Déjà, bravo pour ce travail gigantesque et ce partage. Je pense que ce type d’échanges est précieuse et peut permettre à chacun d’avancer, à son rythme, dans la connaissance de soi, et donc des autres.
Et bien je vais un peu vous parler de moi, afin d’avoir vos avis et conseils, et aussi, peut être avec mon expérience/parcours, à mon humble niveau je pourrais vous apporter quelques chose, ne serais ce que par mon témoignage.
Alors, je m’excuse à l’avance, je suis un profane en physiologie, j’espère ne pas dire trop de bêtises parfois, et j’espère ne pas être trop long !
J’ai parcouru le forum déjà, et commencé à lire ce formidable livre de « un petit gars », j’ai quelques tests simples à faire et un peu de matos à acquérir (surrénales, t° etc..) qui vont probablement m’éclairer. Je m’excuse aussi, des réponses à certaines questions sont surement déjà là sur le site.
Alors, pour situer un peu, j’ai la quarantaine, sportif et bien dans mon corps, plutot un poid léger. J’ai toujours pratiqués des sports de montagnes, et de mer, plutôt casse-cou, et des sports de combats. Je raconte cela pour dire, que d’un point de vue hormonal, j’ai toujours bien gérés les situations un poil extrêmes, se retrouver dans des endroits un peu compliqués à gérer (mer ou montagne ou face à un adversaire…) et seul, souvent.
Aujourd’hui, je pratique un peu tous les jours, mais avec moins d’intensité, un peu plus à l’écoute de mon corps.
Je ne suis pas à la base quelqu‘un d’hyper sensible, et je n’avais pas la démarche de me poser mille questions sur la santé, avant que cela ne se dégrade.
J’arrive aujourd’hui, à voir en gros 4 étapes depuis ma prise de conscience, d’un « corps malade ». Je souligne, que je réalise depuis très récemment à peine, que le corps est une formidable machine qui cherche toujours l’équilibre, l’homéostasie. Ensuite, même si je suis familiarisé avec l’approche holistique, et l’inter-relation, pour avoir côtoyé l’univers de la médecine chinoise (mais sans m’y intéresser réellement) ce n’est que tout récemment que j’ai compris que l’approche symptomatique avait ses limites, et qu’il est plutôt question de terrain. Donc, on dira que devant l’incompréhension des médecins classiques que j’ai rencontré, j’ai dû me transformer en « chercheur ».
Première étape : Bactéries et vapeur !
Mon « parcours » commence donc il y a 8 ans environ, vers la trentaine bien passée.
Je sors de 15 ans d’une vie plus dominé par la mal bouffe, la vraie (sandwich, mac do, manger gras, charcuterie…) les sorties, sommeil décalé, alcool…
Sportif assez doué, mais trop d’excès à côté.
Jusque-là, des troubles classiques de civilisation : rhinite saisonnière depuis la jeune adolescence, un peu mal au bide de temps en temps, forcément avec ce que je fais subir a mon organisme et de l’acouphène, je pense dû a un été ado en Espagne qui m’a éclaté les oreilles.
Puis, donc il y a un dizaine d'années, arrive une infection, suite à une échange un peu plus qu’amicale et un latex pas assez solide…. Je rencontre… la chère Chlamydia…une bactérie pas très sympa.
Je ne connais pas les méthodes « naturelles » ou douces à l’époque.
Le médecin me file une antibio. C’est le dernier médoc chimique que j’ai pris depuis.
Alors le chlamydia disparait.
Mais rapidement, mon transit se dégrade. J’ai toujours été à la selle une ou 2 fois par jour. Cela ne changera quasiment jamais.
Par contre, mes selles deviennent molles, souvent désagrégés, je dirais, et puis c’est l’ère des gargouillements dans mon ventre, et des gaz.
La fatigue aussi commence à être chronique, notamment après la digestion…
Donc, la , je laisse un peu passer le temps, et je me décide, je dois me prendre en main. Je me renseigne un peu, et je comprends que l’alimentation a son rôle à jouer dans la santé ( !) Dingue ça ! Bon, je fais de efforts, notamment sur les apports de légumes, et sur les modes de cuisson.
Donc, je me mets à manger plus de légumes, sans faire le lien entre fibre soluble et insoluble au début, et je cuis aussi mes viandes et poisson à la vapeur. Je fais encore pas mal d’écarts à cette époque : fritures et produits raffinées, desserts dans les restos (je mange tous les midi dans des restos, à cause de travail)
Tout cela améliore surement un peu ma santé défaillante, mais ça reste limité.
Durant 5 ans, je tâtonne tout seul, je vais voir les médecins de temps en temps, quand je suis vraiment hs, mais, à part me vendre des médocs que je ne prends pas…(et n’achète pas). Je veux être au top, car je fais du sport en compétition à cette époque. Des gros entrainements, des courses harassantes, bref, jusqu’à 10 à 15h de training par semaine. Mon corps est sec mais musclé, et je mange encore pas mal de connerie, dans cette période. Car je dépense beaucoup de calories, et d’un naturel sec, si je ne mange pas, je deviens filiforme. Donc, beaucoup de sucrerie de fausse bonnes qualités nutritionnelles (galette de riz chocolat a gogo, fritures…)
Là, j’enregistre pas mal de coup de fatigues (forcément…) et je me suis habitué a des poussées d’herpès labial au début, puis génitales (pénis) de plus en plus fréquentes.
Genre tous les 2-3 mois . J’ai aussi depuis 8-10 ans, du staphylocoque doré dans une narine, qui revient aussi de plus en plus fréquemment et perdure à l’époque de longues semaines ou mois.
J’en peu plus… J’apprends à cette époque qu’il existe des naturopathe, qui ont une approche plus naturelle et hollistique. Je me lance.
Deuxième étape : a) la naturopathie
Donc, il y a 3-4 ans, je suis HS, je sens que je prends un coup de vieux, je rencontre un naturopathe.
On fait le point, il me trouve forcément fatigué.
Il me propose
• un menu un peu plus équilibré, mais toujours avec des produits transformés au menu, car je lui donne une contrainte : je veux rester à un poids de forme, donc il me dit ok sur les pates a tartiner (jean hervé, de qualité donc), les galettes de riz….
• Un test d’intolérance (le top, celui fait en Allemagne)
• Des compléments, je sais plus trop, un complexe de plantes pour solidifier les selles + nettoyage du foie avec desmodium et chardon marie + du lapacho et aussi de la spiruline.
Résultats : je suis intolérant au plus haut niveau au lait de vache, au gluten et au œuf… Pas étonnant, j’ai déjà, à cette époque, entendu parler d’intestin irritable, de parois intestinale perméable… Le lait de vache, j’avais arrêté ado, car ça me fatiguait. Mais j’ai continué les fromages en tout genre. Les œuf et le gluten, ben comme tout le monde (ou presque) c’était tous les jours et à gogo !
Là, je note une première amélioration point de vue qualités des selles. En éliminant tout cela - et les desserts sucrés avec un IG élévé et rempli de sucre raffiné - forcément je vais mieux.
Mais ça ne suffit pas. Je veux être plus en forme, j’ai toujours de la fatigue, et des infections. Mon naturopathe travaille aussi sur le symptômes : donc He en direct sur herpès génital et staphylo dans la narine, tea tree.
Je note méticuleusement ce que mange, pour enquêter, mais pas facile.
Comme je disais au thérapeute, le matin mes selles étaient systématiquement molles, malgré tout. L’après-midi, un peu mieux, moulés en général.
Donc amélioration : en même temps, je mangeais du riz 2 a 3 fois par jour… encore les excès… et 2 gouter trop sucrés et chargés en IG
Je mangeais surement aussi de trop grosse quantités, dans ma quête d’un poids de forme pour mes sports. Je visais un idéal de 63kilo pour 1m74.
b) finalement, la chute
Je tâtonne donc, finalement, pendant 1 peu plus d’un an environ. J’ai supprimé donc gluten, produits laitiers et œuf depuis de nombreux mois Mais je continue à être en sur- entrainement sportif, et je mange tard le soir, 21-22h , je me couche-tard minuit-1heure, je ne dors alors que 6 ou 7 petites heures au mieux. Bref, je re-mange le matin tôt, donc récupération et élimination pas top du tout.
Voilà que l’hiver 2012 me réserve une surprise : j’attrape une « grippe », et au lieu que cet état grippal dure 3-4 jours comme cela m’arrivait tous les ans ou tous les 2 ans, ça dure 15 jours, fièvre, courbaturé à mort. A peine mieux au bout d’une semaine, j’ai voulu reprendre le sport, ça m’a remis au lit une semaine…
Je n’avais aucune connaissance à cette époque de la notion d’élimination du corps, qui cherche à sortir ses poubelles, ses toxines avec des manifestations de symptômes comme la fièvre. Et de l’importance du repos dans la régénération.
Donc je cherchais, même avec les He à supprimer les symptômes, tout en ayant conscience du terrain, mais pas facile à cerner tout cela, surtout avec la vie que je menais.
Après ces 15 jours, un semblant de mieux…et je chope encore un truc inédit , une infection urinaire ! je me soigne comme je peux, j’ étais loin de chez moi.
Je bois beaucoup, prend un peu d’HE, et 3-4 jours plus tard, fin du martyr (c’était horrible, blocage et douleur pour uriner fréquemment).
Là en rentrant chez moi, je vais voir un médecin spécialiste qui me propose une batterie d’antibiotique. Il me dit que je suis allez le voir trop tard, que les méthodes naturelles…c’était bof…et que dans 3 à 6 mois j’aurais probablement une récidive… super ! Je ne l’écoute pas, et à la place des antibio, je fais une cure de jus de cranbery.
Cela m’est arrivé il y a 21 mois, je n’ai plus rien eu depuis…
Dans la foulée un prise de sang indiquera que je suis en mode « défense » mais aussi un excès de fer, d’après les normes
Voilà quelques valeurs hors normes pour infos: (et sachant que j'étais encore convalescent)
Plaquettes 413, reférence 150 a 400 (un an avant 258)
Vitesse de sédimentation : 48, référence inf a 25 (un an avant 3)
Acide urique : 72 (un an avant 77)
hdl cholesterol : 0.36, valeur référence sip a 0.40 (un an avant 0.46)
Ferritine: 444, réf 25 a 336 (un an avant 374) un an de spiruline ?
Vitamines D2 +D3 : 20.8 , de 10 a 30 : insuffisance
proteines-c-reactivité : 5.5, réf inf a 5 (un an avant 0.2)
PSA total 20.98 (suite infection urinaire) ref inf a 4...
Là je me dis, ça va pas…ça commence à faire beaucoup, mon système immunitaire n’a plus l’air de trop bien fonctionner. J’en conclu à l’époque, que comme mon organisme est toujours en alerte au niveau intestinal, que du coup, je m’épuise, et que ça part en sucette dès que je chope un truc, je ne peux plus me défendre. Une vision encore limité de la chose.
Je calme alors un peu le sport de « haut niveau » pour rester plus tranquille. Mais le mal est fait je pense.
En effet, au printemps de la même année, soit 3-4 mois plus tard, en plein relâchement, en vacances, dans un lieu paisible, beaucoup d’émotion vont remonter.
La fatigue de l’hiver passé s’expliquait aussi par beaucoup d’émotions contenues mais subie. Des gros soucis familiaux.
Je vais alors faire des malaises (je ne connaissais pas cela) du style malaise vagal, ou burn-out, en vacances… Oppression dans la poitrine très forte. Cela va durer 3-4 jours.
A mon retour, au boulot, je fais à nouveau un malaise. Je consulte : je n’ai rien physiologiquement d’un point de vue cardiaque, tout va bien. C’est mental me dit on…
Je vais passer 15 jours, avec des phobies nouvelles, peur des transports, peur de me balader seul… moi qui suit toujours parti seul arpenter la nature dans des conditions pas toujours facile (mer ou montagne), et très à l’aise dans les transports, et sans phobie identifié jusque-là, bien au contraire. Ça fait bizarre.
J’ai dû travailler seul, mentalement, pratiquant déjà la méditation et autre relaxation comme le Qi gong, ça va m’aider. Je respire quelques mélanges en HE, qui vont me rassurer, quand je dois reprendre ma vie normale. Et alors, je me rappelle que tous ces malaises, souvent survenaient durant ces digestions fatigantes. Manger me stresserait ?
Pour le stress, je dois aussi dire que le fait de pas vraiment m’être épanoui professionnellement notamment, avait créé depuis une douzaine d’année (tiens tiens…) des manifestations d’oppression au niveau de ma gorge : la fameuse boule dans la gorge. Qui venait et partait un peu comme elle voulait. Je l’avais fait disparaitre avec de la pratique méditative et de prise de conscience générale.
Peu a peu ça va mieux, je reprends confiance, mais je manifesterais un peu de fragilités de temps en temps.
Troisième étape : Naturopathie, les mélanges Donnatini et la dysbiose
A force de recherche, il y a uj peu plus d’un an, je tombe sur un article dans « clefs de santé » qui parle da la dysbiose et de l’approche de Mr Donnatini.
Je trouve cela très intéressant. Je me dis que la piste est sérieuse.
Je profite d’un séjour sur Paris pour aller chez le naturopathe (j’habite dans le sud) qui a écrit l’article et suivi la formation du docteur Donnatini.
Je fais le test au gaz, et il me découvre un excès a tous les gaz.
Ce même naturopathe qui a aussi une boutique (herbajovis) vend les même produits (a priori) que Mycoceutics qui si j’ai bien compris a des soucis avec l’ordre des pharmaciens.
Bref, j’attaque le traitement avec les 3 mélanges + versicolor.
Alors là, c’est une réelle progression : tout s’améliore : mes selles molles deviennent assez souvent moulés, moins de fatigues, et fréquences d’infections staphylo et herpès en baisse.
Mais je ne comprends pas bien le protocole : on me dit : « avec ces HE accompagnées par un mycelium , cela va détruire ta flore existante, et ensuite on va la reconstituer ».
Sauf que je ne sais pas comment la reconstituer à l’époque. Je vais suivre le traitement 6 mois environs.
Il y a de cela 9 mois donc début 2014, je rencontre un naturopathe dans le sud qui à l’appareil de mesure.
Je me dis, allons voir où j’en suis. Là les mesurent donne a peu près la même chose.
Le naturopathe me dit que c’est normal : je nourris les candidas. Tiens j’aurais des candidas ?
Le fait de manger encore du pain (pain bio fait artisanalement : j’alterne petit épeautre, riz-sarrasin, riz-châtaigne) et de la pâte à tartiner (chocolat-sucre complet-noisette, sans lait , de jean hervé) créerait de la fermentation, et les protéines animales que je mange (saumon, cabillaud,, moule tout vapeur, et poulet de temps a autre) donne de la putréfaction. Et les sucres complexes seraient dur a assimiler, et certains féculents avec gluten et d’autres comme le riz, collerait à la paroi intestinale…(vrai ??)
Bon, bon, je me dis, encore un truc à changer.
Le naturopathe, me préconise de diminuer les sucres complexes, même le riz (je prends du basmati bio complet ou demi complet) voire de les éliminer. Dur pour un sportif qui a des idées reçu… et d’ajouter des jus de légumes, 2 fois par jour pour alcaliniser et me donner de la pure énergie. Rajouter, un ou 2 fruits dedans aussi .
Pour garder mon poids, voire grossir un chouilla, elle me préconise tous les jour une poignée d’oléagineux différents en en cas, gouter. Bon, c’est vrai les jus ça fait du bien. J’investi dans l’extracteur donc.
N’ayant plus de « poudre Donnatini », je rajoute du psyllium, qui me fait un grand bien, ça aide à mouler mes selles, et comme je ne prends plus de poudre, ça compense ( c’est ce que je pense en tout cas) Je me dis que quand même après ces poudres, manger sainement ok, mais est-ce que ça va suffire pour me réparer complétement ? car si j’ai progressé de 40 % environs depuis le tout début, j’ai toujours l’impression de vieillir un peu trop rapidement, et surtout, je vois que tout n’est pas encore normal dans mes fonctions d’assimilation et d’élimination. Arrive l’été 2014.
Quatrième étape : Crudivorisme, la phyto, la physio et les questions…
Printemps 2014, à la base un copain me montre le film de Irène Grosjean. Ça me marque, voire me secoue.
Moi qui suit très branché nature en plus, je me dis, mince y’a un truc là.
Mais on me dit aussi d’un autre coté depuis longtemps, y compris le premier naturopathe rencontré, que je dois encore éviter les crudités car les parois de mes intestins sont déjà suffisamment irritées et que je dois y aller mollo. Des jus d’abord, après on verra. Certes les crudités sont remplis d’enzymes mais la digestion du cru demande plus d’énergie que le cuit. Je ne sais que penser alors.
Alors je fais quelques recherche, je me prends à espérer rencontrer un « naturopathe qui me donnera la piste ». Peut être Mme Grosjean ?
Finalement je n’irais pas la voir.
Je fais des recherches et trouve quelques sites dont ‘vivre cru’. Je vais trouver très intéressant les discours de ce site concernant la physiologie.
Je suis profane, donc, j’apprends pleins de choses.
J’en conclu que je suis en acidose, mais sans en être convaincu non plus, car tous les tests seraient biaisés. Comme je suis adepte des méthodes empiriques, comme dans mes sports, je me lance dans un test sur moi-même.Je pars donc cet été dans un progressif crudivorisme. Jamais à 100 % au final, mais a 80 % au moins durant un mois.
Résultat ? Au début donc, j’ai juste rajouté quelques jus de légumes tous les jours, et quelques fruits. Puis j’ai profité d’une période calme, en vacance pour aller un peu plus loin : quasi que du cru légumes et fruits, a 90% et quasi plus de protéines animales. Cela durant 3 semaines environs. Beaucoup de fruits aussi, cure de fruits de saisons, melons ,pastèques. Les féculents, pomme de terre, quinoa et riz (tout bio) a peine une fois tous les 2 jours au lieu de 2 fois par jour comme avant. Je teste aussi les patates douce cru.
Alors, sur les conseils de vivre cru, j’accompagne mon passage au cru de prise de plantes médicinales. En accord avec mon naturopathe.
Je prends donc tout plusieurs mélanges de plantes d’abc de la nature : surrénales/reins-rate/inflestins/intestins-estomac/balai intestinal/lymphe/foie/ortie piquante/pancréas.
Bon, au début : pendant 3-4 jours j’étais très faible, tête qui tourne… boutons qui sortent dans le dos, un peu mal aux reins, je mets ça sur le compte de la détox, des émonctoires qui sont sollicités. Je pense avoir eu aussi eu quelques crises d’hypo, genre en pleine ballade en montagne super faible d’un coup (ce qui ne m’arrivait jamais avant). J’étais même limite à repartir dans des crises de panique-angoisse comme un an auparavant, mais je gère en relativisant et mettant cela sur la détox.
Ensuite, ça va de mieux en mieux, et je retrouve une forme étonnante, je pète le feu, physiquement et mentalement. Je suis d’un naturel très optimiste, et rieur.
Mais la, je transmets cela a tout le monde. Je me sens fort et heureux, sur le bon chemin.
En parallèle, je commence a avoir quelques problème buccaux. Des aptes à répétition. Avant c’était très rare. Je me dis que cela vient de la détox, le corps choisi comme émonctoire la peau par la bouche ( ? ) C’est le chemin du retour des toxines. D’ailleurs je chope ensuite une carie (plus arrivé depuis 10ans ça) et des mal aux dents, une ancienne dent réparés se casse aussi.. Je me rends compte aujourd’hui donc 3 mois plus tard, que mes gencives se rétractent :des racines sont apparentes sur les dents du bas notamment, un peu douloureux tout ça…et étrange. Tiens j’ai oublié : j’ai 7 ou amalgames et/ou plombage dans ma bouche fait il y a fort longtemps.
Alors, fin aout, je retourne sur la balance, car on commence à me trouver maigre. Et pour mes sports, il me faut un minimum de musculature.
Et là, stupéfaction ! Un gars d’un peu plus de 60 kilo qui en perd 5, ça fait beaucoup !J’ai perdu 5 kilo en un mois en gros. Certes le peu de graisse que j’avais est parti, mais du muscle aussi.J’ai le poids de mes 14ans.
Bon, en plus avec ce coup des dents, je me pose des questions. Je connais les détracteurs du tout cru, et les approches ayurvédiques et chinoise en diététique qui sont différentes du tout cru et plus personnalisé. Donc un discours plus relativiste que ‘absolu’ syr une nourriture cru qui serait la seule acceptable.
Je me demande si je ne me suis pas trompé.
Quelques cures récente de jus de carottes et épinard vont me donner la langue blanches par moment. Ça a duré quelques jours, ça repartait, revenait : élimination ?? Ou problème ? Toujours la même question !
Manger bio, des aliments non transformés, suffisamment de légumes et fruits de saisons et frais, respecter les heures, les combinaisons alimentaire, être à l’écoute pour jeuner suffisamment la nuit, se reposer correctement, faire du sport « doux », bien respirer et avoir de belles relations sociales ne suffirait-il pas ?
Alors, le matin, vivre cru dit de ne pas manger avant 10-11h, car il y aurait chez les personnes (en bonne santé) un pic de cortisol qu’a certaines heures, mais pas le matin.
Donc le matin il faudrait rester au repos, respecter l’élimination, et surtout ne pas manger de graisses ou de protéines pour ne pas alourdir le foie et autres organe qui éliminent depuis le coucher jusqu’au matin.
Donc, je me dis depuis un mois que je dois reprendre du poids, arrêter de me nourrir de jus à outrance, peut être diminuer les crudités.
Mais garder quelques acquis voila en gros ma façon de me nourrir pour en même temps reprendre du poids, sachant que je fais 3 gros entrainement par semaine, style gymnastique-musculation et 2 entrainement plus soft et technique : au réveil, un verre d’ eau tiède de qualité (roucous, montcalm…) puis un jus vers 9h, ensuite 2-3 bananes, un peu de pain petit épeautre ou du lait d’amande. Le midi, protéine animale + crudités + féculent, ensuite au gouter : des fruits en blender ou a croquer, ou tartines pain + pate a tartiner de qualité. Ensuite après mon entrainement, je prends des ig rapides : 2-3 petites cuillère de miel et/ou fruits secs (bananes, dattes, raisins…) un verre de lait d’amande et le soir plus léger et j’essaie d’éviter les combinaison protéine + féculent. Donc c’est légumes vapeur + protéines animales ou glucides (en général pomme de terre, quinoa, patate douce ou riz…) Un peu d’infusion de romarin, et de mélisse.
Et bien avec tout ça….je n’arrive plus à prendre du poids… enfin j’ai repris un petit kilo à peine en 2 mois. – 5 kilo en 1 mois, + 1 kilo en 2 mois !
Et surtout, je commence à douter des plantes a long terme, donc j’ai arrêté, ou plutôt j’en prends un peu moins.
Je ne sais pas si je dois continuer a nettoyer le foie.
Je prends toujours du psyllium. Mais je commence à nouveau à être un fermentation et en putréfaction, vu mes gaz…
Je me dis aujourd’hui, que la piste Donnatini était bonne, j’aimerais bien retenter un test au gaz, et surtout être suivi par quelqu’un qui connaisse bien le protocole durant la mesure, et après, et les éventuelles tests complémentaires à faire, j’ai peut être une candidose ou autre parasites, et des problèmes d’assimilation du sucre par exemple.
J’ai conscience désormais du rôle des glandes surrénales, et du lien avec le système nerveux central (ou autonome, je confonds) et que finalement mes crises d’angoisse venaient de mon intestin qui fuit. Une émission nommée « l’intestin notre deuxième cerveau » me convainc de l’importance du « cortex intestinal » et la population bactérienne, le microbiote intestinal.
Après, savoir si je produis trop d’hormone ou pas assez… je ne sais pas. Il me semble qu’un épuisement des surrénales passent par une surproduction de cortisol au début, puis ensuite en épuisement chronique, on en produit plus assez. Mais pourquoi les surrénales en sont là ? Remonter la piste, intestinale, etc… une enquête.
J’aimerais donc rencontrer les bonnes personnes, peut être Donnatini en personne. Mais j’habite si loin…
J’ai vu dans un post qu’un thérapeute, un ostéopathe il me semble, ‘wlad’ avait une approche intéressante, mais il est sur Strasbourg… dommage, mais pourquoi pas le contacter.
Maintenant, avec nos futures échanges, je vais peut etre y arriver « seul » avec votre aide.
Je sais que nous sommes tous différents et qu'il n'y a pas un guide universel, cependant, il y a des grandes lignes, je crois. Ensuite, oui, le but est d'apprendre à se connaitre, et à être attentif, et devenir son propre guide et élève...
Je me permets quelques questions au cas ou vous auriez une piste.
Si quelqu'un s'y connait dans les protocoles, pensez vous dois racheter ds poudres laetiporus du Docteur Donnatini, voci mes résultats, et comme partir a Reims, je ne pourrais pas avant quelques semaines...
Il y a un an :
Fermentation au méthane : 1,5 à jeun puis 3
Flore gastrique (méthyl acétate) : 19 à jeun puis 10,4 (diminution, ce qui arrive...)
Hydrogène : il ne me l'a pas ecrit...mais j'étais au max d'après lui, car la machine avait sonné.
Il y a 8 mois : je suis embêté, le naturopathe ne me l'a pas donné, et je ne pense pas qu'il ai gardé les infos... il m'a dit sur le coup que rien n'avait changé quasiment.
Conclusion, je n'étais pas attentif, et les 2 thérapeutes m'ont donné des infos soit au 2/3 soit rien. Mais si j'ai bien interprété, je suis touché par 3 'fermentions' : Méthane, Flore gastrique, et Hydrogène.
Je sais que au début le premier m'a donné laetiporus CAGT et OC (Synergie origan-cannelle-clou girofle et tea tree-gingembre-citron)
Ensuite je lui ai dit que l'hydrogène étant haut, il m'a dit de rajouter la poudre thym + menthe et il m'a proposé Ganoderma, avec le champignon Coriolus versicolor.
Cependant, dans les 2 cas ils m’ont conseillais ces mélanges en poudre, et ils ont vu juste puisque cela semble agir surmoi dans le bons sens, mais je n’ai pas d’indication a moyen terme.
Je lisais sur un post que boire des jus de légumes, alcalinise le milieu, mais comme cela passe direct dans les intestins (sans les fibres) ceux ci on ensuite besoin de produire des acide pour la digestion ?
Pensez-vous que je ne réussis plus à reprendre le poids perdu , à cause d’une mauvaise assimilation, des sucres en particulier ?
Que pensez de cet équilibre acido-basique finalement ? Manger trop de fruit chez moi, je me demande si j’arrive bien à transformer les acides des fruits … et si je n’ai pas un problème d’assimilation du fructose
Et connaissez-vous un thérapeute, un médecin, dans le sud qui soit dans cette démarche santé ?
Merci d’avoir pris le temps de me lire, j’attends vos retours et conseils, et ne manquerait pas de vous donner d’éventuels résultats à venir ou réflexions.
Je pense qu'après avoir lu l'ebook et consulté quelques posts, j'en saurais beaucoup plus !
A bientôt !
Amicalement,
![smile [img]images/icones/icon10.gif[/img]](./images/smilies/icon10.gif)
Goldie