TOUT SE DÉTOX

Quand la santé revient enfin, il faut le dire et même le crier!

PLAINTE : NON lIEU A POURSUITES

Messagede Sophocle » Mer 15 Nov 2023 13:28

La Justice a prononcé un non-lieu pour ma plainte.
Je vais tenter de faire appel.

Voici le texte de la Justice.
(il s'agit d'un scan avec reconnaissance de caractères, il est donc normal que de nombreuses fautes bizarres apparaissent).


ORDONNANCE DE NON-LIEU
Nous, X vice-présidente chargée de l'instruction au Tribunal judiciaire de Paris;
Vu l'information suivie contre:
x
Du chef de:
12312 - MISE EN DANGER D'AUTRUI (RISQUE IMMEDIAT DE MORT OU D'INFIRMITE) PAR
VIOLATION MANIFESTEMENT DELIBEREE D'UNE OBLIGATION REGLEMENTAIRE DE
SECURITE OU DE PRUDENCE faits commis du 1er octobre 2014 au 4 février 2020 à PARIS PARIS
OOème, prévus par ART.223-1 C.PENAL. et réprimés par ART.223-1, ART.223-18, ART.223-20
C.PENAL. .
PARTIE CIVILE:
Monsieur X
Demeurant:
Ayant pour avocat Maitre X,
Vu les articles 175, 176, 177; 183, 184. du code de procédure pénale;
Vu la plainte avec constitution de partie civile du 31 janvier 2022 déposée par Julien PERRIN du chef de mise en danger de la vie d'autrui (D1) ;
Vu le réquisitoire définitif en date du 23 août 2023 notifé le 30 août 2023 par lettre recommandée à la partie civile et son avocat ;
Vu les observations de la partie civile en date du 31 août 2023 transmise en notre cabinet le même jour par courriel et le 7 septembre 2023 par lettre recommandée avec accusé de réception et les
observations complémentaires transmises par courrielle,26 septembre 2023 ;
Attendu que l'information a permis d'établir les faits suivants:
Julien PERRIN déposait plainte avec constitution de partie civile reçue par le doyen des juges d'instruction le 31 janvier 2022, du chef de mise en danger de la vie d'autrui contre personne non dénommée reprochant aux centres antipoisons de ne pas s'être 'montrés réactifs face à ses demandes de prise en charge pour une intoxication aU mercure (01). Il joignait à sa plainte plusieurs bilans médicaux et notamment des analyses biologiques réalisées par un laboratoire allemand « Mina trace minerais laboratoire}) (04).
Cette plainte avec constitution de partie civile faisait suite au classement sans suite pour absence d'infraction (047) d'une plainte déposée par Julien PERRIN le 4 féVrier 2020 au commissariat du 17ème arrondissement, contre le centre anti-poison de Paris, en particulier celui de l'hôpital Fernand Widal, pour mise en danger de la vie d'autrui, expliquant que cette structure n'avait pas pris en charge son dossier depuis 2014 alors qu'il présentait une intoxication aux métaux lourds. (011/3). Il était entendu les 07/02/2020 (011/8), 17/06/2020 (011/13), 15/07/2020 (011/16) et 21/09/2020 (011/21) dans ce même commissariat pour compléter sa plainte.
Il résultait de ses plaintes que Julien PERRIN reprochait aux centres antipoison:
-d'une part de ne pas l'avoir. correctement pris en charge alors qu'il les avait contactés tous les ans depuis 2014 pour les alerter sur son intoxication au mercure sans qu'ils lui proposent une prise en charge médicale adaptée, ces derniers lui ayant simplement proposé une téléconsultationle 16 juin 2020 après les avoir menacés de déposer plainte contre eux. Il reprochait donc au centre antipoison d'être à l'origine de son errance médicale;
- d'autre part, de manière plus générale de ne pas se fonder sur les bonnes analyses et les bons traitements pour diagnostiquer une intoxication aux métaux lourds empêchant ainsi toute prise en charge ' médicale adaptée, les analyses validées par les centres antipoisons ne permettant pas de déceler une intoxication (01 ; 037).
Il ressortait de l'enquête préliminaire que l'assistant spécialisé du parquet X, médecin inspecteur général de santé publique, émettait une note le 23 novembre 2020. Il expliquait notamment que le médecin BELPOMME, qui avait diagnostiqué Monsieur PERRIN comme électrosensible en 2012 (09), avait été sanctionné ordinalement en 2018, suite à une plainte du Conseil de l'Ordre des médecins, pour avoir certifié des diagnostics d'électrosensibilité alors que les «examens et diagnostics sur lesquels il se fondait n'était pas à ce jour reconnus par la communauté scientifique ». Il indiquait également qu'il y avait une absence de connaissance sur les techniques d'analyse du laboratoire d'examens ' biologiques, « Mina Trace Mil)erals Laboratoire )} situé en Allemagne et aux États-Unis, dans lequel Monsieur PERRIN avait effectué des analyses. Il concluait en expliquant que les centres anti-poison français étaient des structures d'information et d'orientation dédiées aux intoxications, plutôt aiguës, et non de prise en charge des patients. Selon le docteur X, 1'« intoxication tissulaire chronique », dont se plaignait Julien PERRIN, relevait de la médecine interne et sa prise en charge devait s'effectuer sur un mode ambulatoire hospitalier, pouvant déboucher sur une hospitalisation programmée dans un service de médecine interne, si l'intoxication était confirmée par un laboratoire d'analyse médicale agréé. (D46/1 , 046/2).
A l'issue de l'enquête, le ministère public classait sans suite la procédure le 3 février 2021 et en avisait Monsieur Julien PERRIN en lui précisant que les centres anti-poison étaient en France des structures d'information et d'orientation dédiées aux intoxications et non des centres de prise en charge des patients. le ministère public invitait le plaignant à se rapprocher d'un médecin généraliste qui pourrait utilement l'orienter vers une structure .adaptée à sa pathologie (048). Entendu lors d'une audition préalable de partie civile par le doyen des juges d'instruction le 22 juillet 2022, Julien PERRIN expliquait avoir consulté plusieurs médecins généralistes qui n'avaient pas posé de diagnostic correspondant à ses symptômes. Il maintenait ses griefs envers le centre antipoison qui n'avait pris au sérieux selon lui ses alertes sur son état de santé.
Le 14 septembre 2022, le ministère public prenait un réquisitoire aux fins de noninfbrmer aux motifs que les conditions de l'article 223-1 du code- pénal relatives à la mise en danger de la vie d'autrui n 'étaient pas établies et soulignait que la partie civile ne précisait pas quelle obligation le centre antipoison aurait mécorinu dès lors que cet institut n'avait pas vocation à prendre en charge médicalement les patients.
Néanmoins une ordonnance disant y avoir lieu à informer était prise le. 2 février 2023 aux motifs qu'il ressortait de la plainte et de l'audition de la partie civile que Monsieur Julien PERRIN mettait en cause les différents intervenants médicaux pour n'avoir pas pris en charge la pathologie dont il disait être atteint. Les éléments médicaux fournis à l'appui de sa plainte n'ayant pas donné lieu à une analyse, il n'apparaissait pas possible, à .ce stade, d'exclure la caractérisation des conditions de l'article 223-1 du code pénal ou de toute autre qualification pénale, l'information judiciaire ayant précisément pour objet de déterminer si les faits dénoncés étaient constitutifs du délit de mise en danger de la vie d'autrui ou de toute autre infraction (060).
Le 3 avril 2023, le Docteur X, médecin inspecteur de santé publique, assistant spécialisé au sein du pole de santé publique rendait une note intitulée « intoxication au mercure, aux métaux lourds, les centres anti-poison et la plainte de Monsieur Julien PERRIN du 31 janvier 2022 » (062). Il en ressortait que le diagnostic d'une intoxication au mercure reposait sur plusieurs facteurs et que les protocoles validés devaient être respectés quant aux conditions de prélèvements, de
transport et d'analyse, pour que les résultats d'analyse des échantillons biologiques soient fiables. Il expliquait également que le dosage urinaire après chélation était considéré comme la principale source d'erreur car elle ne respectait pas la méthodologie permettant de comparer les chiffres obtenus avec ceux de la population générale. De plus, la liste des laboratoires de biologie médicale accrédités pour ces mesures figurait sur la «Fiche biotox » de l'INRS, dont le laboratoire «Mina Trace Minerais Laboratoire », dans lequel Julien PERRIN avait effectué ses examens en Allemagne, ne faisait pas partie. Le médecin inspecteur soulignait par ailleurs qu'il n'était pas rare que des chiffres en dehors des normes soient découverts sans que cela n'ait une signification pathologique. II précisait enfin qu'une fois le diagnostic de l'intoxication valablement établi, un certain nombre de traitements étaient susceptibles d'être prescrits en France pour traiter cette pathologie et qu'il apparaissait aujourd'hui que les risques d'intoxication par les amalgames dentaires étaient pris en compte par les autorités françaises (062/4, 062/5).
Dans le cadre de sa première audition de partie civile le 25 avril 2023 Monsieur Julien PERRIN précisait que les faits qu'il dénonçait était une affaire de santé publique qui dépassait les centres antipoison. Il considérait que les agences de santé et les sociétés de toxicologie pouvaient être mises en cause pour avoir validé des analyses inopérantes pour détecter une intoxication aux métaux lourds, maintenant la population dans l'ignorance de leur pathologie et par là même dans l'incapacité d'être
correctement soignée (065/2)~ Il admettait que sa plainte avait vocation à alerter les différentes autorités sur les carences qu'il a constatées dans la prise en charge des personnes intoxiquées aux métaux lourds (D65/4).
A la suite de son audition, Monsieur Julien PERRIN adressait sept compléments entre le 26 avril 2023 et le 30 mai 2023 apportant des précisions sur les faits qu'il dénonçait. Il fournissait ainsi notamment, des articles de presse médicale relatant les faits (068) ainsi qu'un article évoquant le mésusage des chélateurs de fer pour mesurer l'intoxication aux métaux lourds (069). Il adressait par ailleurs une demande d'acte le 27 mai 2023 complétée du 20 juin 2023 afin qu'un certain nombre de « responsables de la filière toxicologique conventionnelle» soit entendue et notamment les responsables des centres anti-poison, des sociétés de toxicologie rattachées à ces centres, des agences de santé, le directeur général de la santé, le directeur de l'agencé nationale de sécurité du médicament et des produits de santé, les agences régionale! de santé et l'agence de sûreté nucléaire (D74).
Par ordonnance du 29 juin 2023 cette demande était rejetée aux motifs que si Monsieur Julien PERRIN dénonçait des carences dans la prise en compte de l'intoxication aux métaux lourds par les autorités sanitaires françaises, aucune élément n'avait permis de .corroborer ses déclarations. En tout état de cause, aucune violation d'une obligation particulière de prudence et de sécurité ne pouvait être reprochée aux différentes agences de santé et structures médicales mises en cause dès lors qu'il
ressortait au contraire des pièces de la procédure qu'elles se conformaient aux bonnes pratiques applicables en la matière.
Le 29 juin 2023, l'avis de fin d'information était notifié à la partie civile.
Le 3 juillet 2023, Monsieur Julien PERRIN déposait des observations de fin d'information et une nouvelle demande d'actes afin que soit entendus les responsables de la filière toxicologie, Il sollicitait par ailleurs:
- « la réactivation de la validité de [ses] analyses biologiques car les Centres antipoisons ont fait avorter le déploiement de la filière de déstockage des excès de métaux corporel sur le territoire français »;
- la suppression de « la validation des analysés biologiques sans traitement de façon à ce que les analyses après traitement soient au même niveau scientifique que les analyses sans traitement» ;
- la reconnaissance de la liberté de traitement indépendamment de l'existence de symptômes pour traiter.
Cette nouvelle demande faisait l'objet d'un rejet le 28 juillet 2023 aux motifs qu'il ne s'agissait pas de demandes d'actes au sens de l'article 82-1 du code de procédure pénale qui permet aux parties de saisir le juge d'instruction tendant à ce qu'il soit procédé à tous actes qui leur paraissent nécessaires à la manifestation de la vérité puisque ces demandes ne tendaient pas à permettre d'établir des preuves afin de prouver une infraction mais à remettre en cause la validité de la prise en charge médicale actuelle des patients atteints d'une intoxication aux métaux lourds ce quine relevait pas de la compétence d'un magistrat instructeur.
Le 23 août 2023, le ministère public rendait un réquisitoire définitif aux fins de non-lieu.
Monsieur. Julien PERRIN adressait de nouvelles observations le 31 août 2023, puis par courriels du 26 septembre et du 9 novembre 2023 synthétisant les défaillances des analyses biologiques validées en France.

DISCUSSION :
Il ne résulte pas de l'information d'indices susceptibles de confirmer les faits dénoncés par' Monsieur Julien PERRIN.
En effet, ce dernier indique qu'il présente depuis plus de 10 ans une série de symptômes qu'il attribue à une intoxication aux métaux lourds qu'il n'est pas parvenu à faire diagnostiquer en France selon les bonnes pratiques applicables en la matière. Il dénonce ainsi des. carences dans sa prise en charge médicale personnelle mais plus largement une absence de prise en compte de cette problématique par les autorités sanitaires françaises, les bonnes pratiques mises en oeuvre par ces dernières n'étant pas adaptées pour détecter et soigner ces intoxications.
Ce dernier a fourni une documentation abondante à l'appui de sa plainte qui .né permet cependant pas de suspecter la commission d'une infraction par les centres anti-poisons et .les autres autorités sanitaires mises en cause, cette documentation permettant tout au plus de confirmer l'existence d'une remise en cause par certains patients de la prise en charge des personnes atteintes d'intoxication aux métaux. Au contraire, une partie de documentation fournie permet d'écarter les arguments avancés par Monsieur Julien PERRIN. En effet, il ressort de la note du Dr X que la problématique de l'intoxication par amalgame dentaire a été prise en compte contrairement à ce qu'avance la partie civile (062/5). De même, il ressort de l'article intitulé « diagnostic des intoxications par des métaux ou des métalloïdes et mésusage des chélateurs » que l'administration d'un chélateur augmente l'excrétion des éléments métalliques chez les individus (069/3) et appelle la communauté scientifique à faire preuve de prudence dans l'interprétation des résultats. Or, il est intéressant de relever que Monsieur Julien PERRIN relève une phrase de cet article en la sortant de son contexte pour en déduire que les analyses biologiques validées sans traitement chélateur ne sont pas représentatives de la charge corporelle en métaux lourds (069/1). Sa plainte ne repose donc que sur une interprétation personnelle, entretenue par certains médias et réseaux sociaux, de don!1ées scientifique.
Par ailleurs, si les observations transmises à la suite du réquisitoire définitif rappellent les réserves de la partie civile sur les protocoles français applicables en la matière qu'il considère comme défaillants, force est de constater que cette analyse n'est pas corroborée par les notes des médecins inspecteurs de santé publique du 23 novembre 2020 et du 3 avril 2023.
Monsieur Julien PERRIN considère sur les analyses validées en France, qui sont réalisées sans traitement chélateur sont insuffisantes contrairement à ce qui est admis en France. Il en déduit ainsi une mise en danger de la population française par la filière de toxicologie .qui écarte les analyses après traitement chélateurs.
Si les arguments développés par Monsieur Julien PERRIN témoignent de l'existence d'un débat chez certains patients sur l'adéquation du traitement proposé par les médecins et autorités sanitaires en France, la légitimité de cette critique n'apparaît pas étayée sur le plan scientifique. A cet égard, il ressort notamment de la réponse apportée par l'ANSM à Monsieur PERRIN que « les indicateurs biologiques d'exposition, utilisés pour le diagnostic de l'intoxication par un élément métallique, sont des
paramètres scientifiquement. validés. Ils servent à définir des valeurs seuil de sécurité pour le suivi sanitaire de la population générale et des travailleurs. Ces valeurs, qui bénéficient d'un consensus au niveau international, sont validées par des organisations internationales telles que l'OMS et les autorités réglementaires comme US EPA, A TSDR, el' EFSA. Elles sont régulièrement révisées à la lumière de nouvelles études publiées dans la littérature scientifique )} (087/4).
En tout état de cause, aucune violation d'une obligation particulière de prudence et de sécurité ne peut être reproché aux différentes agences de santé et structures médicales mises en cause dès lors qu'il ressort au contraire de la procédure qu'elles se conforment aux bonnes pratiques applicables en la matière et que c'est monsieur Julien PERRIN qui a fait le choix d'un traitement thérapeutique alternatif à celui proposé par les médecins ne résulte pas plus des faits dénoncés que Monsieur Julien
PERRIN a été exposé à un risque immédiat de mort ou d'infirmité permanente.
En ' conséquence, en l'absence d'élément permettant de caractériser une infraction, un non-lieu sera ordonné.

DISPOSITIONS AUX FINS DE NON-LIEU:
Attendu qu'il ne résulte pas de l'information charges suffisantes contre quiconque d'avoir commis les faits de mise en danger de la vie d'autrui ;

PAR CES MOTIFS,
Vu les articles 175 et 177 du Code de procédure pénale;
DISONS n'y avoir lieu à suivre de ce chef en l'état ,;
ORDONNONS le dépôt du dossier au greffe pour y être repris s'il survenait des charges nouvelles.




Dernière édition par Sophocle le Jeu 16 Nov 2023 17:54, édité 2 fois.
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APPEL

Messagede Sophocle » Jeu 16 Nov 2023 12:39

Mon avocat m'a confirmé que j'avais le droit de faire appel sous dix jours.
Je vais donc faire appel.
je vais répondre en ajoutant le texte de la dernière diffusion
Ci-après l'intro et la conclusion


INTRODUCTION
Suite à votre ORDONNANCE DE NON LIEU du 14 novembre 2023, je fais appel.
Dans votre Ordonnance de non lieu, vous écrivez : " Par ordonnance du 29 juin 2023 cette demande était rejetée aux motifs que si Monsieur Julien PERRIN dénonçait des carences dans la prise en compte de l'intoxication aux métaux lourds par les autorités sanitaires françaises, aucun élément n'avait permis de corroborer ses déclarations."
Le 17 mai 2023, je vous ai adressé un article scientifique par RAR (1A 204 577 0640 9) dont le titre est "Evaluation of the mercury exposure of dental amalgam patients by the Mercury Triple Test" et qui corrobore mes interprétations personnelles. Or, cet article est nié par votre argumentation. Or, cet article prouve que les analyses biologiques validées sont défaillantes en population générale.
Contrairement à ce que vous affirmez, j'ai donc corroboré mes déclarations par un article scientifique.
De plus, j'ajoute dans ce texte un deuxième article scientifique qui corrobore mes interprétations.

CONCLUSION
En conclusion, des milliers, ou des millions de Français seraient concernés par la défaillance des analyses biologiques validées (prise de sang, échantillon d'urine). Devant le nombre élevé de victimes des intoxications corporelles, il est temps que la médecine conventionnelle traite enfin la charge corporelle en particules oxydantes (métaux, pesticides, ...) en sus de l'exposition.
Il est extrêmement choquant que les Agences internationales de santé ait établies un consensus qui nie le corps et qui se restreint à des diagnostiques sanguins et urinaires qui sous représentent la charge corporelle. Le corps fait parti du rayon d'action des Agences de santé, il ne doit donc pas être nié par la communauté médicale.
Les traitements des métaux font certes polémiques, mais cela n'est pas une raison pour se rabattre sur des analyses biologiques sans traitement pour que les Agences de santé établissent des profils toxicologiques absolus. Cette erreur est extrêmement grave. Elle est la cause de la persistance de la maladie de millions de Français. De plus, l'Association allemande de toxicologie KMT affirme que ses protocoles de traitements sont sans incidents. Il est donc possible de traiter les métaux lourds en toute sérénité. La défaillance des Agences internationales de santé est donc extrêmement profonde.
J'ai déjà alerté les Agences de santé françaises (ANSM, SANTE PUBLIQUE FRANCE, ANSES, HAS, ARS), les Agence européennes de santé (ECDC, EFSA, EMA), les Agences américaines de santé (CDC, ATSDR) et l'OMS mais je n'ai pas reçu de réponse circonstanciée. Il me semble donc que la prise en compte de la charge corporelle par la médecine conventionnelle devra nécessairement passer par une action juridique.
Les filières françaises et internationales de toxicologie ont donc mis en danger l'ensemble des Français (dont moi) en niant les métaux lourds corporels.


**************************
J'ai fait appel ce 17 novembre 2023
J'ai du me rendre au service des voies de recours au TGI à porte de Clichy.
Mon texte n'a pas été accepté, c'est le TGI qui rédige l'acte d'appel sur un modèle.
Il va falloir éventuellement que je dépose une nouvelle plainte pour exprimer le texte de ma dernière diffusion
**************************`
Je vais déposer une nouvelle plainte avec le texte de la dernière diffusion.
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REPONSE A MON ALERTE

Messagede Sophocle » Mar 28 Nov 2023 18:38

Un Médecin Député des Hauts-de-seine a écrit:Je vous remercie pour le partage détaillé de votre expérience et de vos préoccupations.
Je prends note de ces informations et les examinerai attentivement.
Votre témoignage soulève des questions importantes, et vous tiendrai informé de toute action éventuelle à l’avenir.



Une assistante parlementaire a écrit:J’ai pris connaissance avec grande attention de votre courrier concernant vos inquiétudes suite à votre expérience médicale. Je me permettrai de retransmettre votre dossier aux services compétents en charge de la mise en œuvre de la politique de santé. En vous remerciant de nous avoir informer sur cette situation,
Dernière édition par Sophocle le Jeu 30 Nov 2023 17:50, édité 1 fois.
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REPONSE DE L'AGENCE EUROPENNE DU MEDICAMENT

Messagede Sophocle » Jeu 30 Nov 2023 17:16

ASK-EMA a écrit:,

Merci d'avoir partagé vos préoccupations et vos observations avec l'Agence européenne des médicaments (EMA). Tout d'abord, je suis désolé d'apprendre les problèmes de santé que vous avez rencontrés.

Dans votre correspondance, vous évoquez la validation des analyses biologiques des intoxications aux métaux lourds, notamment au mercure. À cet égard, vous évoquez un certain nombre de questions qui ne relèvent pas du mandat de l'Agence. Je voudrais profiter de l’occasion pour apporter davantage de précisions sur ces aspects.

Vous faites référence à plusieurs publications concernant les méthodes de mesure des niveaux de mercure chez les humains. Cela comprend les publications de :

Hansen et coll. [1] qui ont mené une étude visant à établir et analyser des données de référence sur la charge en mercure chez les patients avec et sans amalgame. Vous notez les différences décrites dans cette publication concernant les concentrations maximales de mercure dans l'urine basale avant et après l'administration de l'agent chélateur dimercaptopropane sulfonate (DMPS).
Bernhoft et al [2] qui ont examiné l'importance clinique de l'exposition à diverses formes de mercure et les techniques d'évaluation de la charge en mercure.
Aposhian et coll. [3] et Gonzales-Ramirez [4] et al dans lesquels les auteurs étudient la charge corporelle des amalgames dentaires des patients en utilisant le sel de sodium du DMPS et l'utilisation du test dit DMPS pour étudier l'exposition au mercure chez les dentistes et les prothésistes dentaires. , respectivement.
Il est important de noter que l’EMA n’élabore pas de lignes directrices cliniques, notamment celles relatives au diagnostic de l’intoxication au mercure. Cela sort du mandat de l'Agence qui porte sur l'évaluation des médicaments afin de formuler des recommandations sur leur commercialisation, et sur leur suivi une fois sur le marché. Selon le règlement de l'UE sur les dispositifs médicaux ( Règlement (UE) 2017/745 ), les amalgames dentaires sont définis comme des dispositifs médicaux appartenant à la classe IIa. Cependant, le rôle de l'EMA dans la réglementation des dispositifs médicaux concerne des aspects spécifiques de certaines catégories de dispositifs médicaux et de dispositifs médicaux de diagnostic in vitro (DIV). Les amalgames dentaires, y compris les tests spécifiques visant à déterminer leur profil toxicologique, ne relèvent pas des responsabilités actuelles de l'EMA en matière de dispositifs médicaux. Pour en savoir plus sur le rôle et les responsabilités de l'EMA concernant les dispositifs médicaux, veuillez visiter la page Web correspondante de l'EMA : https://www.ema.europa.eu/en/human-regu ... al-devices ++

Vous faites également référence à une publication [5] de la Société Française de Toxicologie Analytique concernant le diagnostic des intoxications métalliques ou métalloïdes et le mésusage de la chélation, notamment un texte concernant la présence d'éléments métalliques chez les individus. Vous notez également que l'article indique que les analyses biologiques validées pour diagnostiquer une contamination métallique ne sont pas représentatives de la charge corporelle. Comme indiqué précédemment, l'Agence n'élabore pas de lignes directrices en matière de traitement, y compris de lignes directrices relatives au diagnostic de l'empoisonnement aux métaux. Bien qu'un certain nombre d'agents chélateurs aient été recommandés pour une autorisation centrale par l'EMA, il est important de noter que ces indications n'incluent pas leur utilisation pour le diagnostic d'un empoisonnement aux métaux.

Vous mentionnez également une publication de Gerhardsson et al. [6] qui suggère que les oligo-éléments pourraient jouer un rôle dans la pathogenèse de la maladie d'Alzheimer. Il est important de noter que ce sujet échappe largement aux compétences de l'EMA, car bien que notre travail soit basé sur un consensus scientifique et sur la recherche clinique, l'Agence elle-même ne mène pas de telles recherches sur les causes des maladies.

Dans votre correspondance, vous faites référence au texte de la publication de Gerhardsson 6 concernant le potentiel d'une « exposition à faible niveau de mercure chez les enfants » résultant de l'utilisation du thiomersal dans les vaccins. Conformément à la tendance mondiale visant à réduire l’exposition environnementale au mercure, on constate une tendance à réduire la présence de thiomersal dans les vaccins. Par rapport aux vaccins autorisés via l'EMA, seules les présentations multidoses de deux vaccins contre la pandémie de grippe (les vaccins dits de « préparation à la pandémie » contre la grippe aviaire) contiennent du thiomersal comme conservateur. Le thiomersal peut également être utilisé lors de la production de certains vaccins pour inactiver le virus ou la bactérie. Lorsqu'elle est utilisée de cette manière lors de la fabrication d'un vaccin, la quantité de thiomersal est ensuite réduite jusqu'à des limites dans le produit fini jugées sûres. Le cas échéant, la présence de thiomersal ou de traces de celui-ci est déclarée dans les informations posologiques, des cas d'hypersensibilité chez certaines personnes ne pouvant être exclus. La vaccination avec des vaccins contenant du thiomersal continue d’offrir à la population des avantages exceptionnels, qui dépassent de loin les risques d’effets secondaires. Comme l'ont établi les experts scientifiques, il n'existe aucune preuve de danger lié à l'utilisation de vaccins contenant du thiomersal. Pour plus d'informations à ce sujet, vous souhaiterez peut-être lire la déclaration suivante, qui s'applique toujours : https://www.ema.europa.eu/en/thiomersal ... g-vaccines

Vous faites également référence à une publication [7] dans les médias concernant les centres antipoison français. Il est important de noter que l’Agence n’est pas responsable de la réglementation des professionnels de santé (PS) ou de la pratique médicale dans des États membres spécifiques. Cela relève de la compétence de la législation nationale et/ou des organismes professionnels qui réglementent les professionnels de la santé dans les États membres de l'UE. De plus, le mandat de l'Agence ne s'étend pas à la réglementation des centres antipoison au sein de l'UE.

Dans votre correspondance, vous demandez si les informations que vous avez envoyées peuvent être relayées vers les agences de santé responsables des protocoles validés. Comme indiqué dans cette réponse, les questions que vous avez soulevées ne relèvent généralement pas de la compétence de l'Agence et, malheureusement, nous ne sommes pas les mieux placés pour les résoudre.

Au nom de,

X
Chef du département d'engagement du public et des parties prenantes

[1] Hansen G, Victor R, Engeldinger E et al.

Évaluation de l'exposition au mercure des patients atteints d'amalgames dentaires par le Mercury Triple Test

Médecine du travail et de l'environnement 2004 ; 61 : 535-540.

[2] Bernhöft RA. Toxicité et traitement du mercure : une revue de la littérature. J Environ Santé publique. 2012;2012 : 460508. est ce que je: 10.1155/2012/460508. Publication en ligne du 22 décembre 2011. PMID : 22235210 ; PMCID : PMC3253456.

[3] Aposhian HV, Bruce DC, Alter W, Dart RC, Hurlbut KM, Aposhian MM. Mercure urinaire après administration d’acide 2,3-dimercaptopropane-1-sulfonique : corrélation avec le score des amalgames dentaires. FASEB J. 1992 avril;6(7):2472-6. est ce que je: 10.1096/fasebj.6.7.1563599. PMID : 1563599.

[4] Gonzalez-Ramirez, D., Majorino, RM, Zuniga-Charles, M., Xu, Z., Hurlbut, KM, Junco-Munoz, P., Aposhian, MM, Dart, RC, Diaz Gama, JH, Echeverria, D, 1995. Test de provocation au 2,3-dimercaptopropane-1-sulfonate de sodium pour le mercure chez l'homme : II. Mercure urinaire, porphyrines et changements neurocomportementaux chez les travailleurs dentaires à Monterrey, Mexique. J. Pharmacol. Exp. Là. 272(1) janvier : 264-74

[5] Consensus de la Société de Toxicologie Clinique et de la Société Française de Toxicologie Analytique. - Diagnostic des intoxications par des métaux ou des métalloïdes et mésusage des chélateurs. Tox Anal Clin, 2015, 27, 133-212.

[6] Gerhardsson L, Aaseth J. Conseils pour le traitement clinique des empoisonnements aux métaux : utilisation et mauvaise utilisation d'agents chélateurs. Dans : Aaseth J., Crisponi G, Andersen O, éditeurs. Thérapie de chélation dans le traitement de l'intoxication aux métaux. Presse académique ; 2016. P313-341

[7] https://toute-la.veille-acteurs-sante.f ... niqu%C3%A9)&text=LES%20%27CH%C3%89LATIONS%27%20PERMETTENT%20DE%20REP%C3%89RER,D%27UNE%20PRISE%20EN%20CHARGE.

Nous vous serions reconnaissants de bien vouloir répondre à une courte enquête sur notre service. Veuillez accéder à l'enquête via le lien suivant : https://ec.europa.eu/eusurvey/runner/As ... ab3c955448

Agence européenne des médicaments

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Messagede Sophocle » Dim 3 Déc 2023 14:34

Un Médecin Député des Hauts-de-seine a écrit:Je vous remercie pour le partage détaillé de votre expérience et de vos préoccupations.
Je prends note de ces informations et les examinerai attentivement.
Votre témoignage soulève des questions importantes, et vous tiendrai informé de toute action éventuelle à l’avenir.
A ce député, j' a écrit:Je vous adresse un schéma du Collège de France.
Ce schéma informe que les pollutions (métaux lourds, pesticides) participent aux cancers et aux maladies neuro-dégénératives.
J'ai donc écrit un traité de traitement de toutes les catégories de pollutions (voir pièce attachée).
J'explique comment on enlève les métaux lourds et les pesticides du cerveau et du reste du corps au domicile.

La médecine conventionnelle n'enlève pas les métaux lourds ni les pesticides du corps.
Elle ne traite donc pas les causes des cancers et des maladies neuro-dégénératives.
Cependant, la médecine conventionnelle devrait savoir enlever les métaux lourds et les pesticides.
Elle devrait le proposer en prévention et en traitement des cancers et des maladies neuro-dégénératives.
Cela éviterait les chutes et les rechutes.
Je rappelle que des millions de Français sont concernés par les cancers et les maladies neuro-dégénératives.

Je vous soumets la demande que l'Assemblée nationale ouvre une enquête parlementaire sur les conséquences de la défaillance généralisée des analyses biologiques validées (prise de sang, échantillon d'urine, cheveux).
Toute la toxicologie occidentale est frappée de nullité car elle a nié le corps.
J'accuse les filières nationales et internationales de toxicologie d'avoir mis en danger les Français et le reste du monde en les exposants par imprudence aux cancers et aux maladies neuro-dégénératives.
Mon traité prouve que les médecines du traitement des métaux lourds, des pesticides, des cancers et des maladies neuro-dégénératives existent déjà.
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DEFAILANCE DES CENTRES ANTIPOISON.

Messagede Sophocle » Lun 11 Déc 2023 14:09

Les Centres antipoison sont au contact de la théorie et de la pratique. Les vérités émergent donc au niveau des Centres antipoison.

Lors de mon premier test de provocation, j'ai appelé les Centres antipoison. Ils m'ont dit qu'ils me rappelleraient. Et ils ne m'ont jamais rappelé. Deux jours après, je rappelle, ils me disent qu'ils vont me rappeler et ils ne rappellent pas. Depuis 2014, j'ai rappelé tous les ans. Même résultat.

En 2020, je les menace de porter plainte. J'obtiens un rendez-vous de consultations sur le champ. Je transmets mes diagnostiques post-chélation. Le médecin refuse de me traiter et il me transmet un article scientifique pour se justifier (https://www.forum-melodie.fr/phpBB3/dow ... hp?id=1017).

Dans cet article, il y est écrit qu'il existe des diagnostiques validés et qu'il faut les respecter. Le diagnostique validé est un échantillon d'urine sans traitement et une prise de sang. Les diagnostiques après chélation ne sont donc pas validés. Ils ne sont pas reconnus. Ils sont considérés comme nuls et non advenus. Or, mes diagnostiques validés (sang, urine sans traitement) sont négatifs, il n'y a pas de mercure qui apparait.

Officiellement, la science ne sait pas dire si 30 microgrammes très inquiétants de mercure après chélation chez un patient sont toxiques car les références en population générale n'ont pas été établies. Sans référence, il n'est pas possible de comparer une analyse prise chez un patient. En dépit que 30 microgrammes soient très inquiétants et en dépit des symptômes caractéristiques, les Centres antipoison ne traitent pas.

Or la filière de toxicologie est en faute car elle n'a pas réalisé les références des diagnostiques après chélation. Ce diagnostique permet d'évaluer la charge corporelle. Pour des raisons de rigueur scientifique, la médecin se prive volontairement de l'évaluation de la charge corporelle. Cela est généralisé car les agences de santé vont réaliser leurs enquêtes de toxicologie avec des prises de sang et des échantillons d'urine sans traitement. Les vaccins au mercure, à l'aluminium, les amalgames dentaires, les maladies chroniques (Alzheimer, cancer, sclérose en plaque, ...) vont donc être examinés avec des diagnostiques qui ne révèlent pas la présence de métaux lourds. Les métaux lourds échappent donc complètement aux filières nationales et internationales de toxicologie.

Pour la santé des patients, les Centres antipoison auraient du alerter que les analyses biologiques validées ne sont pas fiables. Or, les Centres antipoison préfèrent laisser pour mort les intoxiqués. Cela permet de cacher le scandale de la défaillance des analyses biologiques validées.

De plus, les Centres antipoison ont proféré des menaces publiques envers un médecin hospitalier qui traitait les métaux lourds avec des analyses post-chélation. Ce médecin a fermé son service suite à ces menaces. Les Centres antipoison ont donc réussi à faire interdire le traitement des métaux lourds sur le territoire français.
Voici le texte des menaces : https://www.sciencedirect.com/science/a ... 815000645#!
Voici un article de presse qui rapporte l'information : https://toute-la.veille-acteurs-sante.f ... ommunique/

J'ai adressé mes textes aux Centres antipoison, mais ils n'ont pas dédaigné répondre.
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COMMENT GUERIR DES MALADIES CHRONIQUES.

Messagede Sophocle » Jeu 14 Déc 2023 09:55

Image
Les témoignages de patients qui prétendent avoir guéri de maladies chroniques (Cancer, autisme, ...) correspondent aux traitement des causes rapportées par le Collège de France.
Le traitement des pollutions, des infections et du métabolisme ont guéri du cancer et de l'autisme. Or, ces causes sont totalement niées par la médecine conventionnelle. Les maladies ne sont donc ni prévenues ni guéries en population générale. Les témoignages rapportent que les médecins ont déclaré qu'il n'y avait aucune chance de guérir.
Les médicaments ne traitent pas de nombreuses maladies chroniques. Seul le cancer fait l'objet d'un faible pourcentage de guérison cependant, les traitements ne préviennent pas des rechutes.
Officiellement, les études scientifiques doivent se cantonner à l'étude du sang qui n'est pas représentatif de la charge corporelle. Les analyses de sang, d'urine et de cheveux sont validées par des études en population générale. Le sang est filtré par les organes (reins, foie, intestins,...). Le sang est donc rapidement débarrassé de ses particules oxydantes. Or, les particules oxydantes s'accumulent dans les organes (cerveau, articulation,...). Or, les analyses après traitement ne sont pas validées car les filières de toxicologie n'ont pas réalisé les études en population générale. Or, les études de sang sont rassurantes en population générale et les études après traitement sont inquiétantes en population générale. Comme les études après traitement ne sont pas officiellement réalisées en population générale, la filière de toxicologie nie donc les métaux lourds qui surgissent aux études après après traitement. Elle se rabat sur les études validées (sang, urine, cheveux).
Par exemple, les amalgames dentaires ont été évalués exclusivement avec des analyses validées (sang, urine, cheveux). Les Agence de santé ont donc déclaré que les amalgames dentaires ne provoquaient pas d'intoxication. Or une étude sur 2000 personnes portant des amalgames indique les analyses après traitement sont très inquiétantes https://oem.bmj.com/content/61/6/535. Comme cette démarche n'est pas validée, les agences de santé n'en tiennent pas compte dans leur conclusions.
Voici un exemple. L'Anses a publié un rapport sur l'électrosensibilité https://www.anses.fr/fr/system/files/AP2011SA0150Ra.pdf. La conclusion du rapport affirme que la littérature scientifique n'a pas trouvé les causes de l'électrosensibilité. Cependant, le rapport principal indique page 203 : "Il n’existe actuellement aucune étude scientifique sur les concentrations tissulaires des métaux lourds et leur élimination urinaire chez les personnes se déclarant EHS. Les résultats de la seule étude analysée sur les concentrations sanguines en métaux lourds". Les métaux lourds dans le corps n'ont donc pas été étudiés et les conclusions se basent sur le sang. Cependant, à l'annexe 1 page 100 https://www.anses.fr/fr/system/files/AP ... a-Anx1.pdf, il y est écrit : "Pour entrer dans une démarche de guérison, les EHS doivent s’emparer d’autres diagnostics, comme l’intoxication aux métaux lourds ou la maladie de Lyme." Les malades se traitent donc par eux-mêmes des métaux lourds et des infections et guérissent de maladie que les agences de santé déclarent comme inguérissables.
Il en est de même avec les vaccins au mercure et à l'aluminium. Il en est de même avec les maladies chroniques. Les analyses de sang ne révèlent pas la véritable teneur en métaux lourds ou en pesticides.
Autre exemple, En dépit de mes diagnostiques après traitement très inquiétants, les Centres antipoison m'ont indiqué qu'il ne me traitaient pas car mes prises de sang étaient négatives. https://www.forum-melodie.fr/phpBB3/dow ... ile.php.... De plus, les Centres antipoison français profèrent des menaces publiques envers les médecins qui traitent les métaux lourds. Ces médecins ont donc fermé leur service. Les Centres antipoison ont donc obtenu que le traitement des métaux lourds soit totalement interdit sur le territoire français. https://toute-la.veille-acteurs-sante.f ... opital.../
Les Français sont donc empoisonnés alors que les médecins affirment qu'ils ne sont pas empoisonnés. De plus, les patients ne sont pas traités car leur sang est négatif. La médecine occidentale est prise dans un mensonge qu'elle ne veut pas avouer. Cependant, j'ai écrit aux agences nationales et internationales de santé. Devant les faits que je rapporte, elles ont avoué à demi-mot que je soulevait un grave problème de santé publique.
L'absence d'étude de la charge corporelle en population générale explique toutes les polémiques médicales (empoisonnement par les amalgames et guérisons miracles).
Il existe des témoignages de guérison de l'autisme par le traitement des métaux lourds ou par le traitement des infections. Il existe des témoignages de guérison du cancer par le régime alimentaire, ou par le jeûne ou par les bains froids. Pour se donner le maximum de chance de guérir d'une maladie chronique, il faut donc traiter toutes les causes listées par le Collège de France.
Les pollutions se traitent par les chélateurs et par l'Ayurveda (ingestion d'huile végétale). Les détails sont donnés dans cette page.
Les infections se traitent par des produits anti micro-organismes (huiles essentielles, médicaments, ...)
Le métabolisme se traite par un régime alimentaire (régime cétogène) et par une exposition au froid.
Le métabolisme est la réunion du catabolisme et de l'anabolisme.
Autrement dit, le métabolisme est la réunion du noyau (production de protéines) de la cellule et de la mitochondrie (destruction de chaines carbonées) de la cellule.
Il faut donc que le noyau soit dans des disposition favorables pour produire des protéines et il faut que les mitochondries soient jeune et fraiches pour éliminer toutes les chaines carbonées.
https://www.youtube.com/watch?v=jaejfvXXEg0...
Le régime cétogène va déplier l'ADN et il va permettre la transcription des protéines. La cellule va donc pouvoir répondre aux agressions. En cas de cancer en phase terminale, un jeûne sera très efficace.
https://www.youtube.com/watch?v=sHXCojIDrt8...
Le bain froid va favoriser la biogénèse massive de mitochondries.
La mitochondrie est le lieu de la production de la chaleur et de la destruction des chaines carbonées. Les bains froids vont également multiplier les capillaires. Cela permet d'amener l'oxygène au plus près des cellules. Cela permet d'accélérer massivement la cicatrisation. Voir les témoignages de guérison de WIM HOF (https://www.youtube.com/@wimhof1).
Je rappelle que le Collège de France est la plus haute université française : https://www.college-de-france.fr.
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Re: TRAITE DE CHELATION ET DE DETOX A DOMICILE

Messagede capucine » Mar 19 Déc 2023 01:40

Merci Julien pour ton traité de chélation ! Très clair.
J'ai été particulièrement intéressée par la question en général peu abordée du Ph : La clé de la non redépose.
Ton témoignage de libération de l'EHS fait plaisir !

J'ai l'intention d'utiliser l'EDTA en suivant tes indications. Mon état général étant mauvais et mon âge avancé (74 ans), je préfèrerais commencer doucement. Tu mentionnes des risques d'incident intestinal au-dessous de 1g d' EDTA pour 25 cl d'huile. Peux-tu nous en dire un peu plus ?
Quel produit as-tu utilisé pour la reminéralisation ? (en dehors bien sûr de l'alimentation qui ne peut suffire).

Merci d'avance si tu peux répondre à mes questions.
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Re: TOUT SE DÉTOX

Messagede Sophocle » Mar 19 Déc 2023 19:31

Merci Capucine,

L'huile va circuler dans le corps, elle draine les toxines organiques.
Les métaux lourds organiques risquent donc d'être déplacés sans être éliminés.
Suite à ce déplacement, ils ont tendance à s'accumuler dans les intestins.

Les chélateurs permettent de mieux fixer les métaux lourds et de permettre leur élimination via les reins.

Pour y aller doucement, il est donc préférable de baisser la dose prélevée dans la bouteille d'huile que de baisser la concentration de chélateurs.


Pour la reminéralisation, j'ai utilisé de l'eau de quinton et des gélules multi-minéraux.
Mais un jus de légume sera bien plus efficace...



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Re: TOUT SE DÉTOX

Messagede capucine » Mer 20 Déc 2023 21:48

Merci Julien.
Toujours aussi clair. C'est vraiment agréable.
Je prends déjà de l'eau de mer et des jus de légume et du côté des dents, ce n'est pas bien bon. Je vais essayer de trouver un bon complément.

T'es-tu intéressé au bleu de méthylène ?
capucine

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Re: TOUT SE DÉTOX

Messagede Sophocle » Jeu 21 Déc 2023 11:08

Quant au bleu de méthylène, je n'ai pas été plus loin que la page wiki...
Il dispose d'un atome de souffre et de trois atome d'azote, c'est à tester...
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DEFAILLANCE DE LA TOXICOLOGIE ET DE LA MEDECINE

Messagede Sophocle » Ven 22 Déc 2023 13:41


J'ai diffusé un nouveau texte à 3000 responsable.
Un ex-Président des Sociétés françaises de toxicologie et actuel Président de l'Académie de Médicine à répondu qu'il n'avait pas de réponse à donner.
Qui ne dit mot consent.
J'ai également adressé mon message au Palais de L'Elysée en le renvoyant vers ce scientifique.


Image

RESUME

Les causes du cancer énoncées par le Collège de France sont attachées (pollution, infection, métabolisme, angoisses).
Pourtant, ces causes ne sont traitées ni par les cancérologues, ni par la médecine générale.
Il en va de même pour toutes les maladies chroniques (Alzheimer, etc.).
Cela est un peu anormal.

Les diagnostics officiels sont basés sur des analyses de sang. Mais le sang n'est pas représentatif du corps.

L'alternative est d'administrer le traitement aux métaux lourds et d'analyser les urines 1h30 plus tard. Selon les Sociétés françaises de toxicologie, les métaux apparaissent chez tous les analysés.

Les traitements des poisons sont interdits car les agences sanitaires occidentales n'ont pas réalisé d'études en population générale. Ces traitements ne sont pas interdits pour des raisons scientifiques ou médicales, mais uniquement pour des raisons administratives. 95% du corps est donc nié par négligence par la médecine et par la science.

Les études exprimeront une valeur dans une population en bonne santé. Cette valeur sera la référence. Chez une personne malade, la valeur sera comparée à la référence. Et on traitera jusqu'à ce que la valeur retombe à la valeur de référence. Comme la référence n'a pas été établie, les agences sanitaires occidentales ont interdit le traitement y compris chez les malades qui portent les symptômes d'une intoxication. Les agences sanitaires occidentales refuseront de mener ces études car ces dernières démontreront que les analyses officielles actuelles sont lacunaires. Il faut donc que le Politique force les agences sanitaires à réaliser ces études.

Tous les diagnostics officiels d'intoxication (organique et inorganique) sont erronés. Cela pourrait expliquer l'absence de traitement pour de nombreuses personnes intoxiquées.

Selon la loi française, les Centres antipoison sont en charge de la bonne santé des populations. A l'insu des Institutions, les Centres antipoison n'assurent pas cette mission au motif qu'ils n'ont pas fait leur travail de références biologiques. De plus, les Centres antipoison profèrent des menaces publiques envers les médecins qui traitent les poisons. Il est donc impossible de se faire traiter sur le territoire.

J'ai écrit un plaidoyer pour que les analyses post-traitement soient prises en compte. Ce plaidoyer est disponible à la suite de ce message.

J'ai également rédigé un traité sur le déstockage de toutes les particules oxydantes dans tous les organes y compris le cerveau. Mon traité est disponible gratuitement https://www.forum-melodie.fr/phpBB3/vie ... 14#p121814 . A partir de ce traité, les autorités pourront établir toutes les références indispensables au déstockage des particules oxydantes.


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PLAIDOYER

Une étude scientifique sur 2000 personnes portant des amalgames dentaires indique que les taux urinaires après traitement du mercure sont à 47 microgrammes de mercure par gramme de créatinine et que les taux urinaires sans traitement sont à 1,7 microgrammes de mercure par gramme de créatinine. La référence sans traitement en population générale est à 4 microgrammes de mercure par gramme de créatinine. L'étude complète se trouve à la page suivante : https://www.forum-depression.com/downlo ... p?id=10668. L'en-tête est disponible à la page suivante : https://oem.bmj.com/content/61/6/535.full. Les taux après traitement sont donc très inquiétants alors que les taux sans traitement sont rassurants.

Or, tout le système médical occidental officiel est basé sur des études sans traitement. Toutes les études toxicologiques officielles sont donc faussement rassurantes. Les dispositifs médicaux (amalgames dentaires, vaccins à l'aluminium, vaccins au mercure, ...) sont donc mal évalués. Toutes les maladies chroniques (Alzheimer, cancer, arthrite, autisme, sclérose en plaque, ...) sont donc mal évaluées. Les maladies chroniques ne sont donc ni diagnostiquées ni traitées. L'état des malades s'aggrave donc.

Je cite un article "Mercury Toxicity and Treatment: A Review of the Literature" sous la forme d'une revue de littérature scientifique qui se présente ainsi dans son introduction : "(...) les techniques d'évaluation clinique de la charge en mercure ne font pas l'unanimité. Le présent document a pour but d'examiner les données publiées sur ces questions et d'évaluer l'expérience clinique publiée concernant l'utilisation du DMPS pour éliminer le mercure du corps humain". Il existe donc des controverses sur les analyses validées entre scientifiques. Selon cet article : "Il est difficile de diagnostiquer une surcharge en mercure. Les modalités couramment utilisées (concentrations dans le sang, l'urine et/ou les cheveux) ne sont pas en corrélation avec la charge corporelle totale et n'offrent que peu d'informations utiles au diagnostic. La provocation par le DMPS semble offrir une évaluation plus précise de la charge corporelle". Cet article est disponible gratuitement à la page suivante : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3253456/. Selon cet article, les analyses validées (sang, urine, cheveux sans traitement) ne donnent pas d'information utile au diagnostic d'intoxication au mercure et les analyses après traitement donnent une meilleure indication. Cette article sous-tend donc que les nombreuses enquêtes publiques en population générale par les analyses biologiques validées sont totalement défaillantes. Cet article indique que le diagnostic après traitement (test de provocation) permet de mieux évaluer la véritable charge corporelle.

Les agences françaises de toxicologie ont publié un article scientifique dans lequel il est écrit que seuls les diagnostics sans traitement sont validés pour l'extrême majorité des métaux, y compris pour les métaux lourds. Cet article est disponible à la page suivante : https://www.forum-melodie.fr/phpBB3/dow ... hp?id=1017. La page officielle est la suivante : https://www.em-consulte.com/article/100 ... aux-ou-des. Cet article stipule que seules les analyses biologiques validées (prise de sang, échantillon d'urine, cheveux) doivent être utilisées pour établir une intoxication. Il ajoute que le traitement est abusif. Il laisse entendre que les références en population générale après traitement n'ont pas été dressées et que, dans ce cadre, les analyses après traitement sont non interprétables. Selon les Sociétés françaises de toxicologie, faute d'interprétation, le traitement ne devrait pas être donné même si les diagnostics après traitement sont très inquiétants.

Les filières de toxicologie nationales et internationales n'ont donc pas réalisé leur travail. Elles n'ont pas établi les références en population générale ni de la charge corporelle ni des analyses biologiques après traitement. La confection de ces références permet de valider une analyse biologique en établissant une valeur pour laquelle la population générale qui est en bonne santé. Pour masquer leurs défaillances, ces filières ont donc passé un consensus général entre agences internationales de santé qui consiste à faire passer des analyses non fiables (prise de sang, échantillon d'urine, cheveux) et faussement rassurantes pour une vérité absolue. Or, toute la filière française de toxicologie exige que les évaluations des intoxications se fassent uniquement avec les analyses validées et non fiables. Les taux inquiétants de métaux lourds exprimés par les analyses après traitement sont donc systématiquement écartés par les Agences de santé en population générale.

Le sang est finement filtré en permanence par les reins, le foie, les intestins, les poumons et la peau. L'urine est le reflet du sang. Les métaux lourds n'ont donc pas le temps de s'accumuler dans le sang ni dans l'urine ni dans les cheveux. Les cheveux gardent très provisoirement l'historique du sang. L'intoxication du sang et de l'urine s'appelle une intoxication aiguë. Par exemple: une tentative de suicide par ingestion d'arsenic ou un ouvrier qui travaille dans une usine de recyclage du plomb. Cette intoxication se traite par l'arrêt de l'exposition et par le traitement des métaux lourds car le traitement neutralise les effets néfastes des métaux lourds dans le corps. Or, les métaux lourds s'accumulent peu à peu dans les autres organes (cerveau, muscles, articulation, os, moelle, ...). L'intoxication de ces tissus s'appelle une intoxication chronique car l'intoxication se réalise dans le temps avec une lente intoxication continue. Le traitement des métaux lourds circule dans les organes dont le cerveau. Il se lie aux métaux lourds fixés dans les organes. Il circule ensuite de nouveau dans le corps avec les métaux lourds et il est intercepté par les reins. Les analyses d'urine après traitement dévoilent donc si des stocks de métaux lourds existent dans le corps. Les analyses d'urine et de sang sans traitement dissimulent donc les stocks fixes en excès de métaux lourds dans les tissus.

Pour établir des charges corporelles totalement fiables, il faut dissoudre un corps post-mortem. Comme cela n'est pas éthiquement faisable, les références corporelles fiables ne seront jamais dressées. Les liens entre maladies chroniques et métaux ne pourront donc jamais être dressés. Faute de liens, les filières de toxicologie imposent qu'il ne faut pas traiter. De plus, il ne sera donc jamais possible de dire si une analyse biologique du vivant du patient est fiable car elles ne peuvent pas être comparées à la charge corporelle. Les analyses biologiques validées sont donc validées par les agences nationales et internationales de santé sans vérifier si ces analyses étaient fiables ou représentatives de la charge corporelle. Or, ces analyses validées sont exclusivement utilisées pour toute étude officielle. Toutes les conclusions des filières nationales et internationales de toxicologie sont donc frappées de nullité. Le seul recours qui existe, c'est de traiter les excès de métaux avec des analyses après traitement. Le traitement ne donne pas une charge corporelle fiable mais il indique s'il existe des excès de métaux dans les tissus.

Dans le traité de toxicologie CHELATION THERAPY (https://www.forum-melodie.fr/phpBB3/dow ... php?id=972 ), au début du chapitre 4, il y est écrit :
"Les surexpositions aux métaux, allant des niveaux corporels élevés non symptomatiques aux empoisonnements aigus ou chroniques mettant en danger la vie du patient, devraient généralement être traitées en éliminant la source d'exposition, par diverses procédures de décontamination et par un traitement symptomatique. Cependant, dans un nombre assez important de cas, divers programmes de traitement par chélation offrent un moyen efficace de gérer les effets néfastes de la surexposition aux métaux, soit en réduisant la toxicité du métal en formant un complexe moins toxique, en modifiant la toxicodynamique du métal, réduisant ainsi l'interaction du métal avec une cible vulnérable et / ou en modifiant la toxicocinétique du métal, réduisant ainsi son absorption et / ou améliorant son excrétion." Le nombre de page de ce traité s'élève à 370 pages. Le chapitre 4 s'intitule : Traitement par chélation lors de surexpositions aiguës et chroniques aux métaux - études expérimentales et cliniques. 122 pages sont consacrées aux intoxications chroniques au chapitre 4. Or, les intoxications chroniques sont totalement niées par la filière française de toxicologie car la filière française de toxicologie n'a pas réalisé les références en population générale des diagnostics après traitement. La filière française de toxicologie est donc en contradiction totale avec la littérature scientifique.

Au chapitre 3.5 du traité de toxicologie CHELATION THERAPY, il y est écrit :
"Dans le diagnostic de l'intoxication par le plomb, des difficultés peuvent survenir lorsque l'exposition a cessé il y a quelque temps et qu'une grande partie du plomb a été transférée du sang vers les os. Dans de tels cas, les concentrations de plomb dans le sang peuvent être revenues à l'intervalle de référence lors de la tentative de diagnostic. La détermination in vivo du plomb dans l'os, de préférence dans l'os du doigt, par fluorescence X, a été utilisée pour le suivi biologique du plomb déposé (Skerfving, Gerhardsson, Schutz et Stromberg, 1998). Un test de provocation CaNa2-EDTA a également été utilisé pour estimer la charge corporelle en plomb. Une dose standard de CaNa2-EDTA augmentera l'excrétion urinaire du plomb stocké." Ce traité confirme qu'il existe des intoxications aux métaux lourds en dépit du fait que le sang ne présente pas de métaux lourds. Ce traité confirme que le traitement des métaux lourds élimine les métaux lourds qui sont présents dans le corps au delà du sang. En dépit de l'absence de références, ce traité confirme que les intoxications chroniques s'évaluent dans la pratique par des analyses après traitement (test de provocation).

Au chapitre 2.2.5, il y est écrit : "L'Edétate de calcium disodique (CaNa2EDTA ) est indiqué dans l'intoxication aiguë et chronique au plomb et dans l'encéphalopathie au plomb pour réduire les concentrations sanguines et les réserves de l'ion métallique toxique, chez les enfants comme chez les adultes." Selon ce traité de toxicologie, le traitement des réserves corporelles de métaux lourds dans les tissus dans le cadre d'une intoxication chronique aux métaux lourds est explicitement indiqué. En effet, ces excès ne s'éliminent pas naturellement, il faut donc forcer leur excrétion. Or, les Centre antipoison refusent que des médecins français diagnostiquent et traitent les poisons et les intoxications chroniques sur le territoire français. Sur le territoire français, la salubrité en métaux lourds ne prime pas. Ce qui prime, c'est un consensus lourdement défaillant.

De plus, selon les Sociétés françaises de toxicologie : " La majorité des éléments métalliques sont présents et mesurables chez la plupart des individus et l’administration d’un chélateur en augmente l’excrétion urinaire chez tous" (voir https://www.forum-melodie.fr/phpBB3/dow ... hp?id=1017). Cela indique que les excès de métaux concernent toutes les personnes symptomatiques ou non. Cela indique que, selon les sociétés françaises de toxicologie, les analyses biologiques validées ne sont pas représentatives de la charge corporelle en population générale. Cela indique que les Sociétés françaises de toxicologie sont informées que les analyses biologiques validées sont défaillantes. Leur manque de réaction est donc délibéré. Cependant cet article ajoute que les références sans traitement ne peuvent pas être récupérées pour les analyses après traitement car les conditions d'analyses sont différentes. Cela permet aux Centres antipoison de rejeter une analyse après traitement. J'ai porté plainte contre les Centres antipoison mais la Justice a confirmé que les Centres antipoison ne devaient pas traiter les poisons. Pour que les Centres antipoison échappent juridiquement à leur mission, les Sociétés françaises de toxicologie ont déclaré à l'insu de tout le monde que les métaux lourds dans le corps sont hors consensus. Comme il n'y a pas de consensus international pour traiter les métaux lourds dans le corps, aucun pays ne traite les métaux lourds à l'insu de leur gouvernement. Je rappelle que les Centres antipoison sont un service publique en charge de la bonne santé des Français. Ce ne sont ni des considérations médicales ni scientifiques qui motivent les Sociétés françaises de toxicologie ; c'est uniquement une disposition administrative. Les toxicologues se moquent du monde. L'absence de références permet également aux Agences de santé de nier les métaux lourds corporels en population générale. Or, il est extrêmement choquant que les références après traitement n'ont pas encore été établies par la filière de toxicologie. Les références sont les valeurs en population générale en bonne santé. Grâce à ces valeurs en population générale, une analyse biologique individuelle peut être comparée à une population en bonne santé. L'établissement de ces valeurs de référence en population générale permet donc de valider une analyse biologique. L'établissement des références après chélation permettront d'améliorer significativement la santé des Français.

Selon le Collège de France https://www.college-de-france.fr/fr/age ... ommensales à 00:05:00, les maladies auto-immunes sont en nette augmentation depuis l'après guerre. Le cocktail de pollutions serait un cofacteur de cette augmentation. Ce qui est choquant, c'est que les filières de toxicologie n'ont installé aucune mesure de prévention ni de traitement contre les pollutions. Selon l'article D6141-41 du code de la Santé publique, les Centres antipoison participent à la prévention des intoxications et à l'éducation sanitaire de la population. Faute de références corporelles, les Centres antipoison ne peuvent pas réaliser leur mission de santé publique. La santé des populations est donc mise en danger par les Centres antipoison.

CHASSE AUX SORCIERES
Les Centres antipoison français ont proféré des menaces publiques envers un médecin hospitalier à Orléans qui traitait les intoxications chroniques avec des diagnostics après traitement. Ces menaces se trouvent à la page suivante : https://www.sciencedirect.com/science/a ... 15000645#!. En dépit que la littérature scientifique rapporte que le diagnostic après traitement est couramment pratiqué par les médecins pour évaluer une intoxication chronique, les Centres antipoison y affirment que le diagnostic après traitement est une "escroquerie en bande organisée". Les Centres antipoison dissimulent que les filières internationales et nationales n'ont pas fait leur travail de références corporelles ni après traitement, et que c'est à ce titre qu'elles refusent que les diagnostics des intoxications chroniques par les analyses après traitement soient réalisés. Les Centres antipoison reprochent une faute qui leur incombe. Cela est une malveillance profonde. Les Centres antipoison dissimulent également que leurs protocoles validés sont totalement défaillants. Suite à ces menaces, l'hôpital a fermé le service de traitement des intoxications chroniques : https://toute-la.veille-acteurs-sante.f ... ommunique/. Il est donc impossible de se faire traiter les métaux lourds sur le territoire français par la médecine conventionnelle. J'ai porté plainte mais la Justice n'a pas souhaité examiner ce point. Il faut savoir que la Justice française ne souhaite pas que les services de l'Etat soient traduits en Justice. Le diagnostic, le traitement et la guérison sont des affronts au consensus. Ils ridiculisent les Centres antipoison. Les Centres antipoison se sont donc érigés en autocrate qui mate les thérapeutes et les malades. Les Centres antipoison ont décidé de tuer la contestation dans l'œuf avant qu'elle se généralise car les Centres antipoison savent que leurs défaillances mènent au scandale. Il en va de même avec la médecine générale, les médecines traditionnelles ridiculisent la médecine conventionnelle.

Depuis quarante ans, la toxicologie française viole la Constitution à répétition car l'article 10 stipule : "La Nation assure à l’individu et à la famille les conditions nécessaires à leur développement". Je rappelle que la première étude après traitement à été publiée en 1980.

Les diagnostics après traitement sont certes imparfaits car ils ne disposent pas de références, mais les protocoles de la filière française de toxicologie sont bien plus défaillants. La filière française nie le corps et elle menace tout spécialiste qui ne nie pas le corps. Les enjeux sont graves car il ne s'agit pas de quelques cas. La défaillance des protocoles validés concerne tous les Français car la défaillance se situe au niveau de la prise de sang. Selon l'Aphp, 20 millions de Français sont porteurs de maladies chroniques. Les malades français se multiplient comme un cancer. Une forte part de ces malades peut être imputée à la défaillance généralisée des analyses biologiques validées (prise de sang, échantillon d'urine, cheveux). Le sang ne représente que 5% du corps. Ce sont donc 95% du corps qui échappent délibérément à la toxicologie française et à la science. Aucune cause n'est traitée par la médecine conventionnelle. Quand une cause est traitée de façon non conventionnelle, l'Ordre des médecins et les Centres antipoison pourchassent les thérapeutes.

L'oncologue Hugues de Thé, Professeur titulaire de la Chaire Oncologie au Collège de France, affirme au Collège de France que le métabolisme supprime les tumeurs cancéreuses.
source : https://www.college-de-france.fr/fr/age ... llulaire-3 à partir de 00:05:26 et https://www.youtube.com/watch?v=kkz5gnvJ8ek. Or, Catherine Picard, Présidente de l'Unadfi (Union nationale des Associations de Défense des Familles et de l’Individu victimes de sectes) déclare que le métabolisme ne guérit pas du cancer. Elle déclare sur une radio à grande écoute que les personnes qui prônent le métabolisme sont sectaires : https://www.youtube.com/watch?v=JyWPQWN2lSM . L'Etat considère donc comme sectaire des personnes qui prônent des techniques que le Collège de France qualifie comme efficace. Ni l'Etat ni les Institutions de santé n'ont donc vérifié l'état de la science. De plus, les vertus du métabolisme sont connues depuis des millénaires.

Le Docteur Melet a affirmé que les amalgames dentaires créaient des intoxications au mercure. En dépit que la littérature scientifique confirme cela, il a donc été pourchassé par l'Ordre des médecins car les institutions médicales françaises ont déclaré que les amalgames ne provoquaient aucune intoxication https://www.non-au-mercure-dentaire.org ... -melet.php. Pervertis par la filière française de toxicologie, l'Etat et les Institutions médicales françaises se sont donc lancés dans une chasse aux sorcières sans vérifier l'état de la science. La Justice est également saisie par l'Ordre des Médecins et l'Etat. A son tour, la Justice est pervertie.

GUERISON DE MALADIES CHRONIQUES
Les témoignages de patients qui prétendent avoir guéri de maladies chroniques (Cancer, autisme, ...) correspondent aux traitements des causes rapportées par le Collège de France. https://www.college-de-france.fr/fr/age ... ss-oxydant à 00:14:55 + https://www.forum-melodie.fr/phpBB3/dow ... hp?id=1056 + voir pièce attachée STRESS OXYDANT.png. Le traitement de l'exposition et des la charge corporelle des pollutions, des infections et du métabolisme aurait guéri du cancer, de l'autisme et d'autres maladies. Or, les causes, les traitements et les témoignages des guéris sont totalement niées par la médecine conventionnelle et par la filière française de toxicologie. Les maladies ne sont donc ni prévenues ni guéries en population générale. Les témoignages rapportent que les médecins de famille ont déclaré à ces patients qu'il n'y avait aucune chance de guérir. La filière nationale de toxicologie n'écoute donc ni la littérature scientifique ni le Collège de France ni les malades qui ont guéri avec des solutions alternatives aux médecins. Les intoxiqués et les personnes qui ont guéri de maladies chroniques par le traitement des causes listées par le Collège de France seront qualifiés comme délirants ou sectaires par l'Ordre des médecins et par l'Etat https://www.conseil-national.medecin.fr ... m_psnc.pdf. Dans ce rapport, l'Ordre des médecins déclare : "Ainsi, on parle de dérive thérapeutique lorsque les médecins font des prescriptions qui ne sont pas conformes aux données acquises de la science" (Page 27). Or, une médecine conventionnelle et une science qui nient 95% du corps ne sont ni de la médecine ni de la science. Pour réutiliser le vocabulaire de l'Ordre des médecins dans son rapport, cela est une dérive charlatanesque et sectaire. Cependant, dans ce cadre, la position de monopole de l'Ordre des médecins lui confère un aspect totalitaire. L'Ordre des médecins n'a ni consulté le Collège de France ni la littérature scientifique. Par exemple, dans son rapport, l'Ordre des médecins conteste les vertus du jeûne sans citer ses sources. Or, une multiplicité d'Ordres des médecins aurait été un garde-fous. La page 35 de ce rapport indique que l'Ordre des médecins souhaite faire cesser les pratiques non conventionnelles. Après avoir négligé la santé chronique dans les pratiques conventionnelles, l'Ordre des médecins impose cette négligence sur le territoire. Ce qui compte, ce n'est pas la bonne santé, c'est que l'Ordre des médecins ne perde pas une miette de son monopole juteux en maximisant son économie. Les patients qui consultent les thérapeutes non conventionnels préfèreraient obtenir des réponses des médecins conventionnels car la consultation et la thérapie sont remboursées. Si les pratiques non conventionnelles connaissent un essor, c'est parce que l'Ordre des médecins nie le Collège de France. Au lieu de pourchasser les thérapeutes qui traitent la charge corporelle, l'Ordre devrait revenir sur les bancs du Collège de France. L'Ordre des médecins sera trop fier pour reconnaître ses erreurs. Il faudra que l'Etat impose l'entrée des médecines traditionnelles dans la médecine conventionnelle.

La littérature scientifique rapporte certes que le traitement des métaux lourds ne guérit pas une majorité d'autistes, mais ce n'est pas une raison pour confisquer le traitement des excès de métaux. Il est sain d'éliminer les métaux lourds même si cela ne guérit pas de la pathologie. Les métaux lourds ont des effets à retardement. Des maladies apparaissent après leur disparition. Les cellules disposent d'un certain nombre de cycles. Les métaux lourds accélèrent le rythme des cycles pour pallier à la disparition des cellules. Puis les métaux lourds sont éliminés au bout de 20 ans mais les cellules dégénèrent car elles sont en fin de cycle. Selon la littérature scientifique, les métaux lourds impactent le développement du fœtus. La maladie est donc gravée dans le marbre au niveau du développement. La médecine conventionnelle devrait donc prévenir et traiter les causes des maladies chroniques dressées par le Collège de France. Ce sont des techniques de santé qui sont toutes confisquées par la filière française de toxicologie car cette dernière n'a pas réalisé son travail de référence. Les urines sont une mixture homogène. Il donc facile d'extraire des analyses et des références des métaux lourds inorganiques. Mais les selles ne sont pas homogènes. Les analyses et les références des particules oxydantes organiques sont donc très aléatoires. Il faut donc traiter sans analyse et sans référence. La science est à 95% défaillante, elle ne peut être un prétexte pour confisquer des techniques de santé (ventouses, Ayurvéda, jeûne). De nombreuses maladies chroniques sont gravées dans le marbre, il est donc pertinent de les prévenir avec le traitement des causes dressées par le Collège de France. De plus, certaines maladies chroniques sont réversibles, il est donc pertinent de traiter les causes dressées par le Collège de France (exposition et charge corporelle). Or, dans les faits, la médecine conventionnelle et expérimentale ne traite uniquement l'exposition.

Dans son PNSE3 (Plan National Santé Environnement) 2015-2019, le Gouvernement à demandé à la STC (Société de Toxicologie Clinique) d'élaborer des recommandations de bonnes pratiques pour la prise en charge des personnes fortement imprégnées au mercure chez les femmes enceintes. Action 21 https://sante.gouv.fr/IMG/pdf/pnse3_v_finale.pdf. La réponse de la STC est placée à la page suivante : https://www.toxicologie-clinique.org/re ... -a-naitre/. Cette réponse de la STC nie le mercure corporel chez la mère et chez le bébé. Elle nie également les diagnostics après traitement. Elle se base sur les analyses validées qui sont faussement rassurantes. La STC ne désimprègne donc pas le corps, elle ne répond donc pas aux demandes du Gouvernement. De plus, après avoir appliqué le protocole défaillant de la STC, le praticien affirmera à tort à la patiente qu'elle sera totalement débarrassée de son mercure. La démarche pertinente est de diagnostiquer les femmes en âge de procréer avec un diagnostic après traitement. De plus, le PNSE3 a été ratifié par le Parlement, la STC a donc trahi le Peuple français. Chez les toxicologues français, l'absence de consensus à l'international prime sur le Parlement. La STC devrait être dissoute sur le champ.

Selon le Gouvernement, les troubles du neuro-développement touchent 5 % de la population, soit environ 35 000 naissances par an, https://handicap.gouv.fr/la-strategie-n ... -2018-2022 .

De plus, il existe des particules oxydantes organiques (pesticides, vaccin au squalène) dont les analyses corporelles n'ont jamais été réalisées. Les particules oxydantes organiques dans le cerveau ne peuvent pas être analysées du vivant du patient avec les protocoles officiels. La filière de toxicologie nie donc l'existence de ces particules oxydantes. Or, l'Ayurveda, les ventouses et le jeûne traitent ces particules. L'Ayurveda est une médecine pratiquée à l'hôpital en Inde. Le traitement consiste en l'ingestion d'une forte quantité d'huile végétale. L'huile circule dans le corps et elle draine les particules oxydantes organiques. Les particules oxydantes se retrouvent dans les émonctoires (intestins,...). Elles sont ensuite éliminées. Les analyses n'ont jamais été réalisées par les filières nationales et internationales de toxicologie. Cependant, faute de références corporelles, ces filières se permettront de déclarer que des composés organiques toxiques sont non toxiques. Quant aux références en population générale, on peut compter sur les filières internationales et nationales de toxicologie pour ne jamais les réaliser. La défaillance de la filière nationale de toxicologie est extrêmement large. Or, cette filière devrait s'intéresser à toutes les particules oxydantes listées par le Collège de France. La seule chose qui compte pour les filières de toxicologie, ce sont ses consensus défaillants quitte à laisser les populations générales en mauvaise santé. Selon ces filières, personne ne doit ni être diagnostiqué ni être guéri hors de leur consensus. Les populations sont donc mises en danger par les filières de toxicologie.

HYPER ELECTROSENSIBILITE (EHS)
Voici un autre exemple. L'Anses a publié un rapport qui totalise 350 pages sur l'électrosensibilité https://www.anses.fr/fr/system/files/AP2011SA0150Ra.pdf. La conclusion du rapport affirme que la littérature scientifique n'a pas trouvé les causes de l'électrosensibilité (sensibilité aux ondes). Le rapport principal indique page 203 : "Il n’existe actuellement aucune étude scientifique sur les concentrations tissulaires des métaux lourds et leur élimination urinaire chez les personnes se déclarant EHS. Les résultats de la seule étude analysée sur les concentrations sanguines en métaux lourds ne sont pas suffisants pour conclure à une association (ou pas) entre une intoxication aux métaux lourds et la survenue de l’EHS". Les métaux lourds dans le corps n'ont donc pas été étudiés et les conclusions se basent sur le sang dans lequel il n'apparait pas de métaux lourds. Cependant, à l'annexe 1 page 100 https://www.anses.fr/fr/system/files/AP ... a-Anx1.pdf, un sociologue qui a enquêté auprès des électrosensibles a témoigné : "Pour entrer dans une démarche de guérison, les EHS doivent s’emparer d’autres diagnostics, comme l’intoxication aux métaux lourds ou la maladie de Lyme." Les électrosensibles se traitent donc par eux-mêmes des métaux lourds et des infections et guérissent de maladies que les agences de santé déclarent comme ne pas savoir guérir. L'ANSES n'écoute donc pas les témoignages des guéris ni des sociologues et néglige officiellement la charge corporelle. De plus, le Collège de France sait provoquer des désagréments aux patients en appliquant des ondes. Pour cela, il affirme qu'il faut intoxiquer les patients avec des métaux lourds https://www.youtube.com/watch?v=mjU7YbO4OOE. Cela prouve que l'ANSES n'écoute pas le Collège de France. L'Anses n'écoute que les articles qui ne mènent à rien.

Il en est de même avec les vaccins au mercure et à l'aluminium. Il en est de même avec les maladies chroniques. La Ministre de la Santé a déclaré au Sénat que toute la chaîne médicale (OMS, Académies françaises de médecine, Haut conseil de santé publique, FDA, Agence Européenne du médicament) a conclu à l'innocuité de l'aluminium dans les vaccins https://www.youtube.com/watch?v=UurxTu3FqVc. Elle ajoute que des centaines de millions de doses ont été injectées dans le monde. Or, sans référence corporelle, il est rigoureusement impossible de conclure à l'innocuité de l'aluminium dans les vaccins. La faille est structurelle, toute la chaine institutionnelle est donc dans l'erreur. Le calcul bénéfice/risque ne prend pas en compte ni les réactions violentes (troubles psy, autisme, mort) ni les maladies chroniques ni l'ensemble des doses de métaux lourds administrés dans tous les vaccins. Avec 20 millions de malades chroniques, la prise en compte de ces facteurs renversera éventuellement le calcul bénéfice risque. Cependant, il est déjà choquant que le traitement de métaux lourds soit interdit. De plus, les métaux lourds peuvent infliger des dégâts irréversibles et être ensuite éliminés par l'organisme. Les diagnostics et les traitements seront donc vains. C'est à dire que le lien entre maladie chronique et métaux lourds ne pourra pas être établi y compris lors des analyses post-mortem. Ces maladies chroniques échapperont donc à la balance bénéfice/risque. Les références ne sont donc pas un indicateur totalement fiable en population générale. De plus, des maladies peuvent apparaître à retardement (Alzheimer) car les tissus auront été précocement usés. Ces maladies devraient donc être intégrées au calcul bénéfice/risque car le corps est quelque chose de dynamique qui ne peut pas être enfermé dans la science et car la survenue des maux surgit à distance de l'injection ou de la pose de l'amalgame. Dans son rapport, la science est le leitmotiv de l'Ordre des médecins mais la science n'est qu'un prétexte pour marcher sur la tête et augmenter les revenus des médecins. "Tous les vices à la mode passent pour vertus", Molière. Pour une parfaite information, il faut prendre en compte l'ensemble des vaccins et des amalgames. La médecine est la plus grande source d'exposition des populations à la toxicité. Suite à mes messages, le Président de la commission vaccins de la HAS m'a informé que tout le mercure de tous les vaccins a été retiré. Ce n'est pas l'Etat qui a pris cette initiative, ce sont les anti-vax qui ont eu gain de cause. Cela indique qu'il faut se battre pour sa santé. Aujourd'hui, seuls 5% du corps sont pris en compte par l'Etat. Il faut donc se battre pour que 100% du corps soit pris en compte dans les études. La seule chose que souhaite l'Etat, c'est ne pas se contredire. 95% du corps seront donc niés tant que personne conteste.

Il existe des témoignages de guérison de l'autisme par le traitement des pollutions et/ou par le traitement des infections et/ou par le traitement du métabolisme. Il existe des témoignages de guérison du cancer par le régime alimentaire, ou par le métabolisme ou par les bains froids. Pour se donner le maximum de chance de guérir d'une maladie chronique, il faut donc traiter toutes les causes listées par le Collège de France. Par exemple, les pesticides créent des inflammations, à leur tour, les inflammations créent le cancer. Les pollutions se traitent par les chélateurs et par l'Ayurveda (ingestion d'huile végétale). Ces techniques traitent également le cerveau. La restriction calorique et les ventouses éliminent également les particules oxydantes. Les infections se traitent par des produits anti micro-organismes (huiles essentielles, médicaments, ...). Le métabolisme se traite par la restriction calorique et par une exposition au froid. Les thermes romaines disposaient de bains froids. L'exposition au froid était donc une politique de santé publique. Le métabolisme est la réunion du catabolisme et de l'anabolisme. Autrement dit, le métabolisme est la réunion du noyau (production de protéines) de la cellule et de la mitochondrie (destruction de chaînes carbonées) de la cellule. Selon le Collège de France, il faut que le noyau et que la mitochondrie discutent. Il faut donc que le noyau soit dans des disposition favorables pour produire des protéines et il faut que les mitochondries soient jeunes et fraîches pour éliminer toutes les chaînes carbonées sinon elle est oxydante. Or, il n'existe pas de diagnostic ni de référence en population générale sur l'état du noyau et sur l'état des mitochondries. Les causes et les remèdes des maladies sont donc niés par la médecine conventionnelle. Les Youtubeurs qui ne nient pas les causes et les remèdes des maladies chroniques connaissent un succès éclatant car la médecine conventionnelle a créé un vide sidéral. Le rejet des médecines traditionnelles par la médecine conventionnelle est une faute lourde car le Collège de France et les malades donnent raison aux médecines traditionnelles. Comme les rémissions des maladies chroniques sont faibles, il est préférable d'investir dans la prévention.

Selon le Collège de France, la restriction calorique et le régime cétogène déplie l'ADN et il permet la transcription des protéines https://www.youtube.com/watch?v=jaejfvXXEg0. La cellule peut enfin répondre aux agressions. Selon la diapositive à l'écran, les neurones survivants à la maladie d'Alzheimer sont protégés par ce régime. Avec le régime cétogène et la restriction calorique, le noyau exprime les gènes anticancer. Le métabolisme traite donc le cancer. Cela permet parfois de réduire les traitements conventionnels toxiques et les chirurgies. Les traitements conventionnels sont onéreux (plusieurs dizaines de milliers d'euros). Le métabolisme est gratuit. Le traitement de toutes les causes des maladies chroniques est peu onéreux mais il nécessite une application chronique. Cela explique le succès des thérapeutes sur Youtube car le terrain favorable aux maladies chroniques n'est pas borné par la médecine conventionnelle. Cela nourri à juste titre la théorie du complot car les médecins favoriseraient la survenue des maladies chroniques. Preuve médicale à l'appui, la restriction calorique a guéri une personne en phase terminale à qui les oncologues ont affirmé qu'elle était condamnée sous 3 mois. Je n'ai jamais trouvé de statistiques décisives sur les remissions. Selon le Docteur Laurent Schwartz, les cancéreux rapportent que le métabolisme améliore mais qu'il est limité. Aucune technique ne peut donc prétendre à évincer une autre. Un cancéreux a mixé les techniques rapportées par le Collège de France (restriction calorique, métabolisme, chimiothérapie, bains froids). Son oncologue était étonné par sa rémission totale. Cependant, son oncologue a affirmé qu'il n'était pas intéressé par les techniques rapportées par le Collège de France. Ce médecin nie la science, il est donc placé dans une dérive thérapeutique susceptible d'être sanctionnée par l'Ordre des médecins. Laurent Schwartz a été exclu de l'APHP pour son audace. Cela indique que le traitement des causes des maladies sera considéré comme un affront à la médecine. Seul le Politique pourra imposer le traitement des causes.

Le cancer parviendrait d'une dysfonction de la mitochondrie (https://www.youtube.com/watch?v=SO1472QvAMA). Mais il existerait une spirale de causes. Faute de mitochondrie fonctionnelle, des molécules de sucre sont cassées en deux morceaux dans la cellule de façon à créer l’énergie dont la cellule a besoin. Cependant, ces deux morceaux de demi-sucre demeurent dans la cellule et s'accumulent. La cellule augmente donc anormalement en taille. Dès que sa taille double, elle se divise. Le cancer est donc un emballement de ce processus. Pour empêcher la cellule de grossir et de se diviser, il convient certes de cesser le sucre. Selon le Collège de France, l'autophagie par restriction calorique élimine les mitochondries défaillantes (https://www.youtube.com/watch?v=QBe49Abm8aU), il aiderait donc à la résolution des cancers dans la durée. De plus, selon le Collège de France, avec des bains froids, il est possible de relancer la biogenèse mitochondriale. Cela permettrait d'opérer une combustion complète du sucre. La cellule n'augmentera donc pas en taille et elle n'aura pas besoin de se diviser y compris en présence de sucre. Avec les bains froids, la chute et la rechute seraient mieux prévenues. Cependant, il n'est pas inutile de traiter les autres catégories de particules oxydantes (métaux lourds, pesticides, angoisses,...) car selon le Collège de France, toutes les particules oxydantes participent au cancer. Avec la restriction calorique, certains patients guérissent et ne font pas de rechute car les causes du cancer sont traitées. Avec la chimiothérapie seule, le Collège de France affirme que les patients font des rechutes car ce traitement ne traite que les symptômes https://www.college-de-france.fr/fr/age ... -moderne-5 à 00:40:20. Tant qu'une seule cause demeure négligée, le risque de récidive n'est pas réduit au minimum. Les maladies chroniques sont une synergie de facteurs, or la médecine conventionnelle est un mille-feuille. C'est donc au médecin généraliste qu'il revient de traiter toutes les causes unes à unes. Pour traiter toutes les causes, il faut combiner de nombreuses médecines (contemporaines et traditionnelles). Par son aspect pluridisciplinaire, seul le Collège de France pourra décortiquer la panoplie de techniques à mettre en œuvre et sélectionner avec justesse les démarches à réaliser pour éliminer toutes les catégories de particules oxydantes.

A la page suivante se trouvent tous les traitements conventionnels de l'Institut du cancer : https://web.archive.org/web/20230306170 ... raitements. Aucun de ces traitements ne traite les causes du cancer dressées par le Collège de France. De plus, dans la rubrique "Traitements Miracles", l'Institut du cancer dissuade d'appliquer tout autre traitement (dont les causes) (https://web.archive.org/web/20230306170 ... s-miracles).

Je rappelle que le Collège de France est la plus haute université française. Les professeurs sont choisis pour leurs travaux et non pour répéter bêtement le consensus. L'anarchie possède une petite part de vérité que l'Etat doit prendre en compte. Or, le Collège de France est missionné pour filtrer les vérités car la science n'est qu'un capharnaüm. Selon le Collège de France, les métaux lourds et la dysfonction mitochondriale font parti des traits communs des maladies neurodégénératives : https://www.youtube.com/watch?v=sT9dcKBQtz4. Or, selon le Collège de France, le bain froid et la diète favorisent l'activité et la biogénèse massive de mitochondries : https://www.youtube.com/watch?v=sHXCojIDrt8. La mitochondrie est le lieu de la production de la chaleur et de la destruction des chaînes carbonées : https://www.youtube.com/watch?v=B4wOK0TSEe8, la mitochondrie régule les protéines. Les bains froids multiplient également les capillaires. Cela rétablit la tension. Cela permet d'amener l'oxygène au plus près des cellules. Cela permet d'accélérer massivement la cicatrisation et la guérison. Une série de bains froids permet de régénérer durablement les tissus. La gamme de maladies améliorées par les bains froids est large (paralysie, arthrose, dépression, SEP, arythmie, ..). Voir les témoignages de guérisons miracles de WIM HOF (https://www.youtube.com/@wimhof1, 2,6 millions d'abonnés). Bien mené, un bain froid ne présente pas d'effets secondaires.

Selon le traité de toxicologie CHELATION THERAPY (page 334) :
"Cependant, il est particulièrement intéressant de noter que des niveaux élevés de cuivre et de fer sont présents dans les plaques bêta-amyloïdes insolubles dans les cerveaux post-mortem de patients souffrant de la maladie d'Alzheimer." Or, les profils toxicologiques validés des Alzheimer ne présentent pas d'excès de fer et de cuivre. Cela illustre l'illusion générale d'une absence d'intoxication par les analyses validées. Les sociétés françaises de toxicologie ont interdit le traitement des métaux. Les Alzheimer ne seront donc jamais traités pour les excès de métaux. Un million de Français sont porteurs de la maladie d'Alzheimer. 20% des Français sont susceptibles de déclencher un Alzheimer. Le nombre de victimes de la filière française de toxicologie est donc extrêmement élevé. Cela suggère que les Français devraient être traités des maladies chroniques avant qu'ils ne tombent malades. Cela est la même démarche qu'un vaccin. Devant l'importance du problème de santé publique, seul le Politique peut agir par-dessus les Agences de santé. Le système de santé est paralysé devant ses lacunes. La dépendance et sa prise en charge seront significativement diminuées par la prévention.

Au Collège de France https://www.youtube.com/watch?v=JjqJ6708src, le Professeur invité Bernard Meunier affirme que les traitements actuels d'Alzheimer sont toxiques et qu'ils n'influent pas sur la course de la maladie mais, selon ce Professeur, il serait impossible de laisser les Alzheimer sans traitement. Les traitements coûtent plusieurs milliers d'euros par mois. Pour très cher et aux frais de l'Etat, on empoisonne des gens gravement malades sans aucun bénéfice. Cela est une dérive thérapeutique susceptible d'être sanctionnée par l'Ordre des médecins et la Cour des comptes devrait également examiner cette situation. La Diapositive à l'écran affiche que le sang n'est ni représentatif des cerveaux sains ni des cerveaux des personnes porteuses de la maladie d'Alzheimer. Le Professeur ajoute que les cerveaux des Alzheimer post-mortem présentent des anomalies graves au niveau du taux de cuivre, de fer et de zinc par rapport à un cerveau sain. Il préconise le traitement des métaux. Or, les filières internationales et nationales de santé n'ont pas relevé que les analyses validées (sang, urine, cheveux) des Alzheimer présentaient des analyses anormales. Ces filières devront donc se dédire. Au vu leurs pratiques extrêmement agressives à l'encontre des médecins qui pratiquent le diagnostic après traitement, ces filières refuseront de se dédire. Elles préfèreront laisser les très nombreux malades sans le traitement des excès de métaux. La Justice devrait statuer sur leur responsabilité. La médecine conventionnelle est perdue devant les maladies chroniques et elle refuse de tenir compte du Collège de France ni de la littérature scientifique. Sa déperdition n'est donc pas justifiée.

Selon le traité de toxicologie CHELATION THERAPY (page 176) :
"Gonzales-Ramirez et al. (1995) ont utilisé le test de mobilisation du DMPS pour étudier l'exposition au mercure chez les dentistes et les techniciens dentaires. L'excrétion urinaire de mercure après provocation par le DMPS était largement supérieure à celle des témoins non exposés au mercure, et plus élevée chez les dentistes. Les excrétions de mercure post-DMPS et pré-DMPS étaient fortement corrélées. La quantité de mercure mobilisée par le DMPS et les résultats des tests neurocomportementaux ont montré une relation inverse significative. Cela indique une valeur potentielle du test dans le diagnostic d'une exposition indésirable au mercure." Ce traité de toxicologie rapporte donc que les analyses après traitement sont un diagnostic potentiel d'une intoxication au mercure. Or, la filière française de toxicologie refuse ce diagnostic.

Selon le traité de toxicologie CHELATION THERAPY (page 175) :
"Aposhian et al. (1992) ont utilisé le test de mobilisation du DMPS pour étudier l'exposition au mercure et la charge systémique en mercure dans des populations non exposées au mercure dans le cadre professionnel. Dans un groupe de volontaires, une corrélation statistiquement significative a été observée entre le "score d'amalgame" (nombre et taille des amalgames dentaires) et l'excrétion urinaire de mercure provoquée par le DMPS." Cependant, les autorités sanitaires françaises ont déclaré que les amalgames ne présentent pas de risque car leurs analyses biologiques sont sans traitement. Or, cet extrait indique que les analyses après traitement en mercure sont corrélées au nombre d'amalgames présents en bouche. Autrement dit, en dépit des déclarations des agences françaises de santé, les amalgames dentaires intoxiquent les porteurs d'amalgames dentaires. Cela fait quarante ans que les études après traitement accusent les amalgames. Les filières de toxicologie n'ont jamais répondu à ces accusations. Leurs seules réponses, c'est d'asséner leurs protocoles défaillants auprès de l'Etat et c'est de dénigrer les protocoles efficaces. Selon le Ministère de la Santé (https://sante.gouv.fr/soins-et-maladies ... erv%C3%A9s) :"A ce jour, aucune étude scientifique rigoureuse n’a pu mettre en évidence d’effets néfastes des obturations par amalgame sur l’état de santé général des patients." Les études après traitement sont donc rigoureusement écartées car les références n'ont pas été établies par les Intuitions en charge de ces références. Or, ce sont ces mêmes Institutions qui écartent les études après traitement. Le doute n'est pas levé car la levée du doute compromet la filière française de toxicologie. L'Etat a relayé la parole de la filière française de toxicologie, l'Etat devra donc se dédire. Seul le Président de la République prendra l'initiative de dédire l'Etat. Un ministre de la santé ne prendra jamais l'initiative de contredire le Ministère de la santé.

Selon le traité de toxicologie CHELATION THERAPY (page 324) :
"Une faible exposition au mercure chez les enfants pourrait résulter de l'ajout de l'agent antiseptique thiomersal dans les vaccins. Le thiomersal est métabolisé en éthylmercure dans le corps humain. On a prétendu que ce mercure, même à des doses infimes, pouvait entraîner l'autisme, une maladie grave. Cette hypothèse a conduit à proposer la chélation du mercure par le DMPS ou le DMSA comme thérapie de l'autisme. Cependant, aucun article évalué par des pairs n'a fait état d'un excès de mercure dans le sang, l'urine ou les cheveux de sujets souffrant d'autisme. Des examens critiques ont conclu que le soutien scientifique de la chélation du mercure dans l'autisme est insuffisant." Cet extrait illustre que l'autisme n'a pas encore fait l'objet d'étude de la charge corporelle en mercure. Selon cet extrait, les scientifiques contestent les analyses biologiques validées. Ils déclarent que ces études sont insuffisantes pour exprimer un avis définitif. Ils ajoutent que les études de la charge corporelle par le traitement des métaux lourds font défaut. Or, les parents qui déclarent que le vaccin a rendu leur enfant autiste sont contestés par la médecine conventionnelle. Cependant, scientifiquement et en l'état de la littérature, lorsqu'il vaccine un enfant avec du mercure ou de l'aluminium, un médecin doit officiellement annoncer aux parents qu'il ne sait pas ce qu'il fait.

Or, les sociétés françaises de toxicologie déclarent : "Contrairement à ce qu’affirment certaines publications para-scientifiques (et avec elles, certains praticiens), il n’y a pas de preuve suffisante d’une association causale entre une contamination par un élément métallique et certaines affections, telles que l’autisme, la sclérose en plaques, la maladie de Parkinson, le syndrome de fatigue chronique, la goutte, les maladies cardiovasculaires, la dégénérescence maculaire ou la myofascite à macrophages." Source : https://www.forum-melodie.fr/phpBB3/dow ... hp?id=1017. Devant l'absence de preuve, les sociétés françaises de toxicologie interdisent le traitement des métaux lourds sur le territoire français. Or, la méthodologie de la confection de la preuve est officiellement défaillante. Les Sociétés françaises de toxicologie dissimulent donc que les études officielles sur lesquelles elles basent leurs conclusions sont défaillantes. La filière française de toxicologie est arc boutée sur ces diagnostics validés et défaillants. Elle dissimule donc que ses démarches et ses conclusions sont lourdement contestées par les scientifiques dans la littérature. La filière française de toxicologie refuse de prendre en compte le corps de toute part :Gouvernement, scientifiques, littérature scientifique, Collège de France, patients, Peuple français. Elle est placée dans une dérive sectaire susceptible d'être sanctionnée par l'Ordre des médecins. La science est devenue un prétexte pour augmenter systématiquement l'activité économique des médecins. La filière française de toxicologie a adopté une politique de communication qui veut empêcher que les bonnes questions soient posées car ces questions contestent le consensus général défaillant passé entre les agences nationales et internationales de santé. La médecine exploite au maximum la confiance que lui accorde l'Etat et les Français.

De plus, selon le traité de toxicologie CHELATION THERAPY (pages 74-75) :
"Un test de provocation CaNa2-EDTA a également été utilisé pour estimer la charge corporelle de plomb. Une dose standard de CaNa2-EDTA augmente l'excrétion urinaire du plomb stocké. Cependant, les valeurs de référence ne sont pas définies pour ce test, et la justification de l'utilisation du test EDTA a été remise en question." L'évaluation de la charge corporelle est donc contestée pour un motif administratif : les filières nationales et internationales de toxicologie n'ont pas fait le travail de référence. Selon cet extrait, le fait de rechercher des métaux lourds dans le corps est contesté. Les métaux lourds sont donc un tabou dans les filières de toxicologie. Le consensus international des Agences de santé consiste donc à se reporter aveuglément sur des analyses biologiques sans traitement quitte à sacrifier l'étude de la charge corporelle et quitte à sacrifier la santé des populations.

Aucune population générale, ni en bonne santé ni souffrant de maladies chroniques n'a encore fait l'objet d'étude de la charge corporelle ni en mercure, ni de tout autre métal, ni de tout autre particule oxydante organique ni de toute pollution. Le défaut de charges corporelles est extrêmement large. De plus, selon l'APHP, 20 millions de Français sont porteurs de maladies chroniques. Ce nombre très élevé de patients est donc peut-être partiellement explicable par la défaillance des prises de sang ou des échantillons d'urine sans traitement. Tout le monde croit à tord que les toxicologues examinent l'entièreté du corps. Or, dans les faits, les Centres antipoison imposent à l'ensemble de filière que seuls 5% non représentatifs soient pris en compte.

La filière française de toxicologie est enferrée dans le mensonge. De plus, elle s'est lancée dans une chasse aux sorcières. De plus, elle a perverti l'Etat et la Justice. Il est donc impossible de revenir en arrière. Au contact des patients, la mission des Centres antipoison était de prévenir la défaillance des filières internationales de santé. De plus, la filière française de toxicologie empêchera de réaliser les références des analyses après traitement car ces références révéleront que les amalgames dentaires intoxiquent. Avec ces références, la filière française de toxicologie devra se dédire. Avec ces références, il ne sera plus possible de faire confiance dans la filière française de toxicologie. Pour couvrir leur défaillance, elle empêchera le progrès. Elle continuera donc son travail de menaces publiques envers les médecins qui traitent les malades. Et elle continuera à nier la littérature scientifique. Pour sortir de l'impasse, il faut que le Politique force la filière française de toxicologie à faire son travail de référence. De plus, il est extrêmement choquant que la filière de toxicologie confisque le traitement des métaux lourds sur le territoire français. Le Ministère de la Santé devrait ouvrir des Centres de soins qui traitent toutes les particules oxydantes même s'il n'existe pas de références en population générale. Les métaux lourds usent les tissus. Les métaux lourds sont éventuellement éliminés. Dix ans après, les tissus dégénèrent. Il est très difficile de revenir en arrière sur la dégénérescence. Quelqu'un qui a des excès de métaux doit être traité même s'il n'a pas de symptômes car les excès de métaux ont des effets à retardement (cancer, maladies neuro-dégénératives, arthrose, vieillissement). Il existe une alternative aux références, c'est de traiter tant que les analyses après traitement rejoignent les valeurs sans traitement, cela indique que les molécules ont traité ce qu'elles pouvaient traiter.

Les études post-traitement exprimeront une valeur dans une population saine. Cette valeur sera la référence. Chez une personne malade, la valeur sera comparée à la référence. Et on traitera jusqu'à ce que la valeur retombe à la valeur de référence. Comme la référence n'a pas été établie, les agences sanitaires occidentales ont interdit le traitement. Les agences sanitaires occidentales refuseront de mener ces études car elles démontreront que les analyses officielles actuelles sont faussées. Il faut que le Président demande à ce que ces analyses soient réalisées.

Selon les Sociétés françaises de toxicologie, le traitement des métaux lourds provoquent de rares incidents de traitement. Les sociétés françaises de toxicologie jouent donc sur la peur des patients. Or, selon l'Association allemande de toxicologie KMT, ses protocoles sont sans incidents, voir FAQ n°2 https://www.metallausleitung.de/f%C3%BCr-patienten/faq/. Contrairement à ce qu'affirment les sociétés françaises de toxicologie, il est donc possible de traiter en toute sérénité. Les protocoles de traitement des Centres antipoison français sont donc également défaillants.

J'ai été traité en milieu médical par un médecin qui été formé aux Etats-Unis et qui travaillait en France dans la clandestinité. Le médecin injectait par intraveineuse une ampoule de 5 cl tous les mois. Seul ce conditionnement est disponible sur le marché. Le principe actif était donc fortement concentré dans un petit volume. De très faibles soulagement de mes symptômes (maux de tête) sont apparus après six mois de traitement. Je me voyais donc guéri en plusieurs décennies. De plus, le médecin a affirmé que les patients déclaraient qu'ils leur restaient des symptômes après que les analyses étaient devenues négatives car le traitement ne circule pas dans le cerveau. J'ai donc acheté des traitements en poudre sur internet dont le coût s'élevait à 30 euros. Je les ai mixés à une grande quantité de l'eau et à de l'huile. La dilution dans un fort volume d'eau est le protocole en vigueur chez les herboristeries. J'ai guéri de l'entièreté mon éléctrosensibilité et de mes maux de tête que je portais depuis 15 ans en 3 mois. La forte dilution percole profondément dans le cerveau comme du vin. Cela n'est pas le cas des procédés des médecins. La dose fortement concentrée ne percole pas dans le corps, elle est donc peu efficace. Les métaux lourds sont disposés en nuage, les principes actifs doivent donc être administrés en nuage. Les modes d'administration en cours dans le milieu médical ont donc des progrès significatifs à réaliser. Mon protocole complet est disponible à la page suivante : https://www.forum-melodie.fr/phpBB3/vie ... 14#p121814. J'ai ajouté une synthèse du traitement de toutes les catégories de particules oxydantes. Avec mon protocole, la complexité des traitements des métaux lourds est significativement simplifiée. Mon protocole est cent fois plus efficace que les protocoles pratiqués chez les médecins. Avec mon protocole, les références seront cent fois plus fines. De plus, il est possible de fractionner les doses avec une prise quotidienne à domicile. Cela permettra d'éviter les accidents cardiaques par décalcification liés aux fortes doses mensuelles fortement concentrées pratiquées en milieu médical et brandies par les Centres antipoison pour faire peur aux malades. Il faudrait inventer un cachet effervescent à acheter en pharmacie sur prescription. Un cachet effervescent est à cheval sur l'industrie et l'herboristerie. Au domicile, il n'est pas nécessaire de déranger un médecin des dizaines ou une centaine de fois pour faire une intraveineuse. Cela simplifie considérablement la prise en charge d'un patient. A jeun, les principes actifs dilués dans l'eau ou de l'huile pénètrent directement dans le sang. Une intraveineuse n'est donc pas indispensable. Les os stockent les métaux lourds mais le traitement ne pénètre pas dans les os. Après un premier cycle de traitements, les os déstockent lentement leurs métaux lourds et ré-intoxiquent les tissus mous. Il faudra donc répéter annuellement les campagnes de traitement. Le traitement est donc une labeur. C'est pourquoi une intoxication chronique devrait être traitée par un médecin généraliste. Les intoxications aiguës demeurent du ressort du Centre antipoison car il s'agit d'interventions spécifiques et ponctuelles. Je rappelle que mon traité est disponible gratuitement, le lien est donné en début de message.

Selon le traité de toxicologie CHELATION THERAPY (page 35), les traitements sont sensibles à l'acidité. Après avoir capté des métaux lourds dans le corps, ils relarguent les métaux lourds en masse dans un organe acide (reins). L'organe est donc lourdement et durablement blessé. En milieu alcalin, les traitements captent et fixent les métaux lourds. L'acidité crée donc des incidents insidieux de traitement. Ces incidents sont rares mais ils sont minimisés par les médecins. Avec mon protocole, il est possible d'ajouter une forte dose de bicarbonate de soude alimentaire (pH8) à la solution à boire. Cela permet de baisser le risque d'incident et d'augmenter l'efficacité du traitement. J'ai exprimé toutes mes préconisations aux incidents au chapitre 2.3 de mon protocole. Avec mon protocole, les Centres antipoison français ne pourront plus faire peur aux malades. L'urine du matin est acide (pH 5.5) car les acidités migrent la nuit jusqu'à la vessie. L'estomac en digestion est également acide, il faut donc prendre le traitement a jeun. Le corps est donc le plus alcalin après la première urine du matin. Il est donc préférable de prendre le traitement à ce moment-là.

Selon les experts miniers invités au Collège de France, il existe plusieurs dizaines de paramètres qui régissent les interactions entre atomes https://www.college-de-france.fr/fr/age ... xtractives. Ces experts miniers sont missionnés par l'Etat. Ils gèrent la stabilité des mines abandonnées en France afin d'éviter la propagation des métaux lourds dans l'environnement par le ruissellement en jetant de la chaux (pH13) sur les terrils. Les pluies acides libèrent les métaux lourds. Il semble que le pH soit un paramètre dominant sur les autres paramètres. Mais, ces experts devraient être consultés par les toxicologues pour consolider finement l'efficacité et la sécurité des traitements des métaux lourds.

Les Allemands ont installé une industrie des traitements des métaux. Cent médecins exercent sur le territoire allemand https://www.metallausleitung.de/. Le Centre antipoison belge m'a répondu que les intoxications chroniques étaient un problème complexe sans solution simple. Chez les Allemands, une intoxication chronique est un problème simple avec un traitement simple.

Depuis 2021, j'ai déjà contacté 10.000 responsables. J'ai reçu plusieurs centaines de réponses. Les Sociétés françaises et américaines de toxicologie ne répondent pas. Les Centres antipoison français et américains ne répondent pas. L'Anses et Santé Publique France ont accusé réception de mes textes mais elles n'ont pas donné de plan d'action. La Direction Générale de la Santé (DGS) a accusé réception de mes textes. Elle a promis de répondre mais elle ne m'a pas répondu en dépit de mes relances. La Directrice d'une Agence française de santé m'a répondu. Elle laisse entendre qu'elle se contente des analyses validées internationalement. Je réponds que la validation est une cancer de la pensée qui a éliminé le Collège de France. J'ai contacté l'Etude ComPare de l'APHP sur 50.000 malades de maladies chroniques. Elle m'a répondu que les causes des maladies chroniques étaient hors du champ de l'étude. J'ai contacté les Agences américaines de Santé qui établissent les références que le reste du monde récupère. Le Directeur général du NIH (National Institute of Health, 20.000 salariés) a répondu longuement sur lettre a en-tête (https://www.forum-depression.com/downlo ... p?id=10669). La Direction générale du CDC (Centre de contrôle des maladies, 20.000 salariés) a écrit que je soulevais un problème important. Je rappelle qu'il est interdit de mentir aux Etats-Unis, les Agences américaines de santé plaident donc coupables devant l'absence de références corporelles.

Le taux sanguin officiel du plomb (sans traitement) est extrêmement élevé, 50 µg/L. Ce taux n'est pas issu des populations générales, mais il est issu d'un consensus. Les consensus sont donc établis pour déroger à la science et pour se débarrasser de la majorité des intoxications. Selon l'Inserm, : https://web.archive.org/web/20240106192 ... aturnisme/ : "Il s’agit d’un seuil d’intervention, déclenchant une déclaration obligatoire auprès des autorités sanitaires, une enquête environnementale et des mesures de protection. Mais, des concentrations bien plus faibles sont largement répandues et délétères, en particulier chez les enfants. ". Les filières de toxicologie trichent donc dans tous les coins. L'Etat devra donc appliquer un contrôle qualité préventif à chaque rouage de la régularisation. Je rappelle que les références doivent être établies dans une population en bonne santé qui n'a jamais été exposées aux particules oxydantes. Les personnes fumeuses, porteuses d'amalgames et vaccinées devront toutes être exclues du processus de confection des références. Pour retrouver la santé, les consensus devront tous être annulés. A défaut, les analyses biologiques devraient annoncer la valeur en population générale et le consensus afin de permettre aux analysés de juger le rôle des filières de toxicologie. Si les médecins généralistes traitaient les intoxications, les Agences de santé ne seraient pas tentées de manipuler les références.

Les laboratoires allemands proposent des analyses biologiques à 100 euros environ pour 30 métaux. Les laboratoires français proposent des analyses métal par métal entre 10 et 50 euros l’unité. Le prix de 30 métaux dans un laboratoire français s'élève donc à 1500 euros environ. Les laboratoires allemands sont donc bien plus économiques et pertinents.

Un témoignage rapporte qu'une personne a été refusée plusieurs fois par le service de toxicologie de l'hôpital car elle déclarait naïvement que son intoxication parvenait des amalgames. Elle n'a été prise en charge qu'après avoir tu sa conviction. Je rappelle que le Serment d'Hippocrate interdit de refuser un patient pour ses convictions. Dans cette affaire, tous les garde-fous ont rompu https://www.radiofrance.fr/francecultur ... ns-1345293 à partir de 00:25:00.

Placés entre la théorie et la pratique, les Centres antipoison ont exécuté la sale besogne avec zèle. Les intoxiqués chroniques ont été refoulés en masse. Les porteurs d'amalgames ont été refoulés en masse et ils sont exclus des populations à risque. Les intoxiqués sont redirigés vers la psy par les Centres antipoison. Les Centres antipoison ont donc exprimé des faux diagnostics en masse. Les médecins qui traitent ont été menacés par les Centres antipoison. Et la prévention a été confisquée par les Centres antipoison en dépit qu'ils sont en charge de la prévention. Les Centres antipoison sont officiellement au début de la chaine d'alerte https://web.archive.org/web/20240106194 ... ovigilance. Les Centres antipoison se sont donc voués à étouffer les alertes. Voici la question du Député Nicolin : "M. Yves Nicolin interroge Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur l'intoxication chronique aux métaux lourds qui, contrairement à la forme aiguë, n'est pas reconnue en France. Phénomène de plus en plus fréquent, l'intoxication aux métaux lourds se manifeste par une cohorte de pathologies en recrudescence. Dans la plupart des cas, le lien entre toxiques et morbidité est insoupçonné et les victimes, ni diagnostiquées ni soignées, errent dans le monde médical, avec un coût dramatique pour la société. L'effet cumulatif des métaux toxiques à faibles doses se conjugue au mélange des nombreux toxiques environnementaux qui s'accumulent au fil du temps dans nos cellules et se potentialisent les uns les autres. Si l'on persiste à écarter ces deux paramètres, la France risque fort de détenir encore longtemps son record d'utilisation de psychotropes et du nombre de maladies étiquetées « psy ». Dans ce contexte, il aimerait savoir pourquoi ces intoxications chroniques ne sont pas encore reconnues officiellement et si, par ailleurs, le remboursement partiel ou total des soins n'est pas envisageable à terme." http://questions.assemblee-nationale.fr ... 6233QE.htm. La réponse de la Ministre revoie vers le PNSE3 qui ne dénoue pas la situation.

GRANDS AUTEURS
Les médecins conventionnels refusent systématiquement toute technique efficace qui ne nécessite pas le recours d'un médecins. De plus, l'Etat a donné un blanc seing aux médecins. 95% du corps est donc nié par l'Etat et par la médecine. Pour réduire ses dépenses, l'Etat devra imposer que 100% du corps soit pris en compte. De plus, l'Etat devrait acquérir les compétences pour critiquer le discours des médecins. Selon Victor HUGO, "Une science tout entière peut tomber en somnambulisme. La médecine est particulièrement sujette à cet accident. (...) Cependant mourait qui voulait." https://fr.wikisource.org/wiki/Proses_p ... ium_somnii. La Contestation se retrouve donc chez les grands auteurs (Molière, Hugo, Shakespeare). En interdisant le traitement des causes des maladies chroniques, les médecins ont pris la santé des Français en otage. L'Etat n'écoute jamais les scientifiques qui contestent les procédures conventionnelles. Dans le Cid de Corneille, la proximité augmente la trahison, les Psy ont donc été donc été plus lourdement trahis par les toxicologues que les Français.




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REPONSES

Messagede Sophocle » Ven 29 Déc 2023 20:58

Le DGS a écrit:Monsieur,
J’accuse bonne réception de votre message et vous en remercie.
Nous allons prendre connaissance avec attention de ces éléments et les faire traiter par les services compétents.
Cordialement,
Directeur général de la santé
Ministère de la santé et de la prévention
14, avenue Duquesne – 75007 Paris
Le ministère de la Santé a déclaré que les amalgames ne provoquaient pas d'intoxication : https://sante.gouv.fr/soins-et-maladies ... erv%C3%A9s.



Un toxicologue a écrit:Pourriez-vous me retirer de vos listings d'envoi de mails svp.
J'ai lu avec attention vos lignes très complètes et détaillées. Je prends note de la défaillance de la filière Toxicologie en France dont je fais partie, et ne manquerai pas d'avertir les urgentistes et reanimateurs avec qui je travaille que l'ensemble de notre profession est défaillante, ainsi que le fait que nos analyses ne concourent probablement pas à la prise en charge toxicologique de leurs patients en urgence vitale. Nos laboratoires accrédités et sous surveillance constante de la qualité de nos analyses et résultats ne sont probablement pas utiles.


Le Centre antipoison Belge a écrit:Nous accusons bonne réception de votre lettre pour laquelle nous vous remercions et l'avons étudiée en détail. Mme Descamps ne travaille plus dans notre centre.
Malheureusement, en tant qu'institution belge, nous n’exerçons aucune influence sur la politique française concernant les intoxications aux métaux lourds et leur traitement. Nous pensons que l'exposition chronique aux métaux lourds est un problème extrêmement complexe pour lequel il n'existe pas de solutions simples. C'est pourquoi nous nous engageons pleinement en faveur de la prévention dans la mesure du possible.


Un ex Président des sociétés françaises de toxicologie a écrit:Votre plaidoyer n'apporte pas de réponse de ma part,


Un membre de l'EFSA a écrit:I acknowledge the receipt of your mail, which was in my junk mail, and only today I saw it. All my apologies. I will transmit this information to the colleagues at the European Commission for the follow up.



L'Elysée a écrit:Les équipes de la correspondance du Président de la République ont bien pris en charge votre message. Comme chacun des nombreux courriers qui lui sont adressés chaque année, votre message sera lu avec la meilleure attention, afin d’informer le Président de la République et son cabinet. S’il est possible de répondre à votre attente, un courrier vous sera adressé dans un délai raisonnable. Sans attendre, je vous invite à suivre l’actualité du Président de la République sur le site http://www.elysee.fr et les réseaux sociaux.


Une association d'accidentés des vaccins a écrit:Merci beaucoup pour votre correspondance et analyse sur la défaillance de la filière française de toxicologie et pour votre exposé technique.
L'objet de l'association ne prend pas en compte ces thématiques et nous ne pouvons pas collectivement plus vous aider dans votre démarche.Merci de nous avoir informés, Cela est cependant important.


La direction générale du travail a écrit:Je vous remercie pour votre saisine qui a retenue toute notre attention : après analyse par mes services, il nous semble que la problématique soulevée relève davantage d’un enjeu de santé publique. C’est la raison pour laquelle nous avons transmis vos éléments à la direction générale de la santé.
Chef du bureau des risques chimiques, physiques, biologiques et des maladies professionnelles (CT2)
Sous-direction des conditions de travail


Une asso d'EHS a écrit:Je vous remercie pour toutes ces informations très intéressantes.
Priartem n'est sans doute pas l'association la plus appropriée pour pouvoir agir sur ces questions.
L'intoxication par les métaux est une des hypothèses concernant l'EHS parmi beaucoup d'autres et nous ne sommes donc pas spécialistes en la matière.
Avez-vous pris attache avec nos associations partenaires Non au mercure dentaire, E3M, l'Association Toxicologie-Chimie (ATC) ou encore SFVS qui seront sans doute plus à même d'agir?
Sinon, l'idée que m'inspire le problème que vous soulevez serait d'essayer d'obtenir une saisine de l'ANSES (a priori, je pense que c'est cette agence qui serait compétente en la matière) sur la pertinence des tests/protocoles à pratiquer pour l'étude de la toxicologie des métaux et la définition de références. En effet, vous écrivez : "les taux inquiétants de métaux lourds exprimés par les analyses après traitement sont donc systématiquement écartés par les Agences de santé en population générale". Le fait d'écarter ces résultats fait-il l'objet d'une argumentation et si oui, y-a-t-il moyen de la contester efficacement ?
pour obtenir une saisine de l'ANSES : soit écrire à l'ANSES de manière circonstanciée et précise (en lui demandant de s'autosaisir), soit en écrivant à la DGS ou une autre tutelle de l'ANSES, soit en passant par une association (ou autre) membre du Conseil d'admnistration de l'ANSES ou agréee.
Par ailleurs, je vous signale que l'équipe Foray de l'INSERM de Lyon travaille aussi sur les métaux, je vous invite à prendre connaissance de ses travaux.
Par ex : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34680095/
Voir aussi un article de vulgarisation ici : https://theconversation.com/alzheimer-u ... ent-214335


La Directrice générale du département santé de la Commission européenne a écrit:Thank you for the message addressed to Ms. X and the annexed documents which we read with great care. I will reply on her behalf for the aspects related to medical devices, as they are in my portfolio.

We are well aware of the debate surrounding mercury in dental amalgam and for this reason we have requested our Scientific Committee on Emerging and Newly Identified Health Risks (SCENIHR) to provide an updated opinion on the matter. The SCENIHR concluded that the evidence available at that time did not preclude the use of dental amalgam. However, the choice of material is to be based on patient characteristics such as primary or permanent teeth, pregnancy, the presence of allergies to mercury or other components of restorative materials, and the presence of impaired renal clearance.

An overview of the opinion and the full text are available on the relevant Commission website.

The Mercury Regulation (EU) 2017/852 establishes measures and conditions concerning the manufacture and use of mercury, mercury compounds and mixtures of mercury in order to ensure a high level of protection of human health and the environment from anthropogenic emissions and releases of mercury and mercury compounds. Among those measures, Article 10 sets out the requirements for dental amalgam. Furthermore, the European Commission put further the proposal COM(2023)395 of 14/07/2023 as an amendment of the Mercury Regulation (EU) 2017/852 that covers mostly environmental protection but also addresses the human health impact due to the presence of mercury in the environment or its use. This proposal further restricts the use of dental amalgam, along with its manufacturing and export on and from the territory of the Union and of the European Economic Area.

On the wider context of the health impact of heavy metals and the delivery of the appropriate medical treatment in case of heavy metal intoxication, I am afraid I cannot provide further elements given that the delivery of health falls under the responsibility of the Member States. However, I can advise you to contact the responsible competent authorities in France for more support pertaining to your specific needs.

Kind regards,
SANTE MED DEV Secretariat
On behalf of Head of Unit

European Commission
Directorate-General for Health and Food Safety (DG SANTE)
Unit D.3 - Medical devicesF101 08/58
1049 Brussels, Belgium


Une fondation pour guérir du cancer a écrit:Je vous remercie pour votre communication.
Bien que très documentée, elle excède cependant les objectifs de la fondation.
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Messagede Sophocle » Ven 26 Jan 2024 13:55



j'ai adressé le message suivant à des milliers de responsables américains et internationaux.


The causes of cancer outlined by the Collège de France are attached.
Yet these causes are neither treated by oncologists nor by general medicine.
The same applies to all chronic diseases (Alzheimer's, etc.).
This is somewhat anomalous.

Official diagnoses are based on blood tests. But blood is not representative of the body.

The alternative is to administer the heavy metal treatment and analyze the urine 1h30 later. According to the French Toxicology Societies, metals appear in all those analyzed.

Poison treatments are banned because Western health agencies have not carried out general population studies. These treatments are not banned for scientific or medical reasons, they are only banned for administrative reasons.

It seems to me that all official diagnoses of poisoning are faulty. This could explain the lack of treatment for many intoxicated people.

I have written a plea for post-treatment analyses to be taken into account. This plea is in French, but Internet browsers are now equipped with automatic translators. https://www.forum-melodie.fr/phpBB3/vie ... 15#p123009

While we wait for doctors to treat intoxication, I have also written a treatise on home detoxification for all types of intoxication (organic and inorganic) at 100%. My treatise is available free of charge. https://www.forum-melodie.fr/phpBB3/vie ... 14#p121814

I submitted my hypothesis to thousands of managers. I received 200 responses. The NIH director's response is attached.

Respectfully,


ATTACHMENTS:
- NIH RESPONSE, The text I submitted to the NIH is available on the following page: https://www.forum-melodie.fr/phpBB3/vie ... 35#p120147
- OXIDATIVE STRESS Collège de France




un membre du Department of Environmental Health - Boston University a écrit:Bonsoir, M. (Sophocle)
Thank you for your interesting correspondence. I am now 81 years old and have completely retired. I live half time in your country, in La France Profounde (le Perigord) and I am not at all active and see very few people, much less other scientists.
Good luck in your efforts.
Au revoir.


Une Directrice de la FDA a écrit:Thank you for writing. I read the NIH response and agree with it fully.


Une asso qui défend les soldats revenus intoxiqués de la Guerre du Golfe a écrit:Thank you so much for the information I will definitely take a look at
them



J'attends d'autres réponses, je les consigneraient ici.
J'ai également écrit au Président des Etats-Unis, mais je n'ai pas réponse pour l'instant.


Military-Veterans Advocacy a écrit:Thank you for this information. Very interesting. A lot to digest.




Le département américain des anciens combattants a écrit:Good afternoon,
The Office of Client Relations is in receipt of your January 25, 2024, email to The Secretary, the Deputy Secretary, and Mr. (X), Chief Veterans Experience Officer. Your inquiry has been forwarded to the Veterans Health Administration (VHA) Leadership for review. Thank you for your communication.
**Please note that this email address does not accept replies.
Office of the Secretary | Office of Client Relations
Department of Veterans Affairs
810 Vermont Ave., NW
Washington, DC 20420


Une directrice de la FDA a écrit:Hello Mr. (Sophocle),
Thank you for your email to Ms. (X), FDA Center for Veterinary Medicine (CVM), we appreciate the information you provided. We will contact you should we have any additional questions.
Sincerely,
AskCVM
Dernière édition par Sophocle le Lun 29 Jan 2024 23:23, édité 1 fois.
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2 EME PLAINTE

Messagede Sophocle » Sam 27 Jan 2024 13:21

Le 27 novembre 2023, le Tribunal de Justice à tamponné mon RAR avec ma seconde plainte.
à ce jour, je n'ai pas reçu de récépissé de dépôt de plainte.
Or, lors de ma première plainte, j'ai reçu un récépissé un mois après avoir déposé plainte.
Cela laisse entendre que la Justice a enterré ma seconde plainte.
Dans ma première plainte, j'accusais les Centres antipoison de ne pas m'avoir pris en charge.
Dans ma seconde plainte, j'accuse les analyses sanguines d'être défaillantes, cela est un scandale sanitaire.

J'ai été auditionné 2 fois par la Justice dans le cadre de ma première plainte.
Les auditions ont duré 1h30 environ a chaque fois.

Lors de la deuxième audition de la première plainte, j'ai affirmé que les prises de sang n'étaient pas fiables et que les études toxicologiques sur les amalgames dentaires étaient toutes frappées de nullités.
Un grand silence a régné pendant dix secondes. Le médecin qui était présent et le Juge n'ont pas répondu.
Cela suggère que la Justice et que la médecine ne souhaite pas aborder ce sujet.

J'accuse donc la Justice de laisser la France empoisonner les Français.


Voici le texte de la seconde plainte :
Madame ou Monsieur le Doyen des Juges d'instruction,
j'ai l'honneur d'exposer les faits suivants :

Les Agences de santé établissent exclusivement des études de métaux lourds en population générale avec des analyses biologiques validées (prise de sang, échantillon d'urine, cheveux, sans traitement). Cette validation est un large consensus entre agences internationales de santé. Ces études se veulent strictement limitées à l'exposition aux métaux et ces études n'indiquent jamais qu'elles traitent la charge corporelle. Cependant, ces études sont considérées comme absolues en matière de vérité biologique.

Or,
une étude scientifique dont le titre est "Evaluation of the mercury exposure of dental amalgam patients by the Mercury Triple Test" (jointe à ce courrier) sur 2000 personnes portant des amalgames dentaires indique que les analyses d'urine en mercure sont certes en-deçà de la population générale mais cette étude rapporte également que les analyses d'urine après traitement du mercure sont 12 fois supérieures en moyenne par rapport à la référence sans traitement. La référence sans traitement est à 4 microgrammes de mercure par gramme de créatinine, les analyses sans traitement sont à 1,7 microgrammes de mercure par gramme de créatinine en moyenne, les analyses après traitement sont à 47 microgrammes de mercure par gramme de créatinine en moyenne. Mais il existe de fortes disparités entre individus. Cette étude est disponible gratuitement à la page suivante : https://oem.bmj.com/content/61/6/535. Les analyses biologiques validées ne représentent donc absolument pas la charge corporelle car des métaux apparaissent en excès aux analyses biologiques après traitement pour une population générale exposée au mercure. Les analyses validées (prise de sang, échantillon d'urine sans traitement) sous évaluent donc systématiquement la charge corporelle car le sang est filtré en permanence par les reins, le foie, les intestins, les poumons et la peau. Les métaux lourds n'ont donc pas le temps de s'accumuler dans le sang ni dans l'urine. Les valeurs relevées sont donc très faibles.

Contrairement au sang, les métaux lourds s'accumulent dans le cerveau et dans d'autres organes (os, foie, muscles, articulations, ...). Or, les maladies chroniques (Alzheimer, cancers, Parkinson, sclérose en plaque, autisme, ...) et les dispositifs médicaux toxiques (amalgames dentaires, vaccin à l'aluminium, ...) sont uniquement examinés au regard des analyses biologiques validées (sang, urine, sans traitement) par les Agences de santé. Les enquêtes publiques des Agences de santé ne sont donc pas pertinentes pour déceler les personnes intoxiquées de façon chronique au niveau des organes. Les intoxications corporelles ne sont donc jamais décelées ni chez les patients porteurs de maladies chroniques ni chez les personnes faisant l'objet d'un dispositif médical toxique. Ces patients sont donc ni diagnostiqués ni traités. Leur intoxication sévit donc durablement. Leurs symptômes s'aggravent donc avec le temps.

Les prises de sang et les échantillons d'urine sont donc totalement inopérants pour dresser un profil toxicologique fiable. Or, les enquêtes publiques pour établir un profil toxicologique d'une maladie chroniques sont exclusivement établies à partir de prise de sang et d'échantillons d'urine car ces analyses sont validées par un consensus entre agences internationales de santé. Les profils toxicologies officiels des personnes portant la maladie de Parkinson et de tant d'autres maladies chroniques (Sclérose en plaque, autisme, Alzheimer, ...) sont donc faux car ils ne représentent pas la charge corporelle. Il en est de même avec les personnes faisant l'objet d'un dispositif médical toxique (Vaccin à l'aluminium, ...). Les profils toxicologiques officiels sous-estiment donc significativement la véritable charge corporelle. La véritable charge en métaux (dont les métaux lourds) a donc toujours échappé aux hypothèses d'intoxication. Actuellement, la majorité des maladies chroniques (Alzheimer, Parkinson, Autisme, maladie de Crohn, ...) peuvent donc trouver une résolution en étudiant la véritable charge corporelle en métaux.

Or, le traitement des métaux explore le corps au-delà du sang. Il décèle donc des métaux stockés dans le corps qui n'apparaissent pas aux analyses biologiques validées. Cependant, les analyses après traitement décèlent certes des excès de stocks de métaux mais elles ne donnent pas une représentation fiable de la charge corporelle. Des personnes avec un fort taux après traitement peuvent être sans symptômes et des patients avec des symptômes sévères peuvent présenter des taux après traitement modérés. Pour obtenir des charges corporelles fiables, il faut dissoudre un corps post-mortem. Comme cela n'est pas éthiquement faisable, les charges corporelles fiables ne seront jamais établies. Les liens entre maladies chroniques et métaux corporels ne seront donc jamais dressés. Cependant, les analyses biologiques validées sont donc totalement vaines pour exprimer une vérité biologique. Les analyses après traitement sont certes également imparfaites mais elles donnent plus d'informations que les analyses sans traitement. Les analyses biologiques après traitement indiquent s'il existe des excès de métaux stockés dans des organes. Il est donc possible de traiter un patient tant que les excès de métaux apparaissent aux analyses biologiques après traitement. Cependant, pour traiter, il convient également de vérifier que les analyses sans traitement soient sans excès de métaux afin d'écarter une exposition en cours (alimentation en poisson contaminé, ouvriers dans le recyclage du plomb, ...). Une exposition en cours se traite par l'arrêt de l'exposition et non par la prise de traitements médicamenteux.

De plus, je cite un article joint à ce courrier "Mercury Toxicity and Treatment: A Review of the Literature sous la forme d'une revue de littérature scientifique qui se présente ainsi dans son introduction : "(...) les techniques d'évaluation clinique de la charge en mercure ne font pas l'unanimité. Le présent document a pour but d'examiner les données publiées sur ces questions et d'évaluer l'expérience clinique publiée concernant l'utilisation du DMPS pour éliminer le mercure du corps humain". Il existe donc des controverses sur les analyses validées entre scientifiques. Selon cet article : "Il est difficile de diagnostiquer une surcharge en mercure. Les modalités couramment utilisées (concentrations dans le sang, l'urine et/ou les cheveux) ne sont pas en corrélation avec la charge corporelle totale et n'offrent que peu d'informations utiles au diagnostic. La provocation par le DMPS semble offrir une évaluation plus précise de la charge corporelle". Cet article est disponible gratuitement à la page suivante : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3253456/. Selon cet article, les analyses validées (sang, urine, cheveux sans traitement) ne donnent pas d'information utile au diagnostic d'intoxication au mercure et les analyses après traitement donnent une meilleure indication. Cette article sous-tend donc que les nombreuses enquêtes publiques par les analyses biologiques validées sont totalement défaillantes.
De plus, selon les Sociétés françaises de toxicologie : " La majorité des éléments métalliques sont présents et mesurables chez la plupart des individus et l’administration d’un chélateur en augmente l’excrétion urinaire chez tous" (voir annexe : Diagnostic des intoxications par des métaux ou des métalloïdes et mésusage des chélateurs). Cela indique que les excès de métaux concernent toutes les personnes symptomatiques ou non. Cela indique que les analyses biologiques validées ne sont pas représentatives de la charge corporelle en population générale. Cependant cet article ajoute que les références sans traitement ne peuvent pas être récupérées pour les analyses après traitement car les conditions d'analyses sont différentes. Cela permet aux Centres antipoison de rejeter une analyse après traitement. Or, il est extrêmement étonnant que les références après traitement n'ont pas encore été établies par la filière de toxicologie. Les références sont les valeurs en population générale en bonne santé. Grâce à ces valeurs en population générale, une analyse biologique individuelle peut être comparée à une population en bonne santé. L'établissement de ces valeurs de référence en population générale permet donc de valider une analyse biologique.

De plus, selon le traité de toxicologie CHELATION THERAPY (voir pièce jointe) :
"Cependant, il est particulièrement intéressant de noter que des niveaux élevés de cuivre et de fer sont présents dans les plaques bêta-amyloïdes insolubles dans les cerveaux post-mortem de patients souffrant de la maladie d'Alzheimer." Or, les profils toxicologiques validés des Alzheimer ne présentent pas d'excès de fer et de cuivre. Cela illustre l'illusion générale d'une absence d'intoxication par les analyses validées chez une population d'environ un million de Français.

De plus, selon le traité de toxicologie CHELATION THERAPY (voir pièce jointe) :
"Gonzales-Ramirez et al. (1995) ont utilisé le test de mobilisation du DMPS pour étudier l'exposition au mercure chez les dentistes et les techniciens dentaires. L'excrétion urinaire de mercure après provocation par le DMPS était largement supérieure à celle des témoins non exposés au mercure, et plus élevée chez les dentistes. Les excrétions de mercure post-DMPS et pré-DMPS étaient fortement corrélées. La quantité de mercure mobilisée par le DMPS et les résultats des tests neurocomportementaux ont montré une relation inverse significative. Cela indique une valeur potentielle du test dans le diagnostic d'une exposition indésirable au mercure." Ce traité de toxicologie rapporte donc que les analyses après traitement sont un diagnostic potentiel d'une intoxication au mercure.

De plus, selon le traité de toxicologie CHELATION THERAPY (voir pièce jointe) :
"Aposhian et al. (1992) ont utilisé le test de mobilisation du DMPS pour étudier l'exposition au mercure et la charge systémique en mercure dans des populations non exposées au mercure dans le cadre professionnel. Dans un groupe de volontaires, une corrélation statistiquement significative a été observée entre le "score d'amalgame" (nombre et taille des amalgames dentaires) et l'excrétion urinaire de mercure provoquée par le DMPS." Cependant, les autorités sanitaires françaises ont déclaré que les amalgames ne présentent pas de risque car leurs analyses biologiques sont sans traitement. Or, cet extrait indique que les analyses après traitement en mercure sont corrélées au nombre d'amalgames présents en bouche. Autrement dit, les amalgames dentaires intoxiquent les porteurs d'amalgames dentaires.

De plus, selon le traité de toxicologie CHELATION THERAPY (voir pièce jointe) :
"Une faible exposition au mercure chez les enfants pourrait résulter de l'ajout de l'agent antiseptique thiomersal dans les vaccins. Le thiomersal est métabolisé en éthylmercure dans le corps humain. On a prétendu que ce mercure, même à des doses infimes, pouvait entraîner l'autisme, une maladie grave. Cette hypothèse a conduit à proposer la chélation du mercure par le DMPS ou le DMSA comme thérapie de l'autisme. Cependant, aucun article évalué par des pairs n'a fait état d'un excès de mercure dans le sang, l'urine ou les cheveux de sujets souffrant d'autisme. Des examens critiques ont conclu que le soutien scientifique de la chélation du mercure dans l'autisme est insuffisant." Cet extrait illustre que l'autisme n'a pas encore fait l'objet d'étude de la charge corporelle en mercure. Cependant, aucune population générale ni en bonne santé ni souffrant de maladies chroniques n'a encore fait l'objet d'étude de la charge corporelle ni en mercure, ni de tout autre métal, ni de tout autre particule oxydante organique. Le défaut de charges corporelles est extrêmement large. De plus, selon l'APHP, 20 millions de Français sont porteurs de maladies chroniques. Ce nombre très élevé de patients est donc peut-être partiellement explicable par la défaillance des prises de sang ou des échantillons d'urine sans traitement.

L'ensemble des enquêtes publiques établies sur les analyses biologiques validées (prise de sang, échantillon d'urine) sont donc invalidées car elles ne représentent pas la charge corporelle. Par exemple, l'innocuité des amalgames dentaires est discréditée par les métaux lourds qui surgissent aux analyses biologiques après traitement dans une population porteuse d'amalgames. Autre exemple : les profils en métaux des personnes portant la maladie d'Alzheimer sont faux. Je rappelle qu'un million de Français sont porteurs de la maladie d'Alzheimer. Les excès de fer et de cuivre pourraient donc être traités par les chélateurs (molécules qui traitent les métaux) dans la maladie d'Alzheimer.

Les traitements des métaux font polémiques car ils créent de rares incidents de traitement selon le mode opératoire français. Cela explique partiellement la frilosité de la filière de toxicologie à traiter. Mais cela n'est pas une raison pour se reporter sur des analyses biologiques sans traitement de façon à ce qu'elles soient considérées à 100% fiables dans les enquêtes publiques. Les enquêtes publiques se cantonnent à une exposition ; ces enquêtes ne traitent pas la charge corporelle ; ces enquêtes sont donc trop partielles pour exprimer une vérité biologique définitive sur une maladie chronique en population générale ou sur un dispositif médical toxique. De plus, l'Association allemande de toxicologie KMT (https://www.metallausleitung.de) déclare que ses protocoles sont sans incidents de traitement.
En outre, les Centres antipoison français profèrent des menaces publiques envers les médecins hospitaliers qui traitent les métaux lourds qui surgissent aux analyses après traitement car ces analyses ne disposent pas de référence en population générale. Suite à ces menaces, les médecins menacés préfèrent fermer leurs services. Voir article de presse joint ("L’hôpital public abandonne plusieurs centaines de patients qui frappaient à ses portes"). Les médecins français qui traitent les métaux après traitement travaillent donc dans la clandestinité. Cependant, en Allemagne, 100 médecins, formés par l'association KMT, traitent les métaux lourds par des analyses après traitement. Il existe donc une industrie médicale qui traite les métaux lourds en Allemagne. Un traitement coute 135 euros non remboursés. La moyenne est de 25 traitements. Cela montre la motivation élevée des patients à se faire traiter.

Les Centres antipoison et les Centres Régionaux de Pathologies Professionnelles et Environnementales (CRPPE) ont refusé de me prendre en charge. Il n'existe donc pas de solution conventionnelle pour se faire traiter en dépit d'analyses biologiques après traitement positives.

CONCLUSION
En conclusion, des milliers, ou des millions de Français seraient concernés par la défaillance des analyses biologiques validées (prise de sang, échantillon d'urine). Devant le nombre élevé de victimes des intoxications corporelles, il est temps que la médecine conventionnelle traite enfin la charge corporelle en particules oxydantes (métaux, pesticides, ...) en sus de l'exposition.
Il est extrêmement choquant que les Agences internationales de santé ait établies un consensus qui nie le corps et qui se restreint à des diagnostiques sanguins et urinaires qui sous représentent la charge corporelle. Le corps fait parti du rayon d'action des Agences de santé, il ne doit donc pas être nié par la communauté médicale.

Les traitements des métaux font certes polémiques, mais cela n'est pas une raison pour se rabattre sur des analyses biologiques sans traitement pour que les Agences de santé établissent des profils toxicologiques absolus. Cette erreur est extrêmement grave. Elle est la cause de la persistance de la maladie de millions de Français. De plus, l'Association allemande de toxicologie KMT affirme que ses protocoles de traitements sont sans incidents. Il est donc possible de traiter les métaux lourds en toute sérénité. La défaillance des Agences internationales de santé est donc extrêmement profonde.
J'ai déjà alerté les Agences de santé françaises (ANSM, SANTE PUBLIQUE FRANCE, ANSES, HAS, ARS), les Agence européennes de santé (ECDC, EFSA, EMA), les Agences américaines de santé (CDC, ATSDR) et l'OMS mais je n'ai pas reçu de réponse circonstanciée. Il me semble donc que la prise en compte de la charge corporelle par la médecine conventionnelle devra nécessairement passer par une action juridique.
Les filières françaises et internationales de toxicologie ont donc mis en danger l'ensemble des Français (dont moi) en niant les métaux lourds corporels.

Je suis un architecte français. J'ai été intoxiqué au mercure pendant 15 années. Les premiers symptômes lourds (troubles cognitifs, maux de tête, électrosensibilité) sont apparus en 2008. Les symptômes s'aggravaient avec le temps. Du fait de la lourdeur de mes symptômes, j'ai arrêté de travailler en 2012. J'ai été en errance médicale jusqu'en 2014. J'ignorais la cause de mes troubles. En 2014, un médecin qui travaille dans la clandestinité m'a administré le traitement des métaux lourds. Il a fallu m'administrer 100 doses mensuelles pour résorber mes symptômes. Les deux-tiers des traitements ont été administré en automédication. J'ai résorbé la majorité de mes symptômes en 2020 en trois mois en surdosant les chélateurs (traitement des métaux). Comme j'ai été porteur d'électrogalvanisme (courants électriques dans la bouche), j'accuse mes amalgames de m'avoir intoxiqué. J'ai consigné mon parcours sur un blog : https://www.forum-melodie.fr/phpBB3/vie ... =56&t=6410. En dépit de mes inquiétantes analyses biologiques après traitement, comme mes analyses biologiques validées (sans traitement) sont négatives, les Centres antipoison et les Centres Régionaux de Pathologies Professionnelles et Environnementales (CRPPE) ont refusé de me prendre en charge. Il n'existe donc pas de solution conventionnelle pour se faire traiter.

J'ai déjà porté plainte sur ce sujet mais ma précédente plainte ne concernait que mon cas personnel. Voici les références de ma précédente plainte qui a été instruite par la Vice-Présidente de l'Instruction Mme X.
No du Parquet :X
No Instruction : X
No dossier :X
Identifiant justice : X

Il s'agit de l'infraction prévue par l'article 223-1 du Code Pénal. C'est pourquoi, je dépose plainte contre "X" pour les faits de mise en danger de la vie d'autrui à un risque immédiat de mort ou de blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité permanente par la violation manifestement délibérée d'une obligation particulière de prudence ou de sécurité imposée par la loi ou le règlement.
Je me constitue partie civile entre vos mains. Conformément à l'article 88 du code de procédure pénale, compte tenu de mes faibles ressources, (incapacité à travailler depuis 2012 et donc aucune ressource professionnelle – voir certificat électrosensibilité à l’annexe Ca et mes diagnostics biologiques à l’annexe F), et eu égard à l'importance de l'affaire, je vous demande d'être dispensé de payer une consignation à verser au greffe.







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Sophocle

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