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Re: Methylation/transsulfuration et hormones

MessagePosté: Mer 14 Aoû 2013 21:41
de Lebowski
kate a écrit:Lebo,
J'ai re-testeé mes sulfates/sulfites avec les badelettes ajd, je suis encore dans la norme

La norme à Roberts ? Tu affiches combien au juste ?
Moi en ce moment c'est > 400 mais si je descends à < 200 je suis mieux.


Euh oui les normes à Roberts, c.a.d. que c'est aprem j'étais à >400 et 10 pour les sulfites. En tout cas s'il y a un soucis de ce côté là, pour l'instant mes résultats ne sont pas flagrants. Je vais continuer à prendre des mesures pour surveiller quand même. Et il faut que je me replonge dans la lecture sur ce fameux cycle de methymation/transsulfuration, j'ai bien l'impression qu'il y a qqchose qui m'échappe...genre j'ai une CBS à moitié up mais d'autres trucs qui font qu'au final je ne suis pas dans le cas de figure 'classique' des CBS up, comme si y'avait un certain équilibre... j'arrive pas à l'expliquer. J

Re: Methylation/transsulfuration et hormones

MessagePosté: Mer 14 Aoû 2013 23:40
de un_ptit_gars
kate a écrit:P'tit Gars t'as maigri tant que ça ?
C'est dingue, j'avais failli te dire qu'en hypermétabolisme il y a hypermobilisation donc binders indispensables, mais j'ai pensé que tu le savais....... Comme quoi on est vite à côté de la plaque quand le corps perd son équilibre.


Ouais, c'est pas comme si je le répétais chaque jour aux nouveaux et que j'avais écrit un passage exprès dans le chapitre 4 de l'Ebook hein... mais comme tu dis, qd ça va pas, par moment le cerveau doit plus tourner bien rond pour ne pas penser simplement qu'il faut vraiment augmenter les binders... alors que c'est juste évident en y repensant a postériori :/

J'avais du perdre genre 15 kg en 1 mois et demi, ce qui est deja pas mal...ça faisait trèèèès longtemps que je m'étais pas retrouvé mal comme ça. Puis j'ai stabilisé, pendant 2 mois, et maintenant que je remonte la pente j'ai du reprendre 2 ou 3 kg. Il m'en reste encore bien 5 a prendre et après ça sera bien (j'avais prévu un petit régime avant tout ça, donc je compte pas reprendre tout :D )

Pti gars

Re: Methylation/transsulfuration et hormones

MessagePosté: Jeu 15 Aoû 2013 11:48
de Lebowski
un_ptit_gars a écrit:[
J'avais du perdre genre 15 kg en 1 mois et demi, ce qui est deja pas mal...ça faisait trèèèès longtemps que je m'étais pas retrouvé mal comme ça.
Pti gars


15 kg [img]smile/eek.gif[/img] !!
J'ai pas bien compris ce qui a engendré cette perte chez toi...

Re: Methylation/transsulfuration et hormones

MessagePosté: Jeu 15 Aoû 2013 12:32
de kate
J'avais du perdre genre 15 kg en 1 mois et demi

Mince alors ! c'est le cas de le dire ! Ta thyroide a drôlement carburé dis donc. Tu dois avoir un bon taux de cortisol quand même, sinon tu aurais été vraiment HS, et pour sûr incapable de rédiger ton e-book.
Bon tu as repris 5 kg, maintenant il faudra veiller à ne pas basculer dans l'autre sens par épuisement de la thyroide.

Re: Methylation/transsulfuration et hormones

MessagePosté: Jeu 15 Aoû 2013 16:01
de un_ptit_gars
Lebowski a écrit:
un_ptit_gars a écrit:[
J'avais du perdre genre 15 kg en 1 mois et demi, ce qui est deja pas mal...ça faisait trèèèès longtemps que je m'étais pas retrouvé mal comme ça.
Pti gars


15 kg [img]smile/eek.gif[/img] !!
J'ai pas bien compris ce qui a engendré cette perte chez toi...


Et ouais, j'ai pas morflé qu'a moitié... :D

C'est pas évident de dire avec certitude le pourquoi j'ai eut cette phase la, mais si je devais me fier a mon ressenti, en gros je pense que ça c'est joué a peu près comme ça:

Stress prolongé pendant ces derniers mois lié a des difficultées financières constantes, chaque mois un peu plus mal a ce niveau avec agios croissants et tout le cheminement négatifs que cela implique... en parrallèle, je me disais qu'il fallait que je dévellope plus mon activité de thérapie car si je n'y arrivais pas vite fais, la situation financière allait devenir pire encore --> grosse implication pour chaque personne venant me voir (je sais pas faire les choses a moitié, tu l'a vu non? ;) ), en passant bcp de temps et d'énergie sur chaque personne pour un bien maigre revenu financier il faut bien le dire. En parrallèle je sentais au fond de moi qu'il fallait que je continue l'Ebook, j'avais l'inspiration chaque jour, je me devais de continuer a ce moment la...mais ça me prenait aussi bcp d'énergie. Ca, plus ça, plus ça, plus ça.... ça a fini par faire boom!
Résultat des courses j'ai tiré grave dans mes réserves et mes limites, étant qd même a la base moi aussi un malade mélodien (même si ça faisais des années que je vivais sans gros soucis et que j'avais passé tout ça)...et bien je l'ai payé comme il faut :/ J'ai re-eut de gros soucis digestifs, avec état constant que "ça ne passe pas"... c'était la situation de vie trop tourmenté que je vivais que je ne "digérais pas", et mon point faible depuis tjrs qu'est l'estomac la plutot mal vécu je dirais! J'ai qd même fais des analyses médicales pour etre sur que ce n'était rien de grave, mais non, juste le pain quotidien des mélodiens dans leur moment "ou ça ne va pas"...
Comme j'ai eut des gros soucis a manger, j'ai perdu ce poid très rapidement, donc grosse mobilisation des toxines et métaux lourds stockés dans les graisses (c'est la que j'aurais du réagir plus tot et prendre bcp plus de binder, mais j'ai eut un passage d'absence pour ne pas le faire, je vois que ça... [img]images/icones/icon9.gif[/img] )

Puis j'ai décidé d'entamer les démarches nécéssaires pour me sortir de ce cercle négatif: faire une pause dans tout ce qui me "coutait trop" dans ma vie actuellement: mes activités de thérapie (qui sont en pause et qui ne reprendront que plus tard, sous une forme surement un peu différente d'ailleurs), réorganisation de mon travail informatique afin de toucher un meilleur salaire et arreter de stresser chaque mois pour l'argent, petite diminution de mon implication sur le forum (entendre parler malade du matin au soir pour quelqu'un d'empathique ça use, forcément...nous sommes des éponges a ce niveau il ne faut pas l'oublier..), etc...
En parrallèle j'ai augmenté largement mes doses de binders, (j'ai devellopé de nouvelles manières de les utiliser aussi, on en reparlera) pour capter toutes les toxines qui avaient été remuées, et depuis quelques semaines la spirale négative est derrière moi, je reprend progressivement du poil de la bete. J'ai encore besoin de regagner quelques kilos pour avoir mon poid de forme, mais je ne me sens plus mal, c'est "presque" comme avant, alors ça va.. mais je vais rester attentif a mon corps parcequ'il n'est pas question que je me laisse aller a retomber dans ce genre de piège une fois de plus, j'ai donné la.... :/

Après y a un point positif qd même (heureusement :) ), tout ce m'a permis de découvrir et comprendre encore des choses très intéréssantes et j'ai deja en tête un futur Ebook (ou dossier je sais pas trop encore) qui viendra compléter l'Ebook sur la partie des binders :) Pour le moment faut que je teste plus encore, mais j'ai pas mal d'idées qui je pense seront très utiles pour aider les mélodiens a encore mieux se prendre en charge... on en reparle dans quelques mois, qd j'aurais commencé a mettre tout ça par écrit ;)

Pti gars

Re: Methylation/transsulfuration et hormones

MessagePosté: Jeu 15 Aoû 2013 16:15
de un_ptit_gars
kate a écrit:Mince alors ! c'est le cas de le dire ! Ta thyroide a drôlement carburé dis donc.


J'en suis pas si sur en fait... c'est vrai que j'avais des taux dans la limite haute qd je les ai fais controlés (juste avant que cette phase ne débute) et que je m'étais demandé "pourquoi" ils étaient a ce niveau alors que j'ai tjrs eut tendance a etre de type "hypo" et surement pas hyper. Ce qui me fais pensé que je n'étais pas réellement en hyper-thyroidie/métabolisme c'est que j'étais pas du tout dans un état d'excitation/énervement qui caractérise cela, j'étais juste "comme d'hab" pendant des semaines (meme en mangeant presque rien puisque j'avais un noeud a l'estomac). La perte de poid a été très rapide car je n'ai vraiment quasi-rien mangé durant tout ce temps, et pas parceque je brulais trop vite les calories... et y a pas a dire, qd tu mange rien, les kilos descendent TRES vite :/

Tu dois avoir un bon taux de cortisol quand même, sinon tu aurais été vraiment HS, et pour sûr incapable de rédiger ton e-book.


L'Ebook a été terminé avant que la grosse phase négative n'arrive, je pense d'ailleurs que le stress que je me suis mis pour le rédiger a tout prix et au plus vite a contribué a puiser dans réserves deja a sec... C'est clair que je n'aurais pas pu avoir les idées claires pour rédiger tout ça durant cette période la! Je suis très heureux d'avoir pu terminer ce gros projet car si c'était a refaire je n'aurais plus la motivation pour me retaper un pavet si gros et complexe maintenant, ça m'a pris énormément de temps et d'énergie, c'est sur..
La suite que je prévois sera uniquement ciblé sur quelques aspects précis et donc ne demandera pas du tout le meme travail de synthèse, et heureusement d'ailleurs...

Pti gars

Re: Methylation/transsulfuration et hormones

MessagePosté: Jeu 15 Aoû 2013 16:43
de nakyla
un_ptit_gars a écrit:Puis j'ai décidé d'entamer les démarches nécéssaires pour me sortir de ce cercle négatif

Je suis vraiment heureux pour toi que tu aies trouvé ce que tu devais entreprendre pour refaire surface, c'est surement encore un épisode qui va t'apprendre beaucoup de choses, comme tu le dis d'ailleurs.
C'est la clé (une des clés plus probablement) pour beaucoup d'entre nous, il faut bien se connaître, et accepter certaines choses.
Nous sommes très sensibles au stress, aux émotions, de manière innée ou acquise peu importe, et cela constitue un cofacteur important de nos maladies.
C'est comme si on avait de multiples manettes de commandes qui conduisent au même effet.

un_ptit_gars a écrit:entendre parler malade du matin au soir pour quelqu'un d'empathique ça use, forcément...nous sommes des éponges a ce niveau il ne faut pas l'oublier..

Tu as bien raison, nous sommes des éponges avec une grande capacité d'absorption, ça c'est sûr, c'est pourquoi un bon essorage de temps en temps, ça fait pas de mal ;)
Le problème aussi, c'est que notre capacité d'absorption ne se limite pas aux émotions, mais aussi a du palpable, toxiques et pathogènes divers et variés, et là l'essorage est souvent insuffisant, il faut nettoyer en profondeur.

un_ptit_gars a écrit:L'Ebook a été terminé avant que la grosse phase négative n'arrive, je pense d'ailleurs que le stress que je me suis mis pour le rédiger a tout prix et au plus vite a contribué a puiser dans réserves deja a sec... C'est clair que je n'aurais pas pu avoir les idées claires pour rédiger tout ça durant cette période la! Je suis très heureux d'avoir pu terminer ce gros projet car si c'était a refaire je n'aurais plus la motivation pour me retaper un pavet si gros et complexe maintenant, ça m'a pris énormément de temps et d'énergie, c'est sur..
La suite que je prévois sera uniquement ciblé sur quelques aspects précis et donc ne demandera pas du tout le meme travail de synthèse, et heureusement d'ailleurs...

Je te dis encore bravo pour l'ebook, c'est un travail énorme et gratuit que tu as fait, il ne faut pas l'oublier. Je suis sûr que les éléments nouveaux que tu vas compléter apporteront encore des pistes.

Re: Methylation/transsulfuration et hormones

MessagePosté: Jeu 15 Aoû 2013 21:52
de un_ptit_gars
Merci de tes sages paroles nakyla, je te suis complétement! :)

De toute façon c'est tjrs ainsi que j'ai vu ma maladie: des tremplins successifs pour avancer petit a petit vers une meilleur connaissance de moi-même, de mon corps, et de ma santé. Les rechutes ne sont jamais les bienvenues c'est clair (et je m'en serais bien passé :/ ) mais celle ci m'aura appris encore des choses...essayons de voir le "verre à moitié plein", car c'est bien de ça qu'il s'agit :)

Pti gars

Re: Methylation/transsulfuration et hormones

MessagePosté: Ven 16 Aoû 2013 10:01
de marelle38
Tu dois, en effet payer le prix fort pour tout ce que tu as mis dans la rédaction de l'e_book, en puisant dans toutes tes réserves.
Je suis bien d'accord avec vous, sur le fait que comme dans la vie, tout période négative, si dure soit-elle, devrait être considérée comme une nouvelle marche sur le chemin de sa propre vie, c'est ce qui peut permettre de ne pas sombrer.
Je te souhaite de retrouver bien vite un grand mieux-être, Renaud. :love:

Re: Methylation/transsulfuration et hormones

MessagePosté: Lun 2 Sep 2013 16:55
de kate
Hello,
Je reprends le fil de la discussion B12 et hormones, j'ai schématisé mes résultats salivaires, ça donne ceci ([______]c'est la fourchette des normes, et les Xce sont mes taux).

Sous B12 à dose supra-physiologique + un minimum de multivitamines B :
[XXX_________________________]ESTRADIOL
X[____________________________]PROGESTERONE
[XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX_____]TESTOSTERONE


Arrêt de la B12, prise de multivitamines B seulement, donc apport en B6 augmenté :

[XXXXXX______________________]ESTRADIOL
[XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX_]PROGESTERONE
[XXXXXXXXXX__________________]TESTOSTERONE

Donc : la B12 à haute dose, + le fait de fuir la B6, entraîne une carence en B6 qui fait baisser la progestérone, et la baisse de progestérone fait monter la testostérone. Cela donne une belle "estrogen dominance" (sur la progestérone) qui n'est pas bonne du tout pour les fibrômes.
En reprenant de la B6, la progestérone est remontée et la testostérone a baissé. Je reste étonnée de cette remontée de progestérone, juste en reprenant un multivitamines B sans B12 à côté. En tout cas ces taux me plaisent déjà mieux.
Alors que faire maintenant.........il faut voir à l'usage. Pas facile de garder l'équilibre en vitamines B puisque l'on cherche quand même à donner à l'organisme de la B12 toute fraîche, et qu'il en faut de bonnes quantités pour débloquer la MTR. C'est ce que j'ai vécu au début de la supplémentation en B12 : quand la MTR retravaille c'est incroyable toutes les bonnes sensations qu'elle procure, on "renaît". C'est comme un courant qui parcourt tout le corps, comme si on avait rouvert les vannes. En même temps tout fonctionne mieux, bouger est un plaisir et non plus un effort car il y a cette sensation de "redensification". Quant au cerveau c'est la pression qui s'en va pour laisser à place à une impression d'"aération".
Tout cela est dû je suppose et entre autres, à la fabrication d'adrénaline grâce à la méthylation, et de glutathion grâce à la transsulfuration optimisée.
Bon c'est bien joli tout ça mais faudrait trouver la recette, les bonnes proportions, pour que l'effet perdure......

Re: Methylation/transsulfuration et hormones

MessagePosté: Lun 2 Sep 2013 17:36
de nakyla
Salut Kate,

- Est-ce que tu avais dosé ces 3 hormones avant toute prise de B12 et aussi les vitamines B, pour avoir une référence ?
- Combien de temps avais-tu pris la B12 et évité la B6 avant ton test ?

Je m'apprête aussi bientôt à "essayer" de rééquilibrer les vitamines B, ça a l'air coton [img]images/icones/icon9.gif[/img]

Re: Methylation/transsulfuration et hormones

MessagePosté: Lun 2 Sep 2013 18:36
de kate
Est-ce que tu avais dosé ces 3 hormones avant toute prise de B12 et aussi les vitamines B, pour avoir une référence ?

Oui, ce sont des dosages que j'ai faits à plusieurs reprises depuis plus de 10 ans.
La tendance chez moi a toujours été : progestérone haute (probablement une partie d'origine surrénalienne), testostérone relativement haute et dominant toujours sur des oestrogènes plutôt moyens ou bas.
Avec la B12 il y a vraiment eu une chute dramatique de la progestérone.

Combien de temps avais-tu pris la B12 et évité la B6 avant ton test ?

1 an environ, petites doses d'abord, puis augmentation progressive, disons une moyenne de 1000 mcg de B12 par jour ces derniers mois, et 4 mg de B6 (1/8 ème de Coenzyme B de chez Smart).

Re: Methylation/transsulfuration et hormones

MessagePosté: Lun 2 Sep 2013 19:22
de nakyla
kate a écrit:1 an environ, petites doses d'abord, puis augmentation progressive, disons une moyenne de 1000 mcg de B12 par jour ces derniers mois, et 4 mg de B6 (1/8 ème de Coenzyme B de chez Smart).

ah ouais quand même, et t'avais pas fait de test intermédiaires ?

Re: Methylation/transsulfuration et hormones

MessagePosté: Lun 2 Sep 2013 20:11
de kate
Non je n'avais pas fait de tests intermédiaires, j'y allais au feeling, j'avais essayé de monter ma dose de Coenzyme B mais au-delà d'1/4 par jour ça me fait trop de B6 et je m'aggrave, car chez moi quand la progestérone monte, je suis obligée d'augmenter l'hydrocortisone. Néanmoins pendant plusieurs moi j'avais pu me passer d'hydrocortisone.
J'ai fait aussi pas mal de pauses, car quand ça ne marche plus pas la peine d'insister.
Ce qui m'a alertée dernièrement sur la B6 et la progestérone, c'est l'aggravation de mes problèmes menstruels.
Ce que je voudrais rajouter aussi, c'est que, ce qui est valable pour la B6 l'est pour toutes les autres Vitamines B. Comme elles se font concurrence entre elles (je ne sais pas trop où, si c'est au niveau de l'absorption ou de leurs sites de réserve, ou autre chose encore), la prise d'une des Vitamines B à dose élevée, ou bien isolément, va déséquilibrer les autres. La B3 par exemple, est primordiale pour le Glutathion puisqu'elle est la vitamine de base de la molécule NADPH qui sert à le recycler.
Et pour en revenir à la B6, sans B6 pas de dopamine, sans dopamine pas de noradrénaline, et sans noradrénaline pas d'adrénaline.
Alors finalement, il faudrait peut-être mieux commencer par tester une formule multivitamines B à petite dose, surveiller les sulfates, et quand ils montent, rajouter de la B12 ? C'est très compliqué et c'est à chacun de voir, mais lorsque l'on arrive à relancer la méthylation, en freinant du même coup la CBS, c'est miraculeux.

Re: Methylation/transsulfuration et hormones

MessagePosté: Mar 3 Sep 2013 12:15
de Lebowski
aaaaaaaaaah vous êtes des années lumières devant moi en terme de compréhension, je capte rien là! :crazy: