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NE COMMENCEZ PAS PAR UN TEST DE PROVOCATION
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Les informations provenant du Livre de F. Cambayrac et de plusieurs sources médicales vous présentent comme une ÉVIDENCE de COMMENCER par un test de provocation au DMPS (par IV ou cachet) ou au DMSA (cachet), et de faire le traitement de la même manière.
Ces informations sont ABUSIVES.
COMMENCER par un test de provocation au DMPS (par IV ou cachet) ou au DMSA (cachet) n’est
-- ni une solution sûre,
-- ni une solution indispensable.
De même, FAIRE le TRAITEMENT au DMPS par IV mensuel ou cachets hebdomadaires ou au DMSA (cachets), est loin d’être la meilleure Chélation.
Ne vous précipitez pas sur le test de provocation = je l’ai sérieusement regretté, et vous pourriez regretter aussi.
[color=FF6600]Commencez par le Questionnaire et les Porphyrines.
-- Si ça ne suffit pas, utiliser la Kinésio ou/et la Morathèrapie, pour confirmer.
-- et pour avoir des chiffres, une méthode par analyses de selles, de calculs biliaires ou d’urine.[/color]
Ne commencez pas par le test de provocation.
EXPLICATIONS :
Les tests de provocations sont une mauvaise idée en tant que PREMIÈRE action envisagée pour démontrer l’intoxication :
[*]car ils utilisent des doses importantes de chélateurs : IV de DMPS, cachets de DMPS, cachets de DMSA; et dernière folie, IV de DMSA.
[*]car il y a certains risques de fortes réactions catastrophiques :
---> allergie au DMPS, aggravée par la forte dose
---> fonctionnement “à l’envers” du DMSA (faisant rentrer le mercure dans le cerveau), aggravé par la forte dose
[*]car il y a des risques FRÉQUENTS d’aggravation à la première Chélation par forte dose :
---> apparition ou augmentation de l’électrosensibilité
---> apparition ou augmentation de l’intolérance Gluten- Caséine
---> apparition ou augmentation de bourdonnement ou vertiges, par exposition à des CEM de micro-ondes (portables, Wifi, ... ), provoquant une entrée de mercure dans le cerveau.
[*]car, même si cela semble bien se passer, les doses élevées une fois par mois (ou quinzaine) sont éprouvantes pour l’organisme, si on ne prends pas toute une série de précautions, ignorées par les médecins, et donc par les patients au début.
[*]car les doses élevées (bi)mensuelles constituent une mauvaise méthode = rapport bénéfices/ ennuis très bas et efficacité absolue faible!
Les tests de provocations sont une BONNE méthode pour MESURER précisément l’intoxication :
Avec un peu d’expérience, il est possible de tirer beaucoup d’informations valables :
[*]aussi bien de l’analyse d’urine que de l’analyse de selles.
[*]surtout, si on fait aussi un test témoin, avant la provocation par chélateur.
[*]pour non seulement savoir par quels métaux on est intoxiqué.
[*]mais aussi en déduire certaines stratégies très efficaces.
Mais les tests de provocations ne sont pas indispensables pour DÉMONTRER l’intoxication (savoir que l’on est intoxiqué(e)) :
On peut les remplacer par une ou mieux plusieurs des SEIZE méthodes suivantes =
CINQ sans chélation, ni traitement :
[*]1) les Porphyrines urinaires, au Laboratoire Philippe Auguste = un test simple, montrant divers types d’intoxication, fiable; mais avec quelques faux négatifs = le premier test médical auquel penser.
[*]2)
un questionnaire extrêmement bien fait, dont les résultats m’ont suffi pour savoir.
Plus l’observation des
sensations et critères majeurs d’une intox au mercure :
---> les symptômes apparus ne disparaissent pas, se rajoutant les uns aux autres = aucun traitement classique ne marche
---> la vie est devenue terne = “vous êtes au milieu de la nature (belles fleurs, beau soleil, ... ), et ça ne vous fait rien; c’est comme s’il n’y avait ni fleurs ni soleil” = la Beauté de la Nature n’agit plus.
[*]3) test de Kinésiologie du muscle fort.
test de selles témoins,
[*]4) si l’on a déjà une forte conviction (test de Kinésiologie ou questionnaire positifs).
[*]5) si l’on n’a pas eu d’amalgame (intoxication venant d’autres sources).
DEUX sans chélation, mais avec un traitement :
test de selles témoins,
[*]6) plus test de selles après 3 jours de bains de bouches INTENSIFS au CHARBON (de manière à “ANNULER” l’effet des amalgames).
[*]7) plus test de Calculs Biliaires Mous, après une Cure du Foie.
HUIT AVEC chélation :
test de selles témoins,
[*]8) plus test de selles après une période de Chlorella + Ail.
[*]9) plus test de selles après une période de NDF.
[*]10) plus test de selles après une période de Nano Zéolite.
[*]11) plus test de selles après une période du OSR. (nouveau produit de Boyd HALEY mis sur le marché en Août 2008 aux USA, et accessible en Avril aux médecins Français).
test d’urine témoin,
[*]12) plus test d’urine après 2 ml de DMPS en rectal, au milieu d’un protocole “MIDORA” style Cutler.
[*]13) plus test d’urine après 1 ml de DMPS en IV, au milieu d’un protocole “MIDORA” style Cutler.
[*]14) plus test d’urine après 1 ml de DMPS en sous cutané, au milieu d’un protocole “MIDORA” style Cutler.
[*]15) plus test d’urine après 0,5 ml de DMPS en sous cutané, sur 4 points d’acupuncture “hérauts”, plus 3 gttes (0,15 ml) en sublingual au milieu d’un protocole “MIDORA” style Cutler.
[*]16) Il y a enfin les tests de Morathèrapie.
J’ai personnellement utilisé avec succès les méthodes: 2), 4), 7)
Et j’attends les résultats de la méthode 15).
Plusieurs des méthodes ci dessus sont connues et fiables.
D’autres sont encore en expérimentation : 6), 7), 12), 13), 14) et 15).
Il y a aussi la méthode test d’urine témoin, plus test d’urine après Aqua Détox, au milieu d’un protocole “MIDORA” style Cutler, qui n’est encore qu’une hypothèse (sans même parler de l’analyse de l’eau du bains de pieds).
AUTRES TESTS
-- Le test Melisa montre les allergies, mais pas l’intoxication.
-- Les tests sanguins donnent des résultats pour certains métaux, mais pas pour le mercure.
Plusieurs méthodes classiques sont bien chères pour leur peu d’utilité :
-- tests de cheveux
-- tests de Salive
-- tests de vapeurs en bouche = Gérome (très utile pour déceler le mercure chez un dentiste)
Faites par un spécialiste, une analyse indirecte des résultats des tests sanguins ou de cheveux serait susceptible de montrer l’intoxication.
NB : un tel spécialiste est introuvable!
joël