
Bonjour à vous tous qui cherchez courageusement contre vents zé marées...
Voici mon histoire en bref:
La bouche truffée de plombage depuis ma plus tendre enfance, j’ai toujours eu une petite santé comme on dit. Mais, après la naissance de mon 3ème enfant en 1996, j’ai commencé à ressentir d’étranges phénomènes : douleurs à la main, aux jambes en montant l’escalier, aux genoux, tensions à la gorges, fièvres intermittentes, malaises divers et étranges qui m’interrogeaient.
Et jamais tous en même temps comme par une ironie du sort !
J’avais 40 ans
En 1998, des problèmes ORL se rajoutent et mes troubles psychiques explosent : colères, difficulté à saisir les codes sociaux, sensation d’étrangeté… mais mon entourage ne voit que les colères.
En 1999, après avoir rencontré tout ce que la France porte de médecins et soignants en tout genre, je ne vois plus que deux explications possibles : soit je suis malade mentale, genre, je ne supporte pas d’être bien, soit je suis empoisonnée par la pollution de la ville. Je décide que c’est la deuxième raison.
Je cherche donc fébrilement le moyen de partir vivre à la campagne malgré notre ancrage familial Parisien à cinq…
2000. Mon état se détériore. Des maux de ventre me bouffent la vie, la nuit : des douleurs violentes et brèves dans le dos et surtout des spasmes au niveau de l’œsophage qui me réveillent brusquement la nuit avec la sensation d’étouffer, de sourdes douleurs aux yeux, visage souvent contracté (j’ai du mal à rire et à avaler).
Des bouffées de chaleur gigantesques de jour et de nuit.
La plupart des supermarchés me donnent des malaises. Parfois, je suis obligée de sortir avant la fin de mes courses tellement je me sens mal.
On me trouve enfin quelque chose : une hypothyroïdie avec maladie de basedow.
2001 La fatigue, lentement et sûrement, commence à m’envahir accompagnée de troubles de la mémoire. Je suis vraiment inquiète. Le déménagement approche. Je ne suis même plus sûre de parvenir à assurer cette mutation et cette nouvelle vie.
Je participe au déménagement en m’allongeant 1h toutes les 2h à cause de maux de ventre de plus en plus douloureux après les repas.
2002 Nous sommes tous les cinq dans la Drôme. Mission accomplie. Je vais enfin renaître…
Mais non. Mon état s’empire encore. Tout augmente. Je ne supporte plus d’être en position de réception (écouter quelqu’un parler par exemple) : Un malaise intense me saisit rapidement. Seule l’action immédiate m’en débarrasse temporairement. Je m’inscris à des cours de tai-chi et de cheval. J’ai dû renoncer. Je n’arrive plus à lire des histoires à ma fille. Trop de fatigue, trop de malaises.
Et là, le coup fatal : mes articulations commencent (ou plutôt continuent) à devenir douloureuses : genoux, hanches, et à présent : épaules.
Je prends alors conscience que j’ai une maladie grave. Je pense que si je ne trouve pas ce que j’ai, je m’acheminerai rapidement vers une vie d’handicapé, voire pire. D’ailleurs, la mort, je la sentais déjà un peu partout dans mon corps : comme si toutes mes cellules, très lentement, ralentissaient, les unes après les autres. Tous mes organes se dégradaient insensiblements, mais tellement peu encore, qu’aucune analyse n’était capable de le signifier. Il ne me restait plus guère que le système cardiaque qui semblait encore tenir la route (à part des emballements suspects lors des grosses côtes en vélo).
2003 Je décide de chercher de nouveau un médecin alternatif puisque pour les autres, je n’ai rien. J’en trouve un dans le Vercors. Il me dit de faire le régime Seignalet (sans gluten et sans lait).
En une semaine, mes douleurs au ventre disparaissent et en trois semaines, mes douleurs à l’articulation également. C’était magnifique, une résurrection. Mais, hélas, tous les autres symptômes continuèrent de s’amplifier. Je n’étais pas guérie.
Je finis par tomber sur un article d’Elke Arod sur le magazine Bio contact qui parle des plombages avec des symptômes étrangement similaires aux miens. Puis sur un article de Que choisir qui va encore dans ce sens et qui donne des contacts. J’appelle alors le Docteur Melet qui me fait faire des analyses. Je sors 200 µg de mercure /litre de salive (la norme OMS est de 1µg/litre d’eau potable !!).
Et là, un long parcours du combattant s’instaure, que vous connaissez tous…. Hélas.
MA DESINTOXICATION
Je commence ma désintoxication avec le livre de Françine Lenher (méthode du Pr Klinghart, chlorella+ail des ours+coriandre). En quelques mois, la vie se remet à couler dans mes veines. La fatigue diminue, les malaises s’estompent. Toute la famille s’y met avec un certain succès (car mes enfants sont intoxiqués également ++ bien sûr !!). Mais au bout d’un an, les progrès ralentissent malgré que je n’ai quasi-plus de plombage.
Puis j’arrête de me désintoxiquer
Je vis mieux, mais ça ne va pas fort quand même.
En 2006, je commence une chélation chimique au DMSA tous les 15 jours à peu près.
Les progrès recommencent, mais chaque prise me rend malade pour quelques jours. C’est pénible. De sorte que je le fais très irrégulièrement.
Jusqu’à ce que je tombe sur la technique Cutler (grâce à Joelsylvie du forum Mélodie) en avril 2009.
2009
Cette méthode est tellement géniale que j’en use et abuse. Résultat, je me réveille un matin avec un visage gonflé, déformé et un mal-être certain. Mon pharmacien préféré m’assure qu’il s’agit d’une crise de candidas albicans. Je vérifie sur Internet : Cutler met effectivement en garde : il ne faut pas dépasser 15 jours de Cutler sous peine de candidas. Je faisais des cures de 3 semaines …
Et hop, re-Internet pendant des jours et des jours sur cette nouvelle question…
J’achète tous les livres que je trouve sur le sujet.
Je fais le régime à fond (« à donf » comme disent mes filles) et j’essaye des tonnes de trucs : huiles, essences, gélules en tout genre, etc … J’arrive à éviter de justesse les fongicides chimiques prescrits par le médecin. Je parviens à juguler un peu la bête, mais pas totalement. Petit à petit une nouvelle prise de conscience éclot dans mon cerveau (et surtout grâce à certains membres de mon assoc).
Il devient de plus en plus évident que même dans les phases ou je n’ai plus de symptômes visibles de candidas, ils sont quand même là, tapis dans l’ombre, et probablement depuis très très longtemps si j’en juge par les problèmes intestinaux que je me traine depuis l’enfance mais que j’ai psychologiquement complètement intégrés comme étant normaux…
Je ne sais plus dans quelle direction aller. Rien n’en vient à bout. Seuls les produits SANUM semblent avoir un effet, mais ce n’est quand même pas parfait.
Je me trouve alors dans la situation ou dès que je prends des chélateurs chimiques, j’ai une crise de candidas. Or, si je reste 15 jours à 3 semaines sans chélation, les symptômes remontent. Insoluble !
UN JOUR de novembre, ou j’avais une recrudescence de ces aliens et où je ne m’en sortais plus, je décide en désespoir de cause de prendre ma petite voiture pour me faire faire une irrigation colonique à perpette de chez moi.
Je n’ai pas regretté ma peine. Ce fut plus qu’étonnant. Ma bienfaitrice m’a mise en garde : avec des candidas, on n’arrive pas toujours à irriguer. Ça bloque. En effet, elle a mis 1h et demie, en me pétrissant les intestins dans tous les sens, pour faire arriver l’eau à l’autre bout…
Les résultats dépassèrent mes espérances. Le lendemain, ma fièvre avait disparue et j’allais à peu près bien.
Entre temps, j’ai lu le livre du docteur Simoncini que je conseille ardemment. Je suis de plus en plus convaincu que cet homme a découvert quelque chose d’essentiel pour notre santé à tous : Les candidas seraient responsables des cancers. C’est vrai, ça semble invraisemblable, mais ne jugez pas avant d’avoir lu le livre. C’est une brillante et érudite démonstration.
Quoi qu’il en soit, j’utilise sa méthode pour me soigner :
Il y a un mois, j’ai acheté une planche à irrigation http://www.colon-net.com, et j’y rajoute un pour cent en volume de bicarbonate de sodium. Les résultats sont fulgurants. Mon ventre est moins ballonné et j’ai une pêche que je n’ose même pas vous décrire tellement c’est indécent. C’est tellement incroyable que je me suis enfin décidée à raconter ma vie sur ce forum. Car finalement, je l’ai utilisé sans rien donner. Alors, j’espère que je suis pardonnée à présent.
Voici mon histoire en bref:
La bouche truffée de plombage depuis ma plus tendre enfance, j’ai toujours eu une petite santé comme on dit. Mais, après la naissance de mon 3ème enfant en 1996, j’ai commencé à ressentir d’étranges phénomènes : douleurs à la main, aux jambes en montant l’escalier, aux genoux, tensions à la gorges, fièvres intermittentes, malaises divers et étranges qui m’interrogeaient.
Et jamais tous en même temps comme par une ironie du sort !
J’avais 40 ans
En 1998, des problèmes ORL se rajoutent et mes troubles psychiques explosent : colères, difficulté à saisir les codes sociaux, sensation d’étrangeté… mais mon entourage ne voit que les colères.
En 1999, après avoir rencontré tout ce que la France porte de médecins et soignants en tout genre, je ne vois plus que deux explications possibles : soit je suis malade mentale, genre, je ne supporte pas d’être bien, soit je suis empoisonnée par la pollution de la ville. Je décide que c’est la deuxième raison.
Je cherche donc fébrilement le moyen de partir vivre à la campagne malgré notre ancrage familial Parisien à cinq…
2000. Mon état se détériore. Des maux de ventre me bouffent la vie, la nuit : des douleurs violentes et brèves dans le dos et surtout des spasmes au niveau de l’œsophage qui me réveillent brusquement la nuit avec la sensation d’étouffer, de sourdes douleurs aux yeux, visage souvent contracté (j’ai du mal à rire et à avaler).
Des bouffées de chaleur gigantesques de jour et de nuit.
La plupart des supermarchés me donnent des malaises. Parfois, je suis obligée de sortir avant la fin de mes courses tellement je me sens mal.
On me trouve enfin quelque chose : une hypothyroïdie avec maladie de basedow.
2001 La fatigue, lentement et sûrement, commence à m’envahir accompagnée de troubles de la mémoire. Je suis vraiment inquiète. Le déménagement approche. Je ne suis même plus sûre de parvenir à assurer cette mutation et cette nouvelle vie.
Je participe au déménagement en m’allongeant 1h toutes les 2h à cause de maux de ventre de plus en plus douloureux après les repas.
2002 Nous sommes tous les cinq dans la Drôme. Mission accomplie. Je vais enfin renaître…
Mais non. Mon état s’empire encore. Tout augmente. Je ne supporte plus d’être en position de réception (écouter quelqu’un parler par exemple) : Un malaise intense me saisit rapidement. Seule l’action immédiate m’en débarrasse temporairement. Je m’inscris à des cours de tai-chi et de cheval. J’ai dû renoncer. Je n’arrive plus à lire des histoires à ma fille. Trop de fatigue, trop de malaises.
Et là, le coup fatal : mes articulations commencent (ou plutôt continuent) à devenir douloureuses : genoux, hanches, et à présent : épaules.
Je prends alors conscience que j’ai une maladie grave. Je pense que si je ne trouve pas ce que j’ai, je m’acheminerai rapidement vers une vie d’handicapé, voire pire. D’ailleurs, la mort, je la sentais déjà un peu partout dans mon corps : comme si toutes mes cellules, très lentement, ralentissaient, les unes après les autres. Tous mes organes se dégradaient insensiblements, mais tellement peu encore, qu’aucune analyse n’était capable de le signifier. Il ne me restait plus guère que le système cardiaque qui semblait encore tenir la route (à part des emballements suspects lors des grosses côtes en vélo).
2003 Je décide de chercher de nouveau un médecin alternatif puisque pour les autres, je n’ai rien. J’en trouve un dans le Vercors. Il me dit de faire le régime Seignalet (sans gluten et sans lait).
En une semaine, mes douleurs au ventre disparaissent et en trois semaines, mes douleurs à l’articulation également. C’était magnifique, une résurrection. Mais, hélas, tous les autres symptômes continuèrent de s’amplifier. Je n’étais pas guérie.
Je finis par tomber sur un article d’Elke Arod sur le magazine Bio contact qui parle des plombages avec des symptômes étrangement similaires aux miens. Puis sur un article de Que choisir qui va encore dans ce sens et qui donne des contacts. J’appelle alors le Docteur Melet qui me fait faire des analyses. Je sors 200 µg de mercure /litre de salive (la norme OMS est de 1µg/litre d’eau potable !!).
Et là, un long parcours du combattant s’instaure, que vous connaissez tous…. Hélas.
MA DESINTOXICATION
Je commence ma désintoxication avec le livre de Françine Lenher (méthode du Pr Klinghart, chlorella+ail des ours+coriandre). En quelques mois, la vie se remet à couler dans mes veines. La fatigue diminue, les malaises s’estompent. Toute la famille s’y met avec un certain succès (car mes enfants sont intoxiqués également ++ bien sûr !!). Mais au bout d’un an, les progrès ralentissent malgré que je n’ai quasi-plus de plombage.
Puis j’arrête de me désintoxiquer
Je vis mieux, mais ça ne va pas fort quand même.
En 2006, je commence une chélation chimique au DMSA tous les 15 jours à peu près.
Les progrès recommencent, mais chaque prise me rend malade pour quelques jours. C’est pénible. De sorte que je le fais très irrégulièrement.
Jusqu’à ce que je tombe sur la technique Cutler (grâce à Joelsylvie du forum Mélodie) en avril 2009.
2009
Cette méthode est tellement géniale que j’en use et abuse. Résultat, je me réveille un matin avec un visage gonflé, déformé et un mal-être certain. Mon pharmacien préféré m’assure qu’il s’agit d’une crise de candidas albicans. Je vérifie sur Internet : Cutler met effectivement en garde : il ne faut pas dépasser 15 jours de Cutler sous peine de candidas. Je faisais des cures de 3 semaines …
Et hop, re-Internet pendant des jours et des jours sur cette nouvelle question…
J’achète tous les livres que je trouve sur le sujet.
Je fais le régime à fond (« à donf » comme disent mes filles) et j’essaye des tonnes de trucs : huiles, essences, gélules en tout genre, etc … J’arrive à éviter de justesse les fongicides chimiques prescrits par le médecin. Je parviens à juguler un peu la bête, mais pas totalement. Petit à petit une nouvelle prise de conscience éclot dans mon cerveau (et surtout grâce à certains membres de mon assoc).
Il devient de plus en plus évident que même dans les phases ou je n’ai plus de symptômes visibles de candidas, ils sont quand même là, tapis dans l’ombre, et probablement depuis très très longtemps si j’en juge par les problèmes intestinaux que je me traine depuis l’enfance mais que j’ai psychologiquement complètement intégrés comme étant normaux…
Je ne sais plus dans quelle direction aller. Rien n’en vient à bout. Seuls les produits SANUM semblent avoir un effet, mais ce n’est quand même pas parfait.
Je me trouve alors dans la situation ou dès que je prends des chélateurs chimiques, j’ai une crise de candidas. Or, si je reste 15 jours à 3 semaines sans chélation, les symptômes remontent. Insoluble !
UN JOUR de novembre, ou j’avais une recrudescence de ces aliens et où je ne m’en sortais plus, je décide en désespoir de cause de prendre ma petite voiture pour me faire faire une irrigation colonique à perpette de chez moi.
Je n’ai pas regretté ma peine. Ce fut plus qu’étonnant. Ma bienfaitrice m’a mise en garde : avec des candidas, on n’arrive pas toujours à irriguer. Ça bloque. En effet, elle a mis 1h et demie, en me pétrissant les intestins dans tous les sens, pour faire arriver l’eau à l’autre bout…
Les résultats dépassèrent mes espérances. Le lendemain, ma fièvre avait disparue et j’allais à peu près bien.
Entre temps, j’ai lu le livre du docteur Simoncini que je conseille ardemment. Je suis de plus en plus convaincu que cet homme a découvert quelque chose d’essentiel pour notre santé à tous : Les candidas seraient responsables des cancers. C’est vrai, ça semble invraisemblable, mais ne jugez pas avant d’avoir lu le livre. C’est une brillante et érudite démonstration.
Quoi qu’il en soit, j’utilise sa méthode pour me soigner :
Il y a un mois, j’ai acheté une planche à irrigation http://www.colon-net.com, et j’y rajoute un pour cent en volume de bicarbonate de sodium. Les résultats sont fulgurants. Mon ventre est moins ballonné et j’ai une pêche que je n’ose même pas vous décrire tellement c’est indécent. C’est tellement incroyable que je me suis enfin décidée à raconter ma vie sur ce forum. Car finalement, je l’ai utilisé sans rien donner. Alors, j’espère que je suis pardonnée à présent.