Je suis convoqué à une première audition par la vice présidente chargée de de l'instruction.
Mardi 25 avril.
le moment venu, je ferai un petit résumé.
lien vers la plainte : PLAINTE AU DOYEN DES JUGES
jibouille a écrit:Merci Sohocle pour ce résumé!
REPONSES A LA PLAINTE
Après avoir déposé plainte le 31 janvier 2022, j'ai adressé une copie de la plainte à 10.000 responsables (Agences de santé, Politiques, Associations, Journalistes, …). Les 39 réponses sont jointes.
La Directrice de l'Agence Nationale de la Sécurité du Médicament (ANSM) m'a informé qu'elle ouvrait une instruction concernant les faits que je rapportais (réponse 9).
L'Ordre des médecins a répondu sur lettre à en-tête (réponse 12).
Sur lettre à en-tête, Hervé Morin, Président de la Région Normandie, m'a informé qu'il sollicitait l'Agence Régionale de Santé (ARS) pour un examen de la situation. Compte tenu de son objet, L'ARS a répondu qu'elle soumettait la correspondance à la Direction Générale de la Santé (DGS) (Réponse 20).
La Commission européenne de la santé a répondu sur lettre à en-tête (réponse 33).
L'Autorité de Sureté Nucléaire (ASN), qui est une agence nationale de santé, a répondu qu'elle transmettait la plainte à la DGS (réponse 37).
La Direction Générale de la Santé a également accusé réception (réponse 1) de ma correspondance. Elle ajouté qu'elle souhaitait connaître les suites judiciaires.
Ces réponses illustrent la très forte émotion que suscitent les pratiques officielles des Centres antipoison français auprès des plus hautes autorités politiques et médicales.
Il est à noter que les agences de santé transmettent le dossier à la DGS et que la DGS m'informe qu'elle attend vos conclusions. Cette affaire semble donc dépasser les compétences des institutions de santé les plus hautes. La défaillance des analyses validées est donc un problème que la médecine occidentale ne peut pas surmonter par elle-même.
Comme j'accuse la médecine occidentale de défaillance systémique, la médecine occidentale est donc incapable d'exprimer un avis lucide sur la question. Je dénonce donc votre recours à un médecin pour obtenir un conseil. Comme la médecin qui était présente à la convocation a été biberonnée aux analyses biologiques validées et non fiables, elle est donc incapable de vous conseiller sereinement. Pour me donner raison, elle devra jeter l'opprobre sur son métier et sur sa formation. Elle va donc balayer mon discours d'un revers de main.
Pour vous faire un avis personnel, je vous propose d'explorer la littérature scientifique.
GRAVITE DU PROBLEME DE SANTE PUBLIQUE
Voici un extrait du traité de toxicologie "CHELATION THERAPY" (l'extrait est joint) :
"Un test de provocation au CaNa2-EDTA a également été utilisé pour estimer la charge corporelle de plomb. Une dose standard de CaNa2-EDTA augmente l'excrétion urinaire du plomb stocké. Cependant, les valeurs de référence ne sont pas définies pour ce test, et la justification de l'utilisation du test EDTA a été remise en question (Aaseth et al., 2015 ; Andersen, 1999)."
Cet extrait démontre qu'il existe un déni des métaux en excès par la communauté scientifique. Tous les métaux excès qui apparaissent aux traitements ne sont pas pris en compte pour l'établissement des valeurs de référence en population générale. Ni la population générale, ni les patients, ni les personnes intoxiquées ne sont soumis à des tests qui expriment un taux fiable de métaux. Or, les médecines occidentales ne jurent que par les diagnostics validés. Le taux de métaux est donc une préoccupation extrêmement importante. Tous les métaux présents dans le corps ne font donc pas l'objet d'une étude en population générale. Il existe donc un flou scientifique dans lequel peut se glisser jusqu'à 20 millions de français porteurs de maladies chroniques (autisme, sclérose en plaques, psy, Alzheimer, Parkinson, allergies, …).
Les Centres antipoison français ne croient pas aux intoxications chroniques. Ils vont donc nier l'existence d'un problème de santé publique devant vous. Comme à leur habitude, ils accusent les porteurs d'analyses biologiques après traitement de porteur de troubles psy. Cependant, il est impossible de dresser des charges corporelles fiables. Pour établir les charges réelles corporelles, il faut dissoudre un corps post-mortem. Comme cela n'est éthiquement pas faisable, les vraies charges corporelles ne seront jamais dressées. Faute de charge corporelle fiable, les Centres antipoison ne pourront jamais prouver que les excès de métaux découverts lors d'un traitement sont inoffensifs. De plus, les réponses des Agences américaines de santé que j'ai obtenues sont des aveux de culpabilité des plus hautes institutions de santé.
Suite à l'audition, j'ai conclu que je n'avais pas assez insisté sur les conséquences de la gravité du problème de santé publique. Je souhaite donc vous alerter que la défaillance des analyses biologiques a jeté une illusion de meilleure santé sur des millions de patients français. Je ne suis qu'une victime parmi des millions de français. Chez les Alzheimer, le taux de cuivre et de fer présent dans les cerveaux post-mortem n'est que trois fois supérieures aux personnes valides. Un très faible écart de métaux non toxiques participe donc à des dégâts lents, massifs et irréversibles.
Si les Centres antipoison français se permettent de telles pratiques, c'est parce que les analyses validées sont défaillantes. Si les empoisonnements au mercure par les amalgames dentaires n'a jamais été décelé, c'est parce que les analyses validées sont défaillantes. Si aucun patient n'a été diagnostiqué intoxiqué, c'est parce que les analyses validées sont défaillantes. Si jamais personne n'a été traité, c'est parce que les analyses validées sont défaillantes. Si la prévention n'a jamais été dressée, c'est parce que les analyses validées sont défaillantes.
Cependant, les médecins allemands tiennent compte des métaux en excès lors des traitements. Ils traitent les excès de métaux jusqu'à ce que le taux après traitement redescende aux taux sans traitement. Le prix d'un traitement est de 150 euros. Le nombre moyen de traitement est de 25. Ces traitements ne sont pas remboursés. Cela indique que les médecins et les patients allemands votent pour une version alternative aux analyses médicales validées.
En médecine occidentale, il existe de nombreuses polémiques. L'absence de référence corporelle en population générale explique toutes ces polémiques. Sans références fiables, il n'est pas possible de trancher scientifiquement. Sans référence corporelle, les médecins ne peuvent pas écarter les témoignages des personnes qui accusent les vaccins ou les amalgames dentaires. Tous les porteurs d'amalgames dentaires ne sont certes pas intoxiqués au mercure. Mais, avec les analyses validées, un fort pourcentage de personnes intoxiquées par les amalgames passe inaperçu. De plus, même si ces personnes étaient volontairement sacrifiées, il est extrêmement choquant qu'elles soient laissées en errance médicale.
TRAITEMENTS
Les traitements des métaux lourds font également polémique car de rares patients se plaignent d'incident de traitement. Il existe deux causes. La première cause parvient d'une culture médicale qui injecte une forte dose mensuelle fortement concentrée par intraveineuse. Cela est une hérésie médicale. Il convient de prendre une faible dose quotidienne faiblement concentrée par oral. La deuxième cause parvient des acidoses. Lors des acidoses, les traitements déplacent tous les métaux lourds du corps vers un organe (reins, cerveau). Or, il est possible de traiter les acidoses de façon à éviter un incident de chélation. Ces incidents peuvent expliquer partiellement la frilosité des toxicologues à traiter.
Pendant 7 années, je me suis consacré à ma guérison par moi-même. J'ai donc écrit un traité de désintoxication des particules oxydantes en toute sérénité. Je vous remets ce traité (CHELATION.PDF) pour vous montrer que la médecine conventionnelle occidentale est très éloignée de la guérison des excès de particules oxydantes.
SANTE PUBLIQUE FRANCE
Je vous adresse une correspondance avec l'Agence nationale de santé SANTE PUBLIQUE FRANCE.
Cette correspondance confirme que les études en population générale ne sont pas réalisées par l'administration d'un chélateur.
La chélation est jugée trop invasive. Elle est donc sèchement abandonnée par les agences de santé.
Commentaire :
La chélation est certes imparfaite, mais les solutions de repli sont beaucoup plus imparfaites car les excès de métaux corporels n'y apparaissent pas.
ANALYSES BIOLOGIQUES SANS TRAITEMENT
Je vous adresse des analyses biologiques que j'ai réalisé sans traitement conformément aux analyses validées.
Sans traitement, il en résulte que mes taux de plomb, de cuivre et de mercure sont en-deçà des valeurs de références.
Cela illustre que tous les métaux qui surgissent en excès lors de mes analyses après traitement passent totalement inaperçus lors d'analyses validées.
Ce n'est donc pas la fiabilité qui guide la réflexion des agence de santé.
Selon SANTE PUBLIQUE FRANCE, c'est la commodité de moyen d'analyse qui guide les réflexions des agences de santé.
Tous les métaux en excès en population générale passent donc inaperçus.
Je dénonce donc toutes les études dressées par les agences occidentales de santé.
Toutes leurs conclusions sont frappées de nullité.
La sécurité médicale des français établie par les agences françaises et internationales est totalement discréditée.
TRAITE DE TOXICOLOGIE ET CENTRES ANTIPOISON
Voici un extrait de traité de toxicologie CHELATION THERAPY (voir pièce attachée Chelationtherapy) :
"Gonzales-Ramirez et al. (1995) ont utilisé le test de mobilisation du DMPS pour étudier l'exposition au Hg chez les dentistes et les techniciens dentaires. L'excrétion urinaire de Hg après provocation par le DMPS était largement supérieure à celle des témoins non exposés au Hg, et plus élevée chez les dentistes. Les excrétions de Hg post-DMPS et pré-DMPS étaient fortement corrélées. La quantité de mercure mobilisée par le DMPS et les résultats des tests neurocomportementaux ont montré une relation inverse significative. Cela indique une valeur potentielle du test dans le diagnostic d'une exposition indésirable au Hg."
Cet extrait démontre qu'il existe des symptômes neurocomportementaux corrélés aux taux de mercure découverts par les analyses biologiques après traitement.
Ce traité de toxicologie rapporte que les analyses biologiques après traitement représentent un diagnostic possible.
Or, selon les Centres antipoison (voir pièce attachée Centre antipoison), dans le cadre d'un médecin hospitalier français qui pratique des chélations :
"Mais d’abord dans l’intérêt des malades, et aussi au nom de leurs disciplines dévoyées, les toxicologues, analystes et cliniciens, doivent réagir et dénoncer des pratiques que certains qualifieraient d’abus de faiblesse et d’escroquerie en bande organisée."
Les Centres antipoison considèrent donc que les analyses biologiques après traitement sont un dévoiement de leur discipline.
Cela est extrêmement choquant.
Cela est une faute scientifique majeure.
Les Centres antipoison font l'erreur de considérer les analyses biologiques validées comme une vérité.
Ces déclarations illustrent le déni organisé des charges corporelles par toutes les institutions occidentales de santé.
C'est suite à ces déclarations que la praticienne hospitalier Marie-Christine BOUTRAIS a du fermer son service de chélation au CHR de Rouen en 2015 dans la précipitation.
Les Centres antipoison sont donc déterminé à ce que les poisons soient niés sur tout le territoire français.
Il font régner un régime de terreur sur tout le territoire.
Le mobile est assez simple : il s'agit de masquer le discrédit de leur discipline.
Or, il est désormais impossible de faire confiance aux agences occidentales de santé.
De plus, devant mon discours, les agences américaines de santé ont préférer plaider coupables.
VICTIMES
Voici un extrait de traité de toxicologie CHELATION THERAPY (voir pièce attachée Chelationtherapy) :
"Une faible exposition au mercure chez les enfants pourrait résulter de l'ajout de l'agent antiseptique thiomersal dans les vaccins. Le thiomersal est métabolisé en éthylmercure dans le corps humain. On a prétendu que ce mercure, même à des doses infimes, pouvait entraîner l'autisme, une maladie grave (Bernard, Enayati, Redwood, Roger, & Binstock, 2001). Cette hypothèse a conduit à proposer la chélation du mercure par le DMPS ou le DMSA comme thérapie de l'autisme (Kidd, 2002). Cependant, aucun article évalué par des pairs n'a fait état d'un excès de mercure dans le sang, l'urine ou les cheveux de sujets souffrant d'autisme (Aschner & Walker, 2002 ; Wecker, Miller, Cochran, Dugger, & Johnson, 1985). Des revues critiques ont conclu que le soutien scientifique à la chélation du mercure dans l'autisme est insuffisant (Davis et al., 2013 ; Crisponi et al., 2015)."
Cet extrait démontre que les autistes font l'objet d'un refus de diagnostic et de traitement des métaux lourds par le traitement et par les analyses biologiques après traitement.
Les autistes et les vaccinés sont donc les victimes des institutions internationales de santé.
Il en va de même avec tous les porteurs chroniques de symptômes.
Sans diagnostique fiable, il n'est pas possible de déterminer le nombre de victime.
Le nombre de victime peut donc s'élever au maximum, c'est-à-dire 20 millions de Français.
Des millions de français sont donc éventuellement confisqués de leur guérison.
PARTICULES OXYDANTES
De plus, les métaux lourds ne sont que la partie émergée de l'iceberg.
Il existe de nombreuses autres particules oxydantes organiques qui font l'objet d'un déni systémique de la charge corporelle.
Par exemple, les pesticides organiques.
Les traitements existent.
Il s'agit, par exemple, de la Pancha Karma (Ayurvéda).
La technique consiste à boire de l'huile végétale.
C'est une médecine qui pratiquée dans les hôpitaux indiens.
Le jeûne et les ventouses peuvent également traiter ces particules oxydantes.
Ce sont des médecines traditionnelles qui ont franchi les millénaires et qui ont essemé sur plusieurs continents.
La médecine occidentale est donc très éloignée de la guérison des maladies chroniques.
Les Centres antipoison cumulent donc les défaillances.
CONCLUSION
La situation est extrêmement préoccupante.
Je rappelle que le traitement des poisons est considéré comme un dévoiement de la discipline de toxicologie par les Centres antipoison.
Les analyses biologiques validées (sang, urine, cheveux) ne sont pas représentatives de la charge corporelle en métaux lourds. Lors d'un traitement des métaux, des métaux (dont des métaux lourds) apparaissent en grand nombre dans les analyses d'urine d'après traitement chez toutes les personnes soumises au traitement (valides ou porteuses de maladies chroniques) (source). Tous les métaux qui apparaissent en excès lors d'un traitement n'apparaissent absolument pas en excès lors d'un diagnostic validé. Or, les agences de santé dressent leurs conclusions médicales à partir d'analyses biologiques validées en population générale.
Ni les populations générales, ni les personnes porteuses de maladies chroniques (Autisme, Alzheimer, Sclérose en plaque, ...), ni les personnes faisant l'objet d'un dispositif médical toxique (vaccin au mercure, vaccin à l'aluminium, prothèses, ...) ne sont donc soumises à des diagnostics qui expriment une charge corporelle fiable.
La sécurité médicale des Français est donc totalement discréditée par l'apparition d'excès de métaux par le traitement.
J'ai porté plainte contre X pour mise en danger. Je vise les Agences de santé, les Sociétés françaises de toxicologie et les Centres antipoison. J'ai été reçu deux fois par des Juges. La Juge m'a informé qu'elle disposait d'un an pour instruire ma plainte à partir d'avril 2023. La Juge m'a également informé que j'avais encore le droit de m'exprimer pour faire jaillir la vérité. Je compte donc lui remettre cette pétition afin de la conforter dans son intime conviction.
Signez cette pétition pour que le Juge ordonne que les excès de métaux qui apparaissent aux traitements des métaux soient pris en compte par les Agences de santé.
Je souhaite vous remettre une étude statistique sur 2.000 patients portant des amalgames. Cette étude compare les analyses biologiques de mercure avec et sans traitement (https://oem.bmj.com/content/61/6/535 + Copie en pièce jointe).
Cette étude illustre que deux personnes qui excrètent 1 ug de mercure sans traitement peuvent excréter 1 ug de mercure après traitement pour l'une et 100 ug de mercure après traitement pour l'autre.
De plus, le graphique 4A démontre qu'il existe une accélération exponentielle du taux de mercure après chélation. C'est-à-dire qu'environ 25% des personnes soumises au traitement expriment des taux cinq à cent fois supérieur à la moyenne des personnes soumises au traitement. Or, selon cette étude, 93% des personnes ont des taux sans traitement dans la norme. De plus, la majorité des 7% restant n'exprime pas des taux très inquiétants.
Selon cette étude :"la fourchette de concentration urinaire de Hg élevée obtenue après chélation par le DMPS doit évidemment être considérée comme beaucoup plus significative pour évaluer la charge corporelle de Hg au niveau individuel que la fourchette de concentration urinaire basale très faible."
Les analyses biologiques validées sont donc inopérantes pour établir des diagnostics individuels et collectifs. Il est donc imprudent d'établir des enquêtes publiques sur des analyses biologiques validées.
Les analyses biologiques après traitement font certes polémique, mais elles demeurent plus fiables que les analyses biologiques validées.
Je souhaite ajouter que ce qui est valable pour le mercure est également valable pour tous les autres métaux. Je souhaite également ajouter que ce qui est valable pour le mercure est également valable pour les particules oxydantes organiques.
Par exemple, l'Ayurveda et le jeûne vont éliminer les particules oxydantes organiques. Mais il n'est pas possible de réaliser des relevés des fluides corporels. Lors du jeûne, les particules oxydantes sont dissoutes en CO2 et H2O. Il n'est donc pas possible de faire un relevé des particules oxydantes. Avec l'Ayurvéda telle qu'elle est pratiquée à l'hôpital en Inde (fortes doses dans un court séjour), les particules oxydantes sont éliminées par des vomissements et des diarrhées. Les études en population générale n'ont donc jamais été dressées. Pour ma part, je préconise de faibles doses sur une longue période de façon à éviter les désagréments.
Ni les populations générales, ni les personnes porteuses de maladies chroniques (Autisme, Alzheimer, Sclérose en plaque, ...), ni les personnes faisant l'objet d'un dispositif médical toxique (vaccin au mercure, vaccin à l'aluminium, prothèses, ...) ne sont donc soumises à des diagnostics qui expriment une charge corporelle fiable. Toutes ces personnes sont soumises à des analyses qui ne font pas ressortir les particules oxydantes.
Selon cette étude, la moyenne des personnes portant des amalgames et soumises au traitement est de 32 ug de mercure. Il y est également indiqué que les personnes sans amalgames présentent des taux avec traitement 10 fois mois élevés que les personnes avec amalgames (graphique 6). Or, il convient d'établir une norme avec une population générale non exposée au mercure. Je rappelle qu'il n'est pas possible de revenir en arrière sur la maladie d'Alzheimer et que les symptômes s'expriment tardivement après que la maladie soit installée. Comme les particules oxydantes expriment des symptômes à retardement, il convient donc de traiter toutes les personnes avec amalgames même si elles ne présentent pas encore de symptômes.
Je souhaite ajouter que j'ai recensé environ une centaine de médecins chélateurs allemands sur le site de l'association metallausleitung.de. Cette association est composée de six médecins. Elle dispense des formations aux médecins qui souhaitent se lancer dans la chélation. Il existe donc une industrie médicale de la chélation en Allemagne. Les traitements coutent 135 euros l'unité en moyenne et ils ne sont pas remboursés. Le nombre de traitements est environ de 25. Cette association est ouverte depuis 1983. Comme un médecin chélateur peut organiser une session avec une vingtaine de patients, le nombre de patient peut donc être très élevé. Cela indique que les patients en grand nombre recherchent à éliminer les métaux en excès quitte à investir une importante somme d'argent.
J'ajoute que j'ai réalisé 100 traitements pour effacer mes symptômes (maux de tête et électrosensibilité). Suite à ce grand nombre de traitements, les analyses après traitement sont redescendues à 0 ug de mercure. Or, mes analyses après traitement intermédiaires n'exprimaient que 30 ug de mercure. Je rappelle que j'ai mis sept années pour me débarrasser de mon mercure. Cela indique que les analyses après traitement n'expriment pas une charge corporelle. Quelqu'un qui exprime un taux moyen de mercure peut donc être beaucoup plus intoxiqué que la moyenne. Il convient donc de traiter même si les taux après chélation sont faibles.
En France, la chélation est confisquée par les centres antipoison. Il existe donc un forum internet (forum-melodie.fr) sur lequel les intoxiqués en errance s'échangent des informations. Ce forum ressence 5.000 inscrits. Il est également fréquenté par 1.000 visiteurs quotidiens. Ce site est ouvert depuis 2011. Comme les patients qui se font traiter annoncent des améliorations de leurs symptômes, il est normal que le bouche à oreille fleurisse. Cela indique qu'il existe un grand nombre de Français qui recherchent des solutions qu'ils ne trouvent pas dans la médecine conventionnelle.
La Direction Générale de la Santé a écrit:De : DGS-DIRECTION
Date: mar. 23 mai 2023 à 11:14
Subject: RE: ANALYSES BIOLOGIQUES VALIDEES MAIS NON FIABLES
Cc: DGS-DIRECTION
Bonjour monsieur,
Nous accusons réception de votre mail du 22 mai 2023.
Votre mail a été transmis aux sous-directions de la DGS en charge de la thématique abordée dans votre courriel.
Elles ne manqueront pas de vous apporter une réponse dans les meilleurs délais
Cordialement.
Direction générale de la santé
Ministère de la Santé et de la Prévention
14 avenue Duquesne
75350 PARIS 07 SP
le Directeur adjoint des métiers scientifiques de l'ANSM a écrit:pour votre information nos équipes sont déjà impliquées dans des groupes de travail européen et internationaux sur le sujet des métaux lourds.
Afin d'éviter la multiplicité des envois de demande d'information comme vous l'avez fait, et dans un but d'écoresponsabilité, la porte d'entrée des demandes d'information de l'ANSM est https://ansm.sante.fr/contact.
Vos demandes identiques ont été fusionnées et envoyées à ce point de contact pour y répondre.
La collaboratrice de la Présidente de la commission des affaires sociales du Sénat a écrit:Nous avons bien reçu votre courriel et nous vous en remercions.
Je transmets à Madame la Présidente
De : Contact | ROBIN DES TOITS
Date: jeu. 25 mai 2023 à 21:14
Subject: Re: ANALYSES BIOLOGIQUES VALIDEES MAIS NON FIABLES
Bonsoir Monsieur,
Nous avons maintenant une commission scientifique à laquelle j'ai transmis vos recherches.
Cordialement
Pour Robin des Toits
Pour soutenir l’association en adhérant :
https://www.robindestoits.org/NOUS-SOUT ... N_a90.html
Tout don ou adhésion donne accès à un crédit d'impôt déductible de 66%.
ASSOCIATION ROBIN DES TOITS
https://www.robindestoits.org |
Pour vous informer, les fiches de Robin des Toits :
https://www.robindestoits.org/LES-FICHE ... a2691.html
Pour savoir comment modérer son exposition aux CEM :
https://www.robindestoits.org/POLLUTION ... a2661.html
De plus, si vous avez une box récente, généralement en raison de l'installation de la fibre optique, nos conseils :
https://www.robindestoits.org/PREVENTIO ... a3085.html
Un directeur de l'OMS a écrit:Date: ven. 26 mai 2023 à 14:28
Subject: RE: [EXT] VALID BUT UNRELIABLE BIOLOGICAL ANALYSES
Dear Mr. Perrin,
I acknowledge receipt of your message and copy colleagues in the Ethics Unit in my office who will advise you accordingly.
Kind regards,
X
Director
Office of Compliance, Risk Management and Ethics (CRE)
20, Avenue Appia
CH-1211 Geneva 27
Je soumets la demande que vous établissiez toute la vérité sur les conséquences de la défaillance des analyses biologiques validées sur la population générale par tout moyen que vous jugiez utile. Pour cela, je soumets la demande que vous convoquiez autant de responsables de la filière de toxicologie conventionnelle que vous jugez nécessaire.
Centres antipoison
Sociétés de toxicologie rattachées aux Centres antipoison:o SFTA (Société Française De Toxicologie Analytique)
Agences de Santé :
o STC (Société de Toxicologie Clinique)o ANSES (Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail)
Direction Générale de la Santé (DGS)
o FRANCE SANTE PUBLIQUE
o ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé)Les ARS (Agences régionales de santé) et l'ASN (Agence de Sûreté Nucléaire) m'ont informé qu'elles transmettaient mes textes à la DGS. Mais je n'ai pas reçu de réponse circonstanciée de la part de la DGS.
Ministre de la Santé et Président de la République Française
OMS (Organisation Mondiale de la Santé)
Depuis 2011, j'ai adressé mes textes à toutes les directions générales des institutions listées ci-avant. Mais, je n'ai reçu aucune réponse circonstanciée. Je n'ai reçu que des accusés de réception ou des promesses d'enquêtes sans suite. En 2012, j'ai également relancé toutes ces Institutions, mais je n'ai pas reçu de réponse circonstanciée. Je vous ai déjà fourni toutes les réponses que ces Institutions ont délivrées.
PREPARATION
Afin de préparer les personnes que vous allez convoquer, je vous remets l'identification de l'article scientifique dans lequel il est indiqué que les personnes porteuses d'amalgames dentaire présentent des taux inquiétant de mercure après traitement : Evaluation of the mercury exposure of dental amalgam patients by the Mercury Triple Test - Hansen G, VictorR, Engeldinger E, Schweitzer C. Occup Environ Med. 2004 Jun; 61(6):535-40). https://oem.bmj.com/content/61/6/535
J'ajoute également le rapport de l'ANSM dans lequel il est écrit que les études sans traitement (sang, urine) sur les amalgames dentaires sont globalement rassurantes :
https://archiveansm.integra.fr/content/ ... i-2015.pdf (les extraits sont joints).
Madame la Vice-Présidente de l'Instruction,
Je souhaite exprimer un commentaire.
CONTESTATION
Je conteste votre décision.
La sûreté de la santé des Français est totalement compromise par la défaillance généralisée des analyses biologiques validées.
Ces analyses n'expriment pas les particules oxydantes corporelles.
Les Institutions médicales actuelles (DGS, Agences de santé, Centres antipoison, Sociétés de toxicologie) ne sauraient être maintenues dans cette état de défaillance si profond.
Il n'y a aucune autorité médicale qui tienne devant tant de malades si mal soignés.
C'est sur la science que ces autorités se veulent bâties, or c'est sur la défaillance généralisée que ces autorités se sont construites.
De plus, les métaux lourds ne sont que la partie émergée de l'iceberg, les particules oxydantes organiques font également l'objet d'un déni conventionnel.
REVUE SCIENTIFIQUE
Une revue de littérature scientifique a été dressée en 2011 sur l'intoxication au mercure (voir lien : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3253456/).
Selon cette revue : "Les modalités couramment utilisées (taux de sang, d'urine et / ou de cheveux) ne sont pas en corrélation avec la charge corporelle totale et offrent peu d'informations utiles sur le plan diagnostique. La provocation avec DMPS semble offrir une évaluation plus précise de la charge corporelle."
Ce passage est un euphémisme pour dire que les analyses biologiques validées sont totalement défaillantes.
Une polémique sur la défaillance des analyses validées bat donc son plein entre scientifiques.
Le débat scientifique est suffisamment mûr pour que vous le tranchiez.
Le statut-quo n'est qu'une posture de médecin qui souhaite éviter le scandale.
De plus, les conséquences sanitaires des analyses validées sont excessivement lourdes car c'est toute la population mondiale qui serait soumise à des protocoles défaillants.
Etant inapte à se confesser elle-même, la médecine conventionnelle n'attend que votre intervention pour se soulager de sa culpabilité.
VOCABULAIRE
Il est à noter que les Agences de santé utilisent l'expression d' "EXPOSITION" pour leurs études en populations générales.
En affichant au préalable qu'elles ne traitent uniquement que l'exposition, elles espèrent échapper au procès de la charge corporelle.
Ce vocabulaire suggère que les Agences de santé sont conscientes qu'elles sont incapables d'évaluer la charge corporelle.
FAUTE DE REFENCES FIABLES
Il serait certes préférable d'établir des références fiables du vivant du patient afin d'envisager le traitement.
Mais ces références fiables ne pourront jamais être dressées car il faut dissoudre un corps post-mortem ; cela n'est pas éthiquement faisable.
Faute de référence, ce qui est prévu par les médecins qui traitent les métaux lourds, c'est de traiter tant que les analyses après traitement n'ont pas rejoint les valeurs sans traitement.
Comme la maladie d'Alzheimer est installée avant que les symptômes n'apparaissent, il est donc prudent d'enlever les excès de métaux y compris quand il n'y a pas de symptômes.
Je soumets donc la demande que vous ôtiez la validation des analyses biologiques sans traitement de façon à ce que les analyses sans traitement soient au même niveau scientifique que les analyses après traitement.
Je soumets également la demande que vous ôtiez la nécessité de symptômes pour traiter ; le traitement doit être libre pour permettre une prévention des maladies dégénératives.
En cas d'analyses sans traitement qui expriment des excès, je confirme qu'il convient de neutraliser la source extérieur d'intoxication (poisson contaminé, poussières de plomb dans les usines, ...) au préalable du traitement des métaux.
POLEMIQUES DES TRAITEMENTS
A) Le traitement des métaux lourds fait polémique, des enfants seraient morts suite au traitement.
B) D'autres enfants autistes auraient vu leurs symptômes aggravés.
Ces incidents sont rares mais minimisés par les médecins traitants.
A) La mort des enfants parvient du mode d'administration du traitement.
Tel qu'il est pratiqué actuellement en médecine, c'est une forte dose fortement concentrée pour adulte qui est injectée mensuellement par intraveineuse.
5 cl de principe actif dans une seringue ; cela peut ôter le calcium du cœur d'un coup.
La culture médicale de la forte dose fortement concentrée parvient des situations aigües (tentatives de suicide avec une forte dose d'arsenic) et des modes de conditionnement des usines.
En chronique, il convient de pratiquer de faibles doses quotidiennes faiblement concentrées pour éviter tout incident aigu.
Des cachets effervescent à faible dose quotidienne peuvent donc être inventés pour définitivement balayer ces accidents aigus et graves.
Il suffira de suspendre le traitement en cas de fatigue.
Il est possible de prendre une forte dose, mais il convient de la diluer fortement dans au moins un litre d'eau (par perfusion par ex).
Cela augmente l'efficacité et la sureté du traitement mais ce n'est pas la peine de s'exposer à des risques inutiles.
Les fortes doses peuvent être réservées aux analyses biologiques afin de bien faire ressortir les métaux en excès.
Depuis ces polémiques, les fabricants ont ajouté du calcium dans les solutions chélatrices afin de prévenir les risques de décalcifications.
B) Contre l'aggravation des symptômes, cela parvient d'une acidose.
L'acidose est rare mais elle est un problème complexe à résoudre.
Lors d'une acidose, les métaux lourds qui ont été capturés dans tout le corps sont relargués dans un seul organe (ex: reins, cerveau).
Contre l'acidose, il convient d'observer une hygiène de vie (régime alimentaire, bains froids, activité physique).
Il est donc possible de prévenir tous les risques liés au traitement.
Le traitement peut donc être accompagné par un naturopathe hygiéniste.
Quitte à ce que la médecine conventionnelle s'investisse dans la naturopathie, je soumets donc la demande que vous ordonniez à la médecine conventionnelle de réaliser les études nécessaires pour dresser le domaine de sécurité des traitements.
Cependant, l'Association allemande de toxicologie affirme sur son site (https://www.metallausleitung.de/f%C3%BCr-patienten/faq/) qu'il n'y a pas de risque à pratiquer la chélation avec ses méthodes car les produits qu'elle utilise ne sont pas sensibles aux acidoses.
De plus, elle pratique une injection lente du contenu de la seringue de façon à éviter une injection d'une forte dose d'un coup.
Dans l'intérêt du bien public, je soumets donc la demande que vous ré-activiez ma plainte.
Jamais le Ministère de la Santé ne pourra s'auto-critiquer sur ce sujet.
Quitte à renverser la table, il n'y a que vous pour enfin donner une très bonne santé à tous les Français.
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dans Natura Rerum, Lucrèce a écrit:« Qu'il est doux, quand la vaste mer est soulevée par les vents, d’assister du rivage à la détresse d’autrui ; non qu’on trouve si grand plaisir de regarder souffrir ; mais on se plait à voir quels maux vous épargnent. Qu'il est doux aussi d’assister aux grandes luttes de la guerre, de suivre les batailles rangées dans les plaines, sans prendre sa part du danger. Mais la plus grande douceur est d’occuper les hauts lieux fortifiés par la pensée des sages, ces régions sereines d’où s’aperçoit au loin le reste des hommes, qui errent ici et là en cherchant au hasard le chemin de la vie, qui luttent de génie ou se disputent la gloire de la naissance, qui s’épuisent en efforts de jour et de nuit pour s’élever au faîte des richesses ou s’emparer du pouvoir. »
A l'attention de Monsieur BLONDEL, Chef de cabinet de l'Elysée
et
à l'attention des équipes Courrier de l'Elysée.
Madame, Monsieur,
Vous m'avez récemment adressé une réponse à mon courrier.
Je souhaite vous exprimer mes remerciements.
Je vous prie d'accepter, Madame, Monsieur, l'expression de mes salutations sincères et respectueuses.
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