de chatounet » Jeu 19 Nov 2009 19:23
Bonjour à tous. J'ai donné mon témoignage dans « présentations de nouveaux membres », mais j'ai cru bon de partager mon expérience dans celle-ci. Ça fait 18 ans que je souffre de fatigue chronique. Depuis le début de mon SFC, j'ai toujours eu une faiblesse parfois invalidante au niveau des jambes. En juillet 2008, je me suis acheté un ordinateur portable pour mon travail. Je le mettais sur mes jambes pour travailler, parfois jusqu'à 5 à 7 heures par jours 7 jours sur 7. J'ai commencé à me sentir de plus en plus mal, d'un malaise indéfinissable qui s'aggravait dans des lieux assez fréquentés. À 2 reprises, dans ces endroits, c'était comme si l'on me poignardait le mollet droit, ma jambe en fléchissait. J'ignorais tout des CEM à ce moment-là. J'ai donc continué mon travail sur le portable sur mes jambes. Je faiblissais de plus en plus, ma peau était brûlante ainsi que mes yeux. Depuis des années, j'ai des acouphènes, mais à ce moment-là, bon sang, ce n'était plus des acouphènes mais une armée de criquets sifflotant d'une manière intolérable. Je sentais des brûlures sur mon corps et je pouvais tout juste plier mes orteils tellement mes jambes étaient faibles. Ne pouvant plus travailler, je n'ai plus utilisé mon ordinateur et les problèmes mentionnés ci-haut se sont résorbés. Je suis, malgré cela, demeurée électrosensible. Heureusement, j'ai eu connaissance du phénomène CEM/ML et que j'ai entrepris une chélation. Les acouphènes sont redevenus normaux, ma peau ne brûle plus. Je reprends des forces, mais c'est long, très long. Il est évident que mon taux d'arsenic est tel que je comprends pourquoi il me semblait mourir chaque jour. Ma peau était épaisse et de nombreuses verrues brun foncé sont apparues sur le torse. Je suis certaine que plus les métaux lourds vont disparaître, moins les CEM vont être attirés dans mon corps. J'espère que les dispensateurs de pollution CEM vont devenir sensibles à ce que ces ondes causent comme dommage dans la société à son insu. On dit que ces troubles sont imaginaires, dans la tête des hypocondriaques, cependant, je peux témoigner de cette réalité à qui voudra l'entendre.