de wlad » Jeu 23 Juin 2011 06:00
J'ai encore complété le texte :
Etude de cas
a) Prothèse et orgonite
Me M. a la cinquantaine passée. Elle vient me voir depuis déjà un petit bout de temps. Et pourtant, entre plusieurs consultations, elle a fait une rupture d’un des muscles de l’épaule gauche, chose que je n’avais jamais compris puisque la traitant régulièrement, son corps ne devait pas présenter une telle faiblesse. D’ailleurs, malgré mes soins, les résultats sont plutôt maigres.
Petite explication : lorsqu’un muscle est spasmé chroniquement, sur une très longue période, son insertion se calcifie. Si le point d’amarrage du muscle s’épaissie pour supporter la traction, le tendon n’en est pas moins fragilisés un peu plus en aval puisqu’il subit une nécrose progressive. A un moment ou un autre, il y aura un point de rupture. Sur un mouvement anodin, le tendon se déchire. Donc, une rupture signe une contraction musculaire permanente en arrière plan.
Aujourd’hui, devant tout problème musculaire, je saute sur la piste des métaux et des parasitages par tout corps étranger. En déroulant la batterie de test, telle que décrit plus haut, j’en arrive à suspecter une plaque mise dans le poignet droit suite à une fracture. Mais le test d’inhibition (appuyer sur la zone problématique avec l’intention « correction » et réexaminer la force musculaire du sujet) s’avère difficile. Je n’arrive pas à tenir le poignet et à demander une élévation des bras, par exemple. Je suis donc bloqué.
Cependant, l’idée me vient d’y scotcher un orgonite en forme de médaillon qui trainait dans le tiroir de mon bureau. J’avais eu bien auparavant l’intuition que ces bouts de résine contenant de la limaille de métaux, devaient sans doute parasiter les ondes électromagnétiques qui s’incrustaient dans notre habitat (wifi des voisins par exemple). Ils ne les arrêtent pas, mais les parasitent, modifiant un paramètre quelconque et les rendant beaucoup moins nocifs pour l’organisme. Preuve en est, que le wifi est toujours présent, mais ne semble plus agresser le corps.
En scotchant l’orgonite à hauteur de la plaque, les résultats sont hors attente ! Non seulement son bras droit se libère totalement (et je peux vous assurer que la différence est spectaculaire !), mais son bras gauche s’élève aussi, miraculeusement et sans aucune douleur. J’en reste pantois.
En revanche, en plaçant l’orgonite sur n’importe quelle autre partie de son corps, cela ne réagit pas. D’ailleurs, quel que soit la taille de l’orgonite, il doit être placé sur la prothèse pour désactiver l’effet parasitaire de l’objet.
Autant dire, qu’à partir de maintenant, je teste les clous, vis et autres instruments dans le corps par une simple orgonite. Mieux : je vais en placer sur ma table d’auscultation, ainsi le corps ne luttera pas contre des cochonneries électromagnétiques. Il aura donc loisir de profiter pleinement de mes soins ostéopathiques.