En liaison directe avec l'article précédent : Voici pourquoi les analyses tissulaires ne sont jamais produites.
Un article à propos des analyses post-chélation a été publié par le centre anti-poison de Marseille (voir encadré).
Selon cet article, les analyses post-chélation relèvent du charlatanisme ("pseudo-science", "escroquerie", "bande organisée",...).
L'interdiction du diagnostique des métaux-lourds par les centres antipoison est un viol en réunion du serment d'Hippocrate.
- Cachez donc ces métaux-lourds qui sortent uniquement avec l'antidote !
Tant de zèle m'émeut.
Cet article est autant étonnant qu'imprudent.
Quand des institutions prétendument scientifiques et médicales déclarent que la connaissance est un abus, ils contribuent à leur propre condamnation.
Avec cet article, les CAP ont fournit les armes pour les abattre.
Cet article est un appel à une démarche malveillante : il appelle à s'interdire la connaissance de ce qui sort avec la chélation. C'est pas beau.
Selon le Collège de France, les métaux-lourds sont un co-facteur des maladies dégénératives.
De plus, on retrouve des métaux-lourds chez les personnes Alzheimer.
Or, les personnes Alzheimer ne sont pas dépistée par les centres anti-poison.
Avec cet article, en dépit qu'ils ont été informés que l'intoxication peut avoir lieu sans que le sang soit positifs, les centres antipoison insistent pour interdire une exploration au-delà des tests officiels.
Une telle démarche est manifestement très malveillante.
De plus, dans la conférence évoquée au post sur l'Alzheimer, il apparait que, en dépit qu'elles ne soit pas dépistées de leur vivant, les personnes victimes d'Alzheimer ont un cerveau lourdement chargé en métaux-lourds à l'autopsie.
Par voie de conséquence, les médecins annoncent aux français gavés de métaux-lourds qu'ils sont totalement dépourvus de métaux-lourds.
Comme des terroristes qui scandent leurs forfaits, ces prétendus scientifiques du centre anti-poison (et auteurs de cet article) scandent une interdiction d'examiner les métaux qui sortent post-chélation.
Cela empêche un patient de connaitre son état d'intoxication tissulaire comme co-facteur de sa dégénérescence.
Par une négligence organisée et avec un million d'Alzheimer, ces "scientifiques" ont donc mis en place un génocide médical.
Sans la nommer, le Dc Marie-Christine Boutrais (interniste hospitalier- voir post sur la veille média), qui avait ouvert un service de chélation à l'hôpital d'Orléans, a fait l'objet de menaces publiques par les centres antipoison. Son service a fermé quelques semaines après la diffusion d'un reportage. Le diagnostique officiel occidental est une simple prise de sang. Par exemple, les médecins du travail annoncent à des ouvriers qui ont fait 30 ans dans le recyclage de batteries au plomb qu'il ne sont pas plombés parce que le test sanguin est négatif (voir post sur l'incendie de ND-Paris). Or, ces ouvriers tombent les uns après les autres à partir de 50 ans dans d'affreuses souffrances sans que les raisons soient connues. Aujourd'hui, les médecins français annoncent, à tord, à des millions de français (Alzheimer, arthrose, autisme, sep, ehs, cancers, Parkinson ...) qu'ils ne sont absolument pas intoxiqués aux métaux-lourds.
Par leurs menaces, les centres anti-poison font le nécessaire pour le secret des ml tissulaires ne soient pas divulgués. Il y a aura toujours un médecin qui découvrira les ml tissulaires et qui, de bonne foi, alertera. Les centres antipoison veilleront a passer le rouleau compresseur. La volonté de ces centres est que les français doivent croire que si le sang était négatif, les tissus sont négatifs.
En 2015, sur sa plateforme scientifique, le Centre Anti-Poison a écrit:M. Glaizal, R. Torrents, A. Descamps, L. de Haro, N. Simon,
Dosages urinaires post-chélation des métaux lourds et pseudoscience : il faut agir !,
Toxicologie Analytique et Clinique, Volume 27, Issue 2, Supplement, 2015, Pages S29-S30, ISSN 2352-0078,
https://doi.org/10.1016/j.toxac.2015.03.035.
(http://www.sciencedirect.com/science/ar ... 7815000645)
Abstract: ContexteLes termes « métaux lourds » et « détoxication » exercent une fascination dépassant de loin la toxicologie médicale. Les centres antipoison (CAP) ont toujours été sollicités sur divers traitements ou diagnostics « alternatifs », mais un type d’appels émerge récemment, concernant des analyses hors consensus réalisées à l’étranger mais prescrites et justifiant la prise en charge par des praticiens français d’« intoxications aux métaux lourds ». Nous rapportons 3 cas récents pour interpeller autorités sanitaires, médicales, et scientifiques.
Description des casEn 4 mois (novembre 2014 à février 2015), le CAP de Marseille a été interrogé par trois patients (hommes de 54 et 56ans, femme de 55ans) pour avis sur les résultats inquiétants de dosages métalliques urinaires post-chélation (respectivement par DMSA oral, DMPS iv et ZnDTA+DMPS iv). Réalisées en Allemagne par le laboratoire M, ces recherches ont été prescrites par des généralistes naturopathes consultés depuis 4 à 18 mois, après des années d’errance thérapeutique dans la prise en charge d’un état chronique aspécifique (asthénie, douleurs et tensions musculaires, insomnie, anxiété, etc.) et de plus en plus handicapant. L’« analyse minérale » comporte le dosage en μg/g de créatinine de 33 éléments, sans indication de méthode, comparé à des valeurs « de base » (gouvernementales) et « d’orientation » (issues de l’expérience du laboratoire) et 2 pages de commentaires mal traduits. Des notions de « littérature », « accréditation » (ISO 17025) ou « contrôle qualité » sont mises en avant. Comme le matériel de prélèvement, les chélateurs ont été obtenus via Internet, et pour certains injectés au cabinet. Si 2 patients se sont montrés ouverts à la remise en cause de ces résultats et ont accepté de voir un interniste (jamais consulté jusqu’ici), la 3e, persuadée du « génie » de son thérapeute, a refusé toute critique et autre avis médical.
DiscussionLa similitude des profils de ces patients comme celui de leurs médecins est frappante. Elle souligne l’existence d’une population de malades mal pris en charge autant que le ciblage mercantile dont ils sont l’objet. En France, pays marqué par des scandales sanitaires décrédibilisant toute parole officielle, un des prétextes à ces « dosages » est la controverse sur le mercure des amalgames dentaires et ses effets différés chez l’adulte. Aux États Unis, c’est la peur pour l’enfant qui est exploitée, avec la mise en avant d’un lien entre métaux lourds et troubles autistiques, pour justifier d’un recours massif à la chélation [1]. Face à ce phénomène, dès 2010 les autorités sanitaires et sociétés savantes américaines se sont clairement positionnées [1], [2] et ont alerté professionnels et grand public sur des pratiques officiellement qualifiées de frauduleuses. À ce jour, malgré les enjeux scientifiques, éthiques et légaux, rien en France ne vient contrer les pseudo-scientifiques relayés sur Internet et dans les médias, où un documentaire récent montrait un interniste hospitalier baser à son tour sa consultation sur les résultats du laboratoire M. Le 25/02/2015, le site institutionnel de son centre hospitalier régional se targuait même d’être « reconnu par le Conseil international de toxicologie clinique de métaux lourds », organe pro-chélation auto-proclamé accréditeur.
ConclusionLe besoin d’approfondir les connaissances, notamment sur les expositions chroniques, et surtout d’améliorer l’écoute et la prise en charge de certains patients, ne doivent pas être niés. Mais d’abord dans l’intérêt des malades, et aussi au nom de leurs disciplines dévoyées, les toxicologues, analystes et cliniciens, doivent réagir et dénoncer des pratiques que certains qualifieraient d’abus de faiblesse et d’escroquerie en bande organisée.
Source : Dosages urinaires post-chélation des métaux lourds et pseudoscience : il faut agir ! Copie PDF
WEBARCHIVE : https://web.archive.org/web/20201113210 ... 7815000645
Commentaires phrase à phrase. - édit 10 mai 2020
- À y regarder très de près, les intentions énoncées du centre anti-poison recèlent d'une très grande mal-veillance dont la concomitance avec la situation sanitaire de millions de français est préoccupante :
Le nombre de personnes atteintes d'Alzheimer en France s'élèverait à un million.
De plus, selon le Collège de France, ces personnes porteraient un excès de métaux-lourds.
Or, les centres anti-poison ont déployé une politique qui menace tout médecin (yc hospitalier) suivie de faits qui établit un diagnostique post-traitement des métaux-lourds.
Le service fermé suite à ces menaces est celui du Docteur Marie-Christine Boutrais du CHU d'Orléans.
Ce service a fait l'objet d'un documentaire "Alerte au mercure " diffusé sur France 2 le 1er février 2015.
Curieusement, le CHU de Rouen a fermé ce service quelques semaines/mois après ce reportage.
En dépit que les autopsies des cerveaux Alzheimer par le CNRS constatent un excès significatif de métaux-lourds, les centres antipoison français font donc le nécessaire pour qu'aucun français ne dispose d'un diagnostique fiable de son état tissulaire.
Ainsi, en dépit que la certitude de faux-négatif soit connue, les hôpitaux français affirment en toute connaissance de cause aux millions de français intoxiqués qu'ils ne sont absolument pas intoxiqués.
Cet article indique que l'établissement d'un diagnostique fiable nécessite un accord.
Faute d'accord, le diagnostique post-chélation serait donc prétendument frappé de pseudo-science.
Je crains que telles déclarations soient très fortement susceptibles d'être frappées de trahison à retardement par la justice.
Comme le Tartuffe de Molière, c'est en pleine lumière qu'on couve la trahison.
Mais, la trahison de toute une population est nécessairement sursitaire.
Fort de leur trahison durable en pleine lumière, les centres anti-poison ont donc cru qu'il pouvaient publier leur politique mal-veillante de façon à faire des menaces sur des médecins qui font correctement leur travail.
Les centres anti-poison vont tomber par excès de zèle.
La morale de cette histoire est qu'il faut ne pas se soucier des personnes qui vous contre-disent.
Si les centres anti-poisons n'avaient pas publié cet article, on aurait jamais pu leur reprocher quoi que ce soit...
LIVRE BLANC SUR LES ANALYSES
- Des analyses complètes avec un éventail large d'éléments suspects à pas cher devraient être proposées en laboratoire.
- Pour les toxines inorganiques, il suffit de boire un verre de chélateur et de prélever un échantillon d'urine pour analyses.
- Pour les toxines organiques, il me semble qu'il faudrait boire 1 verre de ghee par jour pendant trois jours et de faire des analyses de selles au 3è jour.
AUTRES SUJETS
Edit : Le soufre et les populations traditionnelles.
- Dans cette interview, Jade Allègre, médecin naturopathe, annonce que les populations traditionnelles consomment du soufre au quotidien : Jade Allègre - Vivre et Survivre (à 20:40).
Cela suggère que l'intoxication chronique aux métaux-lourds est une histoire vieille comme le monde dont le traitement culinaire est vieux comme le monde.
Or, les chélateurs modernes sont quasiment tous composés de soufre (sauf l'Edta).
En dépit qu'elle soit répandue, la chélation est donc une tradition de longévité qu'un occidental ignore.
Nouvelle synthèse à la page 14 :
EHS - édit
- Complément sur l'Ehs au post sur : Toxicité des M.L. selon le Collège de France - 1/2 - sources
Voir passage sur les Notes (en vert) du cours du 4/12/2013 : "Magnéto-sensibilité - CHAMP MAGNETIQUE ALTERNATIF"
Sans le nommer, le phénomène d'Ehs est décrit en détails (causes et conséquences) dans la vidéo.
Pour les électro-sensibles, ce passage est absolument à voir.
Illustration de la diapositive exposée sur le phénomène magnéto-sensible :
Traitement naturopathique du syndrome respiratoire aigüe.
- En cette période d'épidémie virale, j'ai fait un petit exercice pour tenter de réduire partiellement le symptôme qui cible les poumons.
Je préfère faire une simulatition afin d’être opérationnel en cas de besoin.
Cet exercice n'est qu'un petit accompagnement qui participe à la régulation du mucus excessif dans les poumons, il ne se veut absolument pas suffisant.
Cet exercice consiste en une séance d'inhalation d'une infusion dans laquelle je mets quelques goutes d'he anti-virales et quelques plantes anti-inflammatoires.
Pendant l'inhalation, je fais de l'hyper-respiration : ouverture large des poumons.
Les huiles essentielles sont certes maltraitées par la chaleur, mais c'est mieux que rien.
L'he anti-virale participe à la destruction des virus en même temps que l'anti-inflammatoire fait son effet.
La vapeur va fluidifier le liquide, qui cause la congestion, de façon à faciliter sa mobilité.
Sur le dos et autour du thorax, j'ai mis une serviette mouillée et froide.
Une petite hyper-ventilation s'amorce, puis diminue.
Le froid active l'hyper-vascularisation autour des poumons de façon à évacuer le mucus des alvéoles.
Ensuite : petite douche alternée, puis bouillotte sur le foie pour recycler le mucus.
Cet exercice serait à répéter tant que du mucus demeure.
...
Édit : voici une proposition de méthode et de synergie proposée par un naturopathe : Prévention coronavirus grâce aux inhalations.
Cependant, afin de bien fluidifier le mucus, j'insisterai sur l'inhalation de la vapeur jusqu'à la limite du confort (ne pas se brûler...)
Autre exemple de discours : Eucalyptus (Eucalyptus globulus) : bronchites, cystites, plaies infectées.
Prévention par les huiles essentielles
- Les he électrocutent les virus et autres micro-organismes, elles sont donc efficaces pour se protéger durablement en situation d'exposition.
Il est possible de traiter les voies nasales avec des sprays vendus en pharmacie (menthe poivrée, ou citron, ou autre ... et solution hypertonique).
La molécule est chargée négativement, elle va donc faire éclater les membranes (très sensibles) des micro-organismes.
Les cellules humaines sont bien plus grandes, elles ne succombent donc pas mais elles sont égratignées, il faudra donc veiller à la préservation.
Avec les he, les muqueuses seront protégées pendant plusieurs heures (6 heures environ).
Un petit coup de spray dans la bouche désinfectera les futurs postillons...
Un petit coup sur les cheveux peut aider (attention aux yeux, en cas de brulure sur les yeux : verser de l'huile végétale sur les yeux)
Pour traiter les mains et le visage (éviter les he dermo-caustiques, ex : menthe poivrée), il est aussi possible de mettre des he dans de la crème hydratante (et mixer avant application).
La menthe poivrée colore (définitivement ?) la peau si elle était exposée au soleil pendant les 12 heures après application (ou appliquer le soir). - Pour désinfecter l'intérieur du corps : placer 10% d'he dans de l'huile végétale.
Masser l'intégralité du corps avec 50 ml.
Ou préparer une solution h/e avec la lécithine de soja à boire, voir précédents posts MOC .
Puis petit sauna, et douche alternée...
He : Immunisation par temporisation ?
- Il est possible que l'application chronique des he en période d'exposition permette de lisser l'infection de façon à ce que le système immunitaire puisse s'entrainer face à de nouveaux virus tout en abaissant l'ictus.
Les he n'éliminent pas toutes occurrences de virus mais elles en éliminent la majorité.
Cela devrait donc permettre au système immunitaire de construire une mémoire de réponse sans avoir à faire face à une situation aigüe.
Je suis certes un doux rêveur mais ce se sont là des hypothèses à ne pas négliger, que je consigne pour d'éventuelles études scientifiques...
Ablaltion d'organe
- Je me demande combien d'organes font l'objet d'ablations (utérus, Vb, intestins,...) faute de diagnostique de ml ou faute d'information sur les techniques de naturopathie (cure foie).
Les médecins me font penser au dragueur de supermarché : Il est sympa et attirant. Mais méfiez-vous : c'est un truand...