souffrances de tête

[anodin]

Bonjour à toutes et à tous.

J'entrerai d'emblée dans le vif du sujet. J'ai eu le bonheur en 2009 de tomber sur une conférence du Dr Klinghardt sur internet. Je cherchais depuis douze ans dans les ténèbres une explication à donner à ce que j'appellerai encéphalite (diagnostic non autorisé) avec dimension psychique du problème à savoir perte majeure de capacité intellectuelle. Les participants à ce forum seront bien placés pour savoir combien peuvent être
lourdes les conséquences d'une semblable atteinte.

Pour quiconque fait carrière, c'est la souvent la fin. J'aimais, sans fatuité, à me dire intellectuel; j'ai dû me résigner à oublier ça. Mais à la vérité toutes les dimensions de
la vie s'en ressentent quand on est mentalement diminué. La piste des métaux lourds, dont je n'avais jamais entendu parler, me parut instinctivement intéressante.
Mon historique médical et médico-dentaire pouvait aisément, à la lumière de ces nouvelles informations, laisser présumer une intoxication. Je me suis engagé prudemment, pas à pas,
mais résolument, sur cette piste: L'enlèvement des amalgames par un dentiste pratiquant une médecine holistique est chose faite depuis dix-huit mois. J'ai une dizaine de cures du foie (méthode A.Morritz) à mon actif. Régime alimentaire sévère (continuellement en révision) avec supplémentation minéralisante.

J'ai entrepris la détoxication en douceur avec chlorella seule d'abord, puis avec ajout depuis peu d'un peu de teinture d'ail des ours. Le dosage progressera lentement avec la réponse du corps. Bref l'application du protocole de Klingardt légèrement adapté, disons. Je vais attendre encore quelques mois avant d'ajouter la coriandre. A part un état de fatigue quasi permanent
et quelques ennuis dermatologiques, tout se situe chez moi à la tête. Sur le plan des symptômes (physiques et psychiques) touchant celle-ci, rien donc n'a toujours changé. Mais je tiens bon. Je me dis que rien ne se fera en un jour car je ne serais pas surpris d'être assez intoxiqué. Je ferai peut-être faire des analyses de cheveux lorsque la coriandre entrera en scène. Jusqu'ici aucune analyse encore faite. Je ne participerai pas beaucoup aux échanges
sur le forum car mon cas n'a rien à apporter de très constructif pour le moment. J'ai déjà lu beaucoup sur le forum (et un peu ailleurs) et me suis composé un petit programme à partir de ce qui m'est accessible.
J'habite le Québec où un encadrement médical en pareille affaire n'est pas facile à trouver, s'il se peut trouver! Voilà. Content de m'être présenté. Merci pour l'existence du forum.

Sympathies et encouragements à celles et ceux qui tâchent d'en sortir...

[tuchiana]

salut anodin et bienvenue sur le forum !

bon courage a toi !

tuchiana

[un_ptit_gars]

Salut Anodin,

Bienvenue a toi sur le forum mélodie!

Je vois que tu as deja parcouru un long chemin depuis ces dernières années, et que malgré les difficultés tu n'a pas abandonné...c'est tout a ton honneur, donc bravo pour cela!

Je te comprend très bien, car dans mon histoire personnelle j'ai eut bcp de symptômes, et après un long cheminement égalment, j'ai réussi a tout regagner...si ce n'est au niveau de la tête ou j'ai encore quelques douleurs qui persistent et dont je dois m'occuper. La chose n'est pas facile et bien des causes peuvent jouer sur ce que l'on apelle courament le "brain fog", qui est parfois associé de douleurs et parfois pas.

Quelques conseils sur des pistes que tu pourra regarder plus en détails:

- Regarde le coté "vibratoire" de la bouche (matières incompatibles en remplacement des amalgames?): viewtopic.php?f=51&t=2888

- As tu le cou et les épaule raides, limités dans leur mouvement? Si c'est le cas, cela peut etre du a une stase sanguine dans cette zone et une hypoperfusion cérébrale associé. Voir sur le net la condition appellé "chronic cerebrospinal veinous insufficiency - CCSVI" , selon klinghardt justement, bcp de personne malades chroniques dévellopent ça.

- Il y a aussi certaines infection chroniques qui peuvent se develloper plus facilement chez les personnes ayant des térrains biologiques compromis, et provoquer des problème neurologiques et musculaire: babesia, bartonella ou borrelia. As tu deja fais des test pour cela (on conseille deja un test de base: le CD57 viewtopic.php?f=83&t=3871

- As tu regardé un peu du coté de la pollution electromagnétique chez toi ou a ton travail? Les ondes artificielles peuvent facilement perturber encore plus le sommeil et empecher le corps d'entrer dans des phases de sommeil régénérateur, il est donc très important de penser a controler l'état de la pollution chez soi, et de faire les corrections ncéssaires si besoin (et crois moi, y a souvent besoin! )

Bon courage!

Pti gars

[anodin]

Merci Tuchiana pour ton accueil. Merci à un p'tit gars pour ces précieuses infos.

Oui, j'ai une raideur à la nuque depuis fort longtemps. J'ai une petite déformation au niveau des cervicales aussi, une inversion de la courbure normale suite à de l'arthrose touchant deux disques (rapport d'examen radio 2007). Cela peut-il avoir un rapport avec cette raideur et avec les symptômes précédemment évoqués, qui le dira? un chiropraticien chevronné qui m'a déverrouillé le cou en 2006 ne pouvait se prononcer sur une relation avec lesdits symptômes.

A propos de la thèse d'une stase sanguine et d'un défaut de circulation type CCSVI, un tel phénomène serait-il observable au moyen d'une IRM? J'ai subi une IRM de la tête en 2003 sous la conduite d'un neurologue qui a affirmé ne rien voir d'anormal du tout (mettant implicitement en doute, comme bien l'on pense, la véracité des symptômes! mais enfin ça fait partie du jeu...). Si vous le permettez je vais donner une description succincte de ces symptômes qui, sait-on jamais, peuvent présenter un "intérêt scientifique". Il s'agit d'une sensation constante quoique fluctuante de pression intra-crânienne conjuguée à un fourmillement semblable à un courant électrique de faible intensité circulant partout sous le cuir chevelu, le front et les tempes, enveloppant si l'on veut toute la boîte crânienne. Le tintement aux oreilles ajouté en prime est si bien installé qu'on finit par l'oublier. Dans les moments de forte intensité, après un effort cérébral notamment, c'est comme s'il y avait un cercle de fer serrant fortement la tête. La montée des symptômes physiques va toujours de pair avec une baisse du potentiel psychique. Quand ils sont au plus haut celui-ci est au plus bas et là c'est l'impuissance, le mieux est de tout arrêter, se caler dans un fauteuil et mettre une musique très douce. Ces précisions sont peut-être inutiles mais à garder toujours pour
soi un agacement qui nous suit partout, il fait du bien de s'en ouvrir quelquefois à des gens qui ont développé une sensibilité à ces tourments bizarres.

Au tout début, lors de son apparition, ce mal très déstabilisant faisait naître beaucoup d'angoisse de par l'effet d'isolement qu'il promettait d'avoir à cause de son caractêre apparemment incommunicable. Il faut parfois du temps pour trouver les mots qui touchent dans le mille...Bon, pour revenir à ce qui nous intéresse, se peut-il que des sources pathogènes insoupçonnées, buccales ou autres, puissent provoquer cela? Il resterait alors à les identifier et
neutraliser. Je veux bien montrer la meilleure bonne volonté mais comme bien d'autres je suis encarcanné dans les dures lois de l'existence et de mon maigre avoir ne puis m'offrir de nombreuses et onéreuses consultations. Je suis obligé d'être plus que sélectif et contraint d'étaler dans le temps. D'où mon penchant pour les auto-traitements. Pour tout dire, j'ai un petit métier qui me procure juste le nécessaire, mais qui a le grand mérite d'être jusqu'ici compatible avec mon état. Incidemment je n'ai pas de lieu de travail proprement dit. Mon appartement est mon point d'attache autour duquel je gravite si j'ai à le quitter car je suis surintendant d'immeuble. J'ai déjà pris quelques mesures de protection électromagnétique. Il y a deux ou trois petites orgonites chez moi, mon portable reste câblé et mon téléphone résidentiel branché. Je ne fais qu'un usage modéré du cellulaire qu'on m'a fourni pour les communications entre employés ou avec la main d'oeuvre occasionnelle. Une question pour terminer: en ce qui regarde le test Striker CD57 puis-je faire venir le kit d'Europe? il me semble que c'est un peu loin pour ce genre d'échange. Sinon y a-t-il une autre adresse de labo fiable aux USA?

Cordialement
Anodin

[un_ptit_gars]

Salut anodin,

Content de voir que les infos que l'on te donne t'intéresse...en espérant que ça pourra ouvrir quelques pistes de réflexions nouvelles pour toi, et que tu finira par trouver des solutions pour réellement alléger, voir guérir de ta problématique principale au niveau de la tête.

A propos de la thèse d'une stase sanguine et d'un défaut de circulation type CCSVI, un tel phénomène serait-il observable au moyen d'une IRM?

Non, ce type de pathologie n'est pas visible par IRM, ou tout du monde pas avec la vision "classique" qu'ont 99% des médecins sur cet examen.
Voici un lien vers une clinique allemande, et la listes des examens pratiqués pour mettre en évidence ce problème:

- Preliminary discussion with the doctor

- Laboratory tests

- MRV-Screening / MR-Venography with contrast (40-60 minutes)

- Or if MR-Venography not possible, CT venography (10-20 minutes)

- Echo / Doppler duplex (10-20 minutes)

- Results and final medical consultation with the radiologist

- Catheter Venography will be done on the second day prior to the CCSVI Treatment

http://www.ccsvi-center.com/CCSVI-Diagnostic.htm

Dans les moments de forte intensité, après un effort cérébral notamment, c'est comme s'il y avait un cercle de fer serrant fortement la tête.

Un peu comme la sensation d'avoir la tête pris dans un étau qui la comprime, non? En language médical "classique" ils parlent de "céphalés de tension" la plupart du temps, mais a mes yeux ce n'est qu'une dénomiation médicale qui ne va en rien chercher les causes et donc des solutions valables. Sache tout de même que le "laroxyl" m'a été d'une grande aide au début, afin de mieux "supporter" ce symptôme, donc peut-etre que ça pourrait aussi t'aider...même si ce n'est en rien une solution définitive et que ça ne fais que "masquer" le symptôme...le temps de s'attaquer vaiment aux causes.

Une question pour terminer: en ce qui regarde le test Striker CD57 puis-je faire venir le kit d'Europe? il me semble que c'est un peu loin pour ce genre d'échange. Sinon y a-t-il une autre adresse de labo fiable aux USA?

C'est même la bas qu'il été créé, donc bien sur qu'il y a un labo qui fait ça
Il faut que tu contacte le labo "LabCorp", tu trouvera facilement leur coordonnées sur le net je pense.

Bon courage a toi,

Pti gars

[matoch]

moi je dirai que ça pourrait ressembler à de l'électrosensibilité, j'ai eu de graves raideurs de la nuque qui ont diminué fortement après que j'aie arrêté d'utiliser mes plaques à induction... L'électrosensibilité étant aggravée par les métaux lourds et Lyme

[cédric]

Bonjour,

une autre piste, des céphalées de tension pourraient être provoquées par une déshydratation chronique de l'organisme.
Cela proviendrait d'un asséchement et d'une inflammation de la sphère ORL.

Quand on sait que le mercure empêche les échanges ioniques des cellules et que les radio-fréquences micro-ondes pourraient faire de même, il me vient a penser que le mercure et les micro-ondes pulsées pourraient avoir un lien avec la déshydratation chronique de l'organisme (par déshydratation cellulaire).

Bon courage,

Cédric

[anodin]

Bonjour,
Excusez-moi je suis resté quelques mois à l'écart du forum. Je viens de lire ces derniers messages, ce sont des idées intéressantes mais honnêtement, depuis seize ans que je supporte journellement cette maladive condition, je n'en suis plus à la pêche aux nouvelles idées. Pour que la foi subsiste, ce qui est devenu prioritaire, il me faut désormais m'appuyer sur une assise intérieure ferme qui ne s'évanouira pas à la prochaine "découverte" ou "illumination". Toutes ces petites expériences faites loyalement dans l'espoir d'un quelconque progrès et que je ne renie pas, m'ont petit à petit procuré cette assise par la conviction bien acquise d'avoir fait ce que je pouvais et qu'il ne peut pas n'en avoir rien résulté. Si je n'ai pas la connaissance de la vérité j'ai du moins une intuition plus affinée de ce qui peut m'être ou non utile. Bien sûr je n'ai pas tout essayé, loin de là. Je n'ai jamais touché par exemple aux chélateurs chimiques. Je ne les exclus pas. Mais je sais intuitivement que la solution doit nécessairement être très englobante et prendre en considération toutes les dimensions de l'être humain. Sinon c'est peine perdue. Je parle pour moi, à chacun sa façon de voir. Le portrait de la situation s'est un peu modifié pour moi cette année par l'arrivée d'un diagnostic d'insuffisance cardiaque que les avis médicaux me prient de ne pas banaliser. Du reste cela se sent nettement. Si dans tout événement il faut savoir trouver son intérêt, je dirais que celui-ci en présente un manifeste en ce qu'il ouvre les barrières d'une certaine prise en charge médicale, ce que mon état par trop nébuleux jusque là n'avait lui-même pas permis. Car il faut savoir qu'avec ce type de problème la médecine ne rigole plus! Après tant d'indifférence j'avoue, sans jeu de mots, que ça réchauffe un peu le coeur. Avec le point de vue critique assez exact que dans mon petit cocon je me suis formé sur les avantages et risques de la médecine institutionnelle ils savent déjà qu'il va falloir emprunter la voie du dialogue et, ma foi, je découvre des ouvertures. Ces gens qui après tout se vouent à comprendre et soigner des maladies peuvent bien aussi, avec un peu d'entêtement de notre part, se vouer à comprendre et soigner des malades. Nuance importante. Pour tout dire je ressens un bel enthousiasme. Je laisse la-dessus mes amis lecteurs et lectrices du forum. J'avais envie de partager mon "feeling" actuel. Meilleurs voeux. Anod.

[matoch]

Penses-tu qu'il soit possible que ton insuffisance cardiaque ne soit peut-être qu'un symptôme de tes longues années de maladie non traitée, car non prise en compte par la médecine traditionnelle ?
Bon courage en tout cas

[anodin]

Je ne sais pas. J'ai cru à la thèse d'une intoxication aux métaux lourds chez moi parce qu'elle semblait pouvoir expliquer plusieurs troubles qui sont apparus successivement dans ma vie sans qu'à prime abord on puisse penser que quelque chose les relie. Il est très attreyant de pouvoir tout ramener à une cause commune parce qu'il semble alors que tout s'éclaire. Il est attreyant par exemple de penser qu'une neuro-intoxication avant d'en arriver à produire des symptômes pleinement physiques ou psychiques et par le fait même aisément identifiables ou tangibles pour le sujet lui-même va s'exprimer d'abord de manière beaucoup plus intangible par des souffrances psychologiques tel que timidité, anxiété, etc. Qui songerait à ce moment à accuser une intoxication? Mais avec le recul on sera séduit par l'idée d'un rapprochement. Maintenant est-ce qu'après des attaques neurologiques la même intoxication va, dans un stade ultérieur, s'en prendre aux organes vitaux? On sera peut-être naturellement tenté de faire s'inscrire ce "développement" dans la même ligne logique que précédemment. Mais je ne suis pas autorisé de le faire. C'est du domaine de la recherche médicale. La seule chose dont on peut être sûr c'est que notre corps ne se détraque pas sans qu'il y ait une ou des causes à cela et à mes yeux ces causes prennent la forme d'erreurs qui furent commises par nous quelque part. Erreurs commises inconsciemment sans doute, mais que ne fait-on inconsciemment? C'est pourquoi je me refuse à faire porter le blâme à l'un ou à l'autre et pas davantage à la médecine qui essaie je pense de faire convenablement son boulot. Cette céphalée dont on parle ici n'a pas encore été scientifiquement cernée dans ses causes et manifestations dans la sphère médicale officielle que je sache. Il est déjà beau qu'on lui ait attribuée un nom. Pour l'instant on peut toujours rêver qu'elle soit prise en compte et traitée je pense.

[asinaria]

Bonjour,
Excusez-moi je suis resté quelques mois à l'écart du forum. Je viens de lire ces derniers messages, ce sont des idées intéressantes mais honnêtement, depuis seize ans que je supporte journellement cette maladive condition, je n'en suis plus à la pêche aux nouvelles idées. Pour que la foi subsiste, ce qui est devenu prioritaire, il me faut désormais m'appuyer sur une assise intérieure ferme qui ne s'évanouira pas à la prochaine "découverte" ou "illumination". Toutes ces petites expériences faites loyalement dans l'espoir d'un quelconque progrès et que je ne renie pas, m'ont petit à petit procuré cette assise par la conviction bien acquise d'avoir fait ce que je pouvais et qu'il ne peut pas n'en avoir rien résulté. Si je n'ai pas la connaissance de la vérité j'ai du moins une intuition plus affinée de ce qui peut m'être ou non utile. Bien sûr je n'ai pas tout essayé, loin de là. Je n'ai jamais touché par exemple aux chélateurs chimiques. Je ne les exclus pas. Mais je sais intuitivement que la solution doit nécessairement être très englobante et prendre en considération toutes les dimensions de l'être humain. Sinon c'est peine perdue. Je parle pour moi, à chacun sa façon de voir. Le portrait de la situation s'est un peu modifié pour moi cette année par l'arrivée d'un diagnostic d'insuffisance cardiaque que les avis médicaux me prient de ne pas banaliser. Du reste cela se sent nettement. Si dans tout événement il faut savoir trouver son intérêt, je dirais que celui-ci en présente un manifeste en ce qu'il ouvre les barrières d'une certaine prise en charge médicale, ce que mon état par trop nébuleux jusque là n'avait lui-même pas permis. Car il faut savoir qu'avec ce type de problème la médecine ne rigole plus! Après tant d'indifférence j'avoue, sans jeu de mots, que ça réchauffe un peu le coeur. Avec le point de vue critique assez exact que dans mon petit cocon je me suis formé sur les avantages et risques de la médecine institutionnelle ils savent déjà qu'il va falloir emprunter la voie du dialogue et, ma foi, je découvre des ouvertures. Ces gens qui après tout se vouent à comprendre et soigner des maladies peuvent bien aussi, avec un peu d'entêtement de notre part, se vouer à comprendre et soigner des malades. Nuance importante. Pour tout dire je ressens un bel enthousiasme. Je laisse la-dessus mes amis lecteurs et lectrices du forum. J'avais envie de partager mon "feeling" actuel. Meilleurs voeux. Anod.

je suis vraiment contente de lire ça. Merci de l'avoir partagé.
Tu viens de m'aider à comprendre mon frere qui n'arrivait pas forcément à trouver les mots pour m'expliquer pourquoi il ne me suivait pas dans toutes mes demarches et analyses et compagnie.
Pour lui c'est tres dur de se dire aujourd'hui on nous conseille de faire ci ou ça c'est apparemment super primordial, on obtient des resultats avec ça mais on ne sait pas quoi en faire et en fait dans 1 an ce sera autrechose, on nous dira qu'il fau faire ça ou ça, et alors tout le flot des personnes malades et perdues suit ce rythme, et fait tout ce qu'il peut pour etre à la pointe des derniers trucs à faire mais du coup tout change toujours, toutes les priorités changent toujours, il n'y a pas de choses stables sur lesquelles reposer et ça peut etre plus perturbant que de rester en place à ne plus chercher partout eperduement une petite solution pour aller peut etre mieux.
Je ne sais pas si je l'exprime bien, je n'arrive pas à trouver les mots, mais en fait ce que tu dis m'aide à comprendre pourquoi mon frere n'est pas comme moi toujours à vouloir chercher et trouver comment et pourquoi ça ne va pas / ça peut aller mieux...
Il a besoin de stabilité interieure comme toi, alors que moi j'ai besoin d'etre dans l'action pour etre sure que rien ne m'echappera...