Constat après quasiment 4 mois de régime SGSC: aucune amélioration.
Ma condition a même empiré: Le simple fait de devoir rester debout pour laver/éplucher/couper les légumes est déjà une épreuve en soit (les jambes et le bassin sont très vite douloureux), et c'est comme ça tous les jours.
J'ai tout de même optimisé le processus, car maintenant je ne prépare (éplucher et couper en dés) que le minimum de légumes, alors qu'au début je préparais tous mes légumes à l'avance... si cela avait l'avantage de faire moins de travail (et donc moins de temps debout) pour plusieurs jours, l'inconvénient était que le travail lors du jour de préparation était d'autant plus éreintant.
Ma douleur au-dessus des côtes flottantes, coté gauche, n'a pas été très active ces derniers temps, mais il y a beaucoup d'activité du coté gauche de ma mâchoire, où je ressens souvent une tension/pression (que j'identifie comme musculaire/nerveuse, mais je n'en suis pas sûr)... c'est le coté opposé à ma couronne.
Sur le sujet des repas, ils sont toujours aussi peu variés, malgré les tentatives de ma diététicienne pour me faire essayer des recettes: je ne trouve pas le courage de m'y mettre.
Niveau "compléments", voici où j'en suis:
- Depuis la mi-juillet: Curcuma, midi et soir dans mes légumes
- Depuis fin juillet: Vinaigre de cidre, 1cc le matin au lever
- Depuis fin juillet: Huile de noix de coco, 1cc (voire un peu plus) le matin avant le petit déjeuner
- Depuis début août: Vitamine C (Madre-C), dosage progressif de 2g/j à 4.2g/j, mais je suis revenu à 3.5g/j
Je songe à baisser encore la Vit.C du fait de diarrhées occasionnelles (ou qui tiennent la journée) plus ou moins prononcées (plutôt moins que plus).
Mais j'imagine que le stress entre là aussi en ligne de compte: je suis sorti de ma (lointaine) mission à laquelle je faisais référence début juillet, et je suis en inter-contrat depuis début septembre.
Du coup je ne travaille certes pas, mais comme je l'indiquais plus haut, mon état continue d'empirer...
Mon "endurance", quand je suis sur mon ordinateur, se délite rapidement: fatigues et mal aux mains, bras, épaules, et ce en alternant l'utilisation des souris main gauche et main droite.
Cela me fait d'autant plus stresser quand on me propose des missions qui sont dans un secteur/domaine qui me rebute.
Déjà que je me dit que j'aurais du mal à travailler correctement sur quelque chose qui m'intéresse franchement...
Et cela est une source de frustration supplémentaire: je ne peux pas expliquer à mes responsables pourquoi j'ai aussi peu de motivation.
Je redoute aussi les entretiens avec les clients: j'ai toujours détesté ça parce que je bafouille, je cherche mes mots, voire quoi raconter (ç'a beau être mon expérience personnelle, je suis incapable de me rappeller de tous les détails)... mais j'ai de plus en plus de mal à réfléchir clairement, ce qui n'aide pas.
Donc ça ne va pas, que ce soit physiquement ou moralement.
Je me suis du coup mis en tête de commencer une chélation, histoire d'essayer de faire avancer les choses, de sortir de ma stagnation continuelle.
Mais voilà, depuis deux semaines environ, j'ai un bout de dent qui est tombé sur une molaire amalgamée (la 18, forcément, ça ne pouvait pas être une plus accessible), et de ce que j'avais compris, il n'est pas conseillé (du tout) de faire une chélation après des travaux dentaires liés à des amalgames.
Je me trouve donc encore dans une impasse: il va vite devenir urgent de traiter cette dent, mais je ne veux bien sûr pas y remettre un amalgame, et donc il va me falloir trouver un dentiste qui puisse régler le problème dans les règles de l'art (puisque l'amalgame sera de toute façon à remplacer, j'imagine, et que j'aimerais que ce soit en faveur de céramique, qui est la "moins pire" des alternatives, de ce que j'ai compris).
Ladite opération va alors retarder d'autant une possible chélation (enfin, déjà un test de provocation), voire faire encore empirer les choses, puisque toute opération sur un amalgame, aussi bien exécutée soit-elle, semble avoir un impact sur le corps (relargage interne au niveau des racines ? des gencives ? je ne sais plus trop).
Mais pour traiter cette dent, encore faut-il que je trouve un dentiste compétent en la matière.
J'ai bien la liste fournie par l'éditeur de FC (en date du 05/2014), mais cela ne me dit pas ce que ces dentistes (ou même les médecins pour les chélations) valent.
Je suis dans le 95, est-ce que des gens ici y connaissent des dentistes qui appliquent les protocoles de dépose et les alternatives aux amalgames qu'ils utilisent ?
Même chose pour Paris, bien sûr: si le site du troisième dentiste parisien (le site n'est pas indiqué dans la liste) semble alléchant, j'aimerais autant avoir des retours concrets sur le praticien.
J'ai d'autres questions (sur la chélation, par exemple), mais je pense, malgré ce que j'ai dit plus haut, que traiter cette dent est le plus urgent...