capucine a dit : Me voici définitivement fixée sur le PVC ! merci Vilkins. Sais-tu si la toxicité dure avec le temps ? J'ai déjà une porte coulissante de ce type à la place de la porte de garage.
Les infos sur la résine époxy ne donnent guère confiance en certaines orgonites. Qu'en est-il de celles d'Orgoniseafrica ?
Gigi, je suis intéressée par ton adresse en Corrèze, et les infos sur le prix. Les frais de transport n'ont-ils pas fait flamber le coût final ?
Bon, tout ça est un peu loin de l'électro-sensibilité, vous êtes peut-être tous d'accord pour éviter l'aluminium ?
Non, je ne suis pas spécialiste du pvc malheureusement, j'ai été alerté seulement par le message de Marco mais j'ai lu rapidement les liens qui dissertent de la toxicité potentielle du PVC. Les deux premiers sont déjà instructifs.
Tu as ce pdf (
http://www.aroy.net/pointbiologique/multi-pvc.pdf) qui résume assez bien tous les points approchés sur les autres sites.
Sur ce lien, (
http://www.dorlyl.com/sant%C3%A9.htm) ils relativisent fortement les risques pour les utilisateurs.
En gros :
Ils sont tous d'accord pour dire que le chlorure de polivynile est toxique, ainsi que les différents additifs utilisés (phtalates, bisphénol A, organotines, acétaldéhyde, cadmium, barium et les orgonachlorures qui peuvent apparaitre dus aux échanges thermiques)
Là où leurs avis divergent, c'est sur le risque pour l'utilisateur, donc la volatilité et transmissibilité de ces différents composants.
dans le pdf, ils stipulent par exemple :
"Le problème majeur du PVC provient
du fait que ses additifs ne sont pas liés
au plastique. Lorsqu’un individu est en
contact avec l’objet en plastique, les
particules nocives sont transférées hors
de l’objet, dans l’atmosphère ou dans
des substances
lipophiles comme la
peau. Le phénomène de
migration de ces
particules est accentué
lorsque l’abrasion, la
lumière ou la chaleur
abîment l’objet.
L’exposition aux
produits chimiques se
fait par inhalation et par
le contact de la peau.
Une exposition orale
est également possible
chez les jeunes enfants qui portent les
jouets à leur bouche ou par le contact de
la nourriture avec des plastiques
chauffés lors de la cuisson. La majorité
de ces particules nocives sont des
polluants omniprésents dans plusieurs
foyers et sont persistants dans
l’environnement. Ces particules, très
volatiles et peu solubles, se retrouvent
dans l’air et s’accumulent dans les sols et les sédiments "
alors que dans le lien suivant, ils réduisent la nocivité aux problèmes de fabrication, de conservation, d'incinération et de recyclage (donc pour les professionnels)... en se basant sur les études qui montrent peu ou pas de variation des taux de cancer des populations exposés. Ils se rejouissent d'ailleurs que l'accident de Sereso n'ai pas fait de morts (sic).
Ils ajoutent par ailleurs que les teneurs en vcm contenus dans le chlorure de polivynile ont été étudiés lorsqu'en contact avec des aliments et qu'ils n'avaient pas constaté de résidus et de transfert de l'un vers l'autre (teneurs inférieures à 0,0001 PPM)
Ils sont cependant loin de prendre en compte les problématiques d'intoxication chimiques qui induisent des dérèglements endocrines à moyen-long terme et qui ne peuvent apparaître naturellement dans les études.
On en a l'habitude avec l'électrosensibilité. On a mangé une quantité astronomique de rapports comparables qui affirment qu'aucun dérèglement n'est constaté lors de l'exposition du public aux CEM.
On en est réduit à ses propres croyances, connaissances, précautions, etc.
Perso, je vais m'en méfier raisonnablement
)