gogote a écrit:En fait, je te rejoins comme très souvent, mais je suis aussi méfiant à la fois, car quid de l'oeuf ou la poule ??
On parle de problème mécanique, de structure etc, mais penses-tu que nous soyons fait pour naître "déformé" ??
Je ne le pense pas, et c'est donc qu'il y a bien un souci à la base qui a donné lieu à un mauvais développement embryonnaire, ou lors de la naissance. Et c'est la ou tu retrouves finalement déjà les métaux lourds, et les toxines transmises par les parents à l'enfant.
Du coup, est-ce qu'il vaut mieux réparer la structure avant ? Est-ce que surtout on le peut réellement si nous avons l'ensemble de toxines sous-jacentes ?
Quid de l'oeuf ou de la poule... épineuse question en effet, car les arguments sont tout aussi recevable qu'on se place du point de vue du premier, ou du second... donc qui peut le dire avec certitude? Ca me semble tout bonnement impossible, et pour ma part je pense donc que puisque c'est impossible a déterminer, il faut alors simplement prendre le problème sous un autre angle.
Et si l'on se posait tout simplement la mauvaise question? je veux dire par la qu'on cherche a tout prix a SAVOIR quelquechose qui ne peut pas etre déterminé avec certitude, et qui de toute manière n'a qu'une influence
partielle sur la RESOLUTION de cette problématique.
Qd bien même ce serait les métaux lourds et les carences minérales qui seraient en grande partie en cause des problèmes ostéopahtique complexes auquels font face les malades environementaux, alors cela ne voudrait pas dire pour autant que la résolution de ce problème se situe sur le fait qu'il faille foncer tête baissé sur une chélation...et c'est bien la que je veux en venir et que je m'efforce de prendre le temps d'expliquer sur mélodie cela: le rapport n'est jamais direct et les effets de bords sont tjrs multiples, nécéssitant donc d'avoir tjrs une approche réfléchie et intélligente qui prend en considération les co-facteurs en interdépendance. Se mettre des oeillères parceque l'étendu d'une équation nous semble trop complexe n'a jamais aidé a réellement résoudre celle ci, en tout cas c'est ma perception des choses et le pourquoi je peux apraitre "pinailleur" aux yeux de certains
(qui aimeraient juste qu'on leur dise: mais tu as raison, c'est très simple, il sufit de faire ça et ça et ça, comme ton voisin, et tout ira bien!)
Ceux qui sont sur le forum depuis suffisament longtemps, qui ont éssayé plein de choses et qui ont eut bcp de désilusions, percevront peut etre plus aisément ce que je cherche a dire sans cesse sur le forum rien n'est jamais tout noir ou tout blanc et comprendre les multiples teintes qui se cachent au milieu de ces deux opposés, c'est se donner de réelles chances de guérir globalement et réellement.
J'en viens donc a ce qui me semble donc le plus important ici: changer de question et plutot se demander quel est notre but actuel, quel résultat veut-on obtenir dans les démarches que l'on entreprend? Les mélodiens aguéris savent depuis belle lurette que la toxicité globale du corps est un acteur majeur, si ce n'est l'acteur majoritaire qui aboutit a une dégradation progressive et globale de la santé. Les infections se greffent dessus, les troubles digestifs, de sommeil, immunitaire, les douleurs, etc etc... par effet domino et progressivement. On sais donc que le but ultime serait donc de réussir a enlever la grande majorité de ces toxines, et de laisser le soin au corps de s'autorégénérer, tout en lui portant les briques nécéssaires en ce sens.
La chélation, ou tout autre démarche globale visant a réduire la charge toxique (et non pas que les métaux lourds) sont donc les principales armes que l'on a a disposition pour travailler en ce sens, jusque la je suis d'accord.
Prenons maintenant un postulat simple, largement accepté par la grande majorité des thérapeutes et chercheurs de ces pathologies dans le monde: pour arriver a cela (a mener a bien une chélation ou un détox globale) il faut plusieurs choses,
mais un prérequis systématique réside dans le fait qu'il faut avoir les surrénales capable de tenur le choc, et donc qui fonctionnement suffisament bien encore. Si ce n'est pas le cas, alors la machine tourne au ralenti, on a plus d'énergie pour rien (même pas pour digérer), et donc le corps ne peut absolument pas se lancer dans une détox alors qu'il est tellement déficient en énergie pour les taches plus basiques. Bien sur on sait que le mercure joue en role considérable dans ce manque d'énergie chronique et donc que une fois ce dernier enlevé, le corps aura plus d'énergie et donc les surrénales iront mieux. Quid de la poule et de l'oeuf, encore une fois
Mais pourtant si on cherche a se poser les bonnes questions, on perçoit qu'il n'y a pas 50 fils sur lesquels tirer dans ce genre de situation: si par exemple un jouet n'a plus de pile suffisante pour effectuer ses actions, alors changer la pile (ou la recharger) est la seule action possible qui permettra d'avoir de nouveau une réserve d'énergie lui permettant de refonctionner et de refaire ce pour quoi il existe. Ainsi sans énergie, rien ne marche et ce qu'on croit etre une "détox" se tranforme en fait en une mobilisation qui met mal en point, stress grandement le corps, avec une élimination réelle très faible. C'est donc PAS une détox a mes yeux, c'est un auto-empoisement, ni plus ni moins....
Certains gourous d'ailleurs (dans la lignée ou seul le jeune peut nous sauver
) ne perçoivent en rien cet élément pourtant capital, et font des dégats considérables sur bien des personnes deja trop affaiblies...
Heureusement, bcp de bons docteurs/thérapeutes ont pris en considération ces aspects la et passent désormais du temps a expliquer que le soutien de sa propre pile interne (les surrénales) est une nécéssité en parrallèle a la chélation, qui s'avère qd a elle stressante pour le corps (via l'afflux de toxicité remué). Les conseils basiques sur les plantes adaptogènes et les extraits surrénaliens sont d'ailleurs légions sur le net, ou ils sont conseillés a tour de bras pour tout et tout le monde...démontrant en même temps deux choses: la prise de conscience massive de l'intéret de voir ses surrénales (ou plutot son axe HPA) fonctionner pendant surtout pendant une période de stress accentué comme une chélation,
mais aussi une méconnaissance profonde des cas "complexes" dont je faisais référence dans mon message précédent. Les forums regorgent de gens qui disent aller mieux en prenant du ginseng ou des extraits surrénaliens, or ce sont la des cas simples, comme je le disais précédement, bien loin de ce qui es retrouvé dans le cadre de nombre de malades environementaux de longues dates qui ne répondent pas, ou qui réponde au contraire mal a ces conseils basiques.
Je réhitère donc ce que j'ai dis dans mon précédent message: il existe bcp de personnes qui sont des cas complexes et donc le soutien hormonal, bien que primordial dans toute démarche de détox, ne peut PAS etre géré de manière basique par de la nutrition, des extrait surrénaliens ou des adaptogènes. Ignorer ces personnes c'est ignorer ces nuances importantes dont je faisais référence précédement et penser naivement que ce sont des cas exeptionnels ou anecdotiques...et après y avoir passé des années de recherches personnelles je sais que ces personnes la sont très nombreuses justement, d'ou mon message et le but de mon intervention aujourd'hui sur ton topic l'ami gogote!
Voila donc le principal message que je voulais faire passer, car pour celles et ceux qui sont dans cette situation la et qui n'ont pas de franches amélioration de leur état d'énergie avec les adaptogènes/extrait surrénaliens, alors ils entrent surement dans cette troisième catégorie que j'ai décrit aujourd'hui, qui nécéssite de prendre le problème sous un autre angle...fort malheureusement, car ii aurait été plus simple, bien plus simple de réagir positivement au méthodes de soutien classiques des surrénales, et ainsi redonner l'énergie nécéssaire pour gérer a bien une détox...mais ce n'est pas un luxe donné a tout le monde malheureusement
Pour ceux la, alors je les encourage a chercher a défaire leur noeuds différement, sur l'axe structurel d'abord, puis ensuite a revenir sur l'axe détox qd ce noeud la aura été clairement corrigé et aura permis a leur axe HPA de refonctionner plus harmonieusement.... alors la voie de la détox/chélation pourra se nouveau se faire a ce moment la (avec du Cutler, Shade, Klinghardt, ou qui vous souhaitez, car il y a du bon et du moins bon chez chacun d'entre eux)
Tu vois, j'avais fait les mêmes constatations que toi, sans aller aussi loin sur certains points, et tu le sais. Mais aujourd'hui, j'ai l'impression qu'une structure bancale, un peu comme lorsque tu vas chez l'ostéo, tu vas arriver à la soulager temporairement et puis ... boom, elle va revenir au déséquilibre par ancrage et parce qu'un truc derrière fait qu'elle doit revenir comme cela. Ainsi, tu peux considérer que ce déséquilibre se produit en guise d’assimilation et d'auto-protection, en réponse aux intrus présents dans le corps.
L'ostéo c'est comme un coup d'épée dans l'eau en ce qui nous concerne malheureusement... qd je dis travailler la structure c'est mettre en place une démarche globale de type orthoposturologie avec soutien de la verticalité dentaire et remodelage progressif des angles osseux/articulaire des cervicales, dorsales et du bassin. Un vrai travail en profondeur que peu de thérapeutes réalisent fort malheureusement, mais qui est loin, bien loin d'une simple séance de kiné ou d'ostéo, qui je le partage volontier avec toi, n'aboutit a rien au final dans nos cas.
Tchuss gogote!
Pti gars