TOUT SE DÉTOX

Quand la santé revient enfin, il faut le dire et même le crier!

Déverrouillage des gélules : Solubilisation par phase

Messagede Sophocle » Jeu 30 Jan 2020 14:35

Formes d'administrations
    À cause de leur forme, les Principes Actifs (PA) dans des gélules sont parfois peu efficaces.
    Les chélateurs en gélule ont été très peu efficaces sur ma personne, mais lorsque la poudre de cette même gélule a été solubilisée au préalable, l'efficacité a été révélée.
    Je ne sais plus combien de round j'ai fait en 2016 ; pendant 2 mois env. cad 8 rounds, soit 400 gélules env., 2 gélules toutes les 3h pendant 3 jours, 1x/sem, pendant 2 mois = 2x8x3x4x2.
    Réveils la nuit toutes les 3h alors que je prenais des médocs pour dormir, stress d'avoir loupé une prise... Galère galère.
    Mais les bénéfices n'ont jamais dépassé l'effet placébo.
    Là, avec 22 extrassos solubilisées, soit 150 gélules, le problème de l'extra a été plié.
    Quand on prend une heure d'activités sportives hebdomadaires, la préparation de l'extrasso se mutualise en temps masqué, c'est du caviar.
    Il n' y a pas que les chélateurs qui ont éventuellement besoin d'être solubilisés, je solubilise aussi les produit anti-micro-organsimes.
    Voici donc un récapitulatif des techniques de solubilisation à prendre par voie orale de façon à activer le principe actif présent dans la gélule.


Solvant Huileux ou Aqueux ?
    Un produit est soit lipophile, soit hydrophile ou les 2.
    Pour qu'un PA soit efficace, il faudrait le présenter au corps de la façon dont il doit être dans le sang.
    C'est à dire : dispersé et dilué.
    Une fois ingérée, une poudre en gélule n'est pas nécessairement disposée à se diluer et à se disperser.
    Il suffit de tester le produit en le mixant dans de l'huile végétale ou dans de l'eau pour apprécier le solvant adéquat.

Produits hydrophiles
    Dans l'eau, il faut aussi tester le pH car la solubilisation peut fortement varier.
    Basique : bicarbonate de soude alimentaire, pH8.
    Acide : jus de citron, Ph3.
    Plus un produit nécessite un pH éloigné du sang (7), plus il faudra boire un grand volume (jusqu'à 0,75l) d'eau pour influer sur les 5 litres de sang.
    Il serait peut-être aussi utile de s'hydrater avec une eau au pH adapté pendant tout le temps d'action du PA de façon à maximiser la percolation du PA dans le terrain.
    Une hyper-vascularisation au moment opportun aidera le produit à percoler en profondeur : marche rapide, 300 marches, bain froid.

Produits lipophiles
    Un produit lipophile agira aussi bien ou même mieux s'il était solubilisé dans de l'eau.
    Il est possible de diluer un produit lipophile dans l'eau avec un émulsifiant : lécithine de soja (alimentaire et en granules).
    Ex : pour de la poudre, verser la poudre dans 1cl d'huile végétale, mixer, ajouter la lécithine de soja alimentaire en granules (1g), chauffer, mixer, filtrer dans un verre d'eau tiède, mixer.
    Si chaque produit était à 37°environ, la solubilisation sera grandement facilitée et le principe grandement activé.
    La chauffe des produits se fait aisément avec de l'eau chaude du robinet dans un bol (bain-marie).
    Choix huile végétale : une huile fluide : pépin de raisin, sésame, tournesol, ghee.
    Autre exemple : cette voie me semble la plus efficace pour les huiles essentielles en préparant une bouteille dosée au % souhaité (à conserver au frigidaire et à secouer avant utilisation).
    En préparant les éléments, quelques gestes suffisent pour réaliser rapidement la solution au quotidien.
    Ensuite, une douche alternée aidera le PA à percoler en profondeur.

Mixage, déphasage, hyper-vascularisation
    Si le déphasage est tardif, cela n'est pas problématique.
    Au contraire, le déphasage peut-même démasquer le PA au moment opportun.
    La température peut avoir une influence sur le déphasage.
    Mais il est toujours préférable de mixer juste avant de verser une solution dans une autre et de remixer juste avant d'ingérer.
    Pour une solution qui déphase en quelques minutes, une hyper-vascularisation pendant ou juste après ingestion aidera à maintenir le PA micro-solubilisé jusque dans les capillaires...

Activités physiques et Snc
    L'hyper-vascularisation du Snc permettra d'atteindre le cerveau.
    Pour cela, le produit peut être ingéré pendant une période d'activités physiques ou juste avant un bain froid.
    D'autres activités sont possibles juste après l'ingestion : sauna, douche hyper-thermique,...
    Il conviendra d'ajuster le délai d'absorption, mais si le produit était ingéré à 37° à jeun, le transfert dans le sang peut être quasiment immédiat.
    L'idée est de faire circuler la lymphe et le sang au moment où le principe actif est au pic de sa solubilisation dans le sang.
    Un entrainement à blanc au préalable permettra de consolider les effets.
    Surtout, quelques bains froids (env 5, 15° à 15') permettront de multiplier les capillaires et de multiplier significativement les échanges micro-poreux.
    Les micro-gouttellettes ainsi solubilisées se déplaceront en nuage de façon à percoler à 100% jusqu'au fin-fond des recoins des tissus.

Autres paramètres à ajuster :
    À jeun : Les solutions aqueuses passent directement dans le sang quand elles sont prises l'estomac vide (3 heures après un repas).
    Ne pas manger pendant 20 minutes après l'ingestion.
    Température : une solution à 37° passe encore plus rapidement et facilement dans le sang.
    Cela permet de prendre une douche alternée juste après avoir ingérer un PA lipophile.

Ustensiles / Ingrédients
    Mini-mixeur à piles.
    Balance de précision.
    Bechers gradués.
    Je donne ici mes fournisseurs, mais il en existe sûrement d'autres mieux et moins chers :
    Cet accastillage se trouve chez un revendeur dont le nom finit par zone et commence par aroma.
    Lécithine de soja en granules, je l'ai trouvé chez un magasin bio, dont le nom finit par alia et commence par natura
    Edta, dmsa, Ala : vente libre sur internet, chez des fournisseurs de compléments alimentaires (nom : finit par smart et commence par super)
    Bi-carbonate de soude alimentaire : en supermarché.


Vaccins, intra-veineuses
  • À l'inverse de la gélule, les intraveineuses de seringues de 5ml (cad hors perfusions) peuvent être également problématiques : le PA est trop concentré dans le sang.
    Pour effacer ce risque, il suffit donc de diluer ce PA et de le pendre en oral à jeun.
    Il conviendra d'ajuster le pH, cela rendra le PA bien plus efficace que l'iv.
  • Intra-musculaire de Dimercaprol. Au lieu de faire une piqûre très douloureuse, paraît-il, et qui nécessiterait une anesthésie locale, je mettrai le PA dans une solution h/e à boire.
    Ce sera bien mieux solubilisé. Au lieu de la lécithine de soja, un jaune d'œuf peut faire l'affaire avec un coup de mixer avant et après mélange dans un verre d'eau.
  • En dépit que des voie d'administrations sûres et sécuritaires existent, la médecine moderne préfère des piqûres non-anodines et des concentrations excessives et non-physiologiques.
    Ex : Les accidents d'après vaccin pourraient peut-être être évités s'ils étaient dus à la concentration du produit.

L'air grave et ses conséquences
    Blaise Pascal a écrit:Le chancelier est grave et revêtu d’ornements, car son poste est faux. Et non le roi : il a la force. Il n’a que faire de l’imagination. Les juges, médecins, etc. n’ont que l’imagination.

    Avec Céline Alvarez, à l'instar des médecins avec les patients, on peut voir que l'éducation est du deuxième ordre derrière le confort des professeurs.
    Comme tout service public, la sécurité du patient et l'efficacité des PA est du deuxième ordre derrière le confort du médecin.
    Avec les médecins et les professeurs, leur petit air grave demeure prioritaire en dépit de l'intérêt direct du patient ou de l'étudiant.
    Le premier enjeu que c'est fixé la médecine, c'est de jouer au théâtre de la gravité de façon à intimider les patients ; les résultats sont secondaires.
    C'est donc aux patients de s'associer pour faire respecter la maximum de sécurité et le maximum d'efficacité des PA.
    Il est certain qu'avec le peu d'efficacité des iv ou des médicaments non solubilisés, un patient se transforme en un abonnement médical à vie.
    Quoiqu'euh, quand je vois que le taux de suicide de médecins rejoint celui des agriculteurs, c'est qu'un désordre inconscient mine leur métier.
    Or, selon le Collège de France, les métaux-lourds, les pesticides et la disfonction mitochondriale causent les maladies dégénératives.
    Par voir de conséquence, le petit air grave de nos médecins dépressifs nous coute 1 million de personnes atteintes de maladies dégénératives.
Dernière édition par Sophocle le Ven 31 Jan 2020 18:56, édité 1 fois.
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CENTRE ANTI-POISON - 06 - RDV

Messagede Sophocle » Ven 31 Jan 2020 19:07

Voici la lettre de rdv au centre anti-poison.
J'ai pu obtenir ce rendez-vous grâce aux extrassos (ex-chélassos) et aux analyses dans un labo français.
Mais d'ici mars, je serai peut-être totalement désintoxiqué. hahaha

Edit : je dois préciser que je n'ai pas eu d'entretien avec un médecin lors mes échanges récents avec le centre anti-poison.
Remarque : j'ai attendu la 20è extrasso pour faire mes analyses, cela est tardif car les ml de l'extra ont été éliminés, les valeurs de mes analyses sont certes basses mais elles ont été suffisantes pour bénéficier d’un rdv .
Si ces valeurs sont juste au-dessus des normes, j'attribue cela au rebond faute de meilleure explication.
À cause des faibles valeurs, il me semble que j'ai peu de chances d'obtenir une reconnaissance, mais je vais quand-même tenter le coup.
Je rapporterai ici les demandes du médecin, prélèvements sanguins ou autre...




Image


Édit 16 avril 2020 - report et annulation
    Suite à ma plainte, j'ai reporté ce rdv de consultation en avril pour réfléchir à ce que je devais faire.
    Suite au Covid, le service d'intoxication a annulé le rdv et reprendra rdv après le confinement.
    Mais, j'ai décidé de ne pas reprendre rdv pour trois raisons :
    • Avec la plainte, il me semble qu'il est interdit de voir la partie adverse.
      Si je m'y rendais, cela pourrait entraver la plainte.
    • Il a fallut menacer de porter plainte pour avoir ce rdv.
      Le médecin ne sera donc pas serein.
    • De plus, j'ai énormément avancé sur le traitement de l'intoxication.
      En dépit que des symptômes de ml demeurent, mes analyses récentes sont négatives.
      Je n'ai donc aucune chance d'être reconnu y compris si je parvenais à imposer le test de provocation...

Édit 3 fév.
Autre sujet : grosse intrasso le 2 fév.
    1,2g d'Ala ; 20cl d'hv ; 1,25g de léc. soja ; 3g BCS ; 0,75 l + activités sportives.
    Pas d'effets éclatants, mais il me semble qu'il y quand-même quelques soulagements à distance.
    J'ai envoyé un échantillon pour analyses (mercure, cuivre, plomb) dans un labo français.
    Je souhaite un peu voir ce que donne l'Ala.
    Je m'attends à des valeurs basses mais je pourrai les comparer à des analyses sans traitement de façon à apprécier l'efficacité de l'Ala.
    Résultats entre 1 et 5 semaines (question délais, les allemands sont imbattables).



Consultation avec le Docteur X. - Édit 16 juin.
    Entre un premier report et entre le confinement, la consultation prévue au 17 mars a lieue par téléphone ce jour 16 juin à 11h30.
    Le docteur avait pris connaissance de mon dossier passé (diagnostiques MTM, mercure, plomb, arsenic, cuivre) et de mon intoxication récente au cuivre via le diagnostique français.
    Je lui ai indiqué que j'avais déjà porté plainte contre son service.
    Je lui ai annoncé que, en dépit de mes traitements, j'étais encore porteur de symptômes, problème concentration, pb conversation, pb épaule, pb peau.
    Il m'a demandé la cause de l'intoxication, j'ai répondu amalgames (chose qui ne faut faire pour qu'il traite, mais je déterminé à passer par voie juridique)
    Avec insistance, je lui ai indiqué que j'étais demandeur de son aide.
    Le docteur m'a fermement annoncé que les centres antipoison ne traitent jamais les intoxications qui ne sont révélées qu'après l'antidote.
    Il m'a formellement annoncé qu'il ne reconnaitrait pas mon intoxication ni passée, ni présente.
    Je lui ai répondu que j'allais chercher à obtenir cette reconnaissance par voir judiciaire, cela ne l'a pas fait céder.
    La consultation a duré 12 minutes.
    ...17 juin. J'ai fait un complément de plainte contre ce médecin ce jour pour raconter son refus de traiter.
    ... Avec mon diagnostique positif établi dans un labo français, ce médecin semblait quand-même très géné.
    Au niveau juridique, ce document (diagnostique français) l'a forcé à me dire qu'il ne traitait pas l'intoxication parce qu'elle était révélée par la chélation.
    Or dans mes échanges précédents, les cap me demandaient de revenir avec un diag français comme si un papelard était nécessaire pour traiter.
    Avec ce petit bout de papier, ils craignent les plaintes.
    Même si les centres anti-poison m'ont refusé, ce bout de papier est une arme juridique.
    Faîtes donc vos diagnostiques en France, svp.
    Encore quelques coups de butoir, et ils tombent.
    J'ai vu des centaines de personnes se faire faire de iv.
    Avec une dizaine de diagnostiques français, ils vont peut-être céder...
    ... De plus, ce médecin a joué son va-tout en essayant grotesquement de m'embobiner : "Qu'allez-vous faire d'une reconnaissance ? - cela ne sert à rien ..."
    C'est-à-dire qu'il a tenté de minimiser l'intoxication comme si son refus de traitement était anodin.
    En dépit de ma fermeté et de ma retenue, il n'a eu de cesse de tenter de me faire renoncer.
    Pour qu'il me prenne au téléphone après m'avoir jeté en dépit de 4 années de diagnostique allemand, c'est qu'il était coincé.
    ...Suite à une avis juridique, il faut exiger un compte-rendu de consultation de façon à le transmettre au dossier de plainte.
    Si pas de CR, faire un RAR en exigeant le CR.

Défenseurs de droits
    J'ai pris rdv avec le service de défenseur des droits.
    Rdv fixé le 30 juin 2020.
    ...Rdv. L'interlocuteur n'était pas étonné que les centres anti-poison pouvaient refuser de traiter les personnes intoxiquées dont l'intoxication ne rentraient pas dans les bonnes cases.
    Selon l'interlocuteur, il suffirait que cela soit écrit dans un document pour que cela soit valable.
    Mon interlocuteur a demandé à ce que j'envoie mon dossier par mail.
    J'ai raconté l'histoire des menaces publiques envers le service de chélation de l'hôpital de Rouen.
    Bien qu'il m'a fait comprendre que cela ne concerne pas mon histoire personnelle, il a quand-même demandé à ce que je joigne ce document à mon envoi.
    Je vais bien ciseler cette histoire : menaces, fermeture du service de rouen, impossibilité de traiter ailleurs sauf à l'étranger ou chez des médecins qui ne font pas d'acte.
    Il me faut encore collecter quelques pièces, cr de consultation, règlement intérieur...

Représentante des relations avec les usagers de l'hôpital Lariboisière. - 30 juin 2020
    J'ai raconté le refus de traitement par le docteur X.
    Mon interlocutrice à répondu qu'un médecin, qui refusait de traiter, avait obligation de donner le nom d'un médecin qui traite.
    Comme les centres anti-poison profèrent des menaces publiques envers les médecins qui traitent, le docteur X ne m'a évidement pas donné de nom de médecin qui pourrait traiter.
    J'ai demandé à connaitre le règlement qui permettait au docteur X de me dire que les centres antipoison refusaient de traiter tous les intoxiqués dont l'intoxication était uniquement révélée par l'antidote.
    Mon interlocutrice s'est proposée de poser la question au docteur X et de revenir vers moi.
    ... en attente du retour.
    À la représentante, j' a écrit:Madame,

    Suite à notre échange téléphonique d'hier concernant ma demande d'information à propos du règlement qui permet au Docteur X de me répondre que les centres antipoison ne traitent jamais les personnes intoxiquées dont l'intoxication n'est révélée que par un dosage urinaire des métaux-lourds post-chélation, j'adresse une demande complémentaire.

    Cependant, auparavant, lors de notre échange, vous m'avez indiqué que le médecin, s'il refusait de traiter, avait l'obligation de donner une adresse de médecin qui traiterait.
    Je vous confirme qu'il n'existe plus, en France, de médecin qui traite les intoxications aux métaux-lourds hors centre antipoison.
    Sans la nommer, en pièce jointe, je vous adresse les menaces publiques que le centre anti-poison de Marseille à proféré, en 2015, à l'égard du Docteur Marie-Christine Boutrais du CHR de Rouen qui traitait les cas comme le mien.
    Suite à ces menaces, à cette page : « https://toute-la.veille-acteurs-sante.f ... ommunique/ », est rapporté le fermeture de l'unique service de traitement des métaux-lourds (hors Centres antipoison).
    De plus, il n'existe pas de médecin en ville qui traite officiellement.
    Je vous confirme que les intoxiqués se rendent à l'étranger ou s'auto-traitent.


    Comme évoqué en tête de message, voici ma demande complémentaire :

    Je souhaiterai bénéficier du dossier complet que l'hôpital détient sur moi (consultations, échanges téléphoniques, et toute autre information).

    À cette fin, je dresse, ci-après la liste exhaustive de mes échanges avec l'hôpital.

    - 2014 et 2015 : appel à la plateforme téléphonique du CAP de Paris.
    Par quatre fois, la plateforme a promis de me rappelé mais elle n'a jamais rappelé.
    Il me semble qu'aucun dossier n'a été ouvert.
    À tout hasard, voici le numéro de téléphone avec lequel j'ai appelé : 06 xx xx xx xx.

    - Novembre 2018. xxxxx xxxxx (médecin-généraliste à Paris) a contacté le centre anti-poison suite à une consultation.
    Le centre m'a rappelé pour convenir d'un rendez-vous, j'ai indiqué que j'étais intoxiqué mais que le test sanguin était négatif.
    Après confirmation auprès d'un médecin, la secrétaire m'a informé qu'il n'y aura jamais de traitement car le sang était négatif, puis la conversation a pris fin.

    - Mai 2019 : Appel et envoi de diagnostiques allemands par mail du 13 mai 2019 à 10:23 à l'adresse : cap.paris.lrb@aphp.fr - dossier xxxxxx.
    Un médecin m'a rappelé, il a demandé à ce que j'explique ma situation.
    Après 20 minutes de consultation, il m'a demandé si j'étais fumeur, ou chasseur, j'ai répondu non, j'ai dit que mon intoxication parviendrait des amalgames dentaire, le médecin a dit au revoir et il a raccroché.

    - Octobre 2019. J'ai rappelé le centre anti-poison, je me suis présenté et mon interlocuteur a retrouvé mon dossier informatique.
    Il m'en suite demandé de revenir avec un diagnostique établi en France.

    - Janvier 2020 : appel et envoi de diagnostique français par mail du 22 janvier 2020 à 9:33 à alertes.rtu.lrb@aphp.fr - dossier xxxxxxxx.
    En l'absence de rappel pendant 72 heures, j'ai rappelé et j'ai menacé de porter plainte.
    Suite à quoi, j'ai obtenu un rendez-vous de consultation sur le champ dont la copie est placée en pièce attachée.
    Pour diverses raisons (demande personnelle de report puis Covid), la consultation prévue le 17 mars 2020 a eue lieue le 16 juin 2020 à 11:30 par téléphone.
    C'est à cette consultation que le médecin m'a adressé une fin de non recevoir.
    En l'absence de compte-rendu, j'ai adressé, hier, une demande de compte-rendu au secrétariat.


    Je me tiens à votre disposition pour tout renseignement complémentaire.
    Je vous prie, Madame, de bien vouloir recevoir mes meilleures salutations.
    Sophocle

    Pièces attachées :
    - article du CAP de Marseille dont la publication en line est encore disponible : http://www.sciencedirect.com/science/ar ... 7815000645 (centreAntipoison.pdf)
    - confirmation de rendez-vous par l'hôpital : CAP28janv2020.pdf
    - diagnostiques allemands et français : Diagnostiques.zip
    - pièce d'identité


      En copie aux équipes du CAP, la fameuse représentante m' a écrit:Je viens vers vous suite à notre discussion d’hier relative à votre demande concernant le règlement intérieur où serait stipulé les modalités de prise en charge du patient par un praticien et sur le plan du droit, il n’est pas possible d’apporter une réponse générale : tout refus de soins ne pourrait légitimement être opposé à un patient qu’au cas par cas, au regard des circonstances particulières de chaque espèce.

      La loi prévoit en effet que « le droit du malade au libre choix de son praticien et de son établissement de santé est un principe fondamental de la législation sanitaire » (article L. 1110-8 du code de la santé publique). Le médecin ne peut se dégager de sa mission que dans des cas très particuliers, en invoquant des raisons personnelles ou professionnelles, mais il doit alors en avertir le patient, et transmettre au médecin désigné par celui-ci les informations utiles à la poursuite des soins (articles L. 1110-3, L. 6315-1 et R. 4127-47 du code de la santé publique).

      Cela étant, j’ai contacté le Docteur X qui m’a indiqué qu’il n’y a pas eu refus de soin puisque vous avez bénéficié d'une téléconsultation de pathologie environnementale avec lui mais que vous avez souhaité obtenir une prescription pour traiter une intoxication par des métaux selon des modalités contraires aux recommandations de bonne pratique médicale française, ce qu’il a refusé.

      Je rajoute en copie de nos échanges le Docteur X afin qu’il prenne connaissance de votre témoignage et qu’il donne suite à votre demande de communication de dossier médical.
    En réponse, Sophocle a écrit:Quitte à passer par des menaces publiques, les prétendues bonnes pratiques des centres anti-poison consistent exclusivement à interdire des diagnostiques d'urine suite à l'injection de l'antidote de facon a produire un faux-négatif sanguin.

    Semer la terreur sur les médecins français et interdire un diagnostique d'urine sont très singuliers.
    Cela n'est vraisemblablement pas de bonnes pratiques médicales.
    Ces prétendues bonnes pratiques sont en indélicatesse avec le visage de l'humanité.
    J'ai donc demandé à la justice que les centres antipoison nous expliquent leurs bonnes pratiques dans le détail.

    En attendant, je vous adresse le jugement de Victor Hugo sur le métier du Docteur X : Une science tout entière peut tomber en somnambulisme. La médecine est particulièrement sujette à cet accident. ... Cependant mourait qui voulait. Les malades avaient la fièvre et les médecins le délire. source : Chapitre Promontorium somnii, Victor Hugo dans le William Shakespeare.

    Je vous rappelle que selon le Collège-de-France, le million de personnes porteuses d'Alzheimer sont toutes intoxiquées aux métaux-lourds dont le diagnostique sanguin est négatif et dont le diagnostique d'urine après traitement est positif.
    Liens des conférences du Collège de France :

    Avec ces deux conférences, il me semble très fortement que vos « bonnes » pratiques sont dans le collimateur du Collège-de-France.

    En consultation, Monsieur X m'a indiqué qu'il souffrait de mon manque de courtoisie ; par voie de conséquence, je profite de ce message pour indiquer à Monsieur X que, s'il ne répondait pas à mes demandes (CR + dossier), je tenterai à ce que la justice lui fasse courtoisement la demande.


    Madame, pour être clair :
    Avec ces conférences, et avec l’interdiction du diagnostique urinaire post-chélation,
    aux très nombreuses personnes porteuses de métaux-lourds, les médecins les informent qu'elles n'ont absolument pas de métaux-lourds.
    J’accuse donc les prétendues bonnes pratiques médicales françaises d’être, au moins, les coupables de tous les malades d’Alzheimer.

    Madame, je réitère ma demande :
    Avez-vous, OUI ou NON, un texte qui dise que mon diagnostique positif aux métaux-lourds n’est pas recevable ?
    Merci d'avance.

    En souhaitant une bonne santé aux français.
    Meilleures salutations
    Sophocle
      En réponse, la représentante a écrit:Lors de nos échanges, il n’a jamais été question de remettre en cause le diagnostic, le Docteur X pourra compléter mon message.
    En réponse, Sophocle a écrit:Je confirme votre déclaration : il n'a jamais été remettre en cause le diagnostique.
    En dépit que vous ne répondez pas à ma question, je prends note que vous n'avez pas de texte qui encadre les refus de traitement en dépit de diagnostique positif.
    À défaut de réponse, la réponse à ma question est donc NON.

Au docteur X (+copie représentante et secrétaire), Sophocle a écrit:Bonjour MONSIEUR.

Suite à vos déclarations à Madame la représentante,

Je vous prie de bien vouloir m’informer des textes réglementaires qui prescriraient les modalités conformes aux bonnes pratiques médicale française dans lesquelles il serait prétendument interdit de faire une analyse de métaux-lourds après une chélation dont l’acte est constitutionnellement libre de droit pour tout citoyen.
En dépit que cela n’est pas dans la constitution, je vous rappelle que j’ai le droit de faire pipi quand je veux, y compris au moment opportun pour révéler une intoxication tissulaire (= non sanguine).

Vous demandez un diagnostique pour traiter, je vous l’ai fourni.

À ce jour, pour me refuser un traitement, vous n’avez rien proposé de mieux que des bonnes pratiques chamaniques (=non consignées par écrit).
De plus, il n’existe pas de meilleur texte qu’une vulgaire page internet dans laquelle des pseudo-interdictions publiques sont proférées par des prédicateurs-intoxicologues marseillais suivies par des menaces de mort voilées : « Il faut agir », envers une médecin française d’un CHR qui pratique des analyses post-chélation.
Ces menaces démontrent que vous n’avez pas de recours juridique pour imposer vos prétendues "bonnes" pratiques.

Je vous confirme qu’il n’existe pas de texte qui interdise de traiter une intoxication quelle que soit les modalités de la preuve. Un tel texte serait une trahison à la bonne santé, une trahison à la médecine, et une trahison à la réunion des français qui a eu lieue le 14 juillet 1789. Heureusement, un tel texte n’existe pas. Un tel texte nécessiterait une validation du conseil constitutionnel. La réponse que vous faite à tous les français, dont moi, fait de vous le portier de l’enfer.

Je vous confirme que j’ai bien demandé à être traité pour une intoxication. Vos petits chichis concernant les modalités de la preuve vous disqualifient du visage de la médecine et du visage de l’humanité.

En souhaitant une bonne santé aux françaises, aux français, et aux médecins.


Par Rar, Au Docteur X, Sophocle a écrit:Docteur,
(Copies représentante et secrétariat)
Je vous prie de bien vouloir m'adresser un compte-rendu de la consultations du 16 juin (initialement prévue en mars).
Je vous prie également de bien vouloir m'adresser mon dossier complet, dont des détails sont placés en pièce attachée.
Suite aux échanges avec Mme la représentante, je vous prie de bien vouloir m'adresser les textes réglementaires encadrant les bonnes pratiques médicales françaises.
Au cours de la consultation, vous m'avez indiqué que le centre anti-poison ne traitait pas les intoxications dont le diagnostique était établi post-chélation. Je vous fait part de mon plus grand étonnement d'une telle politique médicale. Faute de solution alternative en France, je vous annonce donc mon souhaite d'engager un recours.
Veuillez agréer, docteur, l'expression ...
Sophocle

COMPTE-RENDU de la main du docteur.
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Comment réaliser un TEST DE PROVOCATION

Messagede Sophocle » Lun 3 Fév 2020 17:55

Les analyses selon le test de provocation sont à réaliser de la façon suivante :


Précaution d'usage : Accompagnement par un thérapeute
    Dans mon topic, je livre mon expérience personnelle et je ne donne pas de prescription.
    Je ne suis pas thérapeute et je ne veux pas le devenir.
    Je ne suis qu'un naufragé de la modernité.
    Cependant, ma capacité à multiplier les traitements à haute intensité et à forte dose est peu courante.
    Dans mes posts, j'utilise des produits en vente libre et je donne des valeurs plafonds au-delà desquelles il n'y pas de gain d'avantage sans risque pour ma personne.
    Je parviens à de telles valeurs après vérification d'allergie et après un entrainement par paliers.
    Les lecteurs doivent interpréter mes posts avec discernement, j'invite donc le lecteur à ne pas m'imiter de but en blanc.
    J'invite le lecteur à trouver un thérapeute ou un médecin et de lui donner mon topic à lire de façon à amender la thérapie selon la clinique de chacun.



Protocole
    En pharmacie ou au laboratoire, demander un ou deux pot(s) pour échantillon d'urine.
    Pendant les 4 jours avant le test, éviter les poissons et les aliments en boite afin de ne pas polluer le sang avec une source extérieure.
  1. Vider la vessie (en cas d’analyse "Avant" : faire le premier échantillon d’urine),
    et se retenir pendant 1h30 (très important)
  2. Boire l'Extrasso (Edta* et dmsa*) de 50cl en +/- 1/4h -
      Protocole simplifié :
    • Dans 1/2 litre d’eau, ajouter de 0,1g à 0,5g PA de dmsa + 0,2g à 1g PA d’Edta + 2g de BCS.
      Secouer énergiquement de façon à ce que l’ecume se réduise au maximum.
    • Plus la dose de PA est faible, plus l’analyse avant chélation est hautement préférable afin d’établir un contraste.
    • voir post afférent à la préparation des extrassos (chélassos).
  3. Faire les activités physiques (bains froid, marche,...)
  4. 1h30 au plus tôt après la fin de l'administration du traitement, faire le prélèvement d'urines " Après " chélation.
  5. Placer au frigo avant d'envoyer au labo.
    *Avec la solubilisation, l'Edta et le Dmsa sont suffisants pour brosser un large spectre de métaux. Pour réaliser un diagnostique fiable, les chélateurs qui ne sont pas encore autorisés ne sont pas indispensables.

Protocole complet
    Pour un protocole en bonne et due forme, il faudrait faire des analyses avec les urines d'avant le traitement dans un deuxième pot.
    Cet échantillon permet d'établir un comparatif de performance du traitement face à l'absence de traitement.
    Ce comparatif est déterminant pour déterminer une intoxication et pour déterminer une performance du chélateur.
    Avec une faible dose de chélateur, ce comparatif sera suffisant pour montrer que des métaux demeurent anormalement entre les cellules.
    ors des intoxications chroniques, les valeurs des analyses avant traitement sont faibles et les valeurs d'après traitement sont fortes.
    Il est utile de réaliser ces analyses d'avant traitement au moins une unique fois à la toute première analyse.
    Pour les analyses suivantes, les analyses avant traitement ne sont pas nécessaires, les analyses d'après traitement suffisent.

Premières analyses
    Il est préférable d'envoyer la toute première analyse dans un laboratoire qui propose un bouquet de métaux à un prix très économique.
    Il sera ainsi possible de détecter quels sont les métaux en cause dans un large spectre de métaux.
    À ma connaissance, il n'existe pas de tels laboratoire en France, mais il existe deux laboratoires en Allemagne qui proposent de tels bouquets.
    Pour la transmission des analyses au laboratoire Allemand, l'envoi se fait par la poste.
    Les analyses suivantes pourront être réalisée dans un laboratoire français en ciblant les métaux ressortis positifs dans le bouquet de la première analyse.

Question / Réponses
    Est-ce que le labo allemand fait les analyses sans prescription ?
      OUI


    TEST MICROTRACE
    .

    Avez-vous un exemple de courrier à joindre avec l'échantillon ?
      Exemple.jpeg
      Exemple 1 : Shakespeare
      Le test à blanc n'est pas obligatoire, mais il est hautement préférable la première fois.
      Même avec une faible dose, le comparatif avec vs sans chélateur établi formellement l'intoxication.
      Exemple.jpeg (397.07 Kio) Vu 19343 fois

      FORMULAIRE_POUR_L_ENVOI_COURTE_ET_L_ANALYSE_D_URINE_DMSA_EDTA_DMPS_DTPA_2018.pdf
      Exemple 2 Artaud - pdf prérempli
      (437.35 Kio) Téléchargé 328 fois

        Choisissez la formule qui vous convient : si amalgames, choisir la formule P1 de base (avec mercure, cuivre, ...)
        Si vous travaillez dans une centrale nucléaire, choisissez la formule P40 (uranium,...)
        Vérifier la liste de métaux et ajoutez les métaux qui vous semblent nécessaires (ex: Lithium si vous travaillez dans une usine de Lithium),...


      Le paiement se fait-il au préalable ?
        Réponse MTM: "Paiement d'avance sur carte de crédit est nécessaire, autrement les échantillons seront tenus jusqu'à ce que le paiement soit reçu, merci."
        Pour un virement, il faut leur demander leur IBAN.
        Ne pas oublier de mettre la référence dans le petit texte d'accompagnement du virement.
        Je leur envoie un email de confirmation, avec l'accusé d'exécution du virement.
        Il ne répondent pas, mais on reçoit les analyses sous 3 à 5 (7max) jours par mail (+ temps poste à aller).
        Je poste avec un suivi à l'international.
        Éviter de poster un vendredi, préférer un lundi sans jour férié par la suite.
        La créatinine serait très légèrement altérée par le délai.

      Dans le e-book il est indiqué de bien se renseigner avant de faire le test au DMPS. Comment se renseigner ?
        Pour un novice, un test sous encadrement professionnel est hautement préférable.
        Des incidents ont eu lieu avec une iv classique.
        Le patch correctif est une ivl : iv lente, où 1ml de PA est pistonné toutes les 5 minutes afin de ne pas injecter une grosse dose concentrée d'un coup.
        5 ml prennent donc 25 minutes à injecter.
        Il me semble qu'il est aussi possible de faire un test lymphocytaire : des ml sont placés dans un prélèvement sanguin pourvoir la réaction.
        Selon la réaction, il y aurait un chélateur à privilégier, si c'était positif, il me semble que ce sera du DMSA.
        Le médecin devrait connaitre des adresses.





    ÉCHANGES SUR LES TESTS, IV, ORAL, ...
    À propos de la chélation, voici une discussion qui a eu lieue hors du forum et qui porte sur les avantages d'un traitement par oral ou par iv.
    Afin qu'elle soit publiée sur mon topic, j'ai demandé à ce que la conversation soit réalisée dans les conditions publiques.
    D'autres thèmes sont abordés, accès à la conscience, mental, ...


    Albertine a écrit:
      donc si je comprends bien les medecins pratiquent un test en faisant une chelation ? (de ce que j’ai compris le test est donc deja un « traitement « en soit) chelation = iv ?
      les cas graves que tu décris concernent les herx ?
    Sophcole a écrit:chelation = iv ?
      En effet, un test est un traitement comme un autre à l'issu duquel un échantillon d'urine est envoyé au laboratoire.
      Chélation = toute traitement par une molécule qui "pince" un ion métal (neutralisation, puis drainage, puis élimination par les reins).
      iv = IntraVeineuse par laquelle est injectée par le produit chélateur.
      iv = petite dose concentrée, donc "un peu" problématique.
      Il peut arriver que le produit concentré se fixe dans le coeur et aspire tout le calcium = arrêt cardiaque.
      Pour pallier à ce problème, le médecin procède à une ivl = iv lente, le piston de la seringue est poussé d'un seul millilitre par 5 minutes.
      Une injection complète dure donc 30 minutes environ.
      Avec l'ivl, il n'y a donc plus de problème cardiaque.
    IV
    • Mais les métaux-lourds sont dispersés en nuage, 5ml de chélateur concentrés dans une seringue n'est donc pas la forme adaptée pour lutter contre le nuage de ml.
      Il faut un nuage de chélateur pour lutter contre un nuage de métaux-lourds.
      Pour la même quantité de principe actif (PA), je préfère la perfusion.
      Quitte à faire une piqure, une perfusion me semble bien plus sûre et bien plus efficace car le PA est déjà en nuage.
      Il peut y avoir quelques vertiges, voir un demi-évanouissement, mais cela est provisoire.
      Mais les perfusions ne sont pas aussi disponibles que les seringues de DMPS, les médecins pratiqueraient d'avantage les seringues.
      Sinon, il est possible de faire un bain froid juste après une iv, et le sang va gronder comme dans des rivières souterraines en surpression.
      Là, le chélateur va se retrouver en nuage par force d'hyper-vascularisation.
      Avec un bain froid après une iv, j'ai eu beaucoup plus d'effets que 30 iv en trois ans...
    • J'ai oublié de dire que les iv coutent très très cher (150 e l'iv) + premières consultations chères.
      Mais, même si le résultat était négatif, cela permet de fermer des portes sur des questions psy.
      Il te restera le test de lyme.
      La piste des ml est compatible bien que lyme puisse se superposer.
    • Si tu faisais le test de ml, prends des notes du déroulement du protocole car tu pourras répéter le protocole à la maison quelques années plus tard.
      Ça coute bien moins cher.
    Incidents
      Dans de rares cas (graves), il peut arriver que les métaux pincés soient relargués dans le cerveau ou dans un autre organe.
      Comme la molécule chélatrice change de forme selon le pH ambiant, un changement de pH d'un organe à un autre peut donc faire libérer le métal qui a été pincé par le chélateur.
      Un cerveau très acide va donc recevoir tous les métaux-lourds du reste du corps.
      Pour pallier à cela (de façon rustique et intuitive), je prends du bicarbonate de soude dans un litre d'eau de façon à fixer le pH sanguin.
    Herx
      Les Herx sont une autre catégorie de problèmes.
      Mais il règne un abus de langage (herx est devenu tout accident) et une confusion sur le terme.
      Un vrai Herx est une réaction spécifique suite à un traitement anti-infectieux.
      La mort des micro-organismes provoque un gros lâcher de débris (adn, javelle, ... ) éventuellement transformant, inflammations, nausées, vertiges, humeurs...
      Ça peut être assez moche ou avec beaucoup de désagréments.
      Normalement l'Herx se résorbe par lui-même en quelques jours, quelques anti-inflamatoires peuvent être pris.
      Mais dans le cadre d'une intoxication aux ml, le traitement infectieux peut aussi provoquer un gros lâcher de métaux-lourds :
      Blocage du foie, et des intestins mais qui ne se résorbe pas.
      Là, il faut déjà avoir pratiqué les chélations à la maison ou sels de Shussler pour être rapidement opérationnel.
      Je peux te dire que ce n'est pas aux urgences qu'ils vont aider...
    Jeûne sec
      Il faut commencer à lire mon topic par la fin.
      J'ai commencé mon aventure par des jeûnes secs, mais cela est une connerie.
      Je n'arrête pas de le répéter partout dans mon topic, pas de jeûne sec, s'il te plaît...
    Visions
    • Selon le Collège-de-France, le cerveau d'un ado se reprogramme de fond en comble pour devenir compatible avec les adultes.
      Quant à tes images, je ne suis donc pas du tout inquiet.
      Ton cerveau prévoie peut-être des situations stressantes pour se préparer aux situations réelles stressantes à venir.
      La reprogrammation monte à la conscience, cela te rends plus intelligente (haha) que le commun des mortel même si c'est un peu inquiétant.
      Il est très courant que le cerveau des intoxiqués fonctionne à un léger sur-régime permanent et que le sub-conscient monte un peu en conscience.
      Chez les intoxiqués, on pense en permanence (un peu comme Gérard de Nerval - voir post sur le sujet).
      Ce que ton cerveau écrit et réécrit en mémoire de façon subconsciente monte un peu en conscience.
      Mais la contrepartie, c'est la fatigue de l'organe mécanique qui peut peut-être s'incarner en confusions.
      Toi, avec ton jeune âge, tu cumulerais peut-être les légers sur-régimes (intox + reprogrammation).
    • Par contre, je ne perdrai pas de temps pour la détox car si tu avais des ml, le ml vont tasser ta phase de reprogrammation.
      Question mental, tu pourras travailler dessus ultérieurement pour faire aboutir une parfaite programmation.
      Le cerveau, c'est quelque chose de plastique, c'est malléable par le travail mental continu et de faible intensité.
    Albertine a écrit:
      Le test par urine est-il totalement fiable ? et les médecins le font normalement c’est ca ?
      de ce que je comprends les perfusions sont généralement plus efficaces que les seringues ?
      D’ailleurs, a quoi servent les premières consultations, elles sont nécessaires avant une chelation ?

      Apres un bain froid suite a une iv tu veux dire que tu as une plus d’effets positifs donc ?

      effectivement apres il y aurait Lyme a tester mais je suis pratiquement persuadée d’avoir au moins une candidose chronique enfait, apres je sais que lyme peut entrainer cette candidose, pas facile de s’y retrouver sans aucuns tests aha, en gros ce que je me demande c’est si la candidose (avec les moisissures) pourrait cause la faible ehs a elle-même

      J’ai parlé de troubles visuels et j’ai découvert que mon cas semblait appartenir au syndrome de (qui englobe tout ce que j’ai decrit niveau vision/accouphene et parfois s’accompagne de depression je me suis renseigné et d’apres certains cela pourrait être du a un problème de sérotonine(je crois déréglement) et les ml, lyme et meme candidose semblent jouer directement sur la sérotonine non? donc cela semble vraiment etre un des trois sachant que tous les symptômes du « syndrome « sont apparus un peu d’un coup, peut etre l’un des trois aurait donc pu « dérégler « niveau sérotonine peut etre, enfin c’est une supposition que je me fais, d’autres disent que cela pourrait provenir d’un problème de circulation sanguine mais dans mon cas je n’y crois ps trop.

      Effectivement il faut que je retienne l’idée du bicarbonate, mais des tests de ph sont-ils possibles pour etre sure et eviter tout risque, ce qui est drôle c’est que les grands sites ne parlent pas de ces possibles complications je fais donc bien de me renseigner auprès de toi aha

      D’après ce que tu dis il faut donc etre tres protegé pour se protéger des herx, je me renseignerais, j’imagine qu’il faut donc etre bien detoxifier si possible pour limiter les risques.

      Ok j’oublie les jeunes secs donc aha (a vrai dire cela ne me tentait ps plus que

      qu’entends-tu par le fait que j’accumulerais peut etre les sur regimes, j’ai du mal a m’y retrouver aha

      Quand tu parle du fait que je peux m’occ du mental ultérieurement c’est par rapport à quoi ?

      pas de problème pour le topic cites autant que tu le veux sans me demander, je sais que ca peut aider plein de personnes
    Sophcole a écrit:
      Merci pour ton accord de publication.
      Je compte publier une parti de nos échanges afin de donner un exemple de réponse aux novices qui hésitent (à raison) de se lancer.
    Albertine a écrit:Le test par urine est-il totalement fiable ?

      Le test urinaire est un bon test.
      Il est le plus fiable, et il sera fiable en début de traitement.
      Ce test va dire s'il y avait des métaux-lourds entre les cellules (mais non dans les cellules).
      Ce test donne un flux et non un stock, il ne donne donc pas la quantité de métaux.
      On ne peut donc pas prévoir le nombre de traitements de chélation qui seront nécessaire.
      En moyenne, c'est deux ans de traitement, mais ça peut être plus long selon les cas.
      Mais il donne une positivité.
      Si du mercure sortait, c'est qu'il y a du mercure qui flotte dans le liquide physiologique dans lequel les organes baignent.
      Il faudra justement éviter de manger du poisson ou des boites quelques jours avant le test afin de ne pas polluer le sang avec une source externe.
      Le médecin donnera la liste complète de produits à éviter.
    • Il faudra aussi que tu vérifies que la liste de métaux à analyser corresponde à ton profil.
      Par exemple, si tu habitais à coté de certaines roches radioactives en Bretagne, il faudra demander l'analyses des métaux-lourds correspondants.
    • à savoir : en fin de traitement, le test devient négatif, mais il n'est pas fiable car il demeure des ml à l'intérieur des cellules.
      Les métaux vont ensuite sortir au compte-gouttes pendant des années, cela s'appelle le rebond.
      Il faudra donc faire un petit balayage périodique.
    Albertine a écrit:Les médecins le font normalement c’est ca ?

      Je ne connais qu'un seul médecin chez qui j'ai pratiqué un bon nombre d'iv.
      Ce médecin pratique les chélations par iv en première intention, puis par perfusion en deuxième intention.
      J'ignore quelles sont les pratiques des autres médecins, mais il me semble qu'il devraient tous pratiquer les seringues et les perfusions.
    • D'ailleurs, tu pourrais lire son livre, tu pourras ainsi voir de plus près si tes symptômes correspondent avec une intoxication.
      Ce livre est un très bon test clinique qui t'aidera à aviser.
    Albertine a écrit:de ce que je comprends les perfusions sont généralement plus efficaces que les seringues ?

    • Mon expérience perso me montre qu'une solution déjà diluée percole en profondeur car le chélateur est déjà en nuage.
      Cependant, c'est le médecin qui proposera le protocole selon la consultation.
      S'il est plus à l'aise avec les iv de DMPS, cela n'est pas à négliger.
      Sur ce sujet, discutes-en avec lui.
      À terme, demande-lui peut-être à tester les 2, comme ça, tu pourras aviser sur l'efficacité.
    • Il y a une histoire d'affinité entre le chélateur et les métaux, le premier test doit permettre un large spectre.
      Selon les métaux qui sortent, tel chélateur ou tel autre serait plus pertinent.
      Si tu préfères la sûreté, le dmsa en perfusion était la solution préconisée par mon médecin, cependant, le nombre de séances pour traiter serait plus élevé.
      Selon mon médecin, le DMPS provoquerait parfois une réaction allergique sur la peau, il suffit d'attendre que ça passe.
      En trois ans, je n'ai entendu que trois patients rapporter cette allergie (qui était anodine à chaque fois).
      Avant qu'il fasse la picouse, on devait lui dire si on avait fait une réaction allergique ou pas.
      Si oui, il passait au dmsa (je ne me souviens plus si c'est en perfusion ou pas).
      Il faut que ça reste une discussion ouverte avec ton médecin, c'est avec lui que tu dois faire tes choix.
    • Selon le médecin qui pratiquait mes iv, les iv seraient plus efficaces que les perfusions.
      Les iv sont du DMPS (chélateur très à la mode), et les perfusions étaient du DMSA (chélateur classique mais sûr).
      Selon moi, une perfusion est déjà plus sûre car le PA est dilué (pas d'accident cardiaque).
      Mais le rare risque de redépose demeure.
    Albertine a écrit:D’ailleurs, a quoi servent les premières consultations, elles sont nécessaires avant une chelation ?

      La toute première consultation est indispensable : elle est simplement une rencontre entre un patient et un médecin.
      Il faudra que vous ne vous déplaisiez pas l'un et l'autre pour envisager un traitement.
      Selon la clinique, il pourra peut-être te dire que tu n'as pas d'intox et que c'est plutôt lyme,...
      Cela fera économiser de l'argent et cela évitera un traitement pour rien.
    • Selon la clinique, le traitement comporte éventuellement quelques protocoles préventifs.
      Il faudra peut-être soutenir le foie avant de faire le test, ou faire un test sanguin, ou une reminéralisation ...
      C'est ton médecin qui va aviser.
    Albertine a écrit:Apres un bain froid suite a une iv tu veux dire que tu as une plus d’effets positifs donc ?

      Affirmatif. Avec bain froid, l'effet bénéfique à été 20 fois supérieur que sans bain froid.
      J'avais des maux de tête permanent et stables, qui baissaient un peu après chaque iv, mais qui baissaient beaucoup après iv+bain froid.
      Avec le bain froid, tous le corps (y compris le cerveau) va entrer en hyper-vascularisation, le chélateur va donc percoler en profondeur.
    Albertine a écrit:effectivement apres il y aurait Lyme a tester mais je suis pratiquement persuadée d’avoir au moins une candidose chronique enfait, apres je sais que lyme peut entrainer cette candidose, pas facile de s’y retrouver sans aucuns tests aha, en gros ce que je me demande c’est si la candidose (avec les moisissures) pourrait cause la faible ehs a elle-même

    • Je t'invite à lire l'audition de Maël Dieudonné (sociologue) du rapport de l'ANSES (voir topic page 18 et 19).
      Elle affirme : "Pour entrer dans une démarche de guérison, les EHS doivent s’emparer d’autres diagnostics, comme l’intoxication aux métaux lourds ou la maladie de Lyme"
      Autant traiter les micro-organismes (Lyme, candida) et les métaux-lourds.
      Comme ça, tu es sûre d'avoir fait le nécessaire en fermant toutes les portes.
      Selon l'e-book du forum mélodie, mo et ml sont enchâssé l'un dans l'autre.
      Ce double discours (mo & ml) se retrouve souvent.
      Les bons gestes semblent être une alternances de traitements, lyme, ml, lyme, ml,...
      Il ne faut chercher à écarter aucune piste, il faudrait tout traiter quitte à en faire trop.
      Si tu n'avais pas de ml, il n'y aura pas d'incident de ml.
      Si tu n'avais pas de mo, il n'y aura pas d'incident de mo.
      Quitte à s'en sortir, il vaut mieux en faire trop que pas assez.
      Une fois qu'on a pris le pli, c'est facile ; mais la mise en place est longue, avec peu de résultats au début.
      Ce qui compte, c'est que les dosages de PA doivent être faible et continus de façon à éviter les incidents.
      Cela est fastidieux et donc décourageant.
      Il faut dresser une liste de produits, il faut les solubiliser, les mettre au frigo...
      Il faut tester le produit sur plusieurs jours/semaines, il n'y aura pas de résultats, il faudra donc passer au suivant qui demande de nouveaux geste, arfff.
      C'est une discipline contraignante.
    Albertine a écrit:
      J’ai parlé de troubles visuels et j’ai découvert que mon cas semblait appartenir au syndrome (qui englobe tout ce que j’ai decrit niveau vision/accouphene et parfois s’accompagne de depression, je me suis renseigné et d’apres certains cela pourrait être du a un problème de sérotonine(je crois déréglement) et les ml, lyme et meme candidose semblent jouer directement sur la sérotonine non? donc cela semble vraiment etre un des trois sachant que tous les symptômes du « syndrome « sont apparus un peu d’un coup, peut etre l’un des trois aurait donc pu « dérégler « niveau sérotonine peut etre, enfin c’est une supposition que je me fais, d’autres disent que cela pourrait provenir d’un problème de circulation sanguine mais dans mon cas je n’y crois ps trop.

    • Les bains froids vont durablement restaurer la circulation sanguine (endurance, tension artérielle, cicatrisation, innervation cérébrale, ...). Wim Hof appelle cela : The Power (= multiplication des capillaires et des mitochondries = endurance). Je peux te dire que s'il y a autant de gens qui font des bains glacés, ce n'est pas par effet de mode. Autant le faire même si cela ne résout pas ton problème. Une fois fait, tu sauras si c'était la solution ou pas. Même si ce n'était pas la solution, les bénéfices des bains froids sur la santé seront significatifs, ce n'est donc pas perdu. Cela t'aidera à aborder beaucoup mieux les traitements chélateurs ou les éventuels jeûnes hydriques. Le mental va aussi se renforcer.
    • Les métaux-lourds, les mo, et les pesticides dérégulent de nombreux processus de cycles métaboliques (Veille/sommeil, hormones, ...).
      Si une complémentation en sérotonine (ou autre molécule) t'aidait, tant mieux, mais cela n'est qu'une béquille de luxe en cache-misère.
      Il est hautement préférable d'éliminer ce qui dérégule le corps de façon à restaurer le bon fonctionnement des cycles métaboliques.
      Le traitement complet, c'est : la réforme alimentaire (légumes et peu de viandes), bains froids, chélations, et anti-mo.
      Le traitement complet est à large spectre, tu as donc une bonne chance de résoudre un problème multi-factoriel.
      C'est-à-dire que tu perdras moins de temps à tout traiter qu'à rechercher une cause précise dont la survenue est peut-être une contingence liée au cumul de différents états fluctuants sur différents plans (eau, huile, mitochondrie, mo) +/- moyennement (in)salubres (ml, pesticides).
      Un peu de mo, un peu de ml, un peu de pesticide, une sous-population de mitochondries passent totalement inaperçus un à un.
      Mais leur synergie avec un peu d'ondes électro-magnétique peut déréguler une hormone par-ci, un influx par-là dont le cumul fait le symptôme.
      C'est l'effet cocktail.
      C'est certes très fastidieux de tout traiter, mais les progrès tirés du traitement global sont l'unique diagnostique factuel.
      Pour ne pas ménager la tâche, les bénéfices ne se voient pas au moment du traitement, mais ils se voient en creux et à distance, il faut donc avancer en aveugle au début.
      Cad, il faut persévérer en dépit que ce ne soit pas payant dans l'immédiat.
      Ce n'est donc qu'en se lançant durablement dans la détox que tu pourras fermement savoir si tes problèmes sont solubles ou pas.
    • Les test vont donc affermir ton engagement vers un traitement qui peut durer quelques mois/années.
      De toute façon, quelqu'en soit la cause des symptômes, il vaut mieux éliminer toutes les toxines.
    Albertine a écrit:Effectivement il faut que je retienne l’idée du bicarbonate, mais des tests de ph sont-ils possibles pour etre sure et eviter tout risque, ce qui est drôle c’est que les grands sites ne parlent pas de ces possibles complications je fais donc bien de me renseigner auprès de toi aha

    • Le BCS (bicarbonate de soude) est une prévention théorique.
      J'ai lu que la molécule chélatrice changeait de forme selon le pH, l'idée a donc été de fixer le pH au moment de la prise de chélateur.
      Il n'y a donc pas vraiment de preuve scientifique à ce que j'avance, mais cela est du bon sens.
      Autrement dit, il n'est pas possible d'être sur à 100% d'éviter tous les risques, y compris avec le BCS.
      Mais autant faire le nécessaire pour réduire les risques.
      Mais les incidents sont très rares, surtout sous encadrement médical.
    • Le seul protocole que les usagers considèrent comme sûr, c'est le protocole Cutler.
      J'ai testé ce protocole, mais il ne m'a fait aucun effet.
      Mais à l'époque, je gobais le chélateur en gélule, il n'y avait donc pas d'effet à cause de la compacité de la poudre.
      Peut-être serait-il efficace en solubilisant la poudre contenue dans la gélule ?
    • Ensuite, selon le laboratoire d'analyses en Allemagne (Microtrace), les chélateurs fonctionneraient bien mieux en milieu basique.
      Même s'il n'y avait éventuellement pas d'effet sur la sécurité, le BCS rendrait le traitement efficace.
    Albertine a écrit:D’après ce que tu dis il faut donc etre tres protegé pour se protéger des herx, je me renseignerais, j’imagine qu’il faut donc etre bien detoxifier si possible pour limiter les risques.

      Exactement, il faut d’abord désintoxiquer ce qui est facile à désintoxiquer pour limiter les risques et augmenter la robustesse aux aléas.
      La prévention est la meilleure des protections.
      On ne peut vraiment pas se protéger à 100% des herx. Une fois qu'il a lieu, difficile de le faire avorter...
      On peut le prévenir en prenant le traitement anti-mo au compte goute.
      Au lieu de prendre une dose d'anti-mo d'un coup, il vaut mieux fractionner les doses.
      Cela est fastidieux car cela nécessite de la préparation et de multiplier les traitements plusieurs fois par jour pendant de nombreuses semaines.
      Mais dès qu'un peu de fatigue apparaissait, il suffit de suspendre le traitement, et tout va bien.
    • Il est certain que quelques bains froids et un tout petit jeune hydrique de trois jours confortera significativement la robustesse du corps en éliminant les autres catégories de toxines.
      Autant le faire car il n'y a rien à perdre et tout à gagner.
      Surtout le régime alimentaire (légumes) assoira la résistance et la résilience aux perturbations.
    Albertine a écrit:qu’entends-tu par le fait que j’accumulerais peut etre les sur regimes, j’ai du mal a m’y retrouver aha

    • Exemple, pour faire fonctionner le foie (et donc filtrer le sang), on met une bouillotte sur le foie.
      Le chaud fait entrer les organes en activité.
      Mais si tu mettais la bouillotte sur la tête, le cerveau va se mettre à imaginer et à faire des prédictions car c'est cela sa fonctionnalité.
      C'est comme un moteur de voiture, plus on lui envoie de l'essence, plus il monte dans les tours.
    • Or, le cerveau a besoin d'être au repos quotidiennement.
      Ce repos est un ralenti d'activité pendant lequel les toxines de la journée passée sont éliminées et pendant lequel les réserves de la journée à venir sont accumulées dans les cellules de soutien (cellules gliales) des neurones.
      Ce repos est actionné par la baisse de température corporelle.
      La nuit, on perd 1° par rapport au jour, de 37,5 à 36,5°.
      Or, les métaux-lourds augmentent la température du corps de quelques dixièmes de degrés en permanence.
      Ce n'est pas une fièvre. Mais le problème, c'est la permanence de ce petit dixième de degré supplémentaire.
      À 37,6°(soit 0,1° de plus par rapport à une fourchette de 1°(=10% d'excès)) : en exagérant les valeurs, le cerveau est de 10% au dessus de la normale attendue, il pense donc à 110%.
      À 37,6° le cerveau continue un peu plus sur sa lancée, il ne suspends pas donc son activité.
      Mais il faut que l'approvisionnement énergétique suive et que l'excès de toxines ne dépasse pas les capacités naturelles d'élimination.
      À 36,6° au lieu de 36,5°, idem, le ralenti est donc en sur-régime = production de toxines et baisse de réserve au détriment d'un fonctionnement optimal.
      Le repos n'a donc pas lieu dans des conditions physiologiques optimales de façon à retrouver la pèche le matin au réveil.
    • De plus, en tant qu'ado, ton cerveau turbine déjà à 110% pour se reprogrammer de façon à passer du mode enfant au mode adulte.
      Ces 110% sont attendus pour passer le cap du cerveau adulte, mais ils poussent la machinerie à bout.
      Tu serais donc déjà dans un léger sur-régime naturel auquel s'ajoute le sur-régime des ml.
    • Les processus subconscients peuvent décider de monter en conscience si les circonstances le nécessitaient, cela est normal (et nécessaire).
      Il suffit au processus subconscient d'insister un tout petit peu pour qu'il monte en conscience, cela est son fonctionnement totalement normal d'alerte à la conscience.
      Avec les ml et avec la période d'ado, les légers sur-régimes vont pusher les processus subconscients vers la conscience.
      Les processus cognitifs sub-conscients sont nombreux et vivaces, ils vont donc frôler la montée en conscience lors de la chauffe.
      Tes visions, ou ré-entente de musique, peuvent éventuellement être du traitement automatique de processus cognitifs banal en arrière fond.
      La nuit, le cerveau relit ce qui s'est passé la journée, il filtre les infos pour consolider les infos importantes et les graver dans le marbre.
      La lecture, relecture, gravure d'info, élimination d'info et d'émotions : c'est traitement courant du cerveau.
      Mais il y aura le contre-coup de la fatigue à cause du au sur-régime ou à cause de la perturbation de fonctionnalité.
      C'est un espèce de léger étouffement par intermittence faute d'approvisionnement de l'organe à un régime anormalement et légèrement surélevé.
      Sans que cela soit systématique, un intoxiqué vit dans un état de fatigue et de suractivation, cela est un symptôme en oxymore qu'on rencontre dans de nombreux témoignages.
      Mais si tu as des moments où ton cerveau fonctionne très bien, c'est qu'il est définitivement bien câblé.
      Faute de solution, à tord, la médecine conventionnelle va laisser croire qu'il existerait une pathologie psy.
      Les anomalies sont donc non pathologiques, elles peuvent survenir par des excès périodiques de toxines comme un moteur de voiture qui s'étouffe par excès d'essence et par insuffisance d'oxygène au moment où le moteur monte en régime.
      Ce n'est pas le moteur qui est en cause, la cause est un problème de carburation dont le symptôme apparait au niveau du roulage, il faut donc simplement nettoyer le carbu.
      Physiologiquement, cela se traite exclusivement par les bains froids, la réforme alimentaire, les anti-mo, et la chélation.
      Il me semble que le nettoyage de carbu devrait être le traitement de fond de toutes les pathologies.
      Aucun médicament ne fera jamais le travail de nettoyage du carbu.
      Comme la médecine conventionnelle sème la terreur contre la physiologie, de nombreuses personnes guérissables sont gavées d'ad et demeurent malades.
      Ou, comme dirait Molière : elles guérissent sans qu'on comprenne pourquoi.
      Si ton test était positif, tu peux raisonnablement espérer à retrouver une normalité.
    • Quand je relis ce paragraphe-ci, je crains de m'être encore plus embrouillé... :lol:
    • Les tests vont t'apporter des réponses sur une incertitude, non sur tes symptômes, mais sur le diagnostique de la médecine conventionnelle.
    Albertine a écrit:Quand tu parles du fait que je peux m’occ du mental ultérieurement c’est par rapport à quoi ?

      Le mental, c'est le cadre de pensée à l'année.
      En renforçant ton mental, tu pourras toujours rebondir devant les surprises à venir.
      Les bains froids sont un très bon exercice de mental car il faut se soumettre volontairement à la contrainte pour gagner un gros bon mieux.
      Mais une fois que tu auras acquis le réflexe de bain froid, ou de jeûne hydrique, tu demeureras "flegmatique" devant des herx, ou autre surprise de la vie ...
      Les bains froids et le jeûne hydrique ne sont que des exemples, c'est à toi de trouver tes activités de mental.
      En allant au devant de l'adversité, tu seras mentalement plus forte.
      Tu es certes déjà forte mais le mental c'est quelque chose qui se travaille de façon à ce que tu sois raisonnablement motrice dans un traitement à longue haleine (raisonnablement = pas d'excès de vitesse).
      Ce mental est la contrepartie vertueuse des symptômes.
      Les symptômes, me semble-t-il, confèrent un mental qu'on peut cultiver abondamment de façon à renverser ces mêmes symptômes.
      Ce mental va relancer les actions de façon à écluser chacun des symptômes un-à-un jusqu'à disparition complète ou acceptation raisonnée : lyme, confusion, effets de la confusion sur la confiance en soi, ml, et ainsi de suite,...
    Albertine a écrit:
      Ca semble être une très bonne idée de traiter toutes les causes pour être sure, mais sais-tu si par exemple une chelation provoquerait des effets s’il n’y avait aucuns métaux lourds ? disons que j’aurais peur de « remuer » tout ca pour rien

      que penses-tu du fait de d’abord traiter le candida et les moisissures vu que ce sont mes pistes les plus possibles

      En tout cas je me fais une supposition, j’ai lu que candida et moisissures ensemble ne faisaient pas bon ménage et ne faisaient qu’entretenir les deux problèmes (ca parait logique vu que ce sont des toxines, champignons en soit)
      plusieurs signes montrent une candidose notamment les plus « voyant » du genre langue blanchatre, pareil pour les lèvres et enfait je n’avais jamais cherché la cause et c’est apparu un peu apres ma depression apres mon gros stress et justement ce stress rend le candida plus virulent (inflammation etc)
      et les moisissures sont également des toxines et bref toutes ces toxines ont peut être créé du moins participé à creer cela (brouillard, et mtn « tocs » surtout que j’ai lu des forums justement de gens qui vivaient un peu les memes choses en rapportant soit candida soit moisissures donc je me dis que les deux..

      et ce qui me fait aussi penser a ca est le fait que les symptômes n’aient pas évolués pendant quand meme 3 ans, je ne sais pas si les métaux lourds auraient stagné comme ca

      et au fond de moi aussi je préférerais que ce soit les deux seuls problèmes aha mais comme tu l’as dit il faudrait essayer de traiter toutes ces choses. Ma peur pour les ml et lyme est au niveau des effets secondaires, herx et se dire que ca va etre beaucoup d’inve en temps et en argent et l’ann prochaine j’entre en fac donc vraiment compliqué de s’imaginer avec autant de chose à regler, seulement il vaudrait peut-être mieux ca que de se retrouver tres mal dans quelques années pcq je n’ai rien fait du tout, en tout cas pour lyme si je commence un traitement je pense m’orienter vers les méthodes d’adam nour qui repose principalement sur les plantes etc..a voir, et aussi voir pour une cure anti parasitaire car cela semble vraiment nécessaire la plupart du temps
    Sophcole a écrit:
    Albertine a écrit:et ce qui me fait aussi penser a ca est le fait que les symptômes n’aient pas évolués pendant quand meme 3 ans, je ne sais pas si les métaux lourds auraient stagné comme ca

      Selon le Collège-de-France (CdF), Alzheimer serait du au métaux-lourds (et à l'âge, cad qu'il n'y a pas d'urgence pour toi).
      Les métaux-lourds peuvent donc rester longtemps, très longtemps...
      Il y a un million d'Alzheimer en France qui, selon le Cdf, seraient gavés de ml, et à qui on dit qu'ils n'ont pas de ml faute de diag fiable.
    Albertine a écrit:que penses-tu du fait de d’abord traiter le candida et les moisissures vu que ce sont mes pistes les plus possibles

    En tout cas je me fais une supposition, j’ai lu que candida et moisissures ensemble ne faisaient pas bon ménage et ne faisaient qu’entretenir les deux problèmes (ca parait logique vu que ce sont des toxines, champignons en soit)
    plusieurs signes montrent une candidose notamment les plus « voyant » du genre langue blanchatre, pareil pour les lèvres et enfait je n’avais jamais cherché la cause et c’est apparu un peu apres ma depression apres mon gros stress et justement ce stress rend le candida plus virulent (inflammation etc)
    et les moisissures sont également des toxines et bref toutes ces toxines ont peut être créé du moins participé à creer cela (brouillard, derealisation et mtn « tocs » surtout que j’ai lu des forums justement de gens qui vivaient un peu les memes choses en rapportant soit candida soit moisissures donc je me dis que les deux..

    et au fond de moi aussi je préférerais que ce soit les deux seuls problèmes aha mais comme tu l’as dit il faudrait essayer de traiter toutes ces choses. Ma peur pour les ml et lyme est au niveau des effets secondaires, herx et se dire que ca va etre beaucoup d’inve en temps et en argent et l’ann prochaine j’entre en fac donc vraiment compliqué de s’imaginer avec autant de chose à regler, seulement il vaudrait peut-être mieux ca que de se retrouver tres mal dans quelques années pcq je n’ai rien fait du tout, en tout cas pour lyme si je commence un traitement je pense m’orienter vers les méthodes d’adam nour qui repose principalement sur les plantes etc..a voir, et aussi voir pour une cure anti parasitaire car cela semble vraiment nécessaire la plupart du temps.

    • La détox est bien un dilemme Corneillien, entre incident et santé.
      Mais il existe peut-être une voie par paliers.
    • Selon Nerval, il faut suive son étoile (= ses intuitions).
      En suivant tes intuitions, tu seras motivée pour amorcer le chemin de la détox.
      Le forum ne peut pas faire mieux que de rapporter l'expérience des personnes passées par la détox.
      Mais si le test aux ml était négatif, tu sauras que tu ne risques pas le largage de ml aux cours de la cure anti-mo.
      Si le test était positif, tu auras une réponse à tes question et tu auras une infos sur la prudence de détox à mener.
      Faire un incident, c'est une chose, mais rester bloqué toute sa vie en est une autre.
    • Si tes premiers traitements ne te donnaient pas satisfaction, tu possèdes désormais en mémoire tous les autres champs d'action sur lesquels tu peux encore espérer.
      Quand tu auras fait toute sorte de détox sûres mais que ça paye pas, tu auras encore un champ de détox à traiter si tu le souhaitais.
      Ton intuition te dira alors si la piste des ml est à tenter.
      Ton cas ne semble pas urgent, prends donc ton temps pour aviser et conforter au mieux tes initiatives.
      Ce qui est important, c'est que tu sois informée des risques vs bénéfices.
      Ensuite, faute de thérapeutes, il n'y a que toi pour faire tes choix, nous en sommes tous là, hélas. :/
    Albertine a écrit:par exemple une chelation provoquerait des effets s’il n’y avait aucuns métaux lourds ? disons que j’aurais peur de « remuer » tout ca pour rien
      S'il n'y a avait pas de métaux-lourds, il ne devrait pas y avoir de problème.
      Tous les risques que j'ai identifié sont les suivants:
      • Sur-concentration du PA ; risque cardiaque pas aspiration du calcium ; remède : ivl, ou perfusion, ou voie orale et baisse de la concentration par augmentation du volume d'eau ou par baisse du PA.
      • Traitements trop fréquents ; risque de déminéralisation (zinc, calcium,...) ; remède : espacer les chélations, baisser les dosages, complémentation en minéraux,, eau de quinton, manger des légumes.
      • Incident (remuage) ; remède préventif : détox (bains froids, réforme alimentaire) ; remède au moment de la chélation : boire 1 litre d'eau à 4g/l de BCS pendant 24h ; remède post-incident : Sels de Shüssler, Solubilisation de dmsa (pas d'ALA) à faible dosage avec le protocole à la Cutler.
      Le dmsa étant le chélateur le plus sûr, le meilleur protocole est une petite dose (de 12,5mg par prise jusqu'à 100mg) de dmsa à solubiliser avec du BCS.
      Avec ce protocole, on peut éviter l'iv.
      L'intérêt de l'iv, c'est que tu auras un diagnostique dont les modalités auront été à 3/4 réalisées par le médecin.
      Mais il est possible de faire le test soi-même avec une dose de prudence du chélateur, puis de remplir les papiers pour le labo, en d'envoyer le tout par la poste.
      Je vois pas l'intérêt de se faire piquer pour un prix très cher alors qu'on peut faire la même chose par oral pour 3euros, que c'est plus sûr et plus efficace.
      Avec le médecin, on n'a ni reconnaissance, ni service après-vente, mais on a un cadre professionnel.
      Mais si on fait la réforme alimentaire avant avec les bains froids et le soutien aux émonctoire, le traitement est bien bordé.
      On peut se procurer le chélateur, c'est en vente libre sur internet en tant que complément alimentaire.
      De plus, à l'oral, on contrôle la dose, et la pré-solubilsation est bien plus efficace qu'une iv.
      C'est juste le gout de soufre qui est un peu désagréable mais ce n'est pas si dégueu que ça.
      La grosse dose max hospitalière de chélateurs par prise, c'est 0,5g de dmsa + 1g d'Edta, au-delà, il n'y a pas plus de ml qui sortiraient.
      Mais tu peux ne prendre que 12,5 mg de dmsa pour commencer comme recommandé par le protocole Cutler.
      Avec ce très faible dosage, le risque n'est qu'un prémisse d'incident qui informe si l'on peut ou pas continuer.
      Le jour où tu seras à l'aise avec une dose modérée (exemple : 0,15g dmsa et 0,25g edta), tu pourras faire le test.
      On peut aussi demander à microtrace le protocole oral pour faire le test.
      Ensuite, il faudra bien marquer la quantité de principe actif sur le papier à envoyer à microtrace et le temps de recueil.
      Avec un faible dosage, je recommande vraiement de faire les 2 échantillons d'urines (juste avant la prise / 1,5h après), comme ça on le contraste.
      C'est plus cher, mais c'est le contraste qui fait la véracité du test.
      Ce contrast est à faire au moins une fois, tout au début.
      Les fois suivante, y'a qu'un seul échantillon à faire, et on peut le faire dans un labo français pour un métal pas cher qui est sorti positif au test microtrace, ex : cuivre...
    Albertine a écrit:
      effectivement mes intuitions ne me ramenent pas vers cette piste plus j’y réfléchis, seulement grâce au forum et surtout à toi je sais vers ou me tourner si j’en ressens le besoin alors merci encore

      Effectivement être un maximum informé des risques/benefices me semble crucial (et me rassure)

      donc de ce que je crois comprendre, ce que tu as fais sans les médecins ont étés a base de compléments par... voie orale ?, pas des seringues/perfusion c’est cela? (ou alors je ne comprends pas complément dans le bon sens lol)
      Qu’est-ce que PA ? et ... qu’est-ce que BCS ?

      d’accord donc il faut dans tous les cas prendre en compte les risques que tu as évoqué, c’est noté

      tres intéressant le test protocole microtrace par oral, c’est ce qui me tente le plus pcq mine de rien iv etc me font assez peur [img]smile/eek.gif[/img]

      Je vais aller voir de plus pres le protocole Cutler ainsi que me renseigner pour le soutien des émonctoires qui si j’ai bien compris permet de mieux supporter etc (d’ailleurs si tu as un lien vers un topic ou article sous la main n’hésite pas a me le partager mais je pense que je trouverais facilement sur le forum ! )
    Sophcole a écrit:You got it !
    Albertine a écrit:donc de ce que je crois comprendre, ce que tu as fais sans les médecins ont étés a base de compléments par... voie orale ?, pas des seringues/perfusion c’est cela? (ou alors je ne comprends pas complément dans le bon sens lol)

      Oui, tout à fait.
      J'ai acheté tous les produits sur Supersmart, mais ça se trouve ailleurs.
      Par oral, ça ne marche que quand ils sont déjà pré-solubilisés dans de l'eau, avec du BCS, ou pour l'Ala avec de l'huile et de la lécithine de soja.
      Quand je gobais les gélules, ça n'avait aucun effet.
      Quand je faisais les iv, les effets étaient lents, poussifs pour un prix cher.
      Là, avec la solubilisation, j'ouvre la gélule et je verse son contenu dans le verre, j'ajoute le BCS, je mixe, je bois... easy.
      Pour l'Ala, c'est un peu plus compliqué, il faut faire une bouteille, mais j'ai écris la méthode sur mon topic.
      Aux 100e, il faut acheter un mixeur à pile, 15e à tout casser.
      Il restera le test microtrace 100 à 150e selon le nombre d'analyses.
    Albertine a écrit:Qu’est-ce que PA ? et ... qu’est-ce que BCS ?

      BCS = bicarbonate de soude
      PA = principe actif (molécule active d'un médicament, edta, ou ala, ou dmsa, ...).
      La notion de PA est importante :
      par exemple, dans une gélule, la poudre est composée de plusieurs produits qui pèsent 0,5g et qui stabilisent le PA mais il n'y a que 0,25 g de principe actif PA.
      il faut donc bien décortiquer les infos sur la boite de gélule : 1 gélule peut peser 1 gramme mais elle ne contiendrait que 25% de PA.
    Dernière édition par Sophocle le Lun 6 Juil 2020 21:13, édité 8 fois.
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    CENTRE ANTI-POISON - 07 - Dépot de plainte

    Messagede Sophocle » Mar 4 Fév 2020 17:58

      Suite à mes nombreux échanges avec le centre anti-poison depuis 2014 qui n'ont pas abouti et fort des analyses réalisées en France, j'ai porté plainte ce jour au commissariat pour mise en danger.
      L'agent de police a été très très aidant.
      Il a consulté un juge pendant la plainte, le juge a confirmé que la plainte était recevable.
      Les analyses réalisées en France ont été décisives pour conforter le dépôt.
      À la vue des analyses françaises, l'attitude de l'agent à changé du tout au tout, son attitude est passée du devoir de réserve [img]images/icones/icon18.gif[/img] à l'étonné. [img]kator/smiley223.gif[/img]
      Cependant, l'agent a été prudent sur les suites de la plainte car ils n'ont jamais eu à faire à une telle histoire.
      Et, il faut encore que la plainte passe par de nombreuses commissions...
      Je serai informé de la suite que le juge donnera, mais l'agent a précisé qu'on ne peut pas savoir quand.

    FEV 2021
    REPONSE DU TRIBUNAL : DEFAVORABLE
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    2021-02 JUSTICE-.jpg (132.78 Kio) Vu 14010 fois

    Dernière édition par Sophocle le Mar 20 Avr 2021 11:11, édité 1 fois.
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    Notice pré-ultime de Détox des métaux-lourds

    Messagede Sophocle » Mer 5 Fév 2020 13:03



    Expérience
      Selon mon parcours, il m'est enfin possible d'établir une notice prévisionnelle complète d'élimination définitive des métaux-lourds.
      Je ne fais certes que répéter des informations maintes fois rabâchées sur le forum, mais il m'est nécessaire de réaliser cette notice pour bénéficier d'une surpervision à postériori.
      À l'avenir, je ferai des détox préventives ou j'aurais peut-être une autre intoxication, il est donc utile de disposer d'une notice compacte et prête à l'emploi que je tire uniquement de mon expérience personnelle.
      Je rédige donc une pré-notice, qui risquera d'être amendée tant que je n'aurai pas fini mon traitement actuel à l'Ala.

    Ordonnancement
      Une détox de métaux-lourds est application au long-court.
      Elle nécessite un enchainement précis d'actions pour se préserver de complications, telles qu'une ré-intoxication.

    Re-Minéralisation
      Pour pallier à l'élimination chronique des minéraux physiologiques par le traitement périodique de chélation, il serait hautement préférable d'adopter un régime alimentaire riche en légumes.
      Les légumes vont fournir au corps une importante réserve en minéraux de façon à préserver le capital pendant la période de chélation.
      Comme les chélations vont éliminer tous les ions positifs, dont les ions néfastes et dont les ions physiologiques, il est donc nécessaire de renflouer les minéraux de façon continue.
      Seul un régime riche en légumes variés comblera avec abondance tout le spectre physiologique.
      Dans l'idéal, il faudrait commencer ce régime trois semaines avant les chélations et maintenir ce régime pendant toute la période de chélation.

    Rétablissement de la tension
      Pour commencer une détox dans les meilleures conditions de sûreté et de sécurité, un rétablissement de la tension est hautement préférable.
      Pour cela, une seule demie-douzaine de bains froids (15' à 15°) devraient résoudre définitivement le problème.
      Les bains froids provoquent une bio-génèse mitochondriale massive par thermo-génèse et ils provoquent une angiogenèse massive par hyper-vascularisation.
      Avec les bains froids, les capillaires, les veines et les artères vont se multiplier ou se muscler. Une tension correcte devrait se recouvrer.
      Pour les frileux, il existe une méthode pour entrer dans un bain froid sans trop inconfort. (voir post afférent)

    Jeûne
    • Pour les personnes désireuses et qui n'ont jamais fait de jeûne, un unique jeûne hydrique de trois jour est envisageable et utile.
      Cependant, Dans le cadre d'une détox aux métaux-lourds, il me semble inutile et un peu imprudent de prolonger un jeûne au-delà de trois jours.
    • Pour les personnes qui veulent désintoxiquer leur solvant organique afin de conforter la bonne santé, le jeûne long n'est pas la solution la plus raisonnable.
      Il me semble préférable d'adopter un régime à base de viandes et légumes, cad un régime sans sucre (pas de pain, ni céréales, ni pâtes, ...).
      Pour le feu cellulaire, la combustion des glucides est prioritaire sur les lipides pendant trois jours.
      Avec un régime avec sucres, les lipides ne sont pas brûlés.
      Avec un régime sans sucres, les lipides seront régulièrement brûlés de façon à éliminer les toxines organiques.
      La détox des lipides aura donc lieue de façon continue.
      Au niveau de la santé, ce régime alimentaire sera bien plus payant que de longs jeûnes enveloppés par des périodes de mal-bouffe.
      Ce régime est anti-oxydant, il limite donc les co-facteurs délétères des ML.
    • Même si le jeûne sec soulage de symptômes du snc, le jeûne sec est à éviter car des effets secondaires existent et que les chélations sont aussi efficaces mais sans effets secondaires.
    • Après la détox des métaux-lourds, les jeûneurs pourront s'adonner à des jeûnes longs ou secs sans troubles à retardement liés aux métaux-lourds.


    Élimination des métaux en bouche
      Un retrait des amalgames dentaires ne me semble pas urgent, ni indispensable pour commencer une chélation.
      Il serait plutôt préférable de faire une série de bain de bouche au sel de façon à éliminer les métaux solubilisés dans la sphère buccale.


    Diagnostique
    • Il me semble que le seul diagnostique suffisamment fiable est le test de provocation des tissus.
      Pour cela, il faut appliquer une extrasso et envoyer un échantillon d'urine dans un laboratoire qui dresse une liste de nombreux métaux.
      Pour ce diagnostique, il est préférable de composer l'extrasso avec l'Edta et le Dmsa de façon a bien ouvrir le spectre de chélation.
      Le Dmsa a un goût de soufre, c'est un petit mauvais moment à passer, mais les informations tirées sur le rapport d'analyses en valent le coup.
      Pour le diagnostique de fin de traitement des extrassos, il serait hautement préférable de provoquer une hyper-vascularisation (bain froid, escalier...) pour faire percoler les chélateur dans les os et dans le snc.
      Le test avec Edta et Dmsa me semble également impératif pour assurer un large spectre de chélation.
      Ainsi, les résultats négatifs sont garantis de façon à passer à la deuxième étape en toute sécurité.
    • Il me semble également utile de réaliser une unique analyse à blanc (sans traitement) pour démontrer que l'intoxication est tissulaire.

    Comparaison des chélateurs de l'extra
      Le Dmps coute très très cher et les autres chélateurs font également le même travail.
      Je n'ai jamais trouvé de tableau d'affinité des chélateurs, je ne peux donc absolument pas apprécier les économies faites en investissant dans le DMPS.
      Mais à force de répétition de chélation avec des chélateurs un peu moins performant que le Dmps, tous les métaux seront quand-même éliminés.
      La combinaison du Dmsa et de l'Etda brasse un très large spectre d'affinité.
      Cette combinaison est rapportée dans la littérature scientifique.
      La variété des métaux et la variété des affinités fait que la question du Dmps me semble pertinente que pour très peu de cas.
      Quitte à faire quelques chélations supplémentaires, la combinaison du Dmsa et de l'Etda brasse un très large spectre d'affinité.
      Le DMPS est 30 fois plus cher que le dmsa ; pour que l'investissement soit rentable, il faudrait donc qu'il chélate 30x fois plus.
      Or, mes expériences me montrent qu'une extrasso d'Edta et de Dmsa a beaucoup plus d'effet qu'une iv de Dmps et de Dtpa.
      Cependant, selon la littérature, l'Edta est un peu lipophile, il y aurait donc eu des cas de recontamination du plomb des os vers le cerveau.
      Dans ce cas, il faudrait se reporter sur le Dmsa qui serait le chélateur le plus sûr et économique, cad sans recontamination ni incident.

    Première série de détox : traitement de l'extra-cellulaire.
      Périodicité : La périodicité des chélations est usuellement mensuelle.
      Mais, avec une bonne reminéralisation et une bonne tension, il sera possible d'augmenter les chélations jusqu'à un rythme hebdomadaire.
      Il faudrait répéter les extrassos jusqu'à ce qu'il n'y ait plus d'effets et jusqu'à ce que les analyses indiquent un retour des métaux dans les valeurs basses.
      Pour éviter le gout, les extrassos peuvent se réaliser uniquement à l'Edta, mais cela risque d'allonger le nombre de chélations ou de manquer la chélation de certains métaux.
      Pour éviter le goût, il est possible de se faire faire une perfusion de dmsa par un médecin.
      Il faudrait réaliser des analyses après une traitement au large spectre : Dmsa et Edta, ou Dmps et Dtpa.
      C'est seulement quand l'analyse est négative qu'il est possible de passer à la deuxième étape de détox.
      Si les analyses demeuraient positives, il faudra renouveler les extrassos jusqu'à ce qu'un nouveau test soit négatif.

    Deuxième série de détox : traitement de l'intra-cellulaire.
      Avec le test négatif aux chélateurs hydrophiles (Edta & Dmsa), le traitement de l'intra-cellulaire se ferait dans les meilleures conditions de sécurité.
      L'Ala est un chélateur lipophile, il peut donc entrer dans l'intra-cellulaire.
      C'est pour que l'Ala ne recontamine pas l'intra depuis l'extra qu'il est nécessaire de désintoxiquer d'abord l'extra-cellulaire de façon complète.
      Sur moi, les effets bénéfiques de l'Ala ont été poussifs, mais réels quand une petite d'Ala était prise quotidiennement.
      Pour apprécier l'efficacité de l'Ala, il conviendra de réaliser des analyses avant/après.
      Selon mon expérience, la différence devrait être très faible, mais cela est le signe d'une précieuse détox dont je ne sais améliorer le rendement.
      C'est seulement quand les deux tests seront égaux, c'est que la détox serait terminée, ou que l'Ala n'est plus efficace.

    Troisième série de détox : traitement des micro-organismes.
      Les métaux-lourds peuvent résider dans les micro-organismes.
      Il est donc préférable d'éliminer les micro-organismes pour parachever l'élimination des métaux-lourds.
      Cependant, l'Ala (ou autre chélateur lipophyle) serait le seul type chélateur efficace pour éliminer les métaux-lourds mis en circulation par les débris des MO.
      Comme pour l'intra, cette détox devrait se réaliser qu'après le nettoyage de l'extra-cellulaire, et éventuellement en même temps que le traitement de l'intra-cellulaire.
      En parallèle du traitement contre les MO, il faudrait quand-même mener un traitement à l'Ala.


    Archétype
      Cette notice n'est qu'un canevas.
      Elle se veut certes la plus universelle possible mais il conviendra de l'adapter à chaque situation et à chaque physiologie selon l'expérience.


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    CDI-06 et MOC-14

    Messagede Sophocle » Jeu 6 Fév 2020 12:53

    Adoption de l'Ala Chronique
      Après une grosse semaine de tests de l'Ala sous toutes les formes possibles, je confirme que de légers effets bénéfiques et chroniques se font ressentir.
      Ces effets sont poussifs mais durables.
      Au mieux, je n'arrive qu'à un effet de badigeon, mais, avec de la persévérance, cela sera peut-être suffisant pour aller au bout de la détox.
      Je m'installe donc dans une application quotidienne d'Ala décrite dans le post CDI-04.

    MO
      Mais, Les intrassos ont fait également baisser les résidus de l'incident de l'allicine.
      De la même façon, cette baisse est poussive et non éclatante.
      Le traitement de ces sensibilités par l'Ala confirme que le débris des MO libèrent des ML.
      Ces résidus donnaient une sensibilité comme un point de côté évanouissant.
      Or, ce point de côté forcissait à chaque légère reprise d'HE non corrosives.
      Et, il m'empêchait durablement de poursuivre une application chronique d'amoc.
      Il me semble que, de façon asymptomatique, j'ai énormément de MO dans lesquels résident énormément de ML.
      Avec l'Ala, je vais donc pouvoir reprendre le traitement contre les MO.

    Température et dosages
      En chauffant bien la phase huileuse à 37°,
      en ne plaçant que 0,5g de lécithine de soja,
      et en mixant, la sauce prend et
      j'obtiens une belle solution onctueuse que je n'ai plus besoin de filtrer pour écarter les granules non dilués.
      Il me semble que je tiens enfin les bons dosages entre éléments.
      Ultime Récap:
        10 ml d'huile (ou 100% végétale, ou à 5% d'he et 95% végétale en cas de traitement anti-mo) chauffés à 37° environ.
        Le contenu d'une gélule d'Ala (soit 0,25g d'Ala pur et autres produits ajoutés par le fabricant),
        0,5g de lécithine de Soja en granules,
        Chauffer, mixer jusqu'à ce que la phase se monte en crème.
        Verser dans 13cl d'eau à 37° environ.
        Mixer jusqu'à solubilisation et ingérer rapidement.
        important : pendant la demie-journée, je bois une eau avec 3g/l de bcs pour fixer les ml à l'Ala.

    Combinaison AMOC et ALA
      Les 10 ml d'huile à 10% d'HE que j'utilise pour faire la solution d'Ala est trop puissante pour la dose d'Ala (0,25g).
      En dépit du traitement de l'Ala, le point de côté n'est pas tout à fait résolu avec une seule prise, il me faut refaire une deuxième prise à l'Ala tardive pour écluser ce point.
      Comme je n'ai pas vraiment de bénéfices supplémentaires si je doublais la dose d'Ala lors d'une prise, je dois donc baisser la dose d'HE pour éviter ce point de côté.
      Je vais doubler le volume d'HV dans ma bouteille de façon faire une huile à 5% afin de garder les dosages actuels de l'intrasso.

    Douche alternée
      Théoriquement, la douche alternée me semble adéquate pour que les produits lipophiles solubilisés entrent dans la cellule.
      La froid va activer l'hyper-vascularisation de façon à faire percoler, et le chaud va augmenter les échanges entre l'intra et l'extra.
      Chaud-froid-chaud-froid : percolation-échanges-drainage.
      Le matin, je prends donc mon intrasso-amocasso à 37° de façon a faire passer la solution immédiatement dans le sang, puis je me dirige à la douche sans attendre.
      Dans la douche, ce ne sont pas les températures extrêmes qui vont aider, mais c'est plutôt la durée dans chaque température.
      En demeurant 5' à 41°, l'intérieur du corps va chauffer en profondeur alors que 1' à 43° ne fera pas grand chose.
      Il en est de même avec le froid, 5' à 12° me semblent bien + efficaces que 3' à 3° ou presque aussi efficace que 5' à 3°.

    ...Massage à l'Ala
      Dans 30 ml d'huile végétale (sésame) chauffé à 37° environ, je verse 1g d'Ala en poudre.
      Puis je fais un massage, puis sauna à 40° MAX (car l'Ala se dénature à 48° et qu'on transpire autant à 40°).
      Comme je fais occasionnellement des saunas, cette administration n'est pas fastidieuse.
      Cette version me semble la plus physiologique pour chélater l'intra-cellulaire des tissus ordinaires car l'huile est le solvant adéquat pour entrer dans la cellule.
      De plus, contrairement à la voie orale, l'Ala est bien dispersée par la voie cutanée.
      Cette solution me semble donc appropriée pour passer de fortes doses.
      Je n'ai certes pas d'effets éclatants, mais ça semble participer aux effets bénéfiques et lents.
      Mais cette voie résout mon point de côté naissant à chaque fois que je prends un AMOC.
      [img]kator/smiley252.gif[/img] j'ai enfin trouvé l'ajustement de la posologie de croisière :
      ...Depuis quelques jours, j'ai adopté cette méthode car la préparation est plus simple et que le sauna est relaxant.
      De jours en jours, j'apprends à doser l'Ala et les He dans la préparation huileuse.
      Je me suis fait une bouteille d'1 litre d'hv à 90 % (sésame) et d'he à 10% (a remuer avant chaque utilisation et a placer au frigo).
      Depuis cette bouteille, je verse une part (30a100%) dans un bécher et je complète avec de l'hv jusqu'a 40 ml de façon à doser les HE. je chauffe à 37°.
      Occasionnellement, j'ajoute jusqu'à un total 4 goutes max de he corrosives (cannelle, origan,...).
      Puis, selon mon point de côté, je verse le contenu d'une à 4 gélules d'Ala (1g max/j). Mixage, massage, sauna, douche alternée.
      Plus le point de côté est fort : plus je mets d'Ala et moins je mets d'He.
      Si le point de côté ne s'exprime pas, j'augmente les he et je baisse l'Ala.
      Quotidiennement, je fais donc un dosage entre les he, l'Ala et le point de côté.
      De jours en jours, j'ajuste ainsi la posologie dans une fourchette d'activation et de désactivation du point de côté.


    ...Non-déminéralisation et liaison ALA
      Ça fait presque 15 jours que je prends de l'Ala tous les jours et que je n'ai pas encore de déminéralisation.
      Je touche du bois, mais cela semble confirmer que la force de liaison de l'Ala n'est pas aussi soutenue que l'Edta et le Dmsa.
      Pour l'instant je dirai que la force de détox de l'Ala dans l'intra n'est que de 5 à 10% de celle de l'Edta et du Dmsa dans l'extra.
      Il faut que je rappelle que j'ai déjà récuré l'extra, par voie de conséquence, la force de liaison est peut-être forte mais dans mon cas, l'Ala doit traverser la membrane cellulaire pour capter un ml.
      La frontière de la membrane limite peut-être l'accès aux ml.
      Peut-être que l'Ala disposerait d'une forte liaison avec les ml si les ml étaient dans l'extra.
      Mais comme je n'ai plus de ml dans l'extra, je ne peux donc pas comparer strictement l'Ala, le dmsa et l'edta avec le même contexte.
      Après avoir récuré l'extra, l'edta et le dmsa n'ont pas eu eu autant d'effet que l'Ala...
      Cependant, je ne ressens pas les effets d'une déminéralisation, l'Ala semble donc un peu moins efficace que le dmsa et que l'edta.
      Il faut quand-même veiller a ce qu'une déséquestration (délitement des os) de minéraux ne pallie à une déminéralisation asymptomatique.
      ... 11 fév. J'ai une légère fatigue mais elle est durable.
      Je fait une pause thérapeutique pour voir si ça ne s'améliore pas.
      Je vais insister sur la minéralisation, compléments, soupes, ...
      En 48h, je verrai bien si j'ai un effacement de cette fatigue.





    Dernière édition par Sophocle le Mar 27 Juil 2021 16:04, édité 1 fois.
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    Études expérimentales

    Messagede Sophocle » Mar 11 Fév 2020 11:44



    Recherches
      Pour bien border mes réflexions, je vais dresser un programme d'études expérimentales.
      Je n'envisage pas de réaliser ces études par moi-même car je ne souhaite pas m'engager dans la médecine.
      Mais, si j'avais bénéficié de certaines études expérimentales, j'aurai gagné pas mal de temps.
      Au cours des précédents mois, les résultats de ces études m'ont cruellement manqué.
      Je note donc ici le programme d'études que j'ai en tête.
      Je suis encore à chaud sur la chélation, il est donc temps que je mette ce programme par écrit.
      Ces études sont assez simples à réaliser et il ne faut pas présager de l'avenir, je serai peut-être en situation de faire réaliser ces études ultérieurement.

    Affinités
      Il m'aurait été utile de disposer d'un tableau des affinités avec un gradient numéraire selon les chélateurs (Edta, Dmsa, Ala,..), selon le pH et selon toute la table des éléments périodiques.
      La plage de pH à étudier serait la fourchette physiologique.
      Il serait intéressant de définir quels sont les cations libérés par le chélateur lorsque le pH baisse.
      Précisément, il serait utile de tester le changement de pH : de 8 à 5.5 en passant par 7.4 et par 7.2.
      Il serait également intéressant de définir si le bi-carbonate de soude préserve de la baisse de pH lors du passage dans les reins.
      Si un tel pH était sans complication pour le corps, il serait également intéressant de vérifier si un pH au-dessus de 8 était avantageux pour capter les ML.
      Un tel tableau offrirait une supervision de la dynamique de chélation de façon à ajuster le chélateur aux métaux et le pH aux métaux.

    Hyper-vascularisation
      Il serait également utile d'étudier l'hyper-vascularisation dans le froid et au cours de l'exercice physique.
      Il me serait très utile de savoir comment les organes qui n'ont pas capillaires lymphatiques (os, cerveau, autres?) entrent en hyper-vascularisation.
      C'est surtout les os qui me préoccupent, car ils stockent les métaux et il me semble qu'il serait difficile de les faire entrer en hyper-vascularisation par le froid.
      Ce qu'il me serait utile, c'est de connaître les méthodes qui font entrer les os en hyper-vascularisation afin de désintoxiquer rapidement une importante réserve de métaux.
      Cependant, il est possible que, même si les os ne sont pas refroidis, les capillaires osseuses entreraient en action dans un bain froid.
      Cela serait déjà le cas pour le snc, il est donc possible que les os bénéficient de la même réaction.
      Si cela était le cas, il serait utile d'en informer le patient pour qu'il réduise fortement le calendrier de chélation.
      Pour refroidir les os, peut-être est-il possible de faire un long bain froid (30' à 15°) membre par membre de façon à refroidir quelques os sans infliger un refroidissement général imprudent...

    Chélateur lipophile
      Il m'aurait été également très utile de connaître un catalyseur de pénétration d'un chélateur lipophile dans la cellule.
      De plus, il serait intéressant de dresser une hiérarchie d'efficacité entre les différences méthodes de solubilisation : hydrique, e/h, perfusion, massage à l'huile, iv...
      Cependant, je suis déjà satisfait des effets de l'Ala, c'est certes un peu poussif, mais les effets bénéfiques se font ressentir à la longue.

    Alternative au ghee - autre expérience
      Le ghee, c’est le solvant de la Pancha-karma, mais c’est dégheu dès la première gorgée.
      Or, des huiles posent moins de problème de goût.
      Je ferai donc des experiences pour tester la performance de ces huiles à côté de celle du ghee.
      Si des huiles faisaient le même travail que le ghee, la pancha-karma serait bien plus aisée à pratiquer.

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    Hygiène buccale 02

    Messagede Sophocle » Mer 12 Fév 2020 22:29

    Infection racine dentaire [img]smile/kneu_ouf.gif[/img]
      J'ai réussi à faire régresser une infection au niveau de la racine dentaire.
      Depuis quelques temps, mon dentiste me fait une radio à chaque visite, et on voit une tache noire qui grossit tout doucement de radios en radios au niveau de la racine.
      Cela indiquerait une élimination de l'os par la réaction inflammatoire.
      Il y avait aussi une petite boule (de pus?) au toucher au niveau de la gencive et de la racine.
      Une douleur apparaissait quand j'appuyais avec le doigt sur la racine mais je n'avais aucune sensibilité au quotidien.
      Cette absence de sensibilité a fait dégénérer la situation sans que je m'en aperçoive - j'ai quand-même été un peu négligeant.
      Fort de mes expériences récentes, j'ai donc fait des bains de bouche au froid (2x/j pd 15j).
      Ces bains de bouche sont assez laborieux mais c'est très payant.
      J'ai aussi appliqué une campagne d'he.
      La petit boule et la douleur ont complètement disparu en quelques jours.
      Il faut dire que j'ai appliqué des glaçons jusqu'à ce qu'il se passe quelque-chose.
      Au moment où j'écris ces lignes, il demeure quelques sensibilités en régression de semaines en semaines sans que j'applique de bains froids.
      J'aurai une radio de contrôle dans 3 mois, j'aurai donc peut-être reconstruit l'os.
      Mon dentiste sera déçu car il m'a fait un devis pour une dévitalisation, avec tout le toutim.
      Cependant, je ne vais pas lui raconter mon traitement, je lui dirai que ça s'est régularisé par soi-même... [img]smile/yawn.gif[/img]
      J'ai donc complété le post sur l'Hygiène Buccale avec le détail de la méthode.
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    EHS & ALA - Protocole Cutler - Les 3 infras.

    Messagede Sophocle » Jeu 13 Fév 2020 15:25

    Électro-sensibilité en baisse depuis l'Ala - Test du disjoncteur.
      Cela fait trois nuits d'affilées que j'ai laissé mon disjoncteur allumé sans que je ressente pour autant les symptômes d'électro-sensibilité liés à l'inflammation chronique.
      Je n'ai plus de céphalées dues au disjoncteur.
      C'est une première depuis 2011.
      Il demeure quand-même quelques effets cognitifs (pb pour trouver un mot peu courant dans le volant de mots usuels) dont je ne peux pas affirmer qu'ils parviennent du disjoncteur.
      C’est peut-être un effet nocébo par crainte de m’exposer aux ondes. Si cela était le cas, ça ne devrait pas durer.
      Le précédent test de disjoncteur date de la 20 ème extrasso (11 déc - post "MOC11") :
      AUTRES SUJETS : ehs en forte baisse récemment : j'ai pu tenir 3 jours en laissant le disjoncteur allumé pendant la nuit sans trop de symptômes déclenchés par les basses fréquences. Les chélassos font donc leur travail mais je me sens encore un peu mieux si le disjoncteur était coupé pendant la nuit.

      Or, les effets des extrassos se sont arrêtés environ à la 20ème extrasso, cad au moment où je ressentais encore les effets du disjoncteur.
      J'attribue donc ces récents progrès aux intrassos, et donc à l'Ala.
      ... Après 5 nuits avec disjoncteur, j'ai repris mes habitudes de couper le disjoncteur car je ne suis pas encore prêt.
      Si je envahi par le doute de le rallumer trop tôt et de m'exposer aux ondes trop tôt, même si je sens pas de symptômes d'ehs, j'ai ressenti un soulagement à le couper.
      L'effet placébo et nocébo jouent certes pleinement, mais il ne s'agit que d'un premier test à long cours, je recommencerai ce test ultérieurement car je n'ai pas encore éliminé tout les ml.

    Des chélateurs par compartiments : un ordonnancement par séquences éclusées par des tests de provocation.
      Les progrès par l'Ala indiquent que les chélateurs hydrophiles (Dmps, Dmsa, Edta) sont insuffisants pour parachever une détox.
      Ces chélateurs sont certes exclusivement nécessaires pour démarrer une détox et désintoxiquer l'extra-cellulaire, mais ils deviennent inopérant pour traiter l'intra.
      Cette particularité est quand-même très intéressante pour pratiquer une détox ordonnancée de façon à écarter le risque de recontamination de l'intra.
      Même si le test au chélateur hydrophile devenait négatif, on peut donc demeurer EHS ou porteur de symptômes en dépit de multiples applications après la fin des effets bénéfiques.
      Pour une détox complète, il faudrait donc mettre en place un deuxième test de provocation avec des chélateurs lipophiles dès que le test de provocation avec des chélateurs hydrophiles est négatif.
      Ce test permet de vérifier l'efficacité et/ou la fin définitive du traitement.
      Cela est intéressant car la phase dégénérative d'Alzheimer peut avancer de façon pathologique sans qu'il y ait des symptômes précurseurs.
      Dans Alzheimer, les neurones sains augmentent leur activité pour compenser les neurones disparus.
      Par voie de conséquence, la dégénérescence peut être avancée sans que des symptômes apparaissent.
      Le seul moyen de prévenir les dégâts des métaux-lourds à temps, c'est d'éliminer les métaux-lourds au + vite et de façon chronique.

    Critiques du Protocole Cutler tel qu'il est résumé sur Internet
      Ça ne se fait pas de critiquer le protocole Cutler, mais je vais quand-même exprimer mes réserves.
    • Dans une détox correctement ordonnancée et correctement suivie, il me semble qu'il ne devrait pas y avoir de superposition de chélateur hydrophile et lipophile.
      Une telle superposition est une précaution hasardeuse d'un incident que l'ordonnancement par séquence prévient totalement.
    • Le retrait des amalgames au préalable me semble également une fausse précaution, couteuse, imprudente et éventuellement inutile.
      En cas d'amalgames passés ou présents, l'absence de bains de bouche au sel avant une chélation me semble imprudent.
    • Le procédé par rounds est modérément efficace à cause des gélules mais il est très lourds à exécuter.
      Les rounds ne sont qu'un pis-aller au manque de solubilisation et à l'absence d'ajustement du pH.

    Récapitulatif des modes de traitement des 3 infrastructures.
    • Pour conforter une rémission, il est préférable de soigner les infrastructures du corps.
        Je place donc ici les pratiques vers lesquelles un malade chronique devrait s'orienter (cancer, Alzheimer, arthose, Parkingson, -ite, -ose, -ome, autisme, ...).
        Il est utile de posséder ces infrastructures en mémoire pour composer son traitement au quotidien avec toutes les chances de guérison.
        Il faudrait trouver un équilibre de ces pratiques : plus elles sont douces, plus elles sont combinées, et plus elles sont durables : plus les chances de remissions rapides et consolidées sont fortes.
    • Salubrité des 30 litres d'HUILES dans le corps
        Traitement de fond : régime alimentaire sans sucre (Légumes de préférence verts, un peu de viandes, et qq fromages si tolérance) en mode fasting.
        Dans la mitochondrie, les glucides sont prioritaires sur les lipides.
        Un régime sucré (pain, pâtes, céréales, ...) empêche que les toxines lipidiques soient brûlées au fil de l'eau.
        Un régime sans sucre va donc faire passer les lipides dans la mitochondrie de façon à ce que les lipides soient hachés en molécules mono-atomiques (production de chaleur).
        Le carbone et l'hydrogène des lipides (-CH2-) vont se lier à l'oxygène : CO2 et H2O (respiration).
        Le Fasting permet de solliciter les réserves de façon à ce qu’elles soient désintoxiquées.
        Traitement d'attaque : jeûne hydrique, Pancha-Karma.
    • Salubrité des 30 litres d'EAUX dans le corps
        Traitement de fond : régime alimentaire à base de soufre, minéralisation par les légumes, et exercices physiques pour faire circuler la lymphe.
        Traitement d'attaque : chélations et eau de quinton
    • Renforcement énergétique des 10^15 MITOCHONDRIES du corps.
        Traitement de fond : exposition au froid et respiration
        Traitement d'attaque : bains froids (les + longs possibles à température fraiche : 15' à 15°)
    • Salubrité mentale
        À ces trois infrastructures, j'ajoute une quatrième infrastructure : Molière, Racine, Corneille, Shakespeare, et ... tant d'autres auteurs...
        Cela n’est pas facétie de ma part : chez Shakespeare, l'invisible est indélébile... :lol: :lol: :lol:
        J'ai été certes un peu lunatique pendant quelques années, mais je n'ai jamais trouvé rien de plus intelligent pendant mon intoxication sabbatique que ces 4 auteurs... En lisant et relisant ces auteurs, je me senti fort devant l’adversité. J’ai pris mon mal en patience avec beaucoup serenité. La compagnie de ces auteurs a été très précieuse. Leur théâtre est une véritable médecine. Avec eux, le théâtre du monde et des médecins apparaît en pleine lumière. [img]smile/beret.gif[/img] [img]smile/beret.gif[/img] [img]smile/beret.gif[/img] [img]smile/beret.gif[/img]
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    Centre ANTIPOISON - 8 - Comment forcer la prise en charge ?

    Messagede Sophocle » Sam 15 Fév 2020 12:54

      Ces démarches sont vaines. - 6 oct 2020
      Seule l'obtention des valeurs de référence de la charge corporelle en métaux stockés dans la population générale permettre d'obtenir la reconnaissance.
      voir post toxico en toc




    Préalable
      En dépit que les centres antipoison ont pour vocation de diagnostiquer les empoisonnements, un résultat d'analyse réalisé dans un laboratoire français selon le test de provocation est nécessaire pour faire valoir ses droits auprès du centre anti-poison et auprès de la justice le cas échéant. :??: :??: :??:
      Un encadrement de ces analyses par un médecin de ville demeure préférable mais cela n'est pas indispensable.
      Selon mes échanges avec la policière, il m'a semblé comprendre qu'un médecin ne peut pas refuser d'adapter le traitement aux spécificités d'un patient.
      Pour forcer les centres anti-poison à nous prendre en charge, il suffirait donc d'exiger que l'antidote soit appliqué juste avant que le diagnostique soit réalisé par l'hôpital.
      Cela est d'autant plus nécessaire parce que c'est ainsi que l'intoxication a été révélée.
      Le talon d'Achille serait justement là.
      J'adopterai cette démarche lors de mon rendez-vous prochain au CAP.

    Démarche prévisionnelle [img]kator/smiley15.gif[/img]
    • Enregistrer les conversations téléphoniques avec le centre anti-poison (- optionnel).
    • Appeler le centre anti-poison, une plate-forme d'urgence répondra.
      Évoquer les diagnostiques (allemands, français, autres...).
      Le CAP devrait demander à envoyer les diagnostiques par mail.
    • Un médecin devrait rappeler.
      S'il ne rappelait pas, rappeler la plate-forme sous 24h et menacer de porter plainte en scandant le diagnostique français.
      Demeurer ferme mais toujours courtois - cela est très important. [img]smile/comeandgetsome.gif[/img]
    • Au médecin, raconter l'historique.
      Ne pas évoquer les amalgames, cela n'est pas nécessaire et cela risque de sur-tendre inutilement le médecin.
      Il n'est pas indispensable de donner une cause à l'empoisonnement mais indiquer qu'il semblerait qu'il s'agit d'une source chronique.

      Mais exiger que l'échantillon du diagnostique soit établi 1h30 après l'antidote, sinon, le résultat serait faux-négatif.
      S'il refusait, menacer de porter plainte. [img]kator/smiley59.gif[/img]
      En dépit des protestations du médecin, exiger le protocole qui fasse sortir les métaux.
      (Protocole du test : Comment réaliser un TEST DE PROVOCATION.)
    • S'il refusait à nouveau, porter plainte au commissariat en expliquant bien que les métaux ne sortent qu'après le traitement.
      Insister sur le fait que cela a été signalé au CAP.
      Avec le diagnostique français positif, la plainte est recevable.
      Cependant, il est possible de porter plainte dès le premier refus en dépit que la menace de plainte ait fait céder CAP et qu'il a donné un Rdv de consultation.
      En cas d'un premier refus, mais même si le CAP cédait par la suite, il serait préférable qu'une plainte soit quand-même déposée.
      [img]smile/bash.gif[/img]




    (CAP = Centre AntiPoison)
    Dernière édition par Sophocle le Ven 6 Nov 2020 12:56, édité 1 fois.
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    Recouvrement de la confiance en la médecine française

    Messagede Sophocle » Dim 16 Fév 2020 20:53

    Sur son site, l'Ordre des médecins a écrit:Extrait du serment d'Hippocrate : "Je ne tromperai jamais leur [de toutes les personnes] confiance."


    Outre que je sois amusé qu'il faille faire jurer un médecin pour qu'il se comporte correctement,
    mais,
    comme je critique les médecins de France, je vais donc exprimer les conditions qui me permettent de retrouver leur confiance.

    Avec la santé, la négligence et les zones d'ombres sont autant coupables que de la préméditation d'erreur et de faute.
    Tout en tenant compte que nul soit tenu à l'impossible, cette complaisance collégiale à la négligence et à ces zones d'ombre sont une trahison aux citoyens.
    Ils n'expriment certes pas un soulagement à ce qu'un patient se détourne de leurs préconisation mais les médecins en sont à un point où ils ne s'offusquent pas que leurs remèdes ne soient pas suivis par leurs patiens.
    Pour que je retrouve confiance en un médecin, il faudra qu'il fasse un bilan systématique de la salubrité de l'état des trois infrastructures du corps : Huile, Eau & Mitochondrie.
    À ce bilan, il devra donner la tendance prévisionnelle sans et avec traitement.
    Par exemple, les métaux-lourds de la vaccination devront être déclarés comme une dégradation de l'état des 30 litres d'eau du corps.
    Lors du traitement, il devra également suivre la tendance de ces trois infrastructures par rapport à la tendance prévisionnelle de ses médications.
    Leur médication devra également être comparée aux résultats des méthodes naturelles.
    Sauf contre-indication, les méthodes naturelles qui résolvent les pathologies et qui confortent les 3 infrastructures devront être proposées en première intention.
    Quand le traitement métabolique a des résultats significatifs sur le cancer, cela montre que la régularisation des 3 infrastructures est le remède adéquat à des maladies sur lesquelles la recherche scientifique patine abusivement.
    Si les laboratoires parvenaient à établir une analyse de l'état de ces 3 infrastructures, la confiance dans les médecins serait fortement confortée.
    Mais encore faut-il que les médecins souhaitent qu'on leur fasse confiance. :sarcastic:
    Après tant de négligences, peut-on aspirer à faire confiance ?
    Les médecins ne se raviseront pas par eux-mêmes, seul l'exécutif peut imposer les circonstances qui permettront à la confiance de parvenir.

    Cette proposition de traitement des infrastructures parvient de la mise en application d'un fameux texte de la littérature dont les scientifiques se revendiquent fièrement :

    Dans son discours de la méthode, René Descartes a écrit:
      
    1. Ne jamais recevoir aucune chose pour vraie.
    2. Diviser chacune des difficultés.
    3. Conduire par ordre les pensées en commençant par les objets les plus simples jusqu'à la connaissance des objets les plus composés.
    4. Faire partout des dénombrements détaillés et généraux.

    Les dénombrements détaillés et généraux aboutissent à l'assainissement des trois infrastructures comme la cohésion de la bonne santé.



    Voici une autre perle du site de l'ordre des médecins.

    Sur son site, l'ordre des médecins a écrit: Extrait du serment d'Hippocrate : "Je respecterai toutes les personnes, ..."

    Ce qui est bien avec les médecins, c'est que leur serment met en évidence la longue litanie de maux chroniques qui gangrènent leur confrérie.
    Devant l'incapacité de l'Ordre à faire régner l'ordre, l'Ordre s'est donc résigné à faire jurer aux médecins ce qu'il ne sait pas imposer.

    En illustration de la quatrième infrastructure (littérature), voici un extrait du Cid, dont ce qui est dit du peuple est transposable aux médecins.
    Le succès de cette pièce, avec ce qui est écrit sur le peuple, indique que ce qui est dit sur le peuple est audible.
    En tout cas, la transposition aux médecins ne choque pas.

    Dans le Cid, Corneille a écrit:
      ... gouvernez le prince :
      Montrez-lui comme il faut régir une province,
      Faire trembler partout les peuples sous sa loi,
      Remplir les bons d’amour, et les méchants d’effroi.

    Avec les médecins attoucheurs, condamnés en justice et non radiés (voir article du Canard Enchaîné),
    mais avec les médecins radiés de l'ordre et graciés par les Présidents (voir article sur le Docteur Maschi),
    les méchants médecins français sont donc remplis d'amour par l'Ordre et les bons médecins sont remplis d'effroi. :crazy: :cry: :crazy:

    Comme le dit Hamlet à propos du Danemark : il y a quelque-chose de pourri au royaume des médecins.


    Texte intégral :

    Sur son site, l'Ordre des médecins a écrit:Le serment d’Hippocrate (site : conseil-national.medecin.fr)
      Voici le texte revu par l’Ordre des médecins en 2012.

      “Au moment d’être admis(e) à exercer la médecine, je promets et je jure d’être fidèle aux lois de l’honneur et de la probité.
      Mon premier souci sera de rétablir, de préserver ou de promouvoir la santé dans tous ses éléments, physiques et mentaux, individuels et sociaux.
      Je respecterai toutes les personnes, leur autonomie et leur volonté, sans aucune discrimination selon leur état ou leurs convictions. J’interviendrai pour les protéger si elles sont affaiblies, vulnérables ou menacées dans leur intégrité ou leur dignité. Même sous la contrainte, je ne ferai pas usage de mes connaissances contre les lois de l’humanité.
      J’informerai les patients des décisions envisagées, de leurs raisons et de leurs conséquences.
      Je ne tromperai jamais leur confiance et n’exploiterai pas le pouvoir hérité des circonstances pour forcer les consciences.
      Je donnerai mes soins à l’indigent et à quiconque me les demandera. Je ne me laisserai pas influencer par la soif du gain ou la recherche de la gloire.
      Admis(e) dans l’intimité des personnes, je tairai les secrets qui me seront confiés. Reçu(e) à l’intérieur des maisons, je respecterai les secrets des foyers et ma conduite ne servira pas à corrompre les moeurs.
      Je ferai tout pour soulager les souffrances. Je ne prolongerai pas abusivement les agonies. Je ne provoquerai jamais la mort délibérément.
      Je préserverai l’indépendance nécessaire à l’accomplissement de ma mission. Je n’entreprendrai rien qui dépasse mes compétences. Je les entretiendrai et les perfectionnerai pour assurer au mieux les services qui me seront demandés.
      J’apporterai mon aide à mes confrères ainsi qu’à leurs familles dans l’adversité.
      Que les hommes et mes confrères m’accordent leur estime si je suis fidèle à mes promesses ; que je sois déshonoré(e) et méprisé(e) si j’y manque.”
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    MOC 15 - Point de côté / autres sujets

    Messagede Sophocle » Mer 19 Fév 2020 11:29


    Fin du point de côté
      En dépit que j'applique des Anti-MO sans prendre d'Ala, le point de côté ne se manifeste définitivement plus.
      Cela confirme que ce point de côté parvenait d'une accumulation de ML et que j'aurai éliminé le gros des MO qui contenaient des ML.
      Cela confirme que ce point de côté n'était pas une réaction directe aux l'HE ou à l'Allicine.
      Cela indique également que les anti-MO ont bien un effet délétère sur les micro-organismes.
      Cela confirme que l'Ala était bien la résolution du problème des débris des MO.
      Cependant, les picotements sur la peau demeurent.
      La lutte anti-MO ne s'arrête donc pas là.
      Je vais désormais pouvoir appliquer les anti-MO de façon un peu plus soutenue.
      J'ai donc réintroduit les HE caustiques (cannelle, origan) dans des doses très raisonnables.

    Autre sujet - dans la série : petites améliorations [img]kator/smyley1.gif[/img]
      Barbe [img]kator/smiley60.gif[/img]
        Je parviens enfin à laisser pousser la barbe au-delà de 4 jours.
        Pendant 10 ans et jusqu'à quelques semaines, elle me démangeait dès qu'elle atteignait une certaine longueur, je devais donc la raser bi-hebdomadairement.
        J'attribuais ce symptôme aux Ml qui devraient faire antenne. [img]smile/pimp.gif[/img]
        J'attribue également cette amélioration aux intrassos et non aux extrassos.
        Il me semble que j'ai donc encore beaucoup de ml à l'intérieur des cellules.

    Autre sujet
    Hydrotomie percutanée
      Mes problèmes d'épaule sont atténués mais ils persistent.
      Lors de mes dernières séances en Oct 2019, je ne supportais de moins en moins ces séances d'hydrotomie.
      De plus, les résultats n'étaient pas au rendez-vous.
      Fort de mes récentes petites expériences, j'ai donc refait une séance avec du Dmsa dans la solution hypertonique.
      Au moment où j'écris ces lignes, il est trop tôt pour dire s'il y a des effets bénéfiques durables.


    Autre sujet
    Les 3 infrastructures salubres : un terrain anti-dégénératif.
      Avec beaucoup d'audace, j'émets l'hypothèse que le traitement des 3 infra-structures résout certes les désordres chroniques mais il installe aussi un terrain anti-dégénratif.
      J'émets cette hypothèse parce que le Collège-de-France a indiqué que les métaux-lourds était un co-facteur des maladies dégénératives
      - voir post : Pathologies neuro, Alain Prochiantz, Cdf 18-19.

    Autre sujet
    Marque de produits
      J'ai trouvé une marque où la poudre d'Ala est très fine.
      La poudre s'écoule comme du sable.
      Cela n'est pas le cas du fournisseur chez qui je m'approvisionne habituellement.
      Il semble que le produit de cette marque est bien ventilé avant d'être placé dans la gélule.
      Cela m'intéresse car tout ce qui aide à la solubilisation est bon à prendre.
      Marque : ça finit par gar et ça commence par sol...
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    Résultats d'analyses 02

    Messagede Sophocle » Ven 21 Fév 2020 11:47


    Le 3 février, j' a écrit:Autre sujet : grosse intrasso le 2 fév.
    1,2g d'Ala ; 20cl d'hv ; 1,25g de léc. soja ; 3g BCS ; 0,75 l + activités sportives.
    Pas d'effets éclatants, mais il me semble qu'il y quand-même quelques soulagements à distance.
    J'ai envoyé un échantillon pour analyses (mercure, cuivre, plomb) dans un labo français.
    Je souhaite un peu voir ce que donne l'Ala.
    Je m'attends à des valeurs basses mais je pourrai les comparer à des analyses sans traitement de façon à apprécier l'efficacité de l'Ala.
    (Édit : le recueil d'échantillon a été réalisé 1h30 après la fin de l'ingestion de la solution)


    • Résultats d'analyses :
      • Mercure : 0,8 mcg/gcréa (SAA vapeur froide ; réf population générale : <5mcg/gcréa )
      • Cuivre : 34 mcg/gcréa (ICP-MS ; résulat : 37mcg/l ; réf : <50mcg/24h)
      • Plomb : <5 mcg/gcréa (ICP-MS, réf : 150, antériorité : 12)

    Historique :
    Le 15 janvier, j' a écrit:
    • Analyses dans un laboratoire français :
      • Avant traitement, 28 déc. 2019, (protocole officiel français).
        • Mercure : 0,6 mcg/gcréa (SAA vapeur froide ; réf population générale : <5mcg/gcréa)
        • Cuivre : 9 mcg/gcréa (ICP-MS ; résulat : 15mcg/l ; réf : <50mcg/24h)
      • Après Traitement : Chélasso (#23) ; 28 décembre 2019 ; 1g Edta ; 0,5g Dmsa.
        • Mercure : 1,5 mcg/gcréa. (SAA vapeur froide ; réf population générale : <5mcg/gcréa)
        • Cuivre : 70 mcg/gcréa. (ICP-MS ; résulat : 145mcg/l ; réf : <50mcg/24h)
    • Historique, Déc.2018, analyses chez Microtrace après iv Dmps et Dtpa. ICP-MS
      • Mercure : 30 mcg/gcréa. (réf Microtrace : <1mcg/gcréa)
      • Cuivre : 670 mcg/gcréa. (réf Microtrace : <60mcg/gcréa)


    Interprétation
      Les valeurs sont 2 fois plus basses qu'avec les chélateurs hydrophiles mais les symptômes ont bien baissé entre temps (ehs, cépahlées,..) .
      Pour le mercure, la valeur est proche de la valeur sans traitement.
      Même si le cuivre est tout juste inférieur à la valeur de référence, il continue de bien sortir au-dessus de la valeur sans traitement.
      Cela signifie que du cuivre non séquestré demeure dans les tissus.
      Mais le cuivre sortait déjà avec les chélateurs hydrophiles dans de proportions voisines.
      Avec ces résultats, il n'est pas possible d'affirmer que l'Ala chélate dans l'intra.
      Pour une telle affirmation, il aurait fallu que les valeurs soient au-dessus des analyses après chélateurs hydrophiles.
      Mais il est possible d'affirmer que la solubilisation avec la lécithine de soja est efficace et que l'Ala est un chélateur.
      Même si ces analyses ne sont pas représentatives de l'intra, ça me fait du bien de voir que les valeurs sont basses. :ouin:

    Double détente de l'Ala [img]kator/smiley252.gif[/img]
      Dans un premier temps, l'Ala semble agir comme un chélateur hydrophile.
      Il est rapidement éliminé avec les métaux de l'extra.
      Ces analyses montrent que l'Ala rivalise dans ces délais au niveau du cuivre.
      Mais, dans un deuxième temps, le caractère lipophile de l'Ala s'exprime par une chélation à retardement dont l'étalement du délai (12-24h) semble parvenir par la temporisation du franchissement des membranes cellulaires.

    Cuivre [img]kator/smiley252.gif[/img]
      Le prix des analyses du Cuivre est très peu cher (8e, remboursé par périodes).
      Or, dans une campagne de chélation, il est préférable de la mener jusqu'à l'élimination du cuivre.
      Pour les analyses périodiques et intermédiaires (hors première analyse et hors analyses de basculement Hydro/Lipo), il me semble donc qu'il est possible de se cantonner à l'analyse du Cuivre pour aviser sur l'avancement, et/ou sur la performance d'un chélateur.
      Les analyses complètes et onéreuses peuvent donc être limitées à quelques occurrences : première (microtrace), basculement, finale.
      Il me semble intéressant de faire des analyses à chaque changement de posologie pour affiner les méthodes.
      Il est également intéressant de faire des analyses avant et après basculement de l'hydro vers le lipo.

    Test de provocation lipophiles
      Même si la demie-vie est courte, les effets de l'Ala ont eu lieu à 12 à 24 h à retardement.
      Cela est très différent des hydrophiles dont l'essentiel des effets a eu lieu dans l'heure après l'ingestion.
      Le délai de l'échantillon à 1h30 n'est peut-être pas optimal.
      Il faudrait tester l'Ala en faisant des rounds solubilisés toutes les 3h pendant 24h et prélever un échantillon dans les urines de 24h.

    Prochaines analyses
      Par contre, si je m'en tiens au symptômes : au moment de basculer à l'Ala, l'Ala a eu des effets que n'avaient pas les hydrophiles en dépit que les valeurs soient dans la même zone.
      Dans ces analyses, il manque l'Arsenic car trop cher et non essentiel par rapport à un intox aux amalgames.
      Par ailleurs, les valeurs basses du cuivre me confortent dans l'éloignement d'Alzheimer. :fume:
      Cependant, j'ai encore quelques légers symptômes, je vais donc surveiller mes niveaux pendant quelques temps.
      J'ai reçu les tubes de chez Microtrace, je ferai les prochaines analyses chez eux pour bénéficier la liste complète de métaux (Arsenic, plomb, cuivre, mercure).
      Je ferai le test avec un cocktail de chélateurs : Dmsa, Edta, Ala (solubilisation + activités physiques).
      Pour traiter le rebond, je continuerai à chélater tant
      • que j'ai des symptômes
      • et/ou tant que les valeurs ne sont pas égales à la valeur sans traitement ( donc : en dépit que la valeur soit inférieur aux références)
      • et tant qu'il n'y a pas d'anémie chronique.
      Il me semble qu'il ne faut pas trop tenir compte des valeurs de références car le rebond se masque dans l'intervalle.
      Selon le doc alpha, j'ai cru comprendre qu'un rebond pouvait même ré-apparaitre après que des analyses soient à zéro.
      L'enjeu des prochaines analyses est de surveiller le rebond.
      Je verrai bien où en sont les métaux dans 6/12 mois.
      Aujourd'hui, l'Ala ne fait plus vraiment d'effet.
      Il me semble donc que j'ai atteint le rebond définitif au regard des chélateurs que je dispose.

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    Retour à la déshydratation + traitements périphériques

    Messagede Sophocle » Lun 2 Mar 2020 12:17

    Déshydratation
      Suite à la fin des progrès par les séances de chélations,
      et, suite à des résidus de symptômes intermittents et permanents (pb de concentration et céphalées en forme de point au cerveau),
      j'ai réalisé une déshydratation de trois jours.
      Un bouchon de métaux-lourds a été expulsé du cerveau.
      Toutes les 12h, j'ai réalisé des massages à l'Ala pour intercepter les métaux-lourds mais cela était loin d'être suffisant.
      La coupure a été réalisée avec un cocktail de chélateurs (Edta, Dmsa, Ala) avec un test pour analyses (cuivre, résultat vers le 6 mars).

      Symptômes transitoires (24h environ) pendant la déshydratation :
        flambée des méninges (inflammation)
        flambée des picotements,
        Petits points rouges en nuage (comme un ciel étoilé) sur les hanches
      Symptômes définitifs :
        Grosse baisse du point au cerveau, et amélioration de la concentration.
        Par intermittence, je ressens le cerveau comme du velours.
        Mais hausse des picotements intermittents sur la peau.


    Édit - Résultat du cuivre : 17 mcg/L (réf : < 50 mcg/24h). [img]kator/smiley252.gif[/img] 2
      Rappel : valeur sans traitement : 15 mcg/L.
      En dépit de forts symptômes et en épit de bcp de chélateur, très peu de cuivre est sorti.
      Avec la déshydratation, j'ai un bon signal pour me dire que j'ai enfin traité le cuivre.
      Il me reste à savoir d'où viennent ces flambées de symptômes pendant la déshydratation, Mercure ?, Plomb ?, Arsenic ? Autre ?
      Mercure, plomb. Lors des précédentes analyses, le mercure et le plomb étaient bas.
      Arsenic. Ça fait longtemps que je n'ai pas testé l'Arsenic, il est tant que je le remette sous le feu des projecteurs des analyses.
      Autre ? Y aurait-il des métaux qui échappent aux chélateurs ?
      Cela est problématique car le problème est double : pas de traitement et (fausse) apparence d'absence de problème aux analyses. :gla:




    Nouveau traitement à l'essai contre les picotements
      Udvartana à l'Ala. [img]kator/smiley195.gif[/img]
      C'est un massage Ayurvédique avec la poudre en direct sur la peau, cad non solubilisée dans de l'huile.
      Udvartana = action post-traitement de la Pancha-Karma avec de la poudre de poix-chiche (là j'ai troqué le poix-chiche contre l'Ala).
      L'Ala rentre dans la peau car il est lipophile, cela n'est pas le cas du dmsa ou de l'edta.
      1 gramme d'Ala par jour max (... édit : mais j'ai fait une déminaralisation, je dois baisser ces doses).
      Je précise que la qualité et la finesse de la poudre sont essentielles pour faciliter le transfert de la poudre dans la peau (Dans un récent post, j'ai déjà donné un marque.)
      J'avais essayé cette technique lors de ma pancha-karma et j'avais été impressionné par la quantité de farine qui peut entrer dans la peau : comme de l'huile.
      Avec l'Ala, j'ai un apaisement provisoire des picotements. Enfin. [img]kator/clap.gif[/img]
      Mais au moment où j'écris ces lignes, il faut encore que j'attende un retour à terme.
      (rappel : les traitements avec l'Ala devraient être envisagées uniquement après que l'extra a été nettoyé).
      [img]kator/smiley252.gif[/img] ... Protocole complet :
        massage udvartana avec 1g d’ala,
        puis, 25 minutes après, massage avec 45 ml d’huile
        puis, sauna 15 min à 40°,
        puis, douche alternée.
      L’Ala est hydro- et liposoluble. En direct, il devrait se lier aux ml (totalement hydro) dans la peau (totalement lipo). L’huile fait également transpirer dans le sauna (ouverture des pores). Le sauna devrait donc faire ressortir les ml pris dans l’Ala.
      Hypothèse de cause de l’inefficacité de mon ancien protocole (Ala solubilisé dans huile de massage) au niveau de la peau : Si l'Ala est déjà placé dans l’huile de massage, l'huile devait empêcher l’Ala de se fixer au ml à cause l'aspect lipophobe des ml. Le ml sont totalement hydro, ils évitent donc l’huile, ils évitent donc notamment celle de l'huile de massage où l’Ala était solubilisée.
      Cependant, cet ancien protocole avait autant d’effets sur le cerveau qu’une solubilisation dans 10 ml d'huile et 1g de lecitine de soja dans 1l d'eau ingérée par oral à jeun.
      Chaque organe répond à des spécificités de solubilisation.
      La peau est un organe qui semble fonctionner en opposition de réponse par rapport au cerveau.
      La peau semble nécessiter une intervention en 2 temps : 1 hydro/lipo (Ala) ; 2 : lipo en sauna pour transpirer (huile végétale).
      Le placement de l'Ala dans l'huile aide certes à la pénétration mais cela prive peut-être l'Ala de se rapprocher du ml de la peau.
      Cependant, la dynamique jusqu’au cerveau est autre, l’Ala dans l’huile par la peau n’est pas problématique car la migration jusqu'au cerveau peut désolidariser l'Ala à l'huile.
      L'Ala étant également hydrosoluble, il peut s'écouler tout seul jusqu'au cerveau.
      (nota : en dépit que les he ne provoquent plus le point de côté, je continue à mettre 10% d'He dans l'hv de massage pour perpétuer la guerre contre les mo).
      ...Déminéralisation. Après tant de tests à l'Ala, j'ai fait le fameux coup de barre de déminéralisation.
      La cinétique de déminéralisation n'est pas la même qu'avec les chélateurs hydro ; avec les hydro, c'était la goute qui a fait débordé le vase.
      Tout allait bien pendant une dizaine de séances, puis après une séance, boum, 7 jours de fatigue.
      J'aurai pu reminéraliser avec de l'eau de Quinton, mais je voulais savoir combien de jours il fallait pour reminéraliser de façon à étalonner le temps entre 2 chélations.
      Avec les lipo, ça ne se passe pas pareil, là, la fatigue s'installe comme une neige jour après jour.
      J'ai un peu forcé en me disant qu'il suffisant que j'augmente les légumes, mais ça ne l'a pas fait.
      Je me suis donc installé dans une fenêtre thérapeutique : pas d'he ni de chélateurs pendant quelques jours à venir.

    Autre idée de traitement du cerveau.
      La poudre en direct m'a suggéré d'envisager de snifer le chélateur comme si c'était de la "poudreuse".
      Sur internet, y'a des sites d'explications de la méthode, ventilation de la poudre, entretien des muqueuses, ... (psychoactif.org).
      Je n'en suis pas encore là, mais c'est toujours une solution à disposition en cas de future impossibilité technique par la déshydratation.

    Épaule
      Le 19 fév, j' a écrit:Hydrotomie percutanée
      Mes problèmes d'épaule sont atténués mais ils persistent.
      Lors de mes dernières séances en Oct 2019, je ne supportais de moins en moins ces séances d'hydrotomie.
      De plus, les résultats n'étaient pas au rendez-vous.
      Fort de mes récentes petites expériences, j'ai donc refait une séance avec du Dmsa dans la solution hypertonique.
      Au moment où j'écris ces lignes, il est trop tôt pour dire s'il y a des effets bénéfiques durables.

      Les bénéfices ont été durables.
      L'ajout de chélateur dans la solution semble indispensable pour faire migrer les ml dès qu'ils sont sortis de la cellule par l'action de la solution hyper-tonique.
      Mais, dans le canon de la seringue, la poudre forme un dépôt comme de la neige pendant les dizaines de secondes où le piston est actionné.
      Du coup, l'aiguille est définitivement bouchée à mi-parcours du piston ; rien à faire pour la déboucher.
      Je n'arrive pas encore à résoudre ce problème mais j'ai une piste à tester :
      Solubilisation parfaite avec de la lécithine de soja et Ala - à tester mais j'y crois pas trop apriori.

    Analyses - édit 19 mars 2020.
      J'ai refait des analyses (cuivre et plomb) suite à la prise d'Ala dont l'échantillon a été recueilli 1h30 après l'administration.
      Les résultats sont équivalents aux analyses sans traitement.
      Le cuivre et le plomb ne sont pas sortis.
      De l'Arsenic ou du mercure sont peut-être sortis, je ne les ai pas testé car trop cher.
      Mais les urines avaient une odeur caractéristique de traitement de 2h à 12h après l'administration.
      Ça fait plusieurs fois que je constate cela avec l'Ala.
      Même si j'ai enlevé une majorité de métaux aux cours des précédents mois, il est possible que le recueil a été établi trop tôt, cad avant que les métaux sortent.
      Par rapport à l'hydrophile, la cinétique lipophile est à retardement.
      Je prendrai absolument compte de cela dans les prochaines analyses avec l'Ala.


    Dernière édition par Sophocle le Jeu 19 Mar 2020 11:46, édité 3 fois.
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    Absence généralisée d'études tissulaires

    Messagede Sophocle » Mar 3 Mar 2020 10:14

    Littérature scientifique
      Selon deux revues de littérature scientifique, les études au test tissulaire font défaut :
      Selon Chelation Therapy (ch 7.6.3), c'est l'Autisme qui n'a jamais fait d'étude et selon l'Anses (ch 7.1.3.3), c'est l'EHS qui fait défaut.
      Mais, avec Microtrace, l'absence de fiabilité du test officiel est avéré : (page 39) les pathologies liées aux métaux neurotoxiques, : "Les analyses de sang et d'urine sont généralement négatives puisque les métaux se déposent dans les tissus."
      Il est donc légitime de poser la question aux autorités: Quid du test tissulaire dans le Cancer, Autisme, Alzheimer, ...
      Selon cette conférence conférence du CdF, Quand aurons-nous des traitements efficaces pour traiter la maladie d'Alzheimer ?, le lien est fait avec l'excès de cuivre et de fer.
      Mais les études présentées à cette conférences ont été réalisées à l'autopsie ... :gluk: [img]smile/freak6.gif[/img]
      Cela veut dire que les médecins qui ont informé leurs patients qu'ils sont victimes d'Alzheimer, n'ont pas évoqué les métaux-lourds à leurs patients.[img]smile/!eyemouth.gif[/img]
      En dépit de mes nombreuses recherches, à ce jour, je n'ai trouvé aucune étude qui tente un éventuel rapprochement entre une quelconque maladie et des tests tissulaires.
      Mais que fait la police ? [img]kator/smiley273.gif[/img]

    Métaux-lourds et Cancer
      En combinant deux conférences déjà résumées dans ce topic:
      Il est possible de suggérer un lien entre cancer et métaux-lourds.
      Sur la diapo de la conférence du Collège de France sur les métaux-lourds, il y est annoncé que les métaux-lourds inhibent les enzymes respiratoires.
      Image.
      Or, dans la deuxième conférence, selon Laurent Schwartz, la baisse de la mitochondrie (lieu de la respiration) déclenche la fermentation du Cancer.
      Il y a donc une proximité entre un effet des métaux-lourds (inhibition de la respiration) et une cause des cancers.
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