les mutationistes et le terrain biologique

Diverses informations utiles à connaître pour bien mener sa chélation

les mutationistes et le terrain biologique

Messagede hazy » Mar 18 Oct 2011 23:47

version originale : http://www.amessi.org/microbiologie-des ... p3poHJYZbw

Claude Bernard, père de la médecine moderne (dite scientifique parce qu’expérimentale) a laissé, à sa mort, des protocoles d’expériences contraires aux conclusions de Pasteur. Le dogme pastorien, malheureusement, est devenu « vérité officielle ».

Posez à 100 personnes la question : « Quelles sont les causes des maladies ? » 90% d’entre eux vous répondront sans hésiter : « Les microbes ». Toute l’hygiène officielle, toute la pathologie, toute la thérapeutique sont axées sur cette idée et sur les notions d’antiseptie qui en découlent. Bien du temps et des efforts seront nécessaires pour rétablir une vérité, plus conforme aux faits.


La MICROBIOLOGIE DES "RÉSISTANCES" ou LE MICROBE, CET INNOCENT.

Les travaux de Béchamp, Tissot, Lumière

Dès le début de ses recherches, Claude Bernard avait nettement orienté ses travaux dans le sens des mutations cellulaires. Plus tard, A. Béchamp reprit cet enseignement. Enfin, le Docteur Tissot, dont nous avons exposé la thèse, continua ce travail ; enfin, le biologiste A Lumière a apporté son immense contribution à l’œuvre commune.

La brèche était ouverte ; le Russe Poulov allait achever de démolir l’édifice pastorien. Le dogme du microbe, micro-organisme étranger aux êtres vivants et sains, a fait naître des méthodes dangereuses et abusives, en particulier celle des vaccins qui est aujourd’hui presque entièrement abandonnée dans la plupart des pays (sauf en France).

Nous fabriquons un grand nombre de microbes ; et ces « microbes autogènes » ne sont pas les causes de nos maladies mais tout simplement leurs effets.

Nous avons vu que non seulement certains microbes ne sont pas étrangers à l’organisme, mais encore qu’ils prennent naissance dans nos propres cellules. Ils sont, donc, autogènes. Il n’y a pas, à proprement parler, génération spontanée, mais formation d’éléments nouveaux en partant d’éléments anciens.

En résumé chaque cellule vivante est composée de petites granules (microbes bienfaisants) qui édifient la vie cellulaire ; et ces granules peuvent se transformer en éléments malfaisants à la suite d’une altération du terrain (le liquide nourricier). Cela conduit à penser que le réglage alimentaire doit être une des premières méthodes de traitement pour éviter l’altération du terrain, suite à la fermentation anormale de matériaux alimentaires inutilisés.

Nous sommes loin, ici, des données de l’École Pastorienne (germes répandus dans l’air, pénétrant dans les corps et déterminant les maladies) et des conséquences qu’on en tire (piqûres, vaccins, médicaments pour détruire les hôtes indésirés !).

Quant aux autres microbes, d’origine externe (dont l’existence n’est pas niée par les « mutationnistes »), ils proviennent de mutations cellulaires qui se sont produites dans les tissus lésés d’animaux ou de végétaux. Ils sont donc autogènes pour les espèces qui les produisent, mais hétérogènes pour l’homme.

Les agriculteurs et les éleveurs ont, de ce fait, le devoir de faire des végétaux et des animaux aux tissus indemnes de lésions mutatives, afin que l’homme puisse avoir des aliments sains, sur le plan cellulaire. Nous sommes (encore) bien loin de cette optique, malgré les efforts méritoires des « paysans biologiques ».
Les lacunes de la médecine officielle

L’école officielle enseigne que toute maladie du type infectieux a pour cause un microbe ou un virus. Cela n’est pas exact. Les germes sont seulement des témoins ; ainsi les moustiques prospèrent sur les marécages, mais n’en sont pas la cause.

D’autre part, la doctrine officielle ne sait pas expliquer les maladies infectieuses « sans microbes » (cas des tuberculeux non bacillaire) ; pas plus qu’elle ne donne une explication satisfaisante de la Santé parfaite de certains porteurs de microbes très virulents.

Enfin, contagions et épidémies ne sont pas ce qu’affirme l’enseignement classique. La contagion ne peut se réaliser que sur un terrain favorable (un grain de blé ne pousse pas au Sahara) ; quant à l’épidémie, elle ne se manifeste que sur des groupes d’êtres vivants en commun et victimes de mêmes erreurs biologiques (encore ne sont-ils pas tous atteints !).

La notion de contagion subsiste cependant dans notre système, mais combien atténuée ! Il ne peut y avoir contagion que lorsque le terrain est en quelque sorte en état de réceptivité (étincelle sur du bois sec) ou fin prêt (dernière goutte qui fait déborder le vase). Ainsi s’expliquent les expériences des hommes-cobayes : Fulton Parandel et autres, acceptant d’avaler des bouillons de microbes, sans aucun accident, la résistance de certains individus aux épidémies et la faiblesse de certains autres, même vis-à-vis des virus atténués (vaccins).

L a grande leçon du petit enfant à qui on fait tout bouillir et qui ramasse et suce tout ce qu’il trouve, est à retenir. Il est heureux qu’il en soit ainsi, car si la théorie officielle était vraie, nous serions déjà tous morts. Quant aux épidémies qui ne jouent que sur des groupes préparés par des souffrances communes et qui présentent des altérations collectives de terrain, elles se limitent suivant les mêmes principes, faute de quoi aucune épidémie ne pourrait s’arrêter ou, comme le feu qui brûle dans la forêt jusqu’au dernier arbre, elle ne prendrait fin qu’au dernier homme, ce qui ne s’est encore jamais vu.
La « crasse humorale » est la mère des microbes et autres virus

Tout germe (autogène pour une espèce donnée) résulte, comme nous l’avons déjà dit, de mutations brusques et anormales d’éléments cellulaires, motivés par l’encrassement humoral (saturation en déchets et résidus métaboliques des liquides qui baignent les cellules). La maladie générale (encrassement humoral) est la mère des microbes. Ils naissent de la mutation de nos cellules, lorsque le milieu devient déséquilibré par excès de déchets et de résidus (colles et cristaux). Ils résultent de la maladie et n’en sont pas la cause.

Il faut donc cesser de croire à la stupide théorie des microbes pathogènes qui sont dans l’air et nous contaminent. Les microbes n’engendrent pas la maladie ; c’est au contraire la maladie qui est leur mère directe. Absolument comme la mort est la mère des microbes de putréfaction, lesquels succèdent très rapidement aux microbes de la maladie quand le malade est devenu un cadavre.

Les microbes existant dans l’organisme pendant la maladie ne sont pas plus pathogènes que ceux de la putréfaction ne sont mortigènes. Personne ne s’aviserait de dire que ce sont les vers d’un cadavre qui ont occasionné la mort de l’individu.

Il résulte que la cause véritable de la maladie n’a rien à voir avec le microbe et que la lutte systématique contre le microbe est une fausse piste.

La Vraie Santé se moque des microbes et l’art de la développer n’est pas dans la chimie, mais dans la culture du terrain et dans une alimentation conforme aux lois de l’espèce (humaine, en l’occurrence) .
De la cellule saine à la cellule malade apte à « muter »

Ni les mutationnistes, ni Tissot ne se sont demandés pour quelles raisons ces altérations cellulaires se manifestaient, par quel mécanisme et sous quelle influence elles avaient lieu ?

Un autre devait répondre : A. Lumière, par sa théorie de la floculation .

Les altérations des organites se produisent lorsque la cellule est asphyxiée par plâtrage à sa périphérie (déchets humoraux. Lumière nous explique que l’état colloïdal est l’état normal de santé de la cellule.

Il est caractérisé par un équilibre électrique qui fait que la séro-albumine disperse les globulines.

Les (« micelles ») sont maintenues en suspension dans l’espace cellulaire. La rupture de cet équilibre entraîne la chute des micelles ou floculation.

Ces « floculats » sont les lieux de mutation brusque et anormale, origine des microbes.

La floculation est causée par l’encrassement humoral de l’enveloppe cellulaire.

A. Lumière dit que la floculation est due à une polarisation de l’enveloppe cellulaire.

Cette polarisation est le résultat d’oxydo-réductions anormales, de métabolisme troublé, d’assimilation et de désassimilation incomplètes qui posent dans toute sa rigueur le problème alimentaire et du mode de vie.

Guérir, c’est « défloculer », c’est « dépolariser » la cellule, c’est-à-dire « vider » l’organisme de toutes les « substances étrangères » qui attèrent ses humeurs. C’est drainer, en favorisant le jeu des émonctoires, et c’est aussi supprimer la cause de l’intoxication digestive, en corrigeant le régime alimentaire et la manière de vivre.

Ainsi, par la culture naturelle des tissus, des nôtres et de ceux de nos aliments, nous maintiendrons l’équilibre normal intracellulaire, et freinerons les mutations des organites vers les formes pathogènes. Ainsi, sera vaincu - sans antiseptique foudroyant — ce fantôme édenté, ce loup-garou de la science, cet innocent chargé de tous les crimes : le MICROBE.

Une phrase résume tout cet enseignement :
« Le terrain est tout, le microbe n’est rien ».

Or, cette phrasée est de Pasteur, lui-même, aux derniers jours de sa vie. Il a même ajouté : « C’est Claude qui a raison », en parlant de Claude Bernard.

Le père de la microbiologie des « agressions » semble ainsi avoir indiqué la voie à suivre.

Bien évidement, les travaux de Pasteur n’ont pas été inutiles ; il fallait qu’ils soient faits pour ouvrir la voie aux études complémentaires sur la « Nature Bactérienne » des organismes vivants. Ainsi le cercle était fermé. Il ne restait plus qu’à élever le débat et à étudier plus spécialement les mécanismes de résistances (défenses) que possèdent certains organismes vivants, et les moyens dont nous disposons pour en augmenter les effets (sans user d’artifices).

Les lois et les règles de l’autodéfense.

A) - La protection extérieure (contre les « germe » » de Pasteur, ou les « organites hétérogènes » de Tissot) se réalise par l’intégrité du revêtement cutané et des muqueuses (revêtement intérieur des organes en communication avec l’extérieur).

Au niveau de la peau, cette protection est assurée par un certain degré d’acidité (PH. 5) qui tue les « corpuscules », et ne leur laisse aucune chance de pénétrer à l’intérieur. Les exercices physiques amenant la sudation, les balnéations en air sec surchauffé, les onctions de la peau aux essences aromatiques (naturelles) sont des manoeuvres antiseptiques parce qu’acidifiantes.

En cas de plaie, par où pourrait se produire une invasion, les savonnages au savon liquide acide, et les pansements aromatiques (lavande, par exemple) suffisent pour éviter tout risque.

m En ce qui concerne la protection au niveau des muqueuses elle est assurée par des sécrétions (mucines), propres à chacune d’elles.

Quelques tests permettent d’évaluer l’intégrité de ces muqueuses (absence de micro-lésions). Tout crachat et mucosité est signe de surcharge métabolique (colles) au niveau des muqueuses des voies respiratoires. Ces « surcharges » sont mises en évidence par quelques minutes de « footing » .

Lors des rhumes et des bronchites, elles apparaissent spontanément parce que le seuil de saturation humorale en colles (matières colloïdales résiduelles) est atteint. Au niveau de toute muqueuse surchargée, se situent toujours des « micro-lésions », trous par où peuvent passer des envahisseurs. L’infection microbienne peut, alors, se surajouter au mal humoral .

Pour sauvegarder (assainir) la muqueuse respiratoire (poumons, nez, gorge, oreilles, etc.), il convient de réduire les amidons (aliments), de drainer les « colles » qui résultent de ces aliments mal métabolisés, et de dériver ces surcharges vers leur émonctoire spécifique (foie, vésicule biliaire, et intestin). Ensuite, on « vidange » énergiquement les fonds pulmonaires et sinus intéressés par ventilation accélérée en air aromatisé (oxygéné, ozonisé, ionisé et négativé).

Parfois, des postures renversées (tête en bas) sont utiles.

m En ce qui concerne l’intégrité de la muqueuse digestive, le « test » de contrôle est facile à faire.

Un nombre de selles égal aux nombres de repas (3 selles pour 3 repas par 24 h) indique une vitesse de transit normale. De plus, les matières fécales doivent être moulées (en forme de boudins), non nauséabondes, homogènes, et de couleur claire.

Elles ne doivent être, encore, ni sèches ni pâteuses (c’est-à-dire ne jamais souiller l’anus). Le repas du soir doit donner la selle du matin. La vitesse du transit est mise en évidence par une monodiète aux carottes ou aux betteraves. Toute lenteur anormale, tout retard et, bien sûr toute constipation entraînent des micro-lésions plus ou moins importantes et des phénomènes secondaires d’auto-intoxication qui peuvent prendre l’allure de maladies infectieuses.

La protection et la guérison d’une muqueuse digestive est le fait, uniquement, d’une méthode d’alimentation spécifique et naturelle, conforme à l’anatomo-physiologie de l’animal ou de l’homme considéré. Fruits variés, légumes aqueux (non farineux) et sous-produits animaux sont les éléments de ce régime biologiquement humain.

m La troisième et dernière muqueuse, uro-génitale signale ses anomalies par des brûlures et des écoulements (par exemple : pertes vaginales). Une réforme alimentaire de base où sont exclus soit les glucides, soit les protides, suivant les muqueuses est indispensable dès le début de la cure. Quelques jours de jeûne hydrique à base de tisanes diurétiques et plantes aromatiques (thym romarin), aident à la réfection des surfaces lésées (reins et vessie). Bien entendu, sont défendus alcools, café, tabac, etc.

B) — Une fois la barrière cutanée ou l’une des trois muqueuses franchies, le germe (microbe de Pasteur, ou organite hétérogène dévié de Tissot) va se trouver en face des trois systèmes successifs de défense.

q Première défense : Tout d’abord, une vague de cellules blanches (polynucléaires), appelées encore « leucocyte » » attaque le germe, et le dévore littéralement, d’où le nom de « phagocytes » donné parfois à ces cellules et de « phagocytose » pour dénommer l’action.

L’inflammation (apport de sang) et la formation du pus sont les effets de cette lutte. Une invasion sans fièvre, ni inflammation, indique que défenses leucocytaires ne jouent plus. Un (« abcès de fixation ») qui ne prend pas révèle clairement cet état. Les ganglions, la rate et la moelle sont les organes qui fabriquent ces cellules.

Que faire stimuler la présence et l’activité des leucocytes ?

Les leucocytes se tiennent spécialement dans le sang. Il faut donc mobiliser la masse sanguine (ce qui se fait spontanément dans les inflammations locales et les fièvres générales lorsque la force vitale est suffisamment active).

m Les enveloppements chauds et humides, locaux ou généraux, les compresses, les cataplasmes, sinapisés ou non, les bains généraux supercaloriques (qu’on débute à 37° pour aller jusqu’à 40° et plus . 42° 43° , 44° , 45° suivant l’entraînement du patient) réalisent des actions de cette nature, des inflammations locales ou fièvres étendues, du type « artificielle », représentant un facteur d’activation leucocytaire.

Suivant les cas, les applications peuvent être quotidiennes, bi ou tri-quotidiennes, et d’une durée pouvant aller de quelques minutes à plus d’une heure. Les « officiels » connaissent, d’ailleurs, cette méthode appelée : pyrothérapie et protéinothérapie.

q Deuxième défense : la seconde vague est assurée par les histiocytes, cellules venues du tissu conjonctif. Ce sont les « boueux » de l’organisme. Ils achèvent les germes qui ont résisté et les dévorent, ainsi que les cadavres des leucocytes morts au combat.

La production d’histiocytes peut être provoquée par un essorage périodique du tissu conjonctif, au moyen de jeûnes secs (courte période de 1, 2 ou 3 jours, maximum, sans boire, ni manger. Entre les jeûnes, le régime biologique doit être institué. La règle de la densité (diminution maximale du volume corporel avec perte minimale du poids), doit présider à cette cure. Cette méthode est inconnue des « officiels

q Troisième défense : supposons que le pire soit arrivé et que les microbes aient triomphé des cellules, le combat va, malgré tout, se poursuivre entre les envahisseurs et l’organisme.

Une dernière vague de défense s’organise, celle représentée par les anticorps.

Ce sont des substances qui existent dans le sang des sujets très sains, en dehors de tout contact préalable avec un antigène. Ces « anticorps » se fixent sur les germes et les neutralisent (agglutinats « anticorps-antigène ») .

Ils sécrètent même des antitoxines, quand l’antigène est une toxine microbienne. Leur action polyvalente est, également très complète.

Les « vaccinations » et la pratique des « sérums » reposent sur cette création d’anticorps à la suite d’introduction dans l’organisme d’antigènes (corps microbiens atténués ou morts, ou encore toxines microbiennes). Cependant, il apparaît que certains sujets très sains disposent naturellement d’anticorps sans user de ces sollicitations. Des protéines (appelées « compléments » et « properdine ») aident les anticorps dans leur tâche.

D’où viennent ces forces cachées, ces ultimes défenseurs de l’organisme ?

Les leucocytes viennent des os (moelle) ; les histiocytes, du tissu conjonctif ; les anticorps et leurs alliés semblent être stockés dans le tissu musculaire. Une « gymnastique musculaire » (musculation quotidienne) favorise leur présence. Un corps anticancéreux aurait, même, été trouvé dans le sérum musculaire de tout animal ou homme correctement entraîné (aux muscles exercés mais sans surmenage). Un athlète bien musclé, entraîné quotidiennement et sans atteindre le seuil de la fatigue, offre une vitesse de cicatrisation aux plaies exceptionnelle.

Des missionnaires ont parlé de Noirs africains victimes de blessures graves et qui guérissaient en quelques jours, alors que les mêmes blessures chez les Blancs mettaient des mois à guérir, dans le meilleur des cas, si la mort ne venait pas à se produire par septicémie (infection généralisée). Sur les stades, les blessures d’athlète, même assez graves, guérissent, toutes, relativement vite.

La sédentarité et la paresse musculaire réduisent à zéro cette dernière ligue d’autodéfense. En résumé, bains chauds, jeûnes secs périodiques et musculation favorisent tous les systèmes prévus par l’organisme pour lutter contre les infections bactériennes.

C) - Face aux « organites autogènes » déviés (haltères et colis de Tissot) dont ne parle pas Pasteur, l’attitude de protection doit être encore plus sévère parce que nous atteignons, ici, les structures profondes, fondamentales de l’organisme : les cellules elles-mêmes (au sein de leur marécage lymphatique).

A. Carrel, par ses expériences sur le cœur de poulet, a démontré l’influence des (« bouillons de culture » sur la vie cellulaire. Un nettoyage systématique de ces liquides dans lesquels baignent les cellules, assure à ces dernières une santé et une longévité extraordinaires. Les moindres impuretés (aliments excédentaires et déchets ou résidus du métabolisme) sont des facteurs de dégénérescence (mortalité, monstruosité, mutation).

Parallèlement les êtres vivants se souillent (au niveau de leur lymphe et de leurs sérums cellulaires) en absorbant des aliments faux (antispécifiques et dénaturés), des pseudo-aliments (alcool, café, tabac, thé, etc.) et des médicaments chimiques (molécules étrangères mal recopiées ou entièrement nouvelles que refuse l’organisme) .

Ces déchets et résidus multiples encombrent, donc, les liquides péricellulaires. L’organisme, pour se défendre, mobilise ses émonctoires par des crises neuro-hormonales (maladies aiguës ou chroniques, centrifuges, d’élimination). Le but est d’épurer les liquides humoraux pour sauver les cellules.

En cas d’insuffisance neuro-hormonale (force vitale déficiente), ou encore de carences émonctorielles (hérédité, usure, blocage accidentel), la saturation humorale profonde va provoquer des phénomènes cellulaires de sclérose, de liquéfaction ou de mutations (suivant l’enseignement de Tissot).

Louis Claude Vincent par ses mesures portant sur l’acido-alcalinité, l’oxydo-réduction, et la conducto-résistivité (la bio-électronique), a permis de savoir en quel état se trouvaient les humeurs d’un sujet donné. Il a montré de la même manière la nocivité des faux aliments, des drogues et des vaccins qui déplacent les humeurs vers des zones favorables à la faune ou à la flore microbienne.

Pour fortifier nos cellules et les stabiliser, il convient, donc, de purifier le milieu liquide dans lequel elles sont plongées. Cette pratique relève tout bonnement de la cure de désintoxication naturopathique. Cette cure, rappelons-le, comporte trois phases :

1) — Assécher la source des surcharges (encrassement) par des jeûnes, des monodiètes ou des régimes restrictifs continus ou périodiques ,

2) — Libérer le diencéphale et ses annexes nerveuses de l’influence du cortex (cerveau pensant) par la relaxation le sommeil naturel, et autre manoeuvres (il y en a 6 au total), et cela pour faciliter la troisième phase ;

3) - a ouverture systématique des émontoires (filtres) par des plantes (laxatives), des lavements (douche rectale), des ventilations pulmonaires, et des tisanes diurétiques pour les reins, tout en provoquant quotidiennement de grandes agitations des plasmas par l’exercice musculaire et les bains alternés (chauds et froids).

Cette cure de désintoxication est incontestablement le seul moyen d’épurer les humeurs et de stabiliser la vie cellulaire, donc de parer aux mutations possibles des organites cellulaires (de Tissot)

Il y aurait encore beaucoup à dire, mais il nous faut nous borner. Nous espérons, néanmoins, que ces lignes apporteront une conception plus exacte sur la nature des microbes et des virus, et sur les moyens les plus appropriés pour se défendre contre eux ... ou vivre en paix à leur contact.

Notre sagesse est le reflet de la leur, ne l’oublions pas. Le microbe est contemporain du Vivant. Il participe même à l’édification de la Vie. S’il semble la détruire parfois, la faute en revient souvent à l’agressé plus qu’à l’agresseur. La coexistence pacifique est la règle entre les forts. Souvenons-nous des difficultés rencontrées par Metchnikoff pour rendre syphilitique un robuste gorille, juste arrivé de sa jungle natale.

G. Knap, bien préparé sur le plan intestinal, avala des bouillons de culture (diphtérie, etc.) devant des témoins médicaux, et ne fut jamais malade. Pettenkorf en fit autant avec des bacilles de Koch, et ne devint jamais tuberculeux.

Soyons, donc, parmi les êtres forts, qui peuvent résister. Les méthodes naturelles ne manquent pas pour fortifier les faibles, et leur restituer cette invulnérabilité qui devait être l’apanage de nos lointains ancêtres, et qui est, encore, celle des animaux qui vivent au contact de la nature, au sein de leur milieu originel .

Si Dieu avait voulu que l’homme pour se défendre ait des connaissances précises concernant l’immunisation artificielle, il lui aurait donné un livre d’instruction en le chassant du paradis. Il n’en a rien fait, mais il a fait mieux ; il nous a pourvu d’un système très complet de défenses, qui fonctionne tout seul, et qu’il nous appartient de maintenir en bon état, par un comportement de vie conforme à nos impératifs physiologiques. Le malheur est que nous nous moquons de ces « impératifs » et que, nous vivons fort mal, détériorant peu à peu l’admirable mécanique qui nous a été confiée.

Nous « trichons » donc, au jeu de la VIE ; et il en résulte notre dégénérescence marquée successivement par des troubles fonctionnels, puis des lésions organiques de plus en plus profondes, et irréversibles, le « tout accompagné d’une perte parallèle des « autodéfenses ».

La cellule cancéreuse est le terminus de cette dégradation physiologique.

Elle semble sécréter, suivant la thèse officielle, une substance (antigène) qui inhibe les défenses leucocytaires, histiocytaires et celles des anticorps ; et un virus (microbe simplifié d’origine extérieure) en serait la cause. La cellule malade (cancérisée) ne rencontre, donc, plus de « défenseurs » susceptibles de la détruire. Les « gendarmes » organiques ne sont plus que les ombres d’eux-mêmes.

Leur faiblesse fait la force de l’envahisseur et du cancer.

Les officiels recherchent, en partant de cette hypothèse, le « principe protecteur », sécrété par la cellule malade. Ils croient la trouver dans un « principe » proche de celui qui protège l’embryon, dans le ventre de la femme (lequel, en effet, n’est pas rejeté, ni ne subit l’attaque leucocytaire).

L’ayant trouvé, ils espèrent alors fabriquer son « antidote » qui permettra d’affaiblir la cellule cancéreuse (ils envisagent même, de provoquer l’avortement par ce même processus) .

La coupe reste loin des lèvres. Mais en admettant même que l’antidote soit trouvée et que tout marche suivant l’hypothèse des chercheurs, personne ne peut prévoir ce qui se passera dans l’organisme ; les défenses anormalement soutenues pourront, par exemple, attaquer des cellules saines. Ce sera une nouvelle maladie médicamentaire !

En effet, si le Cancer est dû à une mutation d’un élément cellulaire, donc autogène chez l’homme, les effets de cette médication par antidote seront catastrophiques. Les « défenses n’ayant pas à agir contre des cellules de même origine organique (comme en témoigne la paix qu’elles laissent à l’embryon), la thérapeutique engendrera un désordre cellulaire encore plus grand que le Cancer.

La Sagesse médicale veut (quelle que soit la thèse adoptée sur la nature des microbes), que nous considérions avant tout le renforcement naturel des défenses et la consolidation structurale des cellules par un milieu humoral convenablement épuré.

L’homme doit remonter résolument la pente de la dégénérescence sur laquelle il s’est engagé, grisé par ses techniques et sa science matérialiste expérimentale, destinées à agir sur les phénomènes (et non à les expliquer).

Jamais, par les artifices issus de ses laboratoires, il ne pourra compenser les carences organiques, résultant de la perte des éléments du milieu naturel, originel.

« La maladie est le signal d’alarme qui avertit l’homme d’une faute contre les lois naturelles. Ce n’est pas le signal qu’il faut faire cesser, mais la faute. »

Toute médecine qui n’en tient pas compte est préjudiciable à l’être humain. Toute politique, dont les orientations oublient cette dépendance humaine, est nécessairement mauvaise, quelle que soit sa valeur sur le plan économique.

En conclusion, nous ne pouvons être systématiquement contre les vaccinations et les stérilisations, mais bien plutôt contre des vaccinations et des stérilisations systématiques, hors de tout effort intelligent pour cultiver le terrain, maître des défenses (Pasteur dixit).
pour commencer sur le forum : viewtopic.php?f=1&t=3094

Rappel : Aucun message posté ici ne fait office de prescription médicale. viewtopic.php?f=53&t=2869
hazy

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Re: les mutationistes et le terrain biologique

Messagede un_ptit_gars » Mer 19 Oct 2011 09:49

Très bon texte hazy, merci de nous l'avoir fait partager! :)
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