Bonjour,
Bonjour,
J'ai 35 ans, célibataire et sans enfants, j'habite à Nantes, et je m'intéresse depuis peu à .... mes dents!
Après une troisième phase dépressive avec idées noires, je suis de nouveau sous médocs.
Après des consultations chez mon médecin traitant et mon ostéopathe, il s'avère que ceux-ci m'ont confirmé que les dents étaient au même titre que les pieds, une des bases de la structure émotionnelle et psychique. J'ai ensuite lu des bouquins à ce sujet. "Quand les dents se mettent à parler" de Michèle Caffin et "le grand dictionnaire des malaises et des maladies" de Jacques Martel
Par ailleurs, en retraçant mon parcours de vie, dans le but de commencer une thérapie d'approche analytique, j'ai constaté que les nombreuses maladies développées dans l'enfance étaient directement liées aux difficultés familiales. multiples infections ORL entre 0 et 6 ans (situations traumatisantes) forte myopie, trachéite, bronchites, otites... Bref, comme dit l'ostéopathe, "ne voulait pas voir, ne pouvait pas dire, étouffait, ne voulait pas entendre..."
Ensuite place aux dents de lait qui ne voulaient pas tomber, je m'en suis faite arracher une quinzaine... Dans le psychodentaire... Cela veut dire "ne veut pas grandir" et pour cause, un contexte familial difficile.
A partir de 10 ans, j'ai développé de nombreuses caries, des émotions non exprimées, que l'on a plombé au mercure, ce qui fait que je me retrouve avec 10 plombages au mercure en bouche, principalement sur les molaires.
Ensuite, opération de la mâchoire à 15 ans, la colère impossible à exprimer face à ce qui se passait au sein du couple de mes parents, s'est traduit par une avancée "incompréhensible", au regard des dentistes du maxilaire inférieur.
Enfin, à 24 ans, pour répondre au désir de la société, travaillant chez Air France, une belle petite femme objet, répondant ainsi au désir de mon père, je me suis faite faire un brigde car il me manquait les deux incisives latérales supérieures. Résultat, le dentiste a dévitalisé mes deux incisives centrales et mes canines latérales.
Vers 28 ans, j'ai commencé à m'orienter vers la dépression. S'en est suivi ruptures sentimentales, arrêts répétés de travail, et difficultés à faire des choix de vie. Obligée d'être coachée.
Or, il s'avère que dans le langage psychodentaire, les incisives centrales sont la féminité et la masculinité en nous, les incisives latérales, la façon dont on réagit face au père, à la mère, bref aux hommes et aux la femmes, et les canines, l'énergie vitale, sexuelle et la capacité à faire des choix. Les dents de devant sont la joie de vivre et la façon dont on mord la vie. J'attends à ce sujet un diagnostic psychodentaire d'Estell Vereeck.
Force et de constater que depuis quelques années déjà, je cherche à me faire adopter comme une enfant, je ne me sens pas femme, ni homme d'ailleurs et j'ai beaucoup de mal à faire des choix. Je suis angoissée et dépressive, je ne ressens pas grand chose et ce n'est que mon mental qui me fait tenir. Depuis peu, j'ai des tremblements mais je pense que ce sont les effets secondaires des antidep, enfin j'espère!
Bref, voilà en gros ma présentation.... J'ai adhéré à l'association "Non au mercure dentaire" et je suis suivie par un dentiste sur Nantes mais, qui va mesurer les foyers infectieux de mes dents. Pour l'instant, brossettes, soins de nouvelles caries...
Ce qui m'intéresserait, c'est de connaître des endroits où l'on peut mesurer la toxicité des plombages dans le corps et si c'est le cas, et je le pense, vu la dégénérescence de mon cerveau, depuis quelques années, connaître des moyens de détoxication.
Je vais aller faire un tour sur le forum...
C'est cool de pouvoir parler de cela. Il faut que cela change. Je suis parmi tant d'autres une victime du déni de la médecine occidentale et son industrialisation...
En tout cas, je ne me ferai pas vacciner!
Bises à tous ceux qui me liront.
A bientôt pour un échange!