TOXICOLOGIE EN TOC.

Quand la santé revient enfin, il faut le dire et même le crier!

CAP 09 - Déclarations d'obscurantisme

Messagede Sophocle » Mer 4 Mar 2020 10:13

(Rappel : présentation du topic à la page 14)

En liaison directe avec l'article précédent : Voici pourquoi les analyses tissulaires ne sont jamais produites.

Un article à propos des analyses post-chélation a été publié par le centre anti-poison de Marseille (voir encadré).
Selon cet article, les analyses post-chélation relèvent du charlatanisme ("pseudo-science", "escroquerie", "bande organisée",...).

L'interdiction du diagnostique des métaux-lourds par les centres antipoison est un viol en réunion du serment d'Hippocrate.



      :hurle: Cachez donc ces métaux-lourds qui sortent uniquement avec l'antidote !


Tant de zèle m'émeut. :ouin:

Cet article est autant étonnant qu'imprudent.
Quand des institutions prétendument scientifiques et médicales déclarent que la connaissance est un abus, ils contribuent à leur propre condamnation.
Avec cet article, les CAP ont fournit les armes pour les abattre. [img]kator/smiley30.gif[/img]
Cet article est un appel à une démarche malveillante : il appelle à s'interdire la connaissance de ce qui sort avec la chélation. C'est pas beau. :no:


Selon le Collège de France, les métaux-lourds sont un co-facteur des maladies dégénératives.
De plus, on retrouve des métaux-lourds chez les personnes Alzheimer.
Or, les personnes Alzheimer ne sont pas dépistée par les centres anti-poison.
Avec cet article, en dépit qu'ils ont été informés que l'intoxication peut avoir lieu sans que le sang soit positifs, les centres antipoison insistent pour interdire une exploration au-delà des tests officiels.
Une telle démarche est manifestement très malveillante.

De plus, dans la conférence évoquée au post sur l'Alzheimer, il apparait que, en dépit qu'elles ne soit pas dépistées de leur vivant, les personnes victimes d'Alzheimer ont un cerveau lourdement chargé en métaux-lourds à l'autopsie.
Par voie de conséquence, les médecins annoncent aux français gavés de métaux-lourds qu'ils sont totalement dépourvus de métaux-lourds.

Comme des terroristes qui scandent leurs forfaits, ces prétendus scientifiques du centre anti-poison (et auteurs de cet article) scandent une interdiction d'examiner les métaux qui sortent post-chélation.
Cela empêche un patient de connaitre son état d'intoxication tissulaire comme co-facteur de sa dégénérescence.
Par une négligence organisée et avec un million d'Alzheimer, ces "scientifiques" ont donc mis en place un génocide médical.

Sans la nommer, le Dc Marie-Christine Boutrais (interniste hospitalier- voir post sur la veille média), qui avait ouvert un service de chélation à l'hôpital d'Orléans, a fait l'objet de menaces publiques par les centres antipoison. Son service a fermé quelques semaines après la diffusion d'un reportage. Le diagnostique officiel occidental est une simple prise de sang. Par exemple, les médecins du travail annoncent à des ouvriers qui ont fait 30 ans dans le recyclage de batteries au plomb qu'il ne sont pas plombés parce que le test sanguin est négatif (voir post sur l'incendie de ND-Paris). Or, ces ouvriers tombent les uns après les autres à partir de 50 ans dans d'affreuses souffrances sans que les raisons soient connues. Aujourd'hui, les médecins français annoncent, à tord, à des millions de français (Alzheimer, arthrose, autisme, sep, ehs, cancers, Parkinson ...) qu'ils ne sont absolument pas intoxiqués aux métaux-lourds.

Par leurs menaces, les centres anti-poison font le nécessaire pour le secret des ml tissulaires ne soient pas divulgués. Il y a aura toujours un médecin qui découvrira les ml tissulaires et qui, de bonne foi, alertera. Les centres antipoison veilleront a passer le rouleau compresseur. La volonté de ces centres est que les français doivent croire que si le sang était négatif, les tissus sont négatifs.


En 2015, sur sa plateforme scientifique, le Centre Anti-Poison a écrit:M. Glaizal, R. Torrents, A. Descamps, L. de Haro, N. Simon,
Dosages urinaires post-chélation des métaux lourds et pseudoscience : il faut agir !,
Toxicologie Analytique et Clinique, Volume 27, Issue 2, Supplement, 2015, Pages S29-S30, ISSN 2352-0078,
https://doi.org/10.1016/j.toxac.2015.03.035.
(http://www.sciencedirect.com/science/ar ... 7815000645)
Abstract: Contexte
    Les termes « métaux lourds » et « détoxication » exercent une fascination dépassant de loin la toxicologie médicale. Les centres antipoison (CAP) ont toujours été sollicités sur divers traitements ou diagnostics « alternatifs », mais un type d’appels émerge récemment, concernant des analyses hors consensus réalisées à l’étranger mais prescrites et justifiant la prise en charge par des praticiens français d’« intoxications aux métaux lourds ». Nous rapportons 3 cas récents pour interpeller autorités sanitaires, médicales, et scientifiques.
Description des cas
    En 4 mois (novembre 2014 à février 2015), le CAP de Marseille a été interrogé par trois patients (hommes de 54 et 56ans, femme de 55ans) pour avis sur les résultats inquiétants de dosages métalliques urinaires post-chélation (respectivement par DMSA oral, DMPS iv et ZnDTA+DMPS iv). Réalisées en Allemagne par le laboratoire M, ces recherches ont été prescrites par des généralistes naturopathes consultés depuis 4 à 18 mois, après des années d’errance thérapeutique dans la prise en charge d’un état chronique aspécifique (asthénie, douleurs et tensions musculaires, insomnie, anxiété, etc.) et de plus en plus handicapant. L’« analyse minérale » comporte le dosage en μg/g de créatinine de 33 éléments, sans indication de méthode, comparé à des valeurs « de base » (gouvernementales) et « d’orientation » (issues de l’expérience du laboratoire) et 2 pages de commentaires mal traduits. Des notions de « littérature », « accréditation » (ISO 17025) ou « contrôle qualité » sont mises en avant. Comme le matériel de prélèvement, les chélateurs ont été obtenus via Internet, et pour certains injectés au cabinet. Si 2 patients se sont montrés ouverts à la remise en cause de ces résultats et ont accepté de voir un interniste (jamais consulté jusqu’ici), la 3e, persuadée du « génie » de son thérapeute, a refusé toute critique et autre avis médical.
Discussion
    La similitude des profils de ces patients comme celui de leurs médecins est frappante. Elle souligne l’existence d’une population de malades mal pris en charge autant que le ciblage mercantile dont ils sont l’objet. En France, pays marqué par des scandales sanitaires décrédibilisant toute parole officielle, un des prétextes à ces « dosages » est la controverse sur le mercure des amalgames dentaires et ses effets différés chez l’adulte. Aux États Unis, c’est la peur pour l’enfant qui est exploitée, avec la mise en avant d’un lien entre métaux lourds et troubles autistiques, pour justifier d’un recours massif à la chélation [1]. Face à ce phénomène, dès 2010 les autorités sanitaires et sociétés savantes américaines se sont clairement positionnées [1], [2] et ont alerté professionnels et grand public sur des pratiques officiellement qualifiées de frauduleuses. À ce jour, malgré les enjeux scientifiques, éthiques et légaux, rien en France ne vient contrer les pseudo-scientifiques relayés sur Internet et dans les médias, où un documentaire récent montrait un interniste hospitalier baser à son tour sa consultation sur les résultats du laboratoire M. Le 25/02/2015, le site institutionnel de son centre hospitalier régional se targuait même d’être « reconnu par le Conseil international de toxicologie clinique de métaux lourds », organe pro-chélation auto-proclamé accréditeur.
Conclusion
    Le besoin d’approfondir les connaissances, notamment sur les expositions chroniques, et surtout d’améliorer l’écoute et la prise en charge de certains patients, ne doivent pas être niés. Mais d’abord dans l’intérêt des malades, et aussi au nom de leurs disciplines dévoyées, les toxicologues, analystes et cliniciens, doivent réagir et dénoncer des pratiques que certains qualifieraient d’abus de faiblesse et d’escroquerie en bande organisée.
Source : Dosages urinaires post-chélation des métaux lourds et pseudoscience : il faut agir ! Copie PDF
WEBARCHIVE : https://web.archive.org/web/20201113210 ... 7815000645
CentreAntipoison.pdf
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Commentaires phrase à phrase. - édit 10 mai 2020
    À y regarder très de près, les intentions énoncées du centre anti-poison recèlent d'une très grande mal-veillance dont la concomitance avec la situation sanitaire de millions de français est préoccupante :
    Le nombre de personnes atteintes d'Alzheimer en France s'élèverait à un million.
    De plus, selon le Collège de France, ces personnes porteraient un excès de métaux-lourds.
    Or, les centres anti-poison ont déployé une politique qui menace tout médecin (yc hospitalier) suivie de faits qui établit un diagnostique post-traitement des métaux-lourds.
    Le service fermé suite à ces menaces est celui du Docteur Marie-Christine Boutrais du CHU d'Orléans.
    Ce service a fait l'objet d'un documentaire "Alerte au mercure " diffusé sur France 2 le 1er février 2015.
    Curieusement, le CHU de Rouen a fermé ce service quelques semaines/mois après ce reportage.
    En dépit que les autopsies des cerveaux Alzheimer par le CNRS constatent un excès significatif de métaux-lourds, les centres antipoison français font donc le nécessaire pour qu'aucun français ne dispose d'un diagnostique fiable de son état tissulaire.
    Ainsi, en dépit que la certitude de faux-négatif soit connue, les hôpitaux français affirment en toute connaissance de cause aux millions de français intoxiqués qu'ils ne sont absolument pas intoxiqués.
    Cet article indique que l'établissement d'un diagnostique fiable nécessite un accord.
    Faute d'accord, le diagnostique post-chélation serait donc prétendument frappé de pseudo-science.
    Je crains que telles déclarations soient très fortement susceptibles d'être frappées de trahison à retardement par la justice.
    Comme le Tartuffe de Molière, c'est en pleine lumière qu'on couve la trahison.
    Mais, la trahison de toute une population est nécessairement sursitaire.
    Fort de leur trahison durable en pleine lumière, les centres anti-poison ont donc cru qu'il pouvaient publier leur politique mal-veillante de façon à faire des menaces sur des médecins qui font correctement leur travail.
    Les centres anti-poison vont tomber par excès de zèle.
    La morale de cette histoire est qu'il faut ne pas se soucier des personnes qui vous contre-disent.
    Si les centres anti-poisons n'avaient pas publié cet article, on aurait jamais pu leur reprocher quoi que ce soit...

LIVRE BLANC SUR LES ANALYSES
    Des analyses complètes avec un éventail large d'éléments suspects à pas cher devraient être proposées en laboratoire.
  • Pour les toxines inorganiques, il suffit de boire un verre de chélateur et de prélever un échantillon d'urine pour analyses.
  • Pour les toxines organiques, il me semble qu'il faudrait boire 1 verre de ghee par jour pendant trois jours et de faire des analyses de selles au 3è jour.


AUTRES SUJETS

Edit : Le soufre et les populations traditionnelles.
    Dans cette interview, Jade Allègre, médecin naturopathe, annonce que les populations traditionnelles consomment du soufre au quotidien : Jade Allègre - Vivre et Survivre (à 20:40).
    Cela suggère que l'intoxication chronique aux métaux-lourds est une histoire vieille comme le monde dont le traitement culinaire est vieux comme le monde.
    Or, les chélateurs modernes sont quasiment tous composés de soufre (sauf l'Edta).
    En dépit qu'elle soit répandue, la chélation est donc une tradition de longévité qu'un occidental ignore.

Nouvelle synthèse à la page 14 :

EHS - édit
    Complément sur l'Ehs au post sur : Toxicité des M.L. selon le Collège de France - 1/2 - sources
    Voir passage sur les Notes (en vert) du cours du 4/12/2013 [img]kator/smiley252.gif[/img] : "Magnéto-sensibilité - CHAMP MAGNETIQUE ALTERNATIF"
    Sans le nommer, le phénomène d'Ehs est décrit en détails (causes et conséquences) dans la vidéo.
    Pour les électro-sensibles, ce passage est absolument à voir.
    Illustration de la diapositive exposée sur le phénomène magnéto-sensible :
    Image


Traitement naturopathique du syndrome respiratoire aigüe.
    En cette période d'épidémie virale, j'ai fait un petit exercice pour tenter de réduire partiellement le symptôme qui cible les poumons.
    Je préfère faire une simulatition afin d’être opérationnel en cas de besoin.
    Cet exercice n'est qu'un petit accompagnement qui participe à la régulation du mucus excessif dans les poumons, il ne se veut absolument pas suffisant.
    Cet exercice consiste en une séance d'inhalation d'une infusion dans laquelle je mets quelques goutes d'he anti-virales et quelques plantes anti-inflammatoires.
    Pendant l'inhalation, je fais de l'hyper-respiration : ouverture large des poumons.
    Les huiles essentielles sont certes maltraitées par la chaleur, mais c'est mieux que rien.
    L'he anti-virale participe à la destruction des virus en même temps que l'anti-inflammatoire fait son effet.
    La vapeur va fluidifier le liquide, qui cause la congestion, de façon à faciliter sa mobilité.
    Sur le dos et autour du thorax, j'ai mis une serviette mouillée et froide.
    Une petite hyper-ventilation s'amorce, puis diminue.
    Le froid active l'hyper-vascularisation autour des poumons de façon à évacuer le mucus des alvéoles.
    Ensuite : petite douche alternée, puis bouillotte sur le foie pour recycler le mucus.
    Cet exercice serait à répéter tant que du mucus demeure.
    ...
    Édit : voici une proposition de méthode et de synergie proposée par un naturopathe : Prévention coronavirus grâce aux inhalations.
    Cependant, afin de bien fluidifier le mucus, j'insisterai sur l'inhalation de la vapeur jusqu'à la limite du confort (ne pas se brûler...)
    Autre exemple de discours : Eucalyptus (Eucalyptus globulus) : bronchites, cystites, plaies infectées.

Prévention par les huiles essentielles
  • Les he électrocutent les virus et autres micro-organismes, elles sont donc efficaces pour se protéger durablement en situation d'exposition.
    Il est possible de traiter les voies nasales avec des sprays vendus en pharmacie (menthe poivrée, ou citron, ou autre ... et solution hypertonique).
    La molécule est chargée négativement, elle va donc faire éclater les membranes (très sensibles) des micro-organismes.
    Les cellules humaines sont bien plus grandes, elles ne succombent donc pas mais elles sont égratignées, il faudra donc veiller à la préservation.
    Avec les he, les muqueuses seront protégées pendant plusieurs heures (6 heures environ).
    Un petit coup de spray dans la bouche désinfectera les futurs postillons...
    Un petit coup sur les cheveux peut aider (attention aux yeux, en cas de brulure sur les yeux : verser de l'huile végétale sur les yeux)
    Pour traiter les mains et le visage (éviter les he dermo-caustiques, ex : menthe poivrée), il est aussi possible de mettre des he dans de la crème hydratante (et mixer avant application).
    La menthe poivrée colore (définitivement ?) la peau si elle était exposée au soleil pendant les 12 heures après application (ou appliquer le soir).
  • Pour désinfecter l'intérieur du corps : placer 10% d'he dans de l'huile végétale.
    Masser l'intégralité du corps avec 50 ml.
    Ou préparer une solution h/e avec la lécithine de soja à boire, voir précédents posts MOC .
    Puis petit sauna, et douche alternée...

He : Immunisation par temporisation ?
    Il est possible que l'application chronique des he en période d'exposition permette de lisser l'infection de façon à ce que le système immunitaire puisse s'entrainer face à de nouveaux virus tout en abaissant l'ictus.
    Les he n'éliminent pas toutes occurrences de virus mais elles en éliminent la majorité.
    Cela devrait donc permettre au système immunitaire de construire une mémoire de réponse sans avoir à faire face à une situation aigüe. [img]kator/smiley16.gif[/img]
    Je suis certes un doux rêveur mais ce se sont là des hypothèses à ne pas négliger, que je consigne pour d'éventuelles études scientifiques...

Ablaltion d'organe
    Je me demande combien d'organes font l'objet d'ablations (utérus, Vb, intestins,...) faute de diagnostique de ml ou faute d'information sur les techniques de naturopathie (cure foie).
    Les médecins me font penser au dragueur de supermarché :  Il est sympa et attirant. Mais méfiez-vous : c'est un truand...
Dernière édition par Sophocle le Sam 14 Nov 2020 15:46, édité 7 fois.
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Détox de l'intra et détox de la peau

Messagede Sophocle » Ven 27 Mar 2020 12:30


Reprise des déshydratations
    Bien que l'Ala soit dit "lipophile", il chélate certes + en profondeur que les hydrophiles, mais il ne chélate pas jusqu'au fin fond du cerveau.
    Pour l'instant, seule la déshydratation est le seul moyen que je dispose pour mobiliser les métaux-lourds confinés au fin fond du cerveau.
    Même si je ne maitrise pas encore les effets secondaires des déshydratations sur de la peau et sur l'épaule, je recommence à pratiquer ces déshydratations.
    Je les pratique en douceur :
    Grosso-modo, je fais trois jours consécutifs sans boire d'eau avec la mise en place d'un gradient d'intensité.
    Je commence avec 1,5 jours de déshydratations pendant lesquels je prends des repas secs (noix, viandes, mais pas de légumes gorgés d'eau, ...)
    Et je finis avec un jeûne sec de 1,5 jours ou +.
    Je rappelle que le signe de déshydration effective est la forte baisse du volume d'urines.
    Cette baisse apparait à partir de 36 heures environ après le début du jeûne sec.
    Autre signe : la gorge devrait également être moins hydratée.
    Il conviendra de rompre le jeûne sec avec une chelation afin de ramasser les ml avant qu’ils ne s’enfouissent dans l’intra.

Ordonnancement général : Chélations, puis ensuite : déshydratations
    Afin de réduire les métaux-lourds avant la mobilisation générale par la déshydratation, il est préférable d'éliminer tous les métaux que les chélateurs peuvent atteindre.
    Ainsi, les effets secondaires par déshydratation sont réduits au strict minimum incompressible.

Détox de la peau
    Suite aux légers effets de l'Udvartana à l'Ala, je suis revenu aux crèmes.
    Pour traiter la peau, j'ai repris la fabrication des crèmes dans lesquelles j'ajoute de l'Ala et de l'Edta.
    Il y a quelques mois, j'ai déjà fait de longues expériences en vain avec des crèmes e/h et dans lesquelles j'ajoutais majoritairement de l'Edta (mais pas d'Ala).
    J'ai également testé avec de l'Ala dans l'huile de massage, mais en vain.
    Mais avec une crème h/e (émulsifiant : cœur de crème d'Aromazone - ajout d'Ala à la fin, à froid), j'ai quelques légers soulagements au niveau des picotements, mais c'est très poussif.
    Même si les bénéfices ne sont pas éclatants, c'est mieux que rien.
    Il faut donc que je multiplie les applications pour obtenir un résultat sensible.
    Comme j'alterne les jeûnes secs et les crèmes, l'application de la crème ne semble pas être efficace car les jeûnes secs réapprovisionnent la peau en picotements que la crème a soulagé.
    Même si des études le signalaient, j'ai également testé avec des crèmes toutes prêtes du commerce auxquelles j'ajoute de l'Ala, mais elles sont bourrées de conservateurs qui réduisent les bénéfices du chélateur.
    De plus, ces crèmes sont déjà assez épaisses, cela n'aide pas à la pénétration de l'Ala.
    Une bonne crème bien fraiche et très légère faite à la maison (et donc sans perturbateurs du principe actif) optimise le passage (et donc l'efficacité) du principe actif.
    C'est certes très fastidieux à fabriquer, mais je n'ai pas trouvé mieux pour l'instant.
    Pour le visage et peaux fragiles/sensibles, il faut doser très légèrement l'Ala car sinon, ça picote un peu fortement pendant quelque minutes (puis ça passe) ( - et éviter les peaux abimées).
    Pour le visage, 2 à 3 gélules d'Ala (soit 0,4 à 0,6 gramme de PA) dans un pot de 100ml.
    Pour la peau ordinaire, 2 grammes de PA d'ALA et 2 grammes de PA d'Edta pour un pot de 250ml.
    Un pot de 250 ml permet 6 à 7 applications intégrales.

Soufre pur
    Dans le pot de crème, j'ajoute également du soufre pur.
    J'ai un bloc de soufre (50g), je le râpe avec la râpe à main de cuisine pour en extraire 1 gramme que j'ajoute à la crème de la peau ordinaire (mais pas à celle du visage).
    La poudre est extra-fine.
    Pour obtenir 1 gramme, je pèse le bloc avec la balance de précision avant/après râpage.
    J'ignore si ça contribue efficacement à la chélation, mais, en tout cas, la crème fait que le soufre imbibe la peau.
      Édit, il existe des rouleau de soufre pour masser sur la peau, cela soulage les muscles.
      Le soufre est négatif, il contrecarre donc les ml qui sont positifs et qui activent l'inflammation parce qu'ils sont fortement positifs.
      Mes soulagements sont réels mais ils sont provisoires.
      Mais la question est, seront-ils durable à force de multiplication des applications ?
      Il faut tester pour voir.
      Mais le soufre a une véritable action rapide contre les ml, cela est indéniable.
      Il faut donc l'apprivoiser pour que son action devienne durable.


Protocole complet de traitement de la peau. ... - abandonné
  1. Udvartana à l'Ala (0.6 à 1g PA).
  2. Application de la crème soufrée (1g de soufre râpé finement) et d'Ala (0,6g à 1g PA)
  3. Attendre 20 minutes
  4. Douche (pour enlever le surplus de crème sur la surface de la peau)
  5. Massage à l'huile végétale d'olive (50ml) pour ouvrir les pores (et donc transpirer) mais pour ne pas pénétrer au-delà de la peau.
    Hv en variante : hv de coco : agréable, confortable, grosse transpiration rapide, soyeuse, homogène, satinée. La coco, c'est du lourd.
    (Extra : j'ajoute 10% d'he pour traiter les mo et j'ajoute également de l'Ala (0,6g à 1g PA)
      Livèche (Édit - 31 mars 2020). J'y ajoute 7 goutes d'he de Livèche (à mes risques et périls - voir contre-indications ci-après).
      Le Dr Willem l'avait recommandée contre les ml, et cela est également rapporté dans la littérature.
      L'AROMATHERAPIE EXACTEMENT a écrit:Son action est anti-toxique (contrepoison) ++++.
      Indication : intoxication chimique (ml?), contre-indication : usage externe ou prolongé .
      Voir guide au post : Picotements, ... Lyme, Candida, et autres micro-organismes - p394.

      (Une seule autre he est un anti-empoisonnement : Solidage Canada - Verge d'or., mais elle n'est que +)
      Mes premiers tests à l'he de Livèche font ressortir un soulagement significatif ( et provisoire pour le moment, il est trop tôt pour dire si c'est durable) de la peau
  6. Série de 3 petits saunas secs pas trop chaud 45°max pour ne pas dénaturer l'Ala (sauna 15 min, douche, repos 15 m, sauna 15 min, ...)
    La transpiration est abondante au 3ème passage (= élimination des toxines).

... suite : Voir message un peu plus bas (du 3 avril).
Dernière édition par Sophocle le Ven 3 Avr 2020 12:43, édité 9 fois.
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Test de provocation récent et Synthèse des analyses

Messagede Sophocle » Sam 28 Mar 2020 15:05

(la suite de ce post à à ce post-ci Test de provocation récent et Synthèse des analyses AVRIL 22)

MAI 2021
Image
    MTM MAI 2021
    ANALYSES POST-CHELATION
    DMSA EDTA

CONTEXTE
    Analyse pendant un incident intestinal post-ventouses sèches.
    Ces analyses donne donc une indication de la présence corporelle de métaux.
    La chélation a certes diminué les sensations de moitié, mais elle ne l’a pas résolu.
    Les ventouses mobilisent une sorte de gélatine peu pénétrable dans laquelle les chélateurs ne peuvent pas explorer. Cependant, des métaux, libérés par les ventouses, semblent accessibles aux chélateurs.
    Cette analyse a été réalisée post-chélation et post-ventouses (= double mobilisation forcée)

METAUX DISPARUS
  1. Chrome (Carence)
  2. Aluminium
  3. Antimoine
  4. Argent
  5. Béryllium
  6. Bismuth
  7. Étain
  8. Platine

METAUX EN CARENCE
  1. Chrome (0)
  2. Molybdène (norme/2)
  3. Calcium (norme/2)

METAUX EN EXCES (en nombre de x la norme)
    Mercure 4,5x
    Plomb 1,8x
    Manganèse 1,2x

PAR RAPPORT A LA PRECEDENTE ANALYSE
    Taux relatif ( en nombre de x les résultats de l’analyse précédente) :
  1. Mercure : x4 (Rebond)
  2. Plomb : x4 (Rebond)
  3. Cuivre x2 (petit rebond mais dans la norme)
  4. Arsenic : /2 (passe enfin sous la norme)
  5. Nickel : /3

Métaux disparus par rapport aux analyses précédentes :
  1. Béryllium
  2. Étain
  3. Platine
    Et 3 de + qui s’ajoutent aux 5 métaux disparus de la précédente analyse.
    Je suis en train de devenir l’homme anti-métaux, mais j'ai encore des symptômes.
    (Aucun métal n’est réapparu par rapport à la précédente analyse.)

1ER COMMENTAIRE
    Avec cette analyse, comment peut-on croire que je suis en excès de métaux:
    la réponse est simple : à ce jour, aucune analyse ne permet de donner un charge corporelle.
    même si le relevé annonçait une absence de détection, il est impossible d’affirmer scientifiquement une absence de métal.
    Cependant, comme ces analyses sont réalisés post-ventouses au cours d’une accumulation dans les intestins, ces analyses donnent un tendance de ce qui se cache dans les matériaux visqueux du corps.
    De plus, ces analyses ont été faites pendant un incident intestinal.
    Cela indique qu’il suffit de peu de mercure pour bloquer toute la machine.

PREUVE :
    Avec ces analyses, après un an de ventouses à haute intensité, j’ai la preuve que les ventouses font encore sortir du plomb et du mercure.
    Dans la précédente analyse, ces 2 métaux étaient passés dans la zone verte.
    Là, leur présence est x4 et elle est repassée au dessus de la norme.

CUIVRE :
    En dépit que les chélateurs aient une grande affinité avec lui, le cuivre demeure dans la fourchette basse.
    Cependant le calcium est en carence, je vais donc introduire de la salade verte dans mon alimentation.

ALUMINUM
    En dépit des ventouses, l’aluminium, qui sortait à des taux inquiétant de 2011 à 2018, n’apparait plus.
    Je considère donc que l’aluminium à définitivement été éliminé.
    Idem pour tous les autres métaux non essentiels qui n’apparaissent pas (Antimoine, Argent, Béryllium, Bismuth, Étain, Platine).

ALIMENTATION
    1 Comme le plomb et le mercure réapparaissent, cela indique que l’alimentation n’est pas la cause de la présence de ce mercure.
    2 Avec tout ce que je me suis envoyé comme chélateurs, le peu de carences indique que mon alimentation est pourvoyeuses de minéraux essentiels.

MERCURE, PLOMB et ARSENIC
    La réapparition du mercure et du plomb les place comme mon problème majeur.
    Même s’il est dans la norme, l’arsenic continu de sortir.
    Il serait intéressant que que je fasse une analyse préchélation pour voir s’il ne parvenait pas de l’alimentation.



MARS 2020
Débriefing
    Comme j’applique le protocole ci-dessus le plus fréquemment possible, je tombe chroniquement en déminéralisation.
    Une fatigue assez lourde me saisi.
    Ces crèmes me placent régulièrement en déminéralisation car je les applique 1xj tant que possible.
    Je dois donc faire des fenêtres thérapeutiques pour me recharger en minéraux.
    Cependant, en dépit que je stagne sur le plan des symptômes malgré mes applications, c’est justement le moment de faire une photo des minéraux.

Analyses récentes de chez MTM
  • Je viens de recevoir des analyses de chez Microtrace (MTM) : les valeurs sont éloquentes.
    La très grande majorité des métaux (sauf 2 métaux) est dans la référence : les chélassos ont donc récuré les métaux.
    Trois (mercure, cuivre, plomb) des quatre métaux chroniques ont disparu des radars.
    Et, le quatrième métal chronique (arsenic) est en passe de disparaître.
    La question de métaux sous le radar s’ouvre donc.
    Par rapport aux précédentes analyses, huit métaux ont retrouvé les intervalles de dosage de référence.
    De plus, j'ai pratiqué 2-3 petites déshydratations avant cette analyse, ces valeurs devraient donc donner une indication de l'intra de façon indirecte :
    cad, qu'en dépit que cette analyse reflète l'extra, l'intra devrait être également fortement décontaminé.
    Cela demeure encore à consolider par la clinique.
    Cependant, il demeure quelques symptômes, peau, épaule, concentration.
    Même si ces symptômes sont légers, ils sont trop intenses par rapport à la valeur des analyses.
    En dépit de ce résultat, j’acte donc que la détox des métaux n’est pas pour autant définitivement résolue.
    Je dois donc désormais m’orienter vers le forçage de la mobilisation des métaux vers les tissus auxquels accèdent les chélateurs.
  • Deux petits métaux sont encore légèrement au-dessus des références :
    1. nickel x2
    2. arsenic x1.2
    La présence de ces 2 métaux montre que, lors de ces analyses, les chélateurs ont fait effet.
    Cela consolide que les métaux qui sont dans la fourchette de référence ne sont absolument plus en excès dans les tissus dans lesquels les chélateurs passent.
    De plus, pour les prochaines analyses en France, grâce à MTM, je sais donc quels métaux sélectionner à l'avenir : arsenic & nickel.

    Par rapport à la précédente analyse de chez MTM (déc 2018), cinq métaux ont disparu sans laisser de trace : [img]kator/clap.gif[/img]
      1. aluminium
      2. antimoine
      3. argent
      4. bismuth
      5. chrome

    Mars 2020 :
    Image
  • Je suis également rassuré par les rares carences (chrome) car je me suis envoyé un bon paquet de chélateurs.
    De plus, le cuivre est tombé dans la fourchette basse de la référence, cela me plaît car, par précaution, il n'est pas nécessaire d'en avoir plus que juste nécessaire au risque d'un Alzheimer.
    Dans les années à venir, je ferai un petit contrôle pour surveiller un éventuel rebond.
    Pour traiter le chrome, je vais réintroduire du poivre noir dans mon alimentation.
    Même si les valeurs de l'arsenic et de nickel sont proches de la référence, je ne serai pas satisfait tant que leurs valeurs à venir ne sont pas à zéro.
    Des couronnes demeurent en bouche, le nickel parvient peut-être de ces couronnes.
    Je vais reprendre une série de bains de bouche au sel, et je vais adopter une pratique périodique de ces bains de bouche au sel afin d'écoper en continu.
    Quant à l'arsenic, les sols français (et donc les légumes) sont contaminés par les mines d'extraction et par les pesticides, il est donc possible que ces métaux parviennent de l'alimentation.
    Mais j'ai fait un jeûne juste avant ces analyses, ces métaux sont éventuellement en excès dans les tissus profonds.
    Cad que l'arsenic parviendrait certes de l'alimentation mais il se fixerait entre-temps dans les tissus.
    Comme j'ai encore quelques symptômes, je poursuis donc mes traitements.
  • Nota : En dépit que je l'avais noté sur mon bon de commande, l'information clinique ne rapporte pas que j'ai également pris 1 gramme de l'Ala en complément du Dmsa et de l'Edta.
  • Nota : ces analyses sont un test de provocation à partir d'une chélation orale, elles ont été réalisées sans aide médicale.

  • Graphique
    Pour mettre en évidence la cinétique des chélassos, voici un graphique qui récapitule les analyses des métaux en abondance au fil des années au regard des méthodes de traitements (iv, jeûne sec, chélasso) :
    Image
    Ce graphique illustre la rapidité avec laquelle les chélassos ont parviennu à éliminer les métaux en abondance.
    Nota :
    • Seuls les métaux abondamment en excès ont été représentés : cuivre, plomb, mercure, arsenic.
    • Toutes les références sont à 1 fois la référence de Microtrace, c'est-à-dire, par ex, que le chiffre 20 indique une valeur 20 fois supérieure à la référence.
    • Ces valeurs sont des flux et non des stocks.
    • La périodicité des iv sous pratique médicale a été mensuelle.
    • Les chélateurs n'explorent pas l'entièreté du corps, des valeurs basses indiquent qu'il n'y a avait pas de métaux par là où le chélateur est passé, des métaux peuvent donc demeurer tapis.

  • Tableau
    Voici le tableau des valeurs du graphique ci-dessus.
    Image
    Nota :
    • Toutes ces valeurs (y compris françaises) sont rapportées aux références de Mtm. Cela permet une continuité de lecture des valeurs. D’un métal à l’autre, les références entre Mtm et entre le labo français fluctuent tant que l’apparence de discontinuité serait très étonnante.
      Exemple : Pour le plomb, les références sont celles de Microtrace (5mcg/gcréa) car les références françaises sont très hautes (150 mcg/gcréa) du fait qu'elles sont prévues pour des intoxications aigües.
      Autre exemple : Pour le mercure, la référence de MTM à 1 mcg/gcréa, mais la référence française est à 5 mcg/gcréa.
      Pour obtenir une parfaite continuité des comparaisons, la valeur de mercure en mcg/gcréa de décembre 2019 est donc indiquée à 1,5 fois la référence de Microtrace.
      Si elle était comparée aux références françaises, cette valeur serait à 0,3 fois la valeur de référence française, la continuité avec les valeurs antérieures serait donc perdue.
    • En dépit des alternances de laboratoires, les continuités des valeurs se maintiennent d'une analyse à l'autre dans une fourchette d'évolution au gradient vraissemblable.
      Cela laisse supposer une fiabilité dans les techniques d'analyses et dans les changements de chélateurs.
    • Les analyses faites en France sont mitées car les métaux s'analysent à l'unité, et que les métaux non ordinaires (mercure, arsenic, ...) sont très chers (50e pièce).
      S'il fallait les analyser en France, les trente métaux reviendraient à plus de 1000 euros.
    • Malheureusement, je n'avais pas pensé à faire des analyses de mercure ou d'arsenic en France dès les premières chélassos.
      J’ai trop tâtonné sur c’t’affaire.
      Je suis passé à côté d’analyses françaises révélant de fortes valeurs en mercure, d’arsenic.
      Heureusement, du cuivre est sorti en excès par rapport à la référence française, j'ai donc un papelard français qui prouve que j'ai eu trop de métaux.
      Des analyses positives en mercure et en arsenic auraient consolidé mon dépôt de plainte et mon éventuelle reconnaissance à postériori.
      Surtout, ne faites pas la même erreur que moi, faîtes des analyses en France dès les premières chélassos.


Antériorité
  • Décembre 2018
    Les analyses de chez MTM de déc. 2018 (iv dmps), d'avant les chélassos et d’après les déshydratations, dressent une liste de 10 métaux en excédent :
    1. mercure x30
    2. cuivre x10
    3. arsenic x8
    4. manganèse x3
    5. plomb x3
    6. nickel x2.5
    7. argent x2
    8. étain x2
    9. strontium x1.5
    10. baryum x1.1
    Par rapport aux analyses précédentes, le nombre de 10 métaux est en hausse.
    Il est donc fortement possible que les déshydratations (100 jours cumulés - 2017) ont fait sortir des métaux de façon à se retrouver dans le champ d'action des chélateurs.
    Cela indiquerait que les chélateurs n’explorent pas l’entièreté des tissus et que des métaux demeurent tapis.
    Cela indiquerait que le jeûne sec fait sortir les métaux que les chélateurs ne peuvent aller chercher seuls.
    Si les valeurs de chaque métal ne sont pas augmentées, c’est parce qu’il existe un plafond très bas d’extraction de chaque métal à chaque séance de chélation.
    Image



  • Historique
      Voici les précédents rapports d'analyse de chez Microtrace.
    • De ces analyses, il en ressort que le cuivre, l'arsenic, le mercure et le plomb sont en excès de façon chronique.
      Cependant, les valeurs ne reflètent pas nécessairement l’intensité des symptômes.
      Les valeurs peuvent être faibles avec des symptômes forts, et vice versa.
      Par exemple, les premières analyses de 2014 et 2015 sont peu inquiétantes à côté de celle de 2018 mais les symptômes étaient bien plus forts 2014-2015 par rapport à 2018.
      Cela s’explique par le fait que ces analyses sont un flux et non un stock.
      Les affinités du chélateur impliquent une compétition entre les métaux.
      Le flux ne reflète pas le stock, cela est illustré par l'arsenic et le nickel dont les flux sont certes faibles à chaque chélation mais dont la présence demeure au-delà de nombreux autres métaux.
    • Même si je ne l'avais jamais considéré comme tel, le nickel est à considérer comme un métal chronique car il apparait quasiment à chaque analyse jusqu'à l'analyse récente.



  • Avril 2016 :
    Métaux en excès :
    1. mercure x30
    2. cuivre x17
    3. plomb x8
    4. arsenic x6
    5. nickel x4
    6. manganèse x3
    7. strontium x2
    8. étain x1.2
    Image



  • Octobre 2015 :
    1. mercure x30
    2. cuivre x12
    3. arsenic x8
    4. plomb x6
    5. manganèse x3
    6. nickel x2
    7. étain x1.3
    8. strontium x1.2
    Image



  • Mars 2015 :
    1. mercure x11
    2. cuivre x5
    3. plomb x4
    4. manganèse x3
    5. arsenic x1.3
    6. bismuth x1.1
    Image



  • Septembre 2014 :
    1. mercure x30
    2. cuivre x8
    3. plomb x6
    4. arsenic x2
    5. étain x2
    6. manganèse x2
    7. nickel x1.2
    Image
Dernière édition par Sophocle le Mer 20 Avr 2022 10:58, édité 2 fois.
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Sophocle

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Crèmes salines : détox efficaces de la peau et des tissus.

Messagede Sophocle » Ven 3 Avr 2020 12:53


Work in progress
  • Cette rédaction foisonne de l'intérieur des paragraphes.
    Je fais varier beaucoup de paramètres, il est fort possible que quelques petites contradictions apparentes surgissent ici et là.
    Je ferai donc une synthèse des conclusions de ces expériences au bas de ce post.
Autre sujet : ml sous le radar.
    Ce post illustre parfaitement le fait que des ml peuvent demeurer en quantité significative dans l'intra en dépit que le test de provocation soit négatif. :/ :/ :/


Ordonnancement général -10 avril
    Avant d'envisager une détox de la peau, il est hautement préférable d'avoir mené une campagne d'extrassos (solubilisations de chélateurs hydrophiles) jusqu'à la fin des bénéfices.
    Cette campagne va baisser la charge générale avant mobilisations spécifiques.
    Il est également préférable de mener une campagne d'intrassos (solubilisations de chélateurs lipophiles) pour les mêmes raisons.

    Avec la détox de la peau et des muscles, je vais pouvoir me relancer dans des déshydratations.
    J'alternerai déshydratations et crèmes salines de façon à écouler les ml.



Crème déshydratante
    Eurêka, j'ai enfin réussi à faire une crème déshydratante.
    C'est simple, il suffit de mixer du sel à une crème nivéa soft.
    4 à 16g de sel pour un pot de 200ml = 20 à 80g/l.
    (rappel : pour déshydrater par osmose, la concentration d'une solution doit être au-dessus de la concentration physiologie, soit sup. à 10g/l).
    Un pot de 200ml me fait 5 applications.
    Après les premières applications, j'ai eu quelques picotements, ou quelques plaques rouges mouchetées sur les hanches qui brûlent un peu comme un coup de soleil.
    Voici une photo des rougeurs sur les hanches :
    Image
    Ces rougeurs sont la manifestation de la sortie des métaux = inflammation.
    Cette crème déshydratante fait sortir les métaux, mais il faut encore la combiner dans la séquence : mobilisation - chélation - activation sanguine - élimination.
    Après la séquence, l'inflammation baisse.
  • je surveille l’état de la peau de très près.
    Il faut six semaines pour que la peau se renouvelle, il est donc inévisageable de dégrader la qualité de la peau après une séquence.
    Avec l’huile végétale, il est possible d'arrêter instantanément une inflammation.
    Avec la crème hydratante en fin de sequence, j’en prends soin entre deux séquences.
    La crème hydratante restaure certes la tonicité de la peau, mais elle arrête aussi l’inflammation.
    L’état profond de la peau se voit douze à 24h sans application de la crème.
    Si elle sèche, si elle craquelle ou autre anomalie, j’étalerai les séquences.
  • Si cette crème résolvait mes picotements, cela signifierait que j'ai sauvé ma peau et que c'est la fin de mes mésaventures... [img]images/icones/icon18.gif[/img] mais je n'en suis pas encore là.
    Il ne me restera plus qu''à faire quelques jeûnes secs alternés à des saunas post-crèmes.


Séquence à l'essai :
édit 5 avril : suite aux expériences, la séquence est amendée, je réécrirai une séquence définitive ultérieurement.
édit 10 avril : Ce paragraphe est annulé, j'ai réécrit la séquence définitive à la fin de ce post
  1. Extrasso à boire : 0.5l d'eau, 2g bcs, 0.75g PA edta, 0,3g PA dmsa. - à boire d'un coup à jeun. - ... 5avr : optionnel si des chélassos étaient pratiquée (bi?-)hebdomadairement.
  2. puis, application de la crème déshydratante : mobilisation, attendre 10 minutes, douche (je mets des gants pour appliquer la crème car trop de sel imbiberait les mains).
  3. puis, massage hv : coco 40ml pour ouvrir les pores = forte transpiration dans le sauna. - ... 5avr : étape supprimée.
  4. puis sauna sec 15 ' à 48° (avec l'huile sur la peau), douche (élimination de l'huile et de la transpiration), repos 15', sauna 15', douche, repos 15', sauna 15', douche, repos 15'. - ... 5avr : 1 seul sauna.
    Jusqu'ici, je n'ai encore jamais fait cette séquence, mais l'idée : c'est que les chélateurs ingérés soient éliminés par la peau.
    Les chélateurs seraient ainsi forcés de passer par la peau et caper les ml au passage. Malin le lapin. ;)
    De plus, le sauna active les vaisseaux sanguin, ce se voit sur le dos de la main où les vaisseaux prennent du relief.
  5. puis, crème hydratante pour ne pas laisser la peau déshydratée. - ... 5avr, étape confirmée
  6. Au moment où j'écris ces lignes, cette séquence demeure à tester, retester, à peaufiner ...

3 Préparations - ... 5 avr : suite aux expériences, ce paragraphe est amendé - voir italiques.
    Pour réaliser cette séquence, il faut donc 3 préparations :
    1. Bouteille de la chélasso : 0,5 litre d'eau minérale, edta, dmsa, bcs. - ... 5avr : optionnel si des chélassos étaient pratiquée (bi?-)hebdomadairement.
    2. Shoot d'hv de coco : 40 ml, + optionnel : 5-10 goutes he Livèche (spéciale détox) à mixer. - ... 5avr : étape supprimée.
    3. Crème déshydratante : 20 à 80 g/l de sel pour la peau ordinaire.
      Variante pour les peaux sensibles, paumes mains/pieds, visage, cuir chevelu : 15 à 20 g/l.
      - éviter les peaux abimées.



Hv et he
    Quant à l'huile de coco, elle est vraiment hyper agréable en massage pré-sauna, et quant à la livèche, j'ai ressenti des soulagements. ...-5avr : effet provisoire
    Cependant, de la livèche ou du chélateur, je ne saurais pas lequel fera mouche. - à décomposer ultérieurement.


Ingrédients dans la crème
  • Généralités
    Il me semble que la phase lipidique de la crème enrobe le chélateur.
    Comme les ml sont des ions, ils sont donc solubles uniquement dans une phase aqueuse pure.
    Il me semble donc, qu'un chélateur associé à une phase lipidique ne parvienne que difficilement à rencontrer les ml.
    Je préfère franchement un chélateur hydrophile dans une solution purement aqueuse, là : le contact entre le ml et le chélateur est possible.
    Le chélateur étant cantonné à l'extra, il faut donc faire sortir les ml pour qu'il y ait une rencontre entre le ml et le chélateur.
  • DMSA
    Le dmsa se transfère sur les vêtements ; il ne franchit donc pas la peau.
    Il est donc inutile de le placer dans crème. Je le réserve donc à l'oral.
  • ALA
    • L'Ala franchit la peau : en crème et en même udvartana.
      L'Ala est lipophile. Comme de l'huile, il franchit même la peau quand il est massé en poudre.
      Nota : l'Ala est également hydrophile.
    • En udvartana seul, l'Ala a un effet négativant, il neutralise donc les charges positives des ml.
      Les picotements sont certes calmés, mais les ml demeurent dans les cellules et l'Ala ne franchit pas vraiment la membrane.
      En dépit de l'effet apaisant, il me semble donc que l'Ala (avec la seule technique d'udvartana) ne rencontre pas le ml.
      Il faudrait donc faire sortir le ml, mais il faudrait que l'Ala ne soit pas trop associé à la phase lipophile d'une crème.
      Cela milite pour un udvartana d'Ala suivi d'une application de la crème saline.
      Ainsi, l'Ala est déjà en suspension dans le derme sans être associé à la phase lipidique de la crème.
      Dans la peau, l'Ala ne se mélangera pas à la crème car il faut mixer l'Ala dans la crème pour qu'il s'y solubilise.
      Ensuite, la crème saline déshydrate le derme.
      Et l'Ala et le ml peuvent donc se rencontrer dans la lymphe du derme.
    • Nota: Massage à l'huile avec de l'Ala.
      Cependant, il y a quelques mois, j'ai eu quelques effets bénéfiques au snc avec un massage d'hv et d'Ala.
      Mais je n'ai pas eu d'effets sur la peau.
      Il ne faut donc pas écarter le mélange d'Ala et d'huile.
      C'est seulement avec la peau que l'Ala semble désactivé.
      Cela est curieux, mais ils faut tenir compte de la dynamique et des proportions d'huile et d'eau de chaque organe.
      Avec l'huile, l'Ala franchit la peau au travers des cellules, peut-être est-il ensuite dissocié de l'huile de façon à rentrer en contact avec le snc.
  • EDTA
      Mixé dans la crème, l'edta franchit la peau.
      Il est donc éligible à la crème.
      L'edta est hydrophile et presque lipophobe.
      Théoriquement, sa présence dans la crème saline me semble donc opérante.
      Dosage : 0,20g PA par application quotidienne, = 1g PA dans un pot de 200ml, soit 4 gélules.
      Mais j'ai le choix à le mettre dans la chélasso avec le dmsa, où il sera dans à son aise dans une solutions aqueuse.
      Rien n'empêche d'en mettre un peu dans la crème et un peu dans la chélasso.
  • Soufre en poudre.
    Si j'ai bien compris la conf : Phénomène d'adsorption - annexe aux cours sur les nps , les cations se disloquent dans un milieu réducteur.
    Comme le soufre va fournir des électrons, le milieu devrait devenir réducteur.
    Dans un tel milieu, la force du scratch magnétique des cations devrait s'amenuiser de façon à permettre à l'atome de ml de se mouvoir au gré du flux d'eau.
    ml2+ + 1e- -> ml+.
    L'ion soufre en poudre S- est certes trop faible à lui tout seul pour se cranter à un ml, mais il savonne la planche pour que la polarité du tissu aide le ml à se déscratcher et à se mouvoir..
    Je suis certes un doux rêveur, mais il ne faut négliger aucune hypothèse.
  • Conclusion provisoire
    Pour les chélateurs, il me semble judicieux de ne placer dans la crème que de l'Edta.
    Pour l'Ala : un udvartana à réaliser juste avant l'application de la crème.
    optionnel : Le dmsa est à réserver à l'oral dans une chélasso juste avant la séance
    optionnel : Le bcs est également à réserver à l'oral dans une chélasso juste avant la séance.


Déphasage et préparation
  • Avec du sel, la crème dans un pot de 200 ml déphase en quelques jours.
    (pot de 200ml = 5 applications, 1 application par jour, un pot tient 5 jours)
    Il est certes possible de ralentir le processus en plaçant le pot dans le frigo.
    Mais la crème devient de la soupe au 4ème jour.
    Il également certes possible de lui donner un petit coup de mixer, mais la soupe se remonte +/- en crème qu'une ou deux fois.
  • Mais, moins il y a de sel, moins la crème déphase.
    Avec 16g de sel, la créme déphase en 4 jours.
    Avec 4g, la crème n'a pas encore déphasé au 4ème jour.
      Il faut donc :
      soit préparer une crème pour 5 jours avec peu de se l(20g/l, ou 4g pour 200ml de crème),
      soit préparer une crème pour 2 jours avec bcp de sel (80g/l, ou 16g pour 200ml de crème)
    Il me semble que je ne vais pas échapper à la préparation de la crème à chaque application.
  • Avec du BCS, la crème déphase en 24h.
    De plus, le BCS est long à se diluer, il faut mixer longtemps.
    Je préfère donc le réserver en oral avec la chélasso.
  • Avec les chélateurs (Ala et Edta), la crème ne déphase pas.
    Il est donc possible de préparer un pot de 200ml pour une semaine.
  • Rappel : le dmsa ne franchit pas la peau, je le réserve donc à l'oral.

Déshydratations - 3 avril
    Les déshydratations me font encore des effets bénéfiques sur le cerveau : j'ai l'impression que les 2 lobes se reconnectent et qu'ils entrent en synchronisation permanente. waou. [img]kator/smiley11.gif[/img]
    Cela confirme que des métaux demeurent tapis sous le radar des chélassos.
    Mais la peau est toujours et encore victime quelques petites flambées...
  • Rappel : pas de sauna pendant une déshydratation.

Froid
    Je penserai à prendre des douches froides entre les saunas pour activer les capillaires.
    Pendant le repos entre 2 saunas, je place des blocs de froids sur les peaux rougies par la crème déshydratante.


Sauna
    Toutes ces applications (par massages) sont, en soi-même, certes un peu fastidieuses.
    Mais, quand on a un sauna à la maison, ces massages deviennent neutres car on passe moment agréable et relaxant dans le sauna.
    Avec le sauna juste après l'application de la crème, le massage se transforme une courte préparation préalable qui augmente l'intérêt du sauna.

Micro-Organismes
    Après un traitement des ml, il me semble préférable de traiter ensuite les MO.
    Les ml sont un terrain propice aux MO.
    J'ai certes déjà fait une campagne anti-mo, mais c'était avant le traitement des ml de la peau.
    Par précaution, il me semble raisonnable de reprogrammer une campagne anti-MO.
    Certes avec des He, mais aussi avec de l'Allicine dans la crème hydratante.
    Les MO vont libérer des ML, il faudra donc rereprogrammer une campagne de chélation, et ainsi de suite...
    Je pourrai d'ores et déjà mettre un peu d'allicine dans les applications actuelles...
      Préparation de l'Allicine :
      Broyer, ou râprer, ou écraser au presse-ail une 1/2 gousse d'ail.
      Attendre quelques minutes, 1 à 10 minutes.
      Le mélange des lambeaux de chair au contenu de la pulpe déclenche un processus en chaine qui fabrique l'allicine.
      Mélanger l'ail en lambeaux à 5 ou 10 ml d'hv,
      Mixer, puis filtrer au chinois.
      L'allicine ne se conserve que quelques heures, elle doit donc être fraichement préparée à chaque traitement.

Épaule, et Tissus sous-cutanés
    Si ce protocole était efficace, il serait peut-être utile contre mon problème d'épaule.
    Si cela était le cas, il serait également utile contre l'arthrose ou contre la détox de certains organes sous-cutanés.
    Mais il faudrait choisir l'huile végétale de la crème en fonction de la profondeur de pénétration.
    Pour cela, la solution de la fabrication de la crème à la maison me semble la plus adéquate.
    Avec ce procédé, il est peut-être possible d'obtenir les mêmes effets qu'une hydrotomie percutanée mais sans injection.
    Ce sera certes moins éclatant, mais cela pourrait être tout autant efficace avec des applications chroniques.
    De plus, on supprime la case médecin et la case piqûre : moins cher, moins risqué mais tout autant définitif.
    Mais encore faut-il que cela fonctionne.
    Voici qq infos chinées sur internet à propos des huiles végétales versus profondeur de pénétration.
    Pour une utilisation cutanée (sur la peau ou couche cornée, couche superficielle de la peau), préférer, par exemple pour un soin visage :
      huile d'avocat
      huile de bourrache
      huile d'onagre
      huile de germe de blé
      huile de rose musquée
      huile de calendula
      huile d'olive
      huile de millepertuis
      huile d'argan
    Pour aller un degré plus profond, au niveau de l'épiderme vivant, utiliser :
      huile de jojoba
      huile d'argan
      huile de rose musquée
      huile de calophylle
      huile d'amande douce
      huile de bourrache
      huile d'onagre
    Pour atteindre le derme et la musculature, privilégier, dans le cadre d'un massage par exemple :
      huile de sésame
      huile de noisette
      huile de macadamia
      huile de noyaux d'abricots
    Pour atteindre le système circulatoire, utiliser :
      huile de tournesol
      huile de pépins de raisin
      transcutol (huile sèche)
      les huiles essentielles pures (non recommandé si vous êtes novice)

    Voici quelques infos connexes :
    En dehors du degré de dilution, l'excipient huileux a aussi son importance et d'une manière générale, le thérapeute suivra la logique suivante : plus l'huile essentielle doit pénétrer profondément, plus son excipient huileux [Huile végétale] devra être fluide.

    Les huiles essentielles sont lipophiles, elles pénètrent donc rapidement à travers la peau si elles sont utilisées pures. En les diluant dans un support gras, elles vont rester sur la peau et pénétrer plus lentement. En fonction de l’application recherchée, on choisira ou non de diluer l’huile essentielle (exemple : pour une affection cutanée, on choisira un support huileux).
    Source : Féd. Fr. d'Aroma. voir pièce attachée du post sur les Huiles Essentielles - Chap : Taux de dilution.

Recette pour la fabrication de la crème hydratante
    (Selon l’huile du tableau ci-dessus, la crème va agir +ou- en profondeur selon le lieu recherché)
    Dans un bol : 10 ml d'huile végétale, + 35ml d'eau minérale, + 5,5g d'émulsifiant cœur de crème.
    Chauffer au bain marie à 75-80°. L'émulsifiant doit être fondu, sortir le bol du bain marie.
    Mixer tant que la température n'est pas encore atteint 50°.
    À 50°, placer le bol dans de l'eau froide et continuer à mixer.
    pour une longue conservation, ajouter un conservateur, ex : 10 goutes de Cosgard.
  • Dans une crème commerciale, la liste des ingrédients est très longue : 20 (dont éventuellement de l'aluminium dissimulé sous une appellation Exxx).
    Outre leur stress-oxydatifs, ces ingrédients inhibent +/- le PA.
    Une application à vie semble peu préférable, mais une application ponctuelle d'un mois n'est pas dangereuse.
    Tant que ça fait l'affaire pour détox la peau avec simplicité, ça ne me semble pas rédhibitoire.
  • Pour la tourner en crème déshydratante : ajouter du sel de cuisine.
    Pour la tourner en crème chélatrice, ajouter les chélateurs à froid.
    L’Ala et l’Edta franchissent la peau mais j’ai remarqué que le dmsa ne passait pas et qu’il se transfère sur les vêtements.
  • Pour mon épaule, je vais fabriquer ma propre crème avec une huile qui atteint le derme et la musculature.
    Selon la liste ci-dessus, j'ai 4 choix : sésame, noisette, macadamia, noyaux d'abricots.
    La sésame est souvent dispo en supermarché, je vais donc commencer par celle-ci.
  • Premier essai selon la recette : c'est facile à faire et c'est inratable.
    Pour les volumes indiqués dans la recette ci-dessus :
    Hv : sésame, em : rouscous, 5goutes de cosgard, 4g sel, 2 gélules d'ala et une d'edta à la fin à froid.
    Je n'ai plus qu'à l'appliquer tous les jours.
  • 6 avr : J'ai des doutes sur l'efficacité de cette méthode, un crème h/e ne me semble pas appropriée pour migrer jusque dans le muscle.
    Mais il me semble qu'il faudrait plutôt une pommade, cad : une pâte un peu plus épaisse qu'il faudra masser fortement et abondamment pour la faire migrer jusqu'au muscle et au tendons.
    il faudrait aussi chauffer le muscle pour faciliter la pénétration.
    Il faut que je murisse cette question.
    ...Les pommades e/h n'ont pas l'air faciles à faire.

Retours d'expérience des précédentes applications salines.
  • Hydrotomie percutanée
    • Mes expériences d'injections me montrent qu'il est fortement préférable d'associer un chélateur à la solution saline.
      Sans chélateurs, les ml ne sont pas exfiltrés vers le système circulatoire.
      Avec la solution saline seule, les ml sortent certes de la cellule mais ils demeurent fixés dans les tissus.
      Il faut donc des chélateurs pour la migration des ml ait lieue.
    • Cependant, avec le sauna, je peux supposer que le ml sorte avec l'eau de transpiration.
      Mais il est possible que le ml demeure scratché aux tissus de façon à ne pas être emporté par l'influx de l'eau hors de la peau.
      Faute de pouvoir trancher sur le sujet, je vais donc assurer la migration avec un chélateur dans la séance.
  • Bains salins de bouche
    • Afin de m'inscrire dans la durée pour traiter la peau, je note mes retour d'expérience des bains salins de bouche.
    • Il ne faut que 5 minutes pour que l'effet de déshydratation soit significatif.
      25 à 50% des applications peuvent être sans résultat (pas de sortie d'eau).
      Il faut laisser du temps au tissus de se réhydrater entre 2 applications.
      Un légère sur-concentration est suffisante : en 5', 40g/l exfiltrait autant d'eau que 100g/l.
      Il a fallu 15 jours, à raison d'une application par jour pour arriver au bout des picotements qui avaient lieu pendant le bain.
      Prolonger les applications au-delà de la fin des symptômes semble nécessaire pour récurer en profondeur.
      Des rappels bi-annuels semblent préférables.
    • Les muqueuses réagissent certes très rapidement, mais la peau est un organe à retardement.
      Il faut donc prendre patience et s'inscrire dans un calendrier durable et répété.



- Pointage des applications (1 essai/édit par jour)
  • #2avr. soulagements prolongés... à consolider avec de multiples essais.
  • #3avr. Rougeurs sur les hanches au moment de la crème déshydratante - voir photo ci-dessus.
    ...il me semble que l'épaule est soulagée : à surveiller aux prochaines applications.
  • #4avr. simplification du protocole : élimination de l'étape du massage à l'huile végétale.
    Quand je passe direct au sauna juste après l'application de crème déshydrato-chélatrice, la transpiration est tout autant abondante dès le premier passage.
    L'huile contenue dans la crème semble suffisante pour ouvrir les pores aussi bien qu'une hv.
      le massage à l'hv pure apaise rapidement l'inflammation juste après l'application de la crème déshydratante.
      Cela est certes intéressant pour éteindre l'inflammation, mais cela n'élimine pas mon problème de fond : l'élimination.
      Il est possible l'hv enrobe les ml de façon à faire barrage au système inflammatoire, ou au chélateur ou à sortir par la transpiration.
  • #5avr. : sauna après crème déshydratante, mais sans des chélateurs dans la crème.
    En tant normal (sans crème déshydratante), le sauna élimine l'eau de la lymphe.
    L'eau des cellules cutanées ne semble pas être mobilisée, sinon, la peau serait sèche après un sauna.
    J'ai fait beaucoup de sauna en sept 2018, et aucun inflammation sur la peau n'est apparue.
    Là, avec la crème déshydratante, j'ai eu une inflammation durable tant que je n'y remédie pas par de l'hv, ou de la crème hydratante.
    Avec le sauna juste après, l'hypothèse d'une élimination directe par sauna est jouable.
    C'est-à-dire que l'eau des cellules cutanées intoxiquées serait éliminée.
    Si cela était le cas, il ne serait pas nécessaire d'ajouter des chélateurs.
    Le chélateur dans le crème n’est donc peut-être pas nécessaire, mais il faut encore que je sédimente un avis sur la question.
    Mais je boirai quand-même une demie-chélasso en bouteille pour traiter les ml qui se mettent à circuler.
    ... Les plaques bien rouges ont totalement disparu, mais un léger moucheté rouge fait de la résistance.
    En dépit des déshydratations, la peau est devenue tendre et ferme, il semble que la crème ait un effet bonifiant.
    Les picotements sont en forte baisse mais cela est du à un effet neutralisant (mais provisoire) des anions (Soufre S-, et chélateurs) sur les cations (ml).
    Je pourrai me faire un avis consolidé qu'après un délai sans traitement.
  • ... Mon stock de chélateurs est presque épuisé.
    J'ai passé une commande, mais le fournisseur est en rupture de stock.
    De plus, les colis ne sont pas vraiment livrés (période de confinement).
    Je vais réserver les chélateurs uniquement pour des grosses chélassos (Marche + bouteille + escaliers) hebdomadaires ou bi-hebdomadaires.
    Cela tombe bien car je dois ménager les minéraux et éviter de m'envoyer 1g/j de PA.
    De plus, les sauna déminéralisent également, il faut donc ménager la monture.
    Par précaution, je ne mettrai qu'une à 2 gélules de chélateur par application (0,2g), soit 5 à 10 gélules par pot de 200ml.
    Les prochaines crèmes avant sauna seront donc presque uniquement salines (et donc presque non-chélatrices).
    Mais la sur-dose de chélateurs n'est peut-être plus autant utile car les grosses plaques bien rouges ont disparu.
    Il s'agit d'écouler un flux lent mais durable.
    Je compte aussi sur le sauna pour éliminer les ml mobilisés par la déshydratation.
    Et je compte éliminer par les chélassos bi-hebdomadaires les ml mis en circulation par les crèmes déshydratantes.
    Entre les déshydratations, les chélassos, les crèmes déshydratantes et les saunas, les ml devraient quand-même s'éliminer partiellement à chaque yoyo entre la peau et le snc.
  • ...En semaine, je ne ferai qu'un seul sauna par jour (et non une série de 3 à l'affilé).
    /Comme la déshydratation à lieue en 5 minutes, il n'est pas nécessaire de placer un délai entre l'application de la crème et entre l'entrée dans le sauna.
    /J'hésite à employer le sel d'epsom à la place du Na-Cl, car le soufre et le magnésium sont les bien-venus.
    À l'occasion, j'alternerai.
  • #6avr matin : crème saline (pas de chélateur), 1 seul sauna 20'. Minimalisme.
    Quelques rares picotements stridents (habituel) à retardement dans la journée.
    Faute de chélateur, je suis perplexe, ce picotement est peut-être un ml qui est re-rentré dans la cellule.
    Pas d'évolution remarquable du léger moucheté sur les hanches.
    J'ai un léger retour du point de côté au niveau du foie/intestins (dont la première apparition avait surgi avec les amoc).
    C'est durable et intermittent.
    A l'époque, ça s'était résolu avec l'Ala. - à surveiller.
  • #6avr aprèm. J'ai un très léger moucheté rouge qui s'étale et qui gagne en surface (hanche, côtes, bide) sans s'intensifier en couleur.
    • C'est bon signe, le ml sortent de leur tanière en procession.
      Y'a plus qu'à ajuster la force du sel et la force des chélateurs de façon à maitriser le flux.
    • Ce moucheté apparaît en période de déshydratation et disparait à la rupture : le derme se charge en ml mobilisés depuis les tissus profonds.
      Désinflammation lors de la pénétration du ml dans l'intra de la cellule.
      Là, avec avec ces crèmes déshydratantes, le derme se décharge de façon homogène : un moucheté apparaît.
      Le processus me semble inversé lentement mais sûrement.
      Je vais donc persévérer, et je vais appliquer les chélateurs à très faibles doses à chaque application de la crème.
    • Pour tester la présence de ml, il suffit d'envoyer une grosse dose de sel sans chélateur.
      Si des rougeurs apparaissent, c'est qu'il y a des ml, sinon, c'est qu'il y a pas assez pour provoquer une inflammation.
      Pour assurer la détox totale, je poursuivrai ce protocole bien au-delà de la fin des symptômes.
  • #6avr soir : résolution commotion.
    J'ai un bon petit coup barre et j'ai le point de côté entre le foie et entre les intestins qui se manifeste de façon sourde.
    Il me semble que j'ai encore une accumulation de ml dans l'intestin transverse (à proximité du foie).
    Ce n'est pas douloureux, c'est une sensibilité pesante associée à une lourdeur d'ensemble du corps et d'une fatigue cérébrale.
    J'ai relevé les niveaux avec un tensiomètre : 123/78 ; pulse : 71.
    Et j'ai relevé les niveaux avec l'iphone : 123/81; pulse : 76 ; oxygène : 96% ; viscosité du sang : 0,40.
    Tout va donc bien.
    De plus, l'iphone est en phase avec le tensiomètre. C'est bon à savoir.
    En novembre, j'avais eu le même problème qu'hui mais en bcp plus gros.
    Suite à la prise d'he, ce problème parvenait des ml libérés par les débris de mo.
    Je m'étais rendu exprès aux urgences de Lariboisière car c'est l'hôpital où est rattaché le centre antipoison qui m'a raccroché au nez après que je leur ai envoyé mes diags de mtm.
    Comme James Bond, j'ai rendu une visite de courtoisie à mes ennemis.
    Quand je leur ai dit que j'allais en Allemagne mensuellement depuis 5 ans pour me faire enlever le mercure, ils en menaient pas large.
    Tous ces médecins à l'hôpital sont donc au courant de ce secret.
    Ces médecins n'ont franchement ni le raffinement d'un Chiffre, ni la délicieuse assurance machiavélique d'un Goldeneye.
    J'y ai vu ce que je voulais voir : ce sont des gens ordinaires qui ne peuvent qu'être désolés devant leurs négligences de politiques médicales.
    Revenons à mes moutons, selon le compte-rendu des urgences : pression artérielle : 106/72 ; fc : 36,7 /mn (norme >60) ; temp : 36,7° (à 13:36) ; saturation O2 : 36,7% (norme 95%).
    La fréquence cardiaque et la saturation était assez bas, en-dessous de 90% d'O2, ce serait une situation d'urgence ; et la fc est de moitié de l'habituelle au repos.
    Ça n'allait pas fort, mais j'ai été rapidement retapé grâce à quelques intrassos : 0,3g d'Ala ; 5ml d'hv ; 0,25g de léc. soja ; 14 cl d'eau.
    Pour revenir au symptômes d'hui, j'ai bu une intrasso à jeun, et je me sens déjà mieux en 25 minutes...
    En recoupant ces phénomènes avec les inflammations sur la peau, il y a donc une confirmation que les crèmes déshydratantes ont libéré beaucoup de ml.
    Quelqu'en soit la part de ml qui sort par le sauna, il faut donc traiter l'intérieur du corps par des intrassos.
      Rappel : Confection de l'intrasso :
      Le 6 février, j' a écrit:10 ml d'huile (ou 100% végétale, ou à 5% d'he et 95% végétale en cas de traitement anti-mo) chauffés à 37° environ.
      Le contenu d'une gélule d'Ala (soit 0,25g d'Ala pur et autres produits ajoutés par le fabricant),
      0,5g de lécithine de Soja en granules,
      Chauffer, mixer jusqu'à ce que la phase se monte en crème.
      Verser dans 13cl d'eau à 37° environ.
      Mixer jusqu'à solubilisation et ingérer rapidement.
      important : pendant la demie-journée, je bois une eau avec 3g/l de bcs pour fixer les ml à l'Ala.
    ... je viens de relire le pointage du #6avr matin : ce matin, je n'ai pas pris d'Ala, il n'y avait que du sel.
    Il faudrait donc prendre de l'Ala avec la crème en préventif, mais ça fonctionne aussi pour résoudre l'accumulation a postériori.
    ...j'ai pas vu un picotement depuis ce matin, je leur ai enfin mis une bonne claque. [img]kator/smiley156.gif[/img]
  • #7avr : fenêtre thérapeutique et intrasso le matin : baisse du point de côté, projet d'intrasso en fin d'aprèm.
    J'ai pris du R-ALA en substitution de l'ALA afin de finir ma boite.
    0,1g (1 gélule) de R-ALA a eu l'effet escompté.
    En intasso, le R-Ala semble donc faire son effet.
    Son prix : R-ala : 4e/g, Ala : 2e/g. Mais le R-ala est synthétisé par le métabolisme.
    L'Ala est un mélange de S-ALA et de R-ALA (50/50) mais le S-Ala n'existe pas dans le corps.
    Après, il faut également voir la force de chélation de l'un et de l'autre, cela n'est appréciable que par des analyses chez MTM...
    - Si la fatigue et si le point de côté se résorbaient, je ferai une application de crème le soir.
    Au vu de ces symptômes d'accumulation, je peux désormais acter que le sauna n'est pas absolument pas suffisant pour éliminer les ml mobilisés par la crème saline.
    J'ai donc les réponses à mes questions : les chélateurs demeurent indispensables car le sauna n'est pas suffisant à lui tout seul.
    Comme le sauna ne serait qu'un +, je peux donc le déclasser en optionnel.
    Cependant, une sur-vascularisation par une activité physique me semble opportune pour faire circuler la lymphe afin que ml et chélateurs se rencontrent.
    Une marche rapide, un bains froid, un sauna,... font l'affaire.
    ... Avec ce mini-incident, je vais revoir la posologie : baisse de sel et hausse de chélateur (hausse de la fréquence : 2-3x/j, mais pas de hausse de la quantité par prise).
  • #8avrLe point de côté a bien baissé.
    Je le ressens presque plus, sauf quand je palpe bien fort entre le foie et l'intestin.
    Je continue donc ma fenêtre thérapeutique.
    Ce problème est exactement le même que celui parvenu suite aux AMOC.
    Et, la cinétique de la résolution du problème actuel prend le même chemin que celle des AMOC.
    La similarité de ces 2 incidents confirme que le problème est celui d'un mouvement de ml.
    Ces incidents me permettent de tirer des conclusions sans lesquelles je serai frustré de naviguer à l'aveugle.
    Je vais pouvoir m'installer dans une routine de croisière (et donc asymptômatique) en étant confiant sur le drainage effectif des ml.
    ...autre sujet : j'avais déjà fabriqué des crèmes déshydratantes mais leur composition n'aboutissait pas au résultat escompté ; la déshydratation de la peau.
    Le tension actif que j'utilisais était inversé par rapport à celui de la nivéa, c'était de la lécithine de soja : e/h.
    En dépit de nombreuses applications, la peau ne semblait pas déshydratée, aucun symptôme ne se manifestait.
    J'en tire l'hypothèse que la phase aqueuse passait au travers de la peau pour rejoindre les tissus profonds ou même le système circulatoire.
    Cela n'est pas perdu car je suis intéressé de déshydrater et chélater les muscles, articulations, os par cette voie.
    Il faut donc juste que j'apprenne à doser les ingrédients de façon à cibler tel ou tel organe.
    J'ai un deuxième problème : c'est le déphasage : mes belles crèmes toutes onctueuses à la fabrication deviennent de la soupe en quelques jours...
    Mais les ingrédients qui fixent la crème ont tendance à inhiber les principes actifs.
    C'est une histoire de compromis...
    Tout ça pour dire que le traitement de l'épaule ne sera opérationnel pas pour les jours à venir.
    C'est le dernier symptôme qui me résiste (mais qui diminue tout seul au fil du temps).
    ...La peau a retrouvé un état normal ; de plus, aucun picotement ne s'est manifesté depuis 2 jours.
    Ce n'est pas pour autant que je vais considérer que la peau a été totalement désintoxiquée.
    Ça fait deux jours que je n'ai pratiqué aucune action qui ne puisse ni activer l'inflammation (sortie des ml par le sel), ni désactiver l'inflammation (hv).
    Le ml ont donc regagné l'intra des cellules cutanées, cela a donc naturellement désactivé l'inflammation en douceur.
    Le comportement du ml auprès du cutané semble très différent des autres tissus : les ml serait majoritairement dans l'intra.
    J'émets cette hypothèse car les extrassos ont aucun effet sur la peau, mais elles ont eu un effet significatif sur le snc.
    Comme mon petit incident est fini, je vais recommencer prochainement mes applications de crèmes salines.
    ...Le point de côté a pris plusieurs heures/jours pour se mettre en place.
    Cela indique qu'il y a une sorte de procession lente depuis vers la peau jusqu'à ce point d'accumulation.
    Or, l'Ala (et le r-ala) ont résorbé ce point de façon continue avec de petites quantité ingérées matin et soir.
    Les cinétiques de chélateurs hydro et lipo sont vraiment différentes.
    Les lipo sont à retardement et les hydro sont en coup de feu.
    Il est donc préférable de coupler les hydro au moment de la mobilisation mais il me semble qu'il est préférable de prendre les lipo en traitement de fond.
    Il faudrait donc prendre les lipo de façon périodique : 1 gélule matin et 1 gélule soir.
    Et il faudrait réserver les hydro juste avant d'appliquer la crème saline.
    Comme des trois-quarts, les hydro sont très mobiles, ils vont donc rapidement rejoindre les ml auprès de leurs sites de mobilisation.
    Comme des piliers, les lipo vont déblayer les ml qui échappent aux lipo dans des zones de ruck.
    ...fin d'aprèm : j'ai retrouvé la forme à 100%. Solubilisés, l'Ala et le R-Ala ont été efficaces.
    Je vais faire une vidéo pour la mise en solubilisation de l'Ala.
    J'ai donc déjà repris les applications de crèmes salées.
    ...Petite rechute au niveau du point de côté : trop de ml sont encore mobilisés pour la posologie de chélateurs.
    Je dois donc encore jauger les équilibres entre les posologies de sel et d'Ala.
    Mais, cela veut dire que j'ai encore plein de métaux dans la peau, épatant.
    Je dois avoir plus de métal en moi que le T-1000 de Terminator :
    Image
    ...Réflexions sur l'Ala :
    L'Ala est certes lipophile mais il me semble qu'il ne rentre pas dans les cellules.
    Il me semble que l'avantage de l'Ala sur les hydro, c'est 1: soit qu'il peut se faufiler dans des amas demi-graisseux extra-cellulaires, 2: soit il peut se lier à des méthyl-ml.
    Il est indéniable que, chez moi, l'Ala possède des capacités de chélation que n'ont pas les hydro.
    Cela n'empêche pas que les hydro ont des capacité de chélation que l'Ala n'a pas.
    Mais, en dépit de ses prouesses, l'Ala ne chélate pas l'intra de fond en comble. :no:
    Il me semble que cela en est ainsi car il n'a pas chélaté les tissus cutanés mais l'Ala chélate ce qui sort par les crèmes salées ou par les traitements anti-mo.
    Tant qu'on n'est pas devant une impossibilité technique, il suffit de faire toutes les contorsions nécessaires pour parvenir au retour de la physiologie.
    ... cependant, depuis que je prends des solubilisations d’ala de façon périodique et assidue, j’ai de une très légère amélioration continue et durable au niveau du cerveau. Cela est perceptible sur une semaine. Il est possible d’attribuer cela au fameux rebond que l’ala pourrait éliminer. Mais en tout cas, ce n’est vraiment pas aussi éclatant que les toutes premières prises d’ala.
    Si l’on prépare 50ml comme indiqué dans ce post, la prise d’ala par solubilisation est vraiment commode à côté des rounds.
  • #9Avr. Solubilisation d'Ala la veille au soir + solubilisation d'Ala au matin : Fin de la rechute.
    Je tiens le bon cap.
    Reflexions sur le point de côté :
    Le point de côté est apparu tardivement : j'ai pu faire une bonne série d'applications de crème saline avant que le point n'apparaisse.
    Une fois que le point est présent, il ne bouge plus.
    Il faut de l'Ala solubilisé pour déliter ce point.
    Heureusement que l'Ala existe, même s'il ne déloge pas les ml de l'intra, il déloge les ml des points d'accumulation suite à une mobilisation.
    Cela veut dire que les organes sont capables de se charger en ml en silence jusqu'à un plafond.
    Ce plafond est tardif ; en dépit que tout va bien au début, il faut donc demeurer vigilant.
    Le bon traitement est donc d'éviter que l'accumulation puisse s'amorcer.
    Il faudrait donc traiter à l'Ala de façon à ce que la vitesse de chélation soit supérieure à la vitesse de mobilisation.
    Pour bien faire en toute sécurité, il ne faudrait espacer les crèmes salines à une fois par semaine.
    ...J'en suis à 4 solubilisations d'ala par jour.
    ...J'ai refait une application de crème saline + sauna.
    Rien à signaler (pas de point de côté qui se manifeste).
    Un très très léger moucheté demeure depuis quelque jours.
    Je l'attribue aux métaux-lourds.
    Les plaques rouges ont totalement disparu.
    Quelques rares picotements se manifestent occasionnellement.
    Je continue donc sur cette lancée.
    ...Le point à l'épaule semble être réduit depuis deux jours.
    Mais c'est pas folichon, folichon.
    J'ai fabriqué une crème spéciale très épaisse (beaucoup d'huile : 75% et peu d'eau saline : 25%) pour se rapprocher des baumes.
    Du fait de leur teneur en huiles, les baumes semblent s'infiltrer jusque dans les muscles.
    Il faut masser avec bcp d'énergie pour bien imbiber le cuir.
    Je profite des solubilisations d'Ala pour éliminer les ml qui sortent.
    Il est encore trop tôt pour consolider un avis à cause de l'effet placébo.
    Voici les ingrédients (provisoires):
      25ml hv sesame
      10ml eau + 3g sel
      Olivem 2g
      Lécithine soja 1g
      Stéarate de magnésium 2g
      Conservateur 5goutes
      (rappel : il faut mixer à chaque étape, j'ai déjà fait une vidéo dans un précédent post).
    ...La confection d'une solubilisation d'Ala est assez longue.
    J'ai donc réalisé une préparation depuis laquelle je prendrai le volume nécessaire pour une intrasso.
    Ce qui compte, c'est la fréquence, et non le sur-dosage.
    • Dans un bêcher de 100ml, je verse :
      50 ml d'hv de sésame
      le contenu de 10 gélules d'Ala
      5 grammes de lécithine de soja en granules
    • Je chauffe au bain marie à 40°.
      Je mixe de façon à faire monter un peu la crème.
      Je place au frigo.
    • Le moment venu (1, 2 ou 3x jour), je mixe le contenu du bêcher, je prélève 5ml (c. à c.) que je verse dans un verre.
      J'ajoute de l'eau, je mixe et je bois.
      Avec cette préparation, je peux ainsi boire 10 solubilisations en m'épargnant la longue préparation à chaque séance.
      ... Cette confection me semble la plus appropriée pour ingérer un produit lipophile, donc y compris pour les he.
  • #10 avr. - La technique et la posologie sont rodées.
    Je vais continuer sur cette lancée.
    Je n'ai plus besoin de consigner mon avancement, je vais donc suspendre mes notes.
    Je reviendrai par ici, faire un bilan ou un point d'avancement si nécessaire.
    ... Je ne suis pas satisfait de mon baume maison car je le fais à partir d'hv, selon l'art des baumes, il faudrait le faire à partir de beurres végétaux.
    On est en période de confinement et les boutiques de cosmétiques sont fermées.
    En attendant le déconfinement pour me procurer les ingrédients, je place ici la recette d'un baume.
    Recette théorique du baume :
    • Ingrédients :
      Beurre(s) végétal(aux) : 40 à 70 %
      huile(s) végétale(s) et/ou Macérât(s) huileux : 30 à 50%
      Vit. E - optionnel : 0 à 0,2% - antioxydant, nécessaire selon les huiles oxydantes.
    • Préparation :
      Faire fondre les ingrédients au bain marie et sortir le bol
      ajouter la vit E -option
      Placer le bol au congélo et mélanger de temps en temps au fouet
      couler la préparation dans un pot, et laisser figer 12h.
    • Pour faire l'effet que je recherche (déshydratation), il faut que j'ajoute de l'eau salée +10 à 30% (à chaud).
      et aussi un tensio-actif, 2-4%.
      Normalement, comme j'ajoute de l'eau, il faudrait que j'ajoute éventuellement un conservateur.
      Mais comme c'est eau saline à 300g/l, c'est auto-conservateur.
      J'ajouterai aussi un peu d'Ala à froid, mais je crains qu'il demeure hautement préférable de double la chélation par des solubilisation de chélateur hydro et lipo.
  • 11&12avr. 1 application / jour + sauna + marche rapide 1h.
    Voici une photo du moucheté localisé gros comme un poing et qui persiste avec une intensité variable depuis plusieurs mois en dépit des applications des crèmes salines récentes :
    (L’intensité de l’inflammation sur la photo à l'écran est trompeuse, la réalité est bcp plus claire, et donc bcp moins inquiétante).
    Image
    J'attribue ce moucheté au métaux-lourds en nuage car il s'intensifie lorsque les ml sont mobilisés (déshydratations, crème saline)
    De plus, ce moucheté correspond +ou- aux zones de picotements (hanches).
    Cependant, j'ai réussi a atténuer ce jour provisoirement ce moucheté en faisant une grosse séance de marche rapide 1h + escaliers (300 marches).
    J'ai couplé cette marche à une prise de solubilisation d'Ala et à une application de crème saline.
    La marche rapide est peut-être l'activité mécanique la plus appropriée : intensité modérée et durable.
    Cette activité physique semble envoyer les chélateurs (pris à l'oral) dans la peau et drainer le complexe (ml+chélateur) au travers de la lymphe jusqu'aux émonctoires.
    Les ml auraient tendance à résister à toutes les étapes, il faut donc maintenir une pression continue du point de départ jusqu'au point de sortie avec une application spécifique à chaque circonstance.
    La séquence serait donc : prise de chélateur, mobilisation par crème salée, et marche rapide pour drainer.
    À confirmer dans les jours à venir.
    ... De plus, cette marche intensive me semble salutaire car, chaque jour, j'ajoute 1,5g de NaCl dans le corps par voie cutanée.
    Même si ce sur-dosage de sel me semble sans aucun risque, il est préférable de l'éliminer car, jour après jour, ce sel s'accumule.
    Depuis le début de ces crèmes salines, j'ai du m'envoyer plusieurs dizaines de grammes (sans pour autant en pâtir) de sel.
    Mais surtout, il faut reminéraliser le tissu cutané, une hyper-vascularisation durable et quotidienne est donc la bienvenue.
    De plus, le point de côté est totalement résorbé, y compris au palper.
    Avec ces marches, la lymphe est brassée de fond en comble.
    Ces marches rapides me semblent une bonne régulation du stress encaissé par ces crèmes salines, je vais donc les adopter quotidiennement.
    Ces marches permettent peut-être de récurer en profondeur l'organe le plus lipophile du corps.
    ... Ces crèmes ont fait certes naître quelques cellules mortes en surface de la peau, mais, en dépit tout de ce sel, la peau est en très bonne santé.
    Je passe occasionnellement un petit coup de brosse, et la peau retrouve son aspect normal.
    Le cycle de la peau est peut-être accéléré mais, hormis les zones atteintes par les ml, aucun symptôme n'apparait ailleurs.
  • 13avr. Suite aux effets du massage énergique sur l'épaule, je passe aux auto-massages avec rouleau :
    Image
    Avec ces exercices, j'espère faire sortir les ml des tissus par pression mécanique.
    Évidement, je réalise ces exercices dans une séquence de la crème salée et de chélation.
    ...en plus du massage vigoureux, j’ai fait une marche rapide.
    Ces exercices au sol sont fastidieux, j’ai donc troqué le rouleau à massage par un rouleau en carton épais.
    Je passe ce rouleau comme on passe un rouleau à pâtisserie. Ça marche aussi bien.
    ...Le moucheté a totalement disparu mais un badigeon demeure.
    Ce badigeon se voit quand je fais une pression sur la peau et sous laquelle la peau devient blanche quelques intants après avoir retiré le doigt.
    Comme j’ai encore un point de côté qui apparaît quand je fais ces massages, j’ai donc des M.L. qui demeurent dans la peau.
    J’attribue donc ce badigeon aux ml et je continue donc mes applications.
    ... Le point de côté s’est réveillé: c’est bon signe, ça veut dire que de la mobilisation a eu lieue.
    Je vais donc reprendre une solubilisation d’Ala pour abaisser ce point.
    Même si, en théorie, il faudrait éviter ce point, ce point me permet de savoir que le traitement fait effet.
    Je ne suis donc pas dans le dépit d’être dans le doute s’il y a mobilisation ou pas.
    Plus j’avance, plus la concentration de ml baisse, plus il faut agir en endurance et énergie pour grater en profondeur.
  • 14avr Photo de la flambée du badigeon homogène qui occupe toute la surface des hanches et du ventre :
    Image
    Sans raison apparente, ce phénomène se déclenche.
    Il s'agit d'une flambée intermittente qui dure une heure.
    Une heure après cette photo, l'inflammation a fortement diminué toute seule, les points rouges se devinent à peine.
    Je ne sais ni ce qui déclenche, ni ce qui interrompt ce phénomène, un régulation interne ?
    ...Avec des crèmes salées, j'ai mis un sacré coup de pied dans la fourmilière.
    Chaque point rouge de cette flambée est une réaction locale à un ml.
    C'est la première fois que je vois ce phénomène aussi répandu.
    (nota, la zone sur la peau correspond à peu-près au colon - à surveiller).
    L'inflammation est peu intense, je ne suis donc pas inquiet.
    Je ne souhaite pas intervenir pour l'instant pour surveiller l'évolution.
    Il est possible que les ml sortiront par desquamation, autant ne pas intervenir.
    ... Ces métaux-lourds ont toujours été présents dans le tissu cutané mais ils étaient tapis dans l'intra des cellules.
    En sortant ils provoquent ces inflammations.
    Tant que l'inflammation est superficielle, je continue donc le drainage et la mobilisation.
    J'en suis à quinze jours de mobilisations quotidiennes.
    Le fortes flambées par plaques sont une vieille histoire, les mouchetés localisés sont également une vieille histoire.
    Il me semble que je suis en train de déterrer des métaux-lourds enfouis depuis tant d'années qu'ils ont pu se disperser de façon hyper homogène...
    ...J'ai permuté la séquence : crème saline, marche rapide 1h, sauna.
    Dans cet ordre-ci, le sauna est bien plus relaxant.
    La transpiration dans le sauna est au rdv, ça veut dire que la crème est encore en action 1 heure après l'application.
    la déshydratation n'a donc peut-être pas lieue en 5 minutes mais au fur et à mesure que la crème se dissout...
    Cela explique peut-être des petites flambées douze heures après l'application de la crème.
    Il semble donc logique de prendre les chélateurs hydrophiles solubilisés au moment de la flambée et d'enchainer avec une marche rapide.
    ...Je suis étonné par l’absence de symptômes du au sel.
    Ca fait quinze jours que je m’envoie 2 grammes de NaCl par jours via la peau.
    Sur le plan général, je n’en ressens rien (sauf les flambées localisées de ml).
    Je me doute bien qu’on peut encaisser de grosses variations, mais là ça fait 10% des minéraux.
    Il est possible que les reins éliminent tout de surplus assez rapidement (?).
    Par précaution, je bois beaucoup d’eau en ce moment.
  • 15avr. Je ne saurai dire si c'est lié, mais j'avais bu une tisane de chez l'herboristerie (pl. clichy) juste avant la flambée sur la peau. Je le note au cas où ...
    J'ai fait un mix entre "tisane pour peaux" et entre tisane pour "poumons" :
    Composition de la tisane pour peau : Bardane rac, sauge off, scabieuse, pensée sauvage, salsepareille rac.
    Composition de la tisane pour poumons : hysope, lierre T, bouillon blc, pin bourgeons, réglisse, serpolet, thym, marjolaine, romarin.
    Je vais recommencer aujourd'hui pour voir ce que ça donne.
    Fait, petite flambée à retardement, 1/4 moindre qu'hier. Je recommence donc demain.
    ...Je rappelle que je pousse les posologies aux maximum de mes limites afin de afin de borner les posologies.
    Après ces essais, je m'inscrirai dans des posologies pépères au long cours de façon à écouler les ml en toute sérénité.
  • ...16avr. En dépit des applications de la crème saline, les symptômes sont stables (badigeon).
    Je n'aime pas cette période car il est difficile de monitorer la situation.
    Des questions se bousculent en boucle dans ma tête. C'est agaçant.
    Cependant, j'ai fait du chemin : les fortes flambées ni le point de côté ne réapparaissent plus su tout.
    Cela voudrait dire qu'une forte quantité de ml à été enlevée.
    Faute de solution alternative, je continue mes crèmes quotidiennes.
    Je me rappelle que les symptômes de l'exfiltration des ml lors des bains de bouchent étaient stables pendant 15 jours.
    Puis, du jour au lendemain : plus aucun symptôme.
    ...Ça ne fait que quinze jours de traitement, j'arrive à un plateau de symptômes.
    Des picotements réapparaissent de temps à autre, mais c'est moins intense et moins durable.
    Contrairement aux muqueuses avec lesquelles la réponse à l'osmose peut être intense, l'osmose sur la peau ne répond pas aussi rapidement.
    Tel que je m'y attendais, il faut persévérer encore.
    Pour désintoxiquer la peau, à cause de la barrière cornée, il me semble qu'il faut prévoir des longues séries d'applications de la crème.
    Autant les bains salins de bouche quotidiens peuvent être pliés en quelques petites semaines, autant la peau va nécessiter une inscription dans la longue durée.
    ...Quand au badigeon, je vais arrêter ces tisanes et le café pour voir ce que ça donne.
    Jour 1 sans café ni tisane : petite flambée du badigeon.
    Mais le badigeon rouge demeure stable avec quelques amorces de flambée qui avortent aussitôt, ça "clignote" un peu.
    Ce badigeon était déjà présent avant les crèmes salines, et je l'accusais déjà d'être la conséquence des ml.
    La tisane était une fausse piste, mais j'ai un radiateur à proximité de mon poste de travail qui rayonne, ça créée peut-être une déshydratation, qui fait sortie les ml, d'où l'inflammation.
    Cela explique également pourquoi cette flambée à lieu tous les jours à la même heure à mon poste de travail et sans lien à la crème saline.
    ... la marche rapide me semble le moyen de drainage le plus complet et le plus profond.
    Il me semble que c'est le seul moyen pour que toute la lymphe fasse une rotation complète dans le corps.
    Cela est préférable pour retirer le NaCl de façon à ce que le tissus cutané retrouve une tonicité correcte dans un délai rapide.
    Ainsi, l'application suivante permettra de déshydrater à nouveau.
    De petites déshydratations en petites déshydratations, toute l'eau (et donc ses ml) aura été renouvelée sans que la cellule ne soit totalement desséchée.
    ...Epaule : les sensations se sont un peu détendues, mais à ce rythme, il faudra des mois pour traiter éliminer ces sensations.
    ...Parfois, je me demande si je ne dois pas laisser 48h entre 2 applications de la crème saline de façon à laisser la peau se réhydrater - en suspens.
  • #17avr La tendance du badigeon est à la baisse. les mini-flambées du badigeon sont également à la baisse.
    C'est très ténu : Plus ça baisse, moins ça baisse...
    C'est éclatant en tout début de détox, puis ça devient de moins en moins perceptible au fur et à mesure qu'on avance.
    C'est une loi que j'observe régulièrement pour la détox.
    ...J'ai également un le muguet buccal qui baisse, mais ce muguet fait des variations cycliques depuis de nombreuses années.
    Il s'agit peut-être d'une concomitance et non d'une corrélation, mais il faut que je le surveille...
    ...Routine
    Par simplification de la journée, je vais tenter un nouvel agencement de la séquence pour la rendre la + transparente dans le déroulé de ma journée.
    Désormais, je ferai l'application de la crème après la douche du matin.
    Et je fais ma marche en fin d'après-midi comme j'aime la faire direct après la sortie du boulot (Je dors bcp mieux si je la fais à ce moment-ci).
    Cela ne change rien à ma journée habituelle, si ce n'est que je passe juste 5 min de plus dans la sdb pour la crème.
    Il faut encore que je vois si ce décalage de 12 heures entre la déshydratation et le drainage ne compromette pas la mobilisation des ml.
    Cependant, dès que je passe par une solution lipophile, j'ai remarqué un retardement et étalement des effets dans le temps par rapport à une solution aqueuse.
    Ce décalage est donc peut-être opportun car, pour l'instant, je me fie aux solutions aqueuses salines qui agissent en 5 minutes chrono.
    Mais j'ai remarqué que dès qu'on met de l'huile (ex : amocassos), les tout premiers symptômes d'effets (point de côté) ont apparu en une demi-journée.
    La couche cornée étant fait à 99% des lipides et la crème étant nécessairement faite avec une phase huileuse, là, il faut que j'apprenne à domestiquer mon impatience.
    ...Je me suis enduit de crème saline dans les cheveux pour masser le cuir chevelu, cela va peut-être ralentir la perte de cheveux. Qui sait ?
  • Analyses - le 3 avril, j'ai fait un petit échantillon pour analyses de l'arsenic après une chélation.
    Résultat prévu vers le 20 avril...
    Il faut 15 jours au laboratoire français pour analyser 1 seul métal à 50e. :ouin:
    Versus Microtrace : 3 jours (+2 de poste) pour 30 métaux à 90e. y'a pas photo.
    17 avr - résultats : < 7.4 mcg/gcrea. (réf pop générale N: < 10 mcg/gcrea.) - rappel ref MTM : 15 mcg/gcrea.
    Je suis donc en dessous des normes de MTM et des normes françaises.
    Cela veut dire que je n'ai plus d'arsenic ou que je n'ai plus arsenic accessible aux chélateurs.
    Ces analyses ne portent que sur l'arsenic, d'autres métaux non analysés car non demandés sont peut-être sortis.
    Il faudrait donc que je fasse des analyses chez MTM pour bénéficier des 30 métaux.
    Mais il est possible que le rebond ou que les mobilisations soient au-dessous des normes.
    De toute façon, tant que j'ai des symptômes, ehs, badigeon, picotements, je continue mes traitements.
  • #18 avr : Je m'installe dans une routine :
    crème saline le matin après la douche, puis par oral : solubilisation d'Ala, et enfin 1h de marche rapide l'après-midi, comme d'hab ;
    Soit : mobilisation - Fixation - Drainage - Élimination.
    En buvant assez d'eau pendant la journée, le retour à la tonicité se fera en 24 heures.
    Et en mangeant des légumes, la cellule sera renflouée avec ses minéraux préférés.
  • ...#19avr. mini-flambée mini-localisée (taille d'un sous-bock) au niveau du bide.
    Ça baisse de jour en jour mais le badigeon demeure.
  • ...#20avr. Hormis les petits points rouges, toute la peau est en excellent état.
    Ni le sel, ni la sortie des ml n'a crée de symptômes durables au-delà d'une heure.
    Les premiers jours, Il y a eu certes une minuscule pellicule suspecte de peaux mortes à peines visible sans attention.
    Avec un seul brossage à sec, cette pellicule a été ôtée, la suspicion n'a plus lieu d'être.
    Depuis, la peau est en excellent état.
    Le peau sur la partie très exposée des coudes est également en excellent état : pas de crevasses, ni de peaux sèches.
    Seul demeure le badigeon et ses petites flambées intermittentes sur les hanches.
    Mais si je ne tiens pas compte de la couleur, la peau des hanches en excellent état.
    Je compte donc tester une crème hautement saline (100g/l).
    Cependant, je vais laisser 48h sans crème saline afin que la peau retrouve une tonicité normale.
    Et je laisserai également 48h de repos pour retrouver la tonicité normale après application.
    ...Jour de repos, ça m'a fait du bien.
    Même si elles vont bien, mes tripes protestent un peu : j'ai quelques étirement quand je pivote sur moi-même.
    ca veut dire que les toxines sont en mouvement.
    Cela certes est mineur, mais cela est nouveau depuis que je fais ces crèmes.
  • #21 avr. Enchainement : Crème saline, marche rapide 1h, extrasso (0,75g edta + 0,2g dmsa, 2g bcs, 0,5l d'eau), escaliers.
    pas d'effet éclatant sur la peau, mais ça m'a dégagé le cerveau qui recevait des ml par la mobilisation.
    Je vais tenter cette formule toutes les 48h.
    Je n'ai certes plus de picotements, mais le badigeon et ses flambées demeurent.
    La marche rapide avec extrasso va peut-être rincer les ml fraichement sortis par la crème.
  • #22Avr. De fréquence quotidienne depuis le début de l'application des crèmes salines : mini flambée du badigeon de 10h à 11h.
    ...Même si je n'ai plus d'amélioration au niveau de la peau, j'ai quand-même des symptômes de mobilisations (maux de tête, fatigues aux tripes).
    Il me semble donc que les crèmes salines continuent de provoquer de la mobilisation.
    Cette mobilisation peut éventuellement parvenir des tissus ordinaires atteints par la crème au-delà de la peau.
    Je continue donc à appliquer les crèmes.
  • #23avr. Le badigeon et ses mini-flambées diminuent tout doucement.
    De plus, j'ai toujours les tripes qui travaillent.
    La digestion a baissé en qualité, cela est une bonne nouvelle : c'est que des toxines sortent par les crèmes salines.
    Ces toxines sortent certes de façon poussive mais elles sortent.
    Au pire, je ferai une ou 2 purges yogiques pour rétablir la fonction digestive.
    ...Ma nouvelle séquence est une extrasso comme déjà définie en sept-oct 2019 (bouteille, edta dmsa ; marche et escaliers) juste avant laquelle j'applique la crème saline.
  • 24avr. Il est 11h et pas de flambée du badigeon.
    Cela est tout nouveau.
    Je note que les beaux jours sont en train de s'installer.
    C'est le premier jour où il fait 20° dans mon local sans chauffage.
    Le climat et/ou le chauffage pouvait être la cause de la flambée.
    Ça fait longtemps que je note que le chauffage (air sec) est un paramètre actif quand les flambées (ou ex-picotements) apparaissent.
    Il n'en demeura pas moins que la tendance des flambées étaient à la baisse depuis le début de ce nouveau traitement.
  • ...#25avr. À 10h : mini-flamblée habituelle sur la peau au niveau de l'estomac.
    Mais elle est apparue en dépit que je sois dans des circonstances différentes des jours précédents.
    Mes habitudes n'ont donc rien à voir avec ces flambées.
    En qq jours, la tâche s'est déplacée de la hanche pour aller au niveau de l'estomac.
    Ça fait trois jours que je n'ai ressenti aucun picotement.
    Il a fallu des applications quotidiennes pendant 20 jours pour traiter les picotements qui ont été à l'origine de ce traitement.
    En théorie, le sel a aspiré les minéraux de l'intra vers l'extra.
    Une fois dans l'extra, les ml provoquent ces flambées.
    Mais le badigeon et les mini-flambées du badigeon demeurent.
    Ces flambées sont peu durables et légères, pas de relief sur la peau, pas de picotements, ni de sensation de brûlure.
    De plus, ces flambées ont lieues tous les jours à 10h-11h pendant 1h alors que l'application de la crème déshydratante date de la veille.
    Elles ne ressemble pas aux grosses flambées qui suivaient immédiatement les toutes premières applications, et qui ont désormais disparu.
    Je me demande si ces métaux ne sont pas piégés dans la couche cornée.
    Les flambées des hanches ont bien diminuées, les métaux sont donc peut-être sortis par desquamation.
    Il devrait donc en être de même avec ces les métaux au niveau de l'estomac.
    Je me demande si je ne suis pas en train de déterrer lentement mais continûment des métaux profondément enfouis.
    Les symptômes évoluent, je continue donc mes crèmes.
    Par ailleurs, le point de côté a quasiment disparu depuis quelques jours et il ne réapparait pas, cela veut dire que la mobilisation en ml est bien plus faible.
    J'ai donc quitté les zones de turbulences, je ne crains donc plus de grosses surprises.
    ... Je prends de l'ala solubilisé 2x par jour et je prends 0,75g PA d'edta solubilisé pendant chaque marche rapide, cad 1x/j.
    À part ces flambées localisées, le reste de la peau est excellent état.
    Elle ne souffre pas ni du sel ni de la déminéralisation.
    ...1h après le début de la flambée, la peau à totalement retrouvé son aspect normal ... jusqu'à la prochaine flambée, épatant.
    ... La détox de la bouche avait nécessite 15 jours d'application quotidienne de bains salins.
    Contrairement aux muqueuses, la peau étant constituée d'une barrière, il est entièrement normal que la durée d'application s'étire sur plusieurs semaines ou plusieurs mois.
    ... je m'interroge pour la détox de l'intra des tissus (os, muscles, cerveau).
    Il me semble qu'il serait prudent que je surveille à vie le rebond.
  • #26 avr. 10:41. Je guette la flambée, mais aucune prémisse n'apparait pour l'instant.
    ...Pas de flambée dans la journée.
  • #27AvrMême si ça avance un peu, je suis impatient.
    Je vais donc tester le sel d'epsom dans la crème en substitution du NaCl.
    y'a du soufre dans le sel d'epsom : ça devrait participer à drainer les ml jusqu'à la sortie.
    C'est un sel qui est utilisé pour la peau, cette initiative semble pas trop déconnante.
    Mais ce sont des sels de l'intra.
    Je vais y aller mollo et bien surveiller le déroulement.
    Autant le NaCl, ce sont des sels de l'extra, ils seront brassés dans la lymphe et éliminés par les émonctoires.
    Autant les sels de l'intra sont difficiles à manipuler.
    Cependant, je pourrait peut-être repasser au NaCl et donc faire sortir le MgSO4. Placébo ?
    Par contre, le Mg2+ fera peut-être compétition avec les ml2+ dans l'intra, mais le SO4- devrait diminuer/inhiber/renverser cette compétition.
    Pour bien faire, il faudrait donc un sel composé d'un cation intracellulaire et d'un anion extra-cellulaire, ex : Mg++-2Cl-. ; Ou inversement ? 2Na+-SO4--. A tester.
    ... j'ai en stock du sodium sulfate : SO4-Na. Je l'ai consigné dans ce post : DETOX DE LA PEAU
    dans ce vieux post, j' a écrit:sel de Glauber : SO4-- Na+, Sulfate de sodium.
    J'ai essayé ce sel à deux reprises, ça dessèche très fortement la surface de la peau mais ça ne déshydrate pas l'épaisseur du derme.
    Le sel de table me semble encore préférable à ce sel.

    Je réessaye bientôt dans la crème après la fenêtre thérapeutique.
    Par contre c'est le Mg-Cl qui m'intéressait, mais je n'en ai pas en stock.
    Si le NaSO4 donnait rien, j'essaierais de me procurer du NaCl.
    ...Les tripes sont encore un peu fatiguées.
    Même si j'ai l'impression que ça n'avance pas assez vite, j'en fait trop.
    Il est possible que la crème soit un peu "lourde" à digérer.
    Tous les jours, j'applique 40ml de crème (industrielle), elle passe par la peau, et elle serait filtrée par les intestins.
    J'hésite à faire une fenêtre thérapeutique. ...allez, je me fais une petite fenêtre.
    ...14h. 2ème journée sans flambées. ça semble se confirmer. Pourvu que ça dure.
    Les petits points rouges ne sont certes pas passés au rouge clignotant, mais ils demeurent visibles à basse intensité comme prêts à s'emballer.
    Ça fait comme un peau de léopard entre rose clair et rose un peu moins clair qui me nargue et où chaque point est une tâche de cambouis au milieu de mon drapé de salubrité. :(
    Le badigeon est toujours en place, il risque d'être long à éliminer.
    Je persévère, j'en ai peut-être pour encore quelques semaines, sans pouvoir trop monitorer si ça sort ou s'il y en a encore ?
    je me raccroche à des signaux de bas bruits comme je peux, rougeurs qui s'estompe sous la pression du doigt,...
    Mais il vaut mieux en appliquer trop que pas assez.
  • 28avr. 2ème jour de pause.
    les symptômes à la surface de la peau ont baissé d'un cran.
    Le badigeon a disparu la majeur partie de la journée.
    Mais occasionnellement, il apparait pendant une heure de la même façon qu'apparaissait la flambée des jours précédents.
    Les toxines semblent s'enfouir dans l'intra en quelques dizaines d'heures : 12, 24, 48 ?
    Les ml feraient majoritairement du yoyo entre l'intra et l'extra.
    Avec les futures crèmes salines d'epsom, je verrai bien si les ml vont bien vouloir se mouvoir vers la sortie.
    Pour l'instant je continue la pause pour tenter d'éliminer les quelques sensations dans les tripes.
    La fatigue fluctue, mais ça me fait du bien de faire une pause car j'ai fait du quasi-non-stop depuis la début avril.
    Hier, quelques rares picotements se sont manifestés dans le dos, surtout quand je m'étire pour lacer mes chaussures, le problème n'est donc pas réglé.
  • ...




Edit 11 mai 2020: le paragraphe suivant est désactivé car les mises à jour ont été consignées dans un nouveau post (voir un peu plus bas).
Voir post du 30 avril : Crèmes salines III - suite.
    Détox de la peau - version modifiée régulièrement. - dernière modif vers le 18 avril, nouveautés : voir le pointage ci-dessus.
    L'idée de ce protocole est de faire se rencontrer les ml et les chélateurs :
      1. Ingestion de chélateurs pré-solubilisés, [img]smile/beer.gif[/img] = déploiement immédiat du chélateur en nuage dans la lymphe.
      2. puis, application d'un crème saline pour presser la cellule cutanée comme un citron, :ouin: = deversement de l’eau intracellulaire chargée de ml du tissu cutané dans la lymphe.
      3. et enfin : des activités physiques pour créer un bouillonnement de rivières souterraines, [img]smile/suri_2002.gif[/img] = rencontre des ml et des chélateurs par agitation de la lymphe.
      En séquence :
      1. mini-chélasso à boire à jeun en tout début de séance, solubilisation d'hydros. (0,14l d'eau, 0,1g de PA de dmsa, 0,2g d'Edta, 0,5g de bcs, mixage)
      2. udvartana à l'Ala (0,2g de PA) sur les peaux les plus exposées aux ml (hanches, colonne vertébrale) - Optionnel.
      3. Application de la crème saline (20 à 40g/l max) mixée avec 0,2g de PA d'Edta par application.
      4. Marche rapide 1heure, + Escaliers 300 marches pour drainer jusqu'aux émonctoires.
      5. Activité physique afin de provoquer une hyper-vascularisation (bain froid ou sauna) pour achalander les chélateurs jusqu'en en surface - Optionnel.
      6. Auto-massage au rouleau pour forcer le drainage par action mécanique.
      7. Application de la crème hydratante - Optionnel.
    • Fréquence raisonnable : (bi-)hebdomadaire. Le matin, au lever, à jeun.
    • Bien boire bcp d’eau pendant la journée pour réhydrater la peau, ajouter un peu BCS pour aider à la solubilisation.
    • A jeun, plusieurs fois répartis dans la journée : Ala solubilisé : 0,14l d'eau, 0,1g PA Ala (ou 1gélule), 5ml d'hv, 0,2g léc.soja à mixer.
    • Remède en cas de sur-mobilisation : arrêt des crèmes salines et Ala solubilisé matin et soir jusqu'à résorption.
    • Options :
      • AMOC : un peu d'allicine (fraiche) et/ou qq goutes d'he dans la crème, ou dans l'hv.
      • Dans la crème : 0,1g de soufre pur en poudre.
      • 1 goute d'he de Livèche dans l'huile de la solubilisation de l'Ala.


Détox des tissus par un "baume" :
    Phase huileuse : 25ml hv sésame
    Phase aqueuse : 10ml eau + 3g sel de cuisine (NaCl), mixer au préalable.
    Olivem 1000 : 2g - tensio-actif
    Lécithine soja : 1g - tensio-actif
    Stéarate de magnésium : 2g - épaississement de la crème
    Chauffer, mixer, laisser refroidir en mixant.
    ajouter à froid, Conservateur : 5goutes, mixer
  • Rappel : il faut mixer à chaque étape.
    En exemple : voir vidéo de la confection d'une précédente crème : crème chélatrice
  • À conserver au frigo
  • Je masse énergiquement le muscle avec la paume de la main au niveau du poignet de façon à faire chauffer le muscle et à forcer la pénétration en profondeur.
  • Pendant la période de massage, il faut également boire de l'Ala solubilisé afin d'éliminer les ml, sinon les ml demeurent dans le muscle.
  • Je ne suis pas hyper satisfait de cette recette mais elle fonctionne un peu, c'est l'essentiel... J'aurai l'occasion de la peaufiner ultérieurement (voir pointage du #10 avril ci-dessus).



pratico-pratique : Préparation de la solution solubilisée pour produits lipophiles : Ala, He, anti-mo,...
    L'enjeu est est de solubiliser de l'huile dans de l'eau (avec un tensio-actif).
    Ainsi, à jeun, la solution se transfère directement dans le sang sans être dégradée par l'estomac.
    De plus, le principe actif est dispersé en nuage de façon à percoler en profondeur dans les tissus.
    La préparation de la solubilisation de l'Ala à chaque prise est très fastidieuse.
    Voici donc une simplification de la tâche.
    • Dans un bêcher de 100ml, je verse :
      • 50 ml d'hv de sésame
      • le contenu de 10 gélules d'Ala, soit 10x 0,2g de principe actif = 2 g de PA.
      • 5 grammes de lécithine de soja en granules (achetés en magasin bio) = tensio-actif.
    • Je chauffe au bain marie à 35° (tiède au doigt, surtout ne pas dépasser 45° : sinon l'Ala se dénature)
      Je mixe de façon à ce que les granules soient totalement dissous dans l'huile.
      Je verse dans une mini-bouteille en verre transparente avec bouchon.
      Je place au frigo.
    • Le moment venu (1, 2 ou 3x jour), je secoue avec énergie la bouteille car l'Ala s'est tassé au fond du bêcher, je prélève 5ml (1 c. à c.) que je verse dans un verre déjà rempli d'eau.
      Optionnel : j'ajoute 1 goute d'He de Livèche (max : 1 goute par jour, et 5 goutes par semaine).
      Optionnel : ajouter 0,5 g de BCS.
      Optionnel : j'ajoute 1 gélule d'edta ou de dmsa (+0,5g de BCS : il faut éviter que l'edta fasse une grosse écume (mais une toute petite mousse n'est pas problématique)).
      Je mixe 20 à 30 secondes le contenu du verre pour que ça devienne bien homogène et je bois.
      Avec cette préparation, je peux ainsi boire 10 solubilisations en m'épargnant la longue préparation à chaque séance.
    • J'en prends 1/2/3 fois par jour toujours à jeun.
    • Boire assez d'eau dans la journée, et adopter un régime en légumes pour renflouer en minéraux.
    • Je vais adopter cette solution en routine afin de traiter le rebond pour les mois à venir mais en baisser la posologie à 2-3 fois par semaine.
    • En cas de fatigue, baisser la posologie.
    • Rappel : avant de se traiter à l'Ala, l'extra doit être totalement chélaté par les chélateurs hydrophiles : dmsa, edta.
    • Panacée
        Cette confection me semble la solution physiologique et appropriée pour prendre tout produit lipophile tout en conservant 100% de l'action du PA.
        C'est encore mieux qu'une iv, car y'a pas besoin de médecin, ni de piqure, et qu'il n'y a pas de risque d'une concentration trop forte.
        À jeun, cette solubilisation est donc presque la panacée.
        Il ne lui manque plus que de transformer les métaux pour rivaliser avec une fameuse pierre alchimique.
    • Micro-orgnaismes
        Cette solubilisation est tout autant valable pour les he, allicine, et autres anti-mo.
        J'en profite donc pour ajouter des he non caustique et anti-mo à hauteur de 10% de l'huile du bêcher.
        Et de temps à autre, j'ajoute 1 goute d'He caustique, cannelle, origan,...
        D'un mois à l'autre, je ferai tourner les he et les anti-mo de façon à brasser un large spectre de MO.


Traitement de fond des métaux-lourds
  • Au cours de ces expériences, une légère amélioration du cerveau est apparue.
    Cette amélioration ne se ressent qu'au bout d'une semaine.
    J'attribue cela aux prises régulières de solubilisation d'Ala.
    Il me semble que l'Ala élimine le fameux rebond.
    Les rebond est la libération de métaux-lourds par des tissus profonds (cerveau, os).
  • Lors de mes premières prises d'Ala solubilisé, des progrès modérés se sont fait ressentir.
    Mais ces progrès ont cessé en dépit de la poursuite du traitement et en dépit de céphalées résistantes.
    Avec l'arrêt des progrès, j'ai donc cessé les prendre de l'Ala solubilisé.
    Or, les récentes analyses montrent que quelques rares métaux-lourds continuent de sortir.
    Or, quelques progrès ténus apparaissent lors de la reprise des solubilisations.
    En dépit de l'arrêt des progrès modérés, il ne faut donc pas arrêter la prise d'Ala.
  • Actuellement, je ne ressens presque plus de céphalées.
    Cependant, je ressens des améliorations.
    Cela veut dire que des ml demeurent en silence.
    En dépit de leur silence, il ne faut pas négliger ces ml car il peuvent provoquer un Alzheimer avancé sans que l'on s'en aperçoive.
    Une fois que les symptômes d'Alzheimer sont visibles, il est trop tard pour revenir en arrière.
    Or, les populations traditionnelles consomment du soufre à vie dans l'alimentation.
    Le traitement chélateur couplé à un régime riche en légume est donc le remède adéquat de façon à traiter les maux de l'âge sans en créer d'autres.
    Dans un traitement d'entretien après une période de chélation intensive, la quantité de chélateur n'a pas besoin d'être élevée.
    Quelques gélules d'Ala par semaine me semblent suffisantes tant qu'il n'y a pas de symptômes qui évoluent.





AUTRES SUJETS
CMO



Autre sujet : le test lymphocitaire.
    Ça fait longtemps que je recherchais une adresse pour faire ce test.
    Le test lymphocitaire permet de simuler la réaction des lymphocites lors de la mobilisation des métaux-lourds.
    Ce test est occasionnellement réalisé en préventif avant une chélation.
    Voici une source qui en parlera mieux que moi : Intox au ml, de chez ehs-mcs.org
    Néanmoins le test au DMPS ne donne que des résultats pondéraux. Il ne permet pas l’évaluation de la réaction qualitative de l’organisme aux métaux, en d’autres termes la mesure de l’empreinte toxique que ces derniers ont générée dans l’organisme. Seuls ici des tests immunitaires recherchant d’une hypersensibilité retardée de type 4 de la classification de Gell et Coombs pourront répondre à la question. Assez souvent, en complément des dosages pondéraux, si ceux-ci sont positifs, on sera donc amené à effectuer des tests de stimulation lymphocytaire, les métaux potentiellement toxiques étant alors mis au contact des lymphocytes du patient mis en culture. Dans ce cas les prélèvements de sang devront tout autant être adressés à un laboratoire spécialisé :
    LABORATOIRES RÉUNIS Junglinster
    38, rue Hiehl
    Z.A.C. Laangwiss
    L-6131 JUNGLINSTER
    Tel.: +352 780 290 1
    Fax.: +352 788 894

    J'ignore encore quelle est l'alternative médicale au Dmps en cas de test positif.
    Mais, en traitement de fond, j'adopterai le régime sans sucre afin de baisser les toxines lipidiques. Voir même un petit jeûne de trois jours.
    Je ferai aussi des bains froids afin de multiplier les capillaires et afin de multiplier les mitochondries de façon à renforcer le raffinement de la justesse de réponse du SI.
    Et en traitement immédiat de l'inflammation, je ferai un gros massage à l'huile de coco.
    Le Dmsa et l'Edta étant plus sûrs que le dmps, il est possible que ce test poussera le médecin-chélateur à opter pour ces 2 chélateurs en alternative au DMPS.
    Cependant, mon expérience me montre que le Dmsa et l'Edta sont dix fois plus efficaces en chélassos qu'une iv de Dmps (et donc 1000x fois moins chers).


Édit Culture : Pièce filmée à la Comédie Française : L'Avare. (Dispo jusqu'au 6.7.20) :
Dans l'Avare, Molière a écrit:Élise: Mais ce mariage, Valère !
Valère : On cherchera des biais pour le rompre.
Élise : Mais quelle invention trouver, s’il se doit conclure ce soir ?
Valère : Il faut demander un délai, et feindre quelque maladie.
Élise : Mais on découvrira la feinte, si l’on appelle des médecins.
Valère :Vous moquez-vous ? Y connoissent-ils quelque chose ? Allez, allez, vous pourrez avec eux avoir quel mal il vous plaira, ils vous trouveront des raisons pour vous dire d’où cela vient.


Non-chalance des psychiatres [img]kator/smiley87.gif[/img] [img]kator/smiley87.gif[/img] [img]kator/smiley87.gif[/img]
    J'ai récemment eu l'occasion d'échanger avec deux psychiatres.
    Je leur ai présenté mon discours, mais il y a deux sujets que je laisse volontairement en suspens :
    Quant aux causes et aux traitements, je veille bien à ne pas approcher le sujet et j'attends patiemment qu'ils posent la question.
    J'ai rodé mon discours auprès d'un poignée de médecins, ces questions tombent donc très vite.
    Elles créent un suspens par lequel le médecin pense obtenir un échappatoire.
    En réponse aux causes, je lis le paragraphe 4.16 de la revue "Chelation Therapy" : Herrmann et Schweinsberg (1993) ont observé une corrélation significative entre «l'indice de remplissage d'amalgame dentaire» et l'excrétion de mercure.
    En réponse au traitement, je dis que la molécule utilisée à l'hôpital est la même qui est utilisée pour éliminer les ml d'une piscine : E.D.T.A.
    Diagnostiques à l'appui, avec l'article des centres antipoison sur l'interdiction du diag de ml, et avec le bilan des ml des autopsies sur les Alzheimer, je les pousse en quelques phrases dans leurs retranchements.
    De plus, comme leur médecine prétend n'aboutir à aucun résultat, ces médecins n'ont pas d'échappatoire.
    Non-chalamant, l'un a rétorqué qu'il essayait d'instaurer son empire sur son patient en trafiquant le cerveau avec des médocs dopaminergiques.
    Je demande donc s'il traite les causes, il répond que non avec beaucoup d'assurance.
    L'autre à rétorqué qu'il n'était pas formé et donc que ça ne l'intéressait pas.
    Mais qui gardera ces gardiens ? - Juvénal
    Faute de traiter les causes, les traitements sont donc inopérants au risque d’agraver l’état de santé.
    De plus, la montre tourne, et donc, les symptômes peuvent se transformer en séquelles.
    Les médecins français ont franchement tout pour plaire.
    Ces médecins méritent la prison.
    Leur seul souci est d’instaurer un empire quitte à ce qu’il soit dégénératif.
    Illustration littéraire : "Qu'il est doux, quand la vaste mer est soulevée par les vents, d’assister du rivage à la détresse d’autrui" (Natura Rerum - Lucrèce).
    Comme Charles Mauras avec la sérénité, les médecins français se refusent ouvertement à s'intéresser aux intoxications durables.
    La médecine conventionnelle est une médecine de fils de p.tes.
    Après avoir inoculé le mercure à retardement avec les plombages, et après avoir interdit les dosages post-chélation, leur déni les contraint à laisser les patients pourrir sur pied.
    Pour obtenir ces aveux, je veille à n'exprimer aucun jugement ni sur mon visage, ni dans le ton de mon discours.
    S'ils résistaient à avouer, je m'amuse à dire : "ha la boulette", ça crée une (fausse) complicité qui libère leur parole.
    Il ne faut pas omettre qu'avec 20 millions (source) de malades chroniques, on peut dire que les médecins français sont assis sur une nappe de pétrole super-géante.
    Ce nombre élevé de malades chroniques est suffisant à lui tout seul pour conclure que le contenu de la médecine conventionnelle est creux.


Le Soufre et l'Arsenic au Collège-de-France.
    Au Collège de France, j'ai entendu une fois parler du traitement de fixation d'un métal-lourd (Arsenic) par du soufre.
    Même si cela est insuffisant pour en faire une généralité par une grande institution, le traitement d'un métal-lourd par du soufre est quand-même évoqué au Collège de France.
    Même si ce n'est qu'un sujet en annexe d'un conférence sur le cancer, cela est déjà remarquable dans notre contexte.
    Cela veut dire que la chélation est une pratique médicale courante.
    Conférence : L'oncologie, de l'empirisme à la biologie moderne - Hugues de Thé, chaire Oncologie.
    Voici mes notes succinctes de la conférence :
      Chez un sujet sain, les cellules souches vieillissent. Elles peuvent présenter jusqu'à 7 à 10 mutations : un état pré-cancéreux.
      Des mutations sans importance parfois : l'usure des cellules souches.
      Rechute avec un clône issu de la chimiothérapie
      L'arsenic pour guérir des lymphomes et le soufre pour fixer l'arsenic.
      Acide rétinoique + arsenic pour guérir, ou acide rétinoique + chimio.



Voici les formules des chélateurs :
    ALA : C8H14O2S2 - 2 soufres
    BAL : C3H8OS2 - 2 soufres
    DMSA : C4H6O4S2 - 2 soufres
    DMPS : C3H8O3S3 - 3 soufres
    EDTA : C10H16N2O8 - 2 azotes, l'azote (N) et le soufre sont des anions, l'azote semble donc remplacer le soufre
    DTPA : C14H23N3O10 - 3 azotes.

    Ces molécules sont stables, elles ne réagissent pas, elles ne se transforment pas et elles ne transforment pas d'autres molécules : elles ne produisent donc pas de réaction chimique.
    Pour ces molécules, l'appellation de "Chélation Chimique" me semble donc pas tout-à-fait appropriée.
    Il existe certes des deux types d'incidents :
    • l'un que j'attribue à la trop forte concentration d'une iv (5 cl à 200g/l).
      La solution pourrait se fixer sur un organe et le vider de son calcium.
      Sur le cœur, cela pourrait créer une arythmie.
      Mais ces incidents sont improbables par des iv lentes.
      Mais dans une perfusion ou une solubilisation orale (2g/l), ces incidents n'existent pas.
    • l'autre par réaction allergique ou redépose.
      La solution alternative est le recours au dmsa qui est le chélateur le plus sûr.
    La molécule chélatrice est très polarisée (en -), elle s'associe donc à un cation (ion +).
    Cette association est stable mais elle n'est pas une liaison forte comme entre deux atomes d'une même molécule.
    Par voie de conséquence, cette association n'est pas une réaction chimique au sens strict, c'est à dire qu'il n'y a pas de modification de la matière.
    Ça s'apparente plutôt à des aimants qui se collent et se décollent.
    C'est une réaction de complexation : un complexe de 2 éléments est formé.
    Avec un chélateur, le métal lourd est décollé de la paroi cellulaire pour se coller au chélateur.
    Ensuite, le chélateur et son métal complexé circulent, et enfin ils sont éliminés.
    J'appèlerai cette chélation "bi-soufrée", ou "multi-soufrée".
    La dédoublement du soufre permet d'augmenter l'affinité avec les métaux multi-valents : Pb2+, Hg2+,...
    Ces molécules n'ont de chimique que leur synthèse, mais non leur réaction dans le corps.
Dernière édition par Sophocle le Lun 11 Mai 2020 08:00, édité 1 fois.
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Re: La Détox ultime par la naturopathie et par la littératur

Messagede gogote » Mar 28 Avr 2020 17:31

Bonjour cher Sophocle !

Je viens de rattraper une grande partie de mon retard sur ton sujet. [img]images/icones/icon15.gif[/img]
Un ptit merci en passant pour la pensée à un moment, et de nous partager la poursuite de toutes tes expériences !

Ma question est assez simple et la suivante :
je viens de reprendre les bains de bouches salés, la prise d'ala ( à voir si je reprends du dmsa pour test ) car l'environnement dans lequel je me trouve est très fortement propice à la detox, et surtout, que je me sens bien mieux pour se faire, avec moins de micro organismes pathogènes à priori, et que je ne considère plus cela comme de la detox, mais plus comme de la redox. ( je stabilise avant et j'ajoute un max de nutriments pour canaliser le relargage et ne plus y associer le terme n peu barbare et potentiellement destructeur de "detox" ) Ayant enfin un équilibre global quant à mon poids et ma vitalité, je pense que c'est le bon moment pour voir comment la machine réagit. L'ala me déclenche parfois encore des réactions stratosphériques, avec un important mieux ensuite, et parfois, comme ces jours-ci, strictement RAS à part des sortes de douleurs proches de la peau.

C'est vrai que j'ai toujours visé l'intra pour chélater le cuivre/mercure/alu, mais peu focus l'extra... de fait, j'aimerai vraiment débuter un test de tes "chelassos" avec petit bain froid durant la période à venir. Si tu as des conseils adéquats en ce sens avec tout ce recul et expérience, n'hésite pas !!
Je compile cela à du " mewing " et travail postural, qui fait toujours bien bouger les choses, donc tant à faire et si ça remue, autant aider à faire sortir cela par la même. ;)

Globalement, ma détoxificaiton s'est tout simplement amélioré avec une amplification du sport d'endurance à travers le tennis dans mon cas, qui me manquait grandement et que j'avais pu reprendre avant de me tordre/briser la cheville à une semaine du confinement. [img]images/icones/icon15.gif[/img]
L'oxygénation par l'air extérieur et cellulaire est très important dans l'ensemble de ces protocoles, et il me semble que tu l'évoques pas mal via la marche ou autres formes d'exo/sport amenant à la transpiration.

Au plaisir, je vais terminer de lire les deux pages me restant. :top:
gogote

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Re: La Détox ultime par la naturopathie et par la littératur

Messagede Sophocle » Mer 29 Avr 2020 09:24

Cher Gogote, bonjour.

À lui seul, même si le sport n'a absolument jamais contribué à la détox des métaux-lourds, il est vrai qu'il est devenu une colonne vertébrale des activités de détox. En me lançant dans le sport, j'avais certes fondé beaucoup d'espoirs en lui mais, en dépit de son manque d'effet sur l'inflammation chronique, il a pris une place centrale. Désormais, je sais que je vais bien dormir après ma grosse heure de marche rapide. Donc, cela me permet de passer une bonne journée sans avoir à m'inquiéter d'une éventuelle nuit blanche à venir. Il y a donc toute une chaine de relaxation qui prend naissance avec le sport. De plus, avec le sport, je peux glisser rapido un ptit'sauna relaxant avant la douche, ou préparer une solubilisation à boire pendant la marche. Si je n'avais qu'un sauna à faire seul, ou une solubilisation à faire seule, ce manquerait de cadre physiologique. Là, avec le sport, tout est mutualisé, la préparation de la solubilisation devient une action satellite que je déclenche autour (avant/pendant ou après) le sport. Comme je fais quasi-quotidiennement du sport, mes actions de détox sont donc sans cesse relancées... Par exemple, sans sport, je ne me verrai pas boire un demi-litre de chélateurs à l'apéro... De plus, le sport va propulser les chélateurs dans les interstices du snc, il rentre donc dans la boucle de détox de façon précieuse.

Je n'ai pas vraiment de conseils, si ce n'est qu'il serait préférable de découvrir comment faire avorter ces réactions avant qu'elles n'aient lieues. Par précaution, il me semble qu'il faudrait réserver la prise d'ala après que les chélateurs hydrophiles ne fassent plus d'effet (ou que les analyses sortent négatives). Même si les bains froids ne devraient pas avoir un effet protecteur sur les réactions, il me semble que l'angiogenèse aurait quand même un effet catalyseur pour drainer et oxygéner en profondeur, et donc pour assouplir les réactions. Quand Ronaldo met une poche de glaçons sur un bleu en dépit que les clubs soient riches à milliards, je crains que cela veuille tout dire : que ça coute rien et qu'il n'existe aucune alternative pour retaper/booster un tissu organique. Le bi-carbonate de soude devrait stabiliser le chélateur, peut-être que cela aidera à contenir la réaction (ou peut-être fera-t-il réagir, il faudrait l'essayer à blanc). Les pH est quand-même un paramètre sensible, il serait donc utile de vérifier s'il a un effet déclencheur ou protecteur des réactions. Chacun dispose de sa sensibilité, je ne m'étonnerai pas que pour certains ce soit le BCS, ou le jus de citron pour d'autres... C'est là où l'angiogénèse est intéressante : le bcs foisonnera en nuage dans les tissus profonds... Un autre paramètre peut jouer : la dilution. Peut-être qu'une seule dose de chélateur dans un litre d'eau jouera sur la réaction. Si on rajoute un demi-litre ou un litre d'eau, la dose ne change pas, il devrait y avoir toujours autant de ml mobilisés, mais ils seraient bien moins concentrés... à voir.

Il serait également intéressant de monitorer la sortie de ml. Dans mon labo, certains métaux ne coutaient que 10e (plomb, cuivre, certains métaux sont peut-être même remboursés). On peut ainsi ajuster la posologie, et choisir les bons chélateurs. Dès qu'on prend un chélateur par voie orale, le ptit pipi à analyser ne complique pas la chélation. J'ai fait la connerie d'attendre 20 chélassos avant de faire mes premières analyses, le mercure était donc sorti à zéro. Mais le cuivre est quand-même sorti positif. Cependant, j'ai déjà montré mes analyses à des médecins, leur réaction a été très drôle : leurs regards tombent dans le vide et ils évitent le rapport d'analyse. [img]smile/joker.gif[/img] Épatant.

Au plaisir.

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Re: La Détox ultime par la naturopathie et par la littératur

Messagede gogote » Mer 29 Avr 2020 13:41

Bonjour Sophocle, merci de ta réponse.

J'ai arpenté la fin du topic entre temps, et mis de côté les différents protocoles que tu évoques pour voir comment les adapter à ma façon. :clap:
Tu parles d'un ensemble de chélateur, mais connais-tu, l'Emeramide ? Ce chélateur est évoqué sur un topic récent du forum, mais je n'en ai jamais entendu parlé, et je trouve peu d'infos à son sujet. Globalement, voici deux liens expliquant ci-dessous à son sujet. ( bon je renvoie un lien vers Mercola, l'un des premiers et seul que j'ai trouvé à ce sujet ... mais ça a le mérite de nous informer un peu à ce niveau de qui l'a découvert et comment. Je pense que ça pourrait t'intéresser par rapport à tes retours et ceux énumérés )

https://pubchem.ncbi.nlm.nih.gov/compound/Emeramide
https://french.mercola.com/sites/articl ... amide.aspx

J'ai enfin vu ta photo avec rougeurs sur le torse, j'ai toujours eu une explosion sur le torse de petites plaques/boutons rouges en grosse phase de mobilisation ou crises, celles ou je me retrouve vraiment très mal, en mode hypoxie, frissons, décharges musculaires, troubles de la conscience etc... intéressant.
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Re: La Détox ultime par la naturopathie et par la littératur

Messagede un_ptit_gars » Mer 29 Avr 2020 15:25

Salut l'ami!

gogote a écrit:Tu parles d'un ensemble de chélateur, mais connais-tu, l'Emeramide ? Ce chélateur est évoqué sur un topic récent du forum, mais je n'en ai jamais entendu parlé, et je trouve peu d'infos à son sujet


A la base c'est l'OSR, qui a été développé par Haley, vendu en vente libre en tant que complément pendant des années..avant de subir les foudres de la mafia médicale (voulant nous protéger de son potentiel de guérison trop évident :D), comme d'hab avec ce qui est réellement efficace.

Depuis quelques années, et faute d'enlisement pour réussir a le resortir avec l'aval des autorités, les chinois se sont engouffrés dans la breche ont sortis différentes copies avec des noms différents (dont emeramide qui est la version officielle qd a elle, celle qui va finir par sortir après des années d'enlisements protocolaires...)
Il y a donc comme noms : OSR / emeramide / NBMI / Irminix / BDTH₂

Si tu cherche sur tout ça, tu trouvera plus d'infos sur le net deja... et y a pas mal de groupes d'intoxiqués sur facebook qui en parle et sont dédiés a ce derniers, avec des résultats pas tjrs au niveau de ce qui relève de la "théorie pure" (il se lie de manière indestructible au mercure, ne provoque pas de symptomes de mobilisation...)
Qd tu regarde bien les résultats des gens tu te rend compte que bcp ont a peu près les meme galères qu'avec les chélateurs type DMSA/DMPS avec de la recirculation et la nécéssité d'aller relativement doucement pour une bonne partie. Il me semble néanmoins etre mieux que ces deniers, mais pas inoffensif pour autant, loin de la!

A très bientot (je répond a ton roman très vite, merci a toi!! ;) )

Pti gars
Rappel : Aucun message posté ici ne fait office de prescription médicale, seul le médecin traitant est habilité à prescrire un traitement- www.forum-melodie.fr/phpBB3/viewtopic.php?f=53&t=2869

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Crèmes salines III - suite - SULFATE DE SODIUM - Na₂SO₄

Messagede Sophocle » Jeu 30 Avr 2020 10:29



Quels chélateurs choisir ? En voilà une sacrée question. Voici une compilation de mes réflexions sur le sujet.
    Quant aux chélateurs, les fabricants ne proposent aucun tableau des affinités ni de solubilisation selon le pH. Cela est très étonnant. Mais pour guérir, il n'est absolument pas nécessaire de disposer du détail comparatifs des affinités par chélateurs. Des chélateurs à large spectre suffiront. Il suffira de faire autant de séance de chélations que nécessaire. Cad, qu'avec une faible affinité, les métaux-lourds finiront par être éliminés un-à-un. Pour compenser l'élimination des oligo-éléments essentiels, un régime riche en légumes les renflouera en excès. La chélations à large spectre n'est donc pas un problème. La multiplication des chélations pose la question du prix du chélateur. Mais, avec la solutbilisation, j'au obtenu en une séance ce que n'a pas obtenu trois années d'iv. L'Edta est très économique et très efficace. Il écrase donc tous les autres chélateurs. Avec la solubilisation, le prix n'est pas un problème. De plus, de nombreux métaux-lourds sont éliminés, on a donc pas à recommencer une deuxième campagne de chélation d'un deuxième ml par un deuxième chélateurs spécifique. Quant à la redépose, il me semble qu'elle se traite pas l'ingestion de BCS. Les affinités d'un chélateur est sensible au pH. En passant d'un organe à un autre, il peut donc y avoir un relargage. Pour pallier à cela, il me semble qu'il faudrait boire de l'eau avec du BCS pendant les 24h après la prise du chélateur. De plus, la prise du chélateur la matin évitera les acidités de la nuit. Selon Microtrace, les chélateurs sont plus efficaces dans un milieu alcalin. J'ai pu constater que les chélateurs ont tendance à se solubiliser à pH alcalin (cela est flagrant avec l'edta). Mais il faut tenir compte de la dispersion des ions + (Ml) et de la dispersion des ions - (Chélateurs). Cela est trop complexe pour le manipuler mentalement. Mais en buvant du bcs, on fixe le pH et on solubilise les chélateurs. Pour la sécurité, ces conditions sont préférables ; pour la solubilisation cela est indispensable, il n'est pas vraiment utile d'explorer au-delà les raffinements de leviers du pH pour augmenter les affinités par tel chélateur ou tel autre. Cela serait au détriment de la sûreté et de la sécurité. Il suffira de multiplier les chélations pour écoper. Je reviens de loin et je n'ai fait que 20 chélassos pour parvenir à la fin des effets éclatants de l'Edta et du Dmsa. Le dmsa demeure abordable mais il est dix fois plus cher que l''edta, je le prends parce qu'il est facile à ajouter à la solubilisation d'Edta. Le dmsa avec l'edta me semble préférable pour le test de provocation. Ainsi, on a un spectre large de chélation qui ressort sur le tableau des analyses. Cela conforte le résultat des ml qui sortiraient à zéro. Le Dmps est 100x à 1000x plus cher que l'edta, or dans mon cas, il ne chélate que tout doucement en iv ; je n'en vois donc vraiment pas trop l'utilité. Les iv sont chères, pas si efficaces, compliquées, contraignantes et non-sûres. Les solubilisations sont peu chères, efficaces, faciles, pratiques et bien plus sûres. La forte concentration d'une iv est problématique. on passe donc par une ivl pour pallier à la concentration, mais cela demeure du bricolage. Une perfusion est préférable, mais l'edta n'a pas de gout, il est donc inutile de se faire trouer la peau par un médecin. Le gout du dmsa pose problème pour les enfants, mais pour un adulte, ça passe. Sur le plan de la redépose, le dmsa est le plus sur. Il est donc préconisé pour les enfants et pour les personnes fragiles. Il demeure le problème de la réaction à tout chélateur. Jeûne et bains froids me semble être les pratiques préalables à la chélation de haute intensité. Mais ils n'en demeurent pas moins protecteurs sur les chélations à basse intensité. Sans compter qu'on peut diluer le chélateur à l'infini, les risques en sont autant diminués. La détox des toxines lipophiles par un unique jeûne de trois jours complété par le retour de la tension par une petite série de 5 bains froids de 15' à 15° augmenteront la force de chélation du nuage et diminueront les risques de réaction. Avec tous ces éléments, la sûreté et la sécurité sont bordées au mieux. De plus, avec l'ingestion de bcs pendant les 24h après le chélateur, le complexe devrait être fixe, la chélation devrait être sûre. En alternative au bcs, les légumes sont alcalins, ils devraient donc participer à la stabilité du complexe (voir post : Pendule acido-basique, Stratégie pH et détox). Une fois taris les effets bénéfiques des chélateurs hydrophiles, il sera ensuite possible de passer aux chélateurs lipophiles. Tout ça pour dire qu'une campagne de chélation à l'edta solubilisé pour un adulte me semble déjà un optimum haut la main [img]kator/smiley145.gif[/img] que ne dépasse aucun autre chélateur. [img]kator/smiley72.gif[/img]


Gogote a écrit:J'ai enfin vu ta photo avec rougeurs sur le torse, j'ai toujours eu une explosion sur le torse de petites plaques/boutons rouges en grosse phase de mobilisation ou crises, celles ou je me retrouve vraiment très mal, en mode hypoxie, frissons, décharges musculaires, troubles de la conscience etc... intéressant.
    C'est un symptôme que je retrouve occasionnellement dans les témoignages. Je l'attribue directement aux métaux-lourds. C'est l'un des rares symptômes visible. La flambée se voit en direct, cela est extrêmement riche en enseignements. Je peux donc voir qu'il n'existe pas de cause évidente à l'inflammation.
    Pendant 1h, tous les jours, j'ai donc une flambée qui s'est installée en milieu matinée. Comme une sèche au ralenti, je clignote. [img]smile/spin3.gif[/img]
    Si j'arrivais à comprendre ce qu'il se passait, cela permettrait éventuellement d'intervenir. J'ai émis l'hypothèse qu'il existe un mouvement d'eau, comme une marée, liée à l'ingestion d'eau de la veille au soir. Il y aurait un décalage temporel lié au délai osmotique. Dans ce mouvement d'eau montant (ou descendant), les ml franchiraient la membrane. À la sortie de la membrane, la flambée s'amorcerait. Comme une marée, les ml feraient du yoyo au quotidien. Avec le retard osmotique du retour de l'hydratation de la cellule, les ml se tapiraient dans la cellule et la flambée cesserait. Ce phénomène pourrait expliquer le changement d'ambiance périodique de certains organes internes. - Voir photos des flambées. Ces photos photos permettent de transposer ce qui se passe à la peau avec tout autre organe, notamment le snc. Patients et médecins peuvent donc se représenter le phénomène et, donc, en discuter.




Ce post est la suite d'une série récente de posts :

La peau est l'organe le plus difficile à désintoxiquer.
La détox de la peau est donc un sujet sur lequel j'ai pas mal glosé sans vraiment obtenir de résultats jusqu'à cette récente série de posts.
Voici quelques posts passé et dédiés au sujet, mais le sujet de la peau est un thème qui est souvent abordé tout au long du topic.
Je me plains de quintes de picotements depuis les premières déshydratations.
Ce terme apparait dans mon topic en décembre 2017, mais j'avais déjà des picotements de nombreuses années avant l'ouverture de ce topic.
Je n'ai pas consigné de picotements dans mon post de présentation parce que j'avais tellement de symptômes que ce symptôme-ci me semblait anodin.
Avec ces crèmes, j'ai donc réussi à mettre fin à ces picotements.




(suite du post du 3 avril)

RAPPEL HISTORIQUE
    J'ai retrouvé un vieux post février 2019 dans lequel il y avait déjà une photo de ces flambées :
    Image
    Commentaires de la photo dans le post : Photo de l'inflammation pendant les picotements (couleur attendue : tâche claire repérée par la flèche)
    La couleur normale de la peau est visualisable dans la petite tâche claire là où la flèche pointe, écueil de sérénité dans une mer un peu agitée.
- Pointage des applications de la crème saline sur la peau
  • 29, 30 avr. 2ème et 3ème jour de pause.
    Ça m'a fait du bien. Mais j'ai quelques sensations quand je palpe les tripes.
    De plus le problème des ml demeure. Le badigeon n'a pas bougé, quelques mini-flambées ont eu lieues.
    Quelques légères irritations ont surgi, mais cela est encore très anodin.
    J'ai certes éliminé pas mal de ml car j'ai eu des symptômes.
    Mais, il me semble que, en dépit du franchissement de la membrane, une catégorie de ml demeurent en place.
    Ce soir, ou demain, je vais changer le sel, je passe à l'epsom, c'est sel un bien plus costo que le NaCl.
    Il est plein de soufre, son talent de détox viendrait de là.
    L'anion soufre, en nombre, devrait installer une ambiance chargée négativement qui devrait permettre aux ml2+ de se démagnétiser des paroi des cellules et, donc, de ramper en roulant jusqu'à la lymphe, espérons-le.
    ...Pas d'application de crème ce jour.
  • 1er mai. Avec la pause, les symptômes liés à la mobilisation se résorbent peu-à-peu.
    La tendance est bonne, je vais donc reprendre mes crèmes en douceur pour ne pas réactiver les symptômes.
    Mais l'intoxication de la peau demeure : hier, j'ai eu un petit retour des picotements dans le dos...
    ...Dans le schéma du post sur le piègeage des ml dans les extractions minières, on peut y voir que le SO4- se dissous (uptake) à pH5 (et en dessous du pH5).
    À pH 7, il ne dissoudrait pas. Le gradient se joue entre pH5 et 7.
    Or, jusqu'ici, je plaçais les chélateurs à pH8 car l'Edta flocule dès le Ph7 et que, selon mtm, les chélateurs sont plus efficaces dans un milieu alcalin.
    Or, selon cette étude, le Dmsa, en dépit qu'il soit le + efficace en pH alcalin, commence à se solubiliser à pH4.
    Il y a donc un intervalle commun de dissolution du SO4 et du DMSA de 4 à 7.
    Plus le pH est bas, plus le SO4 est dissous mais moins le dmsa est efficace.
    J'ai essayé de dissoudre du dmsa dans du Perrier (pH5.5), c'est pas folichon-folichon car il y a un peu de dépôt mais il ne flocule pas et c'est mieux que rien.
    De plus, le Dmsa ne passe pas la peau quand il est mélangé à la crème, il faut donc le boire.
    Par ailleurs, mon fournisseur est en rupture de stock (période de confinement du coronavirus).
    Je dois donc attendre pour tester ces nouveaux paramètres.
    mais j'ai peut-être là les causes pour lesquelles je patine, et éventuellement aussi le remède... (placébo ?)
    ...J'ai mis 8g de sel d'epsom dans un pot de 200ml.
    la crème se liquéfie à moitié, je l'ai mise au frigo hier.
    24h après, il y a à peine une minuscule pellicule de déphasage.
    Elle devrait tenir 4 à 5 jours sans déphaser - à vérifier.
    ...Première application, j'ai pas trop insisté.
    RAS. Pas de flambée, ni de résorption du badigeon.
  • 2 mai. Il me semble que je n'ai pas eu de flambée ( je n'ai pas vraiment surveillé).
    2ème application de la crème saline à l'epsom : RAS.
    Pas se symptômes, pas de rougeur, pas d'aggravation des sensibilités aux tripes, rien à signaler.
  • 3mai. Petite flambée dans la matinée. La tendance est à la très lente baisse.
    Application de la crème sans rien à signaler.
    Le sel d'epsom se passe bien. Je continue donc avec.
  • 4mai. Je n'ai plus de symptômes spécifiques en réponse à l'application de la crème.
    J'ai l'impression qu'une partie des ml a bien été éliminée mais qu'un autre partie ne fait que s'étaler sous la peau sans vouloir partir de la zone.
    L'intensité des rougeurs a certes baissé, mais les métaux-lourds sont toujours là présents.
      Je remets ici encore quelques photos car il est rare de photographier les effets des métaux-lourds.
      BadigeonFlambee.jpg
      Haut : badigeon ; bas : flambée.
      BadigeonFlambee.jpg (5.8 Kio) Vu 30934 fois

      Voici deux photos prises à deux moments différents :
    • en haut : inflammation continue de basse intensité (=badigeon). Le badigeon est une espèce de reflet rouge qui irise la peau.
      C'est toujours la zone de ce badigeon qui flambe une fois par jour pendant une heure.
      Après la flambée, la peau retrouve son badigeon comme si de rien n'était (pas de croute, pas de pelage, ni de trace).
    • en bas : une flambée en zoum où l'on voit très bien les effets d'un nuage de métaux-lourds au travers d'une inflammation en nuage.
      La caractère intermittent et cyclique est encore une énigme. Cependant, je peux le constater visuellement.
      Cela indique explicitement que la présence de ml n'a pas une réponse uniquement linéaire.
      Il me semble qu'il y a une réponse linéaire locale et proportionnelle à la concentration de basse intensité avec des flambées intermittentes.
      Ces flambées sont très semblables à l'ehs qui ne s'active que quand il y a des ondes.
      Sans ml : jamais d'ehs. Avec ml mais sans ondes : pas d'ehs active. Avec ml et avec ondes : ehs active.
      Dans le cas de mes flambées, ce ne sont pas les ondes qui les active, mais un autre facteur dont j'ignore encore la cause.
      Il n'y a donc pas que les ondes qui activent les ml, il faudrait dresser la liste des phénomènes qui activent les ml.
      Métabolique ? délai osmotique ? fluctuation de pH (acidification) ? rH ? résistance ? vibration ? motifs de Turing ? Oxydation ? Bactéries ? influence lunaire ?
    ... Le niveau d'inflammation a baissé d'un cran depuis le passage à l'espsom, mais cela ne veut pas dire que l'élimination a eue lieue.
    Le soufre est négatif, il va donc réguler les charges positives des métaux-lourds vers le neutre.
    Dans un milieu soufré, les ions ML2+ vont donc perdre de leur influence (fortement inflammatoire à cause de leur multi-valence positive).
    L'inflammation va donc baisser, mais mon objectif est d'éliminer ces ML.
    Je vais donc remettre des chélateurs dans les crèmes car je les enlevées faute d'effet lors du NaCl. (Cl- : sel mono-négatif)
    Chélateurs & sulfates fera peut-être effet : bi-soufres & sulfates(SO₄²- : sel bi-négatif), là y'a la dose de soufre et d'ions négatifs qui rivalent avec les ml2+.
    ...La fonction digestive a baissé depuis quelques semaines.
    Il faudra que je reprévois des purges à terme.
    En dépit de mes marches, j'ai également eu un léger retour des impatiences dans les jambes au cours de la nuit.
    Je vais tenter une gélule (désormais solubilisée) d'Ornithine.
    Tout cela veut dire qu'il y a du remous de toxines en profondeur.
  • 5 Mai. Pas de flambée, ou très faible.
    Ces dernières semaines, j'ai trop tiré sur la corde.
    Les tripes (foie, intestins) ont rendu un important service, elles méritent un soulagement.
    J'ai également une légère irritation dans la gorge, cela est le symptôme de bouffe industrielle (période de confinement oblige).
  • 6 Mai. 11h.Toute petite flambée.
    Mais mon mal d'épaule s'est a fortement atténué depuis plusieurs jours.
    Le point de douleur intermittent s'est transformé en région sensible au niveau du rein.
    En se déplaçant, il s'est étalé.
    Il est bcp trop tôt pour encore acter une disparition définitive ce ce point, mais là ça fait 4 jours que j'ai plus du tout ce point à l'épaule.
    Cette disparition semble être liée au sel d'epsom.
    Si cela était le cas, cela voudrait dire que la crème agit en profondeur (muscles et tendons).
    Si le point reprenait, cela voudrait dire le sulfate baisse l'inflammation sans éliminer.
    Si le point ne reprenait pas, cela voudrait dire qu'il y a eu mobilisation si ce n'est élimination.
    ...Au frigo, la crème (avec sel d'epsom) n'a quasiment pas déphasé en cinq jours.
    ...14h Brûlure
      Je me suis fait une belle brûlure en tentant des ventouses d'acuponcture.
      Toute la zone est devenue rouge bien au-delà du contact avec le verre, environ 2cm de part et d'autre de la trace.
      Ça a été douloureux tant qu'il n'y a pas de froid appliqué.
      Je note ici mon remède : plusieurs massage à l'huile de coco, et bloc de froid pendant une heure.
      Avec le froid, l'huile de coco va se solidifier dans la peau. La surface de la peau va "cartonner" un peu.
      En quinze minutes, l'inflammation est à zéro.
      Sous le bloc, la peau devient certes rouge, mais c'est le rouge de vascularisation qui chasse le rouge d'inflammation.
      Si j'enlève le bloc de froid, l'inflammation repart (douleur, auréole rouge périphérique à la trace).
      Au bout d'une heure et demi de froid et d'hv de coco, l'inflammation est définitivement éteinte.
      Sans le froid et sans l'huile, il y aurait peut-être eu plus de dégâts à cause de l'inflammation.
      Il demeure juste la trace bien rouge foncée de la zone de contact avec le verre chaud.
      La texture de la peau est quasiment intacte, elle est certes un peu fragile, mais elle est suffisament résistante pour ne pas mettre de compresse afin de la protéger des frottements.
      Je repasse de l'huile de coco à l'occasion (surtout avant de passer à la douche) et aussi le bloc de froid pour régénérer.
      Je peux toucher la surface de la trace brûlée sans aucune sensation.
        Photo prise 2 heures après le "drame" :
        Image
        La zone est stabilisée, la cicatrisation peut prendre le relai.
        ...J'ai oublié une fois de passer l'huile de coco juste avant la douche et la surface de la peau s'est émiettée.
        Il est désormais nécessaire de protéger la peau de l'eau de la douche de façon totalement étanche.
        Dans l'huile de coco, j'ai ajouté qq he cicatrisantes et anti-mo pour brûlure (tea tree, lavande, ...).
        ...La cicatrisation est accélérée par l'application régulière du bloc de glace pendant 1 heure.
      Voici une conf du CdF sur l'inflammation.
      Tout le processus de l'inflammation est décrite en détail avec des jolis schémas.
      Quant aux remèdes à l'inflammation chronique, il semblerait que la recherche expérimentale de pointe n'en trouve pas sauf par des anti-inflammatoires à vie. :lol: :lol: :lol:
      ...14 mai - la peau a pelée, en 8 jours la nouvelle peau est en place à 70%.
      Image
      Il y a trois ans, avant les jeûnes et la pratique du froid, il aurait fallu trois semaines pour en arriver au même stade...
    ...16h. Test à petite dose du sel de Glauber Na₂SO₄ dans la crème, il semble que le badigeon s'est éteint comme si j'avais appuyé le bouton de l'interrupteur.
    Voici une photo de la fameuse zone des hanches avec un reste de badigeon dans l'encadré blanc (+Zoum).
    Image
    Par contre, Pour acter l'élimination définitive des métaux-lourds, il faudra que le badigeon ne réapparaisse pas pendant une longue période sans application de la crème.
    Le soufre peut provisoirement éteindre l'inflammation sans pour autant éliminer les ml.
  • 7 mai. ...07h00 : retour badigeon avec toute petite flambée pendant une heure.
    ...08h00 : le badigeon est éteint.
    La tendance est bien à la baisse avec des mini-pics vers le haut dont la tendance du somment baisse.
    Il semble que je demeure sur la bonne voie.
    ...Le Na₂SO₄ semble plus pertinent que le MgSO₄ Car le sodium (Na+) est mono-valent alors que le magnésium (Mg++) est un ion bi-valent.
    face à un anion bivalent, 2 ions + mono-valent semblent ne pas rentrer en compétition face à un ion 2+.
    Associé à du 2Na+, Le SO₄-- pourrait donc mieux neutraliser les ML++.
    Depuis le début de cette série, j'ai appliqué 3 sels différents :
    1. NaCl ; Na+ Cl- ; chlorure de sodium ; sel de table ou de cuisine ; 2 ions monovalents
    2. MgSO₄ ; Mg++ SO₄-- ; sulfate de magnésium ; sel d'epsom ; 2 ions bi-valents
    3. Na₂SO₄; 2Na+ SO₄-- ; sulfate de sodium ; sel de Glauber ; 3 ions dont 2 cations monovalents et 1 anion bi-valent
    Pour lutter contre les métaux-lourds (ml++ : cations majoritairement bi-valents), il faudrait donc noyer le milieu avec des anions bi-valents sans charger en cations bi-valents.
    De plus, le sulfate est un anion physiologiquement présent dans l'intra, on peut donc supposer que de grosses variations sont peu problématiques.
    Je me note ici que le phosphate est également un anion bi-valent physiologique, il est 5x plus présent que le sulfate.
    ...10h30, flambée très localisée autour de la zone la brûlure, c'est une zone sur laquelle je n'avais pas passé la crème au sel de Glauber la veille.
    Par précaution, j'avais soigneusement appliqué de l'hv de coco autour de la brûlure de façon à protéger la brûlure de la crème saline.
    Là, avec ce contraste, je peux donc acter que les conditions de la flambée n'ont pas activé avec un gradient la peau qui a été traitée au sel de Glauber.
    Voici une photo dont les couleurs ont été très fortement saturées pour bien faire ressortir la différence entre la flambée auprès de la brûlure et entre la peau traitée au Glauber autour de la brûlure.
    À l'œil, la différence est à peine visible, mais ça ne se voyait pas sur la photo sans saturer les couleur.
    Image
    Cela montre que chaque application de la crème n'enlève qu'une toute petite partie de l'intox.
    Faute de mieux, il est donc nécessaire de multiplier des applications de la crème.
    ...10h45 La flambée a gagné toute la zone de façon indifférenciée.
    ...11h15 Fin de la flambée.
    ...14h00 j'ai mis 10g de sel de Glauber dans un pot de 200ml de crème nivéa soft, + 5gél de ala (1g PA), + 5gél edta (1,25g PA).
    Première application.
    Pas de réaction à la vue mais quelque francs picotements pendant une minute.
    La couleur du badigeon était déjà au plus bas. Pas d'extinction du badigeon.
    Le matin, j'ai pris une solubilisation d'ala ; à midi solubilisation d'ala + 2gél edta + 2 gél dmsa; le soir je prévois une solubilisation d'ala (j'aviserai selon le futur éventuel point de côté).
    ...J'ai reçu mon lot de dmsa, je vais donc tester le dmsa à pH5, dans du Perrier.
    Il faut éviter l'edta car il flocule à pH6 et que je veux pas que de l'edta non solubilisé ne s'accumule dans un recoins du corps.
  • 8mai. 11h00 : Pas l'ombre d'un début de flambée.
    D'habitude, quelques prémisses de points rouges se mettent à frémir, ils annoncent la flambée à venir prochainement.
    J'ai donc là une non-flambée (là où j'attendais une flambée des ml) à l'application de la crème de la veille.
    ...13H45 prémisse de flambée.
    ...14h10 fin de la prémisse de la flambée (pas de flambée).
    ...À tord, je m'attends encore à ce qu'il y ait une réaction au moment de l'application de la crème.
    À la première application de la crème (début avril), il y a eu cette grande cette grande flambée (voir photo du post du 3 avril) :
    Image
    Je me suis donc fixé sur cette réaction.
    Cette photo ne met pas en évidence que toute la hanche était rouge Malboro avec reliefs gaufrés. C'était impressionnant. [img]kator/smiley223.gif[/img]
    Cette flambée s'est déclenchée quelques minutes à peine après l'application de la crème.
    Ça n'a pas été un moment d'inquiétude, mais ça a été un grand moment libératoire car ça fait plusieurs années que je cherchais en vain à faire sortir ces ml de la peau.
    Les flambées apparaissaient et disparaissaient selon leur bon vouloir ; jusque-là j'étais impuissant à les déclencher ou à les éteindre.
    J'étais donc soulagé de provoquer une flambée, car cela signifie, enfin !, une mobilisation de ml.
    Un mois après et 30 applications, je suis donc encore en attente de réaction dès que la crème est appliquée.
    La réaction ne parvient plus au moment de l'application de la crème et je suis déçu, et j'ai donc envie de me soulager de l'application fastidieuse de la crème mais cela est un tord.
    Désormais, les réactions ne se voient qu'en creux : les mini-flambées périodiques baissent en intensité ou allongent leur période ou ne se présentent pas d'un jour à l'autre.
    Parfois, les prémisses de la flambée (petits points rouges qui clignotent) se manifestent mais la flambée ne suit pas.
    Parfois, et c'est nouveau, l'irisation rouge n'est pas présente, cad que le ralenti d'inflammation qui était permanent jusqu'ici devient intermittent.
    Il y a donc tout un volant de gradient de symptômes en dynamique à très bas bruit qui peut renseigner sur la situation.
    C'est désormais un classique, les signaux basculent du tout au tout au cours de la période de traitement.
    Il faut donc vraiment garder l'œil sur les minuscules variations qui ne ressortent qu'avec une lecture attentive à distance temporelle.
    Les métaux-lourds est une histoire de gradients qui s'étirent à l'infini.
  • Sel de Glauber
      Je commence à croire que le sel de Glauber est le sel approprié contre les ml.
      J'ai relu le vieux post (juin 2018) sur mes premières tentatives de déshydratations (vaines) de la peau.
      Dans ce vieux post, il y a écrit:Quel sel choisir pour faire le gel déshydratant ?
      Il existe plusieurs sels à disposition :
      le sel de table : Na+ Cl-, chlorure de sodium.
      le sel d'epsom : Mg2+ SO4--, sulfate de magnésium.

      Comme ils ne perturbent pas l'équilibre électrique du potentiel de repos d'une cellule excitable, ces sels peuvent être ingérés en grande quantité.
      le premier constitue la majorité des ions de l'extra-cellulaire ;
      le second est présent dans l'intra-cellulaire mais il est minoritaire.
      rappel : le sel d’epsom est le sel utilisé dans la cure Clark du foie où il faut en ingérer 50 grammes.

      Composition ionique de l'intra et de l'extra-cellulaire:
    • EXTRA :
        Sodium (Na+) 46% (masse moléculaire : 23)
        Chlore (Cl-) 36% (35)
        Carbonates (HCO3-) 9% (60)
      L'extra est nettoyé par le foie, il n'est donc pas contaminé par les ML.
      Je trouve que la prise alimentaire de ces éléments de l'extra n'aideront pas au traitement des intoxiqués dont la spécificité est que les ML résident dans l'intra.
    • INTRA :
        Potassium (K+) 40% (40)
        Phosphates (HPO4--) 25% (96)
        Magnésium (Mg2+) 7% (24)
        Sulfates (SO4(2-)) 5% (96)
        En cas d'intox, il faut ajouter :
          Mercure (Hg+) -% (200)
          Plomb (Pb2+) -% (207)
          Arsenic (As3+) -% (74)
      ...

      Là, par contre, les éléments de l'intra sont en compétition avec les ML car les ML résident dans l'intra.
      Ces éléments seraient donc exploitables pour contrer les ML.
      Cependant, les ML sont des ions avec des masses volumiques et des valences assez élevées, ce sont donc de sérieux big boss difficiles à déloger...
      Pour changer le pH de l'intra, il faudrait le combiner avec un élément de l'extra avec un élément de l'intra.
      Par exemple, le phosphate de sodium va se dissocier, le phosphate va entrer dans l'intra et le sodium va rester dans l'extra.
      Autre exemple : du carbonate de magnésium, la carbonate reste dans l'extra, et le magnésium va rentrer dans l'intra.
      Mais là, le pH de l'intra va monter car le magnésium est +.
      Il faut donc faire attention à la polarité.
      Il me semble que des anions de l'intra sont préférables en cas d'intox car il devraient baisser le pH de l'intra.
      Les sulfates et les phosphates sont les anions de l'intra, c'est donc eux qu'il faudrait utiliser.
      Il faudrait donc du sulfate de sodium ou du phosphate de sodium pour les anions entrent dans l'intra et que le sodium (+) demeure dans l'extra.
      Tout cela, ce sont des réflexions à voix haute, je me le note ici pour en garder mémoire.

      sel de Glauber : SO4-- Na+, Sulfate de sodium.
      J'ai essayé ce sel à deux reprises, ça dessèche très fortement la surface de la peau mais ça ne déshydrate pas l'épaisseur du derme.
      Le sel de table me semble encore préférable à ce sel.
      Dans l'intra-cellulaire, il existe un autre sel majoritaire : le phosphate de potassium.
      Dans le cas d'une cellule intoxiquée, le potassium rentre en compétition avec les ions ML.
      L'intoxication peut donc revêtir des symptômes d'hypo- et/ou d'hyperkaliémie.
      L'excès de potassium dans l'extra cause des dépolarisations de cellules excitables, arythmies, ...
      En dépit que j'envisage que les phosphates et le potassium peuvent être éventuellement utiles contre l'électro-sensibilité,
      il est inutilement imprudent de s'orienter vers ce sel-ci dans le cadre d'une détox par osmose où les doses sont fortes.

      Le choix est donc à faire entre le sel de table et le sel d'epsom.
      Intuitivement, le sel d'epsom est intéressant car il va dilater les capillaires et donc, il va aider au renouvellement de l'extra par capillothérapie.
      Je n'ai pas trouvé de sel d'epsom fin, je l'ai donc passé au mortier à épices, et puis je l'ai tamisé à la passoire chinois.
      Mais il faut également tenir compte de la taille (masse moléculaire) des atomes.
      Sel d'epsom : 120, sel de table : 58.
      Plus un produit est petit, plus il traverse la couche cornée.
      Question taille, le sel de cuisine est imbattable.
      Comme c'est la déshydratation qui m'intéresse, il me semble préférable de se rabattre sur le sel de table.


    • J'avais certes écarté le sel de Glauber car la peau était desséchée.
      Il faut dire aussi que je n'allais pas molo sur les doses.
      Il y avait donc déjà une réaction remarquable avec ce sel qu'il n'y avait pas avec les autres sels.
      Au vu de la baisse récente des flambées, ce sel me semble prometteur contre les ml.

      À l'époque, ce sel semblait dessécher la peau sans la désintoxiquer, je l'avais donc écarté.
      Mais l'excipient actuel (nivéa soft) n'est pas le même que celui de l'époque (aloé vera).
      Aujourd'hui, avec la crème nivéa, la peau n'est pas desséchée, mais mes symptômes des ml baissent.
      Au moment où j'écris ces lignes, il faut encore que j'avise si les ml sont neutralisés ou éliminés.
      Je ne saurais cela qu'en arrêtant les crèmes, mais cela est prévu que quand les crèmes salines n'auront plus aucun effet.
      J'étais tombé sur le sel de Glauber en combinant les parités des ions physiologiques de l'intra et de l'extra.
      La compétition entre la valence (mono, bi) des ions était également évoquée.
      Mais il est possible que les deux particularités de ces sels jouent sur les ml (valence et dissociation intra/extra).
      Il faut peut-être même ajouter le pH.
      Quoiqu'il en soit, ce sel de Glauber me semble être une sérieuse prémisse de remède contre les ml.
      Il faut se méfier de l'effet placébo, cela reste évidemment à confirmer par les applications à venir.
    ...17h00 : application de la crème au sel de Glauber.
    Contrairement à la veille : pas de picotements lors de l'application.
    Tous les effets tirés du Na2SO4 ont-ils donc déjà eu lieu ?
    Je verrai bien demain si la flambée est toujours un peu plus basse.
  • 9 mai.J'ai fait du non-stop depuis un mois.
    J'avais besoin de faire une fenêtre thérapeutique depuis quelques jours.
    J'ai repoussé la pause car j'étais impatient de tester le sel de Glauber.
    Les résultats semblent intéressants.
    Avec la pause, je vais pouvoir m'assurer si les progrès sont durables (=élimination des ml) ou s'ils sont provisoires (=neutralisation sans élimination des ml).
    Money time. [img]kator/smiley83.gif[/img] [img]smile/xdisturbed.gif[/img]
    ...12h00 micro-flambée. Ça baisse.
    ...Pause repoussée ultérieurement pour cause d'un pot de crème à moitié plein.
    Je voudrai pas que la crème déphase à cause du sel car il faudrait la jeter.
    J'attendrai la fin du pot pour voir si ça déphase.
    ...15h00 nouvelle application de la crème.
    ...Au frigo depuis 3 jours, la crème de Glauber (crème nivéa soft + 10 g de sel de Glauber) semble ne pas déphaser d'un chouia.
    Par contre, la concentration maximale proche de zéro degré baisse rapidement, les 10 grammes par pot de 200ml est un maximum.
    Par contre, hors frigo, elle déphase en 24h.
    ...Je rappelle que la crème nivéa soft s'achète en supermarché.
    ...ordonnancement
      Par précaution, il me semble prudent de commencer le traitement des crèmes avec du NaCl tant que des effets ont lieu pour ensuite passer au Na2SO4.
      Ainsi, les réactions monovalentes sont taries de façon à réduire les réactions avec le sel de Glauber au strict minimum.
      L'idée est d'y aller par paliers (1- : Cl-, puis 2- : SO42-) de façon à réduire le nombre de réactions avec les ions 2-.
      Je rappelle que le SO42- est un anions physiologiquement présent dans l'eau intra-cellulaire.
      Son sur-dosage répété me semble donc bcp moins problématique que de nombreux autres anions bi-valents.
      Par intuition, les émonctoires ne devraient pas pâtir d'excès répétés de cet anion.- à vérifier.
      Cependant, il est quand-même préférable de privilégier les effets bénéfiques avec des produits mono-valents tant que cela est possible.
    ...Anions et cations
      Dans la table périodique des éléments, les cations sont bien plus nombreux (110) que les anions (8).
      Il me semble donc que les cations posent bcp plus de problèmes que les anions.
      Avec les anions monovalents, on devrait traiter tout un volant de cations qu'il serait éventuellement préférable d'éliminer au préalable de façon à réduire le besoin en anions bi-valents au strict minimum.
    Sulfateuse chronique
      Selon mes intuitions à la volée, l'anion sulfate devrait avoir une action à large spectre sur la physiologie.
      Contrairement à l'anion fluorure, l'anion sulfate est physiologique et il ne devrait pas poser de difficultés précoces en cas de fortes doses.
      De plus, l'ion sulfate est bi-valent, la puissance de ses munitions est donc double.
      Et, au pire, en cas de difficulté, il sera possible de traiter l'excès de sulfate par du chlorure de magnésium : Cl2Mg : 2Cl- & Mg2+.
      Réciproquement, le chlorure de magnésium devrait éventuellement également traiter les intoxications aux ions monoatomiques négatifs :
      Bromure Br−
      (Chlorure Cl−)
      Fluorure F−
      (Hydrure H−)
      Iodure I−
      Nitrure N3−
      Oxyde O2−
      Sulfure S2−
      Le fluor n'est pas un ion physiologique, or ses vertus négatives sont utilisées pour lutter, entre-autre, contre les mo de la bouche.
      Le sulfate devrait aussi un peu remplir partiellement la mission du fluor contre les mo mais il a pour avantage d'être physiologique.
      Le sulfate de sodium a pour avantage de laisser le sulfate s'exprimer car le sodium est mono-valent.
      Il est donc également possible que le sulfate de sodium traite également les micro-oragnismes en sus des métaux-lourds.
      Comme je soupçonne les métaux-lourds d'être une centrale énergétique des mo par production de chaleur dans un champ oscillant, le sulfate aurait la triple action 1: contre les ml ; 2 : contre les mo ; 3: contre l'association mo-ml.
      Je m'emballe un peu, mais cela est une hypothèse à vérifier.
      Cependant, dès que les mo & ml ont été traités, il me semble préférable de ne pas insister sur les sulfates.
      Il n' y aura plus qu'à entretenir une petite de routine avec de un peu d'Ala afin d'empêcher une nouvelle contamination aux métaux.
  • 10 mai.J'ai certes repoussé la pause thérapeutique qui me suivait aux trousses depuis plusieurs semaines.
    Mais, en dépit que j’ai repoussé la pause thérapeutique, je vais un peu mieux :
    Les tripes sont un peu soulagées et je dors mieux.
    Le sulfate detoxerait-il de la mobilisation aussi bien que les chélateurs ?
    En dépit du maintient de l’application quotidienne de la crème saline, le besoin d’un pause se fait moins pressant.
    Le sulfate semble donner, à lui-seul, l’effet que j’espérais obtenir avec la pause.
    Et encore, je sais désormais que l'effet bénéfique de la pause n'aurait été obtenu que par le maintien de la solubilisation de l'Ala.
    Cependant, le processus de détox de la peau par la crème saline continue son office peu-à-peu.
    Des analyses au sulfate de sodium seraient vraiment intéressantes pour vérifier l’élimination...
    Les premiers résultats du sulfate de sodium paraissent épatants.
    Comme je ne m'attendais pas à ces effets, l'effet placébo ne devrait pas jouer.
    Mais comme tout sceptique me rétorquerait que l'effet placébo est supérieur à celui qui le pense, je m'installe donc dans l'idée que l'effet placébo m'impose un empire en dépit de ma volonté d'affranchissement.
    N'est-il pas impossible d'être absolu quand on est soi-même son propre repère relatif ? :lol:
    Seul le temps pourra arbitrer entre moi et le soi-disant empire de l'effet placébo sur mon moi...
  • 11 mai. Les effets éclatants de la crème au sulfate de sodium ont pris fin.
    Il me reste à surveiller les signaux faibles pour vérifier si des effets chroniques ont encore lieu.
    ... Plus aucun picotement n'a encore refait son apparition depuis que j'ai appliqué cette crème (cad 3 jours env.).
    Le ralenti d'inflammation (irisé rouge sur la peau) a également disparu.
    Cependant, des mini-flambées occasionnelles demeurent.
    La détox n'est donc pas encore terminée.
    Il faut encore que je vérifier si les ml ont été neutralisés ou éliminer.
    Je pourrai vérifier cela qu'après avoir suspendu l'application de la crème.
    ... Na2SO4, Fiche produit : pas de toxicité.
    ... En dépit de l'application de la crème saline, la fatigue des tripes semble se résorber, [img]kator/smiley223.gif[/img] très très bonne surprise.
    Je vais augmenter la concentration pour forcer l'osmose, mais il ne sera pas possible de la mettre au frigo ensuite car la concentration maximale baisse fortement avec la chute de la température.
    Il faudra donc préparer la crème saline avant chaque application.
    Je vais prélever 40 ml de crème que je vais monter à 25° au bain marie, puis ajouter entre 5 à 10 grammes de sels.
    De plus, je n'ai pas besoin de placer que du sel de sulfate, un peu de sulfate sera suffisant, cad qu'il est possible de faire 50-50, 50% sulfate de sodium - 50% chlorure de sodium.
    Je recherche d'abord à forcer l'osmose en augmentant la dose de NaCl, je n'ai donc pas besoin de placer du sulfate exclusivement.
    Même si le sulfate semble être non-toxique, il vaut mieux monter doucement les doses.
    ...Le sulfate est un sel qui coute cher en alimentaire, y'a des prix entre 20 et 50e le kg...
    ... je vais tester le jus de citron à boire pour dissoudre le sulfate dans le corps.
    Je vais préparer 3/4 de litre de jus de citron pendant l'heure de marche rapide.
    Cela pose le problème des chélateurs qui s'expriment mieux à pH alcalin.
    L'edta flocule à pH7, il me semble que je peux donc complètement l'oublier.
    Le dmsa commence à se solubiliser à pH4.
    Mais l'Ala est solubilisé dans de l'huile, la question du pH ne se poserait donc pas.
    Sur le papier, l'Ala solubilisé avec la léc. de soja demeure jouable pour accompagner le pulco.
    Mais, le sulfate se dissous mieux en milieu acide : peut-être donc que le sulfate peut drainer à les toxines à lui seul.
    Cad que le chélateur n'est peut-être pas aussi indispensable.
    ... Confection et application de 40 ml de crème avec 7g de Na2SO4.
    La dose de sel est 4x plus élevée que les précédentes applications.
    RAS sur le moment, pas d'effet bénéfique, ni d'effet problématique (ex: point de côté, fatigue, tripes,...), rien, nada.
    Un peu de sel est resté sur la peau, je vais baisser la dose à 6g.
    Au vu des résultats, le SO4 semble écouler les toxines de l'extra jusqu'à élimination par les reins, mais je crains qu'il ne soit pas aussi efficace que le NaCl pour extraire le contenu de l'intra par osmose.
  • 12 mai. Selon mes recherches, les solutions de NaCl, de MgSO4 et de Na2SO4 seraient toutes les trois isotoniques à 10% env. NaSO4 : 13.5 g/l. MgSO4: (pm BCS : 14%, 14g/l)
    Les forces osmotiques ne devraient pas varier d'un sel à l'autre.
    Je me demande si je ne mets la crème trop fréquemment de façon à empêcher le retour à l'isotonie de la cellule avant une nouvelles déshydratation.
    Une cellule déshydratée ne se déshydrate plus, le répétition trop fréquente de crème saline empêcherait l'effet recherché.
    Il faudrait éventuellement 48h pour un retour à la normale, cad : avant de rappliquer la crème déshydratante.
    Par contre, la peau n'a aucun symptômes de déshydratation, sécheresse, desquamation.
    Les seuls symptômes demeurent ceux des ml : flambées, badigeon.
    Pas d'application prévue aujourd'hui. il va falloir que je lutte contre mon impatience à agir...
    ... Les sensations aux tripes (foie, intestins) s'estompent encore.
    Ce sel (Na2SO4) semble miraculeux :
    Ces sensations ont été provoquées ou maintenues par ces deux autres sels (NaCl, MgSO4) ;
    Le Na2SO4 semble résoudre ces sensations. Ça, c'est une sacrée bonne nouvelle.
    Hier, j'ai également bu 1/2l de jus de citron (pulco) pendant la marche rapide, je ne saurai dire si ça a aidé le SO4 à agir.
    ...12h00 mini-flambée (quotidienne) d'une heure:
    Image
    ... Introduction du Sulfate de sodium au quotidien.
    Le Na2SO4 peut être ajouté aux solubilisations de chélateurs: 0,3g dans le verre d'eau de la solubilisation d'Ala ; 2g dans le demi-litre de chélateurs hydrophiles (edta et/ou dmsa).
    Faute de preuve qu'il puisse remplacer le sel de table à 100%, il peut également être ajouté dans le sel de cuisine (ex : à 5%).
    ...rehydratation possible avec de l'aloe vera.
    ...Pas d'application de crème saline aujourd'hui.
    Comme je me sentais pas trop mal, ce ne m'a pas fait l'effet d'une pause.
    J'ai fait ma marche pour forcer la rehydratation.
    RAS. Pas de symptômes spécifiques.
    Je prévois une applications de la crème demain.
  • 13 mai
    Sulfateuse - Quelle eau minérale boire pour participer à la détox des ions 2+ ?
    • Suite aux effets du sel de Glauber, les eaux minérales sulfatées pourraient donc contribuer à une ambiance de détox.
      Voici un tableau minéralogique des eaux minérales.
      Image
    • Pour faire un choix, je regarde donc la balance entre les ions bivalents, sulfates (2-), calcium (2+) et magnésium (2+).
      Sans valeurs extrêmes, les ions monovalents demeurent du 2ème ordre.
      Pour l'Hépar, puis pour la Courmayeur, puis enfin la Contrex, la balance possède environ 1 gramme favorable aux sulfates.
    • Cependant, je ne suis jamais mieux servi que par moi-même.
      De plus, j'ai mes habitudes avec la Roucous et la Volvic dont seul le goût me satisfait et me donne la sensation désaltérante.
      Je verse donc entre un et trois grammes de sel de Glauber dans ma Rouscous ou ma Volvic. [img]kator/smiley16.gif[/img]
      Le goût du sel de Glauber est proche de celui du sel de table, mais je préfère quand même masquer ce goût par un mini-filet de pulco dont l'acidité solubilisera le SO4--.
      Cette eau minéraledevrait participer à la détox du rebond ou de la mobilisation.
  • Petits calculs isotoniques.
    • Je recherche à comparer les doses de sels pour vérifier leur forces osmotiques
    • NaCl : 2 ions, 58 g/mol.
      Il faut 9g/l de NaCl pour l'isotonie.
      Nombre de moles de NaCl : 9/58 = 0,155
      Il faudrait donc 0,155 moles de NaCl.
    • Na2SO4 : 3 ions, 142 g/mol
      Mais il faut tenir compte du troisième ion.
      Il faudrait donc 0,155x2/3 = 0,103 moles de Na2SO4.
      masse de Na2SO4 isotonique = 0,103x142 = 14,68 g
      Au résultat, ça m'a l'air pas trop déco... et ça colle avec ce que j'ai trouvé sur internet.
    • Voici, les isotonie de différents sels :
      NaCl : 2 ions, 58 g/mol, isotonie à 9g/l : référence.
      Na2SO4 : 3 ions, 142g/mol ; 9/58x2/3x142 = 15g par litre - Sel de Glauber, anion bivalent pH neutre
      MgSO4 : 2 ions, 120 g/mol ; 9/58x120 = 18 g par litre - Sel d'Epsom, 2 ions bivalents +/-
      MgCl2 : 3 ions, 95 g/mol ; 9/58x2/3x95 = 10 g par litre - Cation bivalent (inflammatoire ?)
      Na2HPO4 : 3 ions, 142 g/mol ; 9/58x2/3x142 = 15 g par litre. pH9 anion bivalent alcalin.
      Na3PO4 : 4 ions, 164 g/mol ; 9/58x2/4x164 = 13 g par litre - pH12, corrosif, à délaisser.
      HCO3Na : 2 ions, 84 g/mol ; 9/58x84 = 13 g par litre - BCS.
    • la force osmotique du NaCl est élevée et sa solubilité est également élevée.
      Il est donc intéressant de le faire participer à la crème saline.
      Ma prochaine crème saline sera donc 50% NaCl 50% Na2SO4.
  • Phosphate de sodium Na3-PO4 / 3Na+PO4---
      A ce jeu des combinaison de sels physiologiques, il demeure un anion physiologique trivalent.
      Cet anion trivalent est-il peut-être encore plus puissant que le sulfate (bi-valent) pour drainer les ml.
      ...Pas facile de trouver du Phosphate trisodique, les pharmacies (yc préparatoires) n'en n'ont pas.
      J'ai trouvé du P. di-sodique en pharmacie, mais le sulfate fait déjà le même travail.
      Sur certains sites marchands, il est indiqué que le Na3PO4 est irritant et caustique.
      Il me semble que c'est la manipulation régulière du sel dans la main qui pose problème à terme.
      Ce serait une contre-indication à destinations des professionnels qui manipulent couramment des sels.
      Sur la page wiki : À la Belle Époque, le phosphate de sodium était considéré par les médecins comme un médicament purgatif.
      Mais bon, ça veut pas dire grand chose.

    ...voici presque 48 heures que je n'ai pas appliqué de crème.
    Ces 48h devraient permettre de retonifier les cellules de façon à ce qu'elles puissent être déshydratées de nouveau.
    Je n'ai pas noté de flambée depuis 24h, j'ai donc l'impression que l'intra s'est réhydraté (avec ses ml).
    Je n'avais eu autant de flambées avant l'application de ces crèmes salines.
    De plus, pendant cette période, le point de côté qui s'était manifesté lors de la série MOC, est réapparu et il n'a cessé de fluctuer.
    Il n'a baissé durablement que depuis l'application des sulfates.
    De tout cela, j'en tire que j'ai mis un coup de pied dans la fourmilière et qu'une partie de ml a été mobilisée et éliminée.
    Les quintes de picotements ont cessé depuis l'application de ces crèmes.
    Les flambées étaient peu fortes avant cette période, elles ont été nombreuses et intenses au début de ces crèmes salines.
    Les quintes ont disparu, mais il me reste à éprouver une période sans application de crème pour vérifier si les quintes n'étaient pas muettes sous l'effet du soufre.
    ...13h00 Projet de composition crème du jour : 40ml, + 3g SO4Na2, + 3g NaCl, +1g PA Edta, +1g de soufre pur en poudre. Le tout mixé et chauffé à 25-30°.
    ...14h00 La crème se liquéfie mais elle ne déphase absolument pas pendant 1 heure, cela laisse le temps de l'appliquer.
    La pénétration dans la peau demeure aussi efficace que la crème originale.
    Quelques picotements francs, dos, jambes, cela me plait : il y a un effet de déshydration qui confirme qu'une réhydratation a eu lieue dans les 48h passées.
    Cependant, a mobilisation vers la lymphe va-t-elle suivre ?
    Je vais mettre des blocs de glace sur le ventre pour activer la vascularisation.
    ...15h00 belle flambée sur le plexus cardiaque : les ml sortent.
    Image
    Cette flambée n'avait pas lieue quand j'appliquais la crème saline tous les jours.
    J'ai donc là un marqueur de présence de produits inflammatoires : il faut attendre 48h avant de faire une application de crème.
    Je pourrai donc savoir quand est-ce que j'en aurai fini avec ces ml.
    Cela indique également que l'inflammation a lieue quand les ml sortent de la cellule mais que l'inflammation peut cesser après un certain temps hors de la cellule.
    ...15h15 placage de quelques blocs de congélation sur 30% du ventre pendant 30min.
    La zone en contact avec le froid a majoritairement perdu sa flambée.
    La zone de peau aux abords extérieurs des blocs a bien flambée.
    Ça semble me faire le même coup sur la peau qu'avec le premier bain froid sur le cerveau après une iv de dmps : effet éclatant.
    Je vais retenter demain le même procédé (blocs de froids) sur la zone qui a flambée pour voir comment la répétition se comporte.
    Mais je projette des bains froids à l'avenir pour bien traiter toute la surface de la peau.
    Mais, il ne faut oublier que l'effet placébo s'élève aussi haut que les espoirs... :D
    ...17h00 fin de la flambée, toute la peau a retrouvé sa couleur normale comme si de rien n'était...
    Nota: je n'ai pas pris de chélateurs (ala, edta, ou dmsa), je teste le sulfate seul, je saurai bien au point de côté si le sulfate était suffisant...
    ...21h00 Pas de point de côté ressenti. Je suspends donc les chélateurs jusqu'à nouvel ordre.
  • 14 Mai ...Projet de bain froid demain, l'eau du massif est à 15,9°, 15 minutes prévues, douche alternée avant le bain pour entrer dans le bain sans inconfort.
    Je mettrai quelques blocs de congélation pour garder l'eau froide.
    ...Ce qu'il faut garder à l'esprit, c'est que les ml sont de sortie pendant 24h.
  • 15 mai. Jour de bain froid. C'est le grand jour.
    J'y mets beaucoup d'espoir, il y aura donc de l'effet placébo dans l'air. [img]images/icones/icon12.gif[/img]
    S'il y avait des résultats positifs, il faudra que je multiplie les essais pour consolider l'appréciation des résultats.
    ... Suite aux recherches sur le NaSO(=Na2SO4) au chapitre du baume , je vais tenter de ne mettre que du NaSO dans la crème en évinçant le NaCl.
    Par la température, on peut retrouver une force osmotique suffisante.
    En théorie, à 35°, une forte dose de NaSO peut se dissoudre (jusqu'à 500g/l).
    Comme l'isotonie du NaSO est à 14 g/l et celle du NaCl à 9g/l, les 500g/l de NaSO devraient avoir la même force osmotique que les 350g/l de NaCl.
    9/14x500/350=91%.
    Et comme le sulfate est bi-valent, il est intéressant d'en disposer le maximum.
    ...14h00, flambée sur tout le ventre ; ça, je pensais que c'était résolu.
    ...14h30, mini-quinte de picotements, les effets des sulfate se dissipent-ils avec l'élimination naturelle des sulfates.
      LIVE DE L'ATELIER DE DÉTOX.
      • 16h15. Application de la crème saline (40ml chauffé à 30°, avec 10 grammes de sel).
        La crème est devenue très (trop?) liquide.
      • 16H30. Seul un badigeon d'ensemble est apparu, et une petite flambée de la surface d'un gros orteil.
        Pas d'effet éclatants, je suis déçu.
      • 16h35. Douche alternée, chaud - froid - très chaud (ça augmente les échanges) - très froid (ça permet de rentre dans le bain froid sans inconfort).
      • 16H45. Bain froid, 15° 15'.
        Légère couleur d'ensemble rouge de vascularisation.
      • 17h15. la badigeon à totalement disparu mais la petite flambée a survécu au bain froid.
      Bilan (sur le moment) : des petits effets qui vont dans le bon sens : Badigeon lors de l'application de la crème saline et disparition du badigeon après le bain froid.
      Je ne suis pas satisfait : Je m'attendais à une grande flambée qui n'a pas eu lieue et, du moins, à une extinction de la mini-flambée.
      Je vais réintroduire les chélateurs dans la crème.
      Le sulfate semble utile pour traiter l'accumulation de mobilisation dans les tripes, mais il semble ne pas traiter la peau.
      Si la combinaison sulfates+chélateur n'était pas satisfaisante, je testerai les phosphates... :gla:
      Il faut que je modère mon bilan par une consolidation tardive, j'ai quand-même fait des progrès depuis les premières photos...
      ...Je vais réintroduire le soufre qui était présent à la précédente crème.
      ...Bilan à distance : Les flambées ont disparues juste avant le premier bain froid.
      Même si je suis convaincu que le bain froid soit l'action adéquate pour chasser les ion Ml-SO2, je n'en aurai donc pas de preuve éclante. [img]kator/smiley1.gif[/img]
  • 16Mai. pas de flambée ni de badigeon.
  • 17Mai Arsenics et Phosphates.
    L'arsenic présente des valences de 3+ et 5+, As3+ et As5+.
    Selon le document alpha, les chélateurs classiques (dmsa, dmps) se lient à l'arsenic.
    Les phosphates PO₄³⁻ me semblent donc un peu plus appropriés pour traiter les cations à haute valence.
    Il serait utile que je les passe au banc d'essai.
    Selon mes premières recherches, il a l'air très alcalin, mais il est possible de placer qu'un peu de sel de phosphate dans mélangé dans une majorité au sel de sulfate.
    Mais le phosphate est un ion physiologique en abondance, des petits excès devraient être totalement anodins.
    Je suis en période d'essai des sels, ce serait dommage de ne pas le tester, je vais passer la commande de phosphate de sodium demain.
    Je ne pourrais pas savoir s'il est efficace car mes symptômes disparaissent avec le sulfate.
    Mais, afin de confirmer sa non-toxicité, il me semble utile de l'expérimenter.
    ...16h00 Pas de flambée, ni de badigeon, ni de picotement depuis l'avant-veille.
    Pas de point de côté non plus.
    Les symptômes baissent. :fume:
    ...Nouvelle séance : crème saline + bain froid.
    Léger badigeon en réaction à la crème, mais pas de flambée.
    Le léger badigeon s'est à moitié maintenu après le bain froid.
  • 18 mai.14h00. Pas de flambée depuis la dernière fois que je l'ai noté.
    Les flambées semble avoir été définitivement soufflées.
    La fréquence du badigeon a baissé.
    Depuis que je suis passé aux sulfates, le système digestif a retrouvé une légère pente ascendante continue.
    ...Même si je n'en ai pas besoin, je vais faire une pause.
    Cela me permettra enfin de savoir si les effets bénéfiques sont provisoires ou définitif (ou les 2).
    Le sulfate pourrait baisser l'inflammation sans éliminer les ml, il faut donc une période sans traitement pour vérifier s'il n'y avait pas de retour.
    ... On aurait trois cents grammes de minéraux dans le corps. Calcul : 10g/l dans 30 litres d'eau.
    Depuis le début de ces crèmes, j'ai du faire entrer 200g (calcul 5gx40jours.) de sels dans le corps et je m'en porte bien depuis que je suis passé aux sulfates.
    C'est-à-dire que je continue à mobiliser les ml tout en résolvant les complications liées aux précédents sels. [img]images/icones/icon13.gif[/img]
    ...pH Phosphate de sodium : 12 à 1% (10g/l) ; solubilité : 140g/l à 25°.
    pH 12 [img]kator/smiley223.gif[/img] , ça rigole pas. :gla: pm, eau de javel : pH12 ; BCS : pH8 ; Na2So4: pH7.
    Un pH de 13.5 est considéré comme corrosif, mais c'est il est autorisé comme additif alimentaire (ce qui ne veut pas dire que c'est inoffensif).
    À dose concentrée, il provoque des iritations mais il est toléré à faible dose.
    Je n'ai pas trouvé la concentration maximale physiologique.
    Je me rabats sur le phosphate di-sodique, sel physiologique à pH9 dosé à 1%, qui est utilisé en médecine conventionnelle pour faire des purges salines avant examens.
    Si je peux obtenir ce que je recherche (drainage des cations trivalents et+) avec un sel non dangereux, je ne vais pas m'en priver... [img]images/icones/icon15.gif[/img]
    Solubilité dans l'eau : 77g/l à 20 ° et 120 g/l à 25 °C. Isotonie : Na2HPO4 : 3 ions, 142 g/mol ; 9/58x2/3x142 = 15 g par litre.
    Son pH et sa faible présence dans la composition des sels minéraux physiologiques me laisse suggérer qu'il faudrait le mixer à faible taux avec du SO4Na2.
  • 19 et 20 mai Toujours pas de flambées, et quelques badigeons intermittents.
    Ça fait trois jours que je n'ai appliqué la crème saline et que je n'ai pas fait d'activité de détox.
    Donc : en dépit de l'élimination des sulfates : pas de retour des symptômes des ml.
    En attente de confirmation durable, je peux donc espérer que le sel de Glauber élimine les métaux-lourds.
    Je vais reprendre mes activités de détox de la peau jusqu'à l'élimination complète des badigeons.
    ...Nouvelle séance d'application de la crème saline (chélateurs + 1g soufre pur +7g Na2SO4) + bf. Quinte de picotements à l'application.
    Il me semble que le soufre dans la crème soit concomitant aux picotements.
    Que cela veut-il dire ? est-ce le soufre qui aide à décrocher les ml ? ou est-ce le soufre à lui seul qui provoque ces picotements ?
    Difficile de savoir.
  • 21Mai. Même si les picotements et les flambées semblent avoir définitivement cessé, les badigeons demeurent.
    Pour éliminer définitivement les ml, il me faudra continuer les crèmes salines + bf.
    Comme la quantité de ml diminue de façon proportionnelle à la dose présente, ces traitements vont trainer en longueur.
    Il me faudra certes peut-être encore beaucoup d'applications pour éradiquer les ml.
    Mais je tiens là une méthode qui marche.
    La peau est une barrière très efficace, il est normal qu'elle oppose une résistance au traitement.
    Peut-être existe-il une méthode (encore à découvrir) pour accélérer le processus, mais il est très précieux de disposer d'une solution même si elle était poussive.
    La disparition des phases aigües montre que l'élimination est effective et que le traitement marche.
    ...Belle journée chaude et ensoleillée. 30°. Grosse rando 3h sous le soleil, dont bronzage 1h et 2h de marche, puis repos 2h.
    Puis, crème saline (7g de NaSO4, 1g PA edta, mais pas de soufre), grosse quinte de picotements à l'application de la crème.
    La rando y est-elle pour quelque-chose ? et cela a-t-il aidé à la détox ?
    Bain frais. Badigeon, quelques toutes petites grappes de flambées.
    ...Ces picotements étaient non-attendus (donc : pas de placébo).
    Peut-être sont-ils une preuve de la présence de ml ?
    La rando a-t-elle rendu la membrane plus souple de façon à faire sortir les gros morceaux ?
    Est-il préférable de faire la rando avant la crème ?
    En tout cas, j'ai maintenant acquis la certitude que la déshydratation a bien lieue dans les minutes après l'application.
    La crème hypertonique a-t-elle fait sortir les ml de façon à provoquer cette quinte ?
    Lors de la première application du Na2SO4, des picotements francs s'étaient manifestés.
    Sont-ce les trois jours sans SO4 qui ont rétabli une sensibilité au SO4 ?
    Toutes ces questions et aucune réponse. :crazy:
  • 22mai. Pas de détox ce jour.
    J'ai pas vu de picotement (auto-généré) depuis une grosse poignée de jours.
    Pas de flambée, non plus. Mais l'habituel badigeon intermittent demeure.
  • 23mai. Soufre. Le soufre pur ne se solubilise pas dans l'eau mais il se solubilise parfaitement dans l'huile.
    Le soufre pur est une association de soufre (S2,S4,...), ce n'est donc pas un sel.
    Je crains que sous ce format-ci (pur), il n'ait aucune action de détox sur les ml minéraux.
    L'huile étant un isolant électrique parfait, le soufre pur ne devait pas avoir d'action magnétique sur les sels.
    Mais peut-être agit-il sur les methyl-ml. ? - a vérifier.
    ...Quinte de picotements à l'application de la crème saline (mais pas de flambée).
    Ça me plait, y'a une réaction qui se passe.
    Je ne sais absolument pas ce qui se passe, mais il se passe quelque-chose.
    Q: cela participe-t-il à la détox ? - R: aucune idée.
    La grosse rando du 21 mai a fait un effet qui fait que les picotements ont encore lieu 2 jours après.
    L'exposition au soleil est le nouvel facteur qui pourrait expliquer cette quinte.
    ...La sensibilité des tripes s'est stabilisée.
    J'attribue aux sulfates une baisse de ces sensibilités de 75%, ce qui est significatif.
    Je dois désormais palper fortement mon bide pour sentir ces sensibilités, sinon je ne m'en rends pas compte.
    Je vais donc reprendre les solubilsations de chélateurs, un petit verre de Edta, ou dmsa, ou d'Ala par-ci, par-là pour voir ce que ça donne.
  • 24mai. Application de la crème saline. 50 ml à température ambiante ; 8g SO4Na2 (à mélanger immédiatement sinon ça fait des gros cristaux) ; 0,75g PA edta ; 1g PA ALA.
    J'applique : quinte de picotements, et J'attends que ça sèche (5 min).
    Je me mets dans la douche, et je passe un tout petit peu d'eau de façon à réactiver la crème qui a séché en surface.
    Massage et friction énergétique : quintes en saccades de picotements qui suivent les frictions. Wacha, ça décape. :ouin:
    À chaque friction (membres, ventre, ...) : une quinte qui picote fort.
    Les frictions semblent donc diffuser le sel dans l'épaisseur du derme.
    Pas de flambées.
    ...Le pH et sur les phosphates.
    L'avantage des phosphates bi-valants (HPO₄²⁻) sur le sulfate (SO₄²-), c'est que le pH passe de 7 à 9.
    Plus le pH est alcalin, plus les cations sont solubilisés.
    Mais le sulfate perd de sa solubilité à pH alcalin (pH8).
    Quand un cation est solubilisé à pH acide, le sulfate convient.
    Mais quant un cation ne solubilise pas à pH acide (il précipite), il n'y a donc peu d'interaction avec le sulfate.
    Le phosphate disodium, allant à pH9, il y a donc un plus grand éventail de cations avec lesquels le phosphate se lie.
    Il faudra peut-être préparer le sang à pH8 (avec du BCS) pour présolubiliser les cations que les sulfates ne peuvent atteindre.
  • 25 mai. Les sensations lourdes aux tripes ont repris de plus belles, avec accentuation à la palpation + fatigue.
    De façon passive, les sulfates semblent mobiliser et éliminer les ml.
    De façon active (frictions), la mobilisation des ml par les sulfates semble dépasser la capacité d'élimination des sulfates.
    C'est un classique, la mobilisation parvient 24h après l'application de la crème (cela était de-éjà la cas avec les anti-mo).
    Jour de pause pour observation.
    L'intestin fonctionne très bien mais il proteste également par ces sensibilités si le repas était lourd.
    Je prends juste quelques petites solubilisations de chélateurs pour traiter ces sensations.
    Je ne sais pas attribuer ce phénomène à la toute nouvelle séance de frictions qui aurait mobilisé massivement, ou à quelques repas copieux, ou aux 2.
    ...Je n'ai jamais parlé, mais, depuis deux mois, j'ai quelques légers maux de tête qui suivent l'état des intestins de façon corrélées.
  • 26 mai. Mon état remonte doucement la pente, il suffit que j'attende et ça passe tout seul.
    Depuis que j'applique ces crèmes, je vis continûment avec ces sensations aux tripes avec des hauts et des bas.
    Dès retour à la normale, je compte bien recommencer cette séance de frictionnement.
    ...J'ai refait une séance en dépit des sensations aux tripes; non raisonnable, on verra demain.
    Application de la crème (50ml+8gNaSO+,5gedta+,5gala), pas de bain froid (bf).
    Quelques picotements sur le tronc (pas sur les membres) à l'application.
    Quintes picotements sur le troncs aux frictions (à la limite du tenable).
    J'ai arrêté les bains froids car l'eau du robinet n'est plus si froide (20°) et que les frictions font bien plus d'effets (picotements + tripes).
    ..."Dieux, que ne suis-je assise à l'ombre des forêts", Phèdre, Racine.
    Ces applications de crèmes sont fastidieuses.
    Comme Phèdre, mon soupir s'étire jusqu'à l'horizon.
  • 27mai. Pas de sensibilité suite aux frictions de la veille.
    ...Depuis quelques jours, mes crèmes quotidiennes sont passées de 3g env de sel à 8g.
    Ce palier a du faire sortir une bouchon de ml, cela expliquerait peut-être le grumeau du 25 mai.
    Application de la crème saline (50ml, 8g NaSO, edta, ala), Frictions : picotements à 60%.
  • 28 mai. Le grumeau du 25 mai est passé. Il reste quelques sensibilités résiduelles à la palpation.
    Ce niveau de sensibilité est toujours présent pendant mes campagnes de détox : amoc, crèmes salines.
    ... J'ai acheté le phosphate, nom en pharmacie préparatoire : Sodium Phosphate di-basique ; Na2-HPO4 ; 10e/200g (- Ne pas confondre avec Na3HPO4(pH12)).
    Il faut encore que je passe au banc d'essai : pH 1g dans 10cl, attendu : pH9, pH9 confirmé ; goût, je l'ai gouté : ras ; application locale pour test : ras (pas de rougeur, ni autre).
    Ça fait des cristaux quand c'est versé direct dans la crème, il faut donc mixer en même temps que verser doucement.
    Les hyperphosphatémie sont dues à des reins dysfonctionnels, mes reins sont au top, donc tvb.
    Au vu de l'expérience avec le BCS (pH8), la crème devrait se déphaser à bas débit, mais la confection de la crème avant chaque application n'est pas fastidieuse.
    ...Application, 50 ml crème + 3,5g de Na2HPO4+ frictions. La dose de sel est modérée.
    Pas de variation des symptômes sur l'immédiat, pas de picotements, pas de flambée, pas de baisse du badigeon.
    Il aut encore attendre demain au niveau des tripes...
  • 29 mai.Pas de symptômes suite à la crème de la veille...
  • Suite au prochain post... crèmes IV



CRÈME/BAUME POUR L'ÉPAULE
  • 14 Mai. Je me suis rendu chez Aromazone pour faire mon projet de baume musculaire.
    La vendeuse a expliqué qu'il fallait éviter les beurres végétaux car ils demeurent en surface.
    Afin d'aller en profondeur, elle a indiqué qu'il valait mieux mettre de la cire d'abeille.
    Dans les doses préconisées, je vais donc remplacer le beurre végétal par de la cire.
    Dans le post du 3 avril, j'ai mis la recette théorique d'un baume.
    Projet de baume : Cire d'abeille 65g ; huile (sèche) 30g ; lécithine de soja : 3,5g (10% de l'eau); eau 35 ml + 1g de Na2SO4 + 5 g NaCl; (+5 gouttes vit E à la fin) - doses susceptibles d'évoluer.
    ...Premier essai, c'est pas terrible, y'a trop de cire, je vais refondre et je vais rajouter de l'huile, 40 g hv coco.
    ...C'est mieux. À mon avis, je peux rajouter de l'eau (et donc du sel), je vais refondre, +30 ml d'eau avec 3g NaCl et 1g Na2So4 + 5g léc. d.soja.
    ... il faut mixer un peu coup régulièrement jusqu'à ce que ça devienne froid.
    ... après de multiples refroidissements puis refonte et rustines de rajouts d'ingrédients, j'ai fini par obtenir qqchose qui ressemble à un baume.
    ...récap : Cire d'abeille : 65g, huiles (de coco) : 110g, lécithine de soja : 10g ; eau : 60 ml + 8g Nacl + 2g Na2So4 ; 5 gouttes vit E.
    J'ai buté sur la dose de Na2SO4, je ferai un débriefing demain.
    Même si ça ressemble à un baume, il y a trop de cire.
    Mon objectif est que ça pénètre jusqu'au muscle, il faudrait donc que ça ait la même consistance que le muscle.
    Si c'est trop fluide, ça part dans la circulation, si c'est trop visqueux, ça reste sur la peau.
    ...il n'y a plus qu'a essayer, si ça marchait, il faudra des dizaines d'applications, c'est encore une histoire de tâtonnement où les prémisses de résultats n'apparaissent qu'après des centaines d'essais. [img]images/icones/icon15.gif[/img].
  • Là, j'ai un (trop) gros pot de 200ml, la prochaine fois, j'en ferait que le quart.
    ...Crash test du frigo toute la nuit : pas de déphasage (avec de l'eau tout au fond du pot).
  • Premier massage, il faut que j'y aille avec énergie.
    Ce sera peut-être plus l'effet du massage que de la crème qui éliminera les ml.
    Grâce au sel, il faut noter que les ml sont de sortie au bout de 15 minutes et qu'il demeurent hors de leur tanière pendant 24 à 36heures.
    Il faut donc qu'un massage ait lieu 2 fois par jour pour que les métaux-lourds puissent être bien drainés par le massage.
    Un seul massage par 48 heures ne réuni pas les conditions nécessaires ( = bootage de ml hors de l'intra) pour que le massage puisse faire effet.
    De plus, j'ai l'impression qu'il y a une pompe à métaux-lourds qui font revenir les ml en dépit des applications multiples des solutions salines.
    Cad que les ml sortent à cause du flux d'eau qui sort de la cellule mais, en dépit de la sortie d'eau, une pompe à bas-débit les ramènent dans la cellule contre le flux d'eau.
    Cad, que si j'applique la crème tous les jours, y'a pas de mvt d'eau, mais les ml ont déjà réintégré l'intérieur de la cellule grâce à la pompe.
    Pour drainer les ml, il faut donc une période de repos après laquelle j'applique la crème saline, puis j'ai quelques dizaines d'heures pour activer le drainage (massages, chélateurs, b.f.) .
    Après, c'est trop tard.
  • Question, pour aller jusqu'au muscle : Crème ou baume ?
    Finalement, la question n'est peut-être pas là.
    Selon mes intuitions qui s'aiguisent au fil de mon expérience, c'est plutôt le rapport huile/eau.
    Si c'était 50/50, la pellicule d'huile est peut-être trop fine, l'eau sera libérée avant d'arriver au muscle.
    Si c'était 90/10, la gouttelette d'eau ne sera peut-être jamais libérée.
    Il faut trouver le bon dosage avec la bonne huile.
    Là, j'ai fait 66/33 avec de la coco mais avec trop de cire d'abeille.
    Au pire, je pourrai la refondre et faire de multiples échantillons en faisant varier les proportions.
  • Dissolution du Na2SO4 dans l'eau [img]kator/smiley223.gif[/img]
    Le comportement du Na2SO4 dans l'eau est surprenant : il se solidifie en bloc de cristaux.
    Hier, j'ai eu bcp de mal à le faire se dissoudre dans l'eau à température ambiante, c'est pour cela que j'en ai mis très peu 2g de Na2SO4 (et 8de NaCl)
    J'aurai préféré au moins 4/4 si ce n'est 8/0.
    ...La dose de NaSO (=Na2SO4) qui se dissous dans l'eau est très volatile selon la température.
    selon wiki, à 0° : 5g/l ; à 35° et + : 500g/l.
    De plus, il y est écrit : La solubilité est nettement plus faible si l'on ajoute du chlorure de sodium dans la solution.
    à comparer avec le NaCl qui passe de 35g/l à 39g/l de 0 à 100°.
    ...À température corporelle, la dissolution est maximale.
    À 35°, je pourrai me passer du NaCl.
    De plus, plus y'a de sulfates : plus y'a d'osmose et plus y'a de drainage.
    Je vais retenter un baume en faisant chauffer l'eau à 35° de façon à faire dissoudre le NaSO (et sans NaCl).
    En refroidissant, y'a pas de mal à ce que ça cristallisera dans les micro-goutelettes.
    En massant, ça chauffe très fort, ça se dissoudra peut-être au moment du massage.
    ...je viens de tester la dissolution à 35°(7,5g dans 30ml (ca fait du 250g/l et non du 500 max), les gros blocs qui se forment à 18° se dissolvent à 35°, épatant.
    J'ai laissé la solution se refroidir jusqu'à 22°, le sel est resté dissolu, il n'a pas précipité ni ne s'est pas reformé en bloc. Ça c'était pas prévu...
    Ça, c'est une très bonne nouvelle, ça veut dire que je peux faire le baume sans que le sel ne cristallise lors du refroidissement. [img]images/icones/icon13.gif[/img]
  • Recette deux-point-zéro.
    • Hv Coco : 50 g
    • Cire d'abeille : 10 g
    • Lécithine de soja : 5 g
    • Eau + Na₂SO₄: 30 ml que je vais faire chauffer à 50°, j'ajouterai 15g de Na₂SO₄.
    • Mélange jusqu'à 70-80°, mixage
    • Refroidissement en plaçant le pot dans l'eau froide (comme un bain marie mais froid) en mixant sans cesse.
    • Additifs à placer tiède lors du refroidissement (Vit E,...)
    Ayé, c'est fait à l'instant, elle est souple, elle est bcp mieux, elle pénètre la peau correctement.
    Il faut maintenant que j'attende qu'elle redescende à température ambiante pendant 24h pour voir si elle demeure stable.
  • 18 mai. La crème se tient, pas de déphasage à bas débit.
    La surface de la crème a craquelé, il me semble que la couche d'eau en contact avec l'air s'est évaporé.
    Mais la texture demeure onctueuse, ce problème est strictement esthétique.
    J'aurai ainsi inventé la solution bi-phase s/h : sel dans huile :lol:
    ... J'ai commencé les massages sur l'épaule. Rien d'éclatant pour l'instant.
  • 23 mai. J'ai +/- appliqué la crème 1x/j.
    Le point de douleur s'est un peu détendu mais il s'est stabilisé.
    Je vais insister à l'avenir pour voir s'il n'y avait pas plus d'effet.
  • 26mai. Je ne suis pas très assidu mais y'a du nouveau.
    La sensation s'est déplacée du trapèze à l'articulation.
    J'applique donc la crème à l'articulation dorénavant.
  • Suite au prochain post... Crèmes IV




DÉBRIEFING - au 3 Juin. (prise en compte du post CRÈME IV)
  • DÉTOX DE LA PEAU - Protocole et méthodologie.
    L'idée de ce protocole est de faire se rencontrer les ml et les chélateurs :
      1. Ingestion de chélateurs pré-solubilisés, = déploiement immédiat du chélateur en nuage dans la lymphe (- Optionnel en cas de sel de Natranium Régul'o)
      2. puis, application d'un crème saline pour presser la cellule cutanée comme un citron,
        = deversement de l’eau intracellulaire chargée de ml du tissu cutané dans le milieu extra-cellulaire.
        Voir composition du mix salin au post CREME IV : Natranium Régul'o.
      3. Attendre que la crème sèche (3 minutes), puis humidification de le peau pour réactiver la crème, puis frictions avec un bâton dans le sens de drainage lymphatique.
        Optionnel : un bain froid pour créer un bouillonnement de rivières souterraines, = rinçage du milieu extra-cellulaire vers la circulation systémique.
      En séquence :
      1. mini-chélasso à boire à jeun en tout début de séance, solubilisation d'hydros. (0,14l d'eau, 0,1g de PA de dmsa, 0,2g d'Edta, 0,5g de bcs, Ala (hv+léc.sojà) - mixage)
      2. Udvartana à l'Ala (0,2g de PA) sur les peaux les plus exposées aux ml (hanches, colonne vertébrale) - Optionnel.
      3. Application de la crème saline, jusqu'à 8g de Natranium régul'o dans 50 ml,
        Optionnel : mixée avec 0,5g de PA d'Edta et 0,2 g d'Ala.
      4. Frictions ou Auto-massage au rouleau pour forcer le drainage par action mécanique.
      5. Bain froid, 15' à 15', pour drainer jusqu'aux émonctoires. - Optionnel
      6. Marche rapide, 60'.- Optionnel.
      7. Application de la crème hydratante - Optionnel, en cas de besoin (cela n'a pas été mon cas).
    • Fréquence raisonnable : (bi-)hebdomadaire max, toujours à jeun. (moi, max : 2x/j)
    • Bien boire bcp d’eau pendant la journée pour réhydrater la peau.
    • A jeun, plusieurs fois répartis dans la journée : Ala solubilisé : 0,14l d'eau, 0,1g PA Ala (ou 1gélule), 5ml d'hv, 0,2g léc.soja à mixer - Optionnel.
    • Remède en cas de sur-mobilisation : arrêt des crèmes salines et Ala solubilisé matin et soir jusqu'à résorption.
  • CRÈME POUR l'ÉPAULE
      Recette : voir recette au chapitre : recette deux-point-zéro.
      Résultats en attente de finalisation des expériences...
      Résultats pas folichon-folichon.
      En littérature scientifique, on dirait "résultats prometteurs", il faut savoir interpréter le langage des scientifiques.
  • EAU MINÉRALE AU NATRANIUM REGUL'O - voir composition au post suivant : CREMES IV.
      Schüssler recommandait la prise de Natrum Sulfuricum NaSO4, de Natrum Phosphoricum NaHPO4, de Natrum Muriaticum NaCl en synergie pour réguler l'eau dans l'organisme.
      Voir post suivant.
      Comme les métaux-lourds sont des cations bi-valents dissous dans l'eau, les sels d'anions bi-valents réguleraient les métaux-lourds, me semble-t-il.
      Sur moi, ces sels de sodium ensemble ont participé à la résolution de mobilisation de métaux-lourds.
      Par courtoisie envers tous les anions physiologiques, j'ai ajouté du BCS.
      Il est donc possible que ces sels aient des vertus de détox sans que des excès n'aient absolument aucune incidence sur l'organisme car ces sels déjà abondamment présents dans l'organisme.
      Je recommande donc de verser jusqu'à 3g de Natranium Régul'o dans une minérale peu minéralisée (volvic ou rouscous) à boire.
      Optionnel : ajouter un peu de pulco, et placer au frigo, cela masque le gout salé.
      Cette eau serait la détox la plus simple de toute la panoplie, elle serait à tester en toute première intention tant que des effets s'expriment.
      Elle serait également à tenter en cas d'incident.



Autres sujets +/- connexes.
Sulfates SO₄²- et lécithine de soja : traitements soft et au long cours contre les toxines inorganiques et organiques.
Ces traitements contribueraient à prévenir ou à stopper Alzheimer, Parkinson, et autres maladies chroniques et dégénératives.
  • Je me demande si l'on devrait pas ajouter de sulfate dans le sel de table pour traiter la population du versant aqueux du corps.
    On a bien rajouté de l'iode dans le sel de table pour prévenir les goitres, on peut donc y bien rajouter un peu de Na2SO4 (c'est un sel physiologique).
    De plus, au goût le sulfate de sodium est très proche du sel de table alors que le sulfate de magnésium est très amer.
    Même si ça drainerait de façon extra-lente, à la longue, cela devrait éventuellement prévenir Alzheimer et toutes les autres pathologies liées à la bio-accumulation des métaux...
    Ça n'est qu'une idée car il faudrait voir les effets secondaires, mais en tout cas on en prend du SO4 à grosses doses ponctuelles lors d'une cure Clark du foie.
    Il me faut encore le tester au moment où j’écris ces lignes, mais j’ajouterai 5% de sulfate de sodium au sel de table.
  • La lécithine de soja déjà solubilisée à boire à jeun devrait mettre en circulation les éléments hydrophobes remisés dont certaines toxines lipidiques et donc certains pesticides.
    De façon lente mais continue, la prise de lécithine de soja solubilisée à long terme devrait donc désintoxiquer le versant huileux de corps.
    On pourrait certes en rajouter dans du beurre, mais ça manque un peu de solubilisation bi-phase.
    Ou dans l'huile de cuisson si elle tenait la chaleur, elle devrait se mélanger un tout petit peu, mais ça semble pas folichon-folichon.
    Il me semble que la préparation quotidienne demeure le moyen le plus sûr.
    Mais ce n'est pas très commode, la pancha-karma et le jeûne demeure donc des solutions de recours qui permettent de baisser significativement les toxines lipidiques.
    Cependant, pour lutter contre les mo, il est préférable de passer par de l'huile solubilisée.
    Ça vaut donc le coup de se préparer une grosse bouteille d'hv avec he (2 à 10%), léc. de soja (5% du poids d'huile), et Ala (10 grammes PA par litre d'huile) à mixer, à mettre au frigo, à secouer, dont on prélève une cuiller à café tlj pour la mixer à une verre d'eau et avec éventuellement un peu de BCS.
    Avec cette bouteille, on traitre les ml, les mo et les toxines hydrophobes (cad lipophiles) dont les pesticides.
    En temps normal, je ne mettrai que 2 à 3 % d'he dans l'hv dont je ferai tourner les essences anti-mo et les chémotypes et j'ajouterai occasionnellement une goutte d'he caustique (à faire tourner).
    En période d'épidémie, je passerai à 10 % d'he dans l'hv (sans oublier les fenêtres thérapeutiques de 20% du temps pour soulager le foie (1 we par sem ou 1 sem. par mois)).
    Faire d'une pierre trois coups de longévité.
    Ainsi, les infrastructures (eau, huile, mo) de la santé demeurent toujours au top.
    Il ne reste plus qu'à prendre occasionnellement quelques douches fraiches (15°) les + longues possibles (15') pour entretenir la tension artérielle au top.

Traitement métabolique et ALA. Ml et cancer.
    Contre le cancer, Laurent Schwatz prescrit de l'acide alpha lipoïque. Son traitement est donc un traitement chélateur.
    Cela n'est pas évoqué sur son site. Ce qui est dit, c'est que l'Ala améliore l'état de santé globale des cancéreux.
    Mais cela émet l'hypothèse que les métaux-lourds et le cancer sont lié.
    Je les lie par les mitochondries. Selon le CdF, les ml inhibent l'ATP, or, selon L.S., le cancer est l'alternative au défaut de la mitochondrie : la fermentation.
    Mais, quoi qu'il en soit, la détox des ml conforte une salubrité de terrain qui aidera le corps à demeurer serein, et donc, à éliminer les cancers.

Remarques sur l'injection intraveineuse de solutions hypertoniques
    Les mêmes effets secondaires que ceux d'une déshydration apparaîtront : intoxication des émonctoires.
    Cette technique dispense certes du jeûne sec (ou de la déshydratation) mais le patient devra quand-même faire des lavements à terme.
    Quinton pratiquait déjà de telles injections qui donnaient des améliorations de l'état général.
    Mais, cette technique prétendument salvatrice n'a pas perduré.
    Comme toujours, les désordres sont minimisés, voir même, ils ne sont pas rendu publics.
    Il est donc possible de suggérer que le grippement des émonctoires à retardement a peut-être suspendu la pratique de cette technique.
    Une perfusion de chélateur serait une solution palliative mais elle serait éventuellement partielle.
    Le taux de capture des éléments toxiques n'est pas nécessairement assurée à 100%, cela pourrait être vérifié par des analyses.
    Une plasmaphérèse serait peut-être une solution totalement sûre et totalement palliative aux effets secondaires.
    Cependant, c’est compliqué et les prix sont élevés.

Traitement de maladie chroniques à virus
  • Pour traiter lyme, je me procurerai les he du tic tox, et je les ajouterai à 10% dans un litre d'hv de sésame.
    J'ajouterai également tout autre anti-mo qui aurait produit un effet.
    A partir de cette bouteille, je ferai 1 : des massages sur la peau + sauna et 2 : des solubilisations avec la lécithine de soja.
  • D'autres mix d'he seraient à tester pour conforter la lutte contre le vih, les virus à hépatites,...
  • Je ferai également toutes les catégories de détox : réforme alimentaire, chélations, jeûne, techniques salines, cure du foie, bains froids, ...
    Avec le retour de la salubrité, la santé sera confortée au mieux quitte à ce que le virus ne puisse prospérer.

La femme [img]smile/queen.gif[/img] et l'homme [img]smile/king.gif[/img]
    À ce post (et suivant) : quelques réponses à des questions de femmes et d'hommes.

Affectation des fonctions des émonctoires - 4ème infrastructure.
  • J'ai besoin de clarifier les rôles principaux des émonctoires.
    Les émonctoires prennent certes le relai les uns des autres, mais ils ont des fonctions principales.
    On renforce les émonctoires en les activant aux limites.
    Cela devrait permettre également d'obtenir de fortes capacités d'équilibrages entre émonctoires.
    Renforcé, un émonctoire ne sera donc jamais pris à défaut, et le cas échéant, il prendra le relai en cas de situation extrême.
  • Le corps est composé de deux infrastructures, huile et eau.
    Il y a donc deux émonctoires qui traitent de façon privilégiée chacune de ces deux infrastructures.
    Les intestins (+foie) : l'huile ; les reins : l'eau (et ses électrolytes).
    Mais les autres émonctoires ont également des réponses physiologiques.
    Poumons : solutés gazeux à régularisation imminente.
    Peau : température, refroidissement par transpiration, et chauffage par vascularisation des capillaires.
    Les émonctoires prennent aussi le relai les uns des autres, ex : les reins traitent un peu du CO2, et les poumons et la peau éliminent de l'eau.
  • Le sport va donc activer les poumons et la peau par respiration et transpiration.
    La douche alternée active la peau.
  • Les métaux-lourds étant des électrolytes dans l'eau, l'émonctoire des métaux-lourds est donc celui des reins.
    Mes reins semblent traiter les métaux-lourds sans difficulté d'accumulation.
    Mais, comme les intestins et la peau traitent l'eau, des métaux-lourds s'y accumulent (je dis cela car c'est ce que je constate chez moi).
    Cependant, les poumons traitent également l'eau, il devrait donc y avoir des métaux-lourds, or je n'ai pas de symptômes dans les poumons (me semble-t-il).
    Surtout, la méthode de détox des poumons est encore inconnue...
  • Synthèse : les émonctoires régulent donc 4 constantes physiologiques : gaz, eau, huile et température (énergie - mitochondrie).
  • Aux trois infrastructures que j'ai dressées jusqu'à présent, j'ajoute donc une quatrième : les gaz dont l'oxygène est le meilleur représentant : O₂, CO₂, H (pH), et HCO₃ (BCS).
    La salubrité de cette quatrième infrastructure disposed d'un co-facteur par les bains froids dont le deuxième effet kiss cool est la multiplication des capillaires.
    Avec la micro-vascularisation, le foisonnement et la percolation seront assurés avec un maillage fin de façon à apporter les nutriments et de façon à drainer les sous-produits.
    Le grand air avec des activités physiques est la thérapie de salubrité.
  • Cependant, je ne sais toujours pas comment détoxer les poumons, or l'enjeu est là.
    Le lavement des poumons : ça n'existe pas. :(
    Il faudrait l'inventer.
    Ensuite, il faut évacuer le liquide : bains froid, activité physique.
    Il faudrait aussi faire des pancha karma locales et des campagnes anti-mo.
    Je ferai un brumisateur à eau saline (NaSO) avec hv, he et léc.soj.
    Il faudrait pschit-pschiter dans la bouche et respirer un bon coup en même temps.
    Il faudrait donc combiner la tête de diffusion d'un aérosol-doseur (ou d'un nébuliseur) avec un liquide composé spécifiquement pour la tête de diffusion.
    Cela demande bcp d'ingénierie, de temps, du matériel, ce n'est donc pas à mon programme pour l'instant, mais peut-être plus tard.
    nebuGAT.pdf
    Notice trouvée à : http://splf.fr/wp-content/uploads/2014/06/nebuGAT.pdf
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  • Récapitulatif :
      Infrastructure ; Organe ; Thérapie - voir nota.
    1. Huile ; intestins ; réforme alimentaire, jeûne hydrique.
    2. Eau ; reins ; Anions bivalents (chélation, sulfates), techniques salines (purge; crème, BSB,...), déshydratation ou jeûne sec (en ultime recours).
    3. Température § tonus ; mitochondries, peau et capillaires ; bains frais longs, bains glacés courts (règle : 1'/°), douches alternées, sauna.
    4. Oxygène ; poumons ; hyper-respiration, grand air, activités physiques.
    5. Pensée ; cerveau ; Littérature.
        - Nota : Chaque organe est sensible à chaque infrastructure avec des doses très variées.
        Exemple : le jeûne hydrique traite à merveille le champ huileux de tous les organes du corps en même temps.
        Mais le champ aqueux de chaque organe et du concert des organes nécessite une panoplie ordonnancée des thérapies.
        Donc la thérapie citée ici n'est pas respective de l'organe cité.
        L'organe cité ici n'est que l'accès principal de l'infrastructure respective.
        Cad, que la thérapie d'un organe cité ici n'est pas nécessairement la thérapie citée ici mais elle est une combinaison des thérapies qui compose les infrastructures de cet organe.
        Exemple : l'eau des intestin est traitée par la purge yogique et non par le jeûne hydrique.
        Le raffinement complet des thérapies est un ordonnancement que chaque patient doit apprendre à expérimenter selon ses pathologies.
        - Littérature. À l'opposée, un muscle au repos ne fonctionne qu'à 10%, avec un pic à 30% lors de la marche rapide. Par voie de conséquence, la sensibilité des muscles aux ml est faible, elle peut donc passer inaperçue toute la vie. Or, le cerveau est un organe qui fonctionne à 98% au repos. La conscience et la réflexion sont états qui ne nécessitent que 2% de gain d'énergie. Par voie de conséquence, la sensibilité du cerveau aux ml (inhibition de l'ATP) est très élevée. Cependant, la littérature est une discipline thérapeutique de la pensée dont la répercussion sur le corps n'est peut-être pas anodine.
Dernière édition par Sophocle le Mer 3 Juin 2020 09:00, édité 1 fois.
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Sophocle

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LES DOUZE SELS DE SCHÜSSLER

Messagede Sophocle » Ven 29 Mai 2020 17:15

Généralités
  1. 3 SELS DE SODIUM.
      Les trois sels sur lesquels je m'étais penchés jusqu'ici sont classifiés dans les sels de Schüssler (chlorures, sulfates et phosphates de sodium, 9 à 11).
      Tels qu'ils sont présentés dans cette liste, leur principe est la régulation de l'eau dans l'organisme. [img]kator/smiley223.gif[/img]
      Ce sont ces sels-ci qui réguleraient l'eau et pas les autres.
      Sans les nommer, Schüssler avait donc déjà établi toute une médecine vraisemblablement valable pour les métaux-lourds autour de laquelle je tâtonne de façon empirique.
      Leur description m'interpelle car le solvant des métaux-lourds est l'eau.
      La régulation de l'eau est une affirmation très ambitieuse, qui apparaît éventuellement exagérée, mais qui me semble potentiellement juste.
      Ces sels, surtout les sulfates et les phosphates, semblent tenir une place de choix dans la lutte contre les métaux-lourds.
  2. DOSAGES.
      Il préconisait de basses dilutions, Schüssler n'était donc pas reconnu par les homéopathes.
      Vu ce que je m'envoie, parfois jusqu'à 10 grammes de sel par jour, les homéopathes m'ignoreraient.
      Il vrai que j'ai inversé le principe, cela est provocatuer : je mets autant de sels qu'un homéopathe mettrait d'eau, et autant d'eau qu'un homéopathe mettrait de sel...
      Les sels que j'utilise sont déjà présents en grande quantité à l'état physiologique, les doses que je prends de ces sels-ci ne sont qu'à la limite du déraisonnable.
      Mais je ne ferai pas de telles expériences avec sels présents en faible quantité à l'état physiologique tels que du fluor ou de la silice ou du phosphate pur (PO₄³⁻).
      Cependant, comme on s'envoie bcp de magnésium avec la cure du foie, il est possible que d'autres sels tels que le potassium K puissent être pris en grande quantité.
      Je n'en vois pas l'intérêt car le surplus sera éliminé.
      Des doses modérées chroniques seraient tout à fait appropriées pour combler une carence, tel que Schüssler semble le recommander.
      Dans mon cas, c'est la grosse quantité d'ions qui permet de faire sortir les ml par osmose, puis de drainer les cations bi-valent toxiques par les anions bi-valents physiologiques.
      Dans une intoxication à l'iode, au fluor, ou à un anion bi-valent, il y aurait donc peut-être des solutions avec le sel chlorure de magnésium.
      Cependant, les cations activent l'inflammation, il faudra donc peut-être modérer la quantité de sels juste au-dessus de l'isotonie.
  3. AUTRES SELS.
      Il existe d'autres combinaisons de sels physiologiques, ex: MgSO₄, que Schüssler n'a pas répertorié.
      Pourtant, ce sel possède des vertus. Cette liste ne semble donc pas complète.
      Mais des médecins ont pris la suite de SCHÜSSLER, ils ont dressé une liste de 12 sels complémentaires dont certains sont composés d'arsenic et de cyanure.
      Les sels composés d'arsenic et de cyanure se retrouvent en homéopathie.
      L'oncologie conventionnelle est également friande d'arsenic et la médecine chinoise s'est compromise avec le mercure.
      Il ne faudrait pas que l'homéopathie suive le même chemin, à moins qu'il y ait une cure de détox appropriée par la suite, dont je doute l'existence.
  4. LES 12 SELS (descriptifs succincts) :
    1. CALCAREA FLUORICUM, Fluorure de calcium, CaF₂.
      1. Tropisme dents
      2. Principe : élasticité des tissus.
        Symptômes : problèmes d’os, de dents, de peau, de varices, d’hémorroïdes, de faiblesses musculaires, crevasses aux lèvres, vergetures, tendinites.
        Conseillé aux femmes enceintes et aux sportifs avant l’entraînement ou une compétition.
    2. CALCAREA PHOSPHORICUM, Phosphate de calcium, Ca₃(PO₄)₂.
      1. Tropisme osseux / déminéralisation, tissus.
      2. Principe : régénération des globules sanguins et des cellules osseuses.
        Symptômes : fatigue, faiblesse, convalescence, déficiences en fer, problèmes gynécologiques.
        Conseillé aux enfants surmenés ainsi qu’aux personnes âgées.
    3. CALCAREA SULFURICUM, Sulfate de calcium, CaSO₄.
      1. Tropisme pour la sphère ORL, la peau, le foie et la vessie / Infections prolongées .Tropisme : Action
      2. Principe : purification du sang.
        Symptômes : cicatrisation difficile, pus, acné, perte de mémoire, tumeurs (permet le ralentissement), vertige, bouffées de chaleur et stérilité féminine.
        Conseillé en alternance, selon les cas, avec Magnesia phosphorica (ménopause) ou Silicea (mauvaise cicatrisation) ou bien encore Kalium sulfuricum (acné).
    4. FERUM PHOSPHORICUM, Phosphate de fer, FePO₄.
      1. Tropisme inflammatoire et sang /anémie, fièvre, grippe
      2. Principe : oxygénation du sang ; renforce les défenses immunitaires ; à utiliser plutôt en début de maladie.
        Symptômes : problèmes ORL (toux, rhume, bronchite, angine…), fièvre, inflammations cutanées ou autres, hypertension.
        Conseillé aux personnes qui ont tendance à se blesser facilement (plaies ouvertes ou claquages, entorses, etc) ainsi qu’aux personnes anémiées.
    5. KALI CHLORATUM, Chlorure de potassium, KCl.
      1. Tropisme anti-infectieux et antiseptique /peau, sommeil
      2. Principe : anti-inflammatoire et désintoxiquant ; à utiliser quand la maladie s’installe.
        Symptômes : épaississement du sang, problèmes ORL avec glaires ou sifflements, asthme, digestion difficile.
        Conseillé pendant et après les maladies infantiles ainsi que pour les personnes qui mangent beaucoup de viande, gras ou épicé.
    6. KALI PHOSPHORICUM, Phosphate monopotassique, KH₂PO₄.
      1. Tropisme cerveau / anxiété, troubles de la mémoire, fatigues, crampes
      2. Principe : système nerveux.
        Symptômes : troubles du sommeil, maux de tête, hypertension, dépression, excitation permanente, fibromyalgie, atonie musculaire.
        Conseillé aux étudiants et à tous ceux qui soutiennent un effort intellectuel intense.
    7. KALI SULFURICUM, Sulfate de potassium, K₂SO₄
      1. Tropisme peau, sang, cerveau /Le complexe des potassium
      2. Principe : système cutané, cheveux, ongles.
        Symptômes : tous les problèmes de peau ou de cheveux.
        Conseillé aux personnes qui ont des problèmes de peau ou de cheveu soit de façon chronique soit parce que, au cours d’un traitement de désintoxication, il y a excrétion et réaction de l’organisme à travers le système cutané. Est souvent prescrit en alternance avec Silicea.
    8. MAGNESIA PHOSPHORICUM, Phosphate de magnésium, Mg(H₂PO₄)₂ .
      1. Tropisme antispasmodique, musculaire et nerveux / spasmes, crampes, migraines, douleurs
      2. Principe : système nerveux et musculaire.
        Symptômes : angoisses, névroses, douleurs lors d’une maladie, douleurs menstruelles, spasmes, coliques, extrémités froides.
        Conseillé aussi aux personnes qui souffrent de problèmes hormonaux.
    9. NATRUM MURIATICUM, Chlorure de sodium, NaCl.
      1. Tropisme général / Poussée dentaire et hypersalivation du nourrisson
      2. Principe : régulation de l’eau [img]kator/smiley223.gif[/img] , de la chaleur et de l’équilibre acidobasique dans l’organisme.
        Symptômes : perte des sens (goût, odorat…), rhumatismes, rhumes coulants, larmoiements.
        Conseillé aux personnes victimes d’allergies chroniques ainsi qu’aux personnes voulant perdre du poids (à alterner avec Natrum sulfuricum ou bien Natrum phosphoricum).
    10. NATRUM PHOSPHORICUM, Phosphate de sodium, Na₂HPO₄.
      1. Tropisme detoxifiant et éliminateur / troubles hépatiques et calculs
      2. Principe : régulation acido-basique des cellules. régulation de l’eau dans l’organisme. [img]kator/smiley223.gif[/img]
        Symptômes : RGO, brûlures de l’estomac ou de l’oesophage, rhumatismes, cystites, calculs dans les reins ou la vésicule biliaire, sécrétions jaunes et épaisses, mauvaise haleine.
        Conseillé aux personnes qui cherchent à ralentir leur consommation de sucreries, de chocolat, d’alcool. Dans le cas d’une désintoxication ou d’un régime amincissant, prendre en alternance avec Natrum sulfuricum.
    11. NATRUM SULFURICUM, Sulfate de sodium, Na₂SO₄.
      1. Tropisme éliminateur et détoxifiant / Favorise l’élimination des émonctoires
      2. Principe : régulation de l’eau dans l’organisme. [img]kator/smiley223.gif[/img]
        Symptômes : nausées, vomissements, nausées de la femme enceinte, problèmes de digestion, troubles hépatiques, grippe, maux de tête, intoxication (médicaments, sucre, cigarette, alcool…).
        Conseillé dans le cas d’un régime alimentaire pour perte de poids et dans la rétention d’eau.
    12. SILICEA, Bioxyde de silicium, SiO₂.
      1. Tropisme de la peau, les os et tissus
      2. Principe : élimination des déchets.
        Symptômes : pus et excrétions purulentes, inflammation des muqueuses ou tissus conjonctifs, rhumatismes chroniques, furoncles, troubles hépatiques, ulcères, eczéma, troubles auditifs (bourdonnements d’oreilles).
        Silicea est conseillé, selon les cas, en alternance avec Natrum muriaticum ou Kalium sulfuricum.
      Sources, nota
      1. nana-turopathe.com
        Nanaturopathe.pdf
        Copie Pdf de la page
        (570.41 Kio) Téléchargé 311 fois
      2. rebelle-sante.com
        Rebelle-Sante.pdf
        Copie Pdf de la page
        (1.9 Mio) Téléchargé 370 fois
      3. Nota : formules à consolider
  5. PRÉ-ANALYSE - édit
      Je vais poser quelques généralités non-exhautives avant d'appréhender les effets d'un sel.
    • Limites : même si les sulfates jouent un rôle majeur sur les phanères, ou même si les phosphates jouent un rôle sur l'atp, ce n'est pas le versant organique à retardement qui m'intéresse.
      Seules les interactions inorganiques m'intéressent de façon à mobiliser, drainer et éliminer les métaux-lourds.
    • Polarité : En nombre de catégories, les cations sont significativement majoritaires. La finesse des échanges dépend donc de la relativité magnétique entre cations. les catégories d'anions sont certes minoritaires, mais, par sa rareté de catégorie, un anion influe sur un large éventail de cations.
    • Compartiment : Deux ions (un + et l'autre -) du même compartiment se neutraliseront réciproquement, mais un cation de l'intra lié à anion de l'extra créera une tension entre l'intra et l'extra qu'un couple d'ions de l'extra ne pourra pas initier. Selon le compartiment, une polarité pourra être activé mais pas une autre.
    • Valence. Les ions se lient par valence. Un anion bivalent de l'intra qui serait présenté avec deux cations mono-valents de l'extra exacerbera un effet de l'anion sur les cations bi-valents dans l'organisme. L'effet d'un ion multi-valent sur l'organisme est donc relatif au partenaire qui lui est associé.
    • pH : Certains ions influent sur le pH, et certains ions entrent en action (se solubilisent) selon le pH.
    • Élimination : Les ions en excès seront certes éliminés par les reins au bout de 48h, mais dans l'intervalle, ces ions seront pompés au travers de la membrane.
    • Combinaison : Chaque ions possède certes un effet, mais il faudrait amender cet effet par son ion partenaire et par l'état physiologique du patient.
      Pour apprécier un sel (association de 2 ions), il faudrait donc apprécier la combinaison de chaque catégorie ci-dessus, polarité, valence, compartiment, pH, temps d'élimination,...
    • Rôles. Le calcium, le potassium, et le sodium sont les ions de la dépolarisation et des ambiances énergétique. Le HCO3- (BCS) jour le rôle de tampon de l'hydrogène.
      Mais, la cellule devrait ajuster le taux de ces ions entre-eux de façon à activer ou désactiver les propriétés de l'un de ces ions sur l'ensemble des ions.
  6. Composition physiologique des ions majoritaires
      EXTRA: Sodium (Na+) 46% (masse moléculaire : 23)
      Chlore (Cl-) 36% (35)
      Carbonates (HCO3-) 9% (60)
      INTRA : Potassium (K+) 40% (40)
      Phosphates (HPO4--) 25% (96)
      Magnésium (Mg++) 7% (24)
      Sulfates (SO4--) 5% (96)
  7. APPLICATION SIMPLE
      Schüssler recommandait la prise de Natrum Sulfuricum NaSO4, de Natrum Phosphoricum NaHPO4, de Natrum Muriaticum NaCl en synergie pour réguler l'eau dans l'organisme.
      Comme les métaux-lourds sont des cations bi-valents dissous dans l'eau, les sels d'anions bi-valents réguleraient les métaux-lourds, me semble-t-il.
      Sur moi, ces trois sels de sodium ensemble ont participé à la résolution de mobilisation de métaux-lourds.
      Il est donc possible que ces sels aient des vertus de détox sans que des excès n'aient absolument aucune incidence sur l'organisme car ces sels déjà abondamment présents dans l'organisme.
      Je recommande donc de verser 0,1g à 1g de chaque sel dans une minérale peu minéralisée (volvic ou rouscous) à boire.
      Cette détox serait la détox la plus simple de toute la panoplie, elle serait à tester en toute première intention tant que des effets s'expriment.
      En dépit que Schüssler, fasse silence sur le bcs, par courtoisie avec tous les anions physiologiquement abondants dans l'organisme, j'ajouterai un peu de carbonates de sodium (Bicarbonate de soude) à l'eau minérale.
  8. CATIONS (IONS +) - ions d'activation.
      Rappel
      • Un cation peut certes activer la fonctionnalité de la cellule, mais selon le programme de la cellule, les cations peuvent aussi activer une inhibition si le rôle d'une cellule était d'inhiber une autre cellule. Cela permet un raffinement des actions. Par exemple: les cations activement certes les lymphocytes, mais ils activent les macrophages à retardement qui mangent les lymphocytes de façon à faire cesser l'inflammation. Il existe donc une synergie par le temps de réponse.
      • Symétriquement, un anion désactive une action, mais il peut aussi désactiver une inhibition si le rôle d'une cellule était d'inhiber une autre cellule.
        Entre les anions, entre les cations et entre les rôles des cellules, il existe tout un raffinement enchâssé d'activation d'activation, d'activation d'inhibition, d'inhibition d'action et d'inhibition d'inhibition. En règle générale, une activation produit sa propre inhibition à retardement. Tout la finesse d'action est donc dans le délai d'inhibition. Par exemple, imaginez que vous réfléchissiez à un sujet très précis, cela nécessite que le cerveau s'arrête quand vous avez circonscrit le problème. Sinon le cerveau continue de réfléchir. C'est tout bête mais il faut bien une cause biologique pour amorcer une réflexion et une cause biologique auto-régulatrice pour cesser la réflexion. Les mix des sels insufflent cette auto-inhibition à retardement, voir cours du Cdf sur les motifs de Turing.
    • SODIUM Na+ : De part son abondance, le sodium semble être le cation d'ambiance de l'extra. Il parait neutre, mais son rôle est justement d'installer un bain magnétique de basse intensité qui régules les anions.
    • POTASSIUM K+ : Le potassium est à l'intra ce que le sodium à l'extra, bain d'ambiance. Sa masse molaire est le double du sodium, il me semble que cela permet à la cellule de bien les distinguer l'un de l'autre par pompage et par filtration molaire au travers de la membrane. Le potassium est sous prescription, il agit sur le rythme cardiaque. En intraveineuse, il faut l'écouler en douceur : 1g/h. Son application en crème devrait donc être très très très modérée. Mais c'est justement sur la peau qu'il agit avec le sulfate... Donc, en crème, c'est la bonne galénique.
    • MAGNESIUM Mg++ Les cations bivalents activent fortement, ils amorcent la pompe. Mais leur sur-nombre est donc problématique. Le Mg est le seul cation bivalent à concentration modérée (7%) mais les anions bivalents sont à 30%. Le Mg est donc serré de très près : 7% par rapport à 30%. Il me semble que si le Mg était entouré uniquement d'anions mono-valents, il serait beaucoup plus réactif. Le potentiel d'un ion serait donc à apprécier selon le voisinage ionique.
    • AUTRES CATIONS : FER, SILICIUM, CALCIUM, CUIVRE. Ces cations sont multi-valents et à très faibles concentration, ils seraient donc très réactifs. Certains d'entre-eux, ex: cuivre, sont séquestrés. Cad qu'ils n'ont pas être solubilisés dans l'intra ou l'extra. Quand une forte quantité de cuivre sort avec les chélateurs, cela est anormal car les cuivres séquestrés ne sont pas accessibles aux chélateurs.
  9. Autres infos.
    • Le Silicea est instable en sel, mon revendeur n'en vend donc pas en sel anhydre (en poudre).
    • Tous les sels de sodium sont en vente libre. Le Bcs et NaCl s'achètent en supérette, et les sulfates, phosphates de sodium en pharmacie préparatoire.
      Demander de l'anhydre (sans eau, en poudre).
    • Le Sulfate de magnésium s'achète en magasin bio.
  10. LES SELS COMPLÉMENTAIRES HOMÉOPATHIQUES 13-25 et LES SELS D'IONS MAJORITAIRES OUBLIÉS
    • D'un point de vu des combinaisons des sels physiologiques abondants, la liste de Schüssler est incomplète. Elle a été certes augmentée par l'homéopathie, mais ce complément me convainc partiellement. Il demeure des manques et il existe des excès.
    • Des sels non-physiologiques font parti du complément homéopathiques. Ces sels sont des poisons qu'on retrouve dans beaucoup de médecines. Or, des techniques naturopathiques obtiennent les mêmes résultats que l'usage de ces sels. Mais contrairement à ces sels, leurs résultats sont éclatants, durable et sans aucun effet secondaire. Exemple, l'arsenic est utilisé contre certains cancers, mais le jeûne et/ou un régime alimentaire anti-cancer et/ou des bains froids ont des effets significatifs sur les causes des cancers.
    • Dans le complément homéopathique, font parti des sels minoritaires physiologiques (oligo-éléments), iode, zinc, cuivre, lithium, ... Cependant, une alimentation riche et variée palliera à toute carence, légumes, poissons, ... Je ne vois donc pas l'intérêt de prendre ces sels par médication. Il en est de même avec les sels de calcium, de fer, de fluor, et de silice de Schüssler.
    • Le nombre de combinaisons au complet des sels physiologique et majoritaires dans le corps s'élève à 12.
      Ions physio majoritaires : K+ ; SO₄-- ; HPO₄-- ; Na+ ; HCO₃- ; Cl- ; Mg++.
      Ces sels sont à apparier 2 à 2 en respectant l'association d'un anion avec un cation.
      Dans les 12 de Schüssler, y'a déjà : KCl ; K₂SO₄ ; KH₂PO₄ ; Mg(H₂PO₄)₂ ; NaCl ; Na₂HPO₄ ; Na₂SO₄.
      Il manque : NaHCO₃ ; MgSO₄ ; MgCl₂ ; Mg(HCO₃)₂ ; KHCO₃.
    • Parmi les sels complémentaires homéopathiques, 2 d'entre-eux sont des paires d'ions majoritaires :
      N° 17 MANGANUM SULFURICUM : Manganum sulfuricum est un sel biochimique soutenant la formation des tissus osseux et cartilagineux. Il peut s’utiliser pour toutes les maladies liées à des troubles de la formation des os et du cartilage. Il s’agit notamment des douleurs de croissance, de l’ostéoporose, de l’arthrose et des maladies articulaires. Ce sel aide aussi en cas de manque d’énergie. En cas d’activité physique soutenue et sportive, son utilisation améliore les performances.
      N° 23 NATRIUM BICARBONICUM : Natrium bicarbonicum est un sel important pour l’équilibre aci- do-basique. En cas d’acidose, il soutient l’élimination des substances urémiques et est donc généralement recommandé en cas d’hyperacidité, de troubles tels que les brûlures d’estomac, la goutte et les rhumatismes. Natrium bicarbonicum active le métabolisme. Son utilisation soutient également le pancréas. Il faudrait l’ajouter en cas de troubles tels que le surpoids et l’obésité. L’effet drainant de ce sel peut aussi offrir un précieux soutien en cas de maladies chroniques. On peut également utiliser Natrium bicarbonaticum en usage externe lors de maladies cutanées, notamment l’acné et l’eczéma.
      Mais, il manque des paires d'ions physiologiques majoritaires.
    • Les sels d'ions majoritaires oubliés sont donc :
      MANGANUM MURIATICUM MgCl₂
      MANGANUM BICARBONICUM Mg(HCO₃)₂
      KALI BICARBONICUM KHCO₃
      Ces sels se trouvent à la vente, mais je n'ai pas trouvé de petit discours naturopathique à leur sujet.
      Cependant ces sels demeurent intéressants car leur combinaison permet à un ion d'intervenir dans un compartiment.
      Exemple : MgSO₄ : ions bivalents de l'intra : effet modéré du Mg sur l'intra.
      Mais, MgCl₂ : le Cl demeure dans l'extra, le Mg aura donc un effet significatif sur l'intra.


Quelques précisions - édit 30 juin 2020
Dans un échange en mp, j' a écrit:Les sels de Shussler sont des anions physiologiques bi-valents qui faciliteraient le drainage des cations bi-valents (dont les ml). Ces sels ne sont composés que d'un seul cation : le sodium (monovalent). or, les anions sont variés et ils balayent le spectre des anions physiologiques. Ces anions physiologiques entrent donc en compétition avec les cations multi-valents du corps. Cela permettrait de drainer les cations en franchissant les différents changements de pH de façon à être mobilisés et éliminés. Quant à leurs usages, ils sont multiples, un peu dans l'eau minérale, dans les lavements, dans les crèmes. Selon Schussler, ces anions régularisent l'eau du corps (cad ml). En eau minérale, leur usage est simple et peut-être suffisant. S'il y avait des bénéfices en eau minérale, cela serait un signe de cations persistants qui sont éliminés. Selon mon expérience (résolution d'un incident d'accumulation durable de ml dans les tripes suite aux crèmes salines), en eau minérale, ces sels devraient permettre de drainer les accumulation de métaux-lourds de l'extra-cellulaire jusqu'aux reins. Ce serait magique. Je les ai découverts à la fin de mon parcours, je ne peux donc pas les essayer à nouveau lorsqu'un incident se présente. Cad que je ne peux pas vérifier mes conclusions par de multiples essais en conditions extrêmes (forte intox, multiples incidents,...). Mais je continue à les prendre pour traiter le rebond. D'ailleurs, je vais prochainement faire un post de traitement du rebond de ml.


Citrate - édit 23 juillet 2020
    Pour faire compétition aux cations (dont les ml), les anions multi-valents offrent une solution douce et physiologique.
    Cependant, même si les anions ont obtenu des effets éclatants, ils n'ont pas récuré l'intoxication.
    Or, la valence des anions physiologiques majoritaires demeurent plafonnée aux anions bivalents.
    Dans la veine des anions multi-valents, j'ai donc recherché des anions tri- et tetra-valent non toxiques pour augmenter l'effet de compétition.
    - Trivalent : Je suis tombé sur le citrate de sodium Na₃C₆H₅O₇, non toxique, (ça s'achète en pharmacie préparatoire 10e/100g).
    Je l'ai gouté, ça n'a pas de gout et y'a pas eu de réaction.
    Dans mes préparations, j'ai donc rajouté le citrate de sodium aux mix de sels de Schüssler.
    -Tétravalent : Je suis également tombé sur le pyro-phosphate (peu toxique), mais je n'ai pas réussi à m'en procurer par une filière fiable (pharmacies préparatoires)- en attente.




Dernière édition par Sophocle le Jeu 23 Juil 2020 12:23, édité 11 fois.
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Crèmes salines IV - suite - Natranium Régul'o

Messagede Sophocle » Sam 30 Mai 2020 10:28

Le précédent post (Crème saline III, 30 avril) est devenu trop long, je me perds dans les paragraphes.
Ce post reprend donc la continuité du précédent post sur les crèmes salines.


DÉTOX DE LA PEAU
  • 29 Mai. Crème 50ml avec 7g de Natrum Phosphoricum, RAS, pas de picotements, pas de flambée.
    Un peu fatigué le lendemain au réveil, mais ce n'est pas forcément lié au sel.
    Le badigeon est toujours un peu présent.
    Selon Schüssler, le natrum phosphoricum se prend en alternance avec le natrum sulfuricum et idem avec le natrum muriaticum, je vais essayer ça.
  • 30 mai. Quelques picotements auto-générés.
    ...Crème 50 ml, 3,5g sulfate, 3,5g phosphate, + frictions : aucun picotement, pas de variation de symptômes.
    ...J'ai l'impression d'avoir atteint un plafond de détox bien avant avoir éliminé toutes les toxines.
    J'ai certes résolu les ictus car y'a plus aucune flambée, mais une légère dose à peine devinable par le badigeon de toxines demeure indélogeable.
    ...Au niveau des tripes, ça se passe plutôt bien, j'aurais peut-être du commencer toute cette histoire de crèmes déshydratantes par cette variante...
    Faute de meilleur programme, je vais refaire une grosse marche pour tenter de réactiver les picotements lors de l'application de la crème.
  • 31 mai Creme 50 ml, + 2,5g Na-Cl, + 2,5g Na₂-SO₄, + 2,5g Na₂-HPO₄, + 0,75gPAedta, +0,75gPAala; frictions avec un bâton a friction, qq picotements.
  • 1 juin. Mes tripes ne protestent plus. Enfin presque. Elles sont majoritairement silencieuses.
    La synergie de ces sels de sodium me réussit, chlorure, sulfate, phosphate.
    Autrement dit, le mix anionique biophysiologique se présente comme le réglage salvateur. [img]kator/smiley31.gif[/img]
    Il fallait s'y attendre. J'ai donc décidé de passer à deux crèmes par jour car je suis une tête brûlée. [img]smile/zx11shocked.gif[/img]
    Par contre, du côté des symptômes de la peau, les progrès patinent...
    J'ai fait deux fois l'application de la crème aux 3 sels à 8 heures d'intervalle, soit 14g dans la journée, et je ne me transforme pas en statue de sel, pour l'instant, figures indzenoze. [img]images/icones/icon13.gif[/img]
  • 2juin. Au mix de sels, j'ai ajouté du HCO₃- (BCS) afin de compléter le mix de façon à ce qu'il soit représentatif des tous les anions majoritaires physiologiques.
    Ce jour, j'ai appliqué 2x la crème saline avec ce mix complet, toutes les sensations au niveau des tripes ont disparu.
    J'ai donc pré-préparé un un mix dont le ratio est représentatifs du ratio physiologique.
    Dans un pot de 100g, je verse donc :
    • 12g de NaHCO₃ NATRUM CARBONICUM
    • 48g de NaCl NATRUM MURIATICUM
    • 33g de Na₂HPO₄ NATRUM PHOSPHORICUM
    • 7g de Na₂SO₄ NATRUM SULFURICUM
      Je nomme ce mix : NATRANIUM RÉGUL'O : sodium + anions + régulation de l'eau dans l'organisme.
    J'ai établi ce ratio aux % exprimés d'un anion par rapport au cumul des % de tous les anions intra et extra.
    Peut-être faudra-t-il corriger ces valeurs selon d'autre théories et selon le retour d'expérience.
    Comme j'ai personnellement une affection très particulière avec le sulfate, j'en rajoute un peu (bcp).
  • Je mélange le pot. De ce pot, je prélève environ 8 grammes que je verse dans 50ml de crème hydratante tout en saupoudrant et tout en mixant afin d'éviter les grumeaux.
    Je n'ajoute même plus de chélateurs car, faute de sensations aux tripes, il me semble que je n'en ai plus besoin, mais il n'est pas inutile d'en ajouter par prudence.
  • De ce pot, je prélève également 1 à 2g que je verse dans litre d'eau minérale.
    Morale de l'histoire : Contre les méchants cations, il faut tous les gentils anions physiologiques.
  • BILAN D'ÉTAPE
    • Pendant ce deux derniers mois "hautement" salins, le système digestif est passé par des hauts et des bas mais il se rétablissait +/-.
      En dépit que j'ai pris le Natranion régul'o en très hautes doses (14g/j), les sensations aux tripes ont disparu et la digestion a demeuré impeccable de façon régulière.
      (Rappel : régime légume et un peu de viande, pas de fromages, ni gluten,... J'ignore donc comment ça se passerait avec un clacos-baguette)
      Les picotements ont quasiment disparu, les flambées ont totalement disparues, mais il demeure une légère inflammation de surface (que j'appelle badigeon).
      Les produits inflammatoires demeurent certes en petite quantité, mais ce traitement a quand-même fortement écrêté les pics de symptômes.
      Faute de résolution de l'intox de la peau, je suis quand-même arrivé à un traitement équilibré que je pourrais appliquer à une posologie raisonnable.
      Comme ces symptômes étaient parvenus avec les déshydratation, et comme ils ne sont pas éliminés à 100%, je ne réhabilite pas la déshydration, et je traite les ml par le rebond naturel et par des solubilisations.
    • J'ai quand-même une légère fatigue que j'attribue à l'excès de sels, je vais donc ralentir les doses.
    • Cependant, ce natranium régul'o ne dispose pas d'effet secondaire à une dose suffisante pour mobiliser le ml par osmose.
      Mais surtout, il a régularisé les effets secondaires des précédentes applications.
      Il semble donc qu'il peut-être pris ponctuellement (1 ou 2 fois par semaine) sans déclencher des fatigues..
      Il est possible que ce mix d'anions traite les incidents de parcours et il est également possible qu'il traite une couche superficielle de métaux-lourds.
      J'en mettrai donc dans l'eau minérale.
      ... Je corrige donc le débriefing du post ci-dessus (Crèmes salines III) avec ces nouvelles infos.
      ... Cependant, mes symptômes cutanés ne sont pas encore résolus.
      Depuis le début de cette campagne, ces symptômes ont significativement baissé mais il demeure une léger badigeon d'inflammation.
      Le tendance de la baisse est très faible, il me faudra peut-être continuer à appliquer ces crèmes pendant encore plusieurs semaines.
      Mais, à cause de la couche cornée, je m'attendais à ce que ce soit très long.
  • 9juin. Depuis le 2 juin, j'ai poursuivi l'application des crèmes salines quotidiennement (8g natranium régulo dans 50ml de crème nivéa soft).
    J'ai enfin fait le gros coup de barre que j'attribue à une déminéralisation généralisée par gradient.
    Ce n'est pas un incident avec une mobilisation importante qui s'est accumulée dans un point.
    Il suffit de suspendre le traitement pour que le désordre se régularise tout seul en 24/48H.
    Cela veut dire que le traitement est sécurisé : il suffit d'arrêter le traitement pour que les symptômes s'arrêtent.
    Il me semble que cette fatigue est parvenue de l'excès de sulfates et de phosphates.
    Je vais donc changer le dosage de sel, dorénavant, je vais mettre 50% de NaCl et 50% de natranium régulo car le NaCl est une abondante musique de fond physiologique.
  • Depuis plusieurs semaines, j'ai également un léger retour des céphalées qui augmente par gradient.
    Cela me semble être la conséquence de la mobilisation qui se redépose comme une neige.
    La légère inflammation sur la peau est encore présente, mais parfois, elle disparait complètement (cela est une nouveauté).
  • Mes symptômes de peau parviennent de jeûnes secs que j'ai fait il y deux ans.
    Je n'aurais donc pas du faire ces jeûnes secs, mais j'aurai du faire les chélassos (que je ne connaissais pas à l'époque).
    Les chélassos ont l'avantage d'éliminer les ml, mais pas les jeûnes sec.
    En cas d'intox aux ml, il faut réserver le jeûne sec en ultime ultime ultime recours après que tout autre technique ait fini de faire effet.
    Les chélassos peuvent résoudre 80% des ml, c'est donc une technique à privilégier.
    Ensuite, il faut traiter le rebond par des intrassos hebdomadaire pendant plusieurs années si nécessaire.
    A force, toutes les toxines seront éliminées sans jamais avoir à pâtir des effets secondaires et durables des jeûnes secs liés aux ml.
    (cependant, le jeûne hydrique une fois de trois jour demeure intéressant)
  • 11 juin La fenêtre thérapeutique fait son effet vers un retour à la normale : la fatigue et les maux de tête s'estompent.
  • Poursuite. Pour les semaines à venir, je vais adopter un petit rythme de croisière :
    • Comme la surface de la peau est légèrement irisée par une inflammation, je vais donc continuer à appliquer la crème saline mais à un rythme raisonnable (2xhéb).
    • J'ai également pris l'habitude de la solubilisation d'Ala et de He afin de traiter les mo et le rebond de ml (1xj).
  • 12 Juin. (Hier soir, le 11, J'ai fait une extrasso (1/2 litre, 0,3g PA dmsa, 0,75g PA edta, 2g BCS + marche), pas d'effet éclatant que le moment.)
    aujourd'hui (le 12), je suis encore en pause thérapeutique des sels de Schüssler, je trouve de mieux en mieux (moins de fatigue).
    Je ne savais pas que j'étais autant fatigué par les sels, je m'en rends compte à force de me sentir mieux.
    Je me rends compte que j'ai poussé la dose à fond.
    Soit j'avais une déminéralisation de cations physiologiques, soit un sur-dosage aux anions, soit les 2.
    Ce sur-dosage semble se résorber par lui-même par gradient depuis 4 jours, il y a donc une temporisation à distance.


CRÈME/BAUME POUR L'ÉPAULE
  • 30 Mai. La douleur à l'épaule est légèrement de retour mais sa position s'est encore déplacée vers l'omoplate.
    Je continue donc.
    2 Juin les résultats ne sont pas folichon-folichon.
    J'hésite à abandonner cette piste.
  • ...



NOUVELLE GAMME DE TRAITEMENT DES MÉTAUX-LOURDS : LES SELS DE SCHÜSSLER.
    Avec ce que j'ai lu sur les sels de Schüssler, et avec mes expériences, le mix de Natranium Régul'o me semble être un bon candidat pour l'élimination de métaux-lourds de l'extra.
    Il me semble que ce mix devrait être pris en toute première intention tant qu'il a un effet bénéfique.
    Il peut être également utile en cas d'incident.
    Si tel était le cas, des métaux-lourds devraient être détectés aux analyses d'urine.
    Ces sels ne chélatent pas les métaux-lourds mais ils agissent par compétition magnétique.
    Ces sels sont des anions bivalents physiologiquement abondants dans le corps.
    Pour qu'ils fassent effet, il faut les choisir associés à un cation monovalent neutre, le sodium.
    Lorsqu'ils sont ingérés, les anions bivalents vont décrocher les cations bivalents de la surface de la membrane des cellules par compétition magnétique.
    Les cations bivalents vont donc entrer en circulation.
    Les cations en excès seront donc interceptés et éliminés par les reins.
    [img]smile/tusors.gif[/img]
    Le rayon d'action de ces sels me semblent se limiter à l'extra-cellulaire (ce qui est déjà pas mal du tout).
  • EN OPTION : À ces anions, j'ajouterai un pH acide (jus de citron, pulco, alcool, vinaigre*) car l'acidité déséquestre les cations (métaux-lours, calcium, ...).
    *J'ai un doute sur le vinaigre car il entre réaction neutre avec le BCS : le BCS et le vinaigre se neutralisent en CO2.
    Pour rendre le sang acide, il suffit de boire un litre de jus de citron à jeun.
    Alternative : il est possible de faire passer une grosse quantité de ces sels par la peau via les crèmes et de boire un litre de jus de citron à pH3.
    (Il n'est pas possible de faire passer une grosse quantité de sel par l'eau à boire, car plus l'eau est concentrée, plus elle demeure dans l'intestin par effet d'osmose)
  • Pour conforter cette théorie, il me semble que se sont les sulfates du sel d'Epsom de la cure du foie qui font l'effet majoritaire sur les intoxiqués.
    Il me semble que l'élimination des calculs ne serait une résolution que si les selles demeuraient de couleur mastic (=obstruction de la canalisation hépatique) avant la cure.
    Même s'il y avait pleins de calculs, la bile peut très bien circuler, et le foie peut très bien faire son travail.
    Mais le sel d'Epsom ne me semble pas aussi optimal que le natranium régulo car il est associé à un cation bivalent (Mg++) qui va entrer en compétition contre les anions bivalents.
    Or, moins on oppose de cations bivalents aux anions bivalents, plus l'effet des anions bivalents sur les métaux-lourds serait efficace.
    De plus, le sulfate semble insuffisant à lui tout seul.
    Il me semble qu'il est préférable de fournir tous les anions physiologiques pour agir sur tous les organes dont le problème de la variation de pH serait bloquant pour un seul anion.
  • Contre -indication. Ce traitement va dissoudre les tissus durs : calculs et os.
    C'est donc un traitement qui ne doit absolument pas être permanent sur le long terme.
    En cas de problème d'os, il faut être rigoureux sur le régime alimentaire de façon à minimiser les effets des anions sur les os.
    Cependant, il est toujours possible d'ajouter un peu de chlorure de calcium pour compenser les pertes en calcium.
    Et ainsi de suite pour chaque carence.


Réciproque : Traitement des intoxications aux anions.
  • Les anions mono-atomiques sont peu nombreux.
    Bromure Br−, Chlorure Cl−, Fluorure F−, Hydrure H−, Iodure I−, Nitrure N3−, Oxyde O2−, Sulfure S2−.
    Il me semble qu'il ne peut pas y avoir d'intoxication chronique au chlore, à l'hydrure, au nitrure, et à l'oxyde (sauf problème de rein, acido-basique, de poumons,...auquel cas il faudra régler ce problème-ci)
    Les intoxications visées ici sont donc au brome, au fluor, à l'iode, et au soufre.
  • Les deux cations physiologiques majoritaires sont le potassium et le magnésium.
    Le potassium est sensible, il faut donc l'écarter.
    Il ne demeure que le magnésium, tant mieux car c'est un bivalent.
    Il faut donc l'associer avec l'anion le plus neutre et le plus majoritaire : le chlore.
    MgCl2
    Il existe des contre-indications qu'il faudra surveiller.
  • Dans une moindre mesure, j'ajoute également le deuxième sel de magnésium physiologique en association avec un anion monovalent non sensible (bcs) : Mg(HCO₃)₂
    pour respecter les pourcentage, je verserai 20% de Mg(HCO₃)₂ et 80% de MgCl₂
    mais, après, c'est à chacun d'ajuster les dosages.
    évidemment, je n'ajouterai absolument pas d'anion bivalent afin de ne pas faire compétition avec l'anion qui est la cause de l'intoxication.
  • EN OPTION : Je placerai ces sels dans une solution basique (BCS) afin de déséquestrer les anions.
    Pour rendre le sang alcalin pH8, il suffit de boire un litre avec 4 grammes de BCS.
    Il est possible de faire passer une grosse quantité de ces sels par la peau via les crèmes et de boire un litre d'eau avec 4g de BCS.
  • je renvoie également à ce post au pied duquel on trouve un traitement des intoxications aux radionucléides d'anions par compétition avec le même anion.




AUTRES SUJETS

Micro-Organismes (époque du coronavirus)
    Ce n'est pas parce que les médecins sont démunis de solutions que je vais me priver des solubilisations des huiles essentielles.
    J'ai renoué avec la grosse artillerie (Cannelle, Origan, ...), qui m'avait causé un incident de mobilisation de ml à l'époque de la série MOC. [img]smile/mgwhore.gif[/img]
    Mais cette fois-ci, les huiles essentielles passent comme une lettre à la poste.
    Cela veut dire que le problème des ml dans les mo n'est pas réapparu.
    J'ai peut-être encore des ml, ou des mo mais je n'ai pas de ml dans les mo sensibles aux he.

Littérature
Dans les Tarahumaras, Antonin Artaud a écrit:En moi, dans cet assemblage disloqué, ce morceau de géologie avariée.
    Artaud était un auteur fortement intoxiqué au mercure.
    Au Mexique, il a rencontré les Tarahumaras sur lesquels il a écrit.
    Dans ces écrits, quelques lignes (dont l'extrait ci-dessus) évoquent son terrible état physique.

Investissement personnel dans la santé.
    Pendant la période de confinement d'une durée de 2 mois, les statistiques du forum ont bondi.
  • De 1300 invités quotidiens en temps normal, le forum a été consulté par 2000 visiteurs en moyenne au quotidien pendant la période de confinement.
    Une grosse poignée de jours a même dépassé les 3000 visiteurs quotidiens.
  • Des 30 visiteurs en moyenne toutes les 5 minutes, le forum est passé à 100 visiteurs.
    Un nouveau record a été enregistré à 233 visiteurs en même temps.
    Le précédent record était à 150 visiteurs environ, il datait de 2015.
    Pendant le confinement les internautes avaient certes du temps à écouler, mais,
    cela me laisse suggérer, qu'en période normale, les citoyens manquent de temps pour s'informer et pour donc pour se soigner.
    Comme le diagnostique des métaux-lourds a été interdit par les centres antipoison, il n'est pas étonnant que les maladies chroniques pullulent. :/


Mini-test des métaux-lourds.
    Il existe un petit mal-entendu sur le test des métaux-lourds.
    Le traitement préconisé contre les métaux-lourds consiste par la prise de chélateurs de tout type, notamment par voie orale.
    De l'iv au protocole de Cutler en passant par les phyto-chélateurs (coriandre, ail des ours, chlorelle), si une personne veut savoir si elle était intoxiquée, elle fait une analyse d'urine avant et après la prise du traitement.
    Que ce soit avec des plantes ou avec des produits chimiques, les métaux-lourds devraient sortir par les reins.
    Le test en lui-même ne comporte aucun risque car il ne s'agit que d'un échantillon d'urine.
    C'est le traitement à haute dose, à haute concentration, à haute fréquence qui provoque des incidents.
    À conditions alimentaires constantes, si quelqu'un veut savoir si son protocole Cutler est efficace, il n'a qu'a faire deux petits pipis pendant et hors période de traitement.
    Idem avec les plantes.
    Et c'est exactement la même chose avec les iv de dmps.
    C'est à dire que toute personne qui prend un chélateur sous n'importe quelle forme pourrait se tester sans qu'il y ait plus de risque.
    En cas d'intoxication chronique, il devrait y avoir une différence entre les deux échantillons d'urine.
    Si quelqu'un est prêt à ne prendre qu'une seule gélule de dmsa, il peut faire le test sans aucun risque supplémentaire.
    Je recommande simplement de verser le contenu de la gélule dans le verre d'eau, de mélanger et de boire à jeun.
    Cette recommandation n'est pas très différente de version habituelle où il faut mettre la gélule en bouche et boire un verre d'eau.
    Il y aura certes le gout, mais le mélange préalable augmente les dispositions préférable pour que le contenu de la gélule rencontre les métaux-lourds.
    Comme il n'y a pas d'étude sur le sujet, je m'attends à ce que la médecine conventionnelle interdise cette recommandation. :lol:
    Avec l'interdiction du test de ml par les centres antipoison, il faut s'attendre à tout. [img]images/icones/icon18.gif[/img]
  • Juste avant de prendre le dmsa, il faut vider la vessie, et prélever un échantillon.
    Boire 1/2 litre d'eau pendant 1h.
    1h30 après l'ingestion du dmsa, il faut prélever un nouvel échantillon d'urine.
    Puis il suffit d'apporter les deux échantillons au laboratoire d'analyse.
    Avec 0,1g (=100mg) de principe actif de dmsa, les valeurs de métaux-lourds seront certes faibles, mais elles seront suffisantes pour savoir s'il y a intoxication quand elles seront comparées aux analyses à blanc.
    Par extrapolation intuitive très approximative faute d'expérience, je dirai qu'il faut multiplier la différence par 15 pour comparer ces résultats à un test par iv.
    Je dis 15 car la dose max est de 1,5 g de PA de chélateur (1g d'Edta et 0,5g de dmsa).
    Je corrigerai cette extrapolation dès les premières expériences.
  • Lors de mes tests (iv), 30mcg de mercure sont sortis.
    Avec 0,1g de dmsa, 2mcg de mercure auraient donc du sortir en plus de la valeur à blanc.
    Lors d'un test à blanc : 0,6mcg de mercure sont sortis ; avec 1 gélule de dmsa : 2,6mcg de mercure auraient donc du sortir.
  • Le protocole Cutler préconise de commencer avec 12,5 mg de dmsa.
    Mais même avec cette dose-ci, il devrait y avoir une différence entre les 2 analyses.
    Avec cette dose-ci : 0,25mcg de mercure auraient du sortir en plus de la valeur à blanc, soit 0,85 pour un test à blanc de 0,6.
    S'il n'y avait pas de différence, c'est que les métaux ne sortent pas ou qu'il n'y a plus de métaux.
  • Mais surtout, le cuivre est le métal avec lequel les chélateurs ont le plus d'affinité.
    De plus, beaucoup d'intoxiqués sont positifs au cuivre.
    Il est donc un très bon indicateur d'intoxication dont la différence devrait être un peu plus significative que le mercure.
    Nota : lorsqu'il n'y a pas d'intoxication, le chélateur ne pourra pas sortir plus de cuivre que sans chélateur.
    Avec un régime équilibré en légumes, il n'existe aucun risque d'anémie pendant une chélation.
  • Je rappelle que les analyses de cuivre en France coutent 10e environ.
    Même si le laboratoire souhaite des urines de 24h pour des questions de normes, il prendra l'échantillon d'urines.
    Il suffira de dire que l'échantillon est suffisant, ou qu'il n'est pas possible de prendre le traitement pendant 24h.

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APPEL AUX MÉDECINS : LIBÉREZ-VOUS D'UNE FAUSSE CONTRAINTE

Messagede Sophocle » Ven 12 Juin 2020 17:10

Consultation avec le centre anti poison - édit 16 juin.





Appel à tous les médecins qui veulent traiter les causes des maladies dégénératives :

Vous, médecins, avez entièrement le droit de pratiquer des chélations avec les produits les plus sûrs et les moins chers.
Laissez tomber le Dmps, d'autres produits sont préférables, aussi sûrs, très peu chers et légaux.
Laissez tomber les intraveineuses, c'est bcp plus compliqué et bcp plus dangereux que la voie orale.
Les produits légaux en vente libre sont utilisés par les centres antipoison, dmsa, edta.
De plus, vous avez entièrement le droit de prescrire des analyses de métaux en France avant et après la chélation.
Faute d'analyses en bouquet de métaux, il est préférable que la toute première analyse soit faite en Allemagne.
Mais les analyses suivantes peuvent être faites en France à l'unité en choisissant qu'un seul métal qui est sorti positif sur les analyses allemandes.
Les analyses sont certes libres en France, mais elles seraient étayées par une prescription.
Sans encadrement, les chélations se font et se feront en auto-médication.

L'Edta, le Dmsa et l'Ala sont en vente libre, il n'y a donc aucun problème à ce qu'un médecin ouvre un service de chélation dans son cabinet.

Le seul faux-problème, c'est la terreur de papier [img]kator/smyley5.gif[/img] que sèment les centres antipoison.
Légalement, ni l'Ordre, ni les centres antipoison ne peuvent pas empêcher des actes libres avec des produits en vente libre.
Ces mêmes produits sont utilisés pour décontaminer les mines d'extraction, ils ne seront donc jamais placés sous prescription.
Au pire, il n'y aura pas de reconnaissance du patient, mais il est toujours préférable qu'il soit guéri.
Cependant, avec des analyses faites en France, il me semble très aisé de forcer la reconnaissance.
Il m'a suffit de menacer les centres antipoison de porter plainte pour obtenir un rendez-vous qu'ils me refusaient en me raccrochant au nez depuis cinq ans.
Avec quelques dizaines de plaintes de patients aux diagnostiques français positifs, les centres antipoison tomberont.

Dans le Discours de la servitude volontaire, La Boétie a écrit:Soyez résolus de ne servir plus, et vous serez libres.

Quitte à ce que vous sachiez vous guérir d'un Alzheimer, la seule entrave à la guérison de vos patients : c'est la servitude dont la libération n'est sanctionnée par aucun risque.
Osez la formation par vous-même.

Les produits chélateurs sont en vente libre, vous avez donc entièrement le droit de pratiquer des chélations à vos patients.
Même Thierry C. pourrait faire une vidéo sur le sujet sans que cela soit moins illégal qu'une vidéo sur un jus de fruit.
Légalement, je pourrai même ouvrir un centre de détox comme une boutique sur rue en vendant des verres de chélations comme un boulanger vend du pain.
Mais un suivi est hautement préférable.

La seule chose à respecter pour un médecin, c'est de ne pas faire de publicité.
Cela est interdit pour toutes les professions libérales.
C'est à cause de cette publicité que les médecins Boutrais et Maschi ont été pourchassé.
La publicité est une fausse cause qui a permis aux centres antipoison de faire pression sur ces médecins.
En pointant leurs défaillances par leurs succès, les centres anti-poison et l'Ordre ont été publiquement humilié par Maschi et Boutrais.
Les centres anti-poisons sont des experts des intoxications aigües, mais ils se refusent à traiter les intoxications chroniques.
Demeurez discrets sur votre activité, ne vous en vantez jamais devant personne, ni même vos confrères, ni vos proches.
Regardez ce reportage : Alerte au Mercure France 5 (De 28:40 à 37:00).
Avec les chélateurs oraux en vente libre, vous pourrez obtenir les résultats qu'a obtenu le Docteur Boutrais.




Voici des explications très concises des gestes pratico-pratiques à mener.
LA DÉSINTOXICATION EXHAUSTIVE ET ORDONNANCÉE
    Les infrastructures du corps
      Le corps est composé de cinq infrastructures :
      1. L’huile
      2. La mitochondrie
      3. L’oxygène
      4. L’eau
      5. Les micro-organismes

    Le retour à la salubrité de ces cinq infrastructures rétablira la grande santé chronique. Tant qu’il demeure une infrastructure qui n’est pas salubre, les désordres demeurent.
  1. L’huile
      Dans la mitochondrie, le glucose est prioritaire sur les lipides. Par voie de conséquence, une alimentation sucrée ne désintoxique pas les trente litres de lipides qui composent le corps. Une alimentation pauvre en sucre va forcer le passage des lipides dans la mitochondrie. Les lipides toxiques seront donc débités en atomes gazeux dont l’élimination sera majoritairement assurée par les poumons.
      Le sucre pousse les cellules à la division. Les cellules mal placées prospéreront donc. Sans sucre, les cellules mal placées cessent de se diviser et disparaissent.
      À moyen-terme, le régime sans sucre va désintoxiquer intégralement l’infrastructure de l’huile.
      Le jeûne hydrique n’est qu’une version éclatante du régime sans sucre. Mais une alimentation sucrée entre deux jeûnes annihile les effets du jeûne.
      La détoxication des lipides par le régime sans sucre est donc la première intention.
      Ce régime alimentaire est à adopter à vie. Des écarts occasionnels sont possibles tant que des problèmes ne se manifestent pas. Ce régime va traiter les pathologies vivantes : cancers, virus. Les plaques de graisses seront dissoutes, l’athérosclérose et le risque d’Avc seront donc fortement réduits.
      Régime alimentaire : légumes en salade, viande en quantité raisonnable accompagnée de légumes. Donc : pas de pain, ni pâtes, ni glaces,…
  2. La mitochondrie
      La mitochondrie est la centrale énergétique de la cellule. Elle produit de la chaleur en brûlant les chaines carbonées et en les débitant en atomes. La chaleur fait entrer la cellule en action. Faute de mitochondrie, la cellule est dysfonctionnelle. Faute de mitochondrie, la respiration cellulaire est déficiente. Faute de mitochondrie, tous les marqueurs physiologiques (pH, oxygène, stress oxydatif, tension, …) vont légèrement riper de façon à créer des tendances qui offrent un terrain favorable à toute forme de dégénérescence.
      Pour restaurer la fonctionnalité des mitochondries, il suffit de la solliciter.
      Les bains frais stimulent la biogénèse mitochondriale massive par thermogénèse. Cinq bains frais de quinze minutes chacun à quinze degrés devraient restaurer durablement la structure mitochondriale.
      En cas d’intoxication aux métaux-lourds, la mitochondrie est partiellement entravée. Il conviendra d’éliminer les métaux-lourds pour retrouver la fonctionnalité complète de la mitochondrie.
  3. L’oxygène
      Traitement : un peu de sport en plein air : marche quotidienne de 30 minutes.
      En cas d’impossibilité : des bains frais hebdomadaires ou des douches froides quotidiennes.
  4. L’eau
      La désintoxication des 30 litres d’eau est très complexe et très longue. Elle nécessite des apprentissages par gradient de façon à prévenir les incidents. Un régime alimentaire riche en légumes est hautement préférable pour renflouer le corps en minéraux que les traitements vont éliminer. La pratique des bains froids est également hautement préférable pour augmenter significativement la percolation des traitements au plus profond des tissus.
      Les trois traitements suivants sont à pratiquer tant qu’ils sont efficaces.
    1. Les sels de Schüssler et pH
        L’intoxication de l’eau se fait majoritairement par des cations bivalents. La consommation d’une eau minérale riche en anions bivalents physiologiquement abondants dans le corps permet donc de placer les métaux-lourds en compétition magnétique de façon à ce qu’ils soient drainés jusqu’à la sortie des émonctoires.
        Dans un pot, verser:
        1. 12g de NaHCO₃ NATRUM CARBONICUM
        2. 48g de NaCl NATRUM MURIATICUM
        3. 33g de Na₂HPO₄ NATRUM PHOSPHORICUM
        4. 7g de Na₂SO₄ NATRUM SULFURICUM
        Mélanger énergiquement le contenu de ce pot.
        De ce pot, verser un à deux grammes de ce mix de sel dans une bouteille d’eau minérale (Volvic ou Mont Rouscous).
        Dans la bouteille, verser également du jus de citron (Pulco) afin d’abaisser le pH et dissoudre ainsi les cations bivalents que l’on veut faire sortir.
        Ce traitement est à installer en première intention. De plus, il doit être opérationnel de façon à traiter un éventuel incident de largage de métaux-lourds lors d’une chélation ou d’une campagne contre les micro-organismes.
        Ce traitement n’est à prendre que tant que des progrès apparaissent.
        Ce traitement va dissoudre les tissus durs (os et calculs) à long terme, il ne devrait donc pas être permanent.
    2. La solubilisation de chélateurs hydrophiles (Edta, Dmsa)
        Dans un demi-litre d’eau, verser la dose qui convient de chélateur en poudre, ajouter deux grammes de bicarbonate de soude alimentaire.
        Le bicarbonate de soude est haute préférable pour stabiliser le pH et prévenir les incidents par changement de pH.
        Boire à jeun.
        Posologie raisonnable à définir par le patient.
        Commencer par 10mg, jusqu’à la dose max.
        Préférer la prise de la solubilisation pendant des activités physiques de façon à ce que les chélateurs foisonnent dans les tissus profonds.

      Analyses médicales
        Analyse à faire après une chélation (test de provocation)
        Pendant le traitement, fréquence des analyses : tous les six mois.
        Hors traitement, un test annuel ou en cas de fatigue persistante.
    3. La solubilisation de chélateurs lipophiles (Acide alpha-lipoïque)
      1. Dans une bouteille de 100 ml :
          1. Verser 90ml d’huile de sésame
          2. Ajouter 5 grammes de lécithine de soja en granules (c'est peu fort, pour les enfants on peut passer par un jaune d'œuf)
          3. Chauffer à 35° max au bain marie.
          4. Ajouter 4 grammes d’acide alpha-lipoïque
          5. Mixer de façon à dissoudre les granules
      2. Au moment de la prise du traitement :
          • Secouer la bouteille avant prélèvement
          • Prélever une cuiller à café, et verser dans un verre à moitié rempli d’eau
          • Mixer le contenu du verre
          • Boire à jeun
          • Fréquence quotidienne, ralentir en cas de fatigue
  5. Les micro-organismes
      Les trois traitements de l’eau doivent absolument être rodés avant le traitement des micro-organismes. Avec les micro-organismes, un abondant lâcher de métaux-lourds peut avoir lieu dans les intestins. Un incident peut également avoir lieu après avoir rodé le traitement des micro-organismes (mo). Les produits nécessaires doivent donc être toujours rapidement disponibles. Ces trois traitements ci-dessus devraient résorber l’incident. En cas de persistance, l’ultime recours est la purge yogique ou le lavement à l’eau saline.
    Spectre
      N’importe quel traitement anti-micro-organisme convient. Cependant, il faut traiter un large spectre de micro-organisme. Pour cela il faudra faire tourner les produits. Les produits naturels conviennent très bien. Le jus d’ail frais est très performant, mais à tester en douceur.
    Traitement
      Chacun choisira son produit, mais il demeure préférable que le produit soit solubilisé et peu concentré.
      Personnellement, j’ajoute des huiles essentielles à la solubilisation de chélateurs lipophile. Commencer à 2% avec des huiles essentielles 100% sûres (palmarosa, tea tree,…) dans les 100ml (soit 2ml, soit 40 gouttes). Augmenter la dose jusqu’à 10% max. Peu-à-peu ajouter quelques goutes d’huiles essentielles puissantes, exemple : 4 goutes d’He de Cannelle/Origan dans la bouteille de 100ml suffisent. Placer la bouteille au frigo de préférence. De cette bouteille, sera prélevée une cuiller-à-café qu’il faudra mixer dans un verre d’eau. Boire à jeun.
      Ainsi, les ml libérés par les mo seront chélatés par l’acide alpha-lipoïque.
    PHOTO DE l'ATELIER DÉTOX
      ATELIER-DETOX.JPG
      Voici mon petit atelier détox à partir duquel je confectionne les solubilisations et autres préparations.
      Ces éléments sont le nécessaire pour confectionner les solubilisations dressées ci-dessus.
      Toutes les catégories sont représentées, mais chaque élément est un échantillon représentatif de la catégorie.
      Avec les différents sels de sodium anhydre (en poudre), je compose le mix de Schüssler : Natranium Régul'O.
      Phosphate-, sulfate-, bicarbonate-, chlorure-, - de sodium
      Avec l'huile végétale, les HE, la lécithine de soja en granules (LdS), et l'Ala, je compose la bouteille de solubilisation des produits lipophiles.
      Les doses sont à titre indicatif, commencer à 1% de PA (HE et ALA), puis augmenter.
      Avec les crèmes, je compose la solution pour la peau (voir posts précédents : Détox peau).
      Reminéralisation : Calcium, Zinc, multi-vitamines, multi-minéraux, eau de Quinton.
      Accastillage : mixeur, balance de précision, béchers, cuiller, pots, spatules, ... (seuls les essentiels sont présents)
      ATELIER-DETOX.JPG (114.06 Kio) Vu 27768 fois

    TRAITEMENT PAR PALIERS
      Pour les novices, il suffit de commencer par de petites doses, espacées.
      Tous les produits cités sont en vente libre.
      par ordre :
      • Chélateur à solubiliser : 1: Dmsa ; 2: Edta ; 3: Ala.
        Doses : de 10 mg, puis 100mg, jusqu'à la dose max. Dmsa : 0,5g ; Edta : 1g ; Ala : 0,8g environ à 20% près.
      • Pour les He à solubiliser, commencer par les HE sûres à 100% et pas cher, pendant quelques semaines, respecter 20% du temps de suspension de traitement (5j/7, 1sem/mois)
        Tea tree, Niaouli, Palmorosa, Ravistsara, doser à 2%, puis monter à 10%, puis 20% max.
        Passer à de l'artillerie mi-lourde, exemple : he de tic tox : sauge, sariette, camomille, de 1 à 2% max.
        Ajouter du propolis dans la bouteille d'huile.
        Autres he mi-lourdes : Géranium, he à thujanol, Thym,
        Finir avec le grosse artillerie bien lourde, origan, cannelle, girofle, quelques goutes, 0,5% max, soit 10 gouttes pour 100ml d'hv.
        Vérifier les contres-indications, svp :jap:



Vidéo de l'atelier DÉTOX
    Ateliers des préparations Détox, Schüssler, mix d'huiles, Chélassos royales, Crème détox peau.
    Youtube, 4 Ateliers complets dont la durée totale est 30 minutes environ.
    Toute la chaine de confection des traitements détox est filmée à la loupe.

    Compléments dans la description de la vidéo :
      • Présentation des ateliers, de 00:00 à 00:50
      • Atelier Schüssler, de 00:50 à 04:15
      • Atelier Mix d'huiles : de 04:15 à 16:00
      • Atelier Chélassos : de 16:00 à 23:15
      • Atelier crème détox peau : de 13:15 à 27:20 fin.

      ... Voir la suite des compléments sur la page de la vidéo...


Dernière édition par Sophocle le Mer 29 Juil 2020 11:14, édité 5 fois.
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APPEL AUX CHÉLATÉS : BOUTONS LES CENTRES ANTIPOISON

Messagede Sophocle » Jeu 18 Juin 2020 09:58

    6 oct 2020
    ces démarches sont vaines.
    La seule issue est l'obtention des valeurs de référence de la charge corporelle en métaux stockés en population générale.
    Voir post toxico en toc




APPEL
    Nous sommes nombreux à nous chélater.
    Et, au cours de mes trois ans d'iv (30 iv), j'ai vu plusieurs centaines de personnes (15 participants à chaque fois) faire le traitement chélateur.

    Aux intoxiqués qui sont DÉJÀ en cours de traitement (et uniquement pour ceux-ci), :hurle: je les appelle à faire des analyses dans un laboratoire français. [img]kator/smiley225.gif[/img]
    Cet appel n'est rien d'autre qu'à faire un petit pipi à faire analyser.
    Il suffit de faire analyser qu'un seul métal pour que le grain de sable enraye toute la machine, exemple : le cuivre à 10e.
    De cette analyse, il sortira un bout de papier qui révèlera l'intoxication dans les bonnes formes administratives.
    [img]kator/smiley7.gif[/img] [img]kator/smiley7.gif[/img] [img]kator/smiley7.gif[/img]

    Avec ce bout de papier français, on peut peut-être faire valoir nos droits. [img]kator/smiley68.gif[/img]
    Avec ce bout de papier, sous menace de plainte, les centres antipoison ont été obligé de m'octroyer une consultation.
    Avec ce bout de papier, le commissariat a retenu ma plainte.
    Avec ce bout de papier, je compte bien tenter de faire obtenir par voie juridique ce que les centres antipoison me refusent : cad la reconnaissance.
    Sans ce bout de papier, en cas de régularisation juridique générale, il n'y aura peut-être pas de reconnaissance rétro-active.
    Quoiqu'il arrive, il est très hautement préférable de posséder ce petit bout de papier.

    Avec quelques dizaines de plaintes, les centres antipoison finiront peut-être par tomber. [img]kator/smiley22.gif[/img]



Comment faire une analyse ?
    N'en n'informez pas votre médecin chélateur qui pourrait y voir la fin de son service
    Vous pouvez faire ce test avec votre traitement oral, il ne faut pas augmenter la dose pour le test, svp. :jap:

  1. Se procurer un petit pot pour échantillon d'urine au laboratoire.
  2. Juste avant la chélation, vider la vessie.
  3. Boire un demi-litre d'eau.
  4. 1h30 après la chélation, prélever un échantillon d'urine.
  5. Porter l'échantillon au laboratoire et demander une analyse de cuivre (ou autre métal selon votre résultat d'analyse Microtrace).
    Si le labo demande des analyses de 24h, insister pour qu'ils prennent l'échantillon.

Ensuite,
  • Appeler le centre antipoison
  • Ils vont demander d'envoyer le diagnostique.
  • Envoyer le diagnostique par mail et conserver la trace d'archivage, un médecin va rappeler.
  • S'ils ne rappelaient pas, rappelez et menacer de porter plainte.
  • Annoncer que le résultat a été obtenu post-chélation.
  • Le centre antipoison va refuser de traiter.
  • Annoncer de porter plainte.

Comment porter plainte ?
  • Les commissariats ont l'obligation de recueillir les plaintes.
    Cependant, il y a un peu d'influence.
    Je m'y suis rendu trois fois, il y a beaucoup de monde en journée, beaucoup d'attente et les agents sont éprouvés.
    Je m'y rends donc une demie-heure avant l'ouverture (8h du matin), l'attente est très courte et l'agent est frais et dispo.
    Il faut une pièce d'identité et il faut également les documents justificatifs (analyses MTM).
    Je prépare mon discours pendant aussi longtemps que nécessaire, cad que je ne m'y rends pas tant que je ne suis pas prêt.
    Je m'habille sur mon 31, je donne mon vrai email (cela donne un aspect de vérité), cela convainc l'agent.
    Je demeure totalement factuel et je ne fais aucun commentaire : never explain, never complain.
  • Il me semble préférable d'ouvrir le discours en expliquant que les centres antipoison disposent d'un monopole de traitement.
    Il faudrait ajouter que leur politique officielle est de refuser de traiter les personnes dont l'intoxication n'est révélée que par l'antidote.
    De plus, il faudrait apporter l'article scientifique dans lequel le centre antipoison profère des menaces à l'égard des hôpitaux qui traitent les personnes dont l'intoxication n'est révélée que par l'antidote (post sur le sujet).
    Ces menaces ont été suivies de faits : le service hospitalier de Rouen a fermé (post sur le sujet).
    Quitte à demeurer en indélicatesse avec le serment d'Hippocrate, il n'y a donc aucune solution officielle de traitement.
    C'est à dire que les centres antipoison sèment la terreur sur le territoire de façon à ce que les intoxiqués n'aient absolument aucune solution de traitement ni de reconnaissance.
    Cela permet de planter le contexte choquant dans lequel se déroule la plainte.
Dernière édition par Sophocle le Ven 6 Nov 2020 12:53, édité 1 fois.
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Test de cheveux, Retour d'expérience du parcours de Nicolah

Messagede Sophocle » Mar 23 Juin 2020 14:21

Afin d'éviter le retour d'une histoire semblable, il me semble utile de faire un retour d'expérience sur le parcours de Nicolah.

Test de cheveux
    Le 16 septembre 2016, Nicolah a écrit: Bizarrement on ne retrouve pas l'aluminium mais le reste colle très bien
    Donc a noter :
    Iode 0,050 --- 5,000 >> 0,018 ( Carence )
    Molybdène 0,030 --- 1,100 >> 0,024 ( Carence )
    Vanadium 0,010 --- 0,200 >> 0,002 ( Carence )
    Fer 4,600 --- 17,700 >> 4,914 ( Niveau bas )
    Magnésium 20,000 --- 130,000 >> 27,785 ( Niveau bas )
    Mercure < 0,600 >> 0,958 ( Intoxication )
    Uranium < 0,100 >> 0,108 ( Intoxication )
    (...)
    En Chrome je suis en carence aussi. Je m'y attendais.

    Sur le forum des résultats d'analyses, les valeurs peuvent monter jusqu'à 80 fois la valeur de référence.
    Or, les deux valeurs positives de Nicolah sont à peine au-dessus de la norme.
    Bien que son manque de fiabilité soit connu, le test de cheveux est donc ressorti négatif.

Aluminum
    Pour traiter l'aluminium, les chélateurs courants (Dmsa, Edta, Dmps) ne sont pas évoqués dans le document alpha.
    De plus, le document alpha et Microtrace recommandent le Desferal, déféroxamine (chélateur trivalent, Al3+).
    C'est un chélateur toxique, cher, il nécessite un encadrement professionnel.
    Avec ce chélateur, Nicolah aurait pu avoir la preuve qu'il recherchait.
    La voie d'administration du Desferal est très spécifique, voici un extrait du du document alpha.
    document alpha a écrit:2.2.4 Déféroxamine, défériprone et déférasirox N '- {5- [ Acétyl ( hydroxy) amino] pentyl} -N- [5 - ({4 - [(5-aminopentyl) (hydroxy) amino] -4-oxobutanoyle} amino) pentyl] -N-hydroxysuccinimide, connu sous le nom de desferrioxamine ou desferal (DFO), a été le premier médicament destiné au traitement de la surcharge en fer. C'est un sidérophore produit par Streptomyces pilosus, découvert par l'équipe de Prelog et ses collègues, Keberle et Zahner (Keberle, 1964). Il s'agit d'un acide trihydroxamique avec trois résidus de 1-amino-5-N-hydroxy aminopentane, deux d'acide succinique et un d'acide acétique organisés en réseau linéaire; le groupe amino libre détermine sa très haute solubilité dans l'eau. Bien qu'il ait également été obtenu par synthèse, l'utilisation du produit naturel est plus économique. Initialement utilisée dans le traitement de l'intoxication aiguë par le fer (Moeschlin & Schnider, 1963), la déféroxamine a ensuite été introduite dans le traitement de la thalassémie. Il s’agit d’un chélateur de fer hexadentate, C25H48N6O8 (structure chimique sur la figure 2.8), de poids moléculaire 560,68 g / mol, caractérisé par quatre constantes de protonation (log K1 = 10,84, log K2 = 9,46, log K3 = 9,00 et log K4 = 8,30) , le premier attribué au groupe amine terminal, l’autre aux groupes hydroxamiques). À pH 7,4, il s'agit principalement de la forme LH4 chargée positivement, totalement protonée.
    Le poids moléculaire> 500 g / mol l'exclut en fait en tant que chélateur actif par voie orale. Une fois entré dans la circulation sanguine, la clairance sanguine est rapide avec une demi-vie de 5 à 10 min. Une petite partie du DFO est inactivée dans le plasma et la majeure partie est absorbée par les hépatocytes. La perte rapide d'activité circulante explique la chélation plus efficace obtenue par perfusion prolongée (Crisponi et al., 2012). En réalité, le MPO est généralement administré par perfusion sous-cutanée, 8 à 12 heures par nuit, 5 à 7 nuits par semaine, à une posologie comprise entre 20 et 40 mg / kg de poids corporel. (trad. en ligne)

  • Selon quelques sources, l'Edta semble bénéficier d'une certaine affinité avec l'aluminium, mais cela ne semble pas fiable à 100%.
    C'est-à-dire que, pour l'aluminium, il est aussi possible/préférable de faire le test à l'Edta en première intention car c'est un test simple.
    Quitte à se rendre à l'étranger, si le test à l'Edta revenait négatif, il est encore possible de faire le test à Déféroxamine car il est indiqué pour traiter l'aluminium.
  • Contre l'aluminium, j'invite à lire le chapitre 4.2 du document alpha, d'autres solutions existent, citrates,...

Acide Alpha Lipoïque, Dmsa, Edta, ...
  • De plus, pour cause de réaction à l'Ala dont il se plaint, Nicolah n'a pas mis en place le protocole Cutler.
    La réaction à l'Ala se retrouve occasionnellement dans les témoignages.
    C'est-à-dire qu'à cause de l'Ala, Nicolah n'a peut-être pas tenté le dmsa.
    D'autant plus que le dmsa est unanimement considéré comme le chélateur le plus sûr.
    Pour un test simple, sûr et fiable sur de nombreux métaux, un test au dmsa est une très bonne option.
    Je ne vois pas l'intérêt du test de cheveux si c'est pour dire qu'il faut faire une chélation ensuite.
    S'il faudra quand-même faire la chélation (que se soit avec des chélateur phyto ou chimiques), autant faire le test au moment de la chélation quitte à ce que la dose soit faible car ce test est le plus fiable.
    Même avec un faible écart, les deux échantillons avant/après mettront en évidence l'intoxication.
    Avec le test au dmsa, Nicolah aurait pu avoir une preuve avec des valeurs bien au-dessus de la norme sur des métaux qu'il ne recherchait pas nécessairement.
  • L'edta est également un très bon chélateur, il n'est pas à négliger, il me semble qu'il est à préférer un première intention devant l'Ala.
  • L'Ala est un chélateur lipophile, il devrait être réservé après que les chélateurs hydrophiles aient fini de traiter leur champ d'évolution dans le corps.
    Mais, même après la fin des effets du dmsa, il sera toujours possible de continuer à prendre du dmsa en parallèle de l'Ala afin de bénéficier de son effet protecteur.
  • Le protocole Cutler est un très bon traitement mais il n'est pas une référence absolue.
  • Le Dmps bénéficie certes d'un très bon retour, mais il est cher et il est n'est pas encore autorisé en France.
    Or, il masque la pertinence du dmsa et du edta (pris individuellement ou en couple) dont le niveau peut égaler celui du dmps.
    De plus, l'Edta et le dmsa sont en vente libre, il sont donc disponible en complément alimentaire.

Thérapeute de circonstance
  • Il a enfin publié une causerie sur les métaux-lourds (20').
    Il bafouille certes un peu sur la chélation chimique, mais, par contre, son discours d'ensemble est très pertinent.
    La partie sur la clinique d'intoxication est un discours de praticien, ça vaut donc vraiment le coup de l'entendre.
  • Bien qu'il ne semble pas traiter par chélation chimique, il me semble donc que Fabien Moine serait un thérapeute d'encadrement approprié pour des situations semblables à celles de Nicolah.





Comparatif (édit2)

Dernière édition par Sophocle le Dim 5 Juil 2020 09:14, édité 2 fois.
La patience est le cloitre secret des soupirs.
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Sophocle

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Re: La Détox ultime par la naturopathie et par la littératur

Messagede Catpower » Mer 24 Juin 2020 08:08

juste un petit "coucou" pour dire que même si je ne lis et ne comprends pas tout, je salue en toi celui qui partage, qui veut alerter, faire reconnaître.
Suis touchée, un peu abattue, parfois découragée...
Le discours de porter plainte me touche ... le plus beau pied-de-nez serait de réussir à guérir et de façon naturelle puis partager et mutualiser tous nos savoirs, comme tu fais.
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