Message de gogote
---------------------------------------
Comme je le disais dans mon précédent message, ce n'est pas impossible du tout en effet que la toxicité du mercure soit grandement en cause dans la génèse et/ou l'accentuation progressives des troubles structurels complexes que bcp de malades chroniques présentent, çe me semble tout a fait plausible. Ce que je pense cepedant c'est qu'il n'y a pas qu'une unique direction qui amène à relancer la machine hormonale (nécéssaire a la chélation, on es tous bien d'accord sur ce point la
) et qu'un certain nombre de malade ne répondent pas favorablement aux extraits surrénalien...pour eux, il faut alors prendre le problème dans l'autre sens pour les aider a retrouver suffisament d'énergie qui leur permettra de mener a bien une chélation, puis une détox globale (car personnellement je ne vois pas le mercure comme le seul grand coupable, le glyphosate par exemple est un autre acteur majeur clairement identifié depuis des années mais qui n'est pas impacté par les chélateurs)
En fait et dans la majorité des cas, ce sont les stases, qu'importe l'endroit qui créent la problématique principale de non excrétion/mauvaise detox, ainsi que le relargage de toxines dans le corps. Tu as raison concernant le glyphosate & co, il n'y a malheureusement pas que le mercure qui va perturber l'ensemble de notre organisme. Après, il y a quand même surement certains éléments que le corps gère mieux que d'autres/élimine mieux que d'autres car ils ne vont pas se fixer aux cellules de la même manière. En soi, c'est toujours pareil, on peut prendre tous les compléments du monde, s'il y a stase, il y a non assimilation car la source du bien n'atteint pas la source du mal.
Je le crois également, les glandes endocrines subissent de plein fouet la toxicité globale du corps et en sont fortement impactées, tout comme l'est le cerveau, le foie, les reins et le tube digestif dans sa globalité (d'ou l'intéret notament du microsilica de Shade qui agit positivement dans ce dernière zone).
Retirer la toxicité du corps est le but ultime a atteindre pour aller vraiment vers une meilleure santé, j'en suis persuadé....je ne remet surement pas cet aspect la en cause, mais simplement le chemin de plusieurs thérapeutes, "un peu trop formatés" selon moi, sur comment y arriver.
Entièrement d'accord.
A nouveau quid de l'oeuf ou de la poule, car si réellement leur surrénales sont vraiment HS, ils ne chélatent rien du tout: ils mobilisent, remuent la vase et se réintoxiquent continuellement, tout en se rendant encore plus malade. Ceci est une vérité x100 pour ceux qui ont voulus expérimenter la chélation par IV, qui reste la pire des voies selon moi (dans nos cas de figure).
Si leur surrénales sont au ralentie, mais que le soutien surrénales les aide en ce sens, alors ils sont surement capables de supporter une chélation bien conduite, et c'est la que le protocole de Cutler prend de l'intéret: les chélateurs en petites doses et en flux continue pendant les round est une méthode bien plus sécuritaire que par IV, je n'ai cessé de le dire sur le forum depuis des années... mais même cela ça peut etre "trop" pour quelqu'un qui n'a plus du tout d'énergie, nécéssitant encore que l'on s'intéresse a la question du soutien surrénal.
Dans ton cas précis notament Kali, tu nous a dis d'ailleurs que tu avais eut du mal a un momment car tu n'utiliais pas de soutien sur cet axe la pendant jusqu'a un certain temps, et ton corps n'arrivait plus a gérer toutes les conséquences de la toxicité remué par les chélation... tu as donc suivi les conseils préconisés et tu as soutenus tes surrénales, conjointement a tes round de chélation. Il se trouve que tu semble répondre positivement aux démarches que tu a entreprises sur les surrénales, tu es donc dans une position favorable pour continuer globlament la démarche de détox que tu a entreprise, et tu as en effet tout a fait raison de persévérer en ce sens
Je dis juste que ce n'est malheureusement pas le cas de tout le monde, et que des cas bien plus complexes obligent a voir le problème différement (ou tout du moins a faire des réaustements suppémentaires, en parrallèle a la chélation)
Je pense que nos organes sont quand même très puissant et qu'une logique de douceur va permettre d'éliminer en petite quantité. Beaucoup de mauvais retours ou de cas complexes résultent justement d'une très forte accumulation de toxines, suite à des IV, des chélations mal réalisées, des grosses doses, ou un impact environnemental démentiel sur le corps. Encore une fois, les stases qui se créent dans l'organisme proviennent en partie de l'intoxication massive, donc il faut y aller par bribe, et libérer ces stases avant de pouvoir relancer la machine. Peut-être que tout est une question de dosage, et que les gens qui répondent mal à la supplémentation au niveau surrénalien est encore une conséquence du surplus de charge toxique à cet endroit là. De ce fait, il faudrait pratiquer le même processus que pour la chélation à petite dose, mais également via la prise de compléments à petites doses , pour libérer petit à petit certains organes encombrés, sans les bouriner. Cela marche dans les deux sens, apporter trop de bonnes choses d'un coup risque d'être parfois contreproductif. En fait, j'ai l'impression que beaucoup ici en sont revenus après avoir tenté beaucoup de choses, mais parfois un peu trop à la dure. Du coup ils ont figé leur avis sur des protocoles ou des compléments, en les classifiant personnellement dans des catégories. Or et en soi, c'est peut-être juste et seulement juste la façon de faire à cette époque en rapport à leur santé et les capacités de leurs organismes qui ne collait pas.
Je suis également partisan du fait qu'il faille faire ses propres essais, de toute façon on est bien obligé de s'y coller sinon ne veut s'en sortir... Cependant je sais aussi par exéprience que prendre suffisament de précautions n'est pas du luxe dans nos cas et que lorsqu'on croit qu'on ne peut pas tomber plus bas, et bien si on le peut largement...et la on regrette parfois d'avoir foncé tête baissé. Perso j'ai eut quelques expériences que je ne suis pas prêt d'oublier sur une mobilisation très forte sans moyen de gérer ce flux toxique (avec de la chlorella une fois, puis avec du DMSA en forte dose d'un seul coup la fois d'après), et ce sont le genre d'expériences qui te font te poser après et réfléchir tellement tu redoute de les vivre a nouveau.
Cf ce que je disais plus haut. Peut-être qu'à ton niveau, tu as eu un grand choc via la chlorella ( que j'ai eu aussi récemment...) et au DMSA donc tu en as conclu que c'était trop lourd et difficile pour ton organisme à ces instants. Peut-être qu'avec des béquilles différentes, une autre façon de faire, tu aurais eu de bons résultats. En général et malheureusement, les gens restent sur une mauvaise expérience et ne vont pas forcément réitérer l'expérience, même si elle est différente. Pour la chlorella, je sais que j'ai bien trop abusé et je comprends bien le souci. Je ne le referai pas de la même manière et je prévois donc de faire gaffe si je chélate avec du chimique. Mais justement, ça va me permettre d'adapter un nouveau protocole, de supplémenter différemment, de voir quels organes sont fragiles etc.
Crois moi, j'aimerais bcp que ces bonbons me fassent du bien, et pouvoir en prendre autant que nécéssaire! Mais dans mon cas, et le cas d'un certain nombre de malades complexes, ces derniers me mettent bien plus mal en point qu'ils ne m'aident, et c'est fort regretable...
Alors j'ai cherché, cherché et encore cherché pourquoi, et quoi faire pour dépasser cela, et c'est dans les grandes lignes ce que j'ai expliqué hier dans un précédent message.
Pour le coup, je me méfie de ce genre d'affirmations avec les bonbons miracles, comme je me méfie de l'autre côté disant qu'ils donnent de très mauvais résultats. En fait, on a tendance à complexifier quand il nous manque des morceaux de compréhension. Et parfois, les cas complexes sont au final simples. Juste que le doigt n'est pas mis ou il faut. Je comprends tout à fait ce que tu évoques sur la structure, étant en plein dedans, mais je me questionne aussi sur la logique de fonctionnement du corps à la base, tel qu'il devrait être, et je ne pense vraiment pas que l'on devrait naître malade/perturbé au niveau de notre physiologie et de notre structure si le développement se faisait dans un environnement parfaitement sain.
Je crois surtout que personne n'a ni tort ni raison: chacun présente un bout de la réalité selon une vision qui lui est propre. Il a surement raison d'expliquer de manière plus simpliste que le soutien surrénale est capital, car la voie d'accès standard a ce niveau sera suffisante et efficace pour un bon pourcentage de malade: et dans ce cas la pourquoi faire compliqué si des extraits de glandes, des vitamines et des adaptogènes fonctionnent? Ca reste simple et abordable pour une bonne partie des malades, et leur permet de faire leur chélation en parallèle sans que ça ne les mettent sur les rotules: simple et efficace, il faut alors persévérer et la santé est au bout du tunnel
Maintenant il a également tort pour un pourcentage, qui comme moi sont dans un cas plus complexe et qui non seulement ne peuvent pas prendre d'extraits comme des bonbons, mais même pas en prendre tout court. Pour ces personnes la, le chemin a suivre est ailleurs, et j'en offre ici un aperçu selon MES propres réflexions, qui valent ce qu'elles valent (je ne suis pas parole d'évangile on est d'accord
). Seul la manière d'aborder le noeuf initial est différent, plus complexe a gérer malheureusement, mais après une fois que la machine est relancé, le but est également de se chélater et de se détoxifier (avec du Cutler ou autre).
Un chemin plus complexe malheureusement, mais certains n'ont simplement pas le choix....et je sais que plusieurs anciens forumeurs qui sont la depuis belle lurette et qui n'ont pas avancé comme ils l'auraient tant voulus, font parti de ce lot la (désolé a vous compagnon d'infortune, on aurait tous aimé que nos routes vers la santé soient plus droites!)
La vraie question finalement, c'est comment chélater l'organisme avec les meilleures béquilles qui soient.
En fait, je ne pense pas que Cutler ou toi ayez tord. Encore une fois, tout est complémentaire. J'en suis venu aux mêmes conclusions que toi, partant du principe que j'étais né aux forceps, avec des problèmes divers d'asymétries, de troubles mandibulaires, de la colonne, des cervicales et du squelette en général. J'ai bien cerné la problématique de stase sanguine qui se créent, comme les stases "musculaires/viscérales". Et comme toi, je me suis dit qu'en fait, je me trompais peut-être dans ma vision des choses, et qu'il me faudrait débloquer ces axes pour relancer les processus de détoxification naturel du corps notamment. Sauf qu'en fouillant, je retombe toujours sur les mêmes questionnements :
Pourquoi mon corps est-il asymétrique ??? Pourquoi suis-je né aux forceps ???? Pourquoi suis-je dans cette situation ??? Et finalement, on en revient un peu toujours au même. Je suis dans cette situation, car ma mère était intoxiquée, qu'elle m'a transmis son intoxication massive in utero, que cela a donné une naissance préméditée, avec blocage dans le cordon et sortie aux forceps. Tout cela n'est pas anodin. Si l'environnement in utero avait été parfait, nul ne doute que tout ceci ne serait pas arrivé. J'en conclus que tout ce qu'il est arrivé réside en premier lieu d'une intoxication massive, et non pas d'un mauvais développement inné de la structure. Celle-ci est bien la conséquence à postériori. Maintenant, et c'est ce que je cherche aujourd'hui à comprendre pleinement, peut-on redresser la structure et ainsi relancer les processus naturels de détoxification ? Ou justement, est-ce une énième cause perdue ? Je veux dire, si le corps nait comme ça, que le squelette se développe d'une certaine manière, c'est forcément par adaptation et pour faire au mieux. Donc que ce soi l'hypertension intracranienne que je vis d'ailleurs à mon niveau, comme les troubles viscéraux, les problèmes de posturoception etc... est-ce que tu ne crois pas qu'il est très compliqué/impossible de se réequilibrer tant que la / les sources primaires ne sont pas éradiquées ? A mon niveau et depuis toujours, j'ai vu un tas de spécialistes de la posture, et à chaque fois, ils sont unanimes. Mon corps a un ancrage ou il revient à son propre équilibre, car il ne peut faire autrement. Alors peut-être qu'essayer de forcer le "redressement" postural, de remettre en place l'équilibre qui devrait être n'est pas forcément une bonne idée non plus... car l'organisme se retrouverait en réalité en déséquilibre en rapport à la manière dont il s'est volontairement adapté pour contrer cette désadaptation. Imaginons que l'intox massive soit donc responsables de notre déséquilibre postural, la logique voudrait que la possture qui s'adapte depuis toujours, se rééquilibre réellement en supprimant l'ensemble des sources toxiques. Et la ou je te rejoins, c'est qu'en agissant sur la posture, on peut débloquer certaines stases à ce niveau, qui vont donc débloquer des toxicités sous-jacente et permettre au corps de mieux s'équilibrer. Mais encore une fois, le but aura été de débloquer, de supprimer les stases, la toxicité. Ce n'est pas la posture qui est en cause, c'est encore une fois la toxicité de masse qui s'est retrouvée à ces endroits, ou a occasionné une problématique à des endroits précis.
Ce qui me fait résonner comme cela, c'est toutes ces observations à mon niveau en rapport à l'intox au cuivre notamment et divers tests ces dernières semaines/mois, ou c'est justement quand je fais bouger la toxicité ou essaye une certaine alimentation que je me retrouve avec de grosses douleurs musculaires, des blocages divers, des paralysies etc... cad que lorsque la toxicité se déplace dans le corps et le squelette, hop, elle va avoir surement des lieux de prédilection et selon nos faiblesses déjà innées, et en rapport à l'adaptation de base de notre organisme, appuyer à ces endroits. Je pense que l'ensemble de ma problématique côté gauche provient de la. La toxicité chez moi aime à se retrouver dans l'hémisphère gauche, car c'est ici que j'ai été tiré aux forceps, que le corps a forcé un réequilibrage, et que l'ensemble des organes se trouvent en déséquilibre. Donc stases, blocages etc. Et une toxicité qui est présente et accumulée à ces endroits depuis toujours. Alors oui, je pourrai tenter de jouer sur la posture, remettre à l'équilibre, et je libererai plein de choses, et je l'ai déjà vécu. Le hic, c'est qu'encore une fois, cette posture va revenir au déséquilibre car elle ne peut faire autrement pour nous permettre de survivre et compenser la toxicité sous-jacente. Et on va ainsi réenclcher un mécanisme de stases, de blocages etc. Du coup, j'en viens à la conclusion qu'il me faut très probablement déloger les saloperies à ces endroits, guérir le traumatisme de naissances qui a engendré faiblesse et toxiques à cet endroit. L'un dans l'autre, je pense qu'en faisant cela, tout le boulot de réequilibrage reviendra progressivement et enfin à son réel équilibre, et que les toxines ne viendront plus se loger. C'est donc un travail double qu'il faut gérer. N'ayant essayé une réelle chélation sur la durée, je pense m'y atteler car je veux voir ce que ça donne. Si je n'obtiens pas de résultats, j'aurai mes réponses. Il me faudra amplifier le travail sur le squelette plus en profondeur, mais pas que.
En réalité, je conclurai comme ceci : le déséquilibre postural qui est le mien et chez les cas "complexes" provient de naissance problématique ou d'une extrême intoxication in-utero. Nous naissons donc avec certaines asymétries ou troubles viscéraux/musculaires/ortho etc. Le corps s'adapte comme il le peut, mais à la longue, nous devenons fatigué chronique car ce n'est pas la réelle homéostasie de notre organisme. Et déclenchons ensuite nombres de symptômes et pathologies de par blocages/stases/mauvaise régulation des organes et du milieu sanguin/cellulaire.
Mais la base de cette problématique se trouve dans l'intoxication in-utero, et dans l'ensemble de toxines en nous, comme c'est le cas pour les autismes. Le but semble donc de supprimer au maximum ces toxines pour réguler à nouveau la posture et lui permettre de se rééquilibrer au fil du temps, sans quoi, la posture restera figée à ce qui est le mieux pour nous en lien à la toxicité. L'idée que tu évoques, à savoir jouer sur les mécanismes structurels pour relancer le fluide et la détox naturelle est bonne, mais j'ignore réellement jusqu'ou l'on peut aller, et si réellement, on peut combattre l'intox de masse simplement par un "jeu postural". J'entends par là qu'imaginons qu'une partie de ton crâne se soit fait dégommer à la naissance, comment fais-tu ?? Je n'ai pas de réponses à ce niveau. Alors j'en espère que supprimer la toxicité lancera une forme de régénération des organes blessés et un nouveau réequilibrage pour eux. Comme la neuroplasticité, j'ai pour idée que chaque organe a sa propre plasticité et possibilité de régénération. Encore faut-il en supprimer la source destructrice.
J'imagine qu'à ton niveau, tu considères que l'on peut subir des chocs, effectivement de par la toxicité de base, qui vont agir sur le mécanisme postural et structurel. Celui-ci sera donc biaisé, et sans forcément que la toxicité soit encore présente, ce qu'il aura subi/le traumatisme occasionnera de nouvelles problématiques dans nos vies et sur la durée. Et je te rejoins la-dessus. Mais ça n'enlève pas mon questionnement : si cet organe a été blessé, alors, ce qui l'entoure doit être source de toxicité puisqu'il ne peut correctement fonctionner.
:avé caysar: