
Bonjour à tous,
Mon parcours est un peu atypique de par la nature de mes symptômes, du diagnostique et du traitement dont je bénéficie depuis environ 6 ans (j'ai 26 ans)
Tout d’abord mes symptômes se résument surtout à la fatigue chronique. Si une intoxication était avérée, cette « fibromyalgie incomplète» ne serait pas surprenante du fait de mon passé de sportif de bon niveau. En effet, il me semble que je ne serais pas le seul ancien sportif à avoir ce syndrome particulier : les muscles notamment auraient été protégé par la pratique intensive expulsant le mercure vers des endroits plus tranquilles et plus moelleux…c'est-à-dire le cerveau qui ramassé le pactole. Quoi qu’il en soit voilà la descrïption des symptômes d’une cervelle qui connait un léger coup de mou passager depuis à peine 10 ans.
Symptômes avant traitement (modiodal):
Fatigue mortelle*** : Hypersomnie idiopathique diagnostiquée par un test itératif de latence d’endormissement (montrant un trouble des cycles du sommeil), sommeil non récupérateur (je dormais jusqu’à 16h par jour), épuisement profond et somnolence continue, apathie, maux de tête, lutte permanente pour la moindre action, état léthargique, vertiges, etc.
Troubles intellectuels*** : paralysie, asphyxie intellectuelle, sensation de cerveau vidé en neurotransmetteur, difficultés de concentration, exténué très rapidement surtout pour les travaux intellectuels couteux en énergie (rédaction), lenteur cérébrale, etc.
Troubles psychiques** : timidité, inhibition, trouble décisionnel, dépersonnalisation, déréalisation, angoisse paralysante, spasmophilie, etc.
Troubles physiques : douleurs au dos, faiblesse musculaire, mains bleues ; problèmes de peau (kératose pilaire, peau sèche, rougeurs au visage) ; gène articulaire : au niveau du cou (besoin de le « faire craquer ») (accompagnés de torticolis), sensibilité aux articulations des doigts, tremblements, etc.
électrosensibilité *** (légèrement moins forte qu’avant)
Intolérance alimentaire (manifeste lorsque je fais un écart au régime sans gluten et sans caséine)
photophobie
1 seul amalgame posé peu avant que je commence à vraiment déconner (en 98)
Eléments concordant avec l’hypothèse d’une intoxication in utéro :
Mère vaccinée tatouée dans les règles, possibles amalgames dentaires (elle s’en souvient plus exactement combien mais surement très peu)
Enfant surexcité, physiquement hyperactif, insomniaque, avec des souffrances musculaires et qui pleurait beaucoup ; Enfant insecure, ayant constamment besoin d’être rassuré, etc.
Intolérance alimentaire aux aliments pour bébé, douleurs digestives, reflux…
Tous les vaccins réalisés (+ hépatite B)
Mon histoire et mon parcours « thérapeutique »:
Les vrais problèmes se sont révélés à l’adolescence en entrant au lycée. Mes résultats scolaires ont évidemment bien traduit cette déchéance et les différents types de troubles sont allés crescendo : je suis passé de bon élève en seconde à un élève médiocre en terminale. Le seul amalgame dentaire que j’ai eu (posé en 98 et retiré à ma demande et sans précaution en 2003) a très curieusement coïncidé avec l’aggravation de mes symptômes. Mon état général continuait d’empirer progressivement et au moment d’entrer en fac j’avais déjà muté en zombi, et mis un pied en dehors de la réalité (je dormais alors 16h par jour).
Evidemment je n’ai pas échappé au classique parcours du combattant (2000): examens sanguins, enregistrement durant le sommeil (par un pneumologue), scanner… évidemment rien, je me retrouve donc comme tout le monde chez le psy (antidépresseurs, somnifères).
Trois années terribles s’ensuivent durant lesquelles je suis incapable de suivre les cours de fac sans faire de sévères burn-out et abandonne à chaque fois durant le premier semestre, jusqu’à ce que je consulte un neurologue qui, miracle, me trouve quelque chose.
Il me diagnostique une hypersomnie idiopathique (=dont on ne connaît pas la cause) en 2003 par un test itératif de latence d’endormissement qui montre que mes cycles de sommeil sont déréglés. A ce moment là la chance me sourit, puisqu’on me prescrit une nouvelle molécule récemment commercialisée en France et surtout réputée sans effet secondaire : le modafinil (modiodal). Ce médicament est classé dans la liste des médicaments d’exception, et sa délivrance est très contrôlée en France pour éviter les abus : il est notamment donné aux pilotes de chasse de l’armée américaine depuis la 1ère guerre du golfe pour leur assurer une vigilance sans faille pendant plus de 24 heures d’affilée. Malgré son apparente innocuité, ce neurologue ne me prescrit qu’une dose assez faible par rapport à ce qui est recommandé par la posologie.
J’apprendrai 2 ans plus tard après avoir péniblement retrouvé un peu de lucidité, par mes questionnements, qu’il avait autorisé qu’une faible dose pour ne pas me mettre je le cite : « dans une situation de dopage »… Ce fut mon dernier RDV avec ce sadique qui a délibérément bridé mon retour parmi les vivants pour respecter … un principe éthique ! (depuis quand les neurologues ont une conscience morale ?)
En effet j’ai pu trouver un autre neurologue ayant peut-être une capacité d’empathie un peu plus aiguisée pour la souffrance humaine (2005). Celui-ci me prescrivit le double de la dose sans aucun problème et j’ai alors pu commencer à survivre décemment, notamment en reprenant mes études avec un peu plus d’ambition.
C’est grâce à ces facultés retrouvées que j’ai alors pu approfondir mes recherches sur internet sur la réalité du monde médical et les dangers environnementaux, et trouver des manuels de survie en territoire hostile …J’ai ainsi notamment découvert les travaux de Pauling et commencé à prendre des grosses quantités de vitamines C oenologiques, ainsi que toutes sortes de compléments (multivitamine, thyrosine, carnitine, chlorure de Mg, etc) qui ont pu limiter partiellement mon anorexie mentale toujours handicapante malgré le modiodal consommé à de bonnes doses.
Deux ans plus tard, ce fut une nouvelle révélation, et j’ai même songé un instant être enfin sorti d’affaire lorsque j’ai acheté le livre de Seignalet et commencé le régime sans gluten et sans caséine. Ces privations m’apparaissaient dérisoires comparées aux bénéfices que m’apportait ce régime et me je me surprenais même à penser que finalement mon problème était principalement lié à une intolérance alimentaire. Comme l’explique très bien Françoise Cambayrac dans son livre, je me suis cru enfin sauvé, comme de nombreuses personnes au moment ou ils adoptent ce régime, puisqu’enfin on pouvait attribuer une cause tangible à tous ces troubles et un moyen efficace de les faire taire.
Sentant l’énergie réinvestir mon corps, et me voyant sortir de la somnolence naturellement au moment du réveil alors que j’étais auparavant incapable d’émerger de la journée sans ma béquille chimique, je décidais alors de stopper le modafinil. Mais les conditions étaient trompeuses, car nous étions en plein été, et j’étais en vacances…Les choses se sont en effet corsées lorsqu’il fallût se frotter à nouveau à la vraie vie. Je n’ai pas résister plus d’un mois sans modiodal et dus me résoudre à en reprendre sous peine de mettre en péril mon année universitaire.
Bref le régime SGSC reste à ce jour pour moi le meilleur remède, me permettant même hypothétiquement de survivre sans médicament, mais à condition que j’abandonne les études supérieures (impossible d’envisager un master)et que j'oublie les activités trop fatiguantes.
Néanmoins, même en prenant du modiodal, j’ai bien conscience d’être très en deçà de mes camarades de cours, sur le plan de la résistance, de la capacité d’attention et pour des travaux exigeants beaucoup de ressources. Je demeure également toujours le mec à l’ouest toujours indétrônable dans cet exercice, et j’ai besoin de faire pas mal de siestes.
Bref le premier semestre fut très difficile et le second risque de l’être encore plus. Voilà ce qui peut expliquer une certaine impatience de ma part, comme beaucoup lorsqu’ils découvrent le pot aux roses, à enfin essayer des produits performants pour un syndrome bien identifié.
Voilà donc en gros où j’en suis aujourd’hui, je ne suis donc vraiment pas le plus à plaindre. Il m’est même possible de presque vivoter sans trop morfler et de faire des études, même si ma vie sociale est inexistante.
J’envisageais donc d’essayer un des deux produits par voie orale, peut-être par précaution en premier le DMPS, même si j’ai le pressentiment en tant qu’ancien sportif que si je suis intoxiqué aux métaux lourds, ils se situeraient de manière privilégiée dans le cerveau comme j’ai pu le lire sur le forum (j’ai pratiqué le foot et l’athlétisme intensivement à un bon niveau jusqu'à 18 ans durant les moments ou j’étais en proie au mercure de mon amalgame et des vaccins que j’ai eu précédemment).
Bien sur je compte évidemment réaliser le test rapidement, mais je sais que certains le jugent pas forcément utile dans un premier temps, et je suis également intéressé pour éventuellement essayer le DMSA qui pour certains a produit des effets immédiats sur les performances intellectuelles (cela m’a fait grand défaut au premier semestre) même si bien souvent la prise de DMSA succédait à plusieurs IV de DMPS.( que pensez vous de cette démarche consistant à essayer directement le DMSA, en particulier dans des cas comme le mien? )
Une des questions est donc de savoir si on a déjà pu constater qu’il était judicieux, pour les personnes intoxiquées présentant un syndrome de fatigue chronique comparable, de commencer par prendre du DMSE puis DMSA, ou bien directement du DMSA.
J’aurais encore d’autres choses à préciser mais je crois que les courageux lecteurs qui arrivent jusque là sont déjà suffisamment épuisé, surtout un jour de réveillon. N’hésitez pas à me faire part de vos suggestions et remarques, en vous remerciant d’avance.
Joyeux noël à tous
alex
Mon parcours est un peu atypique de par la nature de mes symptômes, du diagnostique et du traitement dont je bénéficie depuis environ 6 ans (j'ai 26 ans)
Tout d’abord mes symptômes se résument surtout à la fatigue chronique. Si une intoxication était avérée, cette « fibromyalgie incomplète» ne serait pas surprenante du fait de mon passé de sportif de bon niveau. En effet, il me semble que je ne serais pas le seul ancien sportif à avoir ce syndrome particulier : les muscles notamment auraient été protégé par la pratique intensive expulsant le mercure vers des endroits plus tranquilles et plus moelleux…c'est-à-dire le cerveau qui ramassé le pactole. Quoi qu’il en soit voilà la descrïption des symptômes d’une cervelle qui connait un léger coup de mou passager depuis à peine 10 ans.
Symptômes avant traitement (modiodal):
Fatigue mortelle*** : Hypersomnie idiopathique diagnostiquée par un test itératif de latence d’endormissement (montrant un trouble des cycles du sommeil), sommeil non récupérateur (je dormais jusqu’à 16h par jour), épuisement profond et somnolence continue, apathie, maux de tête, lutte permanente pour la moindre action, état léthargique, vertiges, etc.
Troubles intellectuels*** : paralysie, asphyxie intellectuelle, sensation de cerveau vidé en neurotransmetteur, difficultés de concentration, exténué très rapidement surtout pour les travaux intellectuels couteux en énergie (rédaction), lenteur cérébrale, etc.
Troubles psychiques** : timidité, inhibition, trouble décisionnel, dépersonnalisation, déréalisation, angoisse paralysante, spasmophilie, etc.
Troubles physiques : douleurs au dos, faiblesse musculaire, mains bleues ; problèmes de peau (kératose pilaire, peau sèche, rougeurs au visage) ; gène articulaire : au niveau du cou (besoin de le « faire craquer ») (accompagnés de torticolis), sensibilité aux articulations des doigts, tremblements, etc.
électrosensibilité *** (légèrement moins forte qu’avant)
Intolérance alimentaire (manifeste lorsque je fais un écart au régime sans gluten et sans caséine)
photophobie
1 seul amalgame posé peu avant que je commence à vraiment déconner (en 98)
Eléments concordant avec l’hypothèse d’une intoxication in utéro :
Mère vaccinée tatouée dans les règles, possibles amalgames dentaires (elle s’en souvient plus exactement combien mais surement très peu)
Enfant surexcité, physiquement hyperactif, insomniaque, avec des souffrances musculaires et qui pleurait beaucoup ; Enfant insecure, ayant constamment besoin d’être rassuré, etc.
Intolérance alimentaire aux aliments pour bébé, douleurs digestives, reflux…
Tous les vaccins réalisés (+ hépatite B)
Mon histoire et mon parcours « thérapeutique »:
Les vrais problèmes se sont révélés à l’adolescence en entrant au lycée. Mes résultats scolaires ont évidemment bien traduit cette déchéance et les différents types de troubles sont allés crescendo : je suis passé de bon élève en seconde à un élève médiocre en terminale. Le seul amalgame dentaire que j’ai eu (posé en 98 et retiré à ma demande et sans précaution en 2003) a très curieusement coïncidé avec l’aggravation de mes symptômes. Mon état général continuait d’empirer progressivement et au moment d’entrer en fac j’avais déjà muté en zombi, et mis un pied en dehors de la réalité (je dormais alors 16h par jour).
Evidemment je n’ai pas échappé au classique parcours du combattant (2000): examens sanguins, enregistrement durant le sommeil (par un pneumologue), scanner… évidemment rien, je me retrouve donc comme tout le monde chez le psy (antidépresseurs, somnifères).
Trois années terribles s’ensuivent durant lesquelles je suis incapable de suivre les cours de fac sans faire de sévères burn-out et abandonne à chaque fois durant le premier semestre, jusqu’à ce que je consulte un neurologue qui, miracle, me trouve quelque chose.
Il me diagnostique une hypersomnie idiopathique (=dont on ne connaît pas la cause) en 2003 par un test itératif de latence d’endormissement qui montre que mes cycles de sommeil sont déréglés. A ce moment là la chance me sourit, puisqu’on me prescrit une nouvelle molécule récemment commercialisée en France et surtout réputée sans effet secondaire : le modafinil (modiodal). Ce médicament est classé dans la liste des médicaments d’exception, et sa délivrance est très contrôlée en France pour éviter les abus : il est notamment donné aux pilotes de chasse de l’armée américaine depuis la 1ère guerre du golfe pour leur assurer une vigilance sans faille pendant plus de 24 heures d’affilée. Malgré son apparente innocuité, ce neurologue ne me prescrit qu’une dose assez faible par rapport à ce qui est recommandé par la posologie.
J’apprendrai 2 ans plus tard après avoir péniblement retrouvé un peu de lucidité, par mes questionnements, qu’il avait autorisé qu’une faible dose pour ne pas me mettre je le cite : « dans une situation de dopage »… Ce fut mon dernier RDV avec ce sadique qui a délibérément bridé mon retour parmi les vivants pour respecter … un principe éthique ! (depuis quand les neurologues ont une conscience morale ?)
En effet j’ai pu trouver un autre neurologue ayant peut-être une capacité d’empathie un peu plus aiguisée pour la souffrance humaine (2005). Celui-ci me prescrivit le double de la dose sans aucun problème et j’ai alors pu commencer à survivre décemment, notamment en reprenant mes études avec un peu plus d’ambition.
C’est grâce à ces facultés retrouvées que j’ai alors pu approfondir mes recherches sur internet sur la réalité du monde médical et les dangers environnementaux, et trouver des manuels de survie en territoire hostile …J’ai ainsi notamment découvert les travaux de Pauling et commencé à prendre des grosses quantités de vitamines C oenologiques, ainsi que toutes sortes de compléments (multivitamine, thyrosine, carnitine, chlorure de Mg, etc) qui ont pu limiter partiellement mon anorexie mentale toujours handicapante malgré le modiodal consommé à de bonnes doses.
Deux ans plus tard, ce fut une nouvelle révélation, et j’ai même songé un instant être enfin sorti d’affaire lorsque j’ai acheté le livre de Seignalet et commencé le régime sans gluten et sans caséine. Ces privations m’apparaissaient dérisoires comparées aux bénéfices que m’apportait ce régime et me je me surprenais même à penser que finalement mon problème était principalement lié à une intolérance alimentaire. Comme l’explique très bien Françoise Cambayrac dans son livre, je me suis cru enfin sauvé, comme de nombreuses personnes au moment ou ils adoptent ce régime, puisqu’enfin on pouvait attribuer une cause tangible à tous ces troubles et un moyen efficace de les faire taire.
Sentant l’énergie réinvestir mon corps, et me voyant sortir de la somnolence naturellement au moment du réveil alors que j’étais auparavant incapable d’émerger de la journée sans ma béquille chimique, je décidais alors de stopper le modafinil. Mais les conditions étaient trompeuses, car nous étions en plein été, et j’étais en vacances…Les choses se sont en effet corsées lorsqu’il fallût se frotter à nouveau à la vraie vie. Je n’ai pas résister plus d’un mois sans modiodal et dus me résoudre à en reprendre sous peine de mettre en péril mon année universitaire.
Bref le régime SGSC reste à ce jour pour moi le meilleur remède, me permettant même hypothétiquement de survivre sans médicament, mais à condition que j’abandonne les études supérieures (impossible d’envisager un master)et que j'oublie les activités trop fatiguantes.
Néanmoins, même en prenant du modiodal, j’ai bien conscience d’être très en deçà de mes camarades de cours, sur le plan de la résistance, de la capacité d’attention et pour des travaux exigeants beaucoup de ressources. Je demeure également toujours le mec à l’ouest toujours indétrônable dans cet exercice, et j’ai besoin de faire pas mal de siestes.
Bref le premier semestre fut très difficile et le second risque de l’être encore plus. Voilà ce qui peut expliquer une certaine impatience de ma part, comme beaucoup lorsqu’ils découvrent le pot aux roses, à enfin essayer des produits performants pour un syndrome bien identifié.
Voilà donc en gros où j’en suis aujourd’hui, je ne suis donc vraiment pas le plus à plaindre. Il m’est même possible de presque vivoter sans trop morfler et de faire des études, même si ma vie sociale est inexistante.
J’envisageais donc d’essayer un des deux produits par voie orale, peut-être par précaution en premier le DMPS, même si j’ai le pressentiment en tant qu’ancien sportif que si je suis intoxiqué aux métaux lourds, ils se situeraient de manière privilégiée dans le cerveau comme j’ai pu le lire sur le forum (j’ai pratiqué le foot et l’athlétisme intensivement à un bon niveau jusqu'à 18 ans durant les moments ou j’étais en proie au mercure de mon amalgame et des vaccins que j’ai eu précédemment).
Bien sur je compte évidemment réaliser le test rapidement, mais je sais que certains le jugent pas forcément utile dans un premier temps, et je suis également intéressé pour éventuellement essayer le DMSA qui pour certains a produit des effets immédiats sur les performances intellectuelles (cela m’a fait grand défaut au premier semestre) même si bien souvent la prise de DMSA succédait à plusieurs IV de DMPS.( que pensez vous de cette démarche consistant à essayer directement le DMSA, en particulier dans des cas comme le mien? )
Une des questions est donc de savoir si on a déjà pu constater qu’il était judicieux, pour les personnes intoxiquées présentant un syndrome de fatigue chronique comparable, de commencer par prendre du DMSE puis DMSA, ou bien directement du DMSA.
J’aurais encore d’autres choses à préciser mais je crois que les courageux lecteurs qui arrivent jusque là sont déjà suffisamment épuisé, surtout un jour de réveillon. N’hésitez pas à me faire part de vos suggestions et remarques, en vous remerciant d’avance.
Joyeux noël à tous
alex