Nos problématiques sont tellement complexes qu'il suffit qu'on touche a un truc qu'il fallait pas pour que tout se mette en branle et se casse la figure.
Notre marge de manœuvre est donc assez limitée.
A l'époque j'avais l'insouciance de penser que de toute façon " je ne pourrai pas tomber plus bas " ouh que si malheureusement y'a plus bas toujours plus bas, a des niveaux qu'on s'imagine même pas.
Ce que tu dis la est malheureusement la triste réalité, c'est pour ça qu'on tache tjrs de faire comprendre a chacun qu'il faut avant tout etre PRUDENT, prendre de temps de faire des essais avec des dosages faibles, et d'introduire tjrs un seul produit/technique a la fois (pour etre capable de juger de l'effet que celui ci a sur son propre corps).
En procédant par étape progressivement et séquentiellement, on apprend peu a peu ce qui nous convient, les dosages que l'on supporte, les réactions de notre corps (et notre psyché) a ce que l'on entreprend, etc. C'est ainsi qu'on peu batir très doucement son plan d'action... car comme tu l'a très justement is la marge de manoeuvre est souvent très fine et on a vite fait de se retrouver bien plus mal si on y trop franco

Pour le jeune je ne pense pas etre apte a faire mieux qu'un jeune intermittent pour le moment
C'est a mon sens deja très bien, car non traumatisant pour ton corps affaibli, tout en apportant des bénéfices de la restrictions alimentaires pendant un certain nombre d'heures consécutives.
Le jeune en lui-même comme le préconisent certains, souvent sur de longue périodes (15-20 jours ou plus) est TRES dangereux pour bcp de mélodiens qui sont bien trop affaiblis pour le supporter. Ceux qui le préconisent ne se rendent absolument pas compte des dégats qu'ils peuvent provoquer aux vrai malades chroniques qui sont deja au plus bas...et le manque de discernement et le fanatisme de certains de ces"gourous" peut couter très cher.
Les compléments alimentaires la encore je me pose beaucoup de question mais ce n'est pas ce qui peut faire le plus de mal a mon avis.
La encore il y a complément et complément... certains sont très positifs, de bonne qualité, respectueux du corps et intelligemment réalisés. D'autres sont des coquilles vides, condensés d'herbes mortes et irradiées, ou de complexes chimiques réalisés sans intelligence... au mieux ils sont inefficaces, au pire ils peuvent accentuer nos propres déséquilibres.
En général, éviter les marques et produits au rabais qui sont a 95% inefficaces et parfois même dangereux, et plutot prendre peu de compléments mais de réelles qualités.
On en reviens toujours au basique : alimentation, activité physique, phyto (attention sur les doses) et veillez a avoir un bon transit (pas gagné)
Activité physique je suis plus modéré: c'est un axe très important qu'il faut tot ou tard emprunter, mais qui est aussi très consommateur d'énergie...cette même énergie dont manque cruellement 95% des malades chroniques. Et si on l'utilise pour du footing ou du vélo, et bien elle n'est plus disponible pour "tout le reste" (dont l'élimination des toxines remuées par les plantes, la chélation, etc)
Veillez donc a etre suffisament remonté au niveau de l'équilibre hormonal (axe surrénale/thyroide/hypothalamus/hypophyse) afin de se remettre a tout activité physique, sinon c'est aller direct au casse pipe selon moi. Un peu de marche de fais pas de mal cependant, mais pour la plupart des malades bien mal en point, il vaudrait mieu en rester la, le temps de regagner suffisament d'énergie (et ça prend souvent des mois, voir des années selon le cas).
A mon sens il en va de même pour le fait d'attendre d'avoir suffisament retrouvé d'énergie avant de se lancer dans la chélation ou un traitement immunitaire costaud, sinon les herx sont quasi-immédiat, et on fais du surplace.
Le problème c'est aussi même de manière lente notre cas se déteriore le plus souvent si ont ne fait rien d'ou la volonté d'agir comprehensive.
Tu as raison, il FAUT entreprendre des actions, la santé le revient pas souvent d'elle même si on ne fais rien...surtout dans nos cas très complexe ou bcp d'organes sont touchés et en souffrance depuis belle lurette.
Toute la difficulté réside a trouver l'équilibre subtil sur "quoi entreprendre" qui ne stress pas trop le corps, tout en lui permettant doucement de commencer a refonctionner plus harmonieusement et a se détoxifier. A mon sens cela passe par le soutien profond a toute la sphère digestive, au foie/vb, intestins, et a l'équilibre hormonal et l'axe HPA dans son ensemble (pour corriger toute forme d'hypométabolisme qui signe un "arret" de toute action d'auto-détox du corps)
Courage Nicolas!
Pti gars