Sandrine

Récits du parcours de chacun, entraide entre membres et discussion
Règles du forum
Rappel: un seul sujet de présentation par utilisateur!

Messagede sandrine » Mar 27 Jan 2009 03:44

Bonjour,

J'ai découvert le pb des métaux lourds et des amalgames grâce au livre de Françoise que j'ai lu en diagonale, tellement pressée de trouver les solutions qui pourraient me sortir de ce marasme. Je me suis donc inscrite sur le forum rose et histoire de partager avec encore d'autres personnes, me voici sur le bleu...

J'ai 34 ans, une bonne douzaine de "plombages" ainsi qu'une belle couronne nickel chrome silicium molybdène sur un tenon en titane dans ma bouche et des problèmes de santé inexpliqués depuis plusieurs années...
Pour résumer, je suis née prématurée mais ma mère ayant eu beaucoup de difficultés à mener à bien ses grossesses, ce n'était pas très étonnant (d'ailleurs à l'époque on bourrait les femmes ayant ce type de problème d'un médicament quasi "magique",le dystilbène...donc j'ai eu droit aux effets in utero, premier "empoisonnement" alors que je n'étais pas encore née !). Ensuite j'ai toujours entendu dire que j'avais été une enfant constamment malade et que jusqu'à l'âge de quatre ans, la médecine disait de moi que je ne survivrai pas.... En gros, impossibilité de boire du lait bébé (il paraît que je le vomissais même par le nez... j'ai été élevée au potage de légumes), des otites à répétitions, un gros problème sanguin (dont je ne connais pas le nom, je sais juste qu'il a été question de me "changer mon sang" à une époque car je m'auto-empoisonnais toute seule), une croissance pas terrible, d'énormes problèmes de sommeil (malgré des litres et des litres de nopron et autres sédatifs largement répandus à l'époque...), des douleurs dans le ventre que l'on croyait somatiques (mes meilleurs amis étaient la viscéralgine en beau sirop rouge délicieux et les petits granulés jaunes de vanilone infantile que j'avalais en très grosses quantités), des troubles de l'équilibre (que l'on attribuaient à de la maladresse et à un manque de concentration), de gros problèmes de peau amplifiés à l'adolescence (au point de ne plus supporter les pièces fermées), des tics nerveux du visage (mouvements incontrôlables des paupières qui avaient disparu un beau jour pendant l'enfance et qui sont revenus sans prévenir il y a environ un an), etc etc... J'ai appris à vivre avec tout ça et même à trouver ça normal... Pour ma peau, j'ai passé des années à consulter nombre de dermatos qui m'ont chacun leur tour assommée de cortisone à tout va, sans succès... J'ai alors dit au revoir à la médecine et je me suis résignée à vivre avec ma peau de crapaud, mes troubles du sommeil, mon hirsutisme grandissant et des périodes de fatigue inexpliquée (mais étant une forcenée du travail et ne sachant pas rester inactive, je me disais que la fatigue était "normale"...). Pendant ces années là, à part quelques rhumes et des douleurs lombaires ou quelques accidents qui m'obligeaient à consulter, je ne passais plus mon temps à être "trimballée" de médecin en médecin. Mais ayant toujours eu un émail très fragile, j'ai continué cependant à recevoir des amalgames très régulièrement, à en remettre quand ils tombaient (ce qui arrivait fréquemment) et comme la brosse à dent me fait saigner depuis des années, j'avoue avoir "oublié" plus d'une fois de me brosser les quenottes... mais comme j'étais très "accroc" aux produits sucrés, bien sûr les caries ont continué leur petit travail sournois, attaquant mes dents les unes après les autres... Il y a quelques années, j'ai fait une grosse dépression suite à un accident de la route et malgré 9 mois d'antidépresseurs et d'anxiolytiques puissants qui ne m'ont donné que des effets indésirables (prise de 17 kilos en quelques semaines, transpiration nocturne au point de mouiller le matelas et que cela coule en dessous du lit et j'en passe), aucune amélioration. J'ai demandé à mon médecin généraliste de m'interner quand j'ai eu mes premières idées suicidaires, ce qu'il a refusé en m'assurant qu'"on allait y arriver", qu'il me connaissait bien et que j'allais m'en sortir... et effectivement, un jour j'ai eu un déclic ultime qui m'a fait balancer tous les médocs d'un seul coup et après un cap difficile dû au "manque" de ces fameux médocs (censés me faire du bien à la base et non pas me droguer...), j'ai revu la vie en rose, très optimiste. Tellement heureuse de revenir à la vie, j'ai fait un beau bébé, qui est arrivée elle aussi prématurément (comme moi) et que j'ai allaitée (ô malheur maintenant que je sais !) durant trois ans... Malgré beaucoup d'embûches, j'ai été très zen avec son arrivée et ce pendant environ deux ans. Les différents dentistes fréquentés depuis sa naissance ont quant à eux continué leur travail de sape, et quand je lis maintenant que l'on ne pose pas d'amalgames à une femme qui allaite, je peux vous assurer le contraire !!! Et depuis quelques jours j'ai reçu la copie de mon dossier dentaire datant de la période où j'étais enceinte et j'ai eu trois amalgames de posés pendant ma grossesse alors que j'avais bien demandé au dentiste s'il y avait un risque... Il y a presque deux ans, alors que j'allaitais toujours ma fille (et sans que cela soit une contrainte mais un réel plaisir), après plusieurs mois de fatigue que j'expliquais par le contre coup de beaucoup de bouleversements dans ma vie, je me décidais à en parler à mon nouveau généraliste (ayant déménagé ce n'était plus celui de l'époque de la dépression) qui m'a tout bonnement répondu que ce n'était pas facile d'élever un enfant seule et que c'était normal. Je lui ai dit que j'avais toujours beaucoup travaillé dans ma vie et que là, je sentais bien que ce n'était pas la même fatigue mais il n'a rien voulu savoir... Plusieurs mois ont passé et j'étais toujours aussi fatiguée, avec des problèmes de dos, de douleurs musculaires mais bougeant beaucoup physiquement, je me suis dit que j'en faisais sûrement trop... Et puis je travaillais depuis un bout de temps déjà sur la création de ma future entreprise et avec une petite puce à gérer en même temps plus d'autres activités, normal d'être crevée... En vue de ma future entreprise justement (métier du spectacle), je décide de reconsulter un dermato pour voir si je peux avoir une piste au sujet de mon hirsutisme qui s'étale de plus en plus sur le visage. Elle me dirige vers une endocrinologue, rdv est pris quelque mois plus tard. Entre temps, ma mère m'informe que l'on vient de lui diagnostiquer une hypothyroïdie auto-immune (Hashimoto). Vraiment pas convaincue, j'en parle vaguement à l'endocrinologue qui m'ausculte et trouve ma thyroïde un peu grosse. Elle décide de me faire des analyses et là, ça tombe : Hashimoto aussi pour moi !!! J'oscille quelques jours entre désespoir d'être atteinte d'une maladie incurable avec traitement à vie et l'espoir d'enfin ne plus être fatiguée dès le bon dosage de lévothyrox trouvé. Ayant peur de prendre des médocs en allaitant, d'un commun accord, ma fille et moi décidons d'arrêter l'allaitement. Je fais du yo-yo avec mes dosages de lévo, dès que c'est trop fort je bascule en hyper, dès que je rebaisse, je retombe en hypo... Depuis l'été 2007, soit après environ quatre mois de lévo, je suis de plus en plus fatiguée, je perds mes mots, je n'arrive pas à articuler et je parle à cent à l'heure en bouffant la moitié de mes phrases, je transpire alors que je ne transpire pas de nature, je me cogne partout (je loupe les entrées de porte, je me cogne le front en voulant regarder par la fenêtre, je manque de louper des marches dans les escaliers, je me cogne en me baissant pour ramasser quelque chose, etc...), je prends du courant avec tout ce qui est métallique ou acrylique ou même en touchant quelqu'un, j'ai des maux de têtes très douloureux, des douleurs lombaires et cervicales, sciatiques, beaucoup d'irritabilité, de grosses envie de pleurer mais qui ne ressemblent pas à une dépression (je le sais, je vois bien la différence), des nuits d'insomnie et de cauchemards et j'en passe... Tout ce que ce crétin de généraliste trouve à me dire c'est "prenez du millepertuis"... J'achète la boite mais ne prends pas les gélules... Je consulte un homéopathe un peu étrange qui revitalise et fait des choses un peu bizarres avec des pierres et aussi de l'acupuncture qui me dit qu'on peut guérir de la thyroïdite d'Hashimoto, que je peux même arrêter le lévo (ce que je ne fais pas pas peur de retomber dans l'état de fatigue avant lévo qui me paraissait pire qu'avec) et que pour mon utérus, je peux guérir et qu'il suffit pour cela de ne plus y penser et de ne surtout pas en parler (j'ai oublié de vous dire le tableau clinique étant tellement long que depuis 2005 on m'a trouvé des cellules précancéreuses sur le col de l'utérus mais qu'elles apparaissent et disparaissent puis évoluent au gré des différents frottis et biopsies...). Je le trouve un peu space mais bon, pourquoi pas... Je retourne le voir un mois plus tard car ça ne va pas mieux, ma thyro continue à dégringoler et je suis de plus en plus fatiguée. Nous sommes en décembre 2007. Là il recommence ses grands gestes (je suis allongée) avec ses bras au dessus de moi et me dit presque décomposé : "c'est plus grave que ce que je pensais, toutes vos énergies sont à zéro : il n'y a pas que votre thyroïde : hypophyse, hypothalamus, surrénales, tout est au plus bas, il faut agir ! Et niveau cérébral, c'est pas mieux !". Super rassurant le doc ! Mais comme il ne parle pas beaucoup, je n'arrive pas à en savoir plus et je le laisse faire ses manipulations et repars avec une ordonnance d'homéo. Quinze jours plus tard, je me retrouve aux urgences, incapable de tenir debout, nausées, vertiges et nystagmus à la clé, un gros dérèglement soudain de l'oreille interne m'est tombé dessus... La cata : l'enregistrement de ma nouvelle entreprise est prévu pour le lendemain ! On me dit que c'est le stress, que d'élever un enfant seule et qu'en plus créer son entreprise génère beaucoup de stress et c'est limite si on ne me dit pas que c'est psychosomatique ! Rien au scanner, résultats sanguins normaux. On me met sous perf et on me garde en observation. Je sors le surlendemain ayant fait des pieds et des mains pour quitter l'hôpital, ma fille refusant de s'alimenter depuis mon hospitalisation. Je me tiens aux murs pendant plusieurs semaines et je suis incapable d'assumer le quotidien. Je vais régulièrement à l'hôpital pour des tests auditifs et examens divers. A part quelques-uns qui prouvent que j'ai une oreille interne qui fonctionne mal, tout est normal. Terrorisée par cette invalidité, je prends bien sagement tous les médocs prescrits, sans que le professeur du service orl n'arrive à trouver de cause à mes vertiges. Au bout de quatre mois sans guérison, il met ça sur le compte de la thyroïde et me dirige vers une de ses collègues endocrinologue de l'hôpital. Très gentille, elle m'écoute attentivement et me fait allonger. Elle me fait mal en palpant mes surrénales... Batterie d'examens avec pds test puis nouvelles pds après injection de réactif : résultat : mes surrénales aussi sont malades ! Depuis mai 2008, je suis non seulement sous lévothyrox (dont le bon dosage n'a toujours pas été trouvé !) mais aussi sous cyprotérone et estreva, je n'ai plus de cycles, je fais de l'hypotension nocturne (transpiration excessive dans mon lit et tension moyenne au réveil d'environ 8/5), j'ai toujours aussi mal aux muscles, je suis de plus en plus fatiguée, je suis incapable de m'occuper de l'entreprise, je désespère de retrouver un jour une vie "normale" et je ne vois pas comment je peux m'en sortir financièrement et médicalement... Je commence à sombrer doucement mais sûrement dans une dépression, les médecins consultés me disent tous que mes examens sont normaux (cardiologue et pneumologue vus récemment car palpitations et difficultés respiratoires avec sensations de compressions thoraciques, ça m'arrive même d'oublier de respirer quelques secondes plusieurs fois par jour par périodes mais non, c'est normal, le stress ma bonne dame !). Puis je rencontre quelqu'un qui me conseille le livre de Françoise Cambayrac et là c'est la révélation ! L'espoir renaît ! J'essaye de repasser en mémoire ce qui aurait pu en plus de tous ces fichus plombages m'intoxiquer et je repense au jour où j'ai joué avec les billes de mercure d'un thermomètre qui s'était cassé quand j'étais petite, je repense aux litres de mercurochrome que j'ai eu sur tout le corps pendant des années vu que je chutais beaucoup avec mes troubles de l'équilibre étant enfant, je repense que ma mère a passé toute sa jeunesse chez le dentiste parce qu'elle avait de gros problèmes dentaires, je repense qu'on m'a fait 5 fois le bcg (et qu'il n'a pourtant jamais pris !) et qu'on m'a refait le vaccin contre la rubéole quand j'ai accouché parce que visiblement, il n'avait pas pris non plus, que cette année j'ai fait mon rappel de vaccination, que j'ai manipulé beaucoup de produits vétérinaires pendant des années, et enfin je suis quasi certaine (mais je n'ai pas retrouvé l'ordonnance malheureusement) que le fameux homéopathe bizarre de décembre 2007 m'avait prescrit mercurius solubilis ainsi que plombum metallicum et argentum nitricum et que c'est peut-être ça qui m'a envoyée à l'hosto deux semaines plus tard !!! Dès la lecture du bouquin, j'ai commencé aussitôt le régime SGSC (un vrai casse tête vu comment je suis accroc aux produits laitiers et aux quiches et tourtes en tout genre !) J'ai contacté le médecin le plus près de chez moi qui m'a "testée" avec son test énergétique et je ne réagis apparemment à rien sauf une minime réaction au DMSA selon sa machine ce qui me fait me poser des questions sur le traitement à suivre. De plus le jour de mon rdv pour le test de mobilisation, ma voiture tombe en panne en y allant, là je me dis qu'il y a peut-être un problème... Je voulais faire le MELISA avant le test de mobilisation mais le doc ne semblait pas ok alors vu que j'ai dû annuler mon rdv pour le test de mobilisation, j'ai pris du temps pour me documenter plus avant sur le MELISA et ne pas me tromper dans les étapes à franchir pour me soigner. Après quelques argumentations, le doc s'est renseigné de son côté et me dit qu'effectivement, il serait mieux de faire le MELISA pour mon cas avant toute chélation (ma thyroïdite est auto-immune et peut-être que l'atteinte de mes surrénales aussi) donc je dois aller faire le test d'ici peu, j'attendais d'avoir la composition exacte de ma couronne que j'ai eu seulement aujourd'hui en téléphonant directement au fabricant, le dentiste ne m'ayant pas mis la fiche technique mais juste le nom de l'alliage.
Et puis en parcourant le forum bleu il y a quelques jours, je tombe sur un post qui parle de la maladie de Lyme et je vois que Kate dit qu'elle n'arrive pas non plus à trouver le bon dosage de lévothyrox et que c'est sûrement lié à la maladie de Lyme. Je me plonge dans les symptômes de cette maladies et je repense que déjà toute gamine j'avais été piqué par des tiques et que depuis ça m'arrive très très souvent, travaillant et vivant avec des animaux depuis toujours... D'après le tableau des symptômes sur le site "tiquatac", j'ai un total de 39 symptômes sur 46 donc j'ai commandé un kit au labo S de Strasbourg et j'ai rdv demain chez mon généraliste pour lui demander une ordonnance.

Je tiens à dire que grâce à vous tous (d'ici ou du forum rose), je progresse dans mes connaissances et cela m'éclaire beaucoup dans la façon d'aborder les étapes les unes après les autres. Donc pour moi cela va être :
1- test Lyme
2 - test MELISA
3 - test de mobilisation (reste à savoir avec quel produit puisque le DMPS ne me correspondrait pas d'après le test énergétique) ou alors d'abord test avec un comprimé de chélateur avant d'attaquer l'IV pour voir ma réaction, je ne sais pas.
4 - dépose urgente de la couronne et des amalgames si allergie d'après le MELISA, sinon chélations mensuelles comme beaucoup d'entre vous.

Je prends beaucoup de précautions pour essayer de minimiser les risques de mauvaises réactions au chélateur car je suis déjà dans un sale état mais je n'ai absolument personne pour prendre le relais pour s'occuper de ma fille et de mon entreprise si je tombe encore plus bas. Le pire c'est que je ne veux rien faire paraître en dehors de chez moi donc tout le monde croit que je suis une fille très énergique - limite hyperactive même - alors que ce n'est qu'une façade et que je lutte pour cela. Je ne sais pas si vous faîtes de même ou pas. Moi je me souviens trop de l'époque où j'ai fait ma grosse dépression et où j'ai laissé voir que j'étais une loque et beaucoup de gens en ont profité donc je ne veux pas recommencer mais d'un autre côté, ça devient de plus en plus dur de ne trouver que de l'incompréhension autour de moi car je n'arrive pas à suivre... Heureusement qu'il y a ces deux forums ;o)

Voilà mon histoire, désolée d'avoir été si longue mais elle est compliquée, comme beaucoup d'entre vous. Merci à ceux qui auront eux la patience de me lire.

Sandrine
sandrine

Bébé melodien
Bébé melodien
 
Messages: 20
Inscription: Mer 21 Jan 2009 07:00
Localisation: sarthe

Messagede joelsylvie » Mar 27 Jan 2009 08:05

Bienvenue Sandrine,

1) tu es à la bonne adresse

2) tu as gagné le concours de la plus longue présentation, et d'un des plus gros cumul de symptômes.

Je suis aussi intoxiqué depuis la naissance, même si les symptômes de l'enfance ont été moins lourds que les tiens.

Il me semble que ton corps élimine mal le mercure.
Car j'ai eu environ une cinquantaine d'amalgames posés, pour 23 dents; et je m'en tire mieux que toi.
Rajoute donc un test (c'est pas urgent!) :
celui des Apolipoproteines E = APOE, qui te permettra de savoir quelles capacités génétiques (moitié mère/ moitié père) tu as pour te désintoxiquer.

Au fait, et ton père?
Car tu n'as parlé que de ta mère ...
Or tu n'es pas obligé de suivre ses traces dans la maladie, surtout si ton père t'a donné un bon gène APOE.

Tous ces tests sont importants.
Mais en fait, tu sais déjà =
tu es intoxiquée au mercure depuis ta naissance; et les amalgames et autres vaccins ont rajouté une couche.
Et tout ce que tu as, es une conséquence du mercure!


Te précipiter vers une dépose représente un GROS RISQUE.
Et ne me semble pas une priorité, même si tu es allergique.
Car je te trouve bien faible pour supporter, comme ça, l'empoisonnement que représente tout soin dentaire.

Sont des priorités :
-- DESSERRER l'ÉTAU de l'intoxication : par une grosse charge en compléments (onagre-bourrache, vit C, ... ), par les premières chélations, par des bains de bouches plusieurs fois par jour, par une protection contre les ondes de portables, Wifi, tel sans fil.
-- AMÉLIORER tes intestins, Reins et Foie
-- TE PRÉPARER en vue des déposes, qui sont une sorte d'expédition en terrain ennemi (dentiste + mercure).

Dans 2 mois, si tu es allergique, ou dans 4 mois si tu ne l'es pas, tu seras plus forte, moins intoxiquée, plus préparée à faire cette première dépose.


Mes conseils sont :
-- Tu as BEAUCOUP de Métaux (nickel, mercure, ..) en bouche.
Alors, récupère DE SUITE les métaux dans ta bouche :
Protocole SIMPLIFIÉ les B-A-BA
Le protocole complet est ICI

-- Pour te protéger des ondes qui augmentent beaucoup les largages de métaux en bouche : nous mettons au point entre nous un
Kit de protection "bonnet"+"écharpe" en tissu anti-ondes

-- Commence à charger ton corps avec 16 capsules d'huiles d'onagre par jour, plus les autres compléments.
Et ajoute d'autres huiles (Lin, Carthamme, Olive)

-- Commence à prendre de la vit C sous la forme d'acide L-ascorbique ou MIEUX d'Ascorbates :
voir ici pour les lieux d'achats :
Commence à 3 fois 0,5 g par jour, et augmente très progressivement.

Et quand tu iras mieux, nous ferons le concours du plus long post

joël
Les médecins chélateurs ne sont utiles QUE pour faire une ordonnance


car leurs traitements sont mauvais


Les tests de provocation sont inutiles, dangereux, retardent la guérison


Les IV sont la plus mauvaise méthode pour le DMPS


et tout ça est trop cher
Avatar de l’utilisateur
joelsylvie

Sage de l'intoxication
Sage de l'intoxication
 
Messages: 2629
Inscription: Dim 4 Nov 2007 06:00

Messagede marie-louise » Mar 27 Jan 2009 12:13

Bonjour Sandrine
Ta longue présentation montre une fois de plus à quels errements nous sommes condamnés pour trouver cette pathologie non reconnue.
Le manque de scrupule des dentistes qui t'ont placé des amalgames alors que tu allaitais est vraiment scandaleux.
Mais dans ce domaine plus rien ne m'étonne.
Pourquoi as-tu refusé le millepertuis? Je ne connais pas mais pour avoir essayé les antidépresseurs allopathiques, je peux te dire que ça doit sûrement être moins nocif.
J'espère que tu vas trouver une solution rapidement.

Bienvenue
Marie-Louise
marie-louise

Sage de l'intoxication
Sage de l'intoxication
 
Messages: 2205
Inscription: Jeu 2 Nov 2006 07:00
Localisation: Nice

Messagede marco » Mar 27 Jan 2009 13:14

Bienvenue Sandrine

Le moins que l'on puisse dire c'est que tu n'as pas été épargnée depuis ta naissance. Aujourd'hui tu sais que tu es intoxiquée au mercure et tu as raison de vérifier aussi pour Lyme. Alors c'est le début d'un autre long chemin, mais celui-ci vers le mieux être et la guérison.
marco

Encyclopédie vivante
Encyclopédie vivante
 
Messages: 7082
Inscription: Sam 10 Mar 2007 07:00
Localisation: Alpes Maritimes

Messagede geraldine » Mar 27 Jan 2009 13:17

Bonjour Sandrine et bienvenue parmis nous !

Quel parcours !
bon courage à toi .
geraldine

Chercheur de vérités
Chercheur de vérités
 
Messages: 536
Inscription: Mer 5 Nov 2008 07:00

Messagede pierrotzen » Mar 27 Jan 2009 21:50

Bienvenue Sandrine
Merci de nous faire partager ton histoire,tu es une victime caractéristique de nôtre systéme médical pourri,qui ne soigne rien et en plus voudrait nous le faire croire.Dans ton cas il serait peut-être bien de commencer le DMPS par des gelules plutot que par des IV ,juste pour tester avec une petite dôse au début car vu la quantité de médocs que tu as ingurgité il vaut mieux être prudente.
Bien amicalement.
Pierre
Rappel : Aucun message posté ici ne fait office de prescription médicale, seul le médecin traitant est habilité à prescrire un traitement.
Avatar de l’utilisateur
pierrotzen

Sage de l'intoxication
Sage de l'intoxication
 
Messages: 2336
Inscription: Mer 31 Oct 2007 06:00

Messagede gigi » Mar 27 Jan 2009 23:06

Bienvenue Sandrine !
Tu a soubolié une chose importante dans la liste de tes actions vers le rétablissement de ta saté : la protection contre les cem. Je pense que tu es très exposée (téléphone sans fil, portable, radio-réveil ..., peut -être antenne relais ...) et qu'il faut absolument que tu assainisses ton environnement. Les cem empêchent lkes cellules de se détoxiquer, ouvrent la barrière céphalique (les ml pénètrent alors facilement dans le cerveau) et potentialisent les ml. Je t'invite à aller visiter la rubrique qui traite de cette pollution ! Courage, tu es sur la bonne voie ! Gigi
gigi

Encyclopédie vivante
Encyclopédie vivante
 
Messages: 4153
Inscription: Sam 10 Mar 2007 07:00
Localisation: Sisteron

Messagede catherine » Mer 28 Jan 2009 00:14

Bonsoir et bienvenue Sandrine !
Merci de ce partage détaillé de ton histoire si douloureuse. Je ne rajouterai rien à tous ces bons conseils que tu viens de recevoir ci-dessus. En les mettant en pratique, je suis sûre que tu trouveras vite une amélioration de ton état de santé. Courage !
Catherine
catherine

Encyclopédie vivante
Encyclopédie vivante
 
Messages: 4404
Inscription: Dim 4 Mar 2007 07:00
Localisation: Genève

Messagede marya » Mer 28 Jan 2009 09:11

bonjour Sandrine,
ton parcours est terrible, je pense que tu as trouvé l'issue de secours, ça sera un peu long
34 ans +9 mois ouf !!. Ce qui me chagrine aussi
je suis maman d'1 garçon 27 ans et une fille 24 ans, c'est de réaliser combien nous avons été dupé par la médecine et nous en avons fait profité nos enfants. Comment faire marche arriére. Nous leur avons administré des antibiotiques, vaccins, nopron , sucreries,
boissons etc... tu es sur la bonne voie, ne te laisse pas abattre dans les moments difficiles.
bon courage, meilleure santé.
marya

Chercheur de vérités
Chercheur de vérités
 
Messages: 1098
Inscription: Jeu 21 Fév 2008 07:00
Localisation: marseille


Retourner vers Présentation de chacun des membres

Qui est en ligne

Utilisateurs parcourant ce forum: Aucun utilisateur enregistré et 78 invités