De toute façon je vais prendre conseille auprès de mon médecin (semaine prochaine). Mais tous les protocoles sérieux des spécialistes de Lyme ne recommandent PAS ce type de traitement et de dosage. Donc c'est du grand n'importe quoi. Marelle tu fais comme tu veux mais c'est 125 euros, remboursement sécu sur la base de 69 euros. Moi CMU donc monsieur était très énervé car il ne pouvait pas me faire payer plus de 69 euros et il m'a dit que d'habitude il ne prenait pas les gens à la CMU parce que lui est un "professeur" vous voyez, pas n'importe qui, et qu'il avait passé 2h (1h30 en fait, avec 30mn de retard) pour moi et n'était pas assez payé !! j'avais les larmes eux yeux en partant... dur de se faire traiter ainsi.
Voici un extrait de "LA BORRELIOSE CHRONIQUE ET PERSISTANTE" du Dr Petra Hopf-Seidel
(voir mon site pour accès au document complet :
http://www.lyme-sante-verite.sitew.com/ ... nique_.pdf"La concentration sanguine utile et appelée minimale pour devenir bactériostatique de la
doxycycline correspondant aux résultats de cette étude se situe à 5 µg/ml. Ce qui exprime in
vivo (suivant le poids corporel) environ 400 à 600 mg de doxycycline par jour, soit le double,
voire le triple (!) de la dose de 200 mg par jour recommandée actuellement par les prescriptions de
conduite thérapeutique des spécialités médicales.
Afin de calculer la dose individuelle utile, il serait donc raisonnable de faire définir la concentration
sanguine de l’antibiotique pendant la thérapie (avant tout lors de thérapie prolongée pour cause de
borréliose chronique) et ceci dans un laboratoire spécialisé (voir adresses dans l’appendice). Avec les
dosages journaliers recommandés partout à ce jour, même dans les cas de déficits neurologiques,
cette concentration sanguine de doxycycline n’est pas atteinte. Ils entravent tout au plus la
prolifération de l’agent causal. En supplément, le Prof. Sievers a également démontré, que justement
par l’administration recommandée partout de céftriaxone et de pénicilline G, la forme kystique de
borrélies est favorisée, ce qui est une cause de la chronicisation de la maladie.
J’aimerais maintenant mentionner un autre inconvénient par rapport à de semblables «lignes de
tenue de conduite» prônant une antibiothérapie sous dosée tout autant qu’une prescription de
cortisone lors du stade précoce, entraînant l’empêchement d’une forte réaction immune
initiale, avec pour conséquence, que lors de tests sérologiques ultérieurs, n’apparaissent pas de
titrage important d’anticorps borrélias ou bien pas de bandes spécifiques dans le large panel de
l’immunoblot, comme il serait souhaitable pour la reconnaissance certaine d’une infection. Les
patients atteints de borréliose au stade tardif ne sont majoritairement non reconnus en tant
qu’infectés et demeurent de ce fait, non traités.
Une antibiothérapie par des inhibiteurs de synthèse de la paroi cellulaire de la bactérie,
(bactéricides), comme les bêtas lactames (antibiotiques apparentés à la pénicilline comme par
exemple l’amoxicilline ou céfuroxime), tout comme avec les céphalosporines (telles la
céftriaxone ou la céfotaxime), dans le stade précoce - favorise la formation de toutes
formes vivantes sans paroi, ce qui représente la base biologique pour une récidive ultérieure,
comme l’aura démontré le Prof. Sievers."
céftriaxone = rocéphine