Re: Histamine / mast cell degranulation / cuivre / oestrogèn
Posté: Mer 7 Oct 2015 12:41
Message de gogote
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Petit détail qui a son importance auquel je n'accorde pas trop de recul m'enfin ... la même grand-mère a eu très mal aux reins durant toute sa vie.
Si on prend en considération que c'est souvent le cas pour moi lors des phases aigus de crise et quand je suis jaune, faudrait pas que ça cache un truc atypique tel Addison/Cushing/Conn ou maladie des surrénales ? C'est peut-être l'un des sujets que j'ai le moins étudié jusqu'à aujourd'hui mais sur lequel je suis souvent retombé en évoquant mes symptômes et lourds épisodes.
J'ai effectué une seule fois un dosage du cortisol plasmatique qui était dans la norme du haut et c'est tout. Rien de plus. Je vais peut-être l'évoquer ce vendredi avec la pneumologue qui suspecte depuis le départ une anomalie métabolique. Il serait peut-être intéressant de faire un dosage complet ACTH/aldostérone/cortisol/taux d'anticorps surénaliens.
Ceci étant, j'ai déjà passé un IRM et un scanner ou il est clairement mentionné l'intégrité des surrénales. Est-ce que ça vaut le coup ?
Il est vrai que pour la petite histoire, et cette fois-ci c'est chez presque tout le monde coté maternel, les tempérament sont très spécifiques avec un stress intense et des pétages de nerfs pour rien assez halucinants chez un oncle/ma mère/ma soeur + gout prononcé pour aliments salés dans mon cas. C'est comme si la gestion globalement du stress était impossible, que le corps était soumis à un contrôle imperceptible. Je reviens sur ce type de maladies puisque je n'oublie pas l'ensemble des symptômes musculaires pour lesquels j'avais consulté initialement, en plus des problèmes rénaux que j'ai connu lors des épisodes récents de blackout, ou encore du blocage du flux sanguin.
Ces derniers jours chaotiques, je n'ai cessé de dire que je me sentais comme grippé également ( ce n'était absolument pas le cas bien sur ) après une période faste ou je ne contrôlais presque plus mon énergie. C'est une constance dans mon comportement depuis des années : je ne suis pas maître de mon corps à ce niveau, mon système hormonal pète des câbles entre hyperactivité et asthénie intense. Jusqu'à hier soir, et toutes ces dernières années de recherches, j'en attribuais une grande part aux effets de l'alimentation et troubles inconnus. Alors ? D'ailleurs, je ne comprends pas. Après avoir eu l'impression que mon corps me bouffait de l'intérieur, il a repris du poids sans que je ne mange. Et je vais mieux aujourd'hui après une cure de jus de carottes et de pommes qui a fait le ménage. Gros herx intestins/foie/reins, dodo de 3h et depuis ça va mieux. Quand même étrange ces yoyos permanents. En checkant de nouveau la liste commune de ma grand-mère, le potassium serait peut-être à étudier car il est contenu majoritairement dans ces aliments. Idem pour le fer on dirait. M'enfin, je reste surtout clairement sur l'idée du cuivre.
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Petit détail qui a son importance auquel je n'accorde pas trop de recul m'enfin ... la même grand-mère a eu très mal aux reins durant toute sa vie.
Si on prend en considération que c'est souvent le cas pour moi lors des phases aigus de crise et quand je suis jaune, faudrait pas que ça cache un truc atypique tel Addison/Cushing/Conn ou maladie des surrénales ? C'est peut-être l'un des sujets que j'ai le moins étudié jusqu'à aujourd'hui mais sur lequel je suis souvent retombé en évoquant mes symptômes et lourds épisodes.
J'ai effectué une seule fois un dosage du cortisol plasmatique qui était dans la norme du haut et c'est tout. Rien de plus. Je vais peut-être l'évoquer ce vendredi avec la pneumologue qui suspecte depuis le départ une anomalie métabolique. Il serait peut-être intéressant de faire un dosage complet ACTH/aldostérone/cortisol/taux d'anticorps surénaliens.
Ceci étant, j'ai déjà passé un IRM et un scanner ou il est clairement mentionné l'intégrité des surrénales. Est-ce que ça vaut le coup ?
Il est vrai que pour la petite histoire, et cette fois-ci c'est chez presque tout le monde coté maternel, les tempérament sont très spécifiques avec un stress intense et des pétages de nerfs pour rien assez halucinants chez un oncle/ma mère/ma soeur + gout prononcé pour aliments salés dans mon cas. C'est comme si la gestion globalement du stress était impossible, que le corps était soumis à un contrôle imperceptible. Je reviens sur ce type de maladies puisque je n'oublie pas l'ensemble des symptômes musculaires pour lesquels j'avais consulté initialement, en plus des problèmes rénaux que j'ai connu lors des épisodes récents de blackout, ou encore du blocage du flux sanguin.
Ces derniers jours chaotiques, je n'ai cessé de dire que je me sentais comme grippé également ( ce n'était absolument pas le cas bien sur ) après une période faste ou je ne contrôlais presque plus mon énergie. C'est une constance dans mon comportement depuis des années : je ne suis pas maître de mon corps à ce niveau, mon système hormonal pète des câbles entre hyperactivité et asthénie intense. Jusqu'à hier soir, et toutes ces dernières années de recherches, j'en attribuais une grande part aux effets de l'alimentation et troubles inconnus. Alors ? D'ailleurs, je ne comprends pas. Après avoir eu l'impression que mon corps me bouffait de l'intérieur, il a repris du poids sans que je ne mange. Et je vais mieux aujourd'hui après une cure de jus de carottes et de pommes qui a fait le ménage. Gros herx intestins/foie/reins, dodo de 3h et depuis ça va mieux. Quand même étrange ces yoyos permanents. En checkant de nouveau la liste commune de ma grand-mère, le potassium serait peut-être à étudier car il est contenu majoritairement dans ces aliments. Idem pour le fer on dirait. M'enfin, je reste surtout clairement sur l'idée du cuivre.