Présentation de alex33

Bonjour à tous,
Je viens de m'inscrire, mais ça fait quelques mois que je parcours la mine d'informations du forum. J'ai un problème de mercure et d'amalgames dentaires.
Voici une brève rétrospective de mon cheminement.
Aucun problème de santé jusqu'à récemment. En octobre, j'ai fait une grosse crise de tachycardie et/ou spasmophilie, pas bien identifié sur le moment, avec grosse panique, douleur thoracique, tension à 17. Le médecin m'envoie voir un cardiologue et me prescrit du repos. Cardiologue, RAS, coeur de jeune homme (j'ai 39 ans), électrocardiogramme normal, tension un poil élevé, puis vérifiée avec un holter tensionnel sur 24h, normale au final. Novembre-décembre, les crises reprennent, avec des spasmes à l'intérieur de la poitrine, comme des trucs qui vibrent, tachycardie, parfois quelques convulsions dans les membres. Bilan sanguin, RAS. Comme j'ai des troubles intestinaux et un peu mal à l'estomac, on me dit que c'est sans doute ça qui titille le nerf vague et déclenche les crises. Oméprazole, ça ne change rien. Puis j'ai du mal à marcher, lenteur musculaire, vertiges, faiblesse. Bilan sanguin plus poussé : hypophosphorémie. Le médecin me prescrit de la vitamine D et du phosphore. Je vais mieux pendant 3 jours, puis je m'écroule. Ça empire à grande vitesse, je commence à avoir des tremblements des mains, de la difficulté à parler, mon généraliste veut m"hospitaliser et m'envoie par les urgences. Les urgences me mettent dehors sous prétexte que c'est psychosomatique, mon généraliste refuse de me revoir, puisque c'est psychosomatique (coucou Dr. S, si vous me lisez !)
Changement de généraliste, tout autant alarmé, m'envoie ailleurs qu'au CHU. Là, on refait les analyses : les phosphore est normalisé, le reste est normal. On voit bien que je suis malade, mais il ne semble pas y avoir d'urgence vitale, donc il faudra se débrouiller avec la médecine de ville. Endocrinologue (RAS), neurologue (le test de vitesse de conduction est normal ; l’électromyogramme n'est pas significatif "parce que j'y mets de la mauvaise volonté"), gastro-entérologue.
Devant la chronologie des symptômes, je pense plutôt à un truc systémique, un truc extérieur. En passant des heures à me documenter, je commence à trouver que ça ressemble vraiment à une intoxication aux métaux lourds. Je fais le test de cheveux chez Microtrace. Résultat : mercure et argent trop hauts, cobalt (vitamine B12) à un niveau indétectable. Mercure+argent, ça ressemble fichtrement à une affaire d'amalgames dentaires. C'est vrai que j'ai un goût métallique dans la bouche. Seulement deux vieux amalgames de plus de 20 ans, un implant titane, la couronne sur l'implant en or, et deux autres couronnes en "semi-précieux" récentes et qui me causent un courant électrique. Un cas d'école de polymétalisme... Analyse de salive pour confirmer que ça vient bien de la bouche (par acquis de conscience) : mercure, argent, et nickel très hauts (c'est bon, j'ai trouvé ça veut dire quoi "semi-précieux" pour les couronnes). Mon dentiste, au vu des analyses, me dit qu'effectivement ça semble bien venir des amalgames, et me donne l'adresse d'une dentiste qui enlève ça dans les règles de l'art.
Suite à ça, mon généraliste (le nouveau) me suit. Il n'a de toute façon pas de meilleur diagnostic à proposer. Mais il n'y connaît rien en mercure, donc bon. Par moi-même, je vois bien que mes symptômes correspondent en grande partie à un problème de vitamine B12 (taux normal à l'analyse sanguine, mais pas de cobalt à l'analyse de cheveux, et pas mal des symptômes d'une carence en B12). Je commence un supplément de vitamine B12. C'est la renaissance : je remarche normalement, plus de problèmes d'élocutions, ni de tremblement, plus trop de brainfog, plus de spasmes. Ce qui reste : crise de tachycardie occasionnelles, et une curieuse hypersensibilité sur la poitrine (des fois, rien que le frottement des vêtements est insupportable). Presque au même endroit sur le torse, au niveau de l'estomac je dirais, j'ai une légère inflammation (peau vaguement rouge en permanence) et des tâches brunes apparues récemment. (Dermato dans un mois)
"Pour essayer", histoire de vérifier que ça n'était vraiment pas psychosomatique (même moi, je n'étais plus certain de rien), j'avais eu fin janvier quinze jours d'alprazolam (xanax), et j'avais remarqué que, même si ça ne me faisait pas remarcher ni partir le brainfog, ça calmait cette hypersensibilité et atténuait la tachycardie. J'ai donc demandé à continuer (oui, je sais, ce n'est pas très naturel comme produit, mais ça soulage). Non que ce soit psychosomatique, mais ça a des propriétés antiépileptiques, c'est-à-dire que ça calme l'activité désordonnée des neurones (ceux du système neuro-végétatif, en ce qui me concerne).
Là, depuis une dizaine de jours, ça s'écroule de ce côté-là. J'ai des fourmillements dans les mains, parfois mal dans les bras. Sur la poitrine, ça alterne entre très sensible, et une perte de sensibilité avec des fourmillements. Les crises de tachycardie se rapprochent (crise complète du système neurovégétatif : tachycardie (~170bpm), bouche sèche, mâchoire raide, transpiration soudaine des pieds, panique incontrôlable, vertiges, noeud dans l'estomac, et la sensation d'avoir eu un gros gros shoot d'adrénaline, bref le corps en état d'alerte maximale). Pour arranger le tout, j'avais rendez-vous avec la dentiste qui va me déposer les amalgames, elle me fait une petite "préparation" sur trois semaines avec chlorella et autre. Je ne prenais que du charbon jusqu'ici. Première prise de chlorella samedi matin, deuxième prise samedi midi ; le soir-même, la plus grosse crise de tachycardie/panique/hypersensibilité de ma vie. Abominable. La chlorella, ça a dû pas mal remuer la merde. J'ai essayé de nettoyer tout ça avec du charbon depuis, mais ça va vraiment mal, avec des pertes de sensibilités et des crises de plus en plus rapprochées. À noter que, habituellement le matin ça ne va pas trop mal, vers 16h les symptômes apparaissent, et je touche le fond entre 19h et 21h, puis ça s'améliore doucement. Mais là, ces trois derniers jours, même le matin ce n'est pas top.
C'est ce qui a motivé mon inscription. J'ai potassé pas mal le forum, le e-book, etc., j'ai compris les impacts neurologiques que le mercure pouvait avoir, mais là, en l'occurrence, mon brainfog s'est quasiment dissipé, les tremblements et fasciculations ont disparu, les problèmes d'élocutions sont partis, donc je n'ai plus trop de symptômes neurologique sur le système central, uniquement des symptômes locaux dans la poitrine ! C'est possible une action locale ?
J'ai bien compris que le mercure rentrait par les poumon et l'estomac, donc localement c'est bien là si ça se diffuse. C'est là aussi que j'ai les tâches brunes sur la peau et pas ailleurs. Ça semble plausible. Mais si c'est ça, que faire ?
Autre hypothèse : tout vient de l'estomac et des intestins qui perturbent le système neurovégétatif. Mais est-ce que ça peut aller jusqu'à provoquer des fourmillements dans les mains et une perte de sensibilité sur la poitrine ? N'est-ce pas un système séparé du système nerveux pour le sens du toucher ?
Bref, je suis à la recherche d'une idée d'explication, et comment résoudre le problème. Toute idée est la bienvenue. Merci d'avance !
Je viens de m'inscrire, mais ça fait quelques mois que je parcours la mine d'informations du forum. J'ai un problème de mercure et d'amalgames dentaires.
Voici une brève rétrospective de mon cheminement.
Aucun problème de santé jusqu'à récemment. En octobre, j'ai fait une grosse crise de tachycardie et/ou spasmophilie, pas bien identifié sur le moment, avec grosse panique, douleur thoracique, tension à 17. Le médecin m'envoie voir un cardiologue et me prescrit du repos. Cardiologue, RAS, coeur de jeune homme (j'ai 39 ans), électrocardiogramme normal, tension un poil élevé, puis vérifiée avec un holter tensionnel sur 24h, normale au final. Novembre-décembre, les crises reprennent, avec des spasmes à l'intérieur de la poitrine, comme des trucs qui vibrent, tachycardie, parfois quelques convulsions dans les membres. Bilan sanguin, RAS. Comme j'ai des troubles intestinaux et un peu mal à l'estomac, on me dit que c'est sans doute ça qui titille le nerf vague et déclenche les crises. Oméprazole, ça ne change rien. Puis j'ai du mal à marcher, lenteur musculaire, vertiges, faiblesse. Bilan sanguin plus poussé : hypophosphorémie. Le médecin me prescrit de la vitamine D et du phosphore. Je vais mieux pendant 3 jours, puis je m'écroule. Ça empire à grande vitesse, je commence à avoir des tremblements des mains, de la difficulté à parler, mon généraliste veut m"hospitaliser et m'envoie par les urgences. Les urgences me mettent dehors sous prétexte que c'est psychosomatique, mon généraliste refuse de me revoir, puisque c'est psychosomatique (coucou Dr. S, si vous me lisez !)
Changement de généraliste, tout autant alarmé, m'envoie ailleurs qu'au CHU. Là, on refait les analyses : les phosphore est normalisé, le reste est normal. On voit bien que je suis malade, mais il ne semble pas y avoir d'urgence vitale, donc il faudra se débrouiller avec la médecine de ville. Endocrinologue (RAS), neurologue (le test de vitesse de conduction est normal ; l’électromyogramme n'est pas significatif "parce que j'y mets de la mauvaise volonté"), gastro-entérologue.
Devant la chronologie des symptômes, je pense plutôt à un truc systémique, un truc extérieur. En passant des heures à me documenter, je commence à trouver que ça ressemble vraiment à une intoxication aux métaux lourds. Je fais le test de cheveux chez Microtrace. Résultat : mercure et argent trop hauts, cobalt (vitamine B12) à un niveau indétectable. Mercure+argent, ça ressemble fichtrement à une affaire d'amalgames dentaires. C'est vrai que j'ai un goût métallique dans la bouche. Seulement deux vieux amalgames de plus de 20 ans, un implant titane, la couronne sur l'implant en or, et deux autres couronnes en "semi-précieux" récentes et qui me causent un courant électrique. Un cas d'école de polymétalisme... Analyse de salive pour confirmer que ça vient bien de la bouche (par acquis de conscience) : mercure, argent, et nickel très hauts (c'est bon, j'ai trouvé ça veut dire quoi "semi-précieux" pour les couronnes). Mon dentiste, au vu des analyses, me dit qu'effectivement ça semble bien venir des amalgames, et me donne l'adresse d'une dentiste qui enlève ça dans les règles de l'art.
Suite à ça, mon généraliste (le nouveau) me suit. Il n'a de toute façon pas de meilleur diagnostic à proposer. Mais il n'y connaît rien en mercure, donc bon. Par moi-même, je vois bien que mes symptômes correspondent en grande partie à un problème de vitamine B12 (taux normal à l'analyse sanguine, mais pas de cobalt à l'analyse de cheveux, et pas mal des symptômes d'une carence en B12). Je commence un supplément de vitamine B12. C'est la renaissance : je remarche normalement, plus de problèmes d'élocutions, ni de tremblement, plus trop de brainfog, plus de spasmes. Ce qui reste : crise de tachycardie occasionnelles, et une curieuse hypersensibilité sur la poitrine (des fois, rien que le frottement des vêtements est insupportable). Presque au même endroit sur le torse, au niveau de l'estomac je dirais, j'ai une légère inflammation (peau vaguement rouge en permanence) et des tâches brunes apparues récemment. (Dermato dans un mois)
"Pour essayer", histoire de vérifier que ça n'était vraiment pas psychosomatique (même moi, je n'étais plus certain de rien), j'avais eu fin janvier quinze jours d'alprazolam (xanax), et j'avais remarqué que, même si ça ne me faisait pas remarcher ni partir le brainfog, ça calmait cette hypersensibilité et atténuait la tachycardie. J'ai donc demandé à continuer (oui, je sais, ce n'est pas très naturel comme produit, mais ça soulage). Non que ce soit psychosomatique, mais ça a des propriétés antiépileptiques, c'est-à-dire que ça calme l'activité désordonnée des neurones (ceux du système neuro-végétatif, en ce qui me concerne).
Là, depuis une dizaine de jours, ça s'écroule de ce côté-là. J'ai des fourmillements dans les mains, parfois mal dans les bras. Sur la poitrine, ça alterne entre très sensible, et une perte de sensibilité avec des fourmillements. Les crises de tachycardie se rapprochent (crise complète du système neurovégétatif : tachycardie (~170bpm), bouche sèche, mâchoire raide, transpiration soudaine des pieds, panique incontrôlable, vertiges, noeud dans l'estomac, et la sensation d'avoir eu un gros gros shoot d'adrénaline, bref le corps en état d'alerte maximale). Pour arranger le tout, j'avais rendez-vous avec la dentiste qui va me déposer les amalgames, elle me fait une petite "préparation" sur trois semaines avec chlorella et autre. Je ne prenais que du charbon jusqu'ici. Première prise de chlorella samedi matin, deuxième prise samedi midi ; le soir-même, la plus grosse crise de tachycardie/panique/hypersensibilité de ma vie. Abominable. La chlorella, ça a dû pas mal remuer la merde. J'ai essayé de nettoyer tout ça avec du charbon depuis, mais ça va vraiment mal, avec des pertes de sensibilités et des crises de plus en plus rapprochées. À noter que, habituellement le matin ça ne va pas trop mal, vers 16h les symptômes apparaissent, et je touche le fond entre 19h et 21h, puis ça s'améliore doucement. Mais là, ces trois derniers jours, même le matin ce n'est pas top.
C'est ce qui a motivé mon inscription. J'ai potassé pas mal le forum, le e-book, etc., j'ai compris les impacts neurologiques que le mercure pouvait avoir, mais là, en l'occurrence, mon brainfog s'est quasiment dissipé, les tremblements et fasciculations ont disparu, les problèmes d'élocutions sont partis, donc je n'ai plus trop de symptômes neurologique sur le système central, uniquement des symptômes locaux dans la poitrine ! C'est possible une action locale ?
J'ai bien compris que le mercure rentrait par les poumon et l'estomac, donc localement c'est bien là si ça se diffuse. C'est là aussi que j'ai les tâches brunes sur la peau et pas ailleurs. Ça semble plausible. Mais si c'est ça, que faire ?
Autre hypothèse : tout vient de l'estomac et des intestins qui perturbent le système neurovégétatif. Mais est-ce que ça peut aller jusqu'à provoquer des fourmillements dans les mains et une perte de sensibilité sur la poitrine ? N'est-ce pas un système séparé du système nerveux pour le sens du toucher ?
Bref, je suis à la recherche d'une idée d'explication, et comment résoudre le problème. Toute idée est la bienvenue. Merci d'avance !