présentation de Luce

Bonjour à tous et à toutes !
Je m'appelle Luce, j'ai 31 ans, et je suis tombée malade à l'âge de 24 ans. En fait, je suis une fausse nouvelle : ma première adhésion au forum date de cette époque, et c'est grâce aux membres que j'ai pu guérir. Je ne pourrais jamais assez les remercier.
Avant ma naissance, je pense avoir été exposée à des métaux lourds, car ma mère souffrait d'une squlérose en plaque dans sa troisième décénie. A présent, sa maladie est stationnaire depuis fort longtemps, mais elle a développé beaucoup d'autres problèmes de santé : grave dépression, allergies nombreuses principalement.
Très tôt, 8 ou 10 ans, j'ai eu des amalgames dentaires. J'ai eu des vaccins, mais je n'ai plus le détail. Les canalisations de notre maison, pendant ma petite enfance, était en plomb.
En 2007, j'étais étudiante quand j'ai subi d'important "soins" dentaires. A la fin, j'avais 14 amalgames, dont 2 énormes, et une couronne cérano-métallique. Ma santé s'est dégradée très vite : infections urinaires et diarrhées en permanence, alors que je n'y étais pas sujette auparavant. Au bout d'un an, je ne pouvais plus me concentrer, marcher plus de 10 minutes. Même tenir un livre m'épuisait. Je suis ressortie de l'hôpital où j'ai consulté avec le qualificatif d'asthénique. Tous les bilans de santé que je faisais étaient bons. Les médecins commençaient a trouver que je m'écoutais beaucoup.
J'avais entendu le reportage radio "les mercuriens" d'Ines Léraud, diffusé sur France Culture en 2008, qui m'a mise sur la piste. Après la lecture du livre de Françoise Cambayrac, j'étais convaincue de souffrir d'une intoxication au mercure dentaire.
Cela a été confirmé par les résultats du test par provocation, fait en août 2009. Les métaux principaux étaient : mercure, étain, plomb.
Au bout de neuf scéances de chélation (avant les scéances de chélation, je faisais déposer un amalgame), mes symptômes se sont levés comme par magie. En juin 2010, j'avais retrouvé ma vitalité d' avant. Il semblerait que mes allergies au pollen aient aussi bien diminué.
Le traitement complet est très long, et je n'ai toujours pas terminé. J'ai fait une longue interruption d'avril 2011 à décembre 2012 car je suis tombée enceinte. Mon fils a maintenant 2 ans et demi et se porte très bien.
Mon hygiène de vie est complètement changée : je mange bio, je me fume plus (même si je n'ai jamais été grosse fumeuse), je ne prend que très rarement des médicaments.
Aujourd'hui, j'ai rejoins l'association Non Au Mercure Dentaire, et je souhaite faire profiter comme je le peux, d'autres malades de mon expérience.
C'est pourquoi je reviens sur le forum.
Je m'intéresse également à d'autres aspects toxiques des soins dentaires, en particulier aux dents dévitalisées. J'aimerais m'y connaître mieux sur ce sujet.
J'essais de sensibiliser mes amis, ma famille à ces dangers, mais même si la plupart me prennent au sérieux, ils ne se sentent pas concernés. Je m'entends souvent dire que je dois avoir une hypersensibilité aux métaux; que je n'ai pas eu de chance. La notion d'intoxication chronique, à long terme et à faible dose, ne semble pas émouvoir les gens. C'est pourtant un danger qui concerne beaucoup de monde.
Voici mon parcours, très simplifié.
A bientôt,
Lucie
Je m'appelle Luce, j'ai 31 ans, et je suis tombée malade à l'âge de 24 ans. En fait, je suis une fausse nouvelle : ma première adhésion au forum date de cette époque, et c'est grâce aux membres que j'ai pu guérir. Je ne pourrais jamais assez les remercier.
Avant ma naissance, je pense avoir été exposée à des métaux lourds, car ma mère souffrait d'une squlérose en plaque dans sa troisième décénie. A présent, sa maladie est stationnaire depuis fort longtemps, mais elle a développé beaucoup d'autres problèmes de santé : grave dépression, allergies nombreuses principalement.
Très tôt, 8 ou 10 ans, j'ai eu des amalgames dentaires. J'ai eu des vaccins, mais je n'ai plus le détail. Les canalisations de notre maison, pendant ma petite enfance, était en plomb.
En 2007, j'étais étudiante quand j'ai subi d'important "soins" dentaires. A la fin, j'avais 14 amalgames, dont 2 énormes, et une couronne cérano-métallique. Ma santé s'est dégradée très vite : infections urinaires et diarrhées en permanence, alors que je n'y étais pas sujette auparavant. Au bout d'un an, je ne pouvais plus me concentrer, marcher plus de 10 minutes. Même tenir un livre m'épuisait. Je suis ressortie de l'hôpital où j'ai consulté avec le qualificatif d'asthénique. Tous les bilans de santé que je faisais étaient bons. Les médecins commençaient a trouver que je m'écoutais beaucoup.
J'avais entendu le reportage radio "les mercuriens" d'Ines Léraud, diffusé sur France Culture en 2008, qui m'a mise sur la piste. Après la lecture du livre de Françoise Cambayrac, j'étais convaincue de souffrir d'une intoxication au mercure dentaire.
Cela a été confirmé par les résultats du test par provocation, fait en août 2009. Les métaux principaux étaient : mercure, étain, plomb.
Au bout de neuf scéances de chélation (avant les scéances de chélation, je faisais déposer un amalgame), mes symptômes se sont levés comme par magie. En juin 2010, j'avais retrouvé ma vitalité d' avant. Il semblerait que mes allergies au pollen aient aussi bien diminué.
Le traitement complet est très long, et je n'ai toujours pas terminé. J'ai fait une longue interruption d'avril 2011 à décembre 2012 car je suis tombée enceinte. Mon fils a maintenant 2 ans et demi et se porte très bien.
Mon hygiène de vie est complètement changée : je mange bio, je me fume plus (même si je n'ai jamais été grosse fumeuse), je ne prend que très rarement des médicaments.
Aujourd'hui, j'ai rejoins l'association Non Au Mercure Dentaire, et je souhaite faire profiter comme je le peux, d'autres malades de mon expérience.
C'est pourquoi je reviens sur le forum.
Je m'intéresse également à d'autres aspects toxiques des soins dentaires, en particulier aux dents dévitalisées. J'aimerais m'y connaître mieux sur ce sujet.
J'essais de sensibiliser mes amis, ma famille à ces dangers, mais même si la plupart me prennent au sérieux, ils ne se sentent pas concernés. Je m'entends souvent dire que je dois avoir une hypersensibilité aux métaux; que je n'ai pas eu de chance. La notion d'intoxication chronique, à long terme et à faible dose, ne semble pas émouvoir les gens. C'est pourtant un danger qui concerne beaucoup de monde.
Voici mon parcours, très simplifié.
A bientôt,
Lucie