Jeuf, tant que tu y es, élimine les sucres rapides ajoutés, scrupuleusemet. Tu verras peut être bienune amélioration nette.
- le degré d'émotivité et l'attention du sujet influent sur le déclenchement du tic.
-semi-volontaire
-suppressible temporairement : le tic répond passagèrement à un effort de contrôle
-besoin réalisé (urge to move)
-rémittent : la fréquence des tics connaît des diminutions passagères.
les tics moteurs
complexes : mouvement d'haussement d'épaules, mouvements du visage (hausser les sourcils, rouler les yeux, faire mine de renifler)[pour moi, c'est mouvement des hanches, du ventre, et un peu le visage et les épaules. Je pourrai aussi dire que j'ai souvent je me gratte la tete quand je parle à des inconnues mais pour faire simple on va négliger ça...]
Jeuf a dit : Ah, j'envie ceux qui ont des vrais problèmes, eux peuvent faire des vraies expériences avec des résultat clairs. euh...
La dépression nerveuse endogène plus rare [que l'exogène], mais beaucoup plus redoutable. Les individus atteints n'ont pas de problème financiers[...] Ils ont parfois tout pour être heureux[ça a été mon cau]
Notions de base :Cette maladie est souvent mal comprise[...] comme le dit Wolfert, qui en a souffert, l'expérience de la dépression est indescrïptible. La douleur est si forte que les mots sont inadéquats pour la décrire
[...]
Symptomes fréquents : Fatigues physique ou intellectuelle, insomnie ou hypersomnie, tristesse, perte d'intéret pour le travail et les loisirs, perte de l'apétit, de la libido, angoisses, anxiété, impression de souffrance cérébrale
1/5 seulement des patients parviennent à la guérison définitive[15 ans, c'est définitif?], 3/5 des patients alternent phases de poussé et phases de rémission, 1/5 des patient se suicident ou s'avèrent totalement incurables.
[Les IRM et TEM ont permis d'analyser le fonctionnement du cerveau récemment : ]dans la dépression nerveuse, l'imagerie médicale ne montre que peu ou pas de lésions. Par contre, elle révèle des troubles métaboliques, avec réduction de débit sanguin et du métabolisme du glucose dans certains zones, en particulier le cortex limbique et préfrontal.
Une théorie sur la pathogénie de la dépression
il est aujourd'hui admis que la maladie est ployfactorielle
-[facteur génétique surestimée,] il semble que la dépression soit surtout environnementale. Ce point est fort heureux pour le thérapeutre, [...]il est souvent aisé de changer certains facteurs de l'environnement.
Parmi les facteurs exogènes, il faut en premier lieu suspecter l'alimentation moderne. L'intervent de facteurs diététiques peut être soupçonnée devant les immense variations de fréquence de la dépression nerveus majeure selon les pays, allant de 1 à 60. Ainsi les néo-zélandais sont touchés 48 fois plus souvent que les japonais(5,8% contre 0,12%.[...]
Le cerveau n'est pas le siège de la pensé. c'est aussi un organe qui peut s'encrasser. Dans la plupart des états dépressifs, j'incrimine l'encrassage des neurones et astrocytes par des molécules bactériennes et/ou alimentaires, en provenance d'un intestin grêle trop perméable. Le dysfonctionnement des cellules se traduit par les douleurs et la dépression.
les travaux du doc Melet étaient risqués pour les patients et ceux-ci ne sortaient pas définitivement de leurs maladies, et que le dr Seignalet l'avait compris. C'est peut être pour cela que ce dernier préconisait seulement le régime d'exclusion gluten-caséine. Il permettait dans la plupart des cas de calmer les malades (et jamais d'agraver la situation) à peu de frais (financier, énergie dépensée à comprendre les causes et colères économisés). Le dr Seignalet n'est pas si obsolète que ça finallement et le dr Melet avait peut être trop d'avance sur son temps.
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