TOUT SE DÉTOX

Quand la santé revient enfin, il faut le dire et même le crier!

Bilan et projection

Messagede Sophocle » Mar 14 Jan 2020 11:33


Avancement général.
  • La fin des progrès par les chélassos semblent indiquer que l'extra est nettoyé.
    J'ai un rebond de céphalées entre 2 chélassos hebdomadaires.
    Les céphalées remontent un peu pendant la semaine après une chélasso.
    La chélasso suivante efface le retour de ces céphalées.
    Cependant, un fond de céphalées demeure stable outre les chélassos.
    J'attribue ce fond à une intox de l'intra.
    Le rebond peut être attribué à une libération de l'intra et/ou à une libération des os.
    En attendant un traitement rapide d l'intra, je continue donc les chélassos hebdomadaires.
  • Le nettoyage de l'extra (y compris snc) complète la phase 1.



Micro-organismes (Phase 2 : nettoyage des mo)
  • L'incident de la mi-novembre est en passe de résolution.
    Il ne reste plus que de légères sensations fugaces et évanouissantes dont je doute si elles sont attribuables à l'incident.
    Je sais désormais résoudre rapidement ce type d'incident, je ne suis donc pas inquiet qu'un nouvel incident parvenait.
    D'incidents en incident, je découvre de nouvelles techniques de naturopathie qui élargissent significativement mon champ de réflexions.
  • Je vais tester une reprise des amocassos prochainement.
  • Le traitement des micro-organismes est un exercice difficile car il faut le réaliser en aveugle.
    Cad : les picotements (qui sont à l'origine de ma lutte anti-mo) sont une science pas très reproductibles.
    De plus, j'ai des interférences avec les picotements qui surviennent à cause des convecteurs (peu sèche en période d'hiver).
    Pour couronner le tout, je ne sais même pas si mes sensations de picotements intermittents dont je me plains sont attribuables à des mo.
    Il m'est très difficile d'apprécier l'efficacité de l'avancement de la lutte anti-mo.
    Cependant, les chélassos ont résolus une moitié de l'incident.
    Par voie de conséquence, des ml sont libérés lors de la prises de anti-mo.
    Et, cela confirme que les mo sont un compartiment de stockage de ml.
    Cela confirme également que ce compartiment n'est absolument pas atteint par l'Edta et le dmsa.
    Pour parachever le curage des ml, il est donc judicieux de poursuivre le traitement des mo.
  • Le fait que l'incident ait également un versant huileux élève la complexité de la situation.
    Lors de la reprise des anti-mo, je vais devoir apprendre à doser la posologie anti-mo, le ghee et les chélassos.
  • Les mo semblent estomper les effets directs des ml.
    Il sera donc très difficile d'apprécier quand il sera temps d'arrêter la lutte anti-mo.
    À terme, il serait utile de trouver un marqueur de cela pour améliorer la sécurité de la phase 3 (nettoyage de l'intra).
  • À cause du rebond dans l'extra, je continuerai des chélations avec le dmsa et edta juste avant le BAL.
  • Dans une lutte contre les MO, le reins et le foie sont sollicités car l'un éclaircit préférentiellement le solvant aqueux et l'autre le solvant huileux.

Nettoyage de l'intra (Phase 3)
  • Même si je n'en suis encore qu'à la phase 2, je commence à cogiter sur la phase 3.
    Je ne serai satisfait que quand je serai définitivement débarrassé des ml.
    Je souhaite vraiment aller jusqu'au bout du curage des ml afin de me débarrasser de l'angoisse d'un possible alzheimer à terme.
  • Pour l'instant, j'envisage de passer par le BAL.
    Mais c'est un produit pas aussi commode que le dmsa ou l'edta :
    Dans le ch.2.2.1 du doc alpha, il y a écrit:
    • il (BAL) n'est pas efficace en cas d'intoxication chronique au mercure.
    • Il ne doit pas être utilisé contre les empoisonnements au fer, au cadmium, au cobalt ou au sélénium car les complexes métalliques formés sont plus toxiques que les ions métalliques libres.
    • De plus, le BAL augmente les dépôts cérébraux d'arsenic et de plusieurs autres métaux.
    • Lors d'expériences sur des animaux, l'administration de la BAL a augmenté les dépôts cérébraux de mercure organique et inorganique (Berlin et Ullberg, 1963; Aaseth, 1973) et la toxicité du plomb (Germuth & Eagle, 1948)
    • Sa lipophilie explique sa capacité de pénétration intracellulaire.

  • C'est le seul chélateur lipophile et courant.
    Cependant, il faut une ordonnance pour en trouver.
    Il existe un MiADMSA qui serait lipophile mais il semble moins disponible - il faut encore que je me renseigne sur le sujet.
    Selon le doc-alpha, la BAL n'est pas efficace contre le mercure chronique, il faudra donc que je fasse des analyses dès les premières tentatives.
  • Il existe un risque de redistribution des ml par le BAL.
    Pour assurer le maximum de sécurité, il faut d'abord avoir nettoyé l'extra.
    Ensuite, il me semble pallier à au problème de redistribution en gérant le mouvement ascendant et descendant de l'eau dans la cellule.
    Il est possible que les lipides entrent dans la cellule au moment où la cellule se gorge en eau (hydratation).
    Inversement, il est possibles que les lipides sortent de la cellule au moment de la déshydratation.
    Pour éviter le problème de redistribution, mon idée est donc d'éviter le sac et le ressac d'eau pendant la présence du chélateur (24h ? à vérifier).
    C'est-à-dire de boire un grand volume d'eau au moment de l'administration du produit, puis de cesser de boire (et manger sec, pas de légumes) pendant le temps d'action du produit.
    Il ne s'agit là que d'hypothèses encore à murir et à vérifier.

Protection de l'effet de relargage du BAL dans l'intra. - Edit.
  • Les chélateurs sont sensibles au pH et selon Microtrace, les chélateurs fonctionnent mieux à un pH légèrement alcalin.
    Cad que le changement de pH provoque un changement de conformation de la molécule et un changement des affinités des ions complexés.
    Suite à une acidification, il y a donc un risque de relargage du ml.
    Le pH de l'intra étant à 7,2 et le pH de l'extra à 7,4, il y a un risque juste après le franchissement de la membrane.
    Pour minimiser le risque de relargage, il faudrait donc homogénéiser le pH entre l'intra et l'extra.
  • Cela est provisoirement possible en buvant un volume d'eau à un pH adapté.
    Cela est déjà le cas avec le bicarbonate de soude pour l'Edta.
    Avec le BCS, le pH est à 8, cela aide certes le chélateur a complexer le ml mais, de plus, cela aide à franchir les reins dont le pH peut être très bas.
    Cela me fait penser que les chélassos à l'edta, dont la 1/2 vie est de qq heures, devraient se faire pas trop tard dans la journée car le pH de l'urine du matin est au plus bas (5,5).
    Ainsi, un maximum de chélateur transite aux moments où le pH est le plus haut et le plus stable.
    Avec l'Edta, on intervient que dans l'extra, la configuration est donc un peu plus simple que celle du BAL.
  • Physiologiquement le pH de l'intra n'est que de 0,2 inférieur à celui de l'extra.
    C'est certes une toute petite différence, mais elle donne une tendance.
    Contrairement à l'Edta, pour le BAL, il ne faudrait pas viser un pH de l'extra alcalin car cela accentuerait le risque de recontamination de l'intra.
    Quitte à perdre en efficacité, il faudrait donc plutôt baisser le pH de l'extra à 7,2 pendant le temps d'action du BAL de façon à éventuellement prévenir la recontamination.
    Cela est facile à faire, jus de citron, ou eau minérale à bas pH, ... il faudrait juste mesurer le pH avec des bandelettes au cours de la journée pour ajuster le pH en temps réel.
    Mais il ne faut pas non plus décendre le pH trop bas pour assurer la meilleure fixation du ml jusqu'à l'élimintaion.
    Je jette cette idée-ci, c'est encore une idée à murir pour plus tard...
    Il me faut encore peut-être calibrer la chose avec des contraintes ou des opportunités que je n'aurais pas considéré.


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Résultats d'analyses.

Messagede Sophocle » Mer 15 Jan 2020 18:44


  • Analyses dans un laboratoire français :
    • Avant traitement, 28 déc. 2019, (protocole officiel français).
      • Mercure : 0,6 mcg/gcréa (SAA vapeur froide ; réf population générale : <5mcg/gcréa )
      • Cuivre : 9 mcg/gcréa (ICP-MS ; résulat : 15mcg/l ; réf : <50mcg/24h)
    • Après Traitement : Chélasso (#23) ; 28 décembre 2019 ; 1g Edta ; 0,5g Dmsa.
      • Mercure : 1,5 mcg/gcréa. (SAA vapeur froide ; réf population générale : <5mcg/gcréa)
      • Cuivre : 70 mcg/gcréa. (ICP-MS ; résulat : 145mcg/l ; réf : <50mcg/24h)
  • Historique, Déc.2018, analyses chez Microtrace après iv Dmps et Dtpa. ICP-MS
    • Mercure : 30 mcg/gcréa. (réf Microtrace : <1mcg/gcréa)
    • Cuivre : 670 mcg/gcréa. (réf Microtrace : <60mcg/gcréa)
  • Mise à jour du graph:
    Image
    (Si les segments en violet n'affichait pas une forte baisse, effacer les données de navigation en cache du navigateur, svp, et recharger.)
    Violet : Métaux-lourds (mercure, arsenic, plomb, cuivre), en nombre de fois le flux limite selon les réf. de Microtrace.
    Rouge : EHS et sensations des céphalées (ressenti).

  • Remarques et commentaires.
    • Le mercure a quasiment disparu et le cuivre frôle la valeur de référence.
      Les valeurs sont éloquentes : l'extra a été nettoyé.
      Sur mes pointages, j'ai noté que j'étais arrivé au seuil des effets à la mi-novembre (18è séance).
    • Ces résultats confirmeraient le plateau en zig-zag (rebond) ; je serais donc bien arrivé au facteur limitant de la diffusion de l'intra.
    • [img]images/icones/icon3.gif[/img] Nota, il y a eu quelques "petits" changements entre les deux dernières séries : chélateurs, laboratoire d'analyse et méthode d'analyse.
      Mais ces valeurs sont congruentes avec les évolutions récentes.


    Mise en évidence de l'intoxication avec les normes françaises. - Édit.
      Dans les analyses françaises après traitement, il apparaît que le résultat du cuivre est supérieur à la norme française : 145 pour 50.
      Le test de Mircrotrace est très intéressant car il balaie plusieurs dizaines de métaux sur un échantillon pour un prix de gros.
      Mais après le premier test de Microtrace, il me semble qu'il serait utile de refaire les analyses des métaux positifs selon Microtrace dans un laboratoire français après traitement.
      Le référence française pour le plomb sont certes très haute, mais les références pour le cuivre, l'arsenic et le mercure sont basses.
      Même si les valeurs sans traitement sont faibles, il est peut-être possible de faire valoir les valeurs après traitement auprès des centres anti-poisons.
      Si j'avais fait faire de telles analyses l'année dernière, le cuivre serait sorti à 1350 pour une référence de 50, Arsenic : 122 pour 10, et le mercure : 30 pour 5.
      Pour le plomb après traitement : 15 à 30 pour 150.
      Avec ces analyses, j'aurai été peut-être reçu par les centres anti-poisons.
      Rappel : surtout, ne jamais exprimer le mot d'"amalgame" au centre anti-poison, prétexter des canalisations en plomb et une eau acide, ou chasseur, ou fumeur.
      Rappel : l'arsenic viendrait des mines françaises du XIXè qui ont contaminé les champs et les légumes, prétexter une mine à proximité du lieu de vie, de vacances, de nombreux métaux sortent des mines et contaminent les alentours,...
      Rappel : j'ai appelé plusieurs fois les centres anti-poison (voir post afférent), je me suis fait jeter très rapidement sauf une fois, ils ont demandé d'envoyer mes résultats de Microtrace dont les valeurs sont positives selon les normes françaises, ils m'ont dit qu'il n'y aurait pas de reconnaissance, puis après que j'ai prononcé le mot amalgame, ils m'ont demandé de revenir avec des analyses faites en France. À l'époque de cet appel : 1 je n'étais autonome sur la chélation, 2 les médecins français m'envoyaient directement au centre anti-poison sans analyse faute de connaissance en intoxicologie, 3 Les valeurs de références françaises demandent des recherches approfondies. J'aurais donc du faire un échantillon pour analyses après une iv que j'aurais du envoyer au laboratoire français tout en ne disant rien au médecin des iv. Bref, j'aurai du bidouiller le système officiel opaque et le système non-officiel opaque pour profiter des failles au risque que le centre anti-poison me fasse une prise de sang à froid pour me jeter. :crazy: :crazy: :crazy:
      En dépit que le centre anti-poison ait annoncé qu'il n'y aurait pas de reconnaissance, si on ne prononce pas le mot d'amalgame, au mieux, on pourrait donc peut-être déjà avoir les traitements via les centres anti-poison.

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01 Revue historique / Cycle ATP vs ML

Messagede Sophocle » Jeu 16 Jan 2020 11:31


    Dans une petite série de posts, je vais établir une revue historique, synthétique et analytique de mon parcours.
    Par cette revue, je souhaite tenter de démêler l'écheveau des causes, des conséquences, des résolutions et des projets.

  1. Diagnostique personnel et état de la médecine.
      Après six années d'errance médicale, un médecin français m'annonce que j'ai une intoxication forte aux métaux-lourds.
      Cette annonce est fondée par un test de provocation au DMPS.
      Ce test détecte des intoxications dites "chroniques" dont la cinétique est différente d'une intoxication aigüe (par ex : inhalation de vapeurs).
      Les tests officiels français (prise de sang) ne reconnaissent que les intoxications chroniques car les métaux lourds ont migré dans les tissus.
      Les savoirs en matières d'intoxication chroniques sont récents (40 ans).
      Les médecins généralistes ne sont donc pas formés.
      De plus, la cinétique d'une intoxication chronique est anti-intuitive, y compris pour un médecin.
      Par voie de conséquence, les médecins français ne soupçonnent même pas d'une intoxication des tissus puisse exister.
  2. ATP versus ML: perturbation des cycles métaboliques.
      Dans une conférence du Collège de France, le support de la conférence annonce que les métaux-lourds (cuivre, plomb, mercure) inhibent l'ATP.
      Et, selon la même série de conférences, il est annoncé qu'un champ oscillant provoque une élévation de la température des métaux-lourds.
      Les métaux-lourds inhibent donc la mitochondrie et ils se substituent à la mitochondrie pour la production de chaleur, cependant ils ne répondent pas aux cycles commandés par le cerveau.
  3. Intoxication modérée.
      Or, la température physiologique est liée à la combustion du glucose et elle est régulée finement par un cycle : 36° la nuit, 38° le jour.
      Et, par production de chaleur, un organe se maintient en activité.
      Pour ralentir l'activité d'une cellule ou d'un organe et activer une période de repos, le corps lance un signal qui baisse la chaleur.
      La nuit, le corps procède au drainage intensif de l'intoxination diurne.
      Or, par intrication, les ML miment l'effet de production de l'ATP sans mener jusqu'à une fièvre.
      Mais avec les ML, le cycle métabolique entre dans une perturbation intermittente et chronique.
      Avec la chaleur générée par les ML, l'organe demeure en activité, la période de repos et de reconstruction est donc entravée.
      Avec les métaux-lourds, l'organe entre donc en activité de façon chronique, durable aux moments où il devrait être au repos.
      Des répercussions et des phénomènes d'emballement auront donc lieu en chaine à partir d'une intoxication modérée.
      Exemple : Chaleur => activité => éveil => pas de sommeil => Pas de reconstruction cellulaire => Fatigue chronique.
        Symptômes principaux :
      • Mélange de sur-activité et de fatigue.
      • Fatigue chronique jusqu'à la fibromyalgie.
  4. Intoxication Forte.
      Le cerveau : un organe à la limite.
      Un seul potentiel d'action d'un neurone consomme environ 1 milliard de molécules d'ATP pour rétablir le gradient de concentration en ions (source).
      Le cerveau consomme environ 10^25 ATP par jour (cad que le corps recycle 100 fois plus d'ATP en un jour qu'il n'existe de planètes dans l'univers).
      De plus, le cerveau consomme 20% de l'énergie totale du corps pour 2% du poids, le cerveau est donc l'organe à la limite énergétique.

      Avec d'une intoxication forte, les effets sont exacerbés : le pied est sur l'accélérateur et le carburant parvient au compte-gouttes.
      L'inhibition de l'ATP provoque un effondrement chronique du métabolisme, du tonus et des fonctionnalités auquel se rajoute une réponse physiologique : un œdème chronique et une inflammation chronique.
      Le peu d'énergie disponible va donc être alloué à des réponses au détriment des fonctionnalités des organes ; la fonctionnalité des cellules en sera donc réduite tout en ayant une cellule bousculée.
        Symptômes :
      • Apraxie (exécution et contrôle) intermittente et chronique,
      • Aphasie (Syntaxe) intermittente et chronique,
      • Agnosie intentionnelle (mémoire de l'immédiat) intermittente et chronique
      • Céphalées chroniques (inflammation et œdème)
      • EHS chroniques
      • Fatigues chroniques par inhibition de l'ATP et intoxination chronique
      • Hypo-tension chronique (défonctionnalisation des artères, des veines et des capillaires)
      • Évanouissements chroniques
      • Un effet chronique des idées sur le bout de la langue car la méta-cognition auto-reflexive fonctionnelle ne parvient pas s'exprimer.
  5. Grands Auteurs (Édit)
      Dans Aurélia (1855), Gérard de Narval a écrit: "Un de mes amis, nommé Georges, entreprit de vaincre ce découragement. Il m’emmenait dans diverses contrées des environs de Paris, et consentait à parler seul, tandis que je ne répondais qu’avec quelques phrases décousues."
      Dans la préface (1852) d'Aurélia, Alexandre Dumas rapporte que Nerval se plaint de douleurs à la tête ; avec ces témoignages, j'émets donc l'hypothèse que Nerval est un candidat à une intoxication aux métaux-lourds. Nerval deviendra un grand auteur en dépit que ses médecins soient impuissants, et en dépit que ses textes soient écrits en période de symptômes.

      Dans ses correspondances (NRF) avec Jacques Rivières, Artaud a écrit: "Il y a donc un quelque chose qui détruit ma pensée ; un quelque chose qui ne m’empêche pas d’être ce que je pourrais être, mais qui me laisse, si je puis dire, en suspens. Un quelque chose de furtif qui m’enlève les mots que j’ai trouvés, qui diminue ma tension mentale, qui détruit au fur et à mesure dans sa substance la masse de ma pensée, qui m’enlève jusqu’à la mémoire des tours par lesquels on s’exprime et qui traduisent avec exactitude les modulations les plus inséparables, les plus localisées, les plus existantes de la pensée." (Aphasie). Pas de progrès par les médecins (1924). Lors donc que je peux saisir une forme, si imparfaite soit-elle, je la fixe, dans la crainte de perdre toute la pensée. Je suis au-dessous de moi-même, je le sais, j’en souffre, mais j’y consens dans la peur de ne pas mourir tout à fait (1923)."
      Très jeune, Artaud était traité au mercure pour une syphilis qu'il n'avait pas, il était donc intoxiqué aux métaux-lourds avant de devenir celui qu'on connait. Artaud a fréquenté beaucoup de médecin dont aucun n'est parvenu à influencer ses symptômes.

      Dans Entretien et psychanalyse : Sigmund Freud et la technique psychanalytique” par Bernard Dantier, Freud a écrit: "Les psychoses, les états confusionnels, les mélancolies profondes — je dirais presque toxiques — ne ressortissent pas à la psychanalyse"
      Selon, le grand chef à plumes, l'examen de l'enfance ne semble donc pas traiter les états confusionnels...

Dernière édition par Sophocle le Sam 18 Jan 2020 17:38, édité 1 fois.
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02 Revue historique / Littérature scientifique

Messagede Sophocle » Jeu 16 Jan 2020 13:02


    À partir d'une revue de littérature scientifique (Document Alpha) portant sur les traitements des intoxications aux métaux-lourds, je vais rassembler des paragraphes à partir desquels je peux dresser des enjeux.

  1. AUTEURS
    Dans le chapitre 7.6, Thérapie par la chélation, il y a écrit:Les applications pharmacologiques et thérapeutiques des agents chélateurs ont été passées en revue par Catsch et Harmuth-Hoene (1976) et mises à jour par Aaseth (1983), Andersen (1999), Andersen et Aaseth (2002), Andersen (2004) et Aaseth, Skaug, Cao. et Andersen (2015).

    • Les auteurs de cette revue sont donc des universitaires-hospitaliers qui réalisent des mises-à-jours de revues de littératures scientifiques sur les intoxications aux métaux-lourds depuis quarante ans. Dans cette revue, l'intoxication chronique est certes abondamment décrite, mais le fait qu'elle ne soit pas détectée par les protocoles en vigueur est sous-estimé. Cependant, sans affirmer de vérités scientifiques, les auteurs informent le lecteur que les protocoles officiels peuvent provoquer des faux-négatifs.
  2. DIAGNOSTIQUE ET TEST
    Dans le chapitre 7.6.2, DMPS, il y a écrit:. Le DMPS a été synthétisé en 1956 et est utilisé depuis de nombreuses années comme antidote aux métaux lourds en Russie et, plus récemment, dans le monde occidental également. Le DMPS a été utilisé comme test de diagnostic pour l’exposition à de faibles concentrations de mercure, ce qui suggère que le mercure urinaire après le DMPS pourrait être un meilleur indicateur de l’exposition que l’excrétion urinaire de mercure non contestée (Aposhian et al., 1995).

    • "Non-constesté" est un euphémisme pour évoquer un dogme sur les métaux-lourds, les patients sont donc non-diagnostiqués. Avec ce dogme et comme le traitement existe, les patients deviennent des victimes. De nombreuses pathologies chroniques dont sont victimes les patients sont non-curables ou prétendument inévitables, cancer, Sep, autisme, Alzheimer, Parkinson... À des personnes qui ont des pathologies prétendument non-curables, les médecins les informent à tord qu'ils ne sont pas intoxiqués aux métaux-lourds.
    • Dans certains cas, les patients sont redirigés vers des traitements inappropriés qui aggravent les problématiques. De plus, au cours de mes échanges téléphoniques avec les centres anti-poisons français et au cours de mes déplacements à l'hôpital, j'ai pu constater que ce dogme était un secret de polichinelle dans les services spécialisés.

    Dans le chapitre 3.5, Analyses toxicologiques, il y a écrit:Dans certains cas, l'interprétation des analyses toxicologiques dans le sang ou l'urine est difficile. Dans le diagnostic de l'intoxication par le plomb, des difficultés peuvent survenir lorsque l'exposition a cessé il y a quelque temps et qu'une grande partie du plomb a été transférée du sang vers les os. Dans de tels cas, les concentrations de plomb dans le sang peuvent être revenues à l'intervalle de référence lors de la tentative de diagnostic.

    • Voici la différence de cinétique entre une intoxication aigüe et une intoxication chronique : les métaux-lourds vont disparaitre du sang an dépit qu'une dose significative demeurera présents dans les tissus. Avec le test français (prise de sang), une intoxication tissulaire demeure donc invisible au diagnostique. De part les effets de compartiments, cela est anti-intuitif, y compris pour les médecins.

    Dans le chapitre 4.14, Plomb, il y a écrit:Le plomb chélatable n'est toutefois pas une mesure précise de la charge corporelle, reflétant principalement les niveaux de plomb dans le sang et les tissus mous.

    • Le Dmps étant une molécule hydrophile, il ne circule donc uniquement que dans l'extra-cellulaire, et non à l'intérieur de la cellule. Par voie de conséquence, le test au Dmps peut également provoquer des faux-négatifs et/ou ne pas désintoxiquer l'intégralité du corps.

    Dans le chapitre 2.2.1, B.A.L., il y a écrit:Sa lipophilie explique sa capacité de pénétration intracellulaire.

    • Le Bal est une chélateur lipophile, il chélate donc l'intérieur de la cellule, cependant, il peut se retourner contre le patient en transportant les métaux de l'extra vers l'intra. Le Bal nécessite donc des précautions d'emplois. Le Bal peut donc être une solution de parachèvement de la désintoxication après que le Dmps ait éclusé les métaux de l'extra-cellulaire.
  3. SYMPTÔMES
    Chapitre 1.3.2 : "Profils d'exposition et mécanismes de toxicité des métaux." Mercure : il offre un bon exemple de l'extrême variation des effets cliniques (Kazantzis, 1980).
    Chapitre 1.6. Les effets chroniques de la toxicité liée aux métaux peuvent se manifester dans différents organes, notamment les systèmes respiratoire, cardiovasculaire, rénal et nerveux central.
    Chapitre 3.3 : "Clinique". Des symptômes neurologiques d'encéphalopathie allant de maux de tête, irritabilité et légère somnolence à un dysfonctionnement plus grave comprenant confusion, convulsions et coma ont été décrits après une intoxication au plomb et l'inhalation de vapeurs de mercure.
    Chapitre 3.7 : "Enquêtes physiologiques, radiologiques et ultrasonographiques." Diagnostique d'un œdème sur image.
    Chapitre 4.16 : "Mercure". Les auteurs concluent que l'intoxication au mercure a provoqué l'hypertension intracrânienne.
    Chapitre 4.14 : "Plomb". Une exposition élevée au plomb peut provoquer une anémie, problèmes de concentration, irritabilité, fatigue, anxiété, tension et problèmes interpersonnels.

    • La variabilité des symptômes parvient du fait que c'est le lieu de l'intoxication qui provoque les symptômes. Selon la place de la cellule intoxiquée, la baisse de fonctionnalité peut s'exprimer parmi tout le spectre des fonctionnalité avec une cascade de phénomènes dont il est difficile de hiérarchiser: sommeil, détox, sérénité,...
  4. TRAITEMENT CHRONIQUE
    Chapitre 1.6. : "Introduction". La chélation est indiquée dans le traitement des intoxications par les métaux et des maladies liées au stockage des métaux.
    Chapitre 1.4 : "Base de la formation de complexes métalliques avec des ligands endogènes et exogènes." En raison de la disponibilité de nombreux petits ligands biologiques dans les organismes vivants, les concentrations de métaux toxiques excrétées sont souvent très faibles. La capacité d'un chélateur à pénétrer dans le compartiment particulier des dépôts métalliques et d'atteindre ainsi les sites moléculaires critiques peut constituer des déterminants importants de son efficacité clinique. Par exemple, l'enlèvement des dépôts de fer, de cuivre ou de plomb du système nerveux central s'effectue généralement lentement, car la pénétration des chélateurs ou des chélates à travers la barrière hémato-encéphalique est généralement limitée.
    Chapitre 4.14.2 : "Études cliniques." Un défi à relever lors du traitement par chélation de l'intoxication chronique au plomb est un rebond du taux de plomb dans le sang qui se produit peu de temps après la fin du cycle de chélation, dans de nombreux cas, nécessite des calendriers de chélation répétés.
    Chapitre 4.16 : "Mercure." Les symptômes neurologiques ont commencé à diminuer 6 mois après le début du traitement par chélation et avaient complètement disparu après 2 ans de chélation.

    • Peu de métaux peuvent sortir au moment des traitements. Par voie de conséquence, les valeurs d'une analyse peuvent être faibles et le nombre de traitements peut être élevé. De plus, un effet de rebond par libération à bas débit de fuite peut prolonger le calendrier des chélations.
  5. CAUSES
    Dans le chapitre 4.16 : Mercure, il y a écrit: Herrmann et Schweinsberg (1993) ont observé une corrélation significative entre «l'indice de remplissage d'amalgame dentaire» et l'excrétion de mercure.

    • Les amalgames sont donc une source probable du mercure chez une personne qui n'est pas exposée au mercure.
    • Autre info : L'arsenic dans la population parviendrait des légumes contaminés par les mines françaises XIXè siècle.
Dernière édition par Sophocle le Ven 17 Jan 2020 10:38, édité 1 fois.
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03 Revue historique / Salubrité et maladies neuro-dégénrativ

Messagede Sophocle » Jeu 16 Jan 2020 17:52



Comme les métaux-lourds sont un leitmotif des revus scientifiques sur l'Alzheimer, les intoxiqués devraient s'en soucier. Je n'ai certes pas l'âge pour me soucier déjà d'Alzheimer. Cependant, quand les symptômes parviendront éventuellement dans quelques décennies, ce n'est vraisemblablement pas avec la médecine moderne que je peux compter sur un remède à temps.

  • Maladies neuro-dégénératives
    • Notes des conférences d'Alain Prochiantz au Collège de France, 2018 sur les co-facteurs des maladies neuro-dégénaratives,
      Un syndrome : étiologies variées, causes variées, rien à voir avec les symptômes.
      Maladies neurologiques : il n'existe pas de gène responsable de la maladie.
      Il existe des marqueurs de l'état pathologique.
      Facteurs communs aux maladies neuro-dégénératives: âge, environnement, tabac, sport, armée, champs électro-magnétiques, pesticides, métaux-lourds, modif chromatine.
      Stress oxydatif : précipitation des agrégats protéiques.
      Suspects : dysfonction mitochondriale, stress oxydatifs, protéine de l'auto-phagie atteinte.

      (sources : Conférence sur "les données récentes sur l'étiologie de quelques pathologies neuro-dégénératives" dont un post a été dédié sur ce topic)
  • Commentaires de ces notes
      Parmi les co-facteurs cités, une simplification par hiérarchie peut être établie. Par exemple, le stress oxydatif est la conséquence d'une situation pathologique. Le stress oxydatif n'est donc pas un levier sur lequel une intervention pourrait aboutir à une situation sereine et stable. Pour prévenir les risques en intervenant sur le stress oxydatif, il faudrait un traitement à vie dont l'issue n'est pas nécessairement garantie. Cela n'est pas vraiment anti-anxiogène à 100%. Le seul traitement fiable serait un traitement qu'il rétablisse un terrain durablement salubre quitte à ce qu'il soit ponctuel. Quant aux champs électro-magnétiques, leur pathogénicité s'exacerbe en présence des métaux-lourds. La chasse aux ondes n'est donc pas suffisante pour garantir une prévention totale car les métaux-lourds pourraient déclencher la dégénérescence à eux-seuls.
      Parmi les co-facteurs égrenés par A. Prochiantz, il me semble que trois catégories de désordres se dégagent :
      • Toxines sur le solvant huileux : pesticides,
      • Toxines sur le solvant aqueux : métaux-lourds,
      • Cycle respiratoire et énergétique : la mitochondrie.
  • Mitochondrie
      La mitochondrie est suspectée de réveiller un terrain dégénératif car sa baisse de fonction est associée à l'âge et qu'elle provoque une acidification du corps. L'acidification ajoutée aux toxines déjà présentes devient propice à un stress-oxydatif dont les conséquences seraient une dégénérescence des tissus. Cependant, la baisse de la mitochondrie est suffisante pour déclencher un terrain cancéreux avec le basculement vers la fermentation (et donc la division) et en empêchant l'apoptose (et donc l'élimination). Les toxines ne sont donc pas nécessaires pour déclencher des dégénérescences. Au deux infrastructures que j'avais déjà évoqué dans les pages précédentes de ce topic, j'ajoute donc une troisième infra-structure : la mitochondrie.
  • Salubrité
      La salubrité demeure le meilleur terrain pour prévenir et pour traiter la dégénérescence. Il est possible de rétablir un terrain salubre et il est possible de revenir sur les co-facteurs en éliminant les toxines et en relançant la mitochondrie.
    • Contre les toxines lipidiques : régime sans sucre de façon à ce que les lipides (y compris toxiques) soient brûlés au fil de l'eau, ou jeûne en cas de situation aigüe, ou Pancha-Karma.
    • Contre les toxines aqueuses : chélations.
    • Relancer la mitochondrie : quelques bains froids.

En dépit que nous disposons d'une recherche scientifique luxuriante, je n'ai jamais entendu aucune institution exprimer qu'il était préférable d'éliminer les toxines et de relancer la mitochondrie pour instaurer un terrain salubre et pour prévenir les maladies dégénératives. De plus, en dépit qu'elles confirment les cohortes statistiques sur la découverte de métaux-lourds à l'autopsie, les personnes victimes d'Alzheimer sont informées qu'elles ne sont pas porteuses de métaux-lourds de leur vivant. Mais il semble que l'excès de métaux-lourds qui provoque Alzheimer n'est pas nécessairement élevé. Pour prévenir au mieux cette pathologie, il conviendra donc d'éliminer les métaux-lourds en totalité de façon préventive.
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04 Revue historique / Parcours personnel de soins

Messagede Sophocle » Jeu 16 Jan 2020 18:27



  • 2011 : Arrêt du travail
  • 2012-2014 : BELPOMME, Certificat EHS, Alzheimer évoqué en séance.
  • 2013 : KOSKAS, Neurologue, IRM, EEG : R.A.S. (pas d'Alzheimer). Message un an après pour lui dire que c'était des métaux-lourds, il n'a jamais rappelé.
  • 2014-16 : IV DMPS. P.A .0,25g, 5ml. Concentration : 50g/l. + DTPA. 1 x / mois max, analyses 1x an, Tendance de résolution tardive 2030, Stop en 2016.
  • 2014-19 : Centre Anti-poison : 4 appels, 4 barrages dès l'appel téléphonique.
  • 2017-18 : Jeûnes secs (déshydratations), 100 jours cumulés, tendance 2025, céphalées baissent peu à peu. Stop à cause effets secondaires.
  • 2019 : Naturopathie haute intensité au quotidien : Bains glacés, Ayurveda, Saunas, hydrotomie percutanées, endurance dans le froid.
      Résolution express de l'Hypo-Tension chronique (Évanouissements occasionnels, pb escaliers, dévascularisation cerveau ) : 8 bains froids 15' à 15°,
      Bio-génèse mitochondriale par thermo-génèse : Désinhibition du partie de l'ATP par relance de la mitochondrie.
      Je peux remonter 300 marches 2à2 dans une même foulée.
      Mais les maux de tête ne sont pas résolus.
  • Sept 2019 : Résolution express de l'intoxication de l'extra du S.N.C. : 20 Chélassos.
      "Les agents chélateurs semblent être plus efficaces dans un milieu légèrement alcalin.", source : Microtrace, Newsletter N°10 - Novembre 2014.
      Chélateurs en vente libre : EDTA, DMSA, poudre dans 1 litre d'eau avec du bi-carbonate de soude.
      Conditions de solubilisation : pH8. Sang et reins à pH8 : fixation stable du ML de la mobilisation jusqu'à l'élimination.
      + hyper-vascularisation du SNC par le sport ou les bains froids.
      Rythme : 1x fois par sem
      Baisse de 75% des céphalées (œdème, inflammation)
      En un poignée de semaines, j'ai eu bcp plus de baisse de symptômes qu'en 5 ans de traitements en tout genre.
      Rythme de croisière : 1,5g PA 1 x/ sem.
      Concentration PA : 1,5g/l (méthode d'herboriste : forte dose à faible concentration).
      Mais des symptômes demeurent en dépit de la fin des effets bénéfiques => Rebond, il est impossible d'apprécier une tendance.
      Ça peut durer des années => Limites des compartiments.
  • Nov 2019 : Traitement anti-mo, Compartiment Micro-organismes. - en cours à l'heure où j'écris ces lignes.
  • Étape suivante et éventuelle étape finale : compartiment de l'intra par le BAL ? Surveiller la Toxicité.
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05 Revue historique / Conclusion

Messagede Sophocle » Jeu 16 Jan 2020 18:53

À quand des études expérimentales avec les chélateurs ?
    J'ai établi cette revue à partir de nombreuses informations déjà connues, mais j'ai souhaité rapprocher quelques-unes de ces informations pour mettre en évidence une analyse la plus synthétique possible pour la personne que j'étais avant l'intoxication. La toxicité des métaux-lourds n'est pas ignorée par la population, elle est donc acceptée, ex : peinture au plomb depuis le XIXè, idem pour les amalgames. Cela est différent de l'amiante, qui fut interdite dès que la toxicité est apparue. En même temps, les Alzheimers en France sont au nombre d'un million. Ces personnes n'ont prétendument pas de ML de leur vivant, mais l'autopsie confirme la présence des ML. De plus, les savoirs médicaux sont disponibles dans les revues de littératures spécialisées, mais ces savoirs sont récents et la cinétique d'intoxication est totalement contre-intuitive par les interactions de compartiments. De plus, le DMPS, par lequel tout le monde jure et qui n'est pas autorisé en France n'est absolument pas indispensable pour traiter. Des produits alternatifs tout aussi efficaces sont légaux et moins chers. Avec une administration de type herboristerie, le traitement peut être géré par l'intoxiqué de façon autonome et performante. Les Ml ne sont pas les seules toxines. Les toxines en général sont un leitmotiv qui ressort dans la littérature dans de nombreuses pathologies chroniques. Selon le document alpha, l'autisme et l'intoxication chronique n'a pas encore fait l'objet de recherches scientifiques ; et selon le rapport de l'Anses, l'Ehs et l'intoxication chronique n'a pas non-plus fait l'objet de recherches scientifiques. Combien existe-t-il maladies dont on ne connait prétendument pas le remède ? Sep, cancer, parkinson, arthrose, ... : tout ce qui est chronique.

Benchmarking et slogan
  • Sur chacune de ces trois infra-structures, le rétablissement de la salubrité est une médecine traditionnelle. Question mitochondrie, les romains n'avaient-ils pas des frigidariums dans leurs thermes à l'instar des pratiques de nos sportifs de haut niveau ? Les populations qui vivent dans des régions exposées aux épidémies ne pratiquent-elles pas le jeûne ? Les indiens ne pratiquent-ils pas la solubilisation des toxines par le ghee ? Les alimentations traditionnelles ne comportent-elles pas du soufre et un régime pauvre en sucres ? À toutes les pathologies que notre époque ne sait traiter, il est anormal que le patient qui souhaite s’investir dans le traitement ne soit pas informé de cela par la médecine officielle.
  • Le serment des medécins devrait donc être requalifié avec le slogan d'hypocrites suivant :
    "Couvrez cette salubrité que nous ne saurions voir".

    Ce slogan est une adaptation d'une célèbre pointe :
    Dans "Le Tartuffe ou l'imposteur" (A3s2), Molière a écrit: de Tartuffe à Dorine :
      ... Couvrez ce sein que je ne saurais voir.
    Réponse de Dorine à Tartuffe :
      Et je vous verrais nu du haut jusques en bas,
      Que toute votre peau ne me tenterait pas.

    L'adaptation de la réponse est donc :
      Et je vous consulterais de jours jusques en nuits,
      Que toute votre médecine ne me tenterait pas.

    Complétude : trois tiers où chaque tiers est une unité et où les 3 tiers réunis sont également une complétude. [img]kator/smiley252.gif[/img]
      À l'heure où j'écris ces lignes, j'ai identifié trois tiers d'infrastructures : Huile, Eau & Énergie.
      Pour demeurer en bonne santé, chaque tiers ne nécessiterait pas une engagement total mais simplement une surveillance à ne pas négliger.
      C'est-à-dire que même si 2 tiers faisaient l'objet d'attentions absolues mais que le 3ème tiers était négligé, des désordres définitifs pourraient apparaitre en dépit des efforts sur 2 premiers tiers.
      Pour obtenir un équilibre durable, il faudrait simplement ménager chacun des tiers à tour de rôle de façon à ce que l'unité des 3 tiers soit ferme.
      En cas de pathologie chronique, il faudra prendre soin avec méthode du ou des tiers en souffrance.
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CDI-01 : Chélation de l'intra.

Messagede Sophocle » Mar 21 Jan 2020 01:06

Pour chélater l'intra, y'a deux difficultés.
Un : Les Dmsa et l'Edta sont plutôt hydrophile, ils ne franchissent donc pas la membrane cellulaire.
Deux : le chélateur lipophile (BAL) n’est pas aussi facilement disponible que le Dmsa ou l’Edta.
Mais comme dans un théâtre, il suffit de porter un costume pour franchir les frontières.
Pour faire entrer le DMSA et/ou l'Edta dans la cellule, peut-être suffit-il d'envelopper ces chélateur d'un voile lipidique.
Ni vu, ni connu, la cellule va peut-être gober la micelle de ghee à l'intérieur de laquelle se glissera le chélateur lipophobe (comme un cheval de Troyes)
Pour cela, je vais donc émulsionner directement le Dmsa et le l'Edta avec du ghee au moyen de la lécithine de soja sans phase aqueuse.
Grâce à la lécithine, la poudre hydrophile sera ainsi dispersée dans une phase lipidique de façon homogène.
Et y'a plus qu'à boire une mini-dose comme une pancha-karma.
Mais il reste à tester s'il y a des effets.

Ingrédients :
    * Ghee : 20 ml (ou +).
    * Lécithine de soja (LdS) en granulés : 0,5 gramme.
    * Dmsa et Edta : contenu de 1 gélule chaque (soit la poudre de 2 gélules au total).

Préparation :
    * Chauffer le ghee jusqu’à ce qu’il soit liquide.
    * Ajouter la LdS.
    * Attendre que le ghee imbibe la LdS.
    * Mixer avec un mini-mixeur à piles.
    * Filtrer.
    * Ajouter la poudre contenue dans les gélules.
    * Mixer.
    * Boire à jeun.
    * Ça n’a pas trop de goût du souffre grâce au ghee mais ça reste aussi dégueu que du ghee.
    Nota: je vais faire évoluer cette liste selon les résultats des applications futures, cette liste est donc provisoire.


Premier essai ce jour :
    Quelques légères variations de céphalées 4 heures après l'ingestion, mais c'est pas vraiment concluant si je tiens compte de l'effet placébo.
    Mais j'y vais molo sur les doses en cas de recontamination de l'intra, je verrai peut-être les effets à la longue.
    Remarques :
    -J'ai déjà nettoyé l'extra, le risque de contamination de l'intra par l'extra devrait donc être minime.
    -J'ai des réglages à tester pour les tests suivants : pH, hydratation.
    ...2ème essai, il est difficile de décortiquer les sensations car le ghee donne systématiques un coup de barre silencieux.
    Il faut donc comparer des états finaux dont les états transitoires font des haut et des bas... pas facile.
    Mais je me méfie de mon effet placébo.
    ... Pour récurer en profondeur, je me demande si des applications pendant un jeûne (hydrique ou sec) ne va aider l'émulsion à entrer dans les cellules.
    Je me garde cette info en cas de ralentissement tardifs des effets.

Cédéi-asso
    Suite à la neutralité des premiers essais dont les doses étaient faibles, j'ai fait une cédéi-asso :
    Beurre : 8 cl (demi-verre de vin), lécithine : 2 grammes, Edta : 0,75g (3gél), et Dmsa :0,3g.
    Puis j'ai fait une marche rapide (45min) avec une séance d'escaliers (300 marches).
    Je peux tout de suite dire qu'il n'y a pas d'effets aussi éclatants que lors des chélassos.`
    De plus, y'a un petit coup barre durable (3h env.) à cause du ghee.
    Il est donc très difficile d'apprécier si j'ai eu des bénéfices objectifs.
    Le lendemain matin, il me semble bien me sentir un peu mieux,
    mais,
    cela peut être attribué à l'effet placébo, au ghee, ou à l'élimination du rebond.
    Le ghee fait solubiliser les pesticides, les améliorations légères peuvent donc parvenir uniquement du ghee.
    De plus, entre deux chélassos, un rebond de céphalées a lieu, le chélateur a donc peut-être éliminé ce rebond.
    Par contre, il n'y a pas eu d'aggravation, donc pas de recontamination de l'intra par l'extra.
    ... 22 janv. De façon intermittence, j'ai parfois l'impression que des améliorations significatives au niveau des céphalées ont lieues.
    Autant les effets éclatants des chélassos se faisaient ressentir pendant la séance d'activités physiques, autant j'ai l'impression que les éventuelles améliorations d'après cédéi-asso ont lieues en douceur sur une plage de plusieurs demies-journées.
    Peut-être faut-il laisser le temps à la micelle de ghee se disloquer et au chélateur de ressortir de l'intra ? - ou effet placébo ? :??:
    ... Après écoute des fluctuations, il me semble que les effets de ce cédéi-asso ne devraient pas être comparés à ceux d'une chélasso.
    Par réflexe et éventuellement à tord, je surveille des effets similaires à ceux attendus par une chélasso, mais il est possible que les effets d'une cédéi-asso aient d'autres champs.
    À l'avenir, il faut que je laisse ouvert l'écoute des champs et que je me défasse de ce dont j'ai l'habitude.
    Au premier abord, les effets des cédéi-assos semblent peu payants, mais peut-être sont-ils silencieux et profonds?

Chélasso & Cédéi-asso
    Coup sur coup, ce we, je ferai une chélasso samedi pour nettoyer le rebond, puis je ferai une cédéi-asso le lendemain. Il me semble que des progrès ténus se manifestent avec les cédéi-asso, je vais prolonger le nombres d’essais de façon à en avoir le cœur net. Mais il me semble prudent d’en nettoyer l’extra juste au préalable.

Acide Alpha-Lipoïque
    Je l'avais oublié celui-là.
    Pour chélateur l'intra, peut-être fera-t-il le job ?
    Cependant, j'ai eu des prémisses d'améliorations intéressantes avec le ghee-lécitine-DMSA&EDTA sur l'épaule et sur le parfait achèvement de l'incident après l'allicine, cette recette est donc intéressante pour des résolutions encore à déterminer.

Dernière édition par Sophocle le Ven 24 Jan 2020 00:29, édité 6 fois.
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Comment faire reconnaitre l'intoxication ?

Messagede Sophocle » Mer 22 Jan 2020 10:12

    Ces démarches sont vaines. - 6 oct 2020
    Seule l'obtention des valeurs de référence de la charge corporelle en métaux stockés dans la population générale permettre d'obtenir la reconnaissance.
    voir post toxico en toc






Proposition de méthode :
  1. Faire une chélation (iv ou chélasso).
  2. Faire un échantillon d'urines (demander un récipient en pharmacie ou en laboratoire).
  3. Faire une analyse chez Microtrace (bouquet de 30 métaux d'un coup ou plus pour un prix de gros : +/-100€).
  4. 7 jours après la première chélation au plus tôt, refaire une chélation (iv ou chélasso).
  5. Faire une prise de sang ou refaire un échantillon d'urines (1,5h ou 2heures max après la fin chélation).
    Nota : Il est plus simple de gérer un prélèvement d'urine 2 heures après une chélation plutôt qu'une prise de sang pour laquelle il faut se rendre au labo et que le personnel fasse la prise de sang dans les délais.
  6. Chez un laboratoire français, faire une analyse des métaux sortis positifs selon Microtrace car se commande à l'unité.
    Si possible : faire une ordonnance au préalable et demander au médecin traitant de prendre contact avec le centre anti-poison.
    le dossier est ainsi bien mieux bordé, puis le centre anti-poison prendra contact dans les jours suivants.
  7. Sinon, appeler un centre anti-poison par soi-même, ils vont demander d'envoyer les résultats français par fax ou par mail.
    Surtout, même s'ils frôlent le sujet sans l'évoquer explicitement, ne jamais parler d'amalgames dentaires, absolument [img]images/icones/icon3.gif[/img] (voir annexe du post : la peinture au plomb), prétexter de vieilles canalisations avec une eau acide,ou des vacances à proximité d'une ancienne mine désaffectée, (mines de France - wiki), ou un thermomètre cassé.
  8. - Le jour de l'examen avec prise de sang, boire une chélasso deux heures avant le rendez-vous.
    - Préparer une bouteille de secours à siroter au cas où la prise de sang ait lieue tardivement.
    - faire quelques exercices pour bouger la lymphe (marcher, monter des escaliers,...).
  9. Répéter la chélation juste avant chaque examen.

Remarques
  • Pour les personnes qui ont porté des amalgames, il est possible de passer directement à l'étape d) en ciblant le mercure et le cuivre, mais si négatif, il faudra reprendre en a).
  • À ce jour j'ignore s'il faut dire qu'il y a eu une chélation, il reviendra donc à chacun d'exprimer ou de ne pas exprimer si une chélation a été réalisée pendant la prise de sang.
  • Pour les personnes pour lesquelles le goût de souffre est rédhibitoire, Il est peut-être possible de faire des chélassos uniquement avec l'Edta- à voir selon analyses.

Références pour le plomb
    Avec une chélation juste avant la prise de sang, les concentrations des métaux dans le sang devraient suffisamment augmenter pour passer au-dessus des références françaises.
    Cependant, les valeurs de références françaises pour le plomb sont très très élevées (200mcg), il me semble que la moyenne des chélations ne parviennent pas à telles valeurs.
    Mais il est toujours possible de discuter avec les centres anti-poisons.
    Il est peut-être possible que la multiplication d'analyses dont la valeur de plomb est intermédiaire pourrait aider à une prise en charge.
    De plus, le prix d'une analyse pour le plomb est peu élevé et, selon les périodes, c'est remboursé.
    Pour le plomb, il sera peut-être préférable d'indiquer qu'il s'agit d'une chélation de façon à mettre en évidence que les valeurs faibles ne parviennent pas d'une intoxication aigüe.

Extra
    Avec cette méthode, le centre anti-chélation est ainsi placé dans un fût. [img]smile/!moon.gif[/img]

Centre anti-poison
    J'ai appelé le centre anti-poison, ils m'ont ressorti mon dossier en quelques secondes, je leur ai dit que j'avais des analyses positives faites en France.
    Comme si j'étais un menteur, ils m'ont demandé dans quel labo.
    Avec leurs médecins abusivement radiés et graciés par les présidents de la république et avec leurs médecins condamnés en justice pour attouchements et non radiés par l'ordre, ils ont tout pour plaire. [img]smile/kneu_ouf.gif[/img]
    Ils m'ont demandé d'envoyer une copie des analyses par mail et ils m'ont dit qu'ils me rappelleraient.
    La valeur du cuivre n'est pas aussi forte que les résultats de Microtrace, mais elle est au-dessus de la norme française.
    S'ils me refoulaient, je porterai plainte pour non assistance à personne en danger. [img]smile/comeandgetsome.gif[/img] [img]smile/comeandgetsome.gif[/img] [img]smile/comeandgetsome.gif[/img]
    Quand j'ai fait mes premières chélassos, je n'ai pas pensé à faire ces analyses, cela est une erreur car je ne peux pas justifier de l'intoxication forte avec un labo français.
    Cependant, mes analyses chez Microtrace sont éloquentes pour démontrer la véracité de l'intoxication.
    De plus, il me semble opportun de faire des analyses sans traitement de façon à montrer, lorsque cela sera nécessaire, que l'intoxication est cachée derrière le sang.

Analyses de l'intra.
    Après avoir nettoyé l'extra avec une vingtaine de chélassos, les analyses de mercure montrent un taux faible, mais il me reste à vérifier que l'intra n'est pas intoxiquer.
    Je ne sais pas encore trop comment m'y prendre.
    Les Cédéi-asso de lécithine et de DMSA et EDTA n'ont pas vraiment d'effet éclatant, mais les iv de DMPS donnaient des analyses positives en dépit qu'elles n'avaient pas d'effet éclatant.
    Il faudrait donc quand-même que je tente des analyses au cas où.
    Des analyses après l'antidote BAL semblent plus pertinentes pour tenter de démontrer cela.
    ... J'avais oublié que l'ALA était lipophile...
    Je vais donc mettre de côté ces expériences avec la lécithine et les chélateurs hydrophiles.

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Comparatif des formes d'administration : Pour et Contre

Messagede Sophocle » Jeu 23 Jan 2020 17:12

Comparaison IVL vs Perfusions vs Chélassos vs Gélules vs Oral.
Intro
    La différence entre une IV et une chélasso, c'est la concentration, forte pour l'iv, faible pour la chélasso.
    La différence entre la chélasso et la perfusion, c'est la piqûre et le goût.
    Quant à la gélule, elle est très inefficace car la poudre ne se solubilise peu.
    Cependant, la poudre contenue dans la gélule est efficace si elle était solubilisée dans une phase aqueuse avant ingestion.
    De toutes ces formes de traitement, la forme la plus efficace est celle qui présente le produit avant administration tel qu'il doit être dans le sang.

Intraveineuses lentes
    Une iv de DMPS, c'est 0,25g dans 5 ml, soit 50g/l.
    Une iv de DTPA, c'est 1g dans 5 ml, soit 200g/l.
    Ces fortes concentrations risquent de se fixer le cœur, d'aspirer beaucoup de calcium, et créer une arythmie.
    Pour atténuer fortement le risque de concentration de l'iv, on pratique une iv lente, c'est-à-dire qu'1 seul ml est pistonné toutes les 5 minutes.
    Ces doses semblent faibles, mais selon Microtrace, il n'est pas nécessaire d'en ajouter car il n'y en a pas plus qui est éliminé.

Perfusions
    Il existe des perfusions d'Edta, cela est certes sans risque au niveau de la concentration mais je n'en vois pas l'intérêt car l'Edta est sans goût.
    De plus, la perfusion demande de pratiquer une piqûre.
    Une piqûre est certes anodine, mais elle demande tout un cadre médical : médecin, stérilité du matériel,...
    Au niveau de l'efficacité, boire une solution aqueuse à jeun et une perfusion se valent.
    Pour éviter le goût, une perfusion de Dmsa me semble un peu plus raisonnable.

Chélassos
    Le mode d'administration de l'herboristerie permet de fortes doses à faibles concentrations.
    Comme une infusion, une chélasso, c'est 1 à 2g de principe actif par litre
    Avec une chélasso, il n'y a donc pas de risque d'accident par concentration.
    Comme de l'eau, la phase aqueuse passe au travers de l'estomac. Il suffit donc de la prendre à jeun.
    Une chélasso d'Edta avec du BCS est imbattable, prix, facilité, goût, fréquence, physiologie, autonomie, efficacité, sûreté, sécurité, ... What else ?
    Mais la combinaison Edta-Dmsa est très intéressante pour ouvrir le spectre de chélation et pour assurer l'élimination.

Sujet connexe : HE
    Pour des phases huileuses, (ex: he), elle peut être mélangée dans un grand volume d'eau avec de la lécithine.
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CD1-02 : Chélation de l'intra, l'ALA.

Messagede Sophocle » Jeu 23 Jan 2020 18:08

J'avais oublié que l'acide alpha-lipoïque existait. [img]kator/smiley1.gif[/img] [img]kator/smiley27.gif[/img]

Quelques infos de démarrage
    C'est une molécule avec deux soufres, cela est donc un bon signe de chélation.
    Il serait lipophile, il chélaterait donc l'intra.
    Il serait également hydrophile.
    Il se solubiliserait autant dans l'huile que dans l'eau.

Vérification de sa solubilité.
    Pour apprécier sa solubilité, je l'ai donc testé dans de l'huile et dans de l'eau minérale.
    Cependant, l'Ala que je détiens parvient d'un fournisseur en compléments alimentaires.
    Cet Ala est donc mélangé à d'autres ingrédients neutres, le tout placé dans une gélule.
    Il est donc difficile d'être catégorique sur les résultats car les résultats peuvent être attribués à un ingrédient et pas à un autre.

Protocole de test
    Mon protocole est simple.
    Je mets de l'huile dans un récipient, je mets de l'eau minérale (pH=6) dans un autre récipient.
    Je verse la poudre contenue dans la gélule au-dessus du liquide.
    Je regarde comment se comporte la poudre et si le liquide imbibe la poudre.
    Puis je mixe, puis j'attends et je regarde la cinétique de l'éventuelle séparation de phase.

Résultat avec l'ALA.
    Il apparait que l'ALA est bien plus lipophile qu'hydrophile (...à pH6 et à température - voir post suivant pour un démenti de ce résultat et donc des paragraphes suivant).
    Déjà, la poudre est visqueuse, contrairement à l'edta ou au dmsa, elle ne s'écoule pas comme du sel.
    La poudre que je dispose (donc l'Ala et ses ingrédients) se maintiennent moyennement bien dans l'huile, mais elle se reconstitue majoritairement en phase aqueuse.
    Elle n'est donc pas totalement hydrophobe, cad qu'elle se mélange quand elle est agitée dans de l'eau.
    Par contre, le poudre n'est pas totalement lipophile, cad qu'elle ne disperse pas de façon totale et durable et homogène dans de l'huile.
    Cependant, la forme de la molécule correspond à une belle chaine carbonée, 8 carbones, cela milite pour une bonne lipophilie.
    Et les deux oxygènes et les 2 soufres devraient conférer sa part hydrophile.
    D'ailleurs, la poudre est de couleur jaune, caractéristique du soufre, cela est également un signe de chélation.
    Quoiqu’il en soit, le caractère lipophile est certes difficile à manipuler pour assurer une chelation express mais cela est peut-être une possibilité peu courante de chélater l’intra quitte à cela soit fastidieux.

Analyse
    rappel préalable : j'avais pris des gélules d'Ala avec le Dmsa en round pendant deux mois (protocole Cutler) bien avant que j'ouvre mon topic sur le forum ; très peu bénéfices étaient au rendez-vous. idem pour l'Edta en gélules)
    Il me semble donc qu'il faudrait éventuellement aider l'Ala à pénétrer jusqu'au cerveau car, contrairement à l’Edta ou le Dmsa, sa solubilité n'est pas définitivement stable.
    Les moyens, pour aider l'Ala à arriver jusqu'au cerveau, sont 1: l'activité sportive, 2: la lécithine, 3 :dans du ghee, ou les 2 simultanément 2à2.
    L'ingestion de l'ALA au moment de l'activité sportive va forcer la solubilisation de l'ALA dans la phase aqueuse pendant tout le temps de l'activité physique.
    Je pourrai donc tester l’Ala solubisé dans l’eau (cad sans émulsion).
    Cependant, si nécessaire, la lécithine de soja devrait améliorer la solubilité de l'ALA dans la phase aqueuse (mais au risque que l'ALA ne s'exprime au moment venu car il sera caché par la lécithine).
    Par ailleurs, le protocole Cutler prescrit la prise simultanée d'ALA et de DMSA, cela laisse supposer que l’Ala n’est éventuellement pas suffisant tout seul.
    Peut-être faudra-t-il que je combine l’ala au dmsa à therme.
    Rappel, les bains froids sont une alternative aussi efficace aux activités physiques pour activer l'hyper-vascularisation du cerveau et donc d'emmener le chélateur jusqu'au sanctuaire.

Catégories et conditions des solubilisations, prélalable aux expérimentations
  • 1) Solubilisé dans une solution où la phase exclusive est de l'eau, combiné avec de l'Edta et du Dmsa
  • 2) Solubilisé dans une solution où la phase majoritaire est de l'eau (vraisemblablement avec un peu d'huile et de lécithine)
  • 3) Solubilisé directement dans du ghee
  • - Ingestion au milieu d'activités physiques qui font hyper-vasculariser le snc
  • - À jeun, toutes mes chélations se déroulent toujours à jeun



Élimination
    Les reins traitant les composés hydrophiles et le foie traitant les composés lipophiles, l'Ala devrait être majoritairement éliminé par la voie biliaire.
    Mais, jusqu'ici, les surprises ont été nombreuses, il faut donc pas prendre ce genre d'info à la lettre.

Références scientifiques
    Je ne retrouve pas l'ALA dans le site de Microtrace ni dans le document alpha.
    Contrairement à l'Edta, le dmsa, ou le dmps, l'Ala ne semble pas courant dans les services hospitaliers ni dans la littérature scientifique.
    Les références officielles ne semblent pas abondantes, mais il existe au moins un article "officiel" qui évoque la preuve que l'ALA chélate:
Le rôle des thiols, des dithiols, des facteurs nutritionnels et des ligands en interaction dans la toxicologie du mercure.
    NCBI a écrit: Centre de synthèse et de biologie chimique, Département de chimie pharmaceutique et médicinale, Royal College of Surgeons in Ireland, Dublin 2, Irlande.
    dans Toxicologie. 5 sept. 2007; 238 (2-3): 216.
    Le mercure est une substance toxique connue depuis des siècles. Bien que les caractéristiques cliniques de l'intoxication aiguë au mercure aient été bien décrites, l'exposition chronique à faible dose au mercure reste mal caractérisée et son rôle potentiel dans divers états de maladie chronique reste controversé. Les thiols de faible poids moléculaire, c'est-à-dire les molécules contenant du sulfhydryle comme la cystéine, apparaissent comme des facteurs importants dans le transport et la distribution du mercure dans tout le corps en raison du phénomène de «mimétisme moléculaire» et de son rôle dans le transport moléculaire du mercure. Les agents de chélation tels que les dithiols de 2,3-dimercaptopropanesulfate de sodium (DMPS) et l'acide méso-2,3-dimercaptosuccinique (DMSA) sont les traitements de choix pour la toxicité du mercure. Il a également été démontré que l'acide alpha-lipoïque (ALA), un disulfure, et son métabolite l'acide dihydrolipoïque (DHLA), un dithiol, ont des propriétés de chélation lorsqu'ils sont utilisés de manière appropriée. Alors que la N-acétyl-cystéine (NAC) et le glutathion (GSH) ont été recommandés dans le traitement de la toxicité du mercure dans le passé, un examen des preuves disponibles suggère que ces agents peuvent en fait être contre-productifs. Il a également été démontré que le zinc et le sélénium exercent des effets protecteurs contre la toxicité du mercure, très probablement médiée par l'induction des protéines de liaison aux métaux, la métallothionéine et la sélénoprotéine-P. Les preuves suggèrent cependant que la co-administration d'agents chélateurs au sélénium et au dithiol pendant le traitement peut également être contre-productive. Enfin, la question des tests de diagnostic pour l'intoxication chronique, historique ou à faible dose de mercure est envisagée, y compris une analyse de l'influence des interactions des ligands et des facteurs nutritionnels sur la précision des tests de «provocation par chélation». (Trad en ligne)

    Commentaire : Selon cet article, la capacité de l'ALA a chélater semble être prouvée.

Article connexe (TA=ALA) : L'acide thioctique (lipoïque): un antioxydant thérapeutique chélateur des métaux?
    NCBI a écrit:Département de médecine, University College London Medical School, Royaume-Uni
    L'acide thioctique (alpha-lipoïque) (TA) est un médicament utilisé pour le traitement de la polyneuropathie diabétique en Allemagne. Il a été proposé que l'AT agit comme un antioxydant et interfère avec la pathogenèse de la polyneuropathie diabétique. Nous suggérons qu'un élément de son activité antioxydante nécessitant une étude est l'activité chélatante des métaux de transition directe du médicament. Nous avons constaté que le TA avait un effet inhibiteur dépendant de la dose sur l'oxydation de l'acide ascorbique catalysée par Cu (2 +) (surveillée par absorption d'O2 et spectrophotométriquement à 265 nm) et augmentait également la partition de Cu2 + en n-octanol à partir d'une solution aqueuse suggérant que TA forme un complexe lipophile avec Cu2 +. TA inhibe également la peroxydation liposomale catalysée par Cu (2 +). En outre, le TA a inhibé la production intracellulaire de H2O2 dans les érythrocytes provoqués par l'ascorbate, un processus supposé être médié par Cu2 + chélaté de manière lâche dans l'érythrocyte. Ces données, prises ensemble, suggèrent que la réduction intracellulaire préalable de TA en acide dihydrolipoïque n'est pas un mécanisme obligatoire pour un effet antioxydant du médicament, qui peut également opérer via une chélation Cu (2 +). L'énantiomère R et le mélange racémique du médicament (alpha-TA) semblaient généralement plus efficaces que l'énantiomère S dans ces essais de chélation des métaux. (Trad en ligne)

    Commentaire : L'ALA semble se lier (au moins) avec le cuivre2+, il serait certes donc intéressant pour prévenir Alzheimer, mais cela est un bon présage pour qu'il chélate d'autres métaux.

Article connexe : Neuroprotection par l'acide alpha-lipoïque antioxydant métabolique.
    NCBI a écrit:Département de biologie moléculaire et cellulaire, Université de Californie, Berkeley 94720-3200, États-Unis.
    On pense que les espèces réactives de l'oxygène sont impliquées dans un certain nombre de types de conditions pathologiques aiguës et chroniques dans le cerveau et les tissus neuronaux. L'alpha-lipoate antioxydant métabolique (acide thioctique, acide 1, 2-dithiolane-3-pentanoïque; acide 1, 2-dithiolane-3 valérique; et acide 6, 8-dithiooctanoïque) est une substance de faible poids moléculaire qui est absorbée par le régime alimentaire et franchit la barrière hémato-encéphalique. l'alpha-lipoate est absorbé et réduit dans les cellules et les tissus en dihydrolipoate, qui est également exporté vers le milieu extracellulaire; par conséquent, une protection est accordée aux environnements intracellulaires et extracellulaires. Il a été démontré que l'alpha-lipoate et en particulier le dihydrolipoate sont de puissants antioxydants, qu'ils se régénèrent par cyclage redox d'autres antioxydants comme la vitamine C et la vitamine E et qu'ils augmentent les niveaux intracellulaires de glutathion. Ainsi, il semblerait qu'une substance idéale dans le traitement des troubles oxydatifs du cerveau et des neurones impliquant des processus de radicaux libres. L'examen des recherches actuelles révèle des effets protecteurs de ces composés dans l'ischémie-reperfusion cérébrale, les lésions cérébrales aux acides aminés excitotoxiques, le dysfonctionnement mitochondrial, le diabète et la neuropathie diabétique, les erreurs innées du métabolisme et d'autres causes de lésions aiguës ou chroniques au cerveau ou aux tissus neuronaux. Très peu de stratégies d'intervention neuropharmacologiques sont actuellement disponibles pour le traitement de l'AVC et de nombreux autres troubles cérébraux impliquant des lésions des radicaux libres. Nous proposons que les diverses propriétés antioxydantes métaboliques de l'alpha-lipoate soient liées à ses rôles thérapeutiques possibles dans une variété de pathologies cérébrales et tissulaires neuronales: les thiols sont au cœur de la défense antioxydante dans le cerveau et d'autres tissus. L'antioxydant thiol le plus important, le glutathion, ne peut pas être administré directement, contrairement à l'acide alpha-lipoïque. Des études in vitro, animales et humaines préliminaires indiquent que l'alpha-lipoate peut être efficace dans de nombreux troubles neurodégénératifs. (Trad en ligne)

    Commentaire : La capacité de l'ALA à chélater au-delà de la BHE semble être prouvée.

Commentaire de ces articles
    En dépit que l'ALA soit méconnu des circuits officiels, quelques études scientifiques (balbutiantes ?) confirme sa capacité chélatrice.
  • Cependant, je suis tombé sur des recommandation de la Haute Autorité de Santé qui préconise de classer l'ALA comme médicament uniquement disponible par prescription.
    Je ne sais pas où en est cette histoire, mais il me semble qu'il n'existe pas d'alternative en vente libre.
  • Entre l'ALA, et le BAL, je retrouve les mêmes infos, un chélateur lipophile qui semble se retourner contre l'utilisateur dans certains cas.
    Le nettoyage de l'extra au préalable est donc un pré-requis pour les chélateurs lipophiles.




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CDI-03 : Chélation De l'Intra, l'ALA(2). - Température et pH

Messagede Sophocle » Ven 24 Jan 2020 18:30

Surprise [img]smile/baer.gif[/img]
    ... La solubilité de L'ALA serait dépendante du pH et de la température (comme suggéré par Microtrace selon le pH et comme valable pour l'Edta et éventuellement pour le Dmsa).
    Voir article : Inclusion Complex of α-Lipoic Acid Containing Alkalizer.
    Le bicarbonate de soude aiderait à une bien meilleure solubilisation de l'ALA dans l'eau (à vérifier, ...)
    ... Après vérification, le contenu de la gélule se solubilise bien mieux (voir totalement) dans une eau à 37° dans laquelle un peu de bicarbonate de soude a été ajouté. [img]kator/smiley223.gif[/img]


    Ça percolera certes de bien meilleure façon.
    Mais,
      [img]images/icones/icon3.gif[/img], le risque de re-contamination de l'intra est d'autant augmenté car le pH de l'intra est 7.2, l'ALA devrait donc relarguer sa proie en passant d'un pH8 à pH7.2, cad exactement au moment de franchir la membrane cellulaire.
      Pour minimiser ce risque, il faudra que l'extra soit totalement clean de chez clean [img]images/icones/icon18.gif[/img] et que je parvienne à obtenir une solution dont le pH est 7.2.
      Pour cela,
      • Je vais ajouter de l'edta et du dmsa dans la solution avec l'Ala (il faudra que je vérifie que l’Edta demeure solubilisé à pH7.2).
      • Quant à obtenir une solution calibrée précisément à pH7.2, ça me semble peu probable avec mes bandelettes dont le pas est de 0,5.


Ordonnancement général
    Si mes petites expériences aboutissaient à une chélation efficace, je rappelle qu'il est hautement préférable (cad impératif en langage diplomatique) de récurer l'extra au préalable et qu'il serait préférable de s'assurer de cela avec une analyse en laboratoire (les valeurs doivent absolument être revenues dans les valeurs de références).
    Ce n’est pas parceque la recontamination semble désamorcée qu’il ne faut pas être prudent. [img]images/icones/icon13.gif[/img]

(...)
Stabilité en dépit d'ajout de vinaigre
  • En rajoutant du vinagre à la solution qui était déjà à pH8 et dans laquelle avait été solubilisée l'Ala, l'Ala n'a pas floculé, il s’est demeuré solubilsé en dépit de la baisse de pH.
    Il serait donc possible de solubiliser l'Ala à pH8 de façon transitoire, et de redescendre la solution à pH7.2 de façon à minimiser le risque de recontamination de l'intra sans réduire la percolation tant précieuse.
    La baisse de température n'a pas eu d'effet non plus, mais je ne vois pas l'interêt de faire baisser la température au risque de d’aggraver une altération de l'ALA (dont la sensibilité et dont l'instabilité est occasionnellement rapportée dans la littérature).
  • Lors de la confection de la solution à boire, le vinaigre sera remplacé par du jus de citron.

Rebaptisation de cette solution en "intrasso"
    "Intrasso" est un peu plus phonogénique de cédéi-asso.
    Il aurait été explicite que les chélassos s'appèlent des "Extrassos".

Solubilités selon différents états
    Pour en avoir le cœur net, j'ai testé la solubilité dans 3 cas.
    1. Eau à 20° et pH3
    2. 55° et pH8 - test de l'instabilité.
    3. 37° et pH8
    J'ai versé délicatement un peu de poudre à la surface et je regarde le comportement.
    La poudre sort en grumeau de la gélule et demeure à la surface de l'eau.
    1. Le grumeau demeure en l'état lorsqu'il touche l'eau, puis le grumeau se disperse lors du mixage.
    2. Le grumeau demeure en l'état à la surface de l'eau, il colle au mixeur, il devient gluant et ensuite il se solidifie.
    3. Tout seul, le grumeau se déploie en trois secondes sur toute la surface disponible. Waaou. [img]kator/smiley223.gif[/img]
      Parfois, de tout petits éléments individuels s'agitent de façon frénétique comme un moteur moléculaire : épatant...

Eaux minérales
    Pour faciliter la confection de la solution, autant directement choisir une eau minérale au pH adapté.
    Eau pH ; Rouscous 6 ; Mont-blanc 7,6 ; Montcalm 6,8 ; Volvic 7 ; Vittel 7,6 ; Evian 7,2 ; Thonon 7,3 ; Contrex 7,4.
    Par prudence, il faudrait commencer avec l'Évian (7.2 à chauffer à 37°) - même pH que l'intra.
    S'il n'y avait pas de résultat, je testerai ensuite la Mont-Blanc (7.6).
    S'il n'y avait pas de résultat, je testerai la rouscous avec du bicarbonate de soude (pH8).

R-ALA et ALA
    J'avais versé les gélules de R-ALA et d'ALA dans la même boite.
    Bien qu'il est possible de faire la différence entre les 2 types de gélules, je ne saurais dire de quel type d'ALA il s'agit dans telle ou telle gélule.
    Or, le contenu d'une gélule se solubilise bien, mais le contenu de l'autre type gélule ne se solubilise absolument pas.
    Je vais essayer de faire le distingo en rachetant une boite...
    Je dirai que c'est l'ALA qui se solubilise mais, il vaut mieux que je vérifie cela.
    ...après recoupement, il s'agit bien de l'ALA qui se solubilise et c'est le R-ALA qui ne se solubilise pas.
    Je reviendrai ici pour dire quel type d'ALA se solubilise aussi bien de façon formelle.


Dosage de la première intrasso
    J'ai bu une mini-intrasso, un verre avec 250mg d'ALA, à pH8 et je n'ai pas eu de symptômes, peut-être une petite baisse de céphalées et de mes sensibilités liées à l'allicine, mais c'est l'effet placébo est certainement derrière.
    J'en aurai le cœur net avec une vraie intrasso suivie d'activités physiques.
    Je vais donc tenter la première intrasso directement à pH8.
    Sur guérir-du-cancer, j'ai vu que l'ALA était prescrit jusqu'à 1g environ.
    Pour les chélations médeicalisées, je retrouve souvent cette fourchette dans la littérature, entre 0,25 et 1,5g pour chaque chaque chélateur à combiner.
    Je vais commencer avec 1 gramme (4 gélules).
    Pour traiter le rebond de l'extra, je vais ajouter 1 gramme d'Edta (4gélules), et 0,3g de Dmsa (3 gélules).
    3,5g de BCS, Volume d'eau 3/4 de litre à 37° dans un thermos pour qu'elle demeure chaude pendant la marche.
  • Pour la première confection, j'ai versé toute la poudre dans un peu d'eau chaude, j'ai mixé, mais tout a floculé.
    Mais en mixant, gélule par gélule, dans un grand volume d'eau chaude, la solubilisation s'est très bien déroulée.


Pointage des chélassos et des intrassos
  • Extrasso #26 - 18 janv. Comme d'hab, rebond. Je continue donc mes chélassos. (rappel Exrtrasso = chélasso, suite à la confection de l'intrasso, il me semble préférable de rebaptiser la chélasso en extrasso de façon à ne pas tromper les éventuels futurs utilisateurs).
  • #01 - Intrasso. Prévue le 25 janv en fin d'après-midi.
    • Je rentre à peine de mes exercices physiques.
      Déjà, il n'y a pas de recontaminatation de l'intra par l'extra, et le goût est très spécial - il faut s'accrocher.
      Mais il n'y a pas d'effets éclatants pour l'instant, il faut encore que j'attende 36h pour éventuellement ressentir des effets lents.
      Il me semble que les sensibilités résiduelles de l'incident à l'allicine se sont estompées, mais il me faudra encore plusieurs jours pour m'assurer de cela.
    • Il y a avait un peu de résidus dans le fond de la bouteille, mais il suffisait de secouer pour faire disparaitre ce résidu.
      Cependant, la solubilisation ne semblait pas optimale.
      J'ai peut-être mis trop de poudre pour ce première confection d'intrasso, il faudra que je baisse les doses pour la prochaine séance : Dmsa : 1gél ; Edta ; 2 gél et Ala : 3gél.
    • 12h après la séance, il me semble que des fluctuations de sensibilités ont eu lieues, je ne saurais les attribuer à l'ALA.
      Les résidus persistants de l'incident à l'allicine ont certes baissé, mais,
      il faut que refasse encore quelques séances pour me faire une idée consolidée.
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CDI-04 : Chélation De l'Intra, H/E

Messagede Sophocle » Dim 26 Jan 2020 14:44

ALA et R-ALA - édit 30 janv.
    J'ai expérimenté cette solution H/E avec du R-ALA.
    Mais, cette solution est tout autant valable avec l'ALA - voir même +.
    Pour la suite de mon traitement, je retiens cette solution H/E mais je substitue le R-ALA par l'ALA car l'ALA est moins cher et + soluble que le R-ALA.
Message d'origine :



Solubilisation d'un produit hydrophobe
    Le r-ala en poudre est totalement hydrophobe et totalement lipophile.
    C'est-à-dire qu'il se mélange à l'huile mais ABSOLUMENT pas à l'eau.
    Or le sang est majoritairement composé d'eau.
    Certes, le r-ala, comme tout lipide hydrophobe, serait mis en circulation dans le circuit lymphatique qui prend racine dans les intestins, mais il ne serait pas inutile d'aider le r-ala à se rendre soluble parmi les phases à dominance lipidique et parmi les phases à dominance aqueuse.
    En gélule, il me semble donc qu'il n'y ait que très peu de principe actif qui se disperse dans l'organisme.
    Pour que le contenu de la gélule se solubilise aisément dans le corps, il faudrait : 1 qu'il se mélange à de l'huile pure tout seul, 2 puis qu'il se mélange à un émulsifiant tout seul, 3 : qu'il regagne le réseau sanguin tout seul.
    Mais si le r-ala était présenté tel qu'il devrait être pour se solubiliser dans le sang, un maximum de principe actif atteindra les tissus ordinaires (tout sauf snc).
    Tel qu'il se présente dans la gélule, je doute donc que le r-ala ne soit pas vraiment accessible au sang.
    Le r-ala en poudre ne se présente pas comme il faudrait pour la façon dont fonctionne le corps.
    Pour rendre ce produit assimilable, il faut transformer la poudre avant ingestion.
    Pour cela, il suffit de verser la poudre dans un tout petit peu d'huile (qq fois le volume de la poudre 1 à 5ml), mixer, ajouter l'émulsifiant (lécithine de soja), attendre et mixer, verser dans un verre d'eau et mixer, et boire à jeun.
    Ainsi, le produit est présenté de façon à ce qu'il diffuser rapidement dans le sang.
    Pour atteindre le snc, il serait préférable de pratiquer quelques exercices physiques pour hyper-vasculariser de façon à propulser jusqu'au sanctuaire.

Dosages
    Le produit hydrophobe par excellence est l'huile essentielle.
    Par voie de conséquence, j'ajoute ce r-ala à mon he diluée à 10% dans de l'hv.
    À ce jour, je tâtonne au niveau des dosages.
    Je donne ici certes mes dosages, mais ces dosages pourraient être optimisés à l'avenir.
    Pour mutualiser mes confections quotidiennes, je verse la poudre de r-ala dans la préparation anti-MO ( mélange d'hv à 90% et d'he à 10%).
    He : 1ml, hv 9ml, R-ala 100mg dans un gélule qui pèse 450mg, lécithine de soja: 1g, eau tiède : 13cl - avec un mixage à chaque étape.

Activation du principe actif
    En théorie, la meilleure préparation pour se faufiler jusqu'au sang serait une préparation dans laquelle il n'y aurait pas de séparation de phase.
    Cependant, une telle préparation risque de masquer le principe actif derrière les éléments intermédiaires qui permettent la solubilisation.
    De façon optimale, une préparation devrait aboutir à une séparation de phase après 20 minutes après ingestion de façon à libérer le principe actif au cœur des cellules.
    Ainsi, pendant 20 minutes, les phases bien solubilisées pourraient accéder jusqu'au sang, et ensuite les phases devraient se séparer de façon à ce que le produit actif serait libéré au moment opportun, là où il faut.

Temps de déphasage.
    À jeun, il me semble qu'il faudrait 20 minutes environ au minimum pour que la solution franchisse l'estomac et les intestins, et qu’elle se retrouve dans le circuit sanguin.
    La température de l'eau ingérer va jouer sur le temps d'absorption ; 37° c'est l'idéal, il ne faut pas monter au dessus ne pas altérer les principes actifs (ex: ALA).
    Ensuite, il serait préférable de procéder à des activités physiques pour que le produit se disperse dans le fin fond des ramifications capillaires, cad jusqu'au snc.
    Et, il serait ensuite heureux que les phases du produit se séparent pour que le principe actif deviennent effectivement actif...
    C'est donc en jouant sur les dosages (PA, léc., huile v., eau, ... et température 37°) qu'on ajuste le moment de déphasage.
    À chaque étape, je regarde comment se comporte l'élément versé dans l'autre, je regarde comment se dispersent les éléments au moment du mixage et je regarde aussi comment les phases se reconstituent.
  • Pour l'instant, y'a de la mousse qui se crée au-dessus de mes solutions huiles dans eau.
    Il faut donc encore que j'apprenne à doser les ingrédients de façon à éviter cette mousse.
    Pour pallier à cette mousse, je bois la solution juste après l'avoir mixée de façon à réduire cette mousse.
  • Je ne chauffe pas mes préparations, mais à 37°, les changements d'états vont un peu plus vite.
    À tord, je néglige ce paramètre, mais ce paramètre complique la confection de la solution, il faut aussi que la préparation soit simple...

Pourquoi les médicaments sont-ils si peu efficaces ?
    Moins il y aura de conservateurs et moins il y aura de stabilisants, plus il y aura de chance d'activer le principe actif au moment opportun.
    Si le principe actif était activé trop tardivement, il serait déjà éliminé par les émonctoires.
    Or, les médicaments doivent demeurer stables pendant longtemps avant consommation.
    Les solutions industrielles et commerciales souffrent donc de blocage du principe actif à cause du temps stock entre la confection et la ventre.
    Les solutions artisanales seraient donc bien plus efficaces, mais elles nécessitent une confection manuelle avant chaque prise.
    De plus, la confection pâtirait d'un nombre élevé de rebus pour trouver le bon dosage.
    Les solutions industrielles ne peuvent jouer que sur la température ou sur le pH, or les solutions artisanales peuvent jouer une séparation de phases à retardement quelque soit la température ou le pH...
    Il y a donc mécaniquement plus de chances de parvenir à des résultats avec les solutions artisanales...
    L'industrie est certes un pilier de l'économie, mais quand on a un million d'Alzheimer éventuellement victimes des ml, l'industrie est-elle vraiment prioritaire face à autant de souffrance ?
    Quand à l'économie, elle se porterait mieux avec des artisans par milliers que des par des industriels par unités.
    Dans le fond, la question de l'industrie ne se pose même pas lors de question de santé publique.

Goût
    L'avantage de cette solution (huile dans eau), c'est qu'elle masque totalement le goût de l'Ala.
    Je vais donc la tester avec l'Ala lors de la prochaine intrasso.
    Quitte à ce que cela diminue des effets déjà non éclatants, il serait préférable de masquer ce goût.
    Cependant, 24 heures après la première intrasso, je sens un confort cérébral s'installer tout en douceur.
    Quand je secoue la tête de façon vigoureuse, je n'ai plus de sensibilité, or cela est tout nouveau...
    Mais je ne peux vraiment pas attribuer ces améliorations de façon formelle à l'ALA car l'effet placébo est franchement puissant.
    ... Après un test, il n'y a aucun goût, ce serait donc top qu'il y ait une chélation effective en dépit de l'émulsifiant.
    ... il me semble aussi qu'il serait préférable de boire de l'eau à pH8 (5g/l de bicarbonate de soude) pendant les demies-journées suivantes pour que l'Ala demeure active.
    Surtout, le pH des reins va baisser pendant la nuit jusqu'à 5.5, le bicarbonate de soude va donc éviter que l'Ala ne relargue ses ml au niveau des reins.
    ... Si mes progrès venaient de l'Ala, cela veut dire que la demi-vie est bien supérieure aux fameuses 3 heures.
    Il est possible que l'Ala demeure plusieurs dizaines d'heures dans la cellule avant d'être expulsée.
    De plus, la solubilisation dans l'huile devrait prolonger la durée de vie car le produit dans un cheval de Troyes, il faut donc attendre que le cheval se délite par lui-même pour libérer le PA.

Prix
    L'Ala coute environ 2e/g et le r-ala coute 4e/g.

Lundi 27 janv. à 9h00
    J'ai pris une mini-intrasso ce matin (0,25g d'Ala dans 10 ml d'huile et 1g de léc. dans 13 cl d'eau tiède).
    Une heure après l'ingestion, j'ai vraiment l'impression qu'un confort cérébral s'installe durablement.
    Ce n'est pas éclatant mais c'est une tendance qui s'exprime.
    Par précaution, il est encore trop tôt pour attribuer ces améliorations à l'Ala car il me manque une répétition du phénomène.
    De plus, les céphalées deviennent de plus en pus ténues, les variations sont donc difficiles à apprécier.
    Mais j'ai vraiment l'impression qu'il y a un soulagement à retardement dans les profondeurs du snc.
    Je sais Ô combien l'effet placébo est puissant, mais je préfère le noter car ces soulagements ne sont ni éclatants ni totalement imperceptibles dans la durée.

Dernière édition par Sophocle le Jeu 30 Jan 2020 12:01, édité 1 fois.
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05 - Centre anti-poison - Menaces de porter plainte

Messagede Sophocle » Lun 27 Jan 2020 13:04

Rappel ce we
    Sans nouvelle du centre anti-poison, j'ai rappelé samedi dernier pour savoir où en était mon dossier.
    Ils m'ont dit que mon dossier était accepté et qu'il m'appelleraient en début de semaine pour fixer une consultation.
    (il est 11h00, je n'ai pas encore eu d'appel de leur part).
    Même s'il m'ont dit que mon dossier a été accepté, cela m'a rappelé les fois où ils m'ont promis de me rappeler et qu'ils ne me rappelaient jamais (en 2015)

Préparation de la consultation
  • À la fin de la consultation, je devrais recevoir un acte de consultation.
    Si je n'en avais pas, il faudra que je pense à le réclamer.
  • Je vais annoncer que mes analyses ont été faites juste après avoir pris l'antidote et que les analyses ressortent négatives si je ne prenais pas l'antidote.
    Je vais produire les résultats d'analyses attestant de cela, et il me semble donc important de faire les analyses avant/après traitement pour bien justifier de cela.
  • Je vais annoncer qu'en dépit de la poursuite des traitements hydrophiles (Edta et Dmsa), le mercure à chuté et que je n'ai plus de soulagement de symptômes.
    Or il me reste donc des céphalées, il me semble donc que l'intra est encore contaminé et qu'il me faudrait un chélateur intracellulaire.
    Je demanderai à ce que le contrôle se fasse avant et après traitement.

Interstices et courtoisie.
    En dépit de l'enfer qu'ils m'ont fait vivre, je vais demeurer courtois, factuel, souriant et rassurant pour l'avenir.
    C'est ainsi que j'aurais le plus de chance de faire aboutir mes demandes.
    L'important, c'est de sortir de ce bourbier.
    Si, face aux équipes, j'étais un peu moralisateur, la coquille va se refermer.
    Au cours de mes échanges téléphoniques anciens, j'ai remarqué qu'il y a avait des interstices.
    L'inefficacité du diagnostique officiel est un secret de polichinelle, or, par le passé, les personnels ont été accommodant avec mon diagnostique fait à l'étranger.
    Il m'avaient laissé entendre que je serai traité mais pas reconnu.
    Mais, par méconnaissance, j'avais suggéré que les amalgames étaient à la sources de mon intoxication, cela avait refermé la coquille sur le champ.
    Cependant, mes analyses récentes sont positives et elles ont été réalisées dans un labo français, il ne devrait donc pas avoir besoin d'interstice pour une consultation.
    Mais, pour tente d'obtenir un examen positif au centre anti-poison, je vais solliciter que la prise de sang se fasse après une injection de dimercaprol...
    S'ils ne le souhaitant pas, je prendrai une intrasso.

Analyses de l'intra
    Il me faut encore assurer les analyses de l'intra.
    La cinétique des chélateurs lipophiles ne semble pas aussi éclatante que celle des chélateurs hydrophiles.
    Cependant, elle n'est peut-être pas moins inefficace.
    Même si la demi-vie de l'Ala est de trois heures (soit une heure de moins que le Dmsa), il me semble que le caractère lipophile joue à retardement.
    Il serait peut-être préférable de faire des analyses sur une urine de 24h.
    Pour vraiement bien faire, il faudrait faire des analyses comparatives sur un prélèvement ponctuel à 1h30 ou sur 24h pour arbitrer quelle analyse est la plus probante...

Historique des messages à propos des échanges avec le centre anti-poison.

Menaces de porter plainte
  • J'ai rappelé le centre anti-poison ce jour à 18h00.
    Il m'ont répondu que le dossier était parti en consultations et qu'il fallait attendre.
    Ça fait une semaine que j'attends...
    Il m'ont déjà fait le coup en 2014, il ne rappellent jamais.
    J'ai menacé de porter plainte si je n'avais pas d'appel sous 24 heures.
    J'ai rappelé qu'il m'ont raccroché au nez en 2014 et 2018, mais que j'avais désormais des analyses positives faites dans un labo français.
    Mon interlocuteur m'a immédiatement lâché le numéro des consultations.
    Il suffit de brandir des menaces pour qu'ils s'exécutent.
    Cela veut dire que le centre d'appel se désolidarise des consultations.
    De toute manières, les valeurs que je leur ai soumises sont positives, ils ont donc obligation à répondre.
    Mais on peut voir qu'ils procèdent par une usure savamment orchestrée et systématisée pour refouler un maximum de patients, y compris intoxiqués.
    Il est trop tard pour rappeler les consultations ce soir, je rappèlerai donc demain.
    Je demanderai à savoir quand est-ce qu'ils me rappèleront.
    Si la réponse était évasive, je remenacerai de porter plainte.
  • J'ai appelé les consultations, mardi matin vers 9h.
    Contrairement à ce que m'a affirmé la plate-forme d'appel, la secrétaire m'a informé qu'il n'y avait pas de dossier me concernant (et donc pas de rdv prévu).
    Elle m'a dit qu'elle se renseignait pour récupérer mon dossier et qu'elle me rappellera aujourd'hui ou demain...
    Pendant ce temps-là, je prépare mon dossier de plainte.
    ... à 11h, ils m'ont rappelé, rdv en mars (2ème moitié de mars).
    Ils ont franchement quelque-chose à se reprocher, j'hésite à quand-même porter plainte. [img]images/icones/icon12.gif[/img] [img]kator/smiley90.gif[/img] [img]kator/smiley31.gif[/img]
    Cependant, ils ont demandé de venir avec les urines de 24h : les personnes, qui ne font donc pas la chélation, ont donc des résultats négatifs... c'est désespérant. [img]smile/freak6.gif[/img]
    Perso, je ferai la chélation de façon à ce que les métaux sortent.
    Mais je me méfie de la prise de sang surprise, je prendrai une petite bouteille d'intrasso/extrasso avec moi (Ala et edta).
    Mais d'ici mars, j'aurai peut-être parvenu à parachever une élimination complète...
    • Édit (30janv.) La date du rendez-vous me laisse perplexe...
      Le rdv est dans 8 semaines, c'est un peu loin pour faire un contrôle d'une intoxication.
      Avec 8 semaines, une intoxication à le temps de se cacher dans l'intra, elle a le temps de devenir invisible aux examens de façon à inculper le patient d'affabulateur.
      C'est pas beau :no:
      Ces saligauds travaillent à l'usure à chaque rouage.
      Mes menaces n'ont certainement pas aidé à ce qu'ils facilitent mes démarches.
      Si j'avais fait des analyses lors des toutes premières extrassos en septembre dernier, les valeurs auraient fait péter la cloche.
      Avec de telles valeurs, j'aurai pu faire sauter le ministre car j'ai gardé le courriel que j'ai envoyé début 2019 avec mes analyses explosives de Microtrace et suite auxquelles ils m'ont raccroché au nez...
      Cependant, en dépit de mes analyses qui reflètent un extra récuré mais en me rendant à leur rdv, je serai témoin de leur protocoles, et je les raconterai ici.
      Ils ont certes demandé de venir avec des analyses de 24h (qu'on peut rendre positif avec les extrassos).
      Mais vu comme ils sont tordus, je prévois qu'ils vont pratiquer une prise de sang surprise.
      Là, si un intoxiqué chronique ne fait pas le nécessaire, l'hôpital accusera le patient de faux recueils avec le comparatif urines vs sang.
      Jusqu'ici, j'ai été victime de toutes les zones d'ombres de l'intoxication chronique que l'hôpital emploie à user le patient.
      Si l'hôpital ne peut pas traiter un nombre trop important de patients, c'est le rôle de l'état que de donner la notice pour le patient parvienne seul à faire sa détox.
      Avec cette notice, on pourrait peut-être pu prévenir les 1 millions d'Alzheimer français.

Autre sujet : cinétique des effets versus doses
    J'ai repris une mini-intrasso à 19h00 (cad sans activités physiques).
    Il me semble qu'il y ait des améliorations - mais j'ai des doute, je n'arrive pas arbitrer s'il y a des effets ou pas...
    ... prochaine intrasso : 3/4l d'eau 37°, 3g de bcs, 1g de ALA mélangé dans 20ml d'huile végétale 37° et 2g de lécithine de soja, mixages et remixage... puis sport.
    ...Fait à l'instant. Au niveau du goût, y' a pas le goût du souffre, y'a juste le goût de l'huile végétale - ça c'est impec.
    Mais au niveau des effets, il faut que j'attende encore 24h pour voir s'il n'y a pas une tendance car il n'y a pas d'effet éclatant sur le moment.
    ... Je commence à me faire une première idée de la cinétique des doses et des effets.
    Pour finir, je valide qu'il y ait des effets bénéfiques, mais il m'a fallu un peu de temps pour décortiquer la cinétique des effets.
    Après une petite d'expérimentation un peu désordonnée et chaotique, il me semble qu'il n'est pas utile de prendre plus que 0,25g d'Ala par séance.
    Au niveau des effets pour l'instant, il me semble qu'une grosse dose (1g) d'Ala avec sport ne chélate pas plus de métaux qu'une dose de 0,25g sans sport.
    Il me semble que prendre 0,25g matin et soir serait plus efficace qu'une seule prise de 0,5g ou 1g, mais il faut éviter la déminéralisation jours après jours.
    0,25g d'Ala 1 fois par jour me semble prudent sur la longue, cela fait 1,75g par semaine, cela rentre dans la dose cumulée que je prends pour l'edta et dmsa lords de la chélasso hebdomadaire.
    Il me semble que je peux cesser de prendre de l'Edta et du dmsa car l'Ala devrait prendre en charge le rebond.
    ... il ne s'agit là que de premières évaluations que je réévaluerai au besoin...
    ...Par acquis de conscience, demain, j'essayerai 1g d'ALA dans 10cl de ghee, et j'y ajouterai 5g de lécithine de soja pour aider à la solubilisation.
    le ghee va peut-être aider massivement l'Ala a circuler parmi l'intra.

Dernière édition par Sophocle le Jeu 30 Jan 2020 11:44, édité 1 fois.
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CDI-05 : Chélation De l'Intra, Voie lymphatique

Messagede Sophocle » Mer 29 Jan 2020 11:46

Circuit lymphatique.
    Les lipides ne passent pas par le sang depuis les intestins mais par la lymphe.
    Ce circuit, qui prend racine dans les intestins, se déverse dans le sang en amont du cœur.
    Les médicaments lipophiles ne sont donc pas dénaturés par le foie.

Solvant lymphatique et chélateur lymphatique
    Dans le ghee, le chélateur aura une cinétique et un cheminement un peu différent que s’il est solubilsé dans une phase aqueuse.
    Il me semble donc utile de tester cette voie pour se servir de la voie directe des lipides jusqu'aux cellules.
    L’Ala étant lipophile, c’est donc le chelateur approprié pour cette voie-ci.
    Maintenant, y’a plus qu’à tester.

Os et cerveau
    Malheureusement, les os et le cerveau ne sont pas innervés par le micro-maillage dense des capillaires de la lymphe.
    Or, c'est justement là que s'accumule des réserves de métaux-lourds et qui provoqueraient le fameux rebond après chélation.
    Peut-être que cette raison-ci participe à l'accumulation des ml dans ces organes-ci :
    L'absence de micro-maillage ne permet pas de pallier à la résistance de la lymphe.
    C'est peut-être pour cela qu'il faut aussi passer par une hyper-vascularisation (bains froids ou activités physiques intenses) qui permettra d'atteindre les os et le cerveau.

Accompagnement physique
    Une marche lente et longue serait bien plus profitable pour faire percoler la lymphe dans les tissus ordinaires qu'un petit quart d'heure d'activités physiques intenses.
    Mais, j’ai occasionnellement un petit coup de barre (lourdeur et somnolence ) pendant une séance de pancha-karma.
    Comme la cigüe de Socrate, ce coup de barre prend des pieds, remonte jusqu’à la tête, et finit par passer tout seul.
    Comme certains témoignages, je préfère m’allonger en attendant que ça passe.
    Ça peut durer 2 à 4 heures, mais on sent les organes passer un à un par une phase transitoire de ramollicement.
    Mais, parfois, une seule dose ponctuelle de ghee passe comme dans du beurre...

Préparation de la toute première solution
  • 10 cl de ghee chauffé à 37°max (je vérifie avec un thermomètre, sinon l'ala se détériore)
  • 1 gramme de d'Ala (contenu de 4 gélules, je jette les capsules)
  • 1 gramme de lécithine de soja en granules
  • Mixer, filtrer, boire à jeun le matin ; ne rien manger pendant 3 heures.
  • Le reste de la journée, je sirote une bouteille d'eau minérale à pH8 (4g de bcs) - cela va permettre de solubiliser et de fixer les ml jusqu'aux reins.
    ... Résultat 2h après => pas d'effets éclatants mais quelques effets fugaces un peu plus perceptibles que les autres variantes de solubilisation.
      NOTA: J'ai écris ce post et sa conclusion pendant les 2 heures suivant l'ingestion de cette solution.
      ... Mais Résultat 12h après => il me semble qu'il eu des effets bénéfiques, je vais retester avec des activités physiques cette méthode pour m'assurer de sa relativité.

Bilan des variantes de solubilisation.
    Depuis que j'ai commencé mes essais avec l'Ala, je confirme que l'Ala procure des améliorations.
    Mais, suite aux effets des extrassos (=chélassos), je m'attendais à ce que les résultats de la solubilisation de l'Ala soient aussi éclatants qu'une solubilisation d'Edta et de Dmsa.
    Il me semble que j'ai essayé toutes les combinaisons possible de solubilisation, avec/sans huile, avec/sans eau, avec/sans lécithine,...
    Pour l'instant, je me résigne à un calendrier répété de chélations par l'Ala.
    Bien qu'elle puisse être hebdomadaire, la solution avec ghee semble un peu plus performante mais l'ingestion du ghee est un moment difficile.
    Je vais me reporter sur la solution H/E (voir post CDI-04) quotidienne avec peu d'huile (10ml), lécithine de soja (0,5 à 1g), 0,25g d'Ala et eau (13cl) qui ne semble pas moins efficace que les autres techniques.
    Quoi qu'il en soit, l'intrasso est bcp + poussive que l'extrasso (rappel extrasso = chélasso).
    Édit [img]kator/smiley252.gif[/img]
      Au moment où j'écris ces lignes, les deux solutions suivantes :
      1 H/E (CDI-04), et
      2 Ghee, voie lympahtique (CDI-05),
      semblent l'une et l'autre certes peu efficaces mais suffisamment pour je les adopte quitte à cela soit chronique.
      La solution avec ghee est un peu + lourde mais elle semble un peu + efficace.
      J'aviserai et j'affinerai à l'avenir.


Premières réflexions à terme
    Parfois, j'ai la sensations évanouissante de n'avoir plus aucune céphalée (mais la majeur parti du temps, j'ai quelques céphalées).
    J'ai aussi retrouvé une facilitation de la concentration.
    Mais j'ai l'impression que je vais arriver à un arrêt des effets de l'Ala avant suppression définitive des céphalées.
    Il me semble que je devrai poursuivre les intrasso ou les extrassos à terme de façon éliminer le rebond.
    Je ferai une extrasso une fois par mois pour écoper les ml qui ressortent par le rebond.
    Même si les extrassos ne traitement pas l'intra, elles ont au moins le mérite de me faire ressentir que le rebond est éliminé.
    Je me sens un peu + rassuré avec les extrassos qu'avec les intrassos car je sais désormais que leur efficacité est redoutable.
    À la sortie de l'extrasso, l'extra est clean.
    Je ferai peut-être des extrasso sans Dmsa mais juste avec l'Edta pour enlever le goût soufré.
    Avec l'intrasso, les sensations ne sont pas explicites mais j'ai quand-même l'impression que la céphalée de fond est plus faible que le traitement de rebond.
    Avec les intrassos, je ressors avec un peu de dépit de ne pas être vraiment performant même si je ne ressens peu le rebond.
    À terme, il me semble que j'espacerai les séances et j'aviserai à chaque séance s'il faut une intrasso ou une extrasso.
    Cad que je comparerai entre la céphalée de fond et le rebond.
    Il est également possible que les lieux de chélation ne sont pas les mêmes, et que donc il faut un peu des deux.
    Selon Jade Allègre, l'alimentation traditionnelle des populations indigènes comporte toujours du soufre :
    il serait peut-être de salubrité publique de faire un petit bilan chez Microtrace tous les ans jusqu'à la fin de la vie car Alzheimer apparait sans que les symptômes des ml soient déclarés.
    ...Je voudrai bien essayer le dimercaprol car il est éprouvé dans la littérature scientifique.

Autre bénéfice de l'Ala : résolution des résidus de sensations des Amoc.
    Par contre, l'Ala a presque parachevé les résidus de sensations qui duraient depuis l'incident à l'allicine.
    De façon éclatante, les extrassos avaient certes participé à 50% de la résolution de l'incident.
    Mais je trainais des résidus de sensation quand je palpais le foie.
    Désormais, ces résidus de sensations ont disparu depuis le traitement à l'Ala.
    La résolution a été lente, progressive et intercalée à l'Ala, je ne peux certes pas attribuer cette résolution à l'Ala mais je peux noter une très forte concomitance.
    En dépit de ma demie-déception sur le snc, l'Ala semble avoir quand-même des résultats sur les ML que n'ont pas les chélateurs hydrophiles.
    Les 20 extrassos de l'automne 2019 ont effacé grosso-modo 85% des symptômes, je dirai donc 85% des ml demeuraient dans l'extra du snc.
    Les 15% restant sont certes peu par rapport à l'ensemble mais ils sont bien moins accessibles, ils seraient donc beaucoup plus lents à éliminer.
    La membrane des astrocytes est peut-être efficace contre l'Ala, les ml ne seraient donc pas trop atteignables en dépit du ghee ou des activités physiques.
    En pancha-karma, il faut prendre un sauna après l'ingestion de beurre, peut-être qu'un bain hyper-thermique va aider à faire entrer les produits lipophiles dans le snc car la température ouvre les espaces entre les membranes et augmente les échanges. À essayer...
    La douche alternée est peut-être ce qu'il y a de plus propice pour un PA lipophile en augmentant les échanges intra/extra-cellulaire et pour activer l'hyper-vascularisation... à tester.
    Je vais donc prendre mon intrasso au lever et enchainer avec une douche alternée...
    Je vais prochainement reprendre le traitement amoc, je ferai un post prochainement sur ce sujet.



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