Bonjour Anne

Pour les chélations, tu as au choix :
* l'artillerie lourde (IV de DMPS) qui peut très bien se passer si pas d'exposition aux ondes et selon le degré d'electro-sensibilité
- pic de chélateur dans le sang très rapide
- grosse libération de mercure mais après la sortie dépend de l'état du foie et des reins (surtout eux).
- possibilité de forte rédépose du mercure
* les MIDORA de DMPS, chélation douce qui alterne les types de prises
- niveau relativement constant de chélateur dans le sang (moins que Cutler)
- maitrise des doses
- le sublingual provoque parfois des mycoses bucales
- faible rédépose du mercure
* du Cutler avec comprimés de DMSA puis plus tard de l'ALA
- niveau relativement constant de chélateur dans le sang (la voie orale permet au chélateur de se diffuser lentement)
- maitrise des doses
- besoin de prendre des comprimés toutes les 3/4 heures pendant 3 jours
- faible rédépose du mercure
* protocole de Rueff qui a bien fonctionné sur Marie-Louise
- si les prises très espacés de chélateurs favorisent une rédépose du mercure, la mise en place de ce protocole de manière quotidienne semble rattrapper cela -> si les doses de chélateurs sont faibles, il y a peu de mercure qui se rédépose et à la longue il finira bien par sortir.
Il faut prendre en compte que :
- le DMSA semble passer un peu la BHE contrairement au DMPS
- s'il reste des amalgames en bouche, selon le degré d'electro-galvanisme cela va plus ou moins bien se passer
- s'il existe une forte électro-sensibilité, le mercure en circulation lors des chélations va aller très facilement dans le cerveau
- le DMSA est disponible sans ordonnance et coute moins cher que le DMPS
Pas facile de choisir mais il est possible d'expérimenter pour voir si telle ou telle méthode convient.
A++
Cédric