kate a écrit:Dans la mesure de mes petites compétences, j'aiderai ceux qui auront fait le test.
Je reste persuadée que connaître et comprendre sa génétique est un excellent investissement de nos jours. Car génétique + pollutions environnementales donne un cocktail parfois explosif si l'on a certains polymorphismes. On ne peut agir sur sa génétique (sauf si P'tit Gars nous ouvre la voie), mais on peut agir sur les enzymes codées par nos gènes. Par exemple éviter de stimuler celles déjà trop actives, ou bien stimuler celles un peu trop lentes, ou bien se supplémenter en les molécules que nous fabriquons insuffisamment.
Certes ce n'est pas facile mais déjà lorsque l'on comprend on peut éviter des aggravations. Là je pense au DMPS-DMSA qui seront contre-indiqués en cas de CBS trop active.
Le but des analyses génétiques concernant méthylation/transsulfuration, est de corriger les dysfonctionnements afin de refabriquer son propre glutathion, l'objectif est ambitieux mais je pense que le jeu en vaut la chandelle.
Continuons à aller de l'avant en saisissant toutes ces opportunités qui nous sont offertes.
A +
Kate
Tu as parfaitement raison kate, je suis de cet avis la également
Moi mon but principal est plus sur le fait de stimuler certains aspects via l'énergétique, afin "d'orienter/stimuler" le corps et de l'aider a mieux gérer le bagage qu'il a. Pour la modifications des gènes directement, on va attendre encore quelques 10ène ou centaines d'années, que nos amis les scientifiques aient suffisement compris l'implication de l'énergétique pour agir directement la dessus... nous autres en 2013 en sommes encore très loin
Cela dis, orienter le corps, lui donner des indications afin de faire baisser ou augmenter les niveaux de certaines enzymes codées par des gènes précis disposant d'un polymorphisme "non optimal", oui ça je pense que c'est faisable et c'est surtout ceci qui m'intéresse en effet!
De plus il faut que j'ouvre un nouveau sujet sur "l'épigénétique", car cette voie la me semble être très importante: comment l'environnement, les émotions, les habitudes alimentaires, les métaux lourds...
orientent l'activation de certains gènes précis a la place d'autre. Au final grace aux travaux sur l'épigénétique, les chercheurs se rendent de plus en plus compte qu'il y a des gènes de "secours" (klinghardt en parle d'ailleurs dans ces dernières conférences) et que notre environnement direct va grandement agir sur le fait que le corps va enclencher tel ou tel gène, a la place d'autres (encore non connus des scientifiques pour un grand nombre), qui eux auraient fait que la biologie associée aurait été différente. Au final rien n'est illaniélable ou sujet a une destinée morbide, la science tend a prouver justement que même dans le domaine de la génétique, l'environement (au sens large) est un facteur très important qui va faire que des aspects de maladie vont s'enclencher (ou pas) pour une personne donné.
Bref on va ouvrir un nouveau sujet pour en parler parceque justement cette voie de la génétique représente un espoir non négligeable pour les générations de malades qui ont un baguage chargé issu de leur parents et qui ont peur et se sentent "coupable" justement de transmettre cela a leur enfants.
A bientot!
Pti gars