qu’il soit condamné selon les formes de la loi.

suffolk.
— À mon avis, voilà qui ne serait pas politique ; — le roi travaillera toujours à lui sauver la vie, — les communes se soulèveront peut-être pour lui sauver la vie ; — et puis nous n’avons que cet argument banal, — la méfiance, pour justifier sa condamnation.

york.
— D’où il suit que vous ne désirez pas sa mort.

suffolk.
— Ah ! York, nul vivant ne la désire autant que moi.

york.
— C’est York qui a le plus grand intérêt à sa mort. — Mais, milord cardinal, et vous, milord de Suffolk, — dites votre avis, parlez du fond du cœur : — ne vaudrait-il pas autant charger un aigle à jeun — de protéger un poulet contre un milan affamé — que faire du duc Homphroy le protecteur du roi ?

la reine marguerite.
— En ce cas le pauvre poulet serait bien sûr de sa mort.

suffolk.
— C’est vrai, madame. Et n’y aurait-il pas folie — à faire du renard le gardien du troupeau, — et, tout accusé qu’il est d’être un rusé meurtrier, — à fermer les yeux sur sa perfidie, — sous prétexte qu’il n’a pas encore exécuté son dessein ? — Non ! — Qu’il meure, avant que ses mâchoires soient teintes d’un sang cramoisi : — qu’il meure, parce qu’il est le renard, — reconnu comme l’ennemi naturel du troupeau, — comme Homphroy, toutes les raisons le prouvent, est l’ennemi du roi ! — Et n’ergotons pas sur les moyens de le tuer : — qu’il meure par engins, piéges ou guets-apens, — endormi ou éveillé, peu importe, — pourvu qu’il meure ! Car la fraude est bonne, — quand elle prévient celui qui méditait la fraude.

la reine marguerite.
— Trois fois noble Suffolk, c’est parler avec résolution.

suffolk.
— Il n’y a de résolution que s’il y a exécution : — car on dit souvent ce qu’on n’a guère l’intention de faire ; — mais ici mon cœur est d’accord avec ma langue, — considérant que l’acte est méritoire — et doit préserver mon souverain de son ennemi. — Dites seulement un mot, et je lui servirai de prêtre.

le cardinal.
— Mais je le voudrais mort, milord de Suffolk, — avant que vous ayez pu recevoir dûment les ordres ; — dites que vous consentez, que vous approuvez l’acte ! — et je lui fournirai un exécuteur, — tant j’ai à cœur le salut de mon roi.

suffolk.
— Voici ma main, l’acte est digne d’être fait.

la reine marguerite.
— J’en dis autant.

york.
— Et moi aussi : et maintenant que tous trois nous avons parlé, — peu importe qui blâme notre arrêt.
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PROJECTION

Messagede Sophocle » Dim 1 Déc 2024 13:26

Bon, je vais faire un petit bilan à + ou - long terme.

Je voudrais encore explorer d'autres médecines traditionnelles. Pour l'instant, je me suis rendu compte que l'ayurveda, les ventouses et le jeûne réduisaient très fortement la charge toxique en particules organiques. Mais, peut-être, existe-il d'autres médecines qui parviennent à ce même résultat.

Quant aux ml, il faudrait encore que je me renseigne sur l'éventail de chélateurs. Il faudrait établir un tableau avec les caractéristiques de chacun des chélateurs.

Il reste les micro-organisme. Sur les mo, j'ai à peine approché la problématique. Je n'ai certes pas trouvé de lacunes de la part de la médecine conventionnelle au niveau de la validation, mais la situation est vraiment complexe. Il existe tellement de catégories de mo et tellement de remèdes spécifiques qu'il est difficile de proposer une solution. J'ai certes lu les remèdes des spécialistes, mais cela demeure des propositions de traitement en pis-aller.

Quand à l'Administratif, Il faut attendre la réponse du DGS à ses promesses ; il faut aussi que j'obtienne une réponse du Ministre. Et, je souhaiterai activer la Justice car les Agences de santé camouflent leurs défaillances. Je les accuse donc d'empoisonnement délibéré et de privation délibéré de chances de guérir car elles refusent de faire valider les analyses pertinentes alors que les polémiques mondiales s'enflamment à répétition.

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Re: TOXICOLOGIE EN TOC.

Messagede jibouille » Dim 1 Déc 2024 16:24

qu'en est-il de tes symptômes? Est-ce que la nette amélioration suite à ton protocole ML se maintient ?
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Re: TOXICOLOGIE EN TOC.

Messagede Sophocle » Dim 1 Déc 2024 18:06


Merci pour cette question.

Les améliorations se maintiennent durablement. L'ehs est totalement éliminée. Je n'ai plus aucune sensibilité aux ondes depuis que j'ai pris les chélassos. Le résultat est spectaculaire. L'élimination de l'electrogalvanisme par les bains salins de bouche est également définitive. La suppression des plaques rouges sur la peau par les crèmes déhydratantes est également définitive. Je n'ai plus aucune plaque rouge depuis des années. La rémission des intestins est également consolidée.

Et la très forte baisse des maux de tête est également stable. Cependant, tous les 2 mois environ, j'ai un petit retour des maux de tête. J'ai lu dans un traité de toxicologie que les os libéraient les ml. Cad que après traitement, il y a un inversement des concentrations. Avant traitement, les tissus mous intoxiquent les os. Après traitement, les os réintoxiquent les tissus mous par libération des ml. Alors je reprends un petit un petit traitement et les symptômes disparaissent jusqu'au prochain cycle.

J'ai encore des douleurs à l'épaule. Ces douleurs sont apparues avec les jeûnes secs. Les ml ont migré du cerveau à l'épaule pendant le jeûne sec. Les ventouses ont certes éliminées 3/4 des douleurs de façon durable. Mais des douleurs demeurent malgré les chélassos. Je ne sais pas comment enlever ces douleurs.

Il faut aussi que je réactive la neuro-cognition car j'ai bien trinqué. J'ai nettement amélioré ma mémoire avec des exercices sur ordi. J'en ai fait de façon intensive pendant 6 mois et les améliorations sont significatives. Cela apporte un confort de vie très agréable. Il faudrait aussi que je travaille également l'orientation car je me perdais dans mon propre quartier. Il faut que je travaille la conversation car je demeure un peu silencieux en société. Il me reste aussi des troubles du sommeil. Je dors peu et par épisodes. Mais la nuit est quand même réparatrice. Il faudrait que je trouve des plantes comme somnifères.

Et,
la tension et l'énergétique sont durablement remontées depuis que j ai fait une petite série de bains froids...

Grosso modo, voilà un petit tour de mes symptômes.



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Re: TOXICOLOGIE EN TOC.

Messagede jibouille » Dim 1 Déc 2024 18:21

Moi aussi je suis un peu silencieux en société, il faut que je me force un peu :lol:
Je pense que c'est commun à beaucoup d'intoxiqués.....mais bon il y a certaines population chez qui c'est normal, les finlandais peuvent rester de longues minutes sans parler pour eux c'est normal.....chez les latins on a tendance a piailler sans arrêt pour pas paraître bizarre

Chez moi ce qui avait bien marché pour le sommeil c'est le trio escholtzia/passiflore/valériane en EPS (extrait phyto standardisé)

En ce moment je n'ai plus de pb de sommeil si je ne suis pas dans les ondes. Je prend un médoc qui m’assomme un peu donc je dors, mais quand j'avais fait les chélasso j'avais eu quelques nuits compliquées

J'ai lu un traité d'une EHS ariégeoise docteur en physiologie qui s'en est sortie en reminéralisant massivement avec des minéraux bien dosés, le but étant que les minéraux en quantités prennent à la longue la place des ML en douceur. Elle en fait un préalable à toute autre forme de détox.
J'ai acheté du zinc et du sélénium (qui prennent la place du mercure) + un mélange alcalanisant, on verra si j'arrive à reprendre les chélasso après...
Elle a aussi utilisé de la B1 TTFD qui a une action chélatrice, apparemment ça à été salvateur.
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Re: TOXICOLOGIE EN TOC.

Messagede Sophocle » Lun 2 Déc 2024 13:54

J'ai fait de nombreuses cures de sels et de minéraux.
Ca a commencé avec le sel d'epsom lors des cures du foie.
Suite à ces cures, je n'avais plus aucune démangeaison aux ongles et j'ai définitivement arrêté de me bouffer les ongles.

Il y a aussi tous les compléments alimentaires que j'ai avalé en pagaille.

J'ai également fait des cures avec les sels de Schüssler.
Ce sont des mélanges de sels physiologiques et un peu moins physiologiques.

Puis ensuite, j'ai fait des cures avec tous les sels physiologiques.

Ces cures datent d'avant les chélassos.
Sans faire exprès, j'ai peut-être réalisé le préalable aux chélations car je n'ai aucun effet secondaire lors des chélations.
Mais j'ai pratiqué tellement de cures en tout genre que je ne saurais pas dire laquelle a prévenu les éventuels désordres lors des chélations... :??:



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