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MessagePosté: Ven 13 Fév 2009 17:56
de joelsylvie
Bonjour,


VOICI ENFIN UN DOCUMENT SUR LEQUEL S’APPUYER POUR PARLER AUX DENTISTES DU MERCURE :
http://www.ast67.org/PDF/mercure_dentiste.pdf

Lisez le.

Imprimez le.

Et montrez le à votre dentiste!!!

Et poussez le dans ses retranchements!

Certains passages sont édifiants!

<<La moyenne des concentrations de mercure inhalé pendant l’ensemble des actes avec amalgames était de 2,70 µg/m3.
Pendant l’ensemble des actes sans amalgames, elle était de 0,70 µg/m3.
On constate une différence significative entre ces deux valeurs.
Néanmoins, l’exposition reste largement inférieure aux valeurs moyennes d’exposition professionnelle admises, en France, qui sont de 50 µg/m3 pendant 8 heures par jour, 5 jours par semaine.>>


Commentaire : costauds les dentistes pour résister à cela!
En fait, les dentistes sensibles au mercure
-- soit ont déjà quitté la profession,
-- soit sont déjà morts!!


<<Dans un des cabinets, on enregistrait à l’ouverture de la boîte à instruments stériles, 330 µg/m3. Dans ce même cabinet, nous avons constaté que le système d’aspiration lui-même était contaminé. Les mesures effectuées dans l’embout révélaient des concentrations de 97 µg/m3.
Dans le tiroir des canules stérilisées, la concentration était de 9 µg/m3.>>


Commentaire : Gloups!


<<Dans un autre cabinet, le praticien utilisait des capsules prédosées non 2, ce qui limite au maximum la pollution mercurielle, mais, après trituration (c’est-à-dire une fois la capsule vibrée et le mélange mercure-alliage réalisé), il ouvrait la capsule, prenait l’amalgame en main et l’insérait manuellement sans porte-amalgame.
On enregistrait alors des valeurs dépassant la valeur moyenne d’exposition admise, puisque la maximale atteinte était de 79 µg/m3, pendant la condensation de l’amalgame dans la dent.
La surface des gants restant contaminée, l’exposition se prolongeait pendant toute la durée de la consultation et notamment, on observait encore des valeurs élevées pendant le polissage d’un composite.>>


Commentaire : re- gloups!


<<Sans masque, on mesure plus de 200 µg/m3 de mercure à l’embouchure de la fiole.
Avec les masques chirurgicaux classiques, on enregistre encore des valeurs dépassant 200 µg/m3, alors qu’avec les deux masques filtrants les poussières, la moyenne reste < 40 µg/m3.>>


Commentaire : vive les masques au charbon, bien supérieurs aux masques à poussières.


<<Le remplacement du mercure par un produit de moindre toxicité est une voie de recherche, mais, à l’heure actuelle, l’amalgame reste irremplaçable dans certaines indications, et l’innocuité des produits de remplacement n’est pas démontrée.>>

Commentaire : Ben voyons! La santé de leur patient, ils s’en foutent vraiment. Profession d’ordures!


<<Dès la conception du cabinet, les sols et les murs devraient être recouverts d’un matériau lisse, imperméable, facile d’entretien et remontant jusqu’à 10 cm sur les plinthes.
Le chauffage au sol, à air pulsé ou par radiateur soufflant est à proscrire.
Le local doit être aéré au moins 5 minutes par heure, et, s’il y a ventilation, elle doit être à la source et au niveau du sol.>>


Commentaire : Petite suggestion = et si vous arrêtiez d’utiliser le mercure?
Ah, c’est pas possible, car les fabricants de mercure ont un stock à écouler ...
Si vous le dites ...

<<Les salariés exposés au mercure sont soumis à une surveillance médicale spéciale (au sens du décret de 1977)....
Le taux de mercure urinaire est l’indicateur d’exposition chronique le plus fiable.
Le prélèvement urinaire s’effectue en début de poste, en fin de semaine.
Le taux est considéré comme normal tant qu’il est < à 5 µg/l.
A partir de 50, il faut revoir les mesures de prévention, et au-delà de 100, il faut soustraire le salarié à l’exposition.>>


Commentaire: ce sont des taux de mercure circulant, non caché. ( = analyse urine 1 = témoin)
Pour obtenir des taux de mercure caché, il faudrait un test par provocation!


<<Néanmoins, nous avons obtenu des résultats interprétables et comparables à une étude suédoise de 1995, dans laquelle Pohl et Bergmann, en Suède, enregistraient une moyenne comprise entre 1 et 2 µg/m3 de mercure dans la zone respiratoire des dentistes.>>

Commentaire: à part qu’en Suède, ils ont interdits les amalgames.
Les Français toujours aussi bêtes!


<<Ainsi, pour l’atmosphère de travail, la limite est de 10 µg/m3 en Russie, 100 µg/m3 en Allemagne, alors qu’en France, elle est de 50 µg/m3.
L ’OMS préconise une valeur limite de 25 µg/m3.
En 1997, lors d’une conférence sur la qualité de l’air à Bruxelles, la valeur de 1 µg de mercure/m3 a été retenue comme toxique pour une exposition environnementale pendant un an.
Ce sont des valeurs auxquelles les dentistes peuvent facilement être soumis, puisque nous avons évalué leur exposition professionnelle entre 0,70 µg/m3 et 2,70 µg/m3 selon qu’ils travaillent sans ou avec amalgame.>>


Commentaire: travailler sans amalgames alors! bandes d’idiots!


<<L’ensemble de ces constatations doit amener à la décision de limiter encore davantage l’exposition au mercure dans les cabinets dentaires.>>

Commentaire: au sujet des patients, pas un mot!
Le mercure est toxique avant et après, mais imaginer qu’il puisse être toxique dans la bouche du patient, c’est trop demander à la pauvre cervelle bien abîmée de ces handicapés du bulbe!
Nous devrions nous cotiser pour leur offrir une retraite décente.


joël

MessagePosté: Ven 13 Fév 2009 18:39
de marie-louise
J'ai donné l'adresse du site d'Estelle Vereck à mon dentiste . Il avait l'air intéressé mais je l'ai pas revu depuis 6 mois.