eau pour nous intox

Conseils divers et variés sur les méthodes naturelles

Messagede dandamien » Jeu 3 Déc 2009 18:07

Merci

Apportent ils des biophotons?
dandamien

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Messagede princessesophie » Ven 4 Déc 2009 00:11

dandamien a dit : Merci

Apportent ils des biophotons?

Trés certainement puisque l'eau se structure d'une manière harmonieuse (vérifié par la technique d'Emoto)
A la recherche du "Graal"


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Messagede dandamien » Ven 4 Déc 2009 08:34

Ce n'est pas parce que l'eau se structure qu'elle apporte des biophotons...
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Messagede princessesophie » Ven 4 Déc 2009 08:50

dandamien a dit : Ce n'est pas parce que l'eau se structure qu'elle apporte des biophotons...

http://www.jaderecherche.com/filtration ... NAMISATION

http://www.jaderecherche.com/akelid.htm ... echnologie
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Messagede dandamien » Ven 4 Déc 2009 08:59

Oui j'ai vu, mais je répéte, ce n'est pas parce que l'eau se structure qu'elle porte des biophotons...
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Messagede dandamien » Ven 4 Déc 2009 09:02

il manque des minéraux pour que ceux ci permettent à l'eau de porter des biophotons...

ATtentioon, c'est pas conseillé de boire de l'eau qui n'est passé dans un vortex que dans un sens!!!
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Messagede dandamien » Sam 12 Déc 2009 09:55

Pour info sur les biophotons:

Extrait de BioContact N°113 - avril 2002 - dossier Lumière et Santé
Pourquoi il faut manger " vivant "
Les Cellules de Notre Corps Captent et Emettent de La Lumière…
Nos cellules communiquent entre elles par l’échange de " biophotons ", lumière ultra-ténue porteuse d’informations, porteuse de vie. Travaux du biophysicien Fritz Albert Popp sur le rayonnement cellulaire.
La lumière est fondamentale pour toute forme de vie terrestre. Nous savons de longue date que la lumière solaire est utilisée par les végétaux pour synthétiser diverses substances parmi lesquelles on peut citer les sucres. Dès 1927, le professeur soviétique Alexander Gurwirtsch découvrait que des radicelles d'oignons communiquaient entre elles sous terre grâce à des émissions de rayonnements ultraviolets. Cette communication déterminait une modification de la multiplication cellulaire dans la radicelle de l'oignon voisin. Gurwitsch appelait cette radiation "radiation mitogénétique". Cette découverte était tellement extraordinaire pour l'époque que Gurwitsch fut traité de faussaire et traîné dans la boue par la plupart des biologistes de l'avant-guerre.
En 1975, grâce à des techniques de pointe, le biophysicien allemand Fritz Albert Popp (Université de Kaiserslautern), non seulement confirmait les découvertes d'A. Gurwitsch, mais prouvait par la même voie que toutes les cellules vivantes émettent et captent constamment de la lumière. Il ne s'agissait plus seulement de cellules de végétaux, mais aussi des cellules animales… et humaines. La découverte fit grand bruit en Allemagne et partout dans le monde, mais en France, à part de rares exceptions, sa connaissance n'a franchi les barrières des médias tant scientifiques que populaires, que bien des années plus tard (ce cas n'est pas un cas unique) (1).
Pourtant cette découverte est destinée à modifier considérablement dans les années à venir la conception de la biologie fondamentale. Elle nous engage vers une biologie dans laquelle la physique quantique serait partie prenante. Le professeur Ilya Prigogine (Université de Bruxelles), prix Nobel 1977, par son concept de "structures dissipatives", introduit le principe selon lequel de l'énergie fournie localement en des endroits déterminés peur se propager à l'ensemble d'un système, donc se délocaliser. Ceci ne se produit qu'en dehors de tout équilibre.
La lumière, un système de communication codée entre cellules sous forme de biophotons
En réalité, ce que F.A. Popp a découvert est fondamental et est une application des structures dissipatives. La lumière (= énergie) distribuée dans les tissus vivants par ces émissions cellulaires joue un rôle central dans des processus moléculaires profonds. Cette lumière est présente sous la forme de quantités d'énergie bien définies émises de manière synchronisée (photons). Ces photons biologiques ou biophotons (assimilables à des particules de lumière, donc associées à une fréquence électromagnétique lumineuse particulière) excitent les molécules en modifiant leur niveau énergétique et permettent ainsi le déclenchement de réactions biochimiques importantes. Nous pouvons affirmer aujourd'hui que chaque processus chimique dans nos cellules est initié grâce à une émission particulière de biophotons (chaque biophoton représente une quantité définie d'énergie appelée quantum). Ceci nous permet de comprendre que les événements cellulaires sont régis par des processus relevant de la physique quantique.
Ces particules de lumière ne concernent pas seulement les tissus exposés à la lumière solaire comme la peau, mais aussi les tissus profonds : reins, foie, poumon, pancréas, par exemple. En somme ces biophotons vont de cellule en cellule et sont en quelque sorte l'objet d'échanges.
Attention, il ne s'agit pas ici de phénomènes de fluorescence ou de photoluminescence comme on peut en rencontrer chez certaines algues ou avec des tissus morts en cours de décomposition ! Ces émissions de biophotons sont des manifestations de la vie normale de cellules vivantes impliquées dans le fonctionnement d'un tissu ou d'une colonie de cellules.
Certains animaux vivant en collectivité utilisent le système de communication par biophotons
Des recherches ont été effectuées sur différents types d'animaux vivant en groupes. Des chercheurs de l'équipe de Popp, ont étudié sur la mangrove de Thaïlande les scintillements des lucioles. Grâce à des appareils très précis, ils se sont rendu compte de ce qu'au bout de quelques minutes de vol en commun, toutes les lucioles émettaient leurs vibrations lumineuses au même rythme (en cohérence). Cette cohérence est un signe de coordination, de coopération entre les différents individus du groupe.
F.A. Popp a montré par exemple que dans des colonies de daphnies (minuscules crevettes) les émissions de biophotons par les daphnies elle-mêmes diminuent avec l'augmentation de la population (contrairement à ce que l'on pourrait attendre), ce qui correspondrait à une absorption par les animaux de plus en plus nombreux d'une partie du rayonnement photonique. Ceci pourrait être un signal de limitation du taux de reproduction. En réalité, lorsque les animaux commencent à vivre dans une certaine promiscuité, les rayonnements photoniques des différents individus sont plus aisément absorbés par d'autres puisque la distance devient plus courte. Ces faits indiquent une sorte de langage informatif collectif que des animaux vivant en colonies utilisent pour transmettre des messages destinés à maintenir le groupe en harmonie, dans des conditions acceptables pour un milieu donné.
L'ADN est le siège de ces échanges de biophotons
F.A. Popp et ses collaborateurs ont aujourd'hui démontré que ces émissions de lumière se font au niveau de l'ADN. Ils ont même prouvé que l'énergie lumineuse est "stockée" dans l'ADN sous forme de biophotons et que ce stockage peut perdurer pendant toute la vie de la cellule. Lorsque des cellules groupées en tissus vivants meurent, elles émettent toutes ensemble leur rayonnement photonique, ce qui tend à indiquer que leur fonctionnement tout comme leur mort sont étroitement coordonnés. Il s'agit là aussi d'émissions "cohérentes".
Les gènes émetteurs de l'ADN sont également des récepteurs, si bien qu'un échange énergétique s'établit entre le corps vivant et le milieu extérieur. Ce dialogue par flux extrêmement ténus entretient les mécanismes de la vie en puisant son "organisation" interne (diminution de l'entropie) dans la lumière solaire ambiante, laquelle est également cohérente sur un espace restreint…
Aujourd'hui, dans bien des laboratoires de la planète des recherches se poursuivent sur les applications des découvertes du Prof. F.A. Popp (2). Par exemple, on a pu démontrer qu'une substance médicamenteuse peut être testée par cette méthode sur des cultures de tissus humains in vitro. Cet essai préliminaire permet de voir immédiatement si cette substance est toxique ou non. L'émission photonique des cellules peut indiquer ce degré de toxicité.
Des études sur les médicaments homéopathiques
A la demande du gouvernement allemand, Popp a réalisé une série d'études sur les médicaments homéopathiques en appliquant les techniques d'émissions photoniques des cellules. Ces travaux sont présentés dans l'ouvrage "Bericht an Bonn" (Rapport à Bonn) (3). Au cours des recherches effectuées dans le cadre de cette étude, Popp a pu montrer que les rayonnements biophotoniques ultra-ténus émis par des cultures de cellules ou par des colonies de petits animaux pouvaient être modifiés de manière reproductible par l'administration de substances en dilutions élevées et ainsi prouver l'activité de médicaments homéopathiques.
Des recherches sur le cancer
Toutes les cellules vivantes exposées à de la lumière retiennent cette lumière puis la restituent après un certain temps. Des chercheurs de l'Université d'Utrecht (Pays-Bas) (1, 4) travaillant selon les techniques de Popp ont remarqué que les cellules cancéreuses manifestent une réémission de biophotons qui augmente avec l'accroissement du nombre de cellules malignes, alors que des cellules saines diminuent leurs émissions de biophotons lorsqu'elles se multiplient. Ceci est interprété par les chercheurs en termes de coopération et d'organisation. Les cellules cancéreuses représentent un système désorganisé sans coopération réelle, n'ayant que faire des informations contenues dans les biophotons, alors que les cellules saines utilisent les photons comme éléments d'apport d'organisation, de coordination (diminution de l'entropie au sein du groupe).
On a également étudié sous cet angle des substances censées inhiber la prolifération de cellules cancéreuses, mais il semble qu'à première vue la voie n'offre pas les espoirs attendus. Ceci pourrait être lié au fait que le cancer ne serait pas une maladie locale, mais plutôt le résultat d'une désorganisation progressive de l'ensemble de l'organisme (donc dont l'évolution n'est pas directement observable sur une simple culture isolée de tissus ou de cellules).
Aliments "vivants" et émissions photoniques
Il ressort des études menées par F.A. Popp et ses collaborateurs, que toute alimentation digne de ce nom doit comprendre une partie "vivante" importante, c'est-à-dire un milieu dans lequel des photons sont encore "stockés" et donc transférables à l'organisme récepteur. Les organismes vivants sont des systèmes "ouverts" au sens thermodynamique. Ils ne puisent pas seulement dans leur environnement les matériaux chimiques nécessaires à leur métabolisme, mais également des informations destinées à entretenir leur fonctionnement. Ceci nous indique l'importance, en matière de santé, des moyens de conservation utilisés pour des aliments frais (1, 5). Il va de soi, nous indique F.A. Popp, que des légumes ou des fruits stabilisés par irradiations gamma (ionisés) perdent la quasi totalité de leur potentiel nutritif puisque les cellules qui les composent sont tuées par l'irradiation (évasion des photons des structures cellulaires). De même les fruits et légumes stérilisés présentent le même inconvénient majeur. L'organisme, en mangeant des fruits et légumes frais, consomme aussi de la lumière sous forme de photons. "Nous sommes tous des dévoreurs de lumière", nous dit Popp.
Et nous arrivons ainsi à l'une des nombreuses contradictions de notre époque… Nous tentons de tout aseptiser, de tout désinfecter et nous détruisons l'essentiel : la transmission du potentiel organisateur de la vie, les photons stockés dans l'ADN des fruits et des légumes. Nous avons peur des bactéries et c'est nous-mêmes qui avons rendu nos corps sensibles à l'invasion en déséquilibrant notre milieu intérieur par l'abus de médicaments antibiotiques. Nous avons oublié de nous poser une question fondamentale : à quel moment une bactérie commensale devient-elle pathogène ? Cette question peut paraître hérétique aux yeux de certains, pourtant elle se posera avec de plus en plus d'acuité dans le futur !
Des photons à faible énergie
Aujourd'hui, dans le monde entier, bien des biophysiciens et des biologistes sont convaincus de ce que l'on peut étendre la notion de photons à des rayonnements d'énergie beaucoup plus faible. La notion de quantum d'énergie peut être étendue à des fréquences de toute la gamme des radiations non ionisantes. On a découvert que certaines fréquences électromagnétiques pulsées comprises entre 1 et 1 000 Hertz peuvent agir sélectivement sur des processus de reconstruction de tissus vivants. Depuis 1974, des orthopédistes et des physiciens de l'Université de Columbia (New York) traitent avec succès des pseudarthroses (fractures ne se consolidant pas) par l'application d'une fréquence électromagnétique précise à très faible intensité (6).
En Russie, depuis plus de 20 ans, on utilise des ondes millimétriques (aux environs de 300 GHz) à très faible intensité (c'est-à-dire non thermiques) pour traiter des maladies cardiovasculaires dégénératives graves (7).
Il ne s'agit là de rien d'autre que de l'application de mécanismes de la physique quantique, c'est-à-dire de l'utilisation de photons dont l'information restructure les cellules osseuses. On peut également dire qu'il s'agit là d'applications des structures dissipatives selon I. Prigogine.
Jean-Marie Danze.
Licencié ès Sciences Chimiques, ex-assistant à l'Institut de Pharmacie de l’Université de Liège, consultant en biophysique.
Références bibliographiques
1. Popp F.A. "Biologie de la lumière", Ed. Résurgence, Pietteur Liège, (réédition 2002, 228 p., 24,90 €). (Diffusé en librairies et magasins bio par DG Diffusion, rue Marx Planck, BP 734, 31683 Labège cedex, tél. : 05.61.00.09.99 ).
2. Popp F.A., Li K.H., Gu Q., "Recent advances in biophoton research and its applications", Ed. World Scientific Publishing Co., 73 Lynton Mead, Totteridge, London N20 8DH (1992).
3. Popp F.A. "Bericht an Bonn", Ed. Verlag für Ganzheitmedizin, Essen RFA, (1986).
4. Schamhart D., H. et van Wijk R. in "Photon emission from biological systems", (B. Jezowska-Trzebiatowska, B. Kochel, J. Slawinski, J. Streck, Editors), World Scientific, Singapore (1987).
5. Popp. F.A. "Les aliments transmetteurs de signaux cellulaires", Ed. Résurgence, Pietteur, Liège (2002).
6. Danze J.M. "Le système MORA ou le Rationnel en médecine énergétique", Ed. Encre, Paris (1992).
7. Lentin J.P. "Des ondes qui tuent aux ondes qui soignent", Ed. Laffont, (2001).

Fritz-Albert Popp et les biophotons

Une promenade au marché est toujours une fête, pas seulement pour les yeux. Tous nos sens sont excités et mis à contribution lorsque nous examinons des produits. Autrefois, ces sens nous disaient sans hésiter si ces aliments étaient frais et savoureux. Mais aujourd'hui, les aliments peuvent être pollués, génétiquement modifiés ou même contaminés par la radioactivité sans que nous puissions nous en rendre compte. L'incertitude des consommateurs est grande. Les produits les plus appétissants extérieurement sont-ils de la meilleure qualité ? Que signifie aujourd'hui "qualité des aliments" ?

Fritz-Albert Popp : „Le terme de qualité des aliments n'est plus défini aujourd'hui. Chacun a sa propre définition. Et le plus souvent, on s'intéresse surtout à ce qui fait sonner le tiroir-caisse.“

À Neuss, l'institut de recherche sur les biophotons du biophysicien Fritz-Albert Popp s'est engagé sur une voie scientifique nouvelle pour déterminer la qualité d'un aliment. On mesure la lumière contenue à l'intérieur des aliments. Les biophysiciens allemands sous la conduite de Popp ont découvert et démontré en 1975 que les cellules vivantes contiennent de la lumière. C'est Popp qui a inventé le terme de biophotons pour décrire cette mystérieuse lumière. Un amplificateur de lumière résiduelle permet de visualiser la lumière émise, par exemple, par un chou frisé. Cet appareil est capable de détecter une bougie à une distance de 20 km. Déjà récoltée, la plante a emmagasiné de la lumière et la restitue maintenant progressivement. Pour Fritz-Albert Popp, cette lumière est un signe de l'ordre interne et de la vitalité de l'aliment. Or cette vitalité sera transmise à l'acheteur qui le consommera.

Fritz Popp: „L'analyse qualité traditionnelle se contente de dire : ce qui pousse bien est bon ; ce qui pousse vite est bon ; ce qui contient certaines substances est bon ou mauvais. Nous nous intéressons plutôt à cet état d'ordre, qui est vraiment fondamental. C'est un concept qui a été introduit il y a près de 50 ans par le Prix Nobel Erwin Schrödinger, qui a dit que la qualité d'un aliment était d'autant meilleure que cet aliment était capable de transmettre de l'ordre au consommateur. C'est ce qu'il faut mesurer“. À partir de deux variétés de tomates, l'équipe de Fritz-Albert Popp nous montre comment on mesure la vitalité interne des aliments. Nous avons apporté des tomates. Les trois premiers récipients sont remplis avec des échantillons de purée produits à partir d'une tomate issue de l'agriculture biologique contrôlée ; les trois autres récipients contiennent des échantillons d'une tomate conventionnelle.

Ce photomètre ultrasensible amplifie et mesure les particules de lumière émises par les échantillons. Les différences d'intensité lumineuse autorisent des conclusions sur la qualité de l'aliment. Les graphiques informatiques obtenus avec les trois échantillons de tomate biologique révèlent une activité lumineuse nettement supérieure, c'est-à-dire un état général de plus grande vitalité.

Fritz-Albert Popp : “Ces mesures de lumière permettent également de savoir par quelles manipulations, quelles actions, la qualité de la tomate a été améliorée ou détériorée. Je peux savoir si c'est un problème de fraîcheur ou de mode de culture, si elle contient des produits nocifs, ou si le système n'est pas resté assez longtemps dans le champ lumineux, etc. Une fois qu'on connaît les relations par rapport au champ lumineux, on peut déterminer tout cela très précisément.“

Ainsi, les caractéristiques lumineuses d'une bière avec et sans bactéries révèlent des différences considérables. Les aliments qui ont été exposés à la radioactivité présentent d'autres caractéristiques lumineuses, et les produits congelés émettent une lumière plus faible et moins régulière que les produits frais. L'industrie agroalimentaire prépare actuellement de nombreuses applications futures de la méthode d'analyse développée par Fritz Popp. En collaboration avec un grand brasseur allemand, il a ainsi élaboré une sorte de "système d'alarme anticipée" pour la quantité de bactéries présentes dans la bière. Des échantillons de bière sont soumis ici à différentes concentrations de bactéries. Plus la bière contient de bactéries, plus son intensité lumineuse va diminuer rapidement au bout d'un certain temps.
On place les échantillons dans le photomètre.

Après 18 heures, la lumière dans l'échantillon pollué par les bactéries diminue fortement, ici sur la courbe rouge. La courbe verte montre que la lumière de cet autre échantillon reste à un niveau d'intensité nettement supérieur, ce qui indique que l'échantillon contient beaucoup moins de bactéries. Fritz-Albert Popp, qui a débuté sa carrière à l'université de Kaiserslautern, est longtemps passé pour un excentrique. Son approche différait et diffère trop du dogme traditionnel de la science.

Fritz-Albert Popp : „Saint-Churchy a dit un jour et je trouve ça très bien, "Qu'on donne une dynamo à un chimiste et il la dissoudra dans l'acide chlorhydrique. À la fin, il saura dans quel métal est fabriquée la dynamo, mais il ne saura pas comment elle fonctionne." C'est ainsi que ça s'est passé dans les sciences de la vie et en agroalimentaire. C'était sans doute inévitable. On s'est intéressé à des détails toujours plus fins, avec une certaine réussite, mais on en a oublié le chemin inverse et on traite souvent de trouble-fête celui qui ose rappeler qu'il faudrait aussi suivre le chemin inverse pour ne pas perdre toutes les informations. On risque vite de se faire dévorer à courir en sens inverse au milieu d'une bande de lemmings.“ Aujourd'hui, de nombreuses institutions scientifiques renommées collaborent dans le monde entier avec Fritz-Albert Popp. Les chercheurs sont de plus en plus nombreux à penser avec lui que les biophotons non seulement témoignent de l'ordre interne d'une cellule, mais qu'ils déterminent fortement cette organisation interne.

Fritz-Albert Popp: „Le champ lumineux joue ici un rôle capital. Le champ lumineux est le véritable organisme de contrôle du champ moléculaire. Les molécules sont idiotes, elles font seulement ce que leur dicte ce champ lumineux.“ La lumière revêt une importance fondamentale pour l'être humain. Elle lui transmet chaleur, énergie et nourriture. Nous l'utilisons pour transmettre des données, c'est pour nous un outil universel. Tout semble indiquer également que la lumière stockée au plus profond de tous les organismes vivants tient une place fondamentale dans la régulation des processus vitaux. Fritz-Albert Popp pense que les biophotons commandent l'action des hormones, des enzymes et de nombreuses autres substances présentes dans la cellule. Ce serait la clé et l'explication de nombreux mécanismes et phénomènes encore mystérieux, comme l'homéopathie ou l'acupuncture.

Fritz-Albert Popp: „On sait aujourd'hui, par exemple, que les plantes possèdent des systèmes de conduction de la lumière. Elles ont un système de méridiens, qui achemine l'énergie, l'énergie lumineuse, à différents endroits et sous différentes formes. On peut imaginer quelque chose de similaire chez les êtres humains, non seulement avec de la lumière mais, pourquoi pas, avec des micro-ondes. Il est donc tout à fait possible, et très vraisemblable même, qu'il existe réellement de telles voies de transport de l'énergie, que l'on ne pourrait pas influencer avec je ne sais quelle molécule, mais en jouant sur certaines conditions de bord, par exemple avec une aiguille. De ce point de vue, tout cela est parfaitement envisageable, mais il faudrait naturellement l'examiner de plus près et, surtout, entreprendre des recherches approfondies pour en apporter la preuve.“

La recherche sur les biophotons suscitée par Fritz-Albert Popp n'en est qu'à ses débuts. Peut-être changera-t-elle un jour sensiblement la face de l'homme.
dandamien

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Messagede princessesophie » Sam 12 Déc 2009 10:45

dandamien a dit : Pour info sur les biophotons:

Extrait de BioContact N°113 - avril 2002 - dossier Lumière et Santé
Pourquoi il faut manger " vivant "
Les Cellules de Notre Corps Captent et Emettent de La Lumière…
Nos cellules communiquent entre elles par l’échange de " biophotons ", lumière ultra-ténue porteuse d’informations, porteuse de vie. Travaux du biophysicien Fritz Albert Popp sur le rayonnement cellulaire.
La lumière est fondamentale pour toute forme de vie terrestre. Nous savons de longue date que la lumière solaire est utilisée par les végétaux pour synthétiser diverses substances parmi lesquelles on peut citer les sucres. Dès 1927, le professeur soviétique Alexander Gurwirtsch découvrait que des radicelles d'oignons communiquaient entre elles sous terre grâce à des émissions de rayonnements ultraviolets. Cette communication déterminait une modification de la multiplication cellulaire dans la radicelle de l'oignon voisin. Gurwitsch appelait cette radiation "radiation mitogénétique". Cette découverte était tellement extraordinaire pour l'époque que Gurwitsch fut traité de faussaire et traîné dans la boue par la plupart des biologistes de l'avant-guerre.
En 1975, grâce à des techniques de pointe, le biophysicien allemand Fritz Albert Popp (Université de Kaiserslautern), non seulement confirmait les découvertes d'A. Gurwitsch, mais prouvait par la même voie que toutes les cellules vivantes émettent et captent constamment de la lumière. Il ne s'agissait plus seulement de cellules de végétaux, mais aussi des cellules animales… et humaines. La découverte fit grand bruit en Allemagne et partout dans le monde, mais en France, à part de rares exceptions, sa connaissance n'a franchi les barrières des médias tant scientifiques que populaires, que bien des années plus tard (ce cas n'est pas un cas unique) (1).
Pourtant cette découverte est destinée à modifier considérablement dans les années à venir la conception de la biologie fondamentale. Elle nous engage vers une biologie dans laquelle la physique quantique serait partie prenante. Le professeur Ilya Prigogine (Université de Bruxelles), prix Nobel 1977, par son concept de "structures dissipatives", introduit le principe selon lequel de l'énergie fournie localement en des endroits déterminés peur se propager à l'ensemble d'un système, donc se délocaliser. Ceci ne se produit qu'en dehors de tout équilibre.
La lumière, un système de communication codée entre cellules sous forme de biophotons
En réalité, ce que F.A. Popp a découvert est fondamental et est une application des structures dissipatives. La lumière (= énergie) distribuée dans les tissus vivants par ces émissions cellulaires joue un rôle central dans des processus moléculaires profonds. Cette lumière est présente sous la forme de quantités d'énergie bien définies émises de manière synchronisée (photons). Ces photons biologiques ou biophotons (assimilables à des particules de lumière, donc associées à une fréquence électromagnétique lumineuse particulière) excitent les molécules en modifiant leur niveau énergétique et permettent ainsi le déclenchement de réactions biochimiques importantes. Nous pouvons affirmer aujourd'hui que chaque processus chimique dans nos cellules est initié grâce à une émission particulière de biophotons (chaque biophoton représente une quantité définie d'énergie appelée quantum). Ceci nous permet de comprendre que les événements cellulaires sont régis par des processus relevant de la physique quantique.
Ces particules de lumière ne concernent pas seulement les tissus exposés à la lumière solaire comme la peau, mais aussi les tissus profonds : reins, foie, poumon, pancréas, par exemple. En somme ces biophotons vont de cellule en cellule et sont en quelque sorte l'objet d'échanges.
Attention, il ne s'agit pas ici de phénomènes de fluorescence ou de photoluminescence comme on peut en rencontrer chez certaines algues ou avec des tissus morts en cours de décomposition ! Ces émissions de biophotons sont des manifestations de la vie normale de cellules vivantes impliquées dans le fonctionnement d'un tissu ou d'une colonie de cellules.
Certains animaux vivant en collectivité utilisent le système de communication par biophotons
Des recherches ont été effectuées sur différents types d'animaux vivant en groupes. Des chercheurs de l'équipe de Popp, ont étudié sur la mangrove de Thaïlande les scintillements des lucioles. Grâce à des appareils très précis, ils se sont rendu compte de ce qu'au bout de quelques minutes de vol en commun, toutes les lucioles émettaient leurs vibrations lumineuses au même rythme (en cohérence). Cette cohérence est un signe de coordination, de coopération entre les différents individus du groupe.
F.A. Popp a montré par exemple que dans des colonies de daphnies (minuscules crevettes) les émissions de biophotons par les daphnies elle-mêmes diminuent avec l'augmentation de la population (contrairement à ce que l'on pourrait attendre), ce qui correspondrait à une absorption par les animaux de plus en plus nombreux d'une partie du rayonnement photonique. Ceci pourrait être un signal de limitation du taux de reproduction. En réalité, lorsque les animaux commencent à vivre dans une certaine promiscuité, les rayonnements photoniques des différents individus sont plus aisément absorbés par d'autres puisque la distance devient plus courte. Ces faits indiquent une sorte de langage informatif collectif que des animaux vivant en colonies utilisent pour transmettre des messages destinés à maintenir le groupe en harmonie, dans des conditions acceptables pour un milieu donné.
L'ADN est le siège de ces échanges de biophotons
F.A. Popp et ses collaborateurs ont aujourd'hui démontré que ces émissions de lumière se font au niveau de l'ADN. Ils ont même prouvé que l'énergie lumineuse est "stockée" dans l'ADN sous forme de biophotons et que ce stockage peut perdurer pendant toute la vie de la cellule. Lorsque des cellules groupées en tissus vivants meurent, elles émettent toutes ensemble leur rayonnement photonique, ce qui tend à indiquer que leur fonctionnement tout comme leur mort sont étroitement coordonnés. Il s'agit là aussi d'émissions "cohérentes".
Les gènes émetteurs de l'ADN sont également des récepteurs, si bien qu'un échange énergétique s'établit entre le corps vivant et le milieu extérieur. Ce dialogue par flux extrêmement ténus entretient les mécanismes de la vie en puisant son "organisation" interne (diminution de l'entropie) dans la lumière solaire ambiante, laquelle est également cohérente sur un espace restreint…
Aujourd'hui, dans bien des laboratoires de la planète des recherches se poursuivent sur les applications des découvertes du Prof. F.A. Popp (2). Par exemple, on a pu démontrer qu'une substance médicamenteuse peut être testée par cette méthode sur des cultures de tissus humains in vitro. Cet essai préliminaire permet de voir immédiatement si cette substance est toxique ou non. L'émission photonique des cellules peut indiquer ce degré de toxicité.
Des études sur les médicaments homéopathiques
A la demande du gouvernement allemand, Popp a réalisé une série d'études sur les médicaments homéopathiques en appliquant les techniques d'émissions photoniques des cellules. Ces travaux sont présentés dans l'ouvrage "Bericht an Bonn" (Rapport à Bonn) (3). Au cours des recherches effectuées dans le cadre de cette étude, Popp a pu montrer que les rayonnements biophotoniques ultra-ténus émis par des cultures de cellules ou par des colonies de petits animaux pouvaient être modifiés de manière reproductible par l'administration de substances en dilutions élevées et ainsi prouver l'activité de médicaments homéopathiques.
Des recherches sur le cancer
Toutes les cellules vivantes exposées à de la lumière retiennent cette lumière puis la restituent après un certain temps. Des chercheurs de l'Université d'Utrecht (Pays-Bas) (1, 4) travaillant selon les techniques de Popp ont remarqué que les cellules cancéreuses manifestent une réémission de biophotons qui augmente avec l'accroissement du nombre de cellules malignes, alors que des cellules saines diminuent leurs émissions de biophotons lorsqu'elles se multiplient. Ceci est interprété par les chercheurs en termes de coopération et d'organisation. Les cellules cancéreuses représentent un système désorganisé sans coopération réelle, n'ayant que faire des informations contenues dans les biophotons, alors que les cellules saines utilisent les photons comme éléments d'apport d'organisation, de coordination (diminution de l'entropie au sein du groupe).
On a également étudié sous cet angle des substances censées inhiber la prolifération de cellules cancéreuses, mais il semble qu'à première vue la voie n'offre pas les espoirs attendus. Ceci pourrait être lié au fait que le cancer ne serait pas une maladie locale, mais plutôt le résultat d'une désorganisation progressive de l'ensemble de l'organisme (donc dont l'évolution n'est pas directement observable sur une simple culture isolée de tissus ou de cellules).
Aliments "vivants" et émissions photoniques
Il ressort des études menées par F.A. Popp et ses collaborateurs, que toute alimentation digne de ce nom doit comprendre une partie "vivante" importante, c'est-à-dire un milieu dans lequel des photons sont encore "stockés" et donc transférables à l'organisme récepteur. Les organismes vivants sont des systèmes "ouverts" au sens thermodynamique. Ils ne puisent pas seulement dans leur environnement les matériaux chimiques nécessaires à leur métabolisme, mais également des informations destinées à entretenir leur fonctionnement. Ceci nous indique l'importance, en matière de santé, des moyens de conservation utilisés pour des aliments frais (1, 5). Il va de soi, nous indique F.A. Popp, que des légumes ou des fruits stabilisés par irradiations gamma (ionisés) perdent la quasi totalité de leur potentiel nutritif puisque les cellules qui les composent sont tuées par l'irradiation (évasion des photons des structures cellulaires). De même les fruits et légumes stérilisés présentent le même inconvénient majeur. L'organisme, en mangeant des fruits et légumes frais, consomme aussi de la lumière sous forme de photons. "Nous sommes tous des dévoreurs de lumière", nous dit Popp.
Et nous arrivons ainsi à l'une des nombreuses contradictions de notre époque… Nous tentons de tout aseptiser, de tout désinfecter et nous détruisons l'essentiel : la transmission du potentiel organisateur de la vie, les photons stockés dans l'ADN des fruits et des légumes. Nous avons peur des bactéries et c'est nous-mêmes qui avons rendu nos corps sensibles à l'invasion en déséquilibrant notre milieu intérieur par l'abus de médicaments antibiotiques. Nous avons oublié de nous poser une question fondamentale : à quel moment une bactérie commensale devient-elle pathogène ? Cette question peut paraître hérétique aux yeux de certains, pourtant elle se posera avec de plus en plus d'acuité dans le futur !
Des photons à faible énergie
Aujourd'hui, dans le monde entier, bien des biophysiciens et des biologistes sont convaincus de ce que l'on peut étendre la notion de photons à des rayonnements d'énergie beaucoup plus faible. La notion de quantum d'énergie peut être étendue à des fréquences de toute la gamme des radiations non ionisantes. On a découvert que certaines fréquences électromagnétiques pulsées comprises entre 1 et 1 000 Hertz peuvent agir sélectivement sur des processus de reconstruction de tissus vivants. Depuis 1974, des orthopédistes et des physiciens de l'Université de Columbia (New York) traitent avec succès des pseudarthroses (fractures ne se consolidant pas) par l'application d'une fréquence électromagnétique précise à très faible intensité (6).
En Russie, depuis plus de 20 ans, on utilise des ondes millimétriques (aux environs de 300 GHz) à très faible intensité (c'est-à-dire non thermiques) pour traiter des maladies cardiovasculaires dégénératives graves (7).
Il ne s'agit là de rien d'autre que de l'application de mécanismes de la physique quantique, c'est-à-dire de l'utilisation de photons dont l'information restructure les cellules osseuses. On peut également dire qu'il s'agit là d'applications des structures dissipatives selon I. Prigogine.
Jean-Marie Danze.
Licencié ès Sciences Chimiques, ex-assistant à l'Institut de Pharmacie de l’Université de Liège, consultant en biophysique.
Références bibliographiques
1. Popp F.A. "Biologie de la lumière", Ed. Résurgence, Pietteur Liège, (réédition 2002, 228 p., 24,90 €). (Diffusé en librairies et magasins bio par DG Diffusion, rue Marx Planck, BP 734, 31683 Labège cedex, tél. : 05.61.00.09.99 ).
2. Popp F.A., Li K.H., Gu Q., "Recent advances in biophoton research and its applications", Ed. World Scientific Publishing Co., 73 Lynton Mead, Totteridge, London N20 8DH (1992).
3. Popp F.A. "Bericht an Bonn", Ed. Verlag für Ganzheitmedizin, Essen RFA, (1986).
4. Schamhart D., H. et van Wijk R. in "Photon emission from biological systems", (B. Jezowska-Trzebiatowska, B. Kochel, J. Slawinski, J. Streck, Editors), World Scientific, Singapore (1987).
5. Popp. F.A. "Les aliments transmetteurs de signaux cellulaires", Ed. Résurgence, Pietteur, Liège (2002).
6. Danze J.M. "Le système MORA ou le Rationnel en médecine énergétique", Ed. Encre, Paris (1992).
7. Lentin J.P. "Des ondes qui tuent aux ondes qui soignent", Ed. Laffont, (2001).

Fritz-Albert Popp et les biophotons

Une promenade au marché est toujours une fête, pas seulement pour les yeux. Tous nos sens sont excités et mis à contribution lorsque nous examinons des produits. Autrefois, ces sens nous disaient sans hésiter si ces aliments étaient frais et savoureux. Mais aujourd'hui, les aliments peuvent être pollués, génétiquement modifiés ou même contaminés par la radioactivité sans que nous puissions nous en rendre compte. L'incertitude des consommateurs est grande. Les produits les plus appétissants extérieurement sont-ils de la meilleure qualité ? Que signifie aujourd'hui "qualité des aliments" ?

Fritz-Albert Popp : „Le terme de qualité des aliments n'est plus défini aujourd'hui. Chacun a sa propre définition. Et le plus souvent, on s'intéresse surtout à ce qui fait sonner le tiroir-caisse.“

À Neuss, l'institut de recherche sur les biophotons du biophysicien Fritz-Albert Popp s'est engagé sur une voie scientifique nouvelle pour déterminer la qualité d'un aliment. On mesure la lumière contenue à l'intérieur des aliments. Les biophysiciens allemands sous la conduite de Popp ont découvert et démontré en 1975 que les cellules vivantes contiennent de la lumière. C'est Popp qui a inventé le terme de biophotons pour décrire cette mystérieuse lumière. Un amplificateur de lumière résiduelle permet de visualiser la lumière émise, par exemple, par un chou frisé. Cet appareil est capable de détecter une bougie à une distance de 20 km. Déjà récoltée, la plante a emmagasiné de la lumière et la restitue maintenant progressivement. Pour Fritz-Albert Popp, cette lumière est un signe de l'ordre interne et de la vitalité de l'aliment. Or cette vitalité sera transmise à l'acheteur qui le consommera.

Fritz Popp: „L'analyse qualité traditionnelle se contente de dire : ce qui pousse bien est bon ; ce qui pousse vite est bon ; ce qui contient certaines substances est bon ou mauvais. Nous nous intéressons plutôt à cet état d'ordre, qui est vraiment fondamental. C'est un concept qui a été introduit il y a près de 50 ans par le Prix Nobel Erwin Schrödinger, qui a dit que la qualité d'un aliment était d'autant meilleure que cet aliment était capable de transmettre de l'ordre au consommateur. C'est ce qu'il faut mesurer“. À partir de deux variétés de tomates, l'équipe de Fritz-Albert Popp nous montre comment on mesure la vitalité interne des aliments. Nous avons apporté des tomates. Les trois premiers récipients sont remplis avec des échantillons de purée produits à partir d'une tomate issue de l'agriculture biologique contrôlée ; les trois autres récipients contiennent des échantillons d'une tomate conventionnelle.

Ce photomètre ultrasensible amplifie et mesure les particules de lumière émises par les échantillons. Les différences d'intensité lumineuse autorisent des conclusions sur la qualité de l'aliment. Les graphiques informatiques obtenus avec les trois échantillons de tomate biologique révèlent une activité lumineuse nettement supérieure, c'est-à-dire un état général de plus grande vitalité.

Fritz-Albert Popp : “Ces mesures de lumière permettent également de savoir par quelles manipulations, quelles actions, la qualité de la tomate a été améliorée ou détériorée. Je peux savoir si c'est un problème de fraîcheur ou de mode de culture, si elle contient des produits nocifs, ou si le système n'est pas resté assez longtemps dans le champ lumineux, etc. Une fois qu'on connaît les relations par rapport au champ lumineux, on peut déterminer tout cela très précisément.“

Ainsi, les caractéristiques lumineuses d'une bière avec et sans bactéries révèlent des différences considérables. Les aliments qui ont été exposés à la radioactivité présentent d'autres caractéristiques lumineuses, et les produits congelés émettent une lumière plus faible et moins régulière que les produits frais. L'industrie agroalimentaire prépare actuellement de nombreuses applications futures de la méthode d'analyse développée par Fritz Popp. En collaboration avec un grand brasseur allemand, il a ainsi élaboré une sorte de "système d'alarme anticipée" pour la quantité de bactéries présentes dans la bière. Des échantillons de bière sont soumis ici à différentes concentrations de bactéries. Plus la bière contient de bactéries, plus son intensité lumineuse va diminuer rapidement au bout d'un certain temps.
On place les échantillons dans le photomètre.

Après 18 heures, la lumière dans l'échantillon pollué par les bactéries diminue fortement, ici sur la courbe rouge. La courbe verte montre que la lumière de cet autre échantillon reste à un niveau d'intensité nettement supérieur, ce qui indique que l'échantillon contient beaucoup moins de bactéries. Fritz-Albert Popp, qui a débuté sa carrière à l'université de Kaiserslautern, est longtemps passé pour un excentrique. Son approche différait et diffère trop du dogme traditionnel de la science.

Fritz-Albert Popp : „Saint-Churchy a dit un jour et je trouve ça très bien, "Qu'on donne une dynamo à un chimiste et il la dissoudra dans l'acide chlorhydrique. À la fin, il saura dans quel métal est fabriquée la dynamo, mais il ne saura pas comment elle fonctionne." C'est ainsi que ça s'est passé dans les sciences de la vie et en agroalimentaire. C'était sans doute inévitable. On s'est intéressé à des détails toujours plus fins, avec une certaine réussite, mais on en a oublié le chemin inverse et on traite souvent de trouble-fête celui qui ose rappeler qu'il faudrait aussi suivre le chemin inverse pour ne pas perdre toutes les informations. On risque vite de se faire dévorer à courir en sens inverse au milieu d'une bande de lemmings.“ Aujourd'hui, de nombreuses institutions scientifiques renommées collaborent dans le monde entier avec Fritz-Albert Popp. Les chercheurs sont de plus en plus nombreux à penser avec lui que les biophotons non seulement témoignent de l'ordre interne d'une cellule, mais qu'ils déterminent fortement cette organisation interne.

Fritz-Albert Popp: „Le champ lumineux joue ici un rôle capital. Le champ lumineux est le véritable organisme de contrôle du champ moléculaire. Les molécules sont idiotes, elles font seulement ce que leur dicte ce champ lumineux.“ La lumière revêt une importance fondamentale pour l'être humain. Elle lui transmet chaleur, énergie et nourriture. Nous l'utilisons pour transmettre des données, c'est pour nous un outil universel. Tout semble indiquer également que la lumière stockée au plus profond de tous les organismes vivants tient une place fondamentale dans la régulation des processus vitaux. Fritz-Albert Popp pense que les biophotons commandent l'action des hormones, des enzymes et de nombreuses autres substances présentes dans la cellule. Ce serait la clé et l'explication de nombreux mécanismes et phénomènes encore mystérieux, comme l'homéopathie ou l'acupuncture.

Fritz-Albert Popp: „On sait aujourd'hui, par exemple, que les plantes possèdent des systèmes de conduction de la lumière. Elles ont un système de méridiens, qui achemine l'énergie, l'énergie lumineuse, à différents endroits et sous différentes formes. On peut imaginer quelque chose de similaire chez les êtres humains, non seulement avec de la lumière mais, pourquoi pas, avec des micro-ondes. Il est donc tout à fait possible, et très vraisemblable même, qu'il existe réellement de telles voies de transport de l'énergie, que l'on ne pourrait pas influencer avec je ne sais quelle molécule, mais en jouant sur certaines conditions de bord, par exemple avec une aiguille. De ce point de vue, tout cela est parfaitement envisageable, mais il faudrait naturellement l'examiner de plus près et, surtout, entreprendre des recherches approfondies pour en apporter la preuve.“

La recherche sur les biophotons suscitée par Fritz-Albert Popp n'en est qu'à ses débuts. Peut-être changera-t-elle un jour sensiblement la face de l'homme.

Whaou ! ça, c'est de l'info, il fallait le rappeler ......;Merci.
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Messagede marco » Sam 12 Déc 2009 15:21

Oui vraiment très intéressant.

Et si je peux me permettre, vive le sungazing.
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Messagede dandamien » Sam 12 Déc 2009 19:17

LE sungazing je ne connais pas bien mais une chose c que cela ne crée pas de biophotons...
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Messagede marco » Sam 12 Déc 2009 19:21

Comment le sais-tu?
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Messagede dandamien » Sam 12 Déc 2009 19:38

Car pour créer des biophotons ils faut que l'eau soit restructurée... et elle ne se restructure pas en restant au soleil... Il faut qu'elle passe absolument dans des tourbillons et sur du quartz...

Pire s'il y a des bactéries dasn l'eau qui est expos" au soleil, elles se développeront plus facilement!!!
dandamien

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Messagede maryama » Dim 13 Déc 2009 09:54

Hello,
heureusement qu'on imprime pas tout ça, parceque quel gachis !pourquoi répéter ce que le précédent message dit, surtout si long, il est trés probable qu'on l'a même pas lu la 1ere fois.
Nadira
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Messagede dandamien » Dim 13 Déc 2009 10:08

Pourquoi parce qu il faut l'appuyer sur des faits scientifiques ... certains ne croient pas que les biophotons existent???

Merci
dandamien

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Messagede marco » Dim 13 Déc 2009 16:42

dandamien a dit : Car pour créer des biophotons ils faut que l'eau soit restructurée... et elle ne se restructure pas en restant au soleil... Il faut qu'elle passe absolument dans des tourbillons et sur du quartz...

Pire s'il y a des bactéries dasn l'eau qui est expos" au soleil, elles se développeront plus facilement!!!

Oui en général on évite de mettre de l'eau du Gange toute une journée au soleil :) . C'est bien sûr uniquement de l'eau filtrée ou minérale.
On peut disserter longtemps car on ne pourra jamais le vérifier mais je ne vois pas meilleur support que de l'eau pour absorber des photons (comme toutes autre éléments vibratoire en considérant le photon dans sa dimension ondulatoire). Alors je parierais que l'effet bénéfique de l'eau exposée au soleil n'est pas étranger au fait qu'elle soit chargée de photons.
marco

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