TOXICOLOGIE EN TOC.

Quand la santé revient enfin, il faut le dire et même le crier!

Réponses au plaidoyer

Messagede Sophocle » Mar 1 Oct 2024 06:33

un ex de l'Inspection générale des services sociaux a écrit:Bonjour Monsieur,

Sensible à votre message et à la cause qui vous préoccupe, je ne suis cependant pas en poste à l’IGAS aujourd’hui et me consacre à une mission dans le secteur du dialogue social et des transports.

Je ne puis donc malheureusement vous être d’aucune aide dans votre démarche.

Avec mes meilleures salutations




Bonjour,
Je vous remercie de cette transmission que je vais regarder avec attention.
Bien cordialement
X
Direction des Autorisations de Mise sur le Marché (DAMM)
AGENCE NATIONALE DE SÉCURITÉ SANITAIRE de l’alimentation, de l’environnement et du travail
14 rue Pierre et Marie Curie 94701 Maisons-Alfort Cedex
http://www.anses.fr — @Anses_fr


l'Agence régionale de santé de l'ile de france a écrit:Monsieur,

 

Le département réclamations évènements indésirables et vigilance de l’ARS Ile-de-France accuse réception de votre courriel du 26 septembre 2024, concernant des excès de métaux (cuivre, fer) dans le cerveau des patients atteints d'Alzheimer, détectés post-mortem mais non traités du vivant des malades.

 

Nous vous remercions de nous avoir fait part de votre témoignage.

 

Nous prenons bien note de vos démarches d'alerte, notamment celles adressées à la Présidence de la République, au Premier ministre ainsi qu'au Ministère de la Santé. Votre préoccupation concernant la gestion des excès de métaux chez les patients atteints de maladies chroniques a bien été enregistrée et nous comprenons l'importance que vous y attachez.

 

Restant à votre disposition, nous vous prions d’agréer, Monsieur, l’assurance de notre considération distinguée.

 

Département Réclamations, Evénements Indésirables et Vigilances

Coordination Sanitaire

Direction Veille et Sécurité Sanitaire

13, rue du Landy 93200 - SAINT DENIS



Un Préfet a écrit:Bonjour Monsieur,

Nous vous informons que M. X, préfet de la région Nouvelle-Aquitaine, préfet de la Gironde a bien pris connaissance de votre mail et il l'a transféré au directeur de l'Agence régionale de santé.

Bien cordialement

Le secrétariat

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Plainte CMP

Messagede Sophocle » Mar 1 Oct 2024 09:28

sur demande de l'ARS, l'hôpital a écrit:Monsieur,
J’accuse réception de vos différentes réclamations.

Je vais prendre attache, dès à présent, avec le service de soins concerné afin d’obtenir des éléments de réponse.

Par ailleurs, je tiens à vous informer que votre réclamation fera l’objet d’une étude en Commission des Usagers. Elle a pour mission d’analyser les réclamations afin d’améliorer la qualité et la sécurité de la prise en charge des patients et de veiller au respect de leurs droits.
Restant à votre écoute,
Cordialement,
X
Chargée des Relations avec les Usagers
Direction des usagers, de la qualité et de la gestion des risques

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RÉPONSE DE LA D.G. DE L'ANSES

Messagede Sophocle » Mar 1 Oct 2024 19:01

voici la réponse de la Direction Générale de l'Anses.

Enfin.

Mais,
c'est de la langue de bois qui noie le poisson.

D.G. ANSES

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Ptit Gars a raison, je n'arriverai pas à obtenir gain de cause...


Je ferai une réponse longue plus tard...
Il faut que je murisse ma réponse.


Dernière édition par Sophocle le Jeu 24 Oct 2024 17:46, édité 1 fois.
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REPONSE DE MA PART AU D.G. DE L'ANSES

Messagede Sophocle » Sam 5 Oct 2024 01:57


Au Directeur Général de l'ANSES à Maisons-Alfort.
Copie Ministre de la Santé, Elysée et Matignon.
Copie Directeur Général de la Santé.
Copie Vice-présidente C.A. ANSES.



Paris, le 28 octobre 2024



Monsieur le Directeur général de l’ANSES,


Suite à votre courrier réponse du 1er octobre 2024, il est hors de question de vous laisser écrire ou de laisser entendre que l'imprégnation corporelle est surveillée car cela n'est absolument pas le cas. Je note également que vous refusez que, concernant les particules oxydantes, la prise en compte du corps passe de 5% à 100%. Je note également vos menaces à peine voilées de me poursuivre en Justice.

Concernant l'imprégnation corporelle, comme les analyses des Agences de santé se cantonnent aux analyses validées, ces Agences ne surveillent absolument pas l'imprégnation corporelle. Le mot "imprégnation" employé par les Agences de santé est un abus de langage qui trompe les néophytes de façon à rassurer avec une prétendue exhaustivité des analyses quant à l'exploration du corps. Dans les faits, les Agences de santé ne surveillent uniquement l'exposition (sang, urine, salive) et uniquement l'exposition chronique du sang (ongles, cheveux). La seule imprégnation que surveillent les Agences de santé est l'imprégnation capillaire ; mais, l'imprégnation des organes n'est absolument pas surveillée. L'urine, les cheveux, la salive et les ongles ne sont que des reflets du sang et ils n'expriment absolument aucune information sur l'imprégnation du corps ou d'un organe spécifique. Par exemple, ces matrices validées sont totalement aveugles quant à l'état d'intoxication du cerveau ou de tout autre organe. Pour connaître l'état d'intoxication d'un organe, il faut impérativement dissoudre l'organe en question et comparer à la valeur en population en santé. Avec les analyses validées actuelles, les Agences de santé sont donc dans l'impossibilité d'évaluer l'état d'intoxication d'un organe du vivant du patient car ces analyses se limitent à la superficialité du sang. Prétendre qu'un organe n'est pas intoxiqué au motif que le sang est négatif est une erreur car l'analyse doit se faire impérativement avec l'organe car les organes accumulent les particules et que le sang est filtré en permanence par les émonctoires. Du fait de cette spécificité, le sang et les organes sont totalement décorrélés. Le sang donne donc toujours l'illusion d'une absence d'intoxication car il est filtré en permanence par les 5 émonctoires. L'exposition chronique et l'imprégnation corporelle sont deux choses totalement différentes, elles ne peuvent absolument pas être confondues. Il est trompeur de faire passer une exposition chronique ou imprégnation capillaire pour une imprégnation corporelle. L'imprégnation est la charge corporelle en métaux ou des organes ; et l'exposition chronique est l'enregistrement des valeurs sanguines dans le temps. Or, les analyses sur l'imprégnation corporelle sont totalement manquantes aussi bien du vivant du patient que post-mortem. La seule analyse qui explore le corps dans les profondeurs au-delà du sang du vivant du patient est l'analyse d'urine après traitement, mais cette analyse n'est pas encore validée ; post-mortem, il est possible de dissoudre l'organe et d'évaluer la charge ; mais, les références n'ont pas encore été dressées, cette évaluation est donc non interprétable. Les références post-mortem auraient peut-être déjà dégagé des cofacteurs des maladies chroniques ; aussi, ces cofacteurs auraient pu être traités et prévenus du vivant des patients.

Dans ses enquêtes publiques, SANTÉ PUBLIQUE FRANCE (SPF) doit donc nécessairement écarter l’analyse après traitement de son éventail d'analyses car cette analyse n'est pas encore validée. Faute de mieux, SPF se contente donc du sang, de l’urine et des cheveux dans l'Étude Estéban. SPF se sert des cheveux pour prétendre mesurer une imprégnation mais cela est une erreur. SPF et toute autre agence se contentent factuellement de l'exposition car elles ne peuvent pas faire autrement. L’imprégnation corporelle n'est donc jamais surveillée ni en individuel, ni en population par aucune Agence de santé, ni par aucun médecin, ni par les Centres antipoison, ni par personne car il n'existe pas d'analyse validée qui concerne le corps au-delà du sang ni du vivant, ni post-mortem. Seuls l’Allemagne et les États-Unis traitent l'imprégnation corporelle dans des filières médicales alternatives qui pratiquent l'analyse après traitement. Les dispositifs médicaux et les maladies chroniques sont donc mal évalués car ni les organes ni le corps ne sont absolument pas examinés ni du vivant ni post-mortem. Les analyses validées mènent donc aux maladies chroniques dans une douce confiance trompeuse. Et, j’alerte en demandant de lever le doute par l'établissement des références des analyses après traitement et par les analyses d'organes post-mortem.

Votre courrier du 1er octobre 2024 n’exprime aucune d'explication quant aux Alzheimer du traité de toxicologie CHELATION THERAPY dont les autopsies des cerveaux présentent des taux très inquiétants de fer et cuivre et à qui on n’a pas annoncé de leur vivant qu'ils étaient intoxiqués car les analyses validées nient l'entièreté du cerveau. Les analyses validées ont donc sévèrement menti à ces Alzheimer. Les analyses validées sont insuffisantes car elles privent les populations de la prévention, de guérison ou d'arrêt de l'évolution de l'intoxication. Pour évaluer la charge précise du cerveau et pour affirmer s'il y a intoxication ou pas du cerveau, il faut dissoudre le cerveau et comparer à une population en bonne santé, cela est absolument et totalament incontournable ; bien sûr, cela est évidemment inenvisageable du vivant du patient. De plus, il aurait fallu dresser la référence en population mais cela n'a pas encore été réalisé post-mortem. Sans intrusion, une ventouse humide sur la tête permettra de sonder l'état de la lymphe cérébrale, mais l'exploration du cerveau demeurera relative à la zone des foramens pariétaux et donc incomplète. Aucuns cheveux, aucun sang, aucune autre matrice déjà validée n'exprimera jamais rien du cerveau ; seul le cerveau parle du cerveau. À jamais, la toxicologie ignorera si le cerveau d'un patient vivant est intoxiqué car l'analyse adéquate (dissolution) et circonscrite à l'organe ne peut pas être réalisée du vivant du patient. Avec les références post-mortem du cerveau, il sera peut-être possible d'établir quelques liens entre cofacteurs et symptômes, et traiter en conséquence ; mais, les références post-mortem demeurent encore non réalisées, les liens ne peuvent donc pas être encore dressés car les relevés demeurent non interprétables faute de référence. Les excès de fer et de cuivre sont peut-être une généralité qu'il convient de vérifier chez les Alzheimer en combinant les analyses après traitement et les autopsies. Comme les maladies neuro-dégénératives parviennent de cofacteurs, il est possible que chez certains Alzheimer se soit les excès de métaux qui participent à la maladie ; et, il est possible que chez d'autres Alzheimer, ce soit les excès de pesticides, ou un mix. Il en va de même pour tous les autres organes (rate, reins, muscles, ...). Dans ce cas, le doute doit bénéficier au patient. Or, à tort, le doute n'est jamais retenu car l'arbitrage ne tient compte uniquement que du sang. La seule alternative qui demeure rapportée dans la littérature scientifique du vivant du patient, c'est une analyse après traitement des métaux car le traitement circule dans le cerveau et dans les autres organes. Mais les métaux du corps tout entier seront tous confondus dans l'urine, il sera donc impossible de cibler un organe (cerveau, muscles, …). Dans le doute, le patient doit donc être traité tant que les excès apparaissent aux analyses après traitement. En dépit que les diagnostics et les traitements existent, les cerveaux des français sont laissés sans surveillance faute de validation. Cependant, le traitement n'est jamais pratiqué en France car les références n'ont pas été dressées. Faute de référence, l'analyse après traitement est non interprétable. Les cerveaux de ces Alzheimer ont donc été laissés sans surveillance appropriée. Au contraire, les analyses validées auront écarté à tort l'intoxication. L'exposition a peut-être eu lieue 20 ans auparavant, les cheveux n'exprimeront donc plus aucune information sur l'exposition chronique. Au moment où l’intoxication des cheveux disparaîtra, l’Alzheimer naîtra par excès de métaux dans le cerveau au long cours. Les analyses validées sont donc trompeuses, elles disent des choses qui sont fausses car les Agences de santé prétendent à tort qu'elles surveillent l’imprégnation ; or, les analyses après traitement auraient pu permettre à ces patients de se dire des choses qui sont vraies à temps pour réduire ou éviter la pathologie. De plus, l'Alzheimer n'est qu'un symptôme, d'autres symptômes (Parkinson, SEP, …) pourraient être concernés par les excès de métaux. Il ne sera jamais possible d'apporter la preuve que l'imprégnation corporelle est surveillée par les analyses actuellement validées car du mercure apparaît en grande quantité lors des analyses après traitement par rapport aux analyses validées. Ce mercure prouve que les analyses validées ne représentent pas le corps. Si l'imprégnation était surveillée, on aurait retrouvé du mercure ou des excès de cuivre et de fer chez ces Alzheimer de leur vivant, ces excès auraient été traités et éliminés du vivant du patient de façon à ce que les autopsies ne présentent pas d'excès.

De plus, le Docteur Monsieur Grégory EMERY, Directeur Général de la Santé (DGS, échelon au-dessus des Agences de santé), m'a confirmé que les personnes particulièrement imprégnées nécessitaient des travaux de recherche afin d'optimiser leur prise en charge. Le DGS reconnaît donc qu'il existe une faille dans le système. La science médicale se transforme donc en machine qui nie des intoxiqués. Le nombre de personnes concernées demeure à évaluer, mais, suite aux informations consignées dans le traité de toxicologie CHELATION THERAPY, le million d'Alzheimer en ferait peut-être parti. En dressant les références, on pourra établir le nombre de personnes concernées. Mais comme 95% du corps est actuellement laissé sans surveillance, il est envisageable que le nombre de personnes concernées soit très élevé.

L'établissement des références après traitement est une mesure salubre car l'excrétion des excès de métaux stockés dans le cerveau et autres organes est forcée. Grâce à ces références, il sera enfin possible d'extraire les excès de métaux stockés chez un patient. Je reconnais que les analyses validées actuelles sont fiables et éprouvées pour déceler une exposition et une exposition chronique ; mais, j'affirme que ces mêmes analyses demeurent totalement inopérantes pour évaluer une imprégnation corporelle car du mercure sort en grande quantité lors des analyses après traitement chez les personnes exposées par rapport aux analyses validées. Du vivant du patient et post-mortem, la charge corporelle et la charge organe par organe échappent complètement à la toxicologie conventionnelle faute d'analyse adéquate validée. Les références après traitement seraient confisquées au motif que la science internationale est muette sur le sujet ; cela est totalement incompréhensible et absolument désolant. Il n'y a pas à attendre quoi que ce soit pour explorer 100% du corps car il n'existe pas d'accord pour nier 95% du corps. 95% du corps demeurent donc non sondés par toutes les Agences internationales alors qu'on sait explorer le corps par les analyses après traitement. Or, des millions de Français souffrent de maladies chroniques dont on ignore encore les cofacteurs. Par prudence, il convient donc d'établir ces références pour vérifier si les excès de métaux corporels stockés ne sont pas un cofacteur d'une part de ces malades. Ces références permettront trois choses : prévenir, guérir ou empêcher l'aggravation de la maladie chronique sur 95% du corps. Actuellement, les analyses se limitent à 5% du corps ; seuls 5% sont donc prévenus, guéris ou empêchés de s'aggraver. Tant que ces références ne sont pas réalisées, on ne peut pas affirmer que les excès de métaux ne sont pas les cofacteurs des maladies chroniques au niveau individuel. Valider les amalgames dentaires au mercure avec des analyses qui ne couvrent que 5% du corps est très hautement surprenant et trompeur. À ce jour, 5 microgrammes de mercure par gramme de créatinine dans l’urine déclenche une prise en charge ; mais, faute de référence, 100 microgrammes dans les urines après traitement sont refusés. Autrement dit, aujourd'hui, le traitement est donné uniquement si le sang était intoxiqué mais il est refusé si c'était le cerveau qui était intoxiqué ; le traitement pour un cerveau intoxiqué n'est donc pas administré au motif que le sang n'est pas intoxiqué. Cela est kafkaïen.

Une analyse et un traitement se mesurent à leur rayon d'exploration. L'analyse d'une matrice est circonscrite à la matrice en question. Le sang ne donne une information uniquement sur le sang, l'urine sur l'urine, la salive sur la salive, et ainsi de suite. Seuls les cheveux et les ongles enregistrent certes un historique du sang, mais le sang n'est pas le corps ni le cerveau. Toutes les analyses validées excluent donc tout le corps sauf les matrices validées, sang, urine, cheveux, ongles, salive. Les cerveaux, muscles, rates, poumons, intestins, moelles, articulations, foies, peaux, reins, muqueuses, ..., soit 95% du corps, sont niés par la validation. Les analyses après traitement ne sont certes pas la panacée car elles ne représentent absolument pas la charge corporelle, mais elles sondent beaucoup plus profondément le corps que les matrices validées. Elles décèlent des excès de métaux stockés dans les organes qui passent totalement inaperçus chez chacune et chez toutes les matrices validées. En dépit de leurs défauts, les analyses après-traitement portent donc une plus-value majeure qui ne peut pas encore être activée faute de validation. Les analyses après traitement sondent les profondeurs du corps. Les Français sont donc victimes de la perte de cette plus-value, ils sont victimes de perte de chance de guérir par le défaut de la validation. Ils sont également victimes de ne pas être informés du cofacteur de leur maladie. Pour des raisons uniquement administratives (défaut de validation), la santé des Français n'est pas significativement améliorée. Comme il n'existe pas d'impossibilité technique à valider les analyses après-traitement, cela est étonnant.

Par exemple, les Français qui présentent les symptômes d'une intoxication chronique lourde au mercure et qui disposent d'analyses après traitement du mercure très inquiétantes et réalisées en Allemagne sont interdits de traitement sur le territoire français car les Centres antipoison font régner la terreur en proférant des menaces publiques contre les médecins français qui traitent avec des analyses après traitement au motif que ces analyses ne sont pas validées ; cela est étonnant car, dans ce cas, l'administratif prime sur la santé des populations. Alors que les traitements existent, de lourds intoxiqués avec des symptômes lourds et caractéristiques sont donc laissés pour mort au motif que les Centres antipoison sont tatillons sur les procédures. De plus, ces Français ne seront pas reconnus comme intoxiqués car leurs analyses validées sont négatives. Au motif que, contrairement au sang, le cerveau n'est pas un organe validé en France, ces Français doivent se déplacer en Allemagne ou se diriger vers des filières clandestines ou se traiter eux-mêmes afin de réduire les symptômes cognitifs avec des analyses après traitement. Il existe même un forum internet français où environ 5.000 intoxiqués en errance expriment comment ils traînent leur langueur à propos de leurs excès de métaux. Comme il existe un unique traitement du cerveau et qu'il n'existe pas d'alternative, il faut faire valider ces analyses après traitement afin de permettre aux personnes qui ont une intoxication cérébrale de se faire traiter.

Dans le cadre de la prévention, il est même intéressant d'éliminer ces excès de particules chez les personnes en bonne santé car des maladies irrémédiables à retardement naîtraient 20 ans après l'élimination naturelle de ces particules. Si les Français avec ou sans symptômes caractéristiques veulent se faire enlever les excès de métaux corporels et les excès de particules organiques (pesticides), il faut donc permettre qu'ils le fassent en validant toute la gamme des analyses après traitement. Cela est une hygiène de vie car la salubrité en particules oxydantes du corps aura été obtenue au niveau cérébrale et pour tout le reste du corps. Il est désormais indiscutable que les pollutions participent à l'Alzheimer et autres maladies chroniques (réf : Collège de France). Sans enlever les métaux et les pesticides, nous vivons légitimement dans la crainte accentuée d'un Alzheimer car toutes les précautions n'auront pas été prises. En enlevant les excès de métaux et les excès de pesticides du cerveau, nous sommes assurés de réduire la survenue de maladies neuro-dégénératives et autres cancers au strict minimum. Je rappelle qu'une personne sur cinq est susceptible de déclencher un Alzheimer, le danger est donc très élevé.

En ne traitant pas le cœur de la contestation sur la représentation des analyses par rapport au corps, l'ANSES impose aux Français que les analyses validées persistent à nier 95% du corps au prétexte qu'il n'existe pas de débat scientifique international nourri sur le sujet. Cependant, la contestation des analyses validées par des scientifiques est relatée plusieurs fois dans le traité de toxicologie CHELATION THERAPY (voir plaidoyer) et elle a démarré en 1992. De plus, le Ministre Américain de la Santé a accusé réception de mon plaidoyer depuis son agence nationale de toxicologie. Sa réponse est donc très sérieuse ; Or, ce ministre est particulièrement et lourdement visé par ces accusations car le reste du monde récupère ses références.

De plus, les références post-mortem organe par organe (sauf le foie) ne sont pas encore disponibles car ces références sont négligées par les filières officielles de toxicologie. Tant de lacunes sont étonnantes. Avec toutes ces lacunes au niveau des analyses validées, il est impossible d'acter une absence d'intoxication. Je demande donc que ces références post-mortem organe par organe soient enfin dressées afin de mieux cerner les maladies chroniques. Par exemple, pour Alzheimer et le diabète, ces références seraient éventuellement décisives et elles croiseraient et affineraient localement les résultats des analyses après traitement. Cependant, on ne peut pas mesurer le taux des particules organiques post-mortem car ces dernières seront dissoutes avec l'organe, ces analyses seront donc nécessairement incomplètes. Le doute doit donc bénéficier au patient en appliquant les médecines traditionnelles car seules ces médecines traitent les particules organiques oxydantes. Je rappelle que l'application des médecines traditionnelles est très économique. Comme les analyses des médecines traditionnelles sont parfois difficiles, ce sera au patient d'ajuster les applications selon ses ressentis.

Pour tous ces motifs, je demande donc que l'ANSES procède à la validation des analyses après traitement des particules inorganiques (ex: métaux) par la chélation. Je demande également que les ventouses, l'Ayurveda, et le jeûne fassent l'objet d'une validation car seules ces médecines déstockent les particules organiques dont les particules oxydantes organiques (PCB, bisphénols, mitochondries vieillissantes, ...). Je rappelle que les populations traditionnelles pratiquent ces médecines de façon préventive une fois par an. Je demande également que les références post-mortem de tous les organes soient dressées. La santé est au-dessus de tout, il n'existe donc aucune raison valable pour négliger 95% du corps et retarder l'établissement de ces références.

Le Ministre Américain de la Santé n'a pas été ému par les lourdes accusations que je porte contre la toxicologie conventionnelle internationale car les analyses après traitement augmentent significativement l'exploration corporelle des analyses de 5% à 95%. Il a donc accusé réception du plaidoyer depuis son Agence nationale de toxicologie. Je confirme que je lui ai écrit directement sur son mail et il ne s'est pas plaint de mes multiples messages. Le Ministre américain a accusé réception au 8ème message. Même les DG des trois Agences Américaines m'ont répondu. L’agence américaine de santé CDC a confirmé que je soulevais un problème important. Monsieur Hervé MORIN, Président de la Région Normandie m’a conforté trois fois sur lettre à en-tête. Sur les nombreux hauts responsables à qui j'ai écrit une dizaine de fois, vous êtes le premier et le seul à vous plaindre. De plus, un lien de désabonnement est mis en évidence pour cesser de recevoir mes messages et je n'envoie jamais deux fois le même message. Mes démarches respectent la loi aussi bien au niveau de la forme que du contenu. Même le secrétariat et le chef de cabinet du Président de la République m'ont répondu avec courtoisie à mon cinquième message. La nature de l’alerte rapportée dans le traité de toxicologie CHELATION THERAPY nécessite d'interpeller directement les hauts responsables.

Mon plaidoyer rapporte la parole de scientifiques qui se plaignent des analyses validées et qui promeuvent les analyses après traitement dans la littérature scientifique ; le rapport de cette parole auprès des Institutions et des Agences de santé sous forme d’alerte est donc pertinent car les enjeux sont majeurs. Des millions de français sont concernés par la faiblesse du rayon d'exploration des analyses validées. Cela est d'autant plus valable lorsque l'agence en charge des références demeure silencieuse aux alertes de la littérature scientifique. Une réponse circonstanciée à cette contestation est attendue. Or, votre courrier du 1er octobre 2024 n'est pas circonstancié à mon alerte concernant l'étroitesse et superficialité des compartiments corporels explorés par les analyses validées ; ce courrier n’énumère que des rappels de façon à entretenir le statu-quo tout en annonçant à tort que l'imprégnation soit surveillée afin de se débarrasser du problème en entretenant la confusion entre imprégnation capillaire et entre imprégnation corporelle ; de plus, la plus-value de la largeur et de la profondeur des analyses après traitement est passée à la trappe sans explication. Cela indique qu'il n'existe pas d’explication valable à la confiscation des références après traitement. Je considère donc que l'ANSES nie les alertes des traités de toxicologie car le problème de fond de la représentation corporelle des analyses biologiques est esquivé.

Je rappelle qu'en 2021, l'ANSES a promis aux Français de répondre à tous les commentaires soumis à la consultation publique sur la 5G. Sans motivation, une quinzaine de commentaires soumis par des scientifiques et mon commentaire ont été censurés, ces commentaires n'ont donc pas obtenu de réponse de la part de l'ANSES. Le ton de mon commentaire était d’une grande douceur. Les commentaires censurés sont listés dans le rapport de l'Anses. Ensuite, ces scientifiques censurés se sont réunis et ils ont donc tous crié à la mascarade ensemble. Suite à cette censure, j'ai donc décidé d'émouvoir le monde quant aux insuffisances de la toxicologie conventionnelle rapportées dans les traités de toxicologie. Le Ministre Américain de la Santé et votre hiérarchie, le DGS français, ont répondu favorablement.

Comme les analyses après traitement contredisent la prétendue innocuité des amalgames dentaires car les études après traitement qui accusent les amalgames sont déjà disponibles, je soupçonne donc que les analyses après-traitement sont empêchées afin d'éviter le scandale de la mauvaise évaluation passée des amalgames. Les contradictions révèlent une anarchie masquée par un ordre apparent. Les analyses organes par organes post-mortem n'ont également pas encore été réalisées pour des raisons similaires car les conclusions de ces analyses bousculeront les vérités actuellement établies. En réalisant toutes ces références, le système de santé actuel sera nécessairement accusé d'amateurisme qui aura causé de nombreuses maladies chroniques car les cofacteurs des maladies jailliront des analyses des profondeurs du corps et que ces cofacteurs auraient pu être prévenus et traités bien plus tôt.

Avec un tiers des Français qui sont porteurs de maladies chroniques dont les cofacteurs ne sont pas traités, le calcul Bénéfice/Risque indique que le risque de nier 95% du corps est maximum et que le bénéfice est nul.

Récapitulatif :
Les analyses actuellement validées induisent en erreur et, là où il y a intoxication, elles annoncent une absence d'intoxication,
Dresser les références des analyses après traitement des métaux car elles permettront d'ouvrir le rayon d'exploration des intoxications jusqu'au cerveau,
Dresser les références après traitement des médecines traditionnelles citées, Ayurveda, ventouses, jeûne,
Dresser les références des organes post-mortem et comparer avec les symptômes chroniques.
Le nombre de Français concernés par les excès de particules peut s'élever en millions.

L’ANSES masque les profondeurs du corps (cerveaux, ...) et le possible des analyses devient donc impossible. La profondeur du corps est une face cachée de la toxicologie, elle est également un voile qu'il ne faut pas toucher sous peine de menaces. Comme la surface sanguine satisfait la communauté et que la foule ne sait pas vérifier la profondeur, l'inconnu du corps est donc caché. Qu'une Agence de santé, qui se targue d'être scientifique, donne les directives pour établir une intoxication convient mais uniquement à condition que 100% du corps soit pris en compte et que 100% des analyses pertinentes soient validées. Or, à ce jour, seuls 5% du corps sont pris en compte et de nombreuses analyses pertinentes sont laissées-pour-compte, cela ne convient donc pas. Le monde entier imagine que les Agences de santé explorent 100% du corps ; mais, dans les faits, seuls 5% sont analysés. Le monde se portera beaucoup mieux en augmentant le nombre de diagnostics validés qui sondent les profondeurs du corps et qui extraient les particules oxydantes du cerveau et du reste du corps. Le sang n'est pas suffisant pour examiner le corps car le sang est filtré en permanence ; or, les particules s'accumulent dans les organes. Pour sonder les profondeurs du corps, il n'y a pas d'autre choix que d'appliquer les traitements, d'analyser ce qui est extrait et de traiter tant que les excès apparaissent aux analyses. Pour que cela se fasse, il faut valider les analyses après traitements, y compris celles des médecines traditionnelles.

Je confirme que je remets en cause lourdement le travail de la toxicologie occidentale car j'accuse les rares et insuffisantes analyses validées de mener vers les millions d’Alzheimer. Toutes ces lacunes et tous ces malades chroniques permettent d'affirmer que les cofacteurs des maladies neuro-dégénératives ne sont pas bornés. L'absence de référence après traitement et l'absence de référence des organes post-mortem suggèrent une négligence qui mène à une hécatombe de maladies chroniques car seuls 5% du corps sont validés et donc surveillés. En comblant ces larges lacunes et en rehaussant la validation et la surveillance à 100% du corps, un enseignement substantiel en sera tiré pour améliorer la santé publique. Quand on fait de la médecine publique, on prend tout en compte. Depuis zéro, je demande donc que les rayons d'exploration des analyses validées soient réduits à leurs strict périmètre et je demande que le rayon d'exploration des analyses soit augmenté à la portée de la plus-value des références après traitement des chélations, des médecines traditionnelles, et des analyses post-mortem. Les Français, qui sont porteurs d'excès de particules oxydantes dans les organes, ont le droit de le savoir afin de s'organiser en préventif et en curatif car même un léger excès permanent de particules oxydantes mène à une lente et longue dégénérescence du cerveau. Seules les analyses après traitement permettront de déceler ces légers excès du vivant. Il convient donc que la vraie imprégnation corporelle soit enfin surveillée afin de réduire la vallée de larmes de sang des maladies neuro-dégénératives et autres maladies (cancers, SEP,...). Suite à votre courrier, je me réserve des recours pour forcer l'ANSES à tenir compte de 100% du corps quitte à ce que vous me poursuiviez en Justice. Comme vous n’avez rien de mieux qu’une imprégnation capillaire à proposer et comme les 95% de l'imprégnation corporelle restants sont niés, je demeure assez confiant dans l’issue d’un procès. Devant une telle lacune des analyses validées, je ne m'étonne pas de vos menaces car refuser de prendre en compte 100% du corps est particulièrement étonnant et étrange. Vos menaces s’ajoutent aux lacunes des analyses et elles se substituent à un manque de langage qui dessinerait la silhouette du contour d'exploration de toutes les analyses. Lorsque l'affaire éclatera, je publierai votre courrier pour montrer aux journalistes comment vous étouffez les alertes sur la charge corporelle : selon vous, la publication des faiblesses des analyses devient une diffamation ; cependant, les analyses validées ne mesurent uniquement 5% du corps, les seules victimes dans cette affaire sont donc les Français. Je rappelle que, en plus du courrier de votre DGS, le Ministre Américain de la Santé, que la Directrice générale du National Institute of Health NIH et que le Directeur général du NIEHS, National Institute of Environmental Health Sciences, Agence nationale américaine de toxicologie, se sont concertés pour m'écrire ensemble sur un même courrier à en-tête qu'ils appréciaient mes travaux. La référence mondiale scientifico-médico-politique et votre hiérarchie immédiate ne partagent donc pas votre avis.

Nier 95% du corps est bien un acabit à craquer la voûte des cieux et l’ANSES en hérite de la responsabilité. Comme cela fait trente ans que les analyses après traitement contestent les analyses validées, l’ANSES n’a donc pas traité l’affaire ni avec sérieux ni diligence en dépit de mes alertes depuis 2021.




Je vous prie, Monsieur le Directeur général de l’ANSES, de croire en l'expression de mes salutations distinguées.




Sophocle



PIÈCES ATTACHÉES
- Votre Lettre réponse du 1er octobre 2024
- Réponse du DGS
- Ministre Américain de la Santé, NIH, NIEHS


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Sophocle

Chercheur de vérités
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