Bilan et projection
Posté: Mar 14 Jan 2020 11:33
Avancement général.
- La fin des progrès par les chélassos semblent indiquer que l'extra est nettoyé.
J'ai un rebond de céphalées entre 2 chélassos hebdomadaires.
Les céphalées remontent un peu pendant la semaine après une chélasso.
La chélasso suivante efface le retour de ces céphalées.
Cependant, un fond de céphalées demeure stable outre les chélassos.
J'attribue ce fond à une intox de l'intra.
Le rebond peut être attribué à une libération de l'intra et/ou à une libération des os.
En attendant un traitement rapide d l'intra, je continue donc les chélassos hebdomadaires. - Le nettoyage de l'extra (y compris snc) complète la phase 1.
Micro-organismes (Phase 2 : nettoyage des mo)
- L'incident de la mi-novembre est en passe de résolution.
Il ne reste plus que de légères sensations fugaces et évanouissantes dont je doute si elles sont attribuables à l'incident.
Je sais désormais résoudre rapidement ce type d'incident, je ne suis donc pas inquiet qu'un nouvel incident parvenait.
D'incidents en incident, je découvre de nouvelles techniques de naturopathie qui élargissent significativement mon champ de réflexions. - Je vais tester une reprise des amocassos prochainement.
- Le traitement des micro-organismes est un exercice difficile car il faut le réaliser en aveugle.
Cad : les picotements (qui sont à l'origine de ma lutte anti-mo) sont une science pas très reproductibles.
De plus, j'ai des interférences avec les picotements qui surviennent à cause des convecteurs (peu sèche en période d'hiver).
Pour couronner le tout, je ne sais même pas si mes sensations de picotements intermittents dont je me plains sont attribuables à des mo.
Il m'est très difficile d'apprécier l'efficacité de l'avancement de la lutte anti-mo.
Cependant, les chélassos ont résolus une moitié de l'incident.
Par voie de conséquence, des ml sont libérés lors de la prises de anti-mo.
Et, cela confirme que les mo sont un compartiment de stockage de ml.
Cela confirme également que ce compartiment n'est absolument pas atteint par l'Edta et le dmsa.
Pour parachever le curage des ml, il est donc judicieux de poursuivre le traitement des mo. - Le fait que l'incident ait également un versant huileux élève la complexité de la situation.
Lors de la reprise des anti-mo, je vais devoir apprendre à doser la posologie anti-mo, le ghee et les chélassos. - Les mo semblent estomper les effets directs des ml.
Il sera donc très difficile d'apprécier quand il sera temps d'arrêter la lutte anti-mo.
À terme, il serait utile de trouver un marqueur de cela pour améliorer la sécurité de la phase 3 (nettoyage de l'intra). - À cause du rebond dans l'extra, je continuerai des chélations avec le dmsa et edta juste avant le BAL.
- Dans une lutte contre les MO, le reins et le foie sont sollicités car l'un éclaircit préférentiellement le solvant aqueux et l'autre le solvant huileux.
Nettoyage de l'intra (Phase 3)
- Même si je n'en suis encore qu'à la phase 2, je commence à cogiter sur la phase 3.
Je ne serai satisfait que quand je serai définitivement débarrassé des ml.
Je souhaite vraiment aller jusqu'au bout du curage des ml afin de me débarrasser de l'angoisse d'un possible alzheimer à terme. - Pour l'instant, j'envisage de passer par le BAL.
Mais c'est un produit pas aussi commode que le dmsa ou l'edta :Dans le ch.2.2.1 du doc alpha, il y a écrit:- il (BAL) n'est pas efficace en cas d'intoxication chronique au mercure.
- Il ne doit pas être utilisé contre les empoisonnements au fer, au cadmium, au cobalt ou au sélénium car les complexes métalliques formés sont plus toxiques que les ions métalliques libres.
- De plus, le BAL augmente les dépôts cérébraux d'arsenic et de plusieurs autres métaux.
- Lors d'expériences sur des animaux, l'administration de la BAL a augmenté les dépôts cérébraux de mercure organique et inorganique (Berlin et Ullberg, 1963; Aaseth, 1973) et la toxicité du plomb (Germuth & Eagle, 1948)
- Sa lipophilie explique sa capacité de pénétration intracellulaire.
- C'est le seul chélateur lipophile et courant.
Cependant, il faut une ordonnance pour en trouver.
Il existe un MiADMSA qui serait lipophile mais il semble moins disponible - il faut encore que je me renseigne sur le sujet.
Selon le doc-alpha, la BAL n'est pas efficace contre le mercure chronique, il faudra donc que je fasse des analyses dès les premières tentatives. - Il existe un risque de redistribution des ml par le BAL.
Pour assurer le maximum de sécurité, il faut d'abord avoir nettoyé l'extra.
Ensuite, il me semble pallier à au problème de redistribution en gérant le mouvement ascendant et descendant de l'eau dans la cellule.
Il est possible que les lipides entrent dans la cellule au moment où la cellule se gorge en eau (hydratation).
Inversement, il est possibles que les lipides sortent de la cellule au moment de la déshydratation.
Pour éviter le problème de redistribution, mon idée est donc d'éviter le sac et le ressac d'eau pendant la présence du chélateur (24h ? à vérifier).
C'est-à-dire de boire un grand volume d'eau au moment de l'administration du produit, puis de cesser de boire (et manger sec, pas de légumes) pendant le temps d'action du produit.
Il ne s'agit là que d'hypothèses encore à murir et à vérifier.
Protection de l'effet de relargage du BAL dans l'intra. - Edit.
- Les chélateurs sont sensibles au pH et selon Microtrace, les chélateurs fonctionnent mieux à un pH légèrement alcalin.
Cad que le changement de pH provoque un changement de conformation de la molécule et un changement des affinités des ions complexés.
Suite à une acidification, il y a donc un risque de relargage du ml.
Le pH de l'intra étant à 7,2 et le pH de l'extra à 7,4, il y a un risque juste après le franchissement de la membrane.
Pour minimiser le risque de relargage, il faudrait donc homogénéiser le pH entre l'intra et l'extra. - Cela est provisoirement possible en buvant un volume d'eau à un pH adapté.
Cela est déjà le cas avec le bicarbonate de soude pour l'Edta.
Avec le BCS, le pH est à 8, cela aide certes le chélateur a complexer le ml mais, de plus, cela aide à franchir les reins dont le pH peut être très bas.
Cela me fait penser que les chélassos à l'edta, dont la 1/2 vie est de qq heures, devraient se faire pas trop tard dans la journée car le pH de l'urine du matin est au plus bas (5,5).
Ainsi, un maximum de chélateur transite aux moments où le pH est le plus haut et le plus stable.
Avec l'Edta, on intervient que dans l'extra, la configuration est donc un peu plus simple que celle du BAL. - Physiologiquement le pH de l'intra n'est que de 0,2 inférieur à celui de l'extra.
C'est certes une toute petite différence, mais elle donne une tendance.
Contrairement à l'Edta, pour le BAL, il ne faudrait pas viser un pH de l'extra alcalin car cela accentuerait le risque de recontamination de l'intra.
Quitte à perdre en efficacité, il faudrait donc plutôt baisser le pH de l'extra à 7,2 pendant le temps d'action du BAL de façon à éventuellement prévenir la recontamination.
Cela est facile à faire, jus de citron, ou eau minérale à bas pH, ... il faudrait juste mesurer le pH avec des bandelettes au cours de la journée pour ajuster le pH en temps réel.
Mais il ne faut pas non plus décendre le pH trop bas pour assurer la meilleure fixation du ml jusqu'à l'élimintaion.
Je jette cette idée-ci, c'est encore une idée à murir pour plus tard...
Il me faut encore peut-être calibrer la chose avec des contraintes ou des opportunités que je n'aurais pas considéré.