un grand merci pour vos réponses.
j'en retiens que l'ALA devrait aider et la chlorella est prise avant le repas.
je désire fiabiliser la descrïption du seul cas clinique de SLA qui aurait été arrêté par chélation.
pour cela je dois remonter à la source. pourriez-vous m'aider?
Voici la descrïption :
1.
www.non-au-mercure-dentaire.org/_.../ca ... rmelet.doc
Présentation de 11 cas cliniques du Dr Melet
Extrait du mémoire universitaire de Marie Grosman : « Le mercure des amalgames dentaires : quels risques pour la santé et l’environnement ? », D.U « Approche de la relation Environnement et santé », Faculté de Médecine de Montpellier, octobre 2000.
Remarques préalables
Ces quelques cas ont été choisis parmi plusieurs centaines de dossiers de patients du Dr Melet. Ils évoquent un lien entre amalgames dentaires et maladies. Chaque patient a dû répondre lors d’un premier bilan de 3 heures à une enquête environnementale détaillée sur ses métiers et ses habitats successifs, ses loisirs, son alimentation, etc. D’autres bilans d’une heure ont été pratiqués pendant le suivi prolongé de ces patients : lors du retour des résultats des analyses, de la dépose précautionneuse des amalgames et de la mise en œuvre du traitement de longue durée par chélateur, etc.
Aucune de ces personnes n’a subi d’exposition aux métaux dits lourds autre que par les amalgames.
Tous les dosages de métaux toxiques sont effectués par des laboratoires d’analyse agréés : CNRS de Strasbourg pour les salives (laboratoire européen de référence), et laboratoire allemand de Brème pour les urines et les selles après chélateur (laboratoire national de référence pour les métaux lourds).
1. Amélioration motrice très inhabituelle pour une SLA (sclérose latérale amyotrophique) gravissime après traitement intensif par chélateur : Pierre C, 49 ans.
Pathologie : démarrage d’une sclérose latérale amyotrophique (SLA) très évolutive à 47 ans (perte de la locomotion en 6 mois par destruction de certains motoneurones de la moelle épinière).
Enquête environnementale : pas d’exposition à des toxiques, alimentation équilibrée.
Statut dentaire : 13 amalgames.
Examens :
Analyse de cheveux : déficit en sélénium (pouvant évoquer une intoxication aux métaux lourds).
Mesure de vapeurs : 63 µg de mercure par m3 après mastication.
Salive de mastication : 600 µg de mercure par litre (avec excès d’étain et d’argent).
Urines et selles témoins : taux très faibles (< 5 µg/g et < 10 µg/kg).
Urine après DMPS : 75 µg/g de créatinine (pour le mercure).
Selles après DMPS : 30 000 µg de mercure /kg, un taux exceptionnellement élevé.
Traitement : après dépose ultra précautionneuse des 13 amalgames et traitement à fortes doses de chélateur, on observe une diminution progressive de l’excrétion mercurielle par l’urine et par les selles après chélateur.
L’état du malade a continué à s’aggraver pendant la dépose : il est devenu grabataire et a dû être trachéotomisé. Puis, après traitement, quand les taux de mercure dans l’urine et dans les selles sont devenus faibles, on a observé une amélioration de la motricité de la tête, du thorax, du diaphragme et des mains ; le malade a pu de nouveau garder la position assise; l’oxygène a été supprimé ; l’état général s’est amélioré (reprise de poids, diminution nette de l’amyotrophie).
Remarques :
Cette évolution positive ne se voit jamais dans le cas d’une SLA de cette gravité. D’ailleurs, le neurologue soignant Pierre C semble avoir été surpris de l’amélioration de son état. La Salpêtrière avait annoncé au départ quelques semaines de survie.
Des analyses de sang et d’urine ont été effectuées au centre antipoison de Paris (hôpital Fernand Widal) : les taux de mercure étant très faibles, les médecins toxicologues ont donc conclu à l’absence d’intoxication mercurielle (refus de prise en compte des tests salivaires, et des tests de selles et d’urine après DMPS pourtant effectués dans les laboratoires agréés cités plus haut).
Deux autres SLA graves sont également stabilisées.