Présentation de troglomucky

Bonjour,
j'habite en Ariège, j'ai 37 ans et j'ai divers symptômes évolutifs depuis l'adolescence.
Dès le début de l'adolescence, je souffrais régulièrement de RGO, diarrhées, difficultés de concentration, fatigue chronique, assoupissement post-prondial, stases gastriques.
De nombreuses endoscopies et colloscopies n'ont rien révélé, les médecins ne me prenaient pas au sérieux.
On m'a même retiré les amygdales qui supposément obstruaient ma respiration et auraient été à l'origine de ma fatigue !!!
Je tenais en me gavant de Gaviscon (principalement du bicarbonate de soude) qui m'a certainement déréglé l'acidité de l'estomac.
Puis vers 25 ans j'ai commencé à faire des crises inflammatoires chroniques : état fiévreux intense (tremblements et suées) sans température, épuisement, vertiges, céphalées, yeux très rouges, évidemment RGO et diarrhées, éructations à l'odeur caractéristique souffrée.
J'ai alors supposé un hélicobacter pilori, et ai réussi à convaincre ma gastro de l'époque de faire une biopsie (estomac) qui était positive. Puis éradication de l'HBP par antibiotiques.
C'est à cette époque que l'on a découvert que tous les IPP me provoquaient immédiatement une intense douleur thoracique.
Découverte de la cimétidine qui soulageait mon RGO.
Je suis devenu végétarien pendant trois ans, mais mes symptômes (RGO, Diarrhées, éructations souffrées, poussées inflammatoires chroniques) ne faisaient qu'empirer, avec anémie, carences en Vitamine D et B...
A 32 ans j'ai fait le test Zamaria, dont les résultats étaient énormes, j'ai décidé l'éviction, ce qui me laissait pour me nourrir : viandes, poissons, riz, maïs, patates et 2/3 trucs. Donc je n'étais plus végétarien et ce régime m'a vraiment flingué le moral. Dans un premier temps j'ai eu une nette amélioration puis progressivement, en 2/3 ans, les symptômes reviennent. Je soigne mes poussées inflammatoires avec des doses massives de cortisone, ponctuellement (TRES efficace).
Vers 35 ans je rencontre le Dr Moreau (Rangueil, Toulouse), qui me diagnostique une dysbiose, et me prescrit Mikicort Budésonide (cortisone pour l'intestin, tous les jours) et Ranitidine (pour l'estomac, mieux que la cimétidine). Résultat à court terme : guéri. Je reprends une alimentation variée.
La Ranitidine, c'est une sacrée trouvaille, ça marche bien et ce n'est pas dangereux. Mais voilà que rapidement je me retrouve cortico-dépendant avec le Mikicort. Le Dr Moreau me met alors sous immuno-suppresseurs (immurel). Conséquence : douleurs abdominales affreuses, perte de poids, du coup j'arrête. Je prends de grandes quantités de Trimébutine, Spasfon, et un peu de Paracétamol pour supporter les crampes. Je mets plusieurs mois à m'en remettre.
Je vais voir le Dr Haennig (Ambroise Paré, Toulouse) qui est bien plus à l'écoute que tous les autres médecins. Il y a 6 mois j'effectue un test sanguin lors d'une crise qui révèle une CRP élevée, je me retrouve enfin pris au sérieux à l'hôpital où j'effectue un test de la bactérie de Whipple auquel je suis positif par PCR dans les selles.
Mon suivi est alors transféré au Pr Alric (Purpan, Toulouse) qui me propose d'abord un "traitement d'épreuve" (Colchicine) de la "maladie chronique inflammatoire", et réalise une biopsie (estomac) pour vérifier Whipple, et plein d'autres tests (maladies auto-immunes).
Je suis en attente des résultats de tous ces tests.
La colchicine semble contenir mes poussées inflammatoires mais augmente mes diarrhées, avec toujours cette odeur souffrée d'oeuf pourri quand je suis en crise. Le jus de pamplemousse ou d'orange (pas le citron) décuple l'effet de la colchicine et des diarrhées. N'ayant plus le droit (colchicine oblige) à la cortisone en crise, c'est le Nifuroxazide qui est ponctuellement très efficace, avec fort taux de globules blancs poly neutrophiles confirmant l'origine bactérienne.
Je prends connaissance aujourd'hui de l'existence du test gazdetect H2S que j'ai bien l'intention d'effectuer, j'ai écrit pour obtenir une adresse dans ma région, si vous en avez une je suis preneur.
J'ai 9 plombages dont je ne connais pas la nature. Je suis à jour DT-Polio Hépatite B, sans plus d'infos. Il y a 4 ans j'ai suivi une détox à base d'ail des ours, de coriandre et d'huile de poisson, le résultat a été très violent, fortes poussées inflammatoires, yeux écarlates, diarrhées, renvois souffrés, etc. J'ai arrêté.
Je vis aujourd'hui dans un environnement sain, n'ai pas d'ustensiles de cuisine en alu ou teflon, je mange beaucoup de riz/viande/poisson, à mon grand regret car j'ai à disposition plein de fruits et légumes du jardin que je tolère peu. J'évite le blé et les produits laitiers, qui ne me réussissent pas. Je mange principalement bio, y compris mes cosmétiques.
Je ne bois pas, je ne fume pas, ne prends aucune drogue (pas de café), je fais une heure de sport pas jour qui me fait beaucoup de bien (exercices abdominaux) notamment au moral. Le moral est très influencé, notamment par la météo. Le sommeil est aléatoire.
Je n'arrive plus à travailler depuis deux ans, mon état aléatoire m'en empêche, je suis au RSA et à la CMU, donc il m'est impossible de suivre un traitement non remboursé.
Merci par avance de toute l'aide que vous pourrez m'apporter.![bien [img]smile/thumb.gif[/img]](./images/smilies/thumb.gif)
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j'habite en Ariège, j'ai 37 ans et j'ai divers symptômes évolutifs depuis l'adolescence.
Dès le début de l'adolescence, je souffrais régulièrement de RGO, diarrhées, difficultés de concentration, fatigue chronique, assoupissement post-prondial, stases gastriques.
De nombreuses endoscopies et colloscopies n'ont rien révélé, les médecins ne me prenaient pas au sérieux.
On m'a même retiré les amygdales qui supposément obstruaient ma respiration et auraient été à l'origine de ma fatigue !!!

Je tenais en me gavant de Gaviscon (principalement du bicarbonate de soude) qui m'a certainement déréglé l'acidité de l'estomac.
Puis vers 25 ans j'ai commencé à faire des crises inflammatoires chroniques : état fiévreux intense (tremblements et suées) sans température, épuisement, vertiges, céphalées, yeux très rouges, évidemment RGO et diarrhées, éructations à l'odeur caractéristique souffrée.
J'ai alors supposé un hélicobacter pilori, et ai réussi à convaincre ma gastro de l'époque de faire une biopsie (estomac) qui était positive. Puis éradication de l'HBP par antibiotiques.
C'est à cette époque que l'on a découvert que tous les IPP me provoquaient immédiatement une intense douleur thoracique.
Découverte de la cimétidine qui soulageait mon RGO.
Je suis devenu végétarien pendant trois ans, mais mes symptômes (RGO, Diarrhées, éructations souffrées, poussées inflammatoires chroniques) ne faisaient qu'empirer, avec anémie, carences en Vitamine D et B...
A 32 ans j'ai fait le test Zamaria, dont les résultats étaient énormes, j'ai décidé l'éviction, ce qui me laissait pour me nourrir : viandes, poissons, riz, maïs, patates et 2/3 trucs. Donc je n'étais plus végétarien et ce régime m'a vraiment flingué le moral. Dans un premier temps j'ai eu une nette amélioration puis progressivement, en 2/3 ans, les symptômes reviennent. Je soigne mes poussées inflammatoires avec des doses massives de cortisone, ponctuellement (TRES efficace).
Vers 35 ans je rencontre le Dr Moreau (Rangueil, Toulouse), qui me diagnostique une dysbiose, et me prescrit Mikicort Budésonide (cortisone pour l'intestin, tous les jours) et Ranitidine (pour l'estomac, mieux que la cimétidine). Résultat à court terme : guéri. Je reprends une alimentation variée.
La Ranitidine, c'est une sacrée trouvaille, ça marche bien et ce n'est pas dangereux. Mais voilà que rapidement je me retrouve cortico-dépendant avec le Mikicort. Le Dr Moreau me met alors sous immuno-suppresseurs (immurel). Conséquence : douleurs abdominales affreuses, perte de poids, du coup j'arrête. Je prends de grandes quantités de Trimébutine, Spasfon, et un peu de Paracétamol pour supporter les crampes. Je mets plusieurs mois à m'en remettre.
Je vais voir le Dr Haennig (Ambroise Paré, Toulouse) qui est bien plus à l'écoute que tous les autres médecins. Il y a 6 mois j'effectue un test sanguin lors d'une crise qui révèle une CRP élevée, je me retrouve enfin pris au sérieux à l'hôpital où j'effectue un test de la bactérie de Whipple auquel je suis positif par PCR dans les selles.
Mon suivi est alors transféré au Pr Alric (Purpan, Toulouse) qui me propose d'abord un "traitement d'épreuve" (Colchicine) de la "maladie chronique inflammatoire", et réalise une biopsie (estomac) pour vérifier Whipple, et plein d'autres tests (maladies auto-immunes).
Je suis en attente des résultats de tous ces tests.
La colchicine semble contenir mes poussées inflammatoires mais augmente mes diarrhées, avec toujours cette odeur souffrée d'oeuf pourri quand je suis en crise. Le jus de pamplemousse ou d'orange (pas le citron) décuple l'effet de la colchicine et des diarrhées. N'ayant plus le droit (colchicine oblige) à la cortisone en crise, c'est le Nifuroxazide qui est ponctuellement très efficace, avec fort taux de globules blancs poly neutrophiles confirmant l'origine bactérienne.
Je prends connaissance aujourd'hui de l'existence du test gazdetect H2S que j'ai bien l'intention d'effectuer, j'ai écrit pour obtenir une adresse dans ma région, si vous en avez une je suis preneur.
J'ai 9 plombages dont je ne connais pas la nature. Je suis à jour DT-Polio Hépatite B, sans plus d'infos. Il y a 4 ans j'ai suivi une détox à base d'ail des ours, de coriandre et d'huile de poisson, le résultat a été très violent, fortes poussées inflammatoires, yeux écarlates, diarrhées, renvois souffrés, etc. J'ai arrêté.
Je vis aujourd'hui dans un environnement sain, n'ai pas d'ustensiles de cuisine en alu ou teflon, je mange beaucoup de riz/viande/poisson, à mon grand regret car j'ai à disposition plein de fruits et légumes du jardin que je tolère peu. J'évite le blé et les produits laitiers, qui ne me réussissent pas. Je mange principalement bio, y compris mes cosmétiques.
Je ne bois pas, je ne fume pas, ne prends aucune drogue (pas de café), je fais une heure de sport pas jour qui me fait beaucoup de bien (exercices abdominaux) notamment au moral. Le moral est très influencé, notamment par la météo. Le sommeil est aléatoire.
Je n'arrive plus à travailler depuis deux ans, mon état aléatoire m'en empêche, je suis au RSA et à la CMU, donc il m'est impossible de suivre un traitement non remboursé.
Merci par avance de toute l'aide que vous pourrez m'apporter.
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