Linotte, étiquetée « fibromyalgique »

Bonjour à tous,
Mon histoire fait partie des exceptions sans intérêt aux yeux de la médecine française, mais ressemble à beaucoup d’autres ici :
Après avoir mené une vie active, au niveau social, familial, personnel, professionnel, mon état de santé s’est dégradé progressivement, puis brusquement en 2001.
Je vous épargne la liste des symptômes qui sont venus s’ajouter au fil des mois, mais pour résumer, c’est comme si j’avais vieilli de 20 ans en 1 an.
J’ai été diagnostiquée spasmophile, puis « fibromyalgique », avec par ailleurs des symptômes neurologiques qu’un rhumatologue m’a conseillé de faire suivre. J’ai fini par éviter de consulter des spécialistes, après quelques consultations infructueuses, car j’ai constaté qu’en France, ils sont formatés à connaître quelques maladies, et dès qu’on sort du schéma qu’ils ont appris à l’école, ils deviennent méprisants, arrogants, sans proposer de solutions concrètes, et masquent leur ignorance derrière un diagnostic posé en 5 minutes, sans examens complémentaires, du style : dépression, anxiété, j’ai même eu droit à "hystérie"... :
J’ai exploré la piste des métaux lourds quand je me suis rendue compte ( quelques années plus tard) que mon état de santé s’était dégradé dans les mois qui ont suivi le fraisage d’un amalgame dentaire. Je n’ai fait aucune chélation, mais j’ai limité le gluten et pris par cures des compléments alimentaires au fil de mes échanges sur le net et ailleurs, et de mes lectures ( Françoise Cambayrac, Seignalet, Christiane Bee, Luc Bodin, etc…). J’ai eu aussi quelques séances de thérapie de type « biorésonance », qui m’ont peut-être aidée, sans que je puisse observer un effet net à court terme.
J’ai récupéré très lentement mais sûrement de l’énergie, avec beaucoup de repos quand c’était possible et surtout par la force des choses car je ne pouvais plus travailler. Malgré cette récupération, je constate que je ne suis pas du tout guérie, et j’ai des rechutes régulières car je n’ai aucune prise en compte de mon handicap au travail, et je me retrouve dans un cercle vicieux où je m’épuise.
Aujourd’hui, j’oriente mes recherches sur la chélation chimique, et éventuellement un test de mobilisation, que je n’ai pas encore fait, pour confirmer la piste des métaux lourds, et savoir si je dois continuer à m’orienter dans cette direction.
Je supporte mal d’être longtemps devant le Pc, je vais donc prendre le temps de lire le forum.
Au plaisir de vous lire.
Mon histoire fait partie des exceptions sans intérêt aux yeux de la médecine française, mais ressemble à beaucoup d’autres ici :
Après avoir mené une vie active, au niveau social, familial, personnel, professionnel, mon état de santé s’est dégradé progressivement, puis brusquement en 2001.
Je vous épargne la liste des symptômes qui sont venus s’ajouter au fil des mois, mais pour résumer, c’est comme si j’avais vieilli de 20 ans en 1 an.
J’ai été diagnostiquée spasmophile, puis « fibromyalgique », avec par ailleurs des symptômes neurologiques qu’un rhumatologue m’a conseillé de faire suivre. J’ai fini par éviter de consulter des spécialistes, après quelques consultations infructueuses, car j’ai constaté qu’en France, ils sont formatés à connaître quelques maladies, et dès qu’on sort du schéma qu’ils ont appris à l’école, ils deviennent méprisants, arrogants, sans proposer de solutions concrètes, et masquent leur ignorance derrière un diagnostic posé en 5 minutes, sans examens complémentaires, du style : dépression, anxiété, j’ai même eu droit à "hystérie"... :

J’ai exploré la piste des métaux lourds quand je me suis rendue compte ( quelques années plus tard) que mon état de santé s’était dégradé dans les mois qui ont suivi le fraisage d’un amalgame dentaire. Je n’ai fait aucune chélation, mais j’ai limité le gluten et pris par cures des compléments alimentaires au fil de mes échanges sur le net et ailleurs, et de mes lectures ( Françoise Cambayrac, Seignalet, Christiane Bee, Luc Bodin, etc…). J’ai eu aussi quelques séances de thérapie de type « biorésonance », qui m’ont peut-être aidée, sans que je puisse observer un effet net à court terme.
J’ai récupéré très lentement mais sûrement de l’énergie, avec beaucoup de repos quand c’était possible et surtout par la force des choses car je ne pouvais plus travailler. Malgré cette récupération, je constate que je ne suis pas du tout guérie, et j’ai des rechutes régulières car je n’ai aucune prise en compte de mon handicap au travail, et je me retrouve dans un cercle vicieux où je m’épuise.
Aujourd’hui, j’oriente mes recherches sur la chélation chimique, et éventuellement un test de mobilisation, que je n’ai pas encore fait, pour confirmer la piste des métaux lourds, et savoir si je dois continuer à m’orienter dans cette direction.
Je supporte mal d’être longtemps devant le Pc, je vais donc prendre le temps de lire le forum.
Au plaisir de vous lire.
