beacam a écrit:Merci je vais me pencher sur le sujet et voir si je peux en tirer quelque chose avec mon analyse des neurotransmetteurs
Pas évident, c'est vraiment hyper compliqué, même si ça peut paraître accessible.
A mon avis, on a besoin de se faire conseiller par un spécialiste hyper qualifié. Il y a tellement d'imbrications dans le processus même de méthylation, mais aussi avec d'autres dérèglements ou d'autres processus que ça devient vite très "aléatoire", tellement les paramètres sont nombreux.
Personnellement, j'ai pour l'instant un peu abandonné cette piste, parce que quand je me penche dessus, je m'aperçois que globalement certaines choses et certains traitements sont contradictoires.
Les spécialistes eux-mêmes testent les réactions de leurs patients pour adapter le traitement, c'est dire qu'il faut tâtonner.
En plus, il ne faudrait travailler que sur la méthylation pour pouvoir mesurer les effets précisément et adapter, or bien souvent on a d'autres choses à traiter en même temps (dysbiose, chélation, infection, pb hormonaux, ...), ce qui rend encore plus compliqué la chose.
Quand on n'a pas trop de gènes mutés, ça peut rester compréhensible, mais dès que le jaune et le rouge s’affolent, ça devient vite imbitable... enfin c'est mon ressenti.
C'est dommage parce que c'est une piste vraiment très intéressante, une des meilleures peut-être, mais on manque de spécialistes accessibles en France pour nous dépatouiller de tout ça.
Je ne sais pas quels sont vos avis là-dessus