présentation de Sebohrette

Bonjour à tous,
Je suis pleine d'espoir après avoir découvert votre forum.
Je suis une femme de 45 ans. Je suis née avec de l'eczéma derrière les oreilles qui a disparu vers 18 ans. Entre temps, j'ai commencé à avoir vers 8 ans de l'asthme et des allergies, plantes, acariens, chat... Urticaires géants l'été dans le sud de la France (liés à une plante de la région ? ), œdème de quincke... J'ai donc pendant mon enfance subi de nombreux traitements anti asthme, anti allergique de toute sorte puisqu'ils étaient peu ou pas efficaces. Tentatives violentes de désensibilisation pas au point du tout, qui me rendaient très malade.
J'ai eu mes premiers amalgames à l'âge de 4 ou 5 ans. Et j'ai encore plein d'atroces amalgames.En 5e, avec toutes les affections Orl, j'ai manqué un trimestre en tout. Vers 13 ans j'ai commencé à être trop sensible avec des épisodes de grandes tristesses qui ne m'ont jamais quittés malgré des psychothérapies à répétition que j'ai tentées jusqu'à présent, pourtant lassée de répéter ma vie à des médecins soi-disant qualifiés, qui évoquent toujours les mêmes poncifs de type Œdipe mal réglés et cie ... Ce qui ne me soulage pas du tout et je pense pouvoir analyser suffisamment moi-même les événements passés pour ne pas sombrer comme je le fais plusieurs fois par an. Rien n'y fait je suis obligée de me soulager par des antidépresseurs, qui me permettent d'avoir une vie normale, sans crises de larmes, de stress intenses d'angoisses, causées par des événements vraiment mineurs, voire sans importance. La gorge serrée peut être quotidienne en mauvaise période. Comme actuellement.
À 26 ans, profondément déprimée j'ai été hospitalisée un mois pour dépression, ensuite on m' a diagnostiquée une thyroïdite de Hashimoto. À 28, pourtant stabilisée par le levothyrox, j'ai fait une grave tentative de suicide, écrasée par un mal être intense et quotidien.
Par la suite et jusqu'à maintenant j'alterne des phases de stress moyen et d'angoisses atroces qui m'obligent à reprendre des antidépresseurs pour survivre. Pourtant j'ai vraiment tout pour être heureuse : je fais un travail passionnant, je vis avec un homme adorable que j'aime et j'ai deux enfants formidables. J'ai une rhinite persistante et je chope tout, je suis très souvent malade. Sauf quand je prends des oligoéléments cuivre or argent qui m'aident énormément.
Mes règles sont si douloureuses, qu'il m'est arrivé de vomir de douleurs. Elles étaient également extrêmement irrégulières avec des cycles de 45 à 70 jours. Depuis un an suite à une manipulation par un ostéopathe, elles sont devenues très régulières mais j'en suis tout de même malade une semaine par mois car la douleurs, les ballonnements et l'humeur noire qui en découle.
Adolescente, je n'ai jamais eu d'acné mais les cheveux gras, qui sont ensuite devenu très gras avec démangeaisons. Vers 22 ans j'ai eu de l'acné sur le décolleté et pris du roaccutane. Ensuite vers 26, de la dermatite séborrhéique sur les ailes du nez, qui a ensuite disparu pour reparaître de manière irrégulière vers 30ans. C'était facile à maîtriser. À 32 réapparition d'acné qui s'est aggravée sur le décolleté et hyper séborrhée du visage. Depuis, ça n'a cessé d'empirer et j'ai des kystes, des points noirs à foison même sur les joues, le cou, le dos , le décolleté accompagné d'une dermatite qui s aggrave sur le visage, nez, front, au dessus de la bouche et s'en rapproche dangereusement. Très difficile, à éradiquer, je passe des hivers avec des plaques rouges. J'ai honte de cette peau, qui m'obsède. Et les cheveux ultra gras puent le lendemain du shampoing. Par contre sur le corps ma peau est désespérément sèche, avec poils incarnés.
Tous ces symptômes dermatologiques ont disparu à mes deux grossesse, où l'hyper séborrhée a totalement régressé. Tout est revenu après mes accouchements.
Je me sens aussi très coupable d'avoir une humeur aussi fluctuante pour mes proches, j'ai peur de transmettre cette angoisse quotidienne et bloquante à mes enfants. J'ai également de gros coups de pompe physique qui me rendent inerte sans possibilité de rien faire.
J'ai également une très mauvaise circulation. Dès que je suis debout, mes jambes deviennent violettes.
J'ai une alimentation de bonne qualité, beaucoup de légumes, de légumineuses, peu de viande. Mais j'ai des besoins de sucre tous les jours, qui sont impérieux.
En joyeux résumé:
Hyper séborrhée
Eczéma
Dermatite séborrhéique
Acné
Urticaire
Rhinite
Asthme
Thyroïdite
Mauvaise circulation
Règles douloureuses
Dépression
Angoisse
Affections à répétition
Fringale de sucre
Je commence une cure de déparasitage avec de la teinture mère de brou de noix noire forte achetée en herboristerie à Paris. Comme je dois voyager ces jours-ci j'achèterai les produits complémentaires Clark à mon retour.
J'aimerais savoir si quelqu'un se reconnaît dans ma situation et a vu son cas s'améliorer ou non avec les cures de foie.
Sebohrette
Je suis pleine d'espoir après avoir découvert votre forum.
Je suis une femme de 45 ans. Je suis née avec de l'eczéma derrière les oreilles qui a disparu vers 18 ans. Entre temps, j'ai commencé à avoir vers 8 ans de l'asthme et des allergies, plantes, acariens, chat... Urticaires géants l'été dans le sud de la France (liés à une plante de la région ? ), œdème de quincke... J'ai donc pendant mon enfance subi de nombreux traitements anti asthme, anti allergique de toute sorte puisqu'ils étaient peu ou pas efficaces. Tentatives violentes de désensibilisation pas au point du tout, qui me rendaient très malade.
J'ai eu mes premiers amalgames à l'âge de 4 ou 5 ans. Et j'ai encore plein d'atroces amalgames.En 5e, avec toutes les affections Orl, j'ai manqué un trimestre en tout. Vers 13 ans j'ai commencé à être trop sensible avec des épisodes de grandes tristesses qui ne m'ont jamais quittés malgré des psychothérapies à répétition que j'ai tentées jusqu'à présent, pourtant lassée de répéter ma vie à des médecins soi-disant qualifiés, qui évoquent toujours les mêmes poncifs de type Œdipe mal réglés et cie ... Ce qui ne me soulage pas du tout et je pense pouvoir analyser suffisamment moi-même les événements passés pour ne pas sombrer comme je le fais plusieurs fois par an. Rien n'y fait je suis obligée de me soulager par des antidépresseurs, qui me permettent d'avoir une vie normale, sans crises de larmes, de stress intenses d'angoisses, causées par des événements vraiment mineurs, voire sans importance. La gorge serrée peut être quotidienne en mauvaise période. Comme actuellement.
À 26 ans, profondément déprimée j'ai été hospitalisée un mois pour dépression, ensuite on m' a diagnostiquée une thyroïdite de Hashimoto. À 28, pourtant stabilisée par le levothyrox, j'ai fait une grave tentative de suicide, écrasée par un mal être intense et quotidien.
Par la suite et jusqu'à maintenant j'alterne des phases de stress moyen et d'angoisses atroces qui m'obligent à reprendre des antidépresseurs pour survivre. Pourtant j'ai vraiment tout pour être heureuse : je fais un travail passionnant, je vis avec un homme adorable que j'aime et j'ai deux enfants formidables. J'ai une rhinite persistante et je chope tout, je suis très souvent malade. Sauf quand je prends des oligoéléments cuivre or argent qui m'aident énormément.
Mes règles sont si douloureuses, qu'il m'est arrivé de vomir de douleurs. Elles étaient également extrêmement irrégulières avec des cycles de 45 à 70 jours. Depuis un an suite à une manipulation par un ostéopathe, elles sont devenues très régulières mais j'en suis tout de même malade une semaine par mois car la douleurs, les ballonnements et l'humeur noire qui en découle.
Adolescente, je n'ai jamais eu d'acné mais les cheveux gras, qui sont ensuite devenu très gras avec démangeaisons. Vers 22 ans j'ai eu de l'acné sur le décolleté et pris du roaccutane. Ensuite vers 26, de la dermatite séborrhéique sur les ailes du nez, qui a ensuite disparu pour reparaître de manière irrégulière vers 30ans. C'était facile à maîtriser. À 32 réapparition d'acné qui s'est aggravée sur le décolleté et hyper séborrhée du visage. Depuis, ça n'a cessé d'empirer et j'ai des kystes, des points noirs à foison même sur les joues, le cou, le dos , le décolleté accompagné d'une dermatite qui s aggrave sur le visage, nez, front, au dessus de la bouche et s'en rapproche dangereusement. Très difficile, à éradiquer, je passe des hivers avec des plaques rouges. J'ai honte de cette peau, qui m'obsède. Et les cheveux ultra gras puent le lendemain du shampoing. Par contre sur le corps ma peau est désespérément sèche, avec poils incarnés.
Tous ces symptômes dermatologiques ont disparu à mes deux grossesse, où l'hyper séborrhée a totalement régressé. Tout est revenu après mes accouchements.
Je me sens aussi très coupable d'avoir une humeur aussi fluctuante pour mes proches, j'ai peur de transmettre cette angoisse quotidienne et bloquante à mes enfants. J'ai également de gros coups de pompe physique qui me rendent inerte sans possibilité de rien faire.
J'ai également une très mauvaise circulation. Dès que je suis debout, mes jambes deviennent violettes.
J'ai une alimentation de bonne qualité, beaucoup de légumes, de légumineuses, peu de viande. Mais j'ai des besoins de sucre tous les jours, qui sont impérieux.
En joyeux résumé:
Hyper séborrhée
Eczéma
Dermatite séborrhéique
Acné
Urticaire
Rhinite
Asthme
Thyroïdite
Mauvaise circulation
Règles douloureuses
Dépression
Angoisse
Affections à répétition
Fringale de sucre
Je commence une cure de déparasitage avec de la teinture mère de brou de noix noire forte achetée en herboristerie à Paris. Comme je dois voyager ces jours-ci j'achèterai les produits complémentaires Clark à mon retour.
J'aimerais savoir si quelqu'un se reconnaît dans ma situation et a vu son cas s'améliorer ou non avec les cures de foie.
Sebohrette