TOXICOLOGIE EN TOC.

Quand la santé revient enfin, il faut le dire et même le crier!

Réponses au plaidoyer

Messagede Sophocle » Mar 1 Oct 2024 06:33

un ex de l'Inspection générale des services sociaux a écrit:Bonjour Monsieur,

Sensible à votre message et à la cause qui vous préoccupe, je ne suis cependant pas en poste à l’IGAS aujourd’hui et me consacre à une mission dans le secteur du dialogue social et des transports.

Je ne puis donc malheureusement vous être d’aucune aide dans votre démarche.

Avec mes meilleures salutations




Bonjour,
Je vous remercie de cette transmission que je vais regarder avec attention.
Bien cordialement
X
Direction des Autorisations de Mise sur le Marché (DAMM)
AGENCE NATIONALE DE SÉCURITÉ SANITAIRE de l’alimentation, de l’environnement et du travail
14 rue Pierre et Marie Curie 94701 Maisons-Alfort Cedex
http://www.anses.fr — @Anses_fr


l'Agence régionale de santé de l'ile de france a écrit:Monsieur,

 

Le département réclamations évènements indésirables et vigilance de l’ARS Ile-de-France accuse réception de votre courriel du 26 septembre 2024, concernant des excès de métaux (cuivre, fer) dans le cerveau des patients atteints d'Alzheimer, détectés post-mortem mais non traités du vivant des malades.

 

Nous vous remercions de nous avoir fait part de votre témoignage.

 

Nous prenons bien note de vos démarches d'alerte, notamment celles adressées à la Présidence de la République, au Premier ministre ainsi qu'au Ministère de la Santé. Votre préoccupation concernant la gestion des excès de métaux chez les patients atteints de maladies chroniques a bien été enregistrée et nous comprenons l'importance que vous y attachez.

 

Restant à votre disposition, nous vous prions d’agréer, Monsieur, l’assurance de notre considération distinguée.

 

Département Réclamations, Evénements Indésirables et Vigilances

Coordination Sanitaire

Direction Veille et Sécurité Sanitaire

13, rue du Landy 93200 - SAINT DENIS



Un Préfet a écrit:Bonjour Monsieur,

Nous vous informons que M. X, préfet de la région Nouvelle-Aquitaine, préfet de la Gironde a bien pris connaissance de votre mail et il l'a transféré au directeur de l'Agence régionale de santé.

Bien cordialement

Le secrétariat

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Plainte CMP

Messagede Sophocle » Mar 1 Oct 2024 09:28

sur demande de l'ARS, l'hôpital a écrit:Monsieur,
J’accuse réception de vos différentes réclamations.

Je vais prendre attache, dès à présent, avec le service de soins concerné afin d’obtenir des éléments de réponse.

Par ailleurs, je tiens à vous informer que votre réclamation fera l’objet d’une étude en Commission des Usagers. Elle a pour mission d’analyser les réclamations afin d’améliorer la qualité et la sécurité de la prise en charge des patients et de veiller au respect de leurs droits.
Restant à votre écoute,
Cordialement,
X
Chargée des Relations avec les Usagers
Direction des usagers, de la qualité et de la gestion des risques

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RÉPONSE DE LA D.G. DE L'ANSES

Messagede Sophocle » Mar 1 Oct 2024 19:01

voici la réponse de la Direction Générale de l'Anses.

Enfin.

Mais,
c'est de la langue de bois qui noie le poisson.

D.G. ANSES


Ptit Gars a raison, je n'arriverai pas à obtenir gain de cause...


Je ferai une réponse longue plus tard...
Il faut que je murisse ma réponse.


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BROUILLON DE REPONSE AU D.G. DE L'ANSES

Messagede Sophocle » Sam 5 Oct 2024 01:57


Au Directeur Général de l'ANSES.

Maisons-Alfort.

Copie Directeur Général de la Santé

Copie Vice-présidente C.A. ANSES





Paris, le xx octobre 2024


Monsieur le Directeur Général,


Suite à votre courrier réponse du 1er octobre 2024, il est hors de question de laisser dire que l'imprégnation corporelle est surveillée car cela n'est absolument pas le cas.


Concernant l'imprégnation (=charge corporelle), comme les analyses de SANTÉ PUBLIQUE FRANCE (SPF) se cantonnent aux analyses validées, SPF ne surveille absolument pas l'imprégnation. Le mot "imprégnation" employé par SPF et par l'ANSES est un abus de langage qui trompe les néophytes de façon à se rassurer avec une prétendue exhaustivité des analyses quant à l'exploration du corps. Dans les faits, SPF ne surveille uniquement l'exposition (sang, urine, salive) et uniquement l'exposition chronique du sang (ongles, cheveux). L'urine, les cheveux, la salive et les ongles ne sont que des reflets du sang et ils n'expriment absolument aucune information sur l'imprégnation du corps ou d'un organe spécifique. Par exemple, ces matrices sont totalement aveugles quant à l'état d'intoxication du cerveau ou de tout autre organe. Pour connaître l'état d'intoxication d'un organe, il faut impérativement dissoudre l'organe et comparer à la valeur en population en santé. Avec la panoplie d'analyses validées actuelles, les Agences de santé sont donc dans l'impossibilité d'évaluer l'état d'intoxication d'un organe. Prétendre qu'un organe n'est pas intoxiqué au motif que la prise de sang est négative est donc une erreur. L'exposition chronique et l'imprégnation sont deux choses totalement différentes, elles ne peuvent absolument pas être confondues. Il est trompeur de faire passer une exposition chronique pour une imprégnation. L'imprégnation est la charge corporelle en métaux et l'exposition chronique est l'enregistrement des valeurs sanguines dans le temps. Or, les études sur l'imprégnation sont totalement manquantes aussi bien du vivant du patient que post-mortem. La seule analyse qui explore le corps au-delà du sang du vivant du patient est l'analyse d'urine après traitement, mais cette analyse n'est pas encore validée ; post-mortem, il est possible de dissoudre l'organe et d'évaluer la charge, mais les références n'ont pas encore été dressées. Les références post-mortem auraient peut-être déjà dégagé des cofacteurs des maladies chroniques. Aussi, ces co-facteurs auraient pu être traités et prévenus du vivant du patient. Dans ses enquêtes publiques, SPF doit donc nécessairement écarter l’analyse après traitement de son éventail d'analyses. Faute de mieux, SPF se contente donc du sang, de l’urine et des cheveux dans l'Étude Esteban. SPF et toute autre agence se contentent de l'exposition car elles ne peuvent pas faire autrement. L’imprégnation n'est donc jamais surveillée ni en individuel, ni en population par aucune Agence de santé, ni par aucun médecin, ni par les Centres antipoison, ni par personne car il n'existe pas d'analyse validée qui concerne le corps au-delà du sang. Seuls l’Allemagne et les États-Unis traitent l'imprégnation dans des filières médicales alternatives qui pratiquent l'analyse après traitement. Je rappelle que le sang ne représente que 5% du corps et qu'il n'est pas représentatif de l’imprégnation ou de la charge des organes sains ou intoxiqués. Les dispositifs médicaux et les maladies chroniques sont donc mal évalués car ni les organes ni le corps ne sont absolument pas examinés ni du vivant ni post-mortem. Les analyses validées mènent donc aux maladies chroniques dans une douce confiance trompeuse. Et, j’alerte en demandant de lever le doute par l'établissement des références des analyses après traitement et par les analyses d'organes post-mortem.


Votre courrier du 1er octobre 2024 n’exprime aucune d'explication quant aux Alzheimer du traité de toxicologie CHELATION THERAPY dont les autopsies des cerveaux présentent des taux très inquiétants de fer et cuivre et à qui on n’a pas annoncé de leur vivant qu'ils étaient intoxiqués car les analyses validées nient l'entièreté le cerveau. Les analyses validées ont donc sévèrement menti à ces Alzheimer. Les analyses validées sont insuffisantes car elles privent les populations de la prévention, de guérison ou d'arrêt de l'évolution de la maladie. Pour évaluer la charge précise du cerveau et pour affirmer s'il y a intoxication ou pas du cerveau, il faut dissoudre le cerveau et comparer à une population en bonne santé, cela est absolument incontournable, on ne peut pas faire autrement ; bien sûr, cela est évidemment inenvisageable du vivant du patient. De plus, il aurait fallu dresser la référence en population mais cela n'a pas encore été réalisé post-mortem. Une ventouse sur la tête permettra de sonder l'état de lymphe cérébrale sans intrusion, mais l'exploration demeurera partielle. Aucun cheveux, aucun sang, aucune autre matrice déjà validée n'exprimera jamais rien du cerveau ; seul le cerveau parle du cerveau. À jamais, la toxicologie ignorera si le cerveau d'un patient vivant est intoxiqué car l'analyse adéquate et circonscrite à l'organe ne peut pas être réalisée du vivant du patient. Avec les références post-mortem du cerveau, il sera peut-être possible d'établir quelques liens entre co-facteurs et symptômes ; mais, les références post-mortem demeurent encore négligées et non réalisées. Comme les maladies neuro-dégénératives parviennent de cofacteurs, il est possible que chez certains Alzheimer se soit les excès de métaux qui participent à la maladie ; et, il est possible que chez d'autres Alzheimer, ce soit les excès de pesticides, ou un mix. Il en va de même pour tous les autres organes (rate, reins, muscles, ...). Dans ce cas, le doute doit bénéficier au patient. La seule alternative qui demeure dans la littérature scientifique du vivant du patient, c'est une analyse après traitement car le traitement circule dans le cerveau et dans les autres organes. Mais les métaux du corps tout entier seront tous confondus dans l'urine, il sera donc impossible de cibler un organe (cerveau, muscles, …). Dans le doute, le patient doit donc être traité tant que les excès apparaissent aux analyses après traitement. Cependant, le traitement n'est jamais pratiqué en France car les références n'ont pas été dressées. Faute de référence, l'analyse après traitement est non interprétable. Les cerveaux de ces Alzheimer ont donc été laissés sans surveillance appropriée. Au contraire, les analyses validées auront écarté à tort l'intoxication. Les analyses validées sont donc trompeuses, elles disent des choses qui sont fausses car les Agences de santé (ANSES et SPF) prétendent qu'elles surveillent l’imprégnation ; or, les analyses après traitement auraient pu permettre à ces patients de se dire des choses qui sont vraies à temps pour réduire ou éviter le drame. De plus, l'Alzheimer n'est qu'un symptôme, d'autres symptômes (Parkinson, SEP, …) pourraient être concernés par les excès de métaux. La preuve que les analyses validées surveillent l'imprégnation n'est pas apportée. Il ne sera jamais possible d'apporter la preuve que l'imprégnation est actuellement surveillée car du mercure apparaît en grande quantité lors des analyses après traitement. Ce mercure prouve que les analyses validées ne représentent pas le corps. Si l'imprégnation était surveillée, on aurait retrouvé les excès de cuivre et de fer chez ces Alzheimer de leur vivant. L'imprégnation n'est donc actuellement absolument pas surveillée. 


De plus, le Docteur Monsieur Grégory EMERY, Directeur Général de la Santé (DGS, échelon au-dessus des Agences de santé), m'a confirmé que les personnes particulièrement imprégnées nécessitaient des travaux de recherche afin d'optimiser leur prise en charge. Le DGS reconnaît donc qu'il existe une faille dans le système. La science médicale se transforme donc en machine qui nie des intoxiqués. Le nombre de personnes concernées demeure à évaluer, mais, suite aux informations consignées dans le traité de toxicologie CHELATION THERAPY, le million d'Alzheimer en ferait peut-être parti. En dressant les références, on pourra établir le nombre de personnes concernées. Mais comme 95% du corps est laissé sans surveillance, il est envisageable que le nombre de personnes concernées est très élevé.


L'établissement des références après traitement est une mesure salubre car l'excrétion des excès de métaux stockés est forcée. Grâce à ces références, il sera enfin possible d'extraire les excès de métaux stockés chez un patient. Je reconnais que les analyses validées actuelles sont fiables et éprouvées pour déceler une exposition et une exposition chronique qui mènent à des symptômes ; mais, j'affirme que ces mêmes analyses demeurent totalement inopérantes pour évaluer une charge corporelle (imprégnation) car du mercure sort en grande quantité lors des analyses après traitement chez les personnes exposées par rapport aux analyses validées. Du vivant du patient, la charge corporelle et la charge organe par organe échappent complètement à la toxicologie conventionnelle. Les références après traitement seraient confisquées au motif que la science internationale est muette sur le sujet ; cela est incompréhensible et désolant. Il n'y a pas à attendre quoi que ce soit pour explorer 100% du corps. 95% du corps demeurent donc non sondés par toutes les Agences internationales alors qu'on sait explorer le corps par les analyses après traitement. Or, des millions de Français souffrent de maladies chroniques dont on ignore encore les cofacteurs. Par prudence, il convient d'établir ces références pour vérifier si les excès de métaux corporels stockés ne sont pas un cofacteur d'une part de ces malades. Ces références permettront trois choses : prévenir, guérir ou empêcher l'aggravation de la maladie chronique sur 95% du corps. Actuellement, les analyses se limitent à 5% du corps ; seuls 5% sont donc prévenus, guéris ou empêchés de s'aggraver. Tant que ces références ne sont pas réalisées, on ne peut pas affirmer que les excès de métaux ne sont pas les cofacteurs des maladies chroniques au niveau individuel. À ce jour, 5 microgrammes de mercure par gramme de créatinine dans l’urine déclenche une prise en charge ; mais, faute de référence, 100 microgrammes dans les urines après traitement sont refusés. Autrement dit, aujourd'hui, le traitement est donné uniquement si le sang était malade mais il est refusé si c'était le cerveau qui était malade ; le traitement pour un cerveau malade n'est donc pas administré au motif que le sang n'est pas malade. Cela est kafkaïen.


Une analyse et un traitement se mesurent à leur rayon d'exploration. L'analyse d'une matrice est circonscrite à la matrice en question. Le sang ne donne une information uniquement sur le sang, l'urine sur l'urine, la salive sur la salive, et ainsi de suite. Seuls les cheveux et les ongles enregistrent certes un historique du sang, mais le sang n'est pas le corps ni le cerveau. Toutes les analyses validées excluent donc tout le corps sauf les matrices validées, sang, urine, cheveux, ongles, salive. Les cerveaux, muscles, rates, poumons, intestins, moelles,  articulations, foies, peaux, reins, tendons, muqueuses, ..., soit 95% du corps, sont niés par la validation. Les analyses après traitement ne sont certes pas la panacée car elles ne représentent absolument pas la charge corporelle, mais elles sondent beaucoup plus profondément le corps que les matrices validées. Elles décèlent des excès de métaux stockés dans les organes qui passent totalement inaperçus chez chacune et chez toutes les matrices validées. En dépit de leurs défauts, les analyses après-traitement portent donc une plus-value majeure qui ne peut pas encore être activée faute de validation. Les analyses après traitement sondent les profondeurs du corps. Les Français sont donc victimes de la perte de cette plus-value, ils sont victimes de perte de chance de guérir par le défaut de la validation. Ils sont également victimes de ne pas être informés du cofacteur de leur maladie. Pour des raisons uniquement administratives (défaut de validation), la santé des Français n'est pas significativement améliorée.


Par exemple, les Français qui présentent les symptômes d'une intoxication chronique lourde au mercure et qui disposent d'analyses après traitement du mercure très inquiétantes et réalisées en Allemagne sont interdits de traitement sur le territoire français car les Centres antipoison profèrent des menaces publiques contre les médecins qui traitent avec des analyses après traitement au motif que ces analyses ne sont pas validées ; cela est scandaleux car, dans ce cas, l'administratif prime sur la santé des populations. De plus, ces Français ne seront pas reconnus comme intoxiqués car leurs analyses validées sont négatives. Au motif que le cerveau n'est pas un organe validé en France, ces Français doivent se déplacer en Allemagne ou se diriger vers des filières clandestines ou se traiter eux-mêmes pour traiter le cerveau afin de réduire les symptômes cognitifs avec des analyses après traitement. Il existe même un forum internet français où environ 5.000 intoxiqués en errance ont exprimé comment ils traînent leur langueur à propos de leurs excès de métaux.


De plus, il est très intéressant d'enlever les excès de métaux stockés y compris chez des patients qui souffrent de pathologies qui ne sont pas liées à ces excès car ces excès entraînent une fatigue proportionnelle à la valeur de l'excès. Même si le traitement des métaux ne guérit pas le patient de sa maladie, il permet de rehausser un peu la santé du patient. Il en est de même avec les pesticides car les particules oxydantes se potentialisent les unes les autres. Il est donc vraiment avantageux de déstocker toutes les particules oxydantes (organiques et inorganiques, métaux lourds et pesticides). Pour cela, il faut que toute la gamme des analyses après traitement soit validée ; or, aucune analyse après traitement n'est actuellement validée. Dans le cadre de la prévention, il est même intéressant d'éliminer ces excès de particules chez les personnes en bonne santé car des maladies à retardement naîtraient 20 ans après l'élimination naturelle de ces particules. Si les Français avec ou sans symptômes caractéristiques veulent se faire enlever les excès de métaux corporels et les excès de particules organiques (pesticides), permettez donc qu'ils le fassent en validant toute la gamme des analyses après traitement. Cela est une hygiène de vie car la salubrité en particules oxydantes du corps aura été obtenue et qu’il est désormais indiscutable que les pollutions participent à l'Alzheimer et autres maladies chroniques (réf : Collège de France). Sans enlever les métaux et les pesticides, nous vivons légitimement dans la crainte accentuée d'un Alzheimer car toutes les précautions n'auront pas été prises. En enlevant les excès de métaux et les excès de pesticides du cerveau, nous sommes assurés de réduire la survenue de maladies neuro-dégénératives au strict minimum. Je rappelle qu'une personne sur cinq est susceptible de déclencher un Alzheimer, le danger est donc très élevé. Il en est de même avec le cancer et le reste du corps. De nombreuses propositions pour démocratiser les traitements sont disponibles dans le plaidoyer.


Pour tous ces motifs, je demande donc que l'ANSES procède à la validation des analyses après traitement des particules inorganiques (ex: métaux). Je demande également que les ventouses, l'Ayurveda, et le jeûne fassent l'objet d'une validation car seules ces médecines déstockent les particules oxydantes organiques (PCB, bisphénols, mitochondries vieillissantes, ...). Avec la validation des ces médecines, il y aura une unification des médecines contemporaines et traditionnelles. Je rappelle que les populations traditionnelles pratiquent ces médecines de façon préventive une fois par an. La santé est au-dessus de tout, il n'existe donc aucune raison valable pour négliger 95% du corps et retarder l'établissement des références.


En ne traitant pas le cœur de ma contestation sur la représentation des analyses par rapport au corps, on impose aux Français que les analyses validées doivent persister à nier 95% du corps au motif qu'il n'existe pas de débat scientifique international nourri sur le sujet. Cependant, la contestation des analyses validées par des scientifiques est relatée plusieurs fois dans le traité de toxicologie CHELATION THERAPY (voir plaidoyer) et elle a démarré en 1992. De plus, le Ministre Américain de la Santé a accusé réception de mon plaidoyer depuis son agence nationale de toxicologie. Sa réponse est donc très sérieuse. Ce ministre est particulièrement et lourdement visé par mes accusations car le reste du monde récupère ses références.


De plus, les références post-mortem organe par organe (sauf le foie) ne sont pas encore disponibles car ces références sont négligées par les filières officielles de toxicologie. Tant de lacunes sont étonnantes. Avec toutes ces lacunes, même si le sang était négatif, il est impossible d'acter une absence d'intoxication. Je demande donc que ces références post-mortem organe par organe soient enfin dressées afin de mieux cerner les maladies chroniques. Par exemple, pour Alzheimer et le diabète, ces références seraient éventuellement décisives et elles croiseraient et affineraient localement les résultats des analyses après traitement. Cependant, on ne peut pas mesurer le taux des particules organiques post-mortem car ces dernières seront dissoutes avec l'organe, ces analyses seront donc nécessairement incomplètes. Le doute doit donc bénéficier au patient en appliquant les médecines traditionnelles car ces médecines traitent les particules organiques oxydantes. Je rappelle que l'application des médecines traditionnelles est très économique.


Le Ministre Américain n'a pas été ému par les lourdes accusations que je porte contre la toxicologie conventionnelle internationale car les analyses après traitement augmentent significativement de 5% à 95% l'exploration corporelle des analyses. Il a donc accusé réception du plaidoyer depuis son agence de santé. Je confirme que je lui ai écrit directement sur son mail et il ne s'est pas plaint de mes multiples messages. Le Ministre américain a accusé réception au 8ème message. L’agence américaine de santé CDC a également confirmé que je soulevais un problème de santé publique. Même le Ministre Américain des Vétérans m'a répondu car des centaines de milliers de soldats sont intoxiqués et qu’ils ne bénéficient actuellement absolument d'aucune médecine qui extrait les poisons car toutes les analyses  couramment appliquées se contentent du sang et qu'aucune analyse après traitement n'est validée. Sur les nombreux hauts responsables à qui j'ai écrit une dizaine de fois, vous êtes le premier et le seul à vous plaindre. De plus, un lien de désabonnement est mis en évidence pour cesser de recevoir mes messages et je n'envoie jamais deux fois le même message. Mes démarches respectent la loi aussi bien au niveau de la forme que du contenu. Même le secrétariat et le chef de cabinet du Président de la République m'ont répondu avec courtoisie à mon cinquième message. La nature de l’alerte rapportée dans le traité de toxicologie CHELATION THERAPY nécessite d'interpeller directement les hauts responsables.


Mon plaidoyer rapporte la parole de scientifiques qui se plaignent des analyses validées et qui promeuvent les analyses après traitement dans la littérature scientifique ; le rapport de cette parole auprès des Institutions et des Agences de santé sous forme d’alerte est donc pertinent car les enjeux sont majeurs. Des milliards d'individus au travers du monde sont concernés par le rayon d'exploration des analyses. Cela est d'autant plus valable lorsque l'agence en charge des références demeure silencieuse aux alertes de la littérature scientifique. Une réponse circonstanciée à cette contestation est attendue. Or, votre courrier du 1er octobre 2024 n'est pas circonstancié à mon alerte concernant l'étroitesse et superficialité des compartiments corporels explorés par les analyses validées ; ce courrier n’énumère que des rappels de façon à entretenir le statu-quo tout en annonçant à tort que l'imprégnation soit surveillée ; de plus, la plus-value de la largeur et de la profondeur des analyses après traitement est passée à la trappe sans explication. Cela indique qu'il n'existe pas d’explication valable à la confiscation des références après traitement. Je considère donc que vous n'avez pas répondu à l'alerte que j'ai soumise car vous esquivez le problème de fond de la représentation corporelle des analyses biologiques.

 

Je rappelle qu'en 2021, l'ANSES a promis aux Français de répondre à tous les commentaires soumis à la consultation publique sur la 5G. Sans motivation, une quinzaine de commentaires soumis par des scientifiques et mon commentaire ont été censurés, ces commentaires n'ont donc pas obtenu de réponse de la part de l'ANSES. Les commentaires censurés sont listés dans le rapport de l'Anses. Ces scientifiques censurés se sont réunis et ils ont donc tous crié à la mascarade ensemble. Suite à cette censure, j'ai donc décidé d'interpeller le monde quant aux insuffisances de la toxicologie conventionnelle rapportées dans les traités de toxicologie. Votre hiérarchie, le DGS français, et le Ministre Américain de la Santé ont répondu favorablement.


Les contradictions révèlent une anarchie masquée par un ordre apparent. Comme les analyses après traitement remettront en cause la prétendue innocuité des amalgames dentaires car les études après traitement qui accusent les amalgames sont déjà disponibles, je soupçonne donc que les analyses après-traitement seront empêchées afin d'éviter le scandale de la mauvaise évaluation passée des amalgames. En n’accédant pas à ma demande de dresser ces références, il est impossible de se départir de ce soupçon. Les analyses organes par organes post-mortem n'ont également pas encore été réalisées pour des raisons similaires car les conclusions de ces analyses bousculeront les vérités actuellement établies. En réalisant toutes ces références, le système de santé actuel sera nécessairement accusé d'amateurisme qui aura causé de nombreuses maladies chroniques car les cofacteurs des maladies jailliront des nouvelles analyses. Comme tout défaut est nié, la santé des Français est considérée à la valeur d'une épingle afin de préserver la réputation du système de santé. Le refus d'établir les références après traitement suggère que quelque chose de choquant est dissimulée, quitte à sacrifier la santé des Français. 

  

 Récapitulatif :

Les analyses validées induisent en erreur et, là où il y a intoxication, elles annoncent une absence d'intoxication,

Dresser les références des analyses après traitement des métaux car elles permettront d'ouvrir le champ d'exploration des intoxications jusqu'au cerveau,

Le nombre de Français concernés peut s'élever en millions.

Dresser les références après traitement des médecines traditionnelles citées, Ayurveda, ventouses, jeûne,

Dresser les références des organes post-mortem et comparer avec les symptômes chroniques. 


En conclusion,

que l'ANSES donne les directives pour établir une intoxication convient mais uniquement à condition que 100% du corps soit pris en compte et que 100% des analyses possibles soient validées. Or, à ce jour, seuls 5% du corps sont pris en compte et de nombreuses analyses pertinentes sont écartées, cela ne convient donc pas. Le monde entier imagine que les Agences de santé explorent 100% du corps ; mais, dans les faits, seuls 5% sont analysés. Le monde se portera beaucoup mieux en augmentant le nombre de diagnostics validés qui sondent les profondeurs du corps et qui extraient les particules oxydantes du cerveau et du reste du corps. Le sang n'est pas suffisant pour examiner l'entièreté de corps car les particules s'accumulent dans les organes. Pour sonder les profondeurs du corps, il n'y a pas d'autre choix que d'appliquer le traitement, d'analyser ce qui est extrait et de traiter tant que les excès apparaissent aux analyses. De plus, le traitement des particules oxydantes augmentera l'activité des médecins.


Quitte à ce que cela semble être de la diffamation, je confirme que je remets en cause lourdement le travail de la toxicologie occidentale car j'accuse les rares et insuffisants protocoles validés de mener vers Alzheimer faute de surveillance adéquate. Toutes ces lacunes et tous ces malades chroniques permettent d'affirmer que les cofacteurs des maladies chroniques ne sont pas bornés. L'absence de référence après traitement et l'absence de référence des organes post-mortem suggèrent une négligence. En comblant ces larges lacunes, un enseignement substantiel en sera tiré pour améliorer la santé publique. Quand on fait de la médecine, on prend tout en compte. Depuis zéro, je demande donc que vous revérifier les rayons d'exploration des analyses validées et que vous augmentez le rayon d'exploration à la portée de la plus-value des références après traitement des chélations, des médecines traditionnelles, et des analyses post-mortem. Si les Français étaient porteurs d'excès de particules oxydantes dans les organes, ils ont le droit de le savoir afin de s'organiser en préventif et en curatif.


Je vous prie, Monsieur le Directeur Général, d'agréer l'expression de mes salutations sincères et respectueuses. 


Sophocle



PIÈCES ATTACHÉES

- Réponse du DGS

- Lettre réponse du 1er octobre 2024

- Ministre Américain de la Santé



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