Alter monde et mercure

Diverses informations utiles à connaître pour bien mener sa chélation

Messagede rox-y » Mar 10 Fév 2009 22:18

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Messagede la cigale » Mer 11 Fév 2009 09:44

l'article ne le dit pas mais je sais pour l'avoir rencontrée à VANNES, que l'auteure se chélate à la chlorella, ail des ours, TM coriande, avec bien entendu régime SGSC et injections méthode ROUDIER avec de très très très bons résultats.
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Messagede marco » Mer 11 Fév 2009 10:00

Bonjour La cigale
Si tu le souhaites tu peux créer un sujet sur la chélation type Klinghartd, dans la rubrique traitements aux chélateurs. Tu pourras nous faire part de ton expérience qui pourra intéresser d'autres personnes.
marco

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Messagede la cigale » Mer 11 Fév 2009 12:44

bonjour marco
perso mes tests ne relèvent pas d'intoxication au mercure, donc je ne peux pas apporter mon expérience sur la détox sur ce métal, mais si relater de ci de là des constatations et que celà dérange pas de problème je sais me taire et je peux enlever mon post.
je pensais simplement que c'était un bon endroit pour les personnes qui se posent des questions sur la chélation naturelle et qui lisent l'article........
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Messagede marco » Mer 11 Fév 2009 13:30

Rebonjour La cigale

On ne s'est pas du tout compris. Je te proposais simplement de créer si tu penses que c'est utile un message sur cette détox que tu suis et qui pourrait être utile à tous. Par exemple Izzaaa se demande si elle va suivre la méthode Klinghartd ou pas. Je n'ai pas l'intention de demander à qui que ce soit de se taire, au contraire ton expérience peut servir à d'autres alors n'hésite pas à en parler. ça serait dommage que certains se sentent exclus parce que leur expérience n'est pas abordée sur ce forum d'où la proposition que je faisais.
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Messagede la cigale » Mer 11 Fév 2009 13:39

ok autant pour moi excuses
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Messagede gigi » Jeu 12 Fév 2009 11:40

Auteur : Victor Roux-Goeken
Publié par :
http://www.journaldelenvironnement.net/ ... DE&ctx=259
Le : 11/02/2009 11:59

****************


Etiquetage spécifique des poissons «sûrs», contrôles plus stricts de la
pollution au mercure, et accord international pour réduire les émissions
de cette substance toxique. Telles sont les principales mesures
réclamées par le groupe de travail Zéro mercure, à une semaine de
l’ouverture de la 25e session du conseil d’administration du Programme
des Nations unies pour l’environnement (Pnue) à Nairobi (Kenya) du 16 au
20 février.

Le groupe de travail Zéro mercure est une coalition internationale de
plus de 75 ONG formée notamment à l’initiative du Bureau européen de
l’environnement (BEE).

Dans un rapport publié mardi 10 février et intitulé «Mercure et poisson:
un enjeu sanitaire mondial majeur», le groupe de travail Zéro mercure
indique que les niveaux standards d’exposition au mercure via le poisson
sont souvent largement dépassés dans plusieurs endroits du monde.

Sans surprise, le risque est plus grand pour les populations dont la
consommation est élevée et vivant dans des zones où la pollution a
augmenté la teneur en mercure du poisson. Mais le risque demeure dans
les zones où un régime en poisson et les teneurs en pollution sont moins
fortes.

Le rapport présente de nouvelles données sur les teneurs en mercure du
poisson de trois régions du monde –Etat du Bengale occidental (Inde),
zone métropolitaine de Manille (Philippines), ainsi que 6 pays membres
de l’UE – Allemagne, Belgique, Espagne, France, Italie et République
tchèque.

C’est en Inde est que la situation est la plus grave: 25 des 56 variétés
de poissons analysées contenaient plus de 0,5 mg/kg de mercure. Cette
valeur est la limite générale appliquée dans le poison proposé à la vente.
gigi

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Messagede gigi » Jeu 12 Fév 2009 11:41

Le scandale français de la pollution au mercure

Publié par : http://www.bakchich.info/article6659.html
Le : jeudi 5 février
Auteur : Benjamin König

*************

France-Nature-Environnement tient conférence de presse ce jeudi pour
lancer sa campagne nationale. Et dévoile, à titre d’exemple, un dossier
explosif sur la pollution au mercure. Bakchich l’a potassé pour vous…

Tout commence en aout dernier. En compagnie d’un chercheur allemand,
Reinhold Moeseler, Marc Sénant, chargé de mission à FNE, se balade près
de l’usine de chlore du groupe Arkema de Jarrie (Isère). Avec l’appareil
de mesure en temps réel du mercure mis au point par son collègue (et
reconnu par l’EPA, le ministère de l’écologie américain), il est loin de
se douter de ce qui l’attend. Voilà déjà plusieurs mois qu’il bosse sur
ce dossier. A proximité de la rivière qui longe l’usine, sur le domaine
public, l’aiguille s’affole : pendant 10 secondes, le taux de mercure
dans l’air atteint 10000 fois la présence naturelle (entre 13000 et
30000 ng/m3 pour les lecteurs chimistes) ! D’autres relevés, effectués
autour du site, montrent que le mercure est présent partout, en
proportions importantes. Et jamais à moins de 300 nanogrammes/m3, soit
la norme acceptée par l’EPA (il n’existe aucune norme officielle en
France). Dans une école, à un kilomètre du site, les niveaux sont encore
très élevés. Repérés, quatre dirigeants de l’usine les interceptent. Et
leur demandent leur identité. Refus. Reinhold Moeseler et Marc Sénant
s’en vont : ils ont leurs relevés : « On préfère parler d’instantanés,
on n’a pas prétention à dire que ces normes sont des évaluations
scientifiques. On ne mesure pas la quantité totale des rejets », précise
t-on à FNE.

Abasourdis, ils décident de revenir le 17 septembre. Cette fois, ils
n’ont même pas le temps de sortir le compteur. Ils sont six cette
fois-ci pour les alpaguer. Les intimidations sont de sortie : « On s’est
renseigné sur vous. On sait qui vous êtes, et ce que vous faites là. »
Et demandent à nouveau les cartes d’identité. Nouveau refus. Alors les
six dirigeants appellent les gendarmes. Qui s’empresseront de vérifier
les papiers des deux empêcheurs de mercuriser en rond, qui battent en
retraite : pas de relevés cette fois-ci. Peu importe : ils ont largement
de quoi informer.
Le mercure, thermomètre d’une industrie obsolète

Car la problématique du mercure est emblématique : il est possible de ne
pas polluer, mais par manque de volonté des entreprises, on continue
d’exploiter un procédé industriel vieux comme Hérode. Eh oui ! Le pire,
c’est que ce procédé, mis au point en 1888 et qui fut à l’origine du
célèbre gaz moutarde, est aujourd’hui obsolète : depuis les années 1970,
deux autres techniques existent, qui nécessitent 30% d’énergie en moins,
et surtout – on touche là à l’ubuesque – qui n’utilisent pas de mercure
! La question est bête à bouffer du foin : pourquoi ne change t-on pas ?
La réponse l’est tout autant : le pognon.

Car le chlore n’est plus rentable, et Arkema, la filiale chimie de
Total, rechigne à investir. FNE ne veut stigmatiser qui que ce soit,
préfère élargir le débat et « mettre l’accent sur l’environnement comme
moteur du redressement économique ». D’ailleurs, six usines en France
utilisent encore ce procédé au mercure. Selon FNE, « Il existe des
problèmes sur tous ces sites, notamment de pollution diffuse. Car il
faut bien comprendre que ces sites ont un passif au mercure qui date de
leur implantation ! ». A Jarrie, c’était en 1916. Nul ne sait combien de
tonnes de mercure ont été dispersées dans les environs. Un chemin
d’accès au lotissement voisin a carrément été construit sur un ancien
site de stockage, et ce sans aucune information des riverains. Il avait
même été question d’en faire un parc pour enfants, mais une étude avait
déconseillé que des enfants y restent plus de deux heures par jour. Ça
donne confiance…

Or, la France a signé en 1998 la convention Ospar (pour Oslo-Paris), et
s’est engagée à abandonner cette technique au mercure en 2010. Alors les
lobbys sont entrés en jeu : le Syndicat des Halogènes et Dérivés (SHD,
surnommé le syndicat des javeliers et des chloriers), a obtenu une
dérogation : Ô joie, les chloriers pourront utiliser du mercure – et le
rejeter – jusqu’en 2020. Alors que le monde entier, scientifique comme
politique, est aujourd’hui conscient de la dangerosité du mercure. L’ONU
s’y penchera du 16 au 20 février prochain, à Nairobi, pendant le conseil
d’administration du Programme des Nations-Unies pour l’Environnement
(PNUE). L’UE a prévu l’interdiction des exportations en 2011, tout comme
Barack Obama, qui s’est penché sur le problème de cette substance
extrêmement toxique dès 2006. Et FNE tient à préciser que le ministère
de l’Écologie, alerté, a réagi immédiatement. Un étude contradictoire
est prévue : chacun fera ses relevés : FNE, la Drire (Direction
régionale de l’industrie, de la recherche et de l’environnement, qui
dépend du ministère), et Arkema. A FNE, on est satisfait : « Nous sommes
seulement des donneurs d’alerte. » C’est réussi…
gigi

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