Voici ce que j'écrivais, il y a un an à ce sujet (la fin du post est "hors sujet").Oui , j'en ai encore parfois , mais elles sont petites...et le dermatologue les crame à l'azote ou à l'électricité
j'ai perdu tous mes anciens documents, et mon modem 56k est hyper-lent .Or on sait maintenant que le centre des tumeurs cancéreuses est constitué de mercure!!!
Marie-Louise a dit : "voici ce qu’écrit Klinghardt dans sa conférence donnée à l'école polytechnique de Zurich, le 14 mai 1998"
Ce qu'écrit Klinghardt me paraît sujet à caution très souvent. Le mercure est aussi un bon filon pour lui.
marco a dit : Klinghartd a quasiment retourné sa veste. Dans une de ses dernières conférences, il parle quasi exclusivement du DMPS et du DMSA, la chlorella et TM de coriandre sont quasiment anecdotiques dans ces propos. C'est une conférence de 2006, elle est quelque part sur le forum. Sinon il y a beaucoup de choses intéressantes dans ses conférences.
Mais la seule méthode fiable, c'est la biopsie. Nous avons commencé par envoyer des biopsies de patients atteints de cancer à des laboratoires de toxicologie au lieu de les envoyer à des pathologistes. On trouve toujours de très grandes quantités de mercure au coeur des tumeurs malignes. Mais la précaution est de mise car le mercure s'évapore à la température ambiante et lorsque la tumeur est extraite du tissu, le mercure s'en échappe et va dans le récipient qui contient le tissu. Il faut alors analyser tout le récipient et plus seulement le tissu. Il existe malheureusement beaucoup de recherches erronées et publiées à ce sujet : les chercheurs ont essayé de reproduire la mesure et nont pas trouvé de mercure. Ils ont laissé traîner les biopsies pendant des semaines et ils ont cherché du mercure ; le mercure s'échappe à température ambiante ! Il faut le savoir!
y compris sur des zones jamais exposées au soleil comme la poitrine.
Question:
Est ce quelqu'un connait un laboratoire fiable qui accepterait de faite un dosage de mercure sur un prélévement organique?
Est-ce que Micro-Trace ou Brème ne le ferait pas ? Le mieux c'est de leur demander. Il faudrait immédiatement encapsuler le prélèvement par exemple dans un tube étanche afin que le mercure ne s'en échappe pas. Mais comment analyser les vapeurs de mercure qui se seraient échappées dans le tube + celui encore à l'intérieur du prélèvement ?
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