TOUT SE DÉTOX

Quand la santé revient enfin, il faut le dire et même le crier!

ANALYSES MICROTRACE JUIN 2023

Messagede Sophocle » Sam 17 Juin 2023 11:38

Ce post fait suite au post :Test de provocation récent et Synthèse des analyses AVRIL 22



J'ai récemment fait un test de provocation.
Je l'ai fait moi-même avec la solubilisation (Chélasso et chélalhuile).
Chélasso : 0,5g de dmsa oral, 1g d'edta oral
Chélalhuile : 0,5g d'edta et 1g d'ALA
Pour l'instant, je fais un test tous les ans pour suivre l'évolution du rebond.
Comme symptômes, j'ai de léger maux de tête +/- permanents et des troubles digestifs.



Image
Légende graphique :
    - X : date
    - Y : nombre de fois la norme
    Ce graphique de courbes est établi par mes soins (et non par Microtrace).

EN NOMBRE DE FOIS LA NORME - JUIN 2023
  • MERCURE x28 [img]kator/smiley223.gif[/img]
  • PLOMB x4
  • MANGANESE x1,35
  • ARSENIC x1,2
  • CUIVRE x1
  • CALCIUM x0,5
  • FER 0 (ZERO)



COMPARAISON
Jusqu'en décembre 2018, ces tests sont réalisés avec des iv en milieu médical.
A partir de février 2020, ces tests sont réalisés par moi-même avec des chélassos et des chélalhuile.
Je rappelle que j'ai pratiqué une cure intensive de chélassos (sans faire de test de provocation) en 2019.
On ne peut donc pas vraiment comparer les valeurs avant 2020 aux valeurs après 2020 car les modes d'administration sont différents.
Les chélassos et les chélalhuile sont beaucoup plus puissantes que les iv, mais cela ne se voit pas se voit pas sur ce graphique car les métaux lourds disponibles lors des chélassos et chélalhuiles sont beaucoup moindres.
C'est au niveau des symptômes que j'ai ressenti une très forte amélioration par la solubilisation des chélateurs en comparaison des ivl.
Les chélalhuiles ont également été ajoutées depuis 2021, cela est un facteur supplémentaire qui force l'extraction des métaux lourds.

INTERPRETATION
On peut voir que j'ai un fort rebond de mercure.
Les autres métaux (cuivre, plomb, arsenic) ne sont pas inquiétants.
Ces trois métaux semble en passe d'être maitrisés.
Par contre, le mercure peut venir de la libération à partir des compartiments cachés (os, moelle osseuse, intracellulaire).
Cela peut également venir de l'Ayurvéda qui pénètre profondément dans les compartiments cachés et qui déplace les métaux lourds vers l'extracellulaire.

Surtout, en 2014, mes symptômes (ehs, maux de tête) étaient virulents ; en 2023, mes symptômes sont faibles.
Cela indique certes que le test de provocation n'est absolument pas représentatif de la charge corporelle.
Cependant, les tests validés (sang/urine sans traitement) le sont encore moins car les excès n'apparaissent pas.

ANALYSE
Je vais relancer une campagne de chélation.
Il faut aussi que je surveille les carences (fer, calcium) (je rappelle que l'edta est déjà fourni avec du calcium).
Je ne sais pas arrêter cette campagne, faudra-t-il que refasse des analyses ? Pffffff


COMMENTAIRE
Cela fait neuf ans que j'excrète du mercure avec le traitement. [img]images/icones/icon5.gif[/img]
selon l'asso allemande de toxicologie, c'est 2 ans de traitement minimum,
selon le doc de Paris, c'est 2 ans de traitement en moyenne.
Cela indique que j'étais bien plus intoxiqué que la moyenne.


REBOND

Au chap. 4.14.2 du traité de toxicologie CHELATION THERAPY, il a écrit:Un défi à relever lors du traitement par chélation de l'intoxication chronique au plomb est un rebond du taux de plomb dans le sang qui se produit peu de temps après la fin du cycle de chélation. Ce rebond est observé avec tous les agents chélatants qui ont été utilisés dans l'intoxication au plomb et est probablement dû à la lenteur de la mobilisation du plomb dans les os et, dans de nombreux cas, nécessite des calendriers de chélation répétés.

Ce qui valable dans ce traité pour le plomb, semble valable dans mon cas pour le mercure.
Dernière édition par Sophocle le Lun 19 Juin 2023 20:40, édité 2 fois.
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CAMPAGNE DE CHELATION

Messagede Sophocle » Dim 18 Juin 2023 12:23



suite aux récents résultats (voir précédent post), j'ai commencé la campagne de chélation.
J'ai préparé une bouteille d'hv de sésame (25cl) avec 5g d'ALA et 1g d'edta. (voir chapitre 2.2.2 de mon traité de détox)

Comme c'est du mercure que je porte, il faut donc forcer sur les chélateurs soufrés (dmsa et ala)

Semaine prévisionnelle
D18 juin : Chélasso : 0,2g dmsa & 0,5g edta
l 19 : chélalhuile de 10 à 15 ml
M21 : chélalhuile
j22 : chélalhuile
v23 : chélalhuile. Commentaire : des légers maux de tête se sont estompés et la digestion est un peu meilleure.
s24 : chélalhuile
d25 : chélasso
l26 : chélalhuile. Commentaire : au niveau des symptômes, j'ai l'impression que tous les progrès ont eu lieu. Ces progrès étaient légers. Cependant, je continue le traitement jusqu'à ma bouteille d'huile soit vide. J'en suis aux deux tiers pour l'instant.
m27 : ...
J28
V29
S30
D31: Fin du traitement.

14 Juillet : je me sens un peu mieux au niveau des Céphalées. Le traitement a donc éliminé des métaux lourds et des symptômes.

Dernière édition par Sophocle le Ven 14 Juil 2023 19:15, édité 3 fois.
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PASSER A AUTRE CHOSE

Messagede Sophocle » Dim 18 Juin 2023 19:31

Il y a quelques semaines, un oncle m'a suggéré de passer à autre chose que l'intoxication au mercure et que ma plainte.
Je n'y peux rien si la Justice réalise une inspection.
C'est la Justice qui exprime un doute qu'elle souhaite lever.

La légitimité de la médecine conventionnelle balaye tout contestataire, je suis donc vu par le commun des mortels comme quelqu'un de perdu qui accuse à tort le si bon système central.
Même l'instruction de la justice n'est pas suffisante pour convaincre d'un doute.
Auprès d'un néophyte, toute ma problématique de mercure passe donc pour un trouble psy.
Mon combat agace donc celui qui ne veut pas entendre parler de problèmes.

Je rappelle que je ne prends jamais l'initiative de parler de mon intoxication à autrui.
J'attends qu'on vienne m'en parler pour exprimer mes arguments.

Je souhaite effectivement de passer à autre chose.
Mais, tant que j'ai du mercure dans le corps, j'ai du mal a passer à autre chose.
J'ai encore des symptômes (qq mx de tête et digestion), ça me colle donc au corps.
Je suis certes furieux contre la filière de toxicologie (centres antipoison, sociétés de toxicologie, agences de santé), mais comment la filière de toxicologie a-t-elle pu nier les charges corporelles à ce point ?
De plus, ma plainte m'occupe également, j'ai du donc mal à passer à autre chose tant que la Justice n'a pas finalisé son inspection.

Cependant, mes textes sont bien reçus par les plus hautes institutions Judiciaires, politiques et médicales.
Les élites sont donc bien plus éclairées que le commun des mortels.
De plus, celui qui tente de me faire cesser mon combat connaît mal ma ténacité. [img]images/icones/icon13.gif[/img]
Je suis un Phoenix : je renais de mes cendres.
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Agence de sante : SANTE PUBLIQUE FRANCE

Messagede Sophocle » Mar 20 Juin 2023 11:21

Je viens de recevoir ce mail de SANTE PUBLIQUE FRANCE.
Bien sûr, cette réponse botte en touche.
Mais ce mail ne conteste pas les lourdes accusations que je porte contre la filière de toxicologie.

L'agence se dit même prête à se constituer prisonnière car elle annonce qu'elle est prête à être auditionnée par la Justice.






SANTE PUBLIQUE FRANCE a écrit:UCAC 20 juin 2023 à 10:05

Monsieur,

J’accuse réception de votre courriel daté du 21/05/2023.

Aux termes de ce dernier, je comprends que vous sollicitez une réaction de la part de Santé publique France voire un dépôt de plainte contestant :
- la méthodologie validée en France pour la détection biologique des métaux lourds dont le mercure
- ainsi que les modalités de prise en charge médicale des personnes intoxiquées par ces métaux.

Votre demande excède le champ de compétence de Santé publique France qui n’est pas habilitée à évaluer et à se prononcer sur ces deux points.

Cependant, nous notons que vous avez transmis votre plainte et vos arguments aux autres agences et organismes de santé publique.

S’agissant de vos symptômes et de vos interrogations, nous vous invitons à discuter avec votre médecin référent de la pertinence de consulter le centre de consultation de pathologie professionnelle et environnementale de votre secteur.

Enfin nous vous informons que Santé publique France a bien enregistré votre signalement. Santé publique France a également enregistré vos coordonnées afin de pouvoir assurer le suivi et la bonne gestion de ce signalement. Conformément aux dispositions des articles 38, 39 et 40 de la loi relative à l’informatique, aux fichiers et aux libertés, vous pouvez accéder et rectifier les données vous concernant collectées par Santé publique France à cette occasion, en vous adressant à (adrel censuré par sophocle) .

S’agissant de votre action en justice, nous nous tenons bien entendu à la disposition de la justice pour toute demande relative à l’instruction de votre plainte.

Cordialement,

Coordination alerte et crise
Direction Alerte et Crise (DAC)
SANTE PUBLIQUE FRANCE
REPUBLIQUE FRANCAISE

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PLAINTE

Messagede Sophocle » Lun 3 Juil 2023 16:24



J'ai reçu un courrier de la part de la Juge.
Je n'ai pas le droit de le publier car l'instruction est couverte par le secret.
Les nouvelles ne sont pas bonnes, j'ai donc adressé un nouveau complément au Juge.
Je joues donc mon va-tout car c'est la dernière fois que j'aurais le droit de m'exprimer :


Au Juge, j' a écrit:Je souhaite exprimer des observations sur le rejet de demande d'audition de la filière de toxicologie. Je souhaite également ajouter des soumissions de demande.


CONTESTATION DU REJET DE DEMANDE D'AUDITION
Le 29 juin 2023, vous m'avez adressé un courrier argumenté dans lequel vous rejetez ma demande d'audition de la filière de toxicologie. Je conteste votre décision et je conteste votre argumentation.

Je vous ai adressé le 17 mai 2023 par courrier et par courriel un article scientifique dont le titre est : " Evaluation of the mercury exposure of dental amalgam patients by the Mercury Triple Test " (Hansen G, Victor R, Engeldinger E, Schweitzer C. Occup Environ Med. 2004 Jun; 61(6):535-40). Je joints cet article à ce RAR. Je joints également les commentaires que j'ai rédigé à propos de cet article. C'est cet article qui motive la convocation des responsables de la filière de toxicologie car cet article prouve que les analyses biologiques validées (sans traitement) sur 2000 sujets donnent, à tort, des taux rassurants de mercure en dépit que la très grande majorité de ces sujets exprime des taux inquiétants et très inquiétants de mercure lors des analyses après traitement.

De cet article, j'en tire que les analyses validées (sans traitement) sont donc totalement inopérantes pour détecter les excès de métaux stockés dans le corps en individuel et en population générale. Selon cet article : " la plage de concentration urinaire élevée en Hg obtenue après chélation au DMPS doit évidemment être considérée comme beaucoup plus significative pour évaluer la charge corporelle en Hg au niveau individuel, que la plage de concentration urinaire basale très basse."

Avec les analyses validées, les malades (Intoxiqués, Autistes, Alzheimer, Sclérose en plaque, ...) ont donc toujours abusivement affiché des taux de métaux conformes aux populations générales. Les excès de métaux révélés par les analyses après traitement ont donc toujours échappé aux hypothèses des causes des maladies chroniques.

Par les conclusions de cette étude scientifique, la validation des analyses biologiques sans traitement est scientifiquement cassée car ces analyses n'expriment absolument pas les excès de métaux stockés dans le corps. Toutes les conclusions scientifiques tirées à partir des analyses biologiques validées sont donc également frappées de nullité (innocuité des amalgames,…).

Je joints également à nouveau l'article écrit par la STC et la SFTA, qui m'a été remis par le Centre antipoison pour se justifier de leur refus de prise en charge et dont le titre est : " Diagnostic des intoxications par des métaux ou des métalloïdes et mésusage des chélateurs" et que je vous ai déjà remis le 31 janvier 2022. Cet article affirme que " l'administration d'un chélateur augmente l'excrétion urinaire chez tous" (passage surligné) par rapport aux analyses biologiques validées. Cela confirme que les analyses biologiques validées ne représentent pas une charge corporelle en population générale et qu'elles sont insuffisantes pour élaborer un diagnostic d'intoxication individuel et en population général. La STC et la SFTA confirment donc les conclusions en population générale du précédent article scientifique cité.

Chacun de ces deux articles casse définitivement la validation actuelle des analyses biologiques sans traitement.

Les Institutions médicales actuelles (Direction Générale de la Santé, Agences de santé, Centres antipoison, Sociétés de toxicologie, Centres régionaux des pathologies professionnelles et environnementales, Ministère de la Santé) ne sauraient être maintenues dans cet état de défaillance si profond. Il n'y a aucune autorité médicale qui ne tienne devant tant de patients si mal soignés. C'est sur la science de la maîtrise des taux de métaux que ces autorités se veulent bâties, or c'est sur la défaillance scientifique généralisée que ces autorités se sont construites.

En convoquant les responsables de la filière de toxicologie et en leur montrant ces deux articles, vous obtiendrez éventuellement une validation de cette défaillance de la part des spécialistes officiels de la toxicologie. Cependant, vous obtiendrez éventuellement une confirmation de la part de votre assistante spécialisée que vous jugerez éventuellement comme suffisante.

La sûreté de la santé des Français est donc totalement compromise par la défaillance généralisée des analyses biologiques validées (sans traitement). Je ne suis qu'une victime parmi des millions de Français. Pour obtenir réparation en Justice pour mon cas personnel, il me semble donc que je dois d'abord démontrer que la défaillance de santé publique est généralisée.


FAUTE DE REFERENCES FIABLES
Il est certes préférable d'établir des références corporelles fiables du vivant du patient afin d'envisager le traitement. Mais ces références fiables ne pourront jamais être dressées du vivant d'un patient car, pour établir ces références, il faut dissoudre un corps post-mortem. Cependant, même des références post-mortem ne sont pas faisables car la dissolution d'un corps n'est pas éthique. Il est certes déraisonnable de demander l'impossible à la science, mais il est extrêmement choquant que les métaux lourds révélés en population générale par les analyses après traitement soient niées de façon persistante par la filière conventionnelle de toxicologie française. Le fait de me cantonner aux protocoles validés (sans traitement) par les Centres antipoison et par le Docteur (X), votre assistante spécialisée, est extrêmement choquant car ces protocoles dissimulent tous les excès inquiétants de métaux stockés dans le corps. Je rappelle que les Centres antipoison font la chasses aux médecins qui traitent les excès de métaux corporels, il n'est donc pas possible de se traiter librement sur le territoire français.

Faute de référence fiable, ce qui est prévu par l'association médicale allemande de toxicologie KMT, c'est de traiter tant que les analyses après traitement n'ont pas rejoint les valeurs sans traitement. Ainsi, tous les métaux stockés accessibles au chélateur sont éliminés. De plus, comme la maladie d'Alzheimer est installée avant que les symptômes n'apparaissent, il est donc prudent d'enlever les excès de métaux y compris quand il n'y a pas de symptômes.


VERITE
La vérité est que les protocoles validés français sont profondément défaillants.

Au regard des excès de métaux qui sont décelées aux analyses après traitement, les analyses validées ne sauraient être prolongées à elles-seules pour établir un diagnostic d'intoxication. Les analyses après traitement sont certes imparfaites, mais elles mettent en évidence les excès de métaux stockés dans le corps. Leur concours est donc précieux.

La vérité est également que ni les analyses validées (sans traitement), ni les analyses après traitement ne représentent la charge corporelle ni de près, ni de loin. Ni avec les unes, ni avec les autres, il est possible de dresser un diagnostic totalement fiable du vivant du patient. Dans les deux cas, des personnes avec un fort taux peuvent être en très bonne santé, et des personnes avec un taux modéré peuvent être atteintes par de lourds symptômes.

Cela indique que le principe de validation et de références est totalement abscond pour faire de la très bonne médecine. Toute la toxicologie occidentale (diagnostic, traitement, évaluation des médicaments, évaluation des patients, …) est donc frappée de nullité. Faute de mieux dans le cas d'une intoxication active, les symptômes doivent aider à la décision en complément du double diagnostic avec et sans traitement.

L'exclusivité des analyses validées a donc façonné une médecine qui nie totalement les particules oxydantes stockées dans le corps. Cela a donc contribué à une large dégénérescence (Alzheimer, cancers, intoxications chroniques, …) non maîtrisée. Cette dégénérescence pourrait être significativement mieux maîtrisée par le complément des analyses après traitement.


REACTIVATION DES AUDITIONS – DEMANDE D'ACTES
En leur présentant ces deux articles dans lesquels il est rapporté une augmentation significative des taux de métaux en population générale lors du traitement par rapport aux analyses biologiques validées, les responsables de la filière de toxicologie vous confirmeront que les analyses biologiques validées sont scientifiquement cassées. A ce moment, il me semble que ma plainte retrouve le contexte dans lequel mon cas personnel devrait être examiné par la Justice.

Je soumets donc la demande que vous réactiviez ma demande d'audition des responsables de la filière de toxicologie au regard du contenu de ces deux articles scientifiques.


REACTIVATION DE MES ANALYSES
Vous contestez mes analyses biologiques car le laboratoire allemand duquel elles émanent n'est pas listé dans la fiche BIOTOX de l'INRS. Si les Centres antipoison n'avaient pas fait la chasse aux médecins français qui traitent les excès de métaux corporels, mes analyses auraient parvenues de laboratoires français listés dans la fiche BIOTOX de l'INRS. Je soumets donc la demande de la réactivation de la validité de mes analyses biologiques car les Centres antipoison ont fait avorter le déploiement de la filière de déstockage des excès de métaux corporel sur le territoire français.


SOUMISSIONS DE DEMANDES COMPLEMENTAIRES
Je rappelle au préalable que l'Association médicale de toxicologie allemande KMT existe depuis 1983. Les allemands ont donc 40 ans d'avance sur les français. J'ajoute que les molécules chélatrices existent depuis plus de 100 ans. Cela fait donc 100 ans en théorie que les maladies liées aux excès de métaux auraient pu être prévenues en population générale.

Les Centres antipoison sont certes dédiés aux intoxications aigües et urgentes. Je confirme qu'ils n'ont pas à traiter les intoxications chroniques. Mais ils ne doivent pas imposer leurs protocoles sur le territoire. Les Français et les médecins doivent être libres de traiter les excès de métaux qui apparaissent aux analyses biologiques après traitement. Libre ensuite aux systèmes de santé de rembourser.

Je soumets donc la demande que vous ôtiez la validation des analyses biologiques sans traitement de façon à ce que les analyses après traitement soient au même niveau scientifique que les analyses sans traitement. Je soumets également la demande que vous ôtiez la nécessité de symptômes pour traiter ; le traitement doit être libre pour permettre une prévention des maladies dégénératives à retardement.

La liberté de pratiquer des analyses biologiques après traitement permettra de trancher définitivement sur la polémique mondiale de la toxicité des amalgames dentaires, des vaccins au mercure ou à l'aluminium et autres dispositif médicaux toxiques. Je rappelle que ce sujet est déjà tranché dans des pays occidentaux (Norvège, Suède, Danemark) qui ont interdit les amalgames dentaires.

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Vidéo de présentation

Messagede Sophocle » Sam 29 Juil 2023 14:35

J'ai fait une vidéo de présentation : https://www.youtube.com/watch?v=gn_hT8rwCV8
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Messagede Sophocle » Jeu 3 Aoû 2023 18:19

La Justice m'a écrit que la remise en cause de la validité de la prise en charge médicale actuelle des patients atteints d'une intoxication aux métaux lourds ne relève pas de la compétence d'un magistrat instructeur.

La justice ne peut juger que les écarts par rapport aux bonnes pratiques.
Les bonnes pratiques en elles-mêmes ne peuvent pas être jugées.

Ce scandale sanitaire ne relève donc pas de la justice. :ouin: :ouin:


Il y a plusieurs volets à ma plainte. Ce volet est donc pas suivi de justice.
Deux autres volets (errance médicale, bonne pratiques par rapport au PNSE3) sont encore en cours d'instruction.
Ma plainte n'est pas encore totalement totalement abandonnée par la Justice.
Je croise donc les doigts pour que ces deux volets ouvrent le droit à un procès.
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Messagede Sophocle » Jeu 31 Aoû 2023 17:36



Le Procureur a requis une fin de non lieu pour l'ensemble de ma plainte mais c'est le Juge qui aura le dernier mot.
( rappel : Comme le Procureur est au service de l'Etat et que je vise des services de l'Etat, il est normal que le Procureur veuille classer ma plainte sans suite)


J'ai donc adressé un nouveau complément au Juge.


Au Juge, j a écrit:Madame la Vice-Présidente de l'instruction,


J'ai bien reçu le réquisitoire définitif aux fins de non lieu du Procureur de la République.
Dans votre AVIS DE FIN d'INFORMATION du 29 juin 2023, vous ne m'avez laissé uniquement quinze jours pour m'exprimer. J'ai certes exprimé des commentaires dans les délais mais le délai qui m'a été octroyé était trop court pour établir une réponse complète.
Même s'il était trop tard pour soumettre une correspondance, je préfère exprimer quand-même un complément car j'apporte des éléments nouveaux.

AGENCES DE SANTE
J'ai dressé une synthèse des textes que je vous ai soumis après la convocation du 25 avril 2023. J'ai adressé cette synthèse aux directions générales des agences de santé. Cette synthèse mettait en avant l'article scientifique qui annonce que 2000 sujets portants des amalgames dentaires présentaient des taux inquiétants de mercure après traitement et qui présentaient des taux non inquiétants aux analyses validées (sans traitement).
SANTE PUBLIQUE FRANCE a accusé réception. De plus, SANTE PUBLIQUE FRANCE m'a annoncé : "S’agissant de votre action en justice, nous nous tenons bien entendu à la disposition de la justice pour toute demande relative à l’instruction de votre plainte". Voir pièce attachée (annexe 1).
Cela indique que SANTE PUBLIQUE FRANCE considère que mes arguments sont suffisamment solides pour que la Justice la convoque. Votre refus de convoquer la filière de toxicologie est donc incompréhensible car les personnes visées par ma plainte plaident pour être convoquées. SANTE PUBLIQUE FRANCE semble vouloir s'exprimer sur le sujet.
Selon l'APHP, vingt millions de Français sont porteurs de maladies chroniques dont la médecine conventionnelle ne sait pas guérir par une rémission. Neuf ans après mon premier traitement, j'excrète encore des métaux lourds suite au traitement. Or, mes analyses validées (sans traitement) sont négatives. Je suis donc un faux négatif. Mon cas illustre qu'une intoxication chronique très sévère passe totalement inaperçue aux analyses validées. Possiblement, des millions de Français sont intoxiqués modérément. Ces Français sont également des faux négatifs et ils peuvent contracter des maladies chroniques (Alzheimer, autisme, …) du fait de leur intoxication. Cependant, il est extrêmement choquant qu'une seule personne porteuse de symptômes caractéristiques lourds et qui présente des taux inquiétants après traitement ne soit pas traité au motif que les analyses validées (sans traitement) soient négatives. Je rappelle qu'une industrie de la chélation existe en Allemagne. Cela indique que des milliers d'intoxiqués se font donc traiter tous les ans en Allemagne. Des milliers de Français ont donc peut-être besoin d'être traités. De nombreux malades français dépendent donc de votre décision de ne pas convoquer la filière de toxicologie.
La DGS a également accusé réception de la synthèse que je lui ai adressée. Je rappelle que la DGS m'avait déjà informé qu'elle souhaitait suivre vos conclusions. Cela indique que la DGS n'est pas capable d'aborder ce problème de santé publique par elle-même.
Suite au contenu de mes textes, la DGS et SANTE PUBLIQUE FRANCE s'attendent donc à ce que vous souleviez ce problème de santé publique.
L'OMS a également accusé réception.
Je rappelle que la Directrice générale de l'ANSM a accusé réception de ma plainte du 31 janvier 2022. La Directrice générale de l'ANSM a promis d'ouvrir une inspection.
Je rappelle également que l'ANSES a accusé réception de mon texte sur l'absence de référence corporelle
Je rappelle également que la direction générale de l'agence américaine de santé "Centers for Disease Control and Prevention" (CDC, 11.000 salariés) a reconnu que le problème de santé publique que je soulevais étaient un problème important.
Je rappelle que le Directeur général de l'agence américaine de santé National Institute of Health (NIH, 20.000 salariés) a répondu sur lettre à en-tête. Après avoir énuméré l'ensemble de son action, ce Directeur m'a déclaré qu'il appréciait le texte de mon alerte.
Je rappelle que ces Agences américaines de santé dressent les références que le reste du monde récupère. Ces agences sont donc les leaders occidentaux. Leurs réponses soulignent donc l'importance du problème de santé publique que je soulève.
Les accusés de réception et les réponses sont joints (Annexe 1).
En convoquant la filière de toxicologie, vous pourriez obtenir une confirmation de ce problème de santé publique par les spécialistes de la question.
L'absence de référence corporelle est un problème de santé publique qui lèse tous les malades du monde occidental. Aucune analyse biologique validée ne peut donc être comparée à la charge corporelle. Aucune analyse biologique validée ne peut donc informer si les taux corporels sont dans la fourchette de la population générale.
Les réponses de ces agences de santé reconnaissent du bout des lèvres le problème de santé publique que je soulève. Comme les prises de sang ne sont pas fiables, ce problème de santé publique concerne l'ensemble de la médecine occidentale conventionnelle. Aucune agence de santé française ou américaine n'est suffisamment importante pour aborder ce problème de santé publique. Seule la Justice pourra forcer les Agences de santé à tenir compte de la défaillance des analyses biologiques validées.
Comme tout le système médical occidental repose sur des prises de sang défaillantes qui se veulent suffisantes, c'est toute la médecine occidentale qui est à revoir. Ma version des faits explique le succès des médecines non-conventionnelles. Désespérés par le manque de solutions des médecins conventionnels, des malades trouvent donc des solutions là où des thérapeutes non-conventionnels leur en proposent. Parmi ces thérapeutes, des médecins proposent le traitement des métaux lourds. Il est temps que la médecine conventionnelle tienne compte de l'entièreté du corps et qu'elle ne se cantonne pas aux analyses actuellement validées. Le champ d'exploration des analyses validées est extrêmement étriqué. Concernant les particules oxydantes, ce champ se cantonne à 10% du corps (sang), les 90% restants sont niés par la médecine conventionnelle. Les analyses après traitement sont donc pertinentes pour évaluer ces 90% restants.

CORROBORER MES DECLARATIONS PAR LA LITTERATURE SCIENTIFIQUE
Dans votre courrier d'ordonnance de rejet d'acte du 29 juin 2023, vous y écrivez "qu'aucun éléments n'a permis de corroborer (m)es déclarations".
Je joints donc un article scientifique ("Mercury Toxicity and Treatment: A Review of the Literature", annexe 2) sous la forme d'une revue de littérature scientifique qui se présente ainsi dans son introduction : "La signification clinique de l'exposition aux différentes formes de mercure est très controversée et les techniques d'évaluation clinique de la charge en mercure ne font pas l'unanimité. Le présent document a pour but d'examiner les données publiées sur ces questions et d'évaluer l'expérience clinique publiée concernant l'utilisation du DMPS pour éliminer le mercure du corps humain" (passage surligné). Il y est bien dit que l'évaluation de la charge en mercure ne fait pas l'unanimité. Il existe donc des controverses scientifiques sur les analyses validées entre scientifiques. La science ne saurait donc être invoquée pour exprimer des vérités. Les analyses validées ne sauraient donc être considérées comme fiables.
Selon cet article : " Il est difficile de diagnostiquer une surcharge en mercure. Les modalités couramment utilisées (concentrations dans le sang, l'urine et/ou les cheveux) ne sont pas en corrélation avec la charge corporelle totale et n'offrent que peu d'informations utiles au diagnostic. La provocation par le DMPS semble offrir une évaluation plus précise de la charge corporelle." (Passage surligné).
Je ne vous avais pas encore soumis cet article. Cet article est donc un élément nouveau. Excusez-moi de la communication tardive de cet article mais je ne peux pas tout exprimer dès la première plainte.
Cet article est disponible gratuitement à la page suivante : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3253456/
Cet article déclare donc que les analyses validées (sang, urine, cheveux, sans traitement) ne représentent pas la charge corporelle. Il déclare également que les analyses validées n'offrent pas d'information pertinente. Autrement dit, les analyses validées donnent l'illusion d'une absence de mercure. Il est donc problématique de se fier aux analyses validées. Cet article ajoute que les analyses validées ne sont pas utiles au diagnostic. Il ajoute que les analyses biologiques après traitement semblent plus utiles au diagnostic.
Cette revue sous-tend que les analyses biologiques validées concernant le mercure sont donc défaillantes et que les analyses après traitement sont plus pertinentes.
Mes déclarations sont donc corroborées par la littérature scientifique.

DEFAILLANCE DES ANALYSES BIOLOGIQUES VALIDEES
Lors de la convocation, vous m'avez demandé les raisons pour lesquelles je considérais que les analyses validées sont défaillantes.
La réponse est simple :
mes analyses après traitement sont très inquiétantes et mes analyses validées (sang, urine, sans traitement) sont négatives.
Je crois donc ce que je vois.
Je vois que du mercure, de l'arsenic, du plomb, et du cuivre sont excrétés en grande quantité dans mes analyses après traitement et je vois que mes analyses validées sont dépourvues de métaux lourds ni d'excès de métaux-oligoéléments.
En mathématiques, il suffit d'une seule contre-indication pour affirmer qu'une hypothèse est fausse. Mon unique cas est donc suffisant pour affirmer que les analyses validées sont défaillantes.
Cependant,
l'existence des 100 médecins Allemands qui traitent les métaux lourds avec des analyses après chélation confirme la défaillance des analyses validées auprès de toute une médecine nationale. Je rappelle que chaque traitement coute de 120 à 150 euros non remboursés et qu'au moins 20 traitements sont nécessaires. Cela indique le niveau élevé de la motivation des patients à investir dans leur santé.
De plus,
les Sociétés françaises de toxicologie (STC et SFTA, voir annexe 3) écrivent que "La majorité des éléments métalliques sont présents et mesurables chez la plupart des individus et l’administration d’un chélateur en augmente l’excrétion urinaire chez tous : la comparaison des concentrations mesurées dans ces circonstances aux valeurs de référence en population générale est évidemment erronée". La STC et la SFTA dévoilent que ce qui est vrai pour moi est vrai pour tous.
Selon la STC et la SFTA, les taux sans traitement sous-évaluent la charge corporelle chez tous car l'administration d'un chélateur augmente l'excrétion des métaux chez tous.
Le fait d'argumenter par la STC et la SFTA que les métaux lourds trouvés lors des analyses après traitement ne respectent pas la méthodologie officielle est un déni envers le corps de millions de français. L'entièreté du corps appartient au rayon d'action de la médecine. Réduire les analyses au sang et à l'urine qui ne représentent que 10% du corps est un mépris définitif envers la médecine en général. Je rappelle que les Centre antipoison pourchassent les médecins hospitaliers français qui traitent les métaux lourds. Les Centres antipoison veulent donc que toutes les analyses sur le territoire se cantonnent à 10% du corps. Le mépris de la filière de toxicologie envers la médecine est donc pro-actif.
De plus,
l'article scientifique qui révèle que 2000 personnes portant des amalgames dentaires présentent des taux inquiétant de mercure après chélation révèle que ces sujets demeurent dans la fourchette de la population générale lors des analyses validées. Voir https://oem.bmj.com/content/61/6/535, je vous ai déjà soumis cet article ("Evaluation of the mercury exposure of dental amalgam patients by the Mercury Triple Test " - voir annexe 4).
Cet article dévoile donc que la défaillance des analyses validées est généralisée sur 2000 sujets exposés au mercure. Ce problème de santé publique touche donc toute la population générale. Je rappelle que les conclusions toxicologiques (maladies, médicaments) sont dressées à partir des analyses validées. Les particules oxydantes (mercure, métaux lourds, pesticides) ont donc toujours échappé aux hypothèses.
De plus,
la revue de littérature que j'ai cité au chapitre précédent exprime explicitement que les analyses validées sont inopérantes pour déceler le mercure corporel.
De plus,
les Agences de santé auxquelles j'ai écrit ont toutes accusé réception de mes textes. Le problème de santé publique que je soulève est donc largement accueilli par les Agences de santé. Le défaut de références corporelles implique que le corps n'est pas pris en compte en population générale. Faute de références corporelles, les agences de santé se sont rabattues sur les références sanguines. Mais, malheureusement, ces références sous-évaluent systématiquement la charge corporelle en population générale.
Il existe donc un important faisceau d'indices concordants. Il ne manque plus que la convocation de la filière de toxicologie pour que vous obteniez une confirmation de mes déclarations par les spécialistes de la question.

CONCLUSION
Les analyses biologiques validées (sans traitement) se veulent suffisantes pour exprimer une vérité d'intoxication. Or, les excès de métaux trouvés lors des analyses après traitement prouvent que les analyses biologiques validées (sans traitement) sont insuffisantes pour brosser un profil toxicologique en population générale.
Les références établies en population générale ne sont donc pas représentatives de la charge corporelle. Elles ne représentent uniquement que la charge sanguine. Or, le sang est filtré en permanence par le foie, les reins, les intestins, les poumons, et la peau. Le sang est donc nettoyé en permanence de façon à ce que le mercure soit rapidement éliminé par les émonctoires (organes qui filtrent le sang). Contrairement aux autres organes, les particules oxydantes ne s'accumulent pas dans le sang. Le sang et l'urine (sans traitement) sont donc extrêmement sous-représentatifs de la charge corporelle et de la charge des organes tels que le cerveau.
Cependant, les chélateurs circulent dans la majorité du corps. Les analyses après traitement indiquent donc si des métaux lourds sont présents là où des symptômes se manifestent.
De nombreux français sont donc les victimes des analyses biologiques validées. Leur sort pourrait être significativement amélioré avec des analyses après traitement. Cependant, je ne dis pas que les analyses après traitement représentent la charge corporelle. Référence scientifique à l'appui, je dis simplement que les analyses après traitement, faute de mieux, sont une aide décisive au diagnostic.
La filière de toxicologie a donc mis en danger l'ensemble des Français en écartant les révélations des analyses après traitement.

ANNEXES
    1. Réponses des agences de santé
      o SANTE PUBLIQUE FRANCE
      o DGS
      o ANSES
      o ANSM
      o CDC
      o NIH
      o OMS
    2. Article scientifique " Mercury Toxicity and Treatment: A Review of the Literature"
    3. Article " Diagnostic des intoxications par des métaux ou des métalloïdes et mésusage des chélateurs "
    4. Article scientifique : " Evaluation of the mercury exposure of dental amalgam patients by the Mercury Triple Test "
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PLAINTE APPEL

Messagede Sophocle » Mer 6 Sep 2023 11:56

Il est possible que mon affaire soit classée sans suite par la Juge.
Cependant, j'aurai peut-être le droit de faire appel.
Je vais donc préparer un texte pour faire appel.
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FICHE BIOTOX DE L'INRS

Messagede Sophocle » Ven 8 Sep 2023 11:50

Mes analyses biologiques ont été retoquée par la Justice française car le laboratoire (Microtrace) duquel elles émanent n'est pas listé dans la fiche BIOTOX de l'INRS


LISTE BIOTOX DE L'INRS :
https://www.inrs.fr/publications/bdd/biotox.html
https://www.inrs.fr/dms/biotox/Document ... 202023.pdf

Pour porter plainte une prochaine fois, il faut donc présenter des analyses biologiques qui émanent d'un laboratoire listé dans la fiche BIOTOX de l'INRS.

Cependant, Microtrace offre des prestations (analyses multi-métaux) que n'offrent pas les laboratoires français.
Il est donc judicieux de faire une première analyses chez microtrace pour détecter les métaux en excès.
Ensuite, les analyses suivantes peuvent donc être suivies métal par métal en France dans un laboratoire de la fiche BIOTOX de l' INRS.


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réponse de l' ANSM (Agence française du médicament)

Messagede Sophocle » Mar 26 Sep 2023 13:11

Au juge j' a écrit:

La Directrice de l'ANSM a répondu officiellement à la transmission de ma plainte.
Sa réponse se trouve en pièce attachée à ce message.
En historique de ce message, je remets également les échanges, de février 2022, par courriel dans lesquels la Directrice de l'ANSM promettait de réaliser une inspection sur les faits que je dénonce.
Cependant, la réponse officielle ne traite pas les faits que je dénonce ; cette réponse est une notice sur la chélation.
Cette réponse est donc une fuite qui illustre l'incapacité des Agences de santé à traiter les problèmes de santé publique que je soulève.
La justice est donc le dernier recours pour que les analyses médicales validées soient remises en cause.

Historique des messages :
En février 2022, la Directrice de l'ANSM m' a écrit:J'accuse réception de votre mail en date du 19 février dernier adressé à plusieurs personnes de l'Agence ainsi qu'à notre déontologue.
Les informations dont vous faites état vont être instruites par mes services et nous ne manquerons pas de vous tenir informé de l'état d'avancement de notre instruction et, en tout état de cause, nous reviendrons vers vous à l'issue de celle-ci.


Message officiel:
La direction de l'ANSM (Agence du médicament) m' a écrit:Objet : Traitement des intoxications aux métaux lourds

Vous avez sollicité l’ANSM au sujet des traitements susceptibles de vous être administrés suite à une intoxication aux métaux lourds. A ce titre, je suis en mesure de vous communiquer les éléments ci-après.

Les indicateurs biologiques d’exposition, utilisés pour le diagnostic de l’intoxication par un élément métallique, sont des paramètres scientifiquement validés. Ils servent à définir des valeurs seuil de sécurité pour le suivi sanitaire de la population générale et des travailleurs. Ces valeurs, qui bénéficient d’un consensus au niveau international, sont validées par des organisations internationales telles que l'OMS et les autorités réglementaires comme US EPA, ATSDR, et EFSA1. Elles sont régulièrement révisées à la lumière de nouvelles études publiées dans la littérature scientifique. Ces indicateurs et leurs valeurs associées servent de référence aux médecins traitant les intoxications liées aux métaux lourds.

Les chélateurs sont des médicaments spécifiquement utilisés pour le traitement des intoxications par les métaux lourds. Toutefois, comme ils ne sont pas spécifiques à un seul métal et qu'ils peuvent chélater d'autres molécules présentes dans l'organisme, leurs conditions d'utilisation sont strictement encadrées. Ils disposent d’une autorisation de mise sur le marché (AMM).

L’administration d’un chélateur chez une personne qui ne présente pas de signe d’intoxication est susceptible d’engendrer une déplétion des métaux/métalloïdes indispensables à la physiologie tels que le zinc, le chrome, le cobalt, le molybdène ou encore le potassium ou le calcium, qui se traduit par de nombreux effets indésirables, comme notamment : les maux de tête, une réduction du taux de calcium, qui peut être fatale, une baisse de la pression sanguine, une lésion rénale permanente.

Aussi, les seules indications validées par les autorités de santé dans ces AMM pour l’administration des chélateurs concernent les intoxications par certains métaux ou métalloïdes, en particulier les intoxications par le plomb, le mercure et l’arsenic, et ce sur la base d’un diagnostic précis. Vous trouverez en annexe de ce courrier la liste de ces traitements.

Seul un médecin est habilité à prescrire ces médicaments à base d’un chélateur pour traiter une intoxication, et ce après avoir évalué le rapport bénéfice/risque pour son patient. La prescription doit, de préférence, être conforme aux conditions d’utilisation spécifiées dans l'AMM.

Vous souhaitez que des chélateurs vous soient administrés en raison de votre intoxication aux métaux lourds. Comme indiqué ci-dessus, l’ANSM ne peut se substituer à votre médecin. Lui seul est habilité à évaluer les traitements adaptés au regard de votre pathologie.

Mes services restent à votre disposition pour toute information complémentaire concernant votre demande.
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NOUVELLE DIFFUSION

Messagede Sophocle » Ven 29 Sep 2023 17:44


J'adresse le message suivant à 3.000 responsables par courriel :
Les Agences de santé établissent exclusivement des études de métaux lourds en population générale avec des analyses biologiques validées (sang, urine, cheveux, sans traitement). Cette validation est un large consensus entre agences internationales de santé. Ces études se veulent strictement limitées à l'exposition aux métaux et ces études n'indiquent jamais qu'elles traitent la charge corporelle. Cependant, ces études sont considérées comme absolues en matière de vérité biologique.

Or,
une étude scientifique sur 2000 personnes portant des amalgames dentaires indique que les analyses d'urine en mercure sont certes en-deçà de la population générale mais cette étude rapporte également que les analyses d'urine après traitement du mercure sont 12 fois supérieures en moyenne par rapport à la référence sans traitement. La référence sans traitement est à 4 microgrammes de mercure par gramme de créatinine, les analyses sans traitement sont à 1,7 microgrammes de mercure par gramme de créatinine en moyenne, les analyses après traitement sont à 47 microgrammes de mercure par gramme de créatinine en moyenne. Mais il existe de fortes disparités entre individus. Cette étude est disponible gratuitement à la page suivante : https://oem.bmj.com/content/61/6/535. Les analyses biologiques validées ne représentent donc absolument pas la charge corporelle car des métaux apparaissent en excès aux analyses biologiques après traitement pour une population générale exposée au mercure. Les analyses validées (prise de sang, échantillon d'urine sans traitement) sous évaluent donc systématiquement la charge corporelle car le sang est filtré en permanence par les reins, le foie, les intestins, les poumons et la peau. Les métaux lourds n'ont donc pas le temps de s'accumuler dans le sang ni dans l'urine. Les valeurs relevées sont donc très faibles.

Contrairement au sang, les métaux lourds s'accumulent dans le cerveau et dans d'autres organes (os, foie, muscles, articulations, ...). Or, les maladies chroniques (Alzheimer, cancers, Parkinson, sclérose en plaque, autisme, ...) et les dispositifs médicaux toxiques (amalgames dentaires, vaccin à l'aluminium, ...) sont uniquement examinés au regard des analyses biologiques validées (sang, urine, sans traitement) par les Agences de santé. Les enquêtes publiques des Agences de santé ne sont donc pas pertinentes pour déceler les personnes intoxiquées de façon chronique au niveau des organes. Les intoxications corporelles ne sont donc jamais décelées ni chez les patients porteurs de maladies chroniques ni chez les personnes faisant l'objet d'un dispositif médical toxique. Ces patients sont donc ni diagnostiqués ni traités. Leur intoxication sévit donc durablement. Leurs symptômes s'aggravent donc avec le temps.

Or, le traitement des métaux explore le corps au-delà du sang. Il décèle donc des métaux stockés dans le corps qui n'apparaissent pas aux analyses biologiques validées. Cependant, les analyses après traitement décèlent certes des excès de stocks de métaux mais elles ne donnent pas une représentation fiable de la charge corporelle. Des personnes avec un fort taux après traitement peuvent être sans symptômes et des patients avec des symptômes sévères peuvent présenter des taux après traitement modérés. Pour obtenir des charges corporelles fiables, il faut dissoudre un corps post-mortem. Comme cela n'est pas éthiquement faisable, les charges corporelles fiables ne seront jamais établies. Les liens entre maladies chroniques et métaux corporels ne seront donc jamais dressés. Cependant, les analyses validées sont donc totalement vaines pour exprimer une vérité biologique. Les analyses après traitement sont certes également imparfaites mais elles donnent plus d'informations que les analyses sans traitement. Les analyses biologiques après traitement indiquent s'il existe des excès de métaux stockés dans des organes. Il est donc possible de traiter un patient tant que les excès de métaux apparaissent aux analyses biologiques après traitement. Cependant, pour traiter, il convient également de vérifier que les analyses sans traitement soient sans excès de métaux afin d'écarter une exposition en cours (alimentation en poisson contaminé, ouvriers dans le recyclage du plomb, ...). Une exposition en cours se traite par l'arrêt de l'exposition et non par la prise de traitements médicamenteux.

De plus,
Je cite un article "Mercury Toxicity and Treatment: A Review of the Literature" sous la forme d'une revue de littérature scientifique qui se présente ainsi dans son introduction : "(...) les techniques d'évaluation clinique de la charge en mercure ne font pas l'unanimité. Le présent document a pour but d'examiner les données publiées sur ces questions et d'évaluer l'expérience clinique publiée concernant l'utilisation du DMPS pour éliminer le mercure du corps humain". Il existe donc des controverses sur les analyses validées entre scientifiques. Selon cet article : "Il est difficile de diagnostiquer une surcharge en mercure. Les modalités couramment utilisées (concentrations dans le sang, l'urine et/ou les cheveux) ne sont pas en corrélation avec la charge corporelle totale et n'offrent que peu d'informations utiles au diagnostic. La provocation par le DMPS semble offrir une évaluation plus précise de la charge corporelle". Cet article est disponible gratuitement à la page suivante : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3253456/. Selon cet article, les analyses validées (sang, urine, cheveux sans traitement) ne donnent pas d'information utile au diagnostic d'intoxication au mercure et les analyses après traitement donnent une meilleure indication. Cette article sous-tend donc que les nombreuses enquêtes publiques par les analyses biologiques validées sont totalement défaillantes.

De plus, selon les Sociétés françaises de toxicologie : " La majorité des éléments métalliques sont présents et mesurables chez la plupart des individus et l’administration d’un chélateur en augmente l’excrétion urinaire chez tous" (voir annexe 1.pdf : Diagnostic des intoxications par des métaux ou des métalloïdes et mésusage des chélateurs). Cela indique que les excès de métaux concernent toutes les personnes symptomatiques ou non. Cela indique que les analyses biologiques validées ne sont pas représentatives de la charge corporelle. Cependant cet article ajoute que les références sans traitement ne peuvent pas être récupérées pour les analyses après traitement car les conditions d'analyses sont différentes. Cela permet aux Centres antipoison de rejeter une analyse après traitement. Or, il est extrêmement étonnant que les références après traitement n'ont pas encore été établies par la filière de toxicologie. Les références sont les valeurs en population générale en bonne santé. Grâce à ces valeurs en population générale, une analyse biologique individuelle peut être comparée à une population en bonne santé. L'établissement de ces valeurs de référence en population générale permet donc de valider une analyse biologique.

De plus, selon le traité de toxicologie CHELATION THERAPY (voir Pièce attachée) :
"Cependant, il est particulièrement intéressant de noter que des niveaux élevés de cuivre et de fer sont présents dans les plaques bêta-amyloïdes insolubles dans les cerveaux post-mortem de patients souffrant de la maladie d'Alzheimer." Or, les profils toxicologiques validés des Alzheimer ne présentent pas d'excès de fer et de cuivre. Cela illustre l'illusion générale d'une absence d'intoxication par les analyses validées.

De plus, selon le traité de toxicologie CHELATION THERAPY (voir Pièce attachée) :
"Gonzales-Ramirez et al. (1995) ont utilisé le test de mobilisation du DMPS pour étudier l'exposition au mercure chez les dentistes et les techniciens dentaires. L'excrétion urinaire de mercure après provocation par le DMPS était largement supérieure à celle des témoins non exposés au mercure, et plus élevée chez les dentistes. Les excrétions de mercure post-DMPS et pré-DMPS étaient fortement corrélées. La quantité de mercure mobilisée par le DMPS et les résultats des tests neurocomportementaux ont montré une relation inverse significative. Cela indique une valeur potentielle du test dans le diagnostic d'une exposition indésirable au mercure." Ce traité de toxicologie rapporte donc que les analyses après traitement sont un diagnostic potentiel d'une intoxication au mercure.

De plus, selon le traité de toxicologie CHELATION THERAPY (voir Pièce attachée) :
"Aposhian et al. (1992) ont utilisé le test de mobilisation du DMPS pour étudier l'exposition au mercure et la charge systémique en mercure dans des populations non exposées au mercure dans le cadre professionnel. Dans un groupe de volontaires, une corrélation statistiquement significative a été observée entre le "score d'amalgame" (nombre et taille des amalgames dentaires) et l'excrétion urinaire de mercure provoquée par le DMPS." Cependant, les autorités sanitaires françaises ont déclaré que les amalgames ne présentent pas de risque car leurs analyses biologiques sont sans traitement. Or, cet extrait indique que les analyses après traitement en mercure sont corrélées au nombre d'amalgames présents en bouche. Autrement dit, les amalgames dentaires intoxiquent les porteurs d'amalgames dentaires.

De plus, selon le traité de toxicologie CHELATION THERAPY (voir Pièce attachée) :
"Une faible exposition au mercure chez les enfants pourrait résulter de l'ajout de l'agent antiseptique thiomersal dans les vaccins. Le thiomersal est métabolisé en éthylmercure dans le corps humain. On a prétendu que ce mercure, même à des doses infimes, pouvait entraîner l'autisme, une maladie grave. Cette hypothèse a conduit à proposer la chélation du mercure par le DMPS ou le DMSA comme thérapie de l'autisme. Cependant, aucun article évalué par des pairs n'a fait état d'un excès de mercure dans le sang, l'urine ou les cheveux de sujets souffrant d'autisme. Des examens critiques ont conclu que le soutien scientifique de la chélation du mercure dans l'autisme est insuffisant." Cet extrait illustre que l'autisme n'a pas encore fait l'objet d'étude de la charge corporelle en mercure. Cependant, aucune population générale ni en bonne santé ni souffrant de maladies chroniques n'a encore fait l'objet d'étude de la charge corporelle ni en mercure, ni de tout autre métal, ni de tout autre particule oxydante organique. Le défaut de charges corporelles est extrêmement large. De plus, selon l'APHP, 20 millions de Français sont porteurs de maladies chroniques. Ce nombre très élevé de patients est donc peut-être partiellement explicable par la défaillance des prises de sang ou des échantillons d'urine sans traitement.

L'ensemble des enquêtes publiques établies sur les analyses biologiques validées (prise de sang, échantillon d'urine) sont donc invalidées car elles ne représentent pas la charge corporelle. Par exemple, l'innocuité des amalgames dentaires est discréditée par les métaux lourds qui surgissent aux analyses biologiques après traitement dans une population porteuse d'amalgames. Autre exemple : les profils en métaux des personnes portant la maladie d'Alzheimer sont faux. Je rappelle qu'un million de Français sont porteurs de la maladie d'Alzheimer. Les excès de fer et de cuivre pourraient donc être traités par les chélateurs (molécules qui traitent les métaux) dans la maladie d'Alzheimer.

Les traitements des métaux font polémique car ils créent de rares incidents de traitement selon le mode opératoire français. Cela explique partiellement la frilosité de la filière de toxicologie à traiter. Mais cela n'est pas une raison pour se reporter sur des analyses sans traitement de façon à ce qu'elles soient considérées à 100% fiables dans les enquêtes publiques. Les enquêtes publiques se cantonnent à une exposition ; ces enquêtes ne traitent pas la charge corporelle ; ces enquêtes sont donc trop partielles pour exprimer une vérité biologique définitive sur une maladie chronique en population générale ou sur un dispositif médical toxique. De plus, l'Association allemande de toxicologie KMT (https://www.metallausleitung.de) déclare que ses protocoles sont sans incidents de traitement.

En outre, les Centres antipoison français profèrent des menaces publiques envers les médecins hospitaliers qui traitent les métaux lourds qui surgissent aux analyses après traitement car ces analyses ne disposent pas de référence en population générale. Suite à ces menaces, les médecins menacés préfèrent fermer leurs services. Voir article de presse joint (BOUTRAIS.pdf). Les médecins français qui traitent les métaux après traitement travaillent donc dans la clandestinité. Cependant, en Allemagne, 100 médecins, formés par l'association KMT, traitent les métaux lourds par des analyses après traitement. Il existe donc une industrie médicale qui traite les métaux lourds en Allemagne. Un traitement coute 135 euros non remboursés. La moyenne est de 25 traitements. Cela montre la motivation élevée des patients à se faire traiter.

Je suis un architecte français. J'ai été intoxiqué au mercure pendant 15 années. Les premiers symptômes lourds (troubles cognitifs, maux de tête, électrosensibilité) sont apparus en 2008. Les symptômes s'aggravaient avec le temps. Du fait de la lourdeur de mes symptômes, j'ai arrêté de travailler en 2012. J'ai été en errance médicale jusqu'en 2014. J'ignorais la cause de mes troubles. En 2014, un médecin qui travaille dans la clandestinité m'a administré le traitement des métaux lourds. Il a fallu m'administrer 100 doses mensuelles pour résorber mes symptômes. Les deux-tiers des traitements ont été administré en automédication. J'ai résorbé la majorité de mes symptômes en 2020 en trois mois en surdosant les chélateurs (traitement des métaux). Comme j'ai été porteur d'électrogalvanisme (courants électriques dans la bouche), j'accuse mes amalgames de m'avoir intoxiqué. J'ai consigné mon parcours sur un blog : https://www.forum-melodie.fr/phpBB3/vie ... =56&t=6410. En dépit de mes inquiétantes analyses biologique après traitement, comme mes analyses biologiques validées (sans traitement) sont négatives, les Centres antipoison et les Centres Régionaux de Pathologies Professionnelles et Environnementales (CRPPE) ont refusé de me prendre en charge. Il n'existe donc pas de solution conventionnelle pour se faire traiter. J'ai porté plainte en 2022 mais la Justice ne remet pas en cause les consensus scientifiques.

Cependant des milliers, ou des millions de Français seraient peut-être concernés par la défaillance des analyses biologiques validées (prise de sang, échantillon d'urine). Devant le nombre élevé de victimes des intoxications corporelles, il est temps que la médecine conventionnelle traite enfin la charge corporelle en particules oxydantes (métaux, pesticides, ...) en sus de l'exposition.

J'ai déjà alerté les Agences de santé françaises (ANSM, SANTE PUBLIQUE FRANCE, ANSES, HAS, ARS), les Agence européennes de santé (ECDC, EFSA, EMA), les Agences américaines de santé (CDC, ATSDR) et l'OMS mais je n'ai pas reçu de réponse circonstanciée. Il me semble donc que la prise en compte de la charge corporelle par la médecine conventionnelle devra nécessairement passer par une action politique.



Une membre de PRIARTEM a écrit:Je viens de lire votre courrier et je vous comprends parfaitement, beaucoup de personnes EHS ont aussi très souvent d'autres pathologies, liées à d'autres problèmes environnementaux, produits chimiques, mercures plomb, colles , ciment, produit de nettoyage, parfum de synthèse, mais aussi des conséquences de certaines maladie comme, Lime, et ou allergie a certains médicaments. Par dessus l'électricité et les ondes jouent un rôle de catalyseur et des personnes deviennent très souffrantes.

Notre association siège dans les comités de dialogue de L'ANFR, de L'ANSES au cotés d'autres associations comme FNE ou le CNAFAL. L'ANSES dans une étude reconnaît que les personnes EHS souffrent dans leurs corps ( c'est déjà mieux on est plus considéré comme des fous bon pour l'asile ) mais refuse le lien avec les ondes, et ou d'autres produits. Nous nous battons pour cette reconnaissance, aussi nous participons a d'autres ONG comme le RES au coté de M André CICOLELLA qui prend très a cœur cette notion de santé environnementale, peut être pourriez vous aussi les informer de vos recherches .

Vous pouvez me recontacter ou recontacter un correspondant sur Paris, et nous pouvons vous aider et vous donner quelques conseils technique sur les ondes et comment s'en protéger, je vais transférer aussi votre mail a notre équipe, au cas ou il y ai une idée géniale qui émerge, mais je crains que nous ne puissions pas faire grands choses dans ce domaine tellement nous avons dans cette période compliquée si peu d'écoute de la part des autorités gouvernementale et de la médecine, on préfère de loin nous traiter d' Amish, plus que de nous écouter ...

Je vous souhaite de tout cœur bon courage !

Très cordialement



Une Association québécoise d'électrosensibles a écrit:Merci
Je vais relayer à nos agences mais souvent, elles préfèrent ignorer les faits et nous garder malades...c'est plus profitables financièrment pour les compagnies de Big Pharma...


Un membre d'une association citoyenne a écrit:J'accuse réception de votre message, que je fais suivre à mes collègues du CA de sciences citoyennes.
Je ne sais pas quelle suite nous serons en mesure de donner - nous ne sommes pas, à ma connaissance, en contact avec les agences de santé, et bien qu'en lien, ça sort un peu de l'objet de notre association - peut-être la Maison des lanceurs d'Alerte (MLA) serait plus à même de se saisir de ce sujet.
Merci dans tous les cas pour faire remonter ce problème de santé publique - si nous sommes en mesure de le relayer, je vous tiendrai au courant.

De nouveau, ce même membre de cette association a écrit:Je me permets de vous transférer un message d'un autre membre du CA de Sciences Citoyennes, à titre informatif:
En espérant que le RES donne suite,

----------------------
Subject: Re: [CA SC-Infos] Fwd: ANALYSES BIOLOGIQUES VALIDEES MAIS NON FIABLES
Oui ce serait logiquement le RES.
Il y a au moins deux aspects dans ce courriel. Le côté technique que je connais d'ailleurs bien et puis celui des défaillances de l'expertise des agences sur laquelle on bute systématiquement et à laquelle se réfère le corps médical français. Côté allemand ça ne semble pas poser de problème de même que la médecine environnementale. C'était déjà ça il y a vingt ans quand les parents d'enfants autistes envoyaient des prélèvements en Allemagne. Cette incohérence entre deux pays similaires et voisins mériterait d'être analysée.
Le dossier des métaux lourds est compliqué mais pas incompréhensible. Selon le métal et sa forme chimique ( organique ou pas ) sa cinétique et son pouvoir de nuisance vont varier. Le mercure est plutôt doué pour ça et il n'y a pas de dose en dessous de laquelle il n'y pas de toxicité pour tout le monde.
Il se rajoute aussi des mécanismes immunitaires. Le cocktail rêvé pour faire fuir la plupart des professionnels.
Les protocoles de chélation sont différents et la cécité académique peut aller jusqu'à faire une étude sur la charge en mercure ( donc ce que voudrait (Sophocle) en utilisant un protocole de chélation pour le plomb. Et la fondation qui finance l'étude n'y voit que du feu.
Si j'insiste si souvent sur les protocoles d'expertise collective et les rapports des agences c'est qu'ils sont parfois assez grossièrement en décalage avec ce que constatent les associations spécialisées ou simplement un patient dont la formation lui permet facilement de comprendre le problème.
On voit ici qu'ils agissent aussi comme des verrous quand les patients ou les associations y sont confrontés et sont très dissuasifs envers les professionnels de la discipline concernée.
A mon avis il y aurait au moins deux groupes de SC qui seraient concernés par cet aspect du problème soulevé par (Sophocle).
Les anciens risques sont encore là et eux ils sont très bien documentés. Le problème n'est pas un manque de connaissance.



Un Professeur chargé des vaccins a écrit:J'ai pris connaissance avec attention de votre message.

Si j'ai bien compris, l'essentiel de votre problème concerne le mercure dont la toxicité cérébrale n'est plus à démontrer (du moins pour certains sels). Votre interpellation me semble liée la problématique du mercure dans les vaccins. Le problème de la relation entre le mercure des vaccins et l'autisme infantile a fait l'objet de polémiques aux USA, ce qui a conduit à réaliser des études épidémiologiques d'ampleur qui ont permis d'infirmer ce lien. En outre et surtout, le mercure (Thiomersal) est ajouté à titre de conservateur dans les vaccins multidoses qui ne sont plus utilisés en France depuis longtemps (il y a eu une petite exception avec les vaccins grippe pandémiques de 2009). Les actuels vaccins COVID, bien que pour certains présentés en flacons multidose ne contiennent pas de mercure, pas plus que les vaccins du calendrier vaccinal français. Je ne crois donc pas qu'en France, le mercure des vaccins puisse être incriminé dans une quelconque pathologie neurologique, notamment dégénérative.

Ceci étant, je n'ai pas la compétence pour estimer si l'amalgame dentaire et susceptible ou non de créer problème ni pour évaluer la signification de l'élévation de l'élimination urinaire sous chélateur chez les personnes ayant des taux de base non élevés. Il en est de même de l'évaluation de l'efficacité des traitements chélateurs dans certains maladies neurodégénératives.
j a écrit:Je souhait préciser que :
les prises de sang et les échantillons d'urine sans traitement sont défaillants : ils ne représentent pas la charge corporelle car des excès de métaux sont retrouvés lors des analyses après traitement.
La prétendue innocuité des dispositifs médicaux toxiques (amalgames dentaires et vaccins) est donc frappé de nullité.
Ce professeur a écrit:Concernant l'innocuité des vaccins je n'ai pas parlé de toxicologie mais d'épidémiologie (comparaison vaccinés/ non vaccinés) et dit qu'il n'y avait plus de mercure dans les vaccins.


L'Assistante d'une Députée a écrit:Nous avons bien reçu votre courriel ainsi que les trois pièces jointes et nous vous en remercions.
Madame la Députée prendra connaissance prochainement de votre courriel.



Un membre de l'ECDC a écrit:Merci d'avoir contacté l'ECDC et pour cet e-mail informatif.
Le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC) a pour mandat d' identifier et d'évaluer les menaces actuelles et émergentes pour la santé humaine dues aux maladies transmissibles et aux problèmes de santé particuliers qui y sont associés, à savoir les infections nosocomiales et la résistance aux antimicrobiens.
Ce mandat n'inclut pas les menaces pour la santé humaine liées aux métaux lourds tels que le mercure.
Je vous invite à contacter la Direction de la Santé et de la Sécurité Alimentaire (DG SANTE) de la Commission Européenne.
PS : En faisant quelques recherches avant d’écrire cette réponse, j’ai trouvé ce qui suit qui pourrait vous intéresser :
POLLUTION ZÉRO : la Commission propose d'interdire toutes les utilisations intentionnelles restantes du mercure dans l'UE (europa.eu)



Merci beaucoup pour votre message dans lequel vous soulevez des questions très importantes.
Je n'ai malheureusement pas les compétences et les prérogatives pour assurer le suivi des problématiques que vous exposez ci-dessous.
Je vous conseillerais de vous adresser au cabinet du commissaire Kyriakides, responsable des politiques de santé, et à la direction générale DG Santé et sécurité alimentaire.
Cordialement,

Assistante du commissaire
Cabinet du commissaire Wojciechowski
AGRICULTURE
Commission européenne
Rue de la Loi 200, B–1049 Bruxelles



On behalf of Mr Vandenberghe, I would like to thank you for your e-mail below.
Mr Vandenberghe has left the Cabinet of the President mid-January 2023 to become Director General at DG CLIMA.
I shall forward your e-mail to Mr Peter Van Kemseke, who replaced Mr Vandenberghe in the Cabinet of the President.
Also, he thinks you might want to contact either Ms Florika Fink-Hooijer (DG Environment) or Ms Sandra Gallina (DG Sante) who might be more competent.
With very kind regards,
Personal Assistant to Mr Kurt Vandenberghe, Director General
European Commission
DG CLIMA
200 Rue de la Loi
(Office : Avenue d’Auderghem 19 (BRE2 13/DCS))
1049 Brussels/Belgium


We have received your e-mail. However, since this topic is not falling under our portfolio, we would suggest that you send it to Cabinet Kyriakides (CAB-KYRIAKIDES-CONTACT@ec.europa.eu).
Best regards,
Cabinet of Nicolas Schmit
Commissioner for Jobs & Social Rights
European Commission
BERL 10/331



Nous accusons bonne réception de votre mail et nous vous en remercions.
Nous ne manquerons pas de l’étudier attentivement et revenir vers vous au besoin.
Bien cordialement,
Cabinet de la députée X
Membre du groupe parlementaire LFI et de l’intergroupe NUPES



Dear Sir/Madam
ASK-152901 - VALID BUT UNRELIABLE BIOLOGICAL TESTS received on 02/10/2023
Thank you for your message and your interest in the European Medicines Agency. Your request has been given the reference number ASK-152901.
We will reply to you as soon as we can. For complex queries, it may take longer to answer. In any case we will write back to you within 2 months from the date of receipt.
Please do not reply to this email, this is an automated response to confirm that we have received your request. If you need to contact us again about the same matter, please use the form on our website and mention the reference number.
Kind regards
European Medicines Agency
Domenico Scarlattilaan 6, 1083 HS Amsterdam, The Netherlands
Send us a question. Go towww.ema.europa.eu/


Une journaliste a écrit:Bonjour Monsieur,
je suis désormais monopolisée par la préparation de nos prochains forums et je n’écris pratiquement plus. Je ne pourrai donc pas traiter ce sujet. Désolée …
Bien cordialement
PS : la rédactrice en chef santé est X

Le Point.fr
X
Journaliste & Responsable éditoriale santé des forums



Une toxicologue de la STC a écrit:Bonjour
je vous remercie de ne plus m'adresser ces mails.
Cordialement


Une asso sur l'intox du vaccin contre l'Hépatite B a écrit:Merci pour votre correspondance et confiance.
Il me semble important de vous adresser à l'Association Non au Mercure dentaire qui pourra évoquer avec vous ces questions importantes de chélation des métaux sur le courriel suivant : namd.asso@gmail.com et de vous aider. Chaque témoignage compte, chaque soutien associatif également. Nous avons bien conscience de la toxicité de certains composés et ferons le maximum.
Recevez toute notre empathie.
vice président




Monsieur,
Monsieur le député vous remercie de votre alerte. Il n’est toutefois pas en mesure d’analyser ces données et vous invite par conséquent à vous rapprocher de l’Agence régionale de santé d’Ile-de-France à l’adresse suivante : ars-idf-dsp@ars.sante.fr
Bien cordialement,
X
Collaborateur parlementaire de X,
Député de la Haute-Garonne




un professeur en toxicologie a écrit:Je viens de lire avec attention votre long message sur la problématique du mercure en particulier et des métaux lourds en général. J’ai trouvé votre message très bien documenté et je comprends pleinement les préoccupation que vous soulevez.

Il est vrai que le mercure a déjà fait l’objet de plusieurs évaluations par différentes agences françaises et étrangères. Cependant, le problème des amalgames ne fait, de toute évidence, pas l’objet d’un consensus.
En ce qui concerne les analyses, je n’ai pas compris si elles ont été effectuées avant ou après la prise des chélateurs. Si c’est après, on peut comprendre aisément que les résultats soient négatifs. Si c’est avant (ou après aussi), avez-vous des informations sur les limites de la procédure analytique (ICP-MS ?), c’est-à-dire les limites de quantification et de détection. Ces limites pourraient aussi expliquer pourquoi vos résultats sont négatifs.

Si j’ai bien compris votre message, il semble que les amalgames dentaires soient responsables des problèmes dont vous souffrez. Cependant, il y a un éléments qui m’interroge : vous dites que les chélateurs ont amélioré votre état de santé. Or, le relargage des métaux à partir des amalgames est constant si ces derniers n’ont pas été retirés. Aussi, les chélateurs pourraient avoir amélioré votre état de santé mais celui-ci devrait de nouveau être progressivement altéré après le traitement si les amalgames sont toujours présents.

Enfin, l’usage des chélateurs est très délicat car la plupart sont toxiques. Avez-vous vu des études sur l’innocuité des chélateurs qui sont utilisés ?

Pour finir, je vais essayer de voir s’il est possible de relancer la problématique des amalgames dentaires à l’anses. Cependant, il me semble que ces dernières relèvent de la législation sur les dispositifs médicaux qui sont gérés par l’Ansm. Si c’est le cas, je n’aurai pas de possibilité d’agir au niveau de l’Ansm, contrairement à ce qu’il me serait possible de faire à l’Anses.
Bien cordialement,
X
Dr X
Directeur de Recherche / Director of Research
INRAE
Laboratoire de Toxicologie Environnementale
UR 0406 A&E
228 Route de l’Aérodrome
CS 40509
j' a écrit:Merci pour votre réponse.

Mes analyses négatives parviennent des analyses avant traitement conformément aux analyses validées. Mes analyses après traitement sont positives au mercure, à l'arsenic, au plomb et au cuivre. Je joints un rapport d'analyse avec un schéma des précédentes valeurs (sur le schéma, les valeurs en Y sont en nombre de fois la norme).

Je n'ai pas beaucoup d'information sur les limites de détection. Cependant les laboratoires chez lesquels j'ai réalisé mes analyses disposent de l'ICP-MS. Selon le laboratoire, avec l'ICP-MS, la limite de détection de nombreux métaux critiques (mercure, plomb, ...) est inférieure aux valeurs de références disponibles en population générale. Avec L'ICP-MS, mes analyses sans traitement seraient donc fiables et mes analyses après traitement seraient également fiables.

Selon la littérature non conventionnelle, il existe une minorité de cas dans lesquels le mercure n'est pas éliminé. Il s'accumule donc dans les organes. Voir pj CAMBAYRAC.PDF.
J'ai retiré en amalgames vers les années 2000. Mais je suis tombé malade vers 2008. Selon cette dynamique, il me semble que le mercure ait migré vers les racines dentaires avant 2000. Puis le mercure des racines dentaires aurait migré vers le cerveau vers 2008. Cela explique que les chélateurs aient progressivement résorbé mes symptômes au fur et à mesure de mes traitements.
Cependant, l'article que j'ai joint au précédent envoi laisse entendre sur 22 cas que le retrait des amalgames rend les analyses après traitement négatives (Fig.6). Cela indique que le retrait des amalgames soit le traitement en première intention. Cependant de rares cas (Gène APO4) nécessitent un traitement chélateur en plus du retrait des amalgames.

Je n'ai jamais trouvé d'études sur la toxicité des chélateurs. Le seul document que j'ai trouvé, c'est dans CHELATION THERAPY dans lequel il est dit que les chélateurs en général sont sensible à l'acidité des reins (voir CHELATION THERAPY P35.PDF). J'ai donc écrit un article sur le pH du corps :
Les traitements provoquent des redépose lors d'une acidose.
Question : Comment peut-on savoir que le corps est alcalin ?
Réponse : Il est absolument impossible de mesurer le pH du corps. Il ne faut surtout pas se fier aux bandelettes pH pour mesurer l'urine. Cela est une photographie non représentative de la totalité du corps ou de l'état du cerveau. Cela est une photographie du sang qui est majoritairement influencé par l'alimentation. Cependant il existe de nombreuses préconisations pour remonter le pH général et local.
Le régime cétogène va désacidifier le corps car le sucre est un acide. En ôtant le sucre (pain, pâtes, …) de l'alimentation, le pH général du corps va mécaniquement remonter. De plus, les légumes vont renflouer le corps en minéraux essentiels que le traitement va tarir à vitesse grand V. Pour remonter le pH, il est également possible de pratiquer quelques bains froids (5 bains froids à 15° pendant 15 min) car cela va multiplier les capillaires de façon à renvoyer immédiatement les acidités vers la circuiterie générale. Les acidités du cerveau vont donc être éliminées avant même qu'elles ne puissent stagner dans une nappe perchée. Pour remonter le pH, il est également possible de prendre le traitement après la première urine du matin car les acidités migrent la nuit jusqu'à la vessie. Quotidiennement, l'ensemble du corps se retrouve donc le plus alcalin possible après la première urine du matin. Pour remonter le pH, il est également possible de mixer les chélateurs dans un grand volume (1/2l) d'eau alcaline (2 à 3 g de bicarbonate de soude à mixer) à boire. Ce volume d'eau va imbiber les régions du corps dans lequel circulera le chélateur. Cela va augmenter la sureté et l'efficacité du traitement. En buvant 1/2 litre d'eau à pH 8, on fait ensuite pipi à pH8. Cela indique que la lymphe est passée à pH8 pendant le temps du traitement. L'idéal est de ne pas manger le matin de façon à demeurer à jeun et de façon à permettre au chélateur de demeurer à pH8 lors du pic de chélateurs. Pour remonter le pH, on peut également pratiquer quotidiennement la marche la plus rapide possible (ou autre activité) pendant 3/4 d'heure. Cela va faire tourner le circuit lymphatique de façon à renvoyer les acidités vers l'extérieur.
Quand on est atteint d'une fatigue passagère, cela indique une éventuelle poche d'acidité. Il convient donc de suspendre le traitement tant qu'on n'est pas au mieux de sa forme. Il faut donc éviter les chélateurs quand on est atteint d'un rhume, d'une maladie passagère, ou d'une fatigue quelconque, ...
A pH acide, le traitement est inefficace et éventuellement dangereux. Il est dangereux car il peut relâcher les métaux lourds dans un organe parfois acide (reins, cerveau, os). Il est modérément efficace et modérément sûr à pH neutre. Et, il est très efficace et très sûr à pH alcalin car il attrape préférentiellement les métaux lourds. Il faut donc que tout le corps soit à pH alcalin pour que le traitement demeure totalement sûr. Il est également à noter que de faibles doses ne préviennent pas nécessairement d'un incident de redépose au ralenti. Dans un cerveau quotidiennement acide, les faibles doses au quotidien vont donc "gentiment" intoxiquer le cerveau petit-à-petit.
Je ne dis pas qu'il faut pratiquer toutes ces préconisations, mais plus on en fait, plus le traitement sera sûr et très efficace. En généralité, je dirai que le pH alcalin est une affaire d'hygiène de vie. La solution alcaline à boire n'est pas à considérer comme une solution magique qui permet d'éviter la mise en place de l'hygiène de vie. Elle est plutôt une mesure de précaution supplémentaire qui permet de compenser une acidité imprévue. Autre exemple : les personnes âgées qui demeurent alitées au quotidien sont dans une situation acidifiante car les acidités produites au quotidien ne sont pas drainées vers les émonctoires. Il convient donc de se rabattre sur des solutions autres que l'activité physique : alimentation, thalasso, solution alcaline, ... Cependant, la solution alcaline me semble indispensable car elle permet de décupler l'efficacité du traitement.
La devise est la suivante : une solution alcaline (bicarbonate de soude) dans un corps alcalin.
Je rappelle que la majorité des patients ne pratique certes aucune de ces préconisations. Je rappelle également que les incidents sont rares mais minimisés par les médecins et par les patients eux-mêmes. Comme des personnes craignent tant les incidents, elles préfèrent donc renoncer aux chélateurs chimiques. Je dresse donc cette longue liste de préconisations pour qu'elles retrouvent une confiance dans les chélateurs chimiques. Et j'ajoute que les chélateurs naturels, s'ils étaient efficaces, répondent aux mêmes comportements ioniques que les chélateurs chimiques. S'ils étaient efficaces, les chélateurs naturels ne sont donc pas moins dangereux que les chélateurs chimiques.
L'acidose (forte acidité d'un organe) est le risque le plus insidieux de la chélation. La dynamique est assez simple. La population de molécules actives chélatrices se charge peu-à-peu et abondamment en métaux lourds en circulant dans le corps ; ensuite, en traversant un organe parfois très acide (reins), toute a population de molécules actives relâche ses métaux lourds dans l'organe acide car ces molécules sont sensibles au pH. En milieu alcalin, elles se lient à des métaux lourds ; en milieu acide, elle se lie avec l'Hydrogène et se délie du métal lourd avec lequel elle était liée. Les fortes acidités créent donc un incident. Ils sont rares mais minimisés. Cependant, ce risque peut être prévenu, et, les incidents peuvent se guérir par les mêmes actions que la prévention. Le rein est l'organe le plus exposé car il recueille les acidités que produit tout le corps tout au long de la journée. Les acidités sont ensuite stockées dans la vessie. L'urine du matin est toujours très acide car les acidités migrent pendant le sommeil. Le pH du sang est finement contrôlé, il est rapidement rétabli aux alentours de 7.3, et le pH de l'urine du matin est d'environ 5.5. Cependant, il est possible de fixer provisoirement le pH du rein et de l'urine à pH8 en buvant une solution à pH8 après la première urine du matin. Cela s'obtient avec un sel physiologique abondamment présent dans le corps : le bicarbonate de soude alimentaire. De plus, les molécules actives se dissolvent à pH8 et elles floculent à pH acide. Le pH8 permet donc de solubiliser les molécules actives de façon à ce qu'elles soient efficaces pour se lier aux métaux lourds. Cependant, par précaution, il est nécessaire que tout le corps soit alcalin. Il suffit d'un organe acide pour créer un incident. Tous les organes doivent donc être alcalins pour passer une campagne de chélation la plus sereine possible. Les bains froids permettront de prévenir au mieux ce problème d’acidité des organes.

Le DMPS serait insensible au pH. Il ne provoquerait donc pas d'incident même en cas d'acidité. C'est le chélateur qu'utilisait le médecin qui me traitait. Cependant, il ne dispose pas d'AMM en France. J'ai donc appliqué mes préconisation en matière de pH et j'ai utilisé du DMSA et de l'EDTA disponibles en vente libre.

Quant à l'ANSES, peut importe la source d'intoxication, c'est l'intoxication qu'il faut traiter. J'ai entièrement lu le rapport de mars 2018 sur l'électrosensibilité et il y est dit que les analyses sanguines sont négatives pour les métaux lourds. De plus, il y est dit que les analyses tissulaires (corporelles) font défaut. Les enquêtes publiques sont donc toutes défaillantes car elles se basent sur le sang ou l'urine mais jamais sur le corps.


Un membre de l'agence du médicament européen a écrit:Dear Sir, please see EMA contact details: https://www.ema.europa.eu/en/about-us/c ... nes-agency
Yours sincerely



Une agence de santé espagnole a écrit:Thank you very much for raising awareness about your worries.
We acknowledge receipt of your email and we will carefully read all the documents received.
With Best Regards,
Secretaría (mm) / Secretary
Departamento de Medicamentos de Uso Humano / Medicines for human Use Department
________________________________
Agencia Española de Medicamentos y Productos Sanitarios (AEMPS)
(+34) 918 22 50 73 smhaem@aemps.es
Calle Campezo 1 · Edificio 8 · E-28022 Madrid · España
http://www.aemps.gob.es



Nous avons bien reçu votre message et nous sincèrement désolés de ce qui vous est arrivé. Nous comprenons votre désarroi et votre volonté de faire évoluer les protocoles de diagnostic d’intoxication aux métaux lourds.
Toutefois, la Société Francophone de Santé et Environnement est une société savante ayant pour objectif de diffuser des travaux de recherche. Nous ne sommes pas habilités à conseiller les cas individuels ni même à solliciter des agences sanitaires pour faire évoluer leurs protocoles. D’autant plus que depuis 2008, année de notre création, nous n’avons pas encore travaillé spécifiquement sur le sujet des métaux lourds.
Dans votre cas, nous vous conseillons de vous rapprocher de la Haute Autorité de Santé, d’un Centre antipoison (Paris), voire de la Société française de Santé publique et de la Société française de Toxicologie pour leur faire part de vos arguments.
Nous espérons que l’un de ces organismes pourra s’approprier vos remarques, les analyser, éventuellement en faire un article scientifique et finalement, le cas échéant, alerter les instances décisionnaires pour faire évoluer les protocoles.
Nous vous souhaitons bon courage pour vos démarches.
Bien cordialement
Société Francophone de Santé et Environnement (SFSE)


L"Elysée a écrit:Monsieur,
Votre courrier est bien parvenu à la Présidence de la République.
J’ai été chargé de vous informer qu’il en a été pris connaissance.
Je vous prie d’agréer, Monsieur, l’expression de mes sentiments les meilleurs.



Un bénévole d'une asso de toxicologie a écrit:J’ai bien reçu votre message du 29 septembre et vous en remercie.
Votre demande et votre inquiétude sont effectivement légitimes.
Pour information, je vous transmets une liste des actions qui avaient déjà été entreprises dans ce domaine par André PICOT au sein de l’ATC, en collaboration avec également l’Association « Non au mercure dentaire ». Les liens n’aboutissent pas car cet ancien site n’existe plus, mais je vous l’adresse à simple titre indicatif.
André PICOT a beaucoup agit pour la sensibilisation à ce problème et, plus largement à la toxicité du mercure, dont les risques et la prévention figuraient systématiquement dans les formations fondamentales de l’ATC, ainsi que dans ses interventions sur la sensibilisation aux risques chimiques, qu’il faisait dans les organismes de recherche. Son action a notamment contribué à éradiquer progressivement, à partir des années 1990, l’utiliisation du mercure en laboratoire (thermomètres, manomètres, bulleurs à mercure, etc.).
Malheureusement André PICOT, fondateur et Président de l’ATC, nous a quitté récemment, il est décédé en janvier dernier et, au sein de l’ATC, nous travaillons à continuer son œuvre et à finaliser tous les travaux qu’il avait en cours.
Pour répondre à votre sollicitation,
d’une part, je vais contacter mes collègues pour faire le point sur notre situation concernant le mercure, dentaire en particulier,
et, d’autre part, je vous propose de contacter (si vous ne l’avez déjà fait) l’Association « Non au mercure dentaire » qui est très active dans ce domaine :
https://www.google.com/url?sa=t&rct=j&q ... i=89978449.
En vous remerciant encore pour votre alerte,
Je reste à votre disposition pour tout complément et tout échange ultérieur,


Une assistante parlementaire a écrit:Monsieur X vous remercie de votre message.
Nous avons bien pris note de vos préoccupations et vous remercions pour les éléments sur lesquels vous nous alertez. Nous ne manquerons pas de les étudier et de les intégrer à notre travail parlementaire, en accord avec le programme de la Révolution écologique pour le vivant et du groupe parlementaire LFI-NUPES.
N’hésitez pas également à prendre rendez-vous à notre permanence parlementaire, au 15 rue Hermel, afin d’en discuter de vive voix.
Bien cordialement,
XCollaboratrice du député X



Un assistant d'une Directrice d'ARS a écrit:Par le message ci-dessous, vous avez souhaité saisir la directrice générale de l’ARS de Corse , relativement aux processus d’analyses d’exposition aux métaux lourds et à votre situation personnelle.
Si vous estimez devoir porter à la connaissance des autorités compétentes ces informations ainsi que l’analyse que vous exposez, je vous indique que, conformément aux dispositions de la loi du 9 décembre 2016 relative à la transparence, à la lutte contre la corruption et à la modernisation de la vie économique et au décret du 3 octobre 2022, relatif aux procédures de recueil et de traitement des signalements émis par les lanceurs d'alerte et fixant la liste des autorités externes instituées par la loi du 21 mars 2022 visant à améliorer la protection des lanceurs d'alerte (ci-joint), vous pouvez saisir directement l’une ou l’autre des autorités nationales mentionnées dans l’annexe du décret ou, à défaut, le défenseur des droits qui pourra vous orienter dans votre démarche.
Ces autorités ou le défenseur des droits vous apporteront obligatoirement une réponse sur la recevabilité de votre question au regard de leurs compétences et sur les suites éventuelles qu’elles y auront donné.
Bien cordialement
P/la directrice générale de l’ARS de Corse
Inspecteur de l’Action Sanitaire et Sociale HC
DCFAGIJ/Affaires Juridiques
Agence Régionale de Santé de Corse
Quartier Saint Joseph | CS 13003 | 20 700 Ajaccio Cedex
●● http://www.corse.ars.sante.fr
Dernière édition par Sophocle le Lun 16 Oct 2023 19:15, édité 1 fois.
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Messagede Sophocle » Jeu 5 Oct 2023 17:04

Un Député du Val-De-Marne a écrit:Je vous remercie pour ce courriel que j’ai lu attentivement.
Je n'ai pas les compétences requises pour juger des arguments et analyses exposés.
Devant l'effort fourni pour étayer le propos et la gravité des faits invoqués, je transmets en insistant sur l'importance du sujet aux collègues les mieux à même de relayer et répondre.



France Asso Santé a écrit:Nous accusons réception de votre courriel que nous transférons à notre équipe Santé Info Droits, composée d’avocats et de juristes spécialisés, soumis au secret professionnel et bénéficiant de sessions régulières de formation en lien avec les associations membres de France Assos Santé.
Ce service est gratuit et sans condition d’adhésion.
Nous nous engageons à vous répondre dans un délai maximum de 8 jours.


European Agency for Safety and Health at Work (EU-OSHA) a écrit:Thank you for your enquiry and for your interest in the European Agency for Safety and Health at Work (EU-OSHA).
As set out in its founding regulation (Regulation (EU) 2019/126), the Agency cannot give advice on individual health and safety situations. You can find out which organisation in a member state is competent to give you this information from the national Focal Point https://osha.europa.eu/en/about-eu-osha ... cal-points.
We suggest you contact Directorate General Health and Food Safety through Europe Direct service:
https://europa.eu/european-union/contact/write-to-us_en
telephone number 00 800 6 7 8 9 10 11 (9.00-18.00 CET weekdays), which is free from anywhere in the EU and will allow you to reach an operator who speaks own language.
You may find some of the OSHwiki articles below of interest:
Occupational exposure to biocides (disinfectants and metal working fluids)
Dust and aerosols - welding fumes
Process-generated contaminants
Exposure to dangerous substances in the waste management sector
OSHwiki articles on OSH_systems_at_national_level, in particular section OSH authorities and Inspection services
We hope this information is of assistance.


European Centre for Disease Prevention and Control (ECDC)​​​​ Director a écrit:Thank you for contacting ECDC. I have taken note of your emails sent to the ECDC Director and experts; Dr Dominique Monnet, Prof Mike Catchpole, Dr Piotr Kramarz, Dr Tamas Bakonyi and Dr Carmen Varela Santos.
I would like to express my sympathy for your condition and experiences. Please be informed that ECDC’s mandate focuses on identifying and assessing current and emerging threats to human health from communicable diseases and related special health issues, i.e. healthcare-associated infections and antimicrobial resistance. Unfortunately, threats to human health from heavy metals fall outside of our mandate.
I would suggest contacting the French Public Health Institute and the French Medicines Agency with respect to amalgam fillings or implants. Trade unions could be a potential organisation to turn to, in case that they observe something similar related to exposure at the workplace.
Yours sincerely,
ECDC Director
European Centre for Disease Prevention and Control (ECDC)​​​​
Gustav III:s boulevard 40, 169 73 Solna, Sweden
http://www.ecdc.europa.eu


Président E3M a écrit:J'ai lu attentivement votre courriel.
Je rejoins absolument votre position : l'évaluation de la concentration de métaux lourds dans notre organisme par l'analyse biologique de type "sang, urine, cheveux" n'indique que ce qui circule, et en aucun cas ce qui est stocké dans les différents organes (os, cerveau, foie, etc.).
Pour votre information, ci-joint une publication sur une étude de cas de dosage d'aluminium après chélation (chez nous, c'est la silice contenue dans certaines eaux en quantité suffisante qui peut assurer ce relargage).
Vous connaissez certainement l'association NaMD (https://www.non-au-mercure-dentaire.org/). Je pense que vous devriez les contacter pour partager votre expérience.
Bien cordialement,
Président E3M
Campagne Pour des Vaccins Sans Alu
Site de l'association E3M
Notre film documentaire (52mn)
Notre chaîne Youtube
Facebook – Twitter – Instagram – Linkedin



Un député de la Seine-Et-Marne et premier secrétaire d'un grand parti français a écrit:Monsieur X a pris connaissance de votre mail et l'a transmis à ses collègues membres de l'OPECST (Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques)



L'assistant d'une Députée a écrit:Votre mail a bien été reçu. Le sujet sur lequel vous interpellez Madame X est particulièrement technique et nécessite des compétences que nous n'avons pas. Je vous propose dans un premier temps un entretien téléphonique pour préciser quelques éléments. Par ailleurs, je voudrais savoir si vous êtes en contact avec des associations qui souhaitent porter collectivement cette alerte. Il semble en effet qu'une telle requête aurait plus de chances d'être entendue si elle émane d'une initiative collective.
Pouvez vous m'indiquer vos disponibilités sur les créneaux horaires ci-dessous ?
- mercredi 11 octobre entre 13h et 19h
- jeudi 12 octobre entre 9h et 18h
- lundi 16 octobre et mardi 17 octobre de 9h à 19h
- mercredi 18 octobre et jeudi 19 octobre de 9h à 18h.



L'OMS a écrit:On review by our technical colleagues, please be informed that WHO classified mercury as one of the top ten chemicals or groups of chemicals of major public health concern. The WHO fact sheet on mercury and health available online (see link) outlines how mercury exposure should be taken seriously. In this context, WHO is committed to support the implementation of the Minamata Convention on mercury to reduce global mercury pollution. The Minamata Convention on Mercury is a global treaty to protect human health and the environment from the adverse effects of mercury (see link).
Thank you once again for reaching out to us.
Kind regards,
Ethics Team
WHO/DGO/CRE/Ethics Unit





Un Député a écrit:J’ai lu attentivement votre email. Comme le veut l’usage républicain, je vous invite à contacter mon collègue Aymeric Caron, députée de la circonscription dans laquelle vous résidez (aymeric.caron@assemblee-nationale.fr).
Bien cordialement,
Député d’Ille-et-Vilaine
Assemblée nationale – 126 rue de l'Université, 75355 Paris 07 SP

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Sophocle

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Messagede Sophocle » Ven 13 Oct 2023 16:31

Un Député de l'Essonne et ex-candidat à l'élection présidentielle a écrit:J’ai bien pris connaissance de votre courriel du 30 septembre dernier, ainsi que les terribles effets indésirables dont vous souffrez du fait d’une infection aux métaux lourds (mercure).
Au regard de votre témoignage très précis et très étayé, il est clair qu’une telle absence de législation en ce qui concerne les analyses biologiques doit être réparée le plus rapidement possible. Pour autant, étant moi-même député non-inscrit (n’appartenant à aucun groupe), je ne dispose pas des moyens humains et matériels de mes collègues de groupe et, surtout, ne bénéficie d’aucune niche parlementaire me permettant de mettre au débat et aux voix mes propositions de loi. Aussi vous serais-je reconnaissant, si vous êtes au fait d’une proposition de loi déposée par l’un de mes collègues députés, à me le faire savoir afin que je m’y associe sans réserve.


Un membre de Cabinet de la Commission Européenne a écrit:On behalf of Mrs X we acknowledge of receipt of your email.
We have shared the information sent with the relevant services in the Commission.
Assistant in the Cabinet of Commissioner X.
European Commission
Cabinet Commissioner Sinkevicius
BERLAYMONT 8/182
B-1049 Brussels/Belgium


********************************
Dimanche 15 octobre
Plusieurs députés ont exprimé que mon texte était technique et qu'ils ne pouvaient pas interpréter mon texte par eux-mêmes.
Il leur fallait consulter un expert.
J'ai donc corrigé mon texte de façon à expliciter toute partie technique.
J'ai donc renvoyé ce nouveau texte aux Députés.


une Députée des Alpes-Maritimes a écrit:Mme X, Députée des Alpes-Maritimes, a bien pris connaissance de votre courriel et elle vous en remercie.
Elle m'a chargée de vous informer qu'elle allait le transférer au bureau de son groupe parlementaire à l'Assemblée Nationale afin qu'une attention particulière soit apportée au problème que vous soulevez.
Bien cordialement,
X
Attachée parlementaire de Mme X
Députée des Alpes-Maritimes


Une Députée de l'Eure a écrit:Madame la députée vous remercie pour votre courriel et va étudier vos documents avec attention
Cordialement.
X
Collaboratrice de X
Députée de l'Eure
Commissaire aux affaires sociales
Vice-présidente du groupe d'amitié France-Danemark


Une Collaboratrice d'une députée de Paris a écrit:Je vous remercie pour ces informations et votre alerte.
Bien à vous,
X
Collaboratrice de X




Sur papier à en-tête, un Président de région a écrit:J'ai bien pris connaissance du courrier que vous m'avez adressé.
Je tiens par la présente à vous informer avoir aussitôt saisi Monsieur X, Directeur général de l'Agence régionale de santé de Normandie.


Un Député des Bouches-du-Rhône a écrit:J’accuse bonne réception de votre message du 15 octobre ainsi que la transmission de vos documents, dont j’ai pris connaissance avec attention et je vous en remercie.
Bien respectueusement,
Président de la Commission du Développement du Développement Durable et de l’Aménagement du Territoire
Député des Bouches-du-Rhône



Une députée de la Marne a écrit:La députée X a bien pris connaissance de votre mail et vous remercie des éléments envoyés.
Bien cordialement
X
Attachée parlementaire de X, Député de la Marne
Assemblée nationale
126 rue de l'Université
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Sophocle

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SUITE DES REPONSES

Messagede Sophocle » Mer 18 Oct 2023 17:01

A son ARS, une députée de la Haute-Savoie a écrit:Madame la Directrice Générale,
Par une récente sollicitation, je souhaitais vous faire part de la situation de Monsieur (Sophocle), architecte français, qui a été intoxiqué au mercure pendant quinze ans.
En effet, il m'est important de vous relayer les inquiétudes qui me sont transmises, notamment cette dernière interpellation. C'est en 2008 que les premiers symptômes sont apparus et se sont aggravés les années suivantes. Du fait de la lourdeur de ses symptômes, il a arrêté de travailler en 2012. Atteint l'électrogalvanisme en 2014, un traitement lui a été administré, après des années de souffrance, afin de résorber les symptômes issus des métaux lourds. Trois mois après la prise de chélateurs, les symptômes ont commencé à disparaître. Il a été ensuite impacté par une défaillance des analyses biologiques par les Centres Antipoison et les Centres Régionaux de Pathologies Professionnelles et Environnementales, ayant refusé la prise en charge. Aucune solution conventionnelle n'a été trouvée pour qu'il puisse être pris en charge. Il accuse alors la sécurité biologique des amalgames qui est contestée de nos jours.
Démontré par les chercheurs scientifiques, les amalgames dentaires libèrent continuellement de la vapeur de mercure, ensuite inspirée dans les poumons, où, 80% de cette vapeur est absorbée par l'organisme et passe dans le sang.
Le mercure est un métal lourd et une substance indésirable, très nuisible pour le corps humain. L'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) cite le mercure comme un des dix polluants les plus préoccupants pour la santé. Sa présence dans le corps humain favorise l'apparition d'une intoxication à long terme.
Les métaux lourds représentent un problème de santé publique et concernent plus d'une personne en France. Devant le nombre important de victimes d'intoxications corporelles, il est nécessaire de prendre en considération, en sus de l'exposition, la charge corporelle laissée en conséquence. En ce sens, et au vu de l'ensemble de ces éléments, je sollicite votre bienveillance ainsi que celle de vos équipes dans l'examen de ce problème de santé publique. Par ailleurs, ce serait un plaisir de vous accueillir à ma permanence afin de vous rencontrer et d'échanger sur les problématiques et enjeux locaux. Mon équipe parlementaire reste à disposition.
Vous remerciant par avance pour l'intérêt bienveillant que vous porterez à cette sollicitation.


EFSA a écrit:Thank you for your interest in the European Food Safety Authority. We have received your request. We will get back to you by email within 15 working days. Meanwhile you can consult our Frequently Asked Questions here if you haven't done so yet.
Request Number: X
Subject: VALID BUT UNRELIABLE BIOLOGICAL TESTS
Date Submitted: 10/18/2023
Log in to find further details of your request:
The EFSA's Ask a Question Team
EFSA a écrit:Thank you for your interest in the European Food Safety Authority (EFSA).
EFSA’s role is to provide independent scientific advice on matters linked to food and feed safety. EFSA’s risk assessments provide risk managers (i.e. the European Commission, European Parliament and the Member States) with the sound scientific advice they need to help them take the final legislative or regulatory decisions required to ensure that European food is safe for consumers.
Since your complaints seem more connected to chemicals and medicines, not food and feed related, we kindly advise you to contact EMA (European Medicines Agency), please find their contact form via this link or visit their webpage, or ECHA (European Chemical Agency), please find contact information here or visit their webpage.
Additionally, you can consult our website here to see the EFSA's Scientific Opinion on the risk for public health related to the presence of mercury and methylmercury in food.
Should you need any further information, please do not hesitate to contact us via the Ask a Question tool again.
We kindly invite you to complete a short survey at this link, to help us learn about your satisfaction thus improving the quality of our service.


Une Député de la Loire-Atlantique a écrit:Nous avons étudié votre problématique en détail.
Nous pensons qu’il serait utile pour vous de vous rapprocher d’une association de représentation des patients, comme France Assos Santé.
Cela permettrait de saisir la HAS : Toute association agréée au titre de la représentation des patients et usagers du système de santé (article L.161-37 du code de la sécurité sociale) peut saisir la HAS.
Malheureusement, toutes les politiques de Santé publiques sont pilotées par le gouvernement et nous n’avons que peu la main sur ça.
Néanmoins nous allons prévoir de déposer des amendements pour le Projet de loi de financement de la Sécurité Sociale pour 2025 (puisque les délais pour 2024 sont dépassés).
J' a écrit:Ne pouvez-vous pas poser une question au Gouvernement afin de l'interpeller sur le sujet ?
Il devra en tenir compte dans le prochain PNSE (Plan National Santé Environnement).
Le problème de santé publique que je soulève est extrêmement grave.
Il mérite que le Gouvernement soit saisi de la question.
Par exemple, Monsieur NICOLIN, Député, avait interpellé le Gouvernement par ce moyen :
https://questions.assemblee-nationale.f ... 6233QE.htm
Si vous le désiriez, je peux aider à rédiger la question.


Dans la continuité de votre courriel, nous n'avons pas eu de réponse suite au transfert de votre message au bureau du groupe parlementaire des Républicains.
Nous vous invitons donc à solliciter également des parlementaires par ailleurs médecins de profession tels que X, Député LR du département de l'Isère X@assemblee-nationale.fr ou X, Député LR des Hauts de Seine X@assemblee-nationale.fr, qui seront plus à même de répondre à votre demande.
Espérant avoir répondu à vos attentes,
Bien cordialement,
Attachée parlementaire de Mme X
Députée des Alpes-Maritimes



La Commission Européenne a écrit: (Traduction en ligne)
Je vous remercie pour le message adressé à Mme Gallina et les documents annexés que nous avons lus avec beaucoup d'attention. Je répondrai en son nom pour les aspects liés aux dispositifs médicaux, puisqu'ils font partie de mon portefeuille.
Permettez-moi tout d'abord de vous dire que je suis vraiment désolée d'apprendre votre état de santé et que j'espère qu'il s'améliorera bientôt.
Nous sommes bien conscients du débat qui entoure le mercure dans les amalgames dentaires et c'est pourquoi nous avons demandé à notre Comité scientifique des risques sanitaires émergents et nouveaux (CSRSEN) de fournir un avis actualisé sur la question. Le CSRSEN a conclu que les données disponibles à l'époque n'excluaient pas l'utilisation d'amalgames dentaires. Cependant, le choix du matériau doit être basé sur les caractéristiques du patient telles que les dents primaires ou permanentes, la grossesse, la présence d'allergies au mercure ou à d'autres composants des matériaux de restauration, et la présence d'une clairance rénale altérée.
Un aperçu de l'avis est disponible ici : https://health.ec.europa.eu/other-pages ... amalgam_en, tandis que le texte complet est disponible ici : https://ec.europa.eu/health/scientific_ ... _o_046.pdf .
En outre, la Commission européenne a présenté la proposition COM(2023)395 du 14/7/2023 en tant que modification du règlement sur le mercure (UE) 2017/852 qui couvre principalement la protection de l'environnement mais aborde également l'impact sur la santé humaine dû à la présence de mercure dans l'environnement ou à son utilisation. Cette proposition restreint davantage l'utilisation des amalgames dentaires, ainsi que leur fabrication et leur exportation sur et depuis le territoire de l'Union et de l'Espace économique européen.
Le texte du règlement (UE) 2017/852 peut être consulté à l'adresse suivante : https://eur-lex.europa.eu/eli/reg/2017/852/oj .
Des informations sur la proposition sont disponibles ici : https://ec.europa.eu/transparency/docum ... f=COM(2023)395&lang=en .
En ce qui concerne le contexte plus large de l'impact des métaux lourds sur la santé et de la fourniture d'un traitement médical approprié en cas d'intoxication aux métaux lourds, je crains de ne pas pouvoir fournir d'autres éléments, étant donné que la fourniture de soins de santé relève de la responsabilité des États membres.
Toutefois, je peux vous conseiller de contacter les autorités compétentes en France pour obtenir plus de soutien concernant vos besoins spécifiques.



Une toxicologue a écrit:J,ai bien recu votre message et ne sais pas trop ce que vous attendez de moi.
Je suis au Canada et me demande comment vous avez eu mes coordonnées.




*********************** Jeudi 9 novembre 2023
J'ai transmis cette synthèse au Juge.
j'espère que cela va conforter le Juge à proposer une inculpation de la filière de toxicologie.

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