Bonjour à tous,
Je suis JADE, une femme de 49 ans, native de Lorraine et habitant la région parisienne depuis 20 ans.
J'ai fais connaissance avec votre site il y a quelques jours et j'en suis ravie car je vais pouvoir sortir de mon isolement.
Depuis mon enfance, mes dents me posent des problèmes (nombreuses caries, une douzaine d'amalgames depuis l'age de 10 ans, des cones d'argent, des couronnes par la suite..Bref, j'étais, d'après le dentiste qui m'a suivi (en retraite maintenant), l'une de ses "deux meilleurs clientes". Après une enfance où j'ai souffert de douleurs aux genoux après une marche un peu plus longue que d'habitude, de points lumineux qui défilaient devant mes yeux et d'une soif épouvantable malgré la boisson que j'avalais, c'est vers 38 ans (1997) que les complications sont arrivées avec des douleurs aux pieds; les semelles prescrites n'y ont rien fait. J'ai fais connaissance avec un médecin parisien qui m'a fait des injections d'EDTA, de vit C et d'ozone, de juillet 1998 à mars 2001, à raison de 2 séances par semaines. J'ai été nettement améliorée mais avec du recul, je suis convaincue que j'ai reçu à mon insue de la cortisone (à haute dose). La catastrophe est arrivée en avril 2002 : très fortes douleurs dans les chevilles, genoux, coudes, épaules, clavicules, mains. Une fatigue épouvantable, des pertes de mémoire et une démarche chaloupée sont venus compléter ce tableau de misère. Si je vous racontais toute ma souffrance, je vous arracherais des larmes. J'ai été arrêtée (longue maladie durant 3 ans (2002 à 2005). Je n'ai pu reprendre une vie à peu près normale et une activité professionnelle qu'après avoir suivi, à partir de mai 2004, un traitement de nettoyage des métaux lourds par pommade, traitement que j'ai poursuivi jusqu'en fin 2006. Un dosage des porphyrines urinaires avait montré une "importante intoxication au mercure". Ensuite, ce médecin m'a prescrit du DMPS en gouttes (voie transdermale) mais à des doses bcp trop élevées, n'ayant pas la pratique du produit (60 gouttes par bras); J'ai néanmoins continué à doses réduites jusqu'en début 2008 et occasionnellement. Je précise que rien d'autre n'a pu m'aider (chlorella, cure de fruits et légumes, macrobiotique....). Au début de mon traitement, il était hors de question que j'aborde le DMPS. Je souffrais trop et le nettoyage des métaux fait souffrir (c'est la pluie avant le beau temps).
A présent, je voudrais faire un test de provocation à partir du DMPS (IV). Le médecin qui m'a suivi et sorti de l'enfer ne pratique pas cette méthode. Pourriez-vous me donner les coordonnées d'un médecin ? Il me faudrait aussi les coordonnées d'un dentiste compétent si possible en région parisienne (j'ai des soins à réaliser et j'ai peur de consulter un dentiste; résultat = mes dents se dégradent).
Merci d'avoir pris le temps de lire mon histoire et de m'apporter vos conseils.