Salut Nico,
juste pour dire que j'ai beaucoup apprécié ta vidéo sur le cru, ton rapport au poids et les méfaits sur certains organes de par la toxicité et émonctoires saturés. Je me retrouve beaucoup dans certaines de tes expériences.
Et globalement l'ensemble de tes vidéos véhiculant ton parcours est relativement intéressant.
Continue en ce sens.
Concernant l'assimilation, j'ai juste l'impression qu'on en fait beaucoup sur tout, alors que c'est un vrai/faux problème - ou encore une fois - une cause de la cause ou plutôt un symptôme des causes. C'est à dire qu'on cherche un max de béquilles via l'alimentation alors qu'il y a autre chose sous-jacent qui bloque le processus d'assimilation. Un peu comme le cru en fait et comme tu l'exprimes. Je vois cela un peu de la même manière pour les compléments à gogo ou les différents régimes potentiels et à tester. On se rend finalement compte toi comme moi qu'on tolère presque tout mal et que n'importe quels aliments peuvent nous rendre patraques. Du coup, on peut se questionner sur la toxicité globale de l'organisme plus en profondeur et les moyens pour éponger tout ce carnage. Alors bien sur, l'alimentation va aider à moins s'encrasser ou se dépolluer, mas c'est très loin d'être suffisant à mon sens. Et je continue de chercher quels sont les meilleures béquilles - via l'alimentation notamment - mais surtout tous les cofacteurs autres à ces problématiques. Comme toujours, la liste est connue et toujours la même. Ce qui m'importe aujourd'hui, c'est comme soutenir les émonctoires mais surtout relancer la machine et lui permettre de gérer la surtoxicité. Et ça, c'est vraiment le plus dur, et pour l'instant, même gwendola ne m'a pas convaincu à ce sujet, car elle ne fait que trouver des béquilles, qui durent et marchent pour elle - pour l'instant - mais qui comme le cru, pourraient exploser en cours de route ou donner de mauvais résultats sur un autre car c'est beaucoup trop restreint et basé sur un seul paramètre. Et je ne suis pas en adéquation avec cette vision restrictive de l'alimentation que l'on nous impose. En fait, je pense que l'on se trompe un peu de problématique. Tout d'abord, parce que se priver d'aliments que l'on sait bio et en théorie pas si mauvais que ça, c'est nocif à moyen/long terme et frustrant. Et se mettre en tête que certains aliments sont plus mauvais que d'autres pour xmiles raisons, on y arrivera toujours avec tout. Car tout est pollué autour de nous, et chaque aliment est mauvais en soi.
Moi, ce qui m'intéresse aujourd'hui, c'est comment régénérer un organisme et le cellulaire, valdinguer la toxicité, et bouffer un kinder bueno si j'en ai envie ( je caricature à mort, c'est pas le but mais pour l'idée ) sans en ressentir un quelconque effet. Parce qu'en soi, si le corps est débarrassé de sa toxicité, et quand on voit ce qu'il peut tolérer, ce n'est pas ce genre d'écart une fois tous les 36 du mois qui devrait nous dégommer. La problématique et donc très large et on est malheureusement trop restreint dans notre vision du soin, même à notre niveau je pense. Je rêverai de me tromper, mais c'est ce que j'observe au final après toutes ces années à comprendre, étudier et écouter les témoignages de ceux qui ont un peu "tout" testé en terme alimentaire.
J'aimerai ton point de vu ou une vidéo sur ce sujet un jour, ou que tu évoques cette question avec gwendola. C'est comme tout le tsoin tsoin que l'on fait avec les bactéries/virus/champignon à gogo. Forcément que nous ne pouvons qu'en avoir dans notre flore pathogène, comme le décrit Campbell. Le but, c'est de savoir comment on nettoie tout cela, en profondeur, mais pas seulement par l'alimentation, qui revient à simplifier beaucoup trop la problématique. Sans quoi, on aurait déjà l'information avec tous les régimes testés par des malades comme nous. Il faut aller tellement plus loin dans la compréhension du vivant, de ses altérations, de sa résonance. Et aussi de facteurs anodins au quotidien comme les ondes, la pollution de l'air, les moisissures, les troubles mécaniques du corps, les traumatismes intérieurs, les métaux lourds et le déséquilibre en minéraux etc... encore et toujours, il nous manque surement des paramètres pour réguler ce tout, et c'est bien pour cela que nous bloquons. Car nous restons encore et toujours trop figés et focalisés sur des symptômes et des résultantes et non des causes. Pour moi, la malabsorption, les prb enzymatiques, les carences, les bactéries, les infections, les inflammations et tout le patchwork, c'est équivalent à l'allopathie au final. Juste de l'allopathie plus poussée car l'on a compris plus de mécanismes, mais cela reste des manifestations réactionnelles. Les causes, elles, ce sont toutes les saloperies et toxiques que l'on a ingéré et en nous. Les "mauvaises" bactéries à la base ne devraient pas être un souci, au contraire et Campbell l'explique bien. Si on était en bonne santé, tout le mauvais ne serait pas présent en nous, et on ne l'attirerait pas. A partir de là, c'est stupide et contreproductif de lutter contre cela. A quoi bon lutter contre un ôte qui est simplement présent car le terrain est propice à son développement ? C'est comme la chimio et chercher à pulvériser ou tuer ce qui est présent par effet ricochet. Tu tues le candida, super, mais tu n'as pas éradiqué la cause à celui-ci. Il reviendra rapidos ou il ne disparaîtra jamais ! Et c'est le cas chez la majorité d'entre-nous. Et même avec tous les meilleurs régimes du monde. Car il manque à comprendre d'autres phénomènes : l'environnement bien plus globalement qui nous affecte, le monde stressant nous entourant, les métaux lourds, l'essence que l'on respire, les pesticides que l'on ingère même sans manger, les substances sur les fringues, les ondes à gogo, les sources pathogènes invisibles, et j'en passe et des meilleures. On a longuement déjà échangés sur tout cela ici. Bref, beaucoup de choses que l'on connait, mais que l'on ne sait pas réellement éradiqué. Et finalement, je me questionne quotidiennement et de plus en plus en me demandant si nous sommes réellement capables - je veux dire nos générations et dans le monde actuel - de nous en sortir. SI l'on considère que l'on est dépendant du tout, et que nous sommes nous mêmes responsables de ce qu'il nous arrive, et des actes de chacun, alors nous subissons juste et logiquement ce que nous avons crée et qui nous dégomme aujourd'hui. Nous trouverons donc les solutions au fil du temps, des années passant, ou de graves maladies ou malades comme nous le sommes qui modifieront le comportement de l'Homme. Sommes nous peut être que les précurseurs toi et moi à notre niveau, des sortes de personnes qui tentent et feront prendre conscience de tout cela, une fois que les malades seront partout et que la prise de conscience globale sera en mesure d'endiguer le carnage car elle n'aura plus le choix. Quand tu t'intéresses à la théorie de l'évolution, au final tu te rends compte que nous agissons littéralement comme une espèce bête et méchante, qui évolue par l'échec, l'erreur et par obligation de préservation et de se sauver.
Nos corps sont ils capables de s'adapter à toutes ces toxiques environnementaux ? Sommes-nous à saturation ? Franchement, je me le demande de plus en plus. Je n'exclus pas et j'espère des possibilités pour se detox et un avenir thérapeutique révolutionnaire permettant de s'auto-guérir et régénérer en comprenant mieux tous ces mécanismes d'altération cellulaires et impacts nocifs pour nous. Mais y arriverons-nous sans changer un minimum le fond du problème à savoir la tronche de ce qui nous entoure, que l'on nous a légué et légueront encore pire aux générations futures ... .?? franchement, c'est hard à définir. On est peut-être/surement qu'à l'aube d'un énorme carnage à ce niveau et d'une forte régression si les consciences ne changent pas, ou que l'on ne trouve pas des solutions toi comme moi. Mais encore une fois, si tu considères l'interdépendance à autrui et au tout, alors , nous serons toujours limité dans notre évolution et nos possibilités de soins, tant que l'autre, nous au final, ne daignera pas voir autre chose que sa petite vie. Bref, pas facile et un peu dur comme message, je te l'accorde, mais quand tu pousses la réflexion ...