TOUT SE DÉTOX

Quand la santé revient enfin, il faut le dire et même le crier!

petit Bilan de haut de page

Messagede Sophocle » Mer 20 Nov 2019 11:51

Routine de chélassos.
    En tâche de fond, je fais des chélassos. - Environ 1x/sem.
    Je n'ai plus aucun effet éclatant, mais j'ai un confort cérébral qui s'installe comme une neige.
    Les effets baissent peu-à-peu au prorata de ml qui demeurent mais la rémission suit en cours.
    Je prévois de faire des analyses chez Microtrace à la mi-janvier.
    J'ai commandé un kit sur le site de Microtrace mais il n'est pas parvenu.
    J'ai échangé avec Microtrace, ils m'ont confirmé qu'on pouvait acheter des recueils d'échantillons à la pharmacie et qu'on pouvait leur envoyer.
    ... 24 nov. j’ai atteint un plateau en zig-zag. Les symptômes baissent après une chélasso, mais ils reviennent en 15 jours. C’est le rebond des os. La tendance générale est donc stable. Ça peut durer des semaines, ou des mois sans savoir quand le rebond va cesser. L’important, c’est que ça baisse au moment de la chélasso. Je continue donc.
    ...25nov. La dernière chélasso a totalement effacé mes maux résiduels au foie qui parvenaient d'une sur-exposition aux he et aux Amoc - voir paragraphe "intoxication aux he du post MOC6.
    Cette expérience me laisse supposer qu'il existe des ml dans les mo.
    Il serait judicieux d'ajouter un peu d'Edta aux amocassos de façon à capturer le ml libéré par le mo : une Amochélasso.

Micro-Organismes (MO)
    Mes tests rodés AMOC par AMOC ont commencé, Berbérine, a. Caprylique, Propolys, probiotique, he, témoin, ...
    Je devrais éventuellement obtenir des résultats dans une semaine.
    Les he semblent muettes sur les MO, les MO seraient donc commensaux.
    Le MO pris individuellement est inoffensif, mais c'est le nombre élevé de MO qui provoquerait ces picotements.
    Hypothèse de départ :
    Les he étant muettes, le SI adaptatif ne serait pas en cause dans ct'affaire.
    Le SI inné serait donc un peu déréglé.
    Le SI inné est une propriété intrinsèque de la cellule ordinaire.
    La cellule ordinaire est donc un peu dégradée par le présence des MO ou des ml.
    Q - En attendant la détox des ml, comment réguler le SI de la cellule courante ?
    R - il faudrait retenter le curcuma en infusion mais j'ai la flemme pour l'instant.
    Pour une démarche raisonnée, le rétablissement du Si devraient être prioritaire aux AMOC.
    L'Amoc est à considérer comme une alternative.
    ...24 nov : j'ai enfin mis en place l'infusion de curcuma et de gingembre.
    je prends 1/3 de litre de la bouteille d'eau minérale dans laquelle je place des morceaux frais,
    puis je rajoute l'infusion dans la bouteille d'amocasso.
    Ce n'est pas trop fastidieux mais y'a pas d'effets notables.
    ...les prémisses de conclusions de mes expériences sont ambivalentes.
    Il n'y a pas de produit Amoc miracle.
    Mais les Amoc semble ralentir le rythme de prolifération des bactéries par rapport au témoin.
    C'est donc peut-être là que se place le facteur de réussite des Amoc.
    Les Amoc naturels (non-Anti-Bio (AB)) ne tueraient pas vraiment les bactéries mais ils enclencheraient leur déclin sur la longue.
    ... j'ai reçu l'acide caprylique en gélule et un nouveau probiotique, je vais donc tester cela prochainement.
    ... Je vais réintégrer l'he de cannelle/origan/girofle en douceur, 4 gouttes max/jour selon la féd. fr. d'aromathérapie.

Prise en étau des MO.
    Aux amocassos, je vais également faire des massages d'Amoc, huile ou crème.
    Ainsi les MO seront pourchassés par voie interne et par voie externe.
    L'huile Caprylis cause des petits désagréments qui baissent d'application en application : picotements, démangeaison, sont-ce des crises de génocide de MO ?
    ...25 nov. J'ai suspendu cette méthode car elle consomme bcp de temps et d'énergie et qu'elle ne donne pas des effets éclatants.
    Pour l'instant, je me reporte uniquement sur les amocassos.

Moment de confort cérébral total mais fugace
    Lors de mon protocole commotion après la petite intoxication due à une application intensive d'AMOC, j'ai eu quatre heures d'effacement total des céphalées.
    Puis la chape de plomb s'est réinstallée - Effet placébo ?
    Les céphalées sont-elles partiellement liées aux AMOC en haute dose, ou aux actions du protocole commotion ? ou aux 2 ?
    Je le note au cas où ça revienne.

Protocole commotion - expression tirée du rugby
    Détail du protocole commotion : diète (raisins-tomates), bouillotte sur le foie (la nuit), repos le jour, douches glacées pendant qq jours.

Beurre de Karité & Probiotiques - Savon AMOC [img]kator/smiley252.gif[/img]
  • Debutyourhealth mélange du beurre de karité avec des probiotiques et des suppléments de biomasse - épatant.
  • Pour compléter l'arsenal AMOC, je vais fabriquer des savons sur mesure.
    Base 50% huile de coco, 50% huile de Palme
    Additifs : AMOC à tester - berbérine ?, EPP ? ....
    J'ajouterai du Caprylis en surgras

Routine hebdomadaire du moment
    LMMJV : 1 amocasso, 1x/j (fenêtre thérapeutique le we à cause des he).
    S : Fenêtre thérapeutique (Pause).
    D : 1 chélasso .


Dernière édition par Sophocle le Lun 25 Nov 2019 14:59, édité 4 fois.
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Témoignages d'illustration de l'E-Book

Messagede Sophocle » Ven 22 Nov 2019 11:46

Lors d'une éventuelle future révision de l'E-book, j'ai une suggestion à soumettre.
Avec Debugyourhealth, j'ai eu un flash de supervision de l'E-book.
L'E-book n'est pas le lieu des protocoles ni des applications des protocoles.
L'E-book n'est pas vraiment un récit de praticiens, mais il est plutôt un récit théorique de façon à dresser une check-list de disciplines à ne pas négliger.
Avec l'E-book, on peut vérifier qu'on a oublié aucune discipline.
Dans l'E-book, on a des listes détaillées de produits entremêlées à des méta-synthèses analytiques médicales.
Les listes de produits est certes nécessaires pour ancrer l'E-book dans le réel, mais elles ne comblent pas les attentes que fait naître l'E-book chez le lecteur.
Par le manque de super-témoignages inter-disciplinaires, l'E-book frustre un peu le lecteur.
Des liens vers des témoignages concrets multi-diciplinaires enrichiraient l'E-book à sa juste mesure.
Ces témoignages complèteraient le versant pratique et polymorphe à un E-book théorique dans un tout bien homogène.
Ainsi, le lecteur ne calerait pas si près de la mise en route du long chemin qui l'attend au niveau de la confection sur mesure d'application de protocoles.
Ce que produit l'E-book, c'est une prise de conscience de la grande diversité bariolée des problématiques.
C'est le lien entre les disciplines que suscite l'E-book qu'illustreraient des super-témoignages.
Cela paraît implicite pour un habitué du forum, mais cela ne l'est pas forcément pour un nouveau lecteur de l'E-book.
Un nouveau n'est donc pas conforté par l'absence d'une galerie de témoignages représentatifs de l'ensemble des témoignages dont l'E-book s'inspire.
La recherche de témoignages inter-disciplinaire est fastidieuse, elle m'a longtemps découragé.
Les témoignages des membres sont certes nombreux, mais le témoignage multi-disciplinaire est rare.
Une galerie de témoignages multi-disciplinaire en annexe à l'E-book rendrait l'E-book complet.
Le lecteur de l'E-book est en attente du jalon intermédiaire d'application et d'exemples concrets de longs protocoles complexes d'application pertinents.
En général, les rares témoignages très fouillés montrent avec justesse ce qu'est que l'E-book.
Mais ces témoignages sont aussi rares à trouver qu'une aiguille dans une meule de foin.
Ces témoignages expriment des cas concrets de combinaisons de quelques tuiles parmi de nombreuses tuiles décortiquées dans l'E-book.
La combinaison du témoignage de Debugyourhealth et de l'E-book forment un tout pratique et théorique qui rentre superbement en synergie, me semble-t-il.
Debugyourhealth met en évidence ce qu'est l'E-book : c'est un texte totalement théorique multi-diciplinaire.
Avec l'E-book, on a des échantillons de tuiles à combiner qui permettent à chacun d'apprendre à tisser tous les ravaudages spécifiques de toitures uniques.
L'E-book est une boite à outils théorique dont le lecteur doit apprendre à jongler en sélectionnant les quelques disciplines pertinentes qui le concerne.
Tel que cela est suggéré en liminaire, l'E-book est une méta-analyse théorique entre disciplines variées tirées d'une cohorte de très nombreux témoignages pratiques.
C'est la diversité des disciplines méconnues ou négligées à combiner entre elles qui fait l'obstacle majeur du naufragé.
Du cancer, à Parkinson en passant par la SEP, le lecteur de l'E-book peut s'intéresser à telle ou telle discipline médicale et se composer un mix de traitements.
Les témoignages globaux (débugyourhalth, cancer thérapy, ...) illustrent à merveille des mises en combinaisons de tuiles très spécifiques de l'E-book qui conforte le lecteur.
En sus de ces protocoles, Cancer Thérapy, Debugyourhealth sont des bons candidats pour une galerie de super-témoignages.
Un nouveau lecteur de l'E-book serait en possession de toutes les phases si cette galerie existait dans l'E-book sous une forme au sous une autre (directe ou indirecte).
Cette galerie enrichirait l'E-book de leviers d'action et de champs d'applications par l'illustration de la confection de protocoles d'application.
Il existe également de tels témoignages dans le forum mais il est difficile de les connaitre tous quand ils ne sont pas actifs.
Comble du raffinement du bouclage de boucle, le forum propose donc un support de ce que l'E-book incite chez le lecteur par une galerie de super-témoignages.
Ces témoignages illustrent ce qu'il ne peut pas se trouver dans l'E-book : de longs cas concrets de combinaisons variées en réponse à de multiples pathologies bariolées.
Avec l'E-book, j'ai abandonné l'idée que j'étais fichu et j'ai acquis la conviction que je pouvais me lancer dans la rémission.
Je crois que sa force est là et aucun autre document ne prétend à une telle vocation.
Avec l'E-book, j'ai l'impression de posséder de nombreuses tuiles théoriques entre les mains.
J'étais également rassuré par la présentation de tuiles qui ne semblent pas opportunes pour mon cas et que je pouvais écarter rapidement.
Cela donne un large sentiment de maîtrise de ce qu'il n'y a pas à gérer avec urgence ou à retardement en cas de blocage.
Avec l'E-book, je pouvais donc dresser une hiérarchisation des priorités strictes de mon cas au regard de l'éventail de disciplines.
Je n'avais plus qu'à me lancer dans des combinaisons des tuiles qui me titillaient.
Une petite galerie de témoignages pertinents de combinaison de tuiles me semble être une illustration très attendues de l'E-book.
Avec ces témoignages, l'E-book renvoie de là où il vient.
Pour sauver ma peau, j'ai évidement creusé toutes les tuiles à disposition sur internet car ma situation ne trouvait pas d'alternative.
Mon désespoir tournait mes pas vers une combinaison de tuiles de l'E-book à de nouvelles tuiles.
Dans mon topic, j'ai investi des tuiles qui existent depuis toujours et qui éventuellement mériteraient d'être candidate à rentrer dans l'E-book (naturopathie).
Comme l'E-book évoque de nombreuses maladies dégénératives, il me semble que ces tuiles ont toute leur place dans l'E-book.
Le traitement métabolique de Laurent Schwartz (Régime alimentaire, bleu de méthylène, acide alpha-lipoïque, Garcinia Cambogia, CoQ10 (?))) que relate Cancer Thérapy (youtube), les bains froids de Wim Hof, la Pancha-karma me semble être également des tuiles éligibles à l'E-book.
Quant à mon témoignage, il est pratico-pratique et il est théorique à mon cas.
Je l'ai écrit pour celui que j'étais avant de commencer ce topic.
Comme pour chacun, je m'en suis tiré en partie grâce à l'E-book et en partie grâce à moi-même.
J'ai sauvé ma peau et cela me contente pleinement.
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MOC 9 : Amochélassos / chélation de l'intracellulaire

Messagede Sophocle » Lun 25 Nov 2019 15:36

Amochélasso
    D'un coup, la toute récente chélasso a effacé mon mal de foie et mes maux de tête dont leur origine parvenait de la récente intoxication aux he et autres amoc.
    Cette résolution éclatante était totalement inattendue.
    Je suis comme neuf en claquant des doigts, waou. [img]kator/smiley223.gif[/img]
    De plus, cela veut dire que mes chélateurs (dmsa et edta) captent chaque métal (cuivre, mercure, arsenic, plomb) dont je suis intoxiqué - Magnifique.
    Grâce à cette résolution, je peux en déduire que les tissus et/ou les mo agressés par la surdose d'he avaient donc libéré des ml.
    Des ml se cacheraient donc dans les cellules et/ou dans les mo.
    La résolution éclatante des maux par une chélasso suggère que seuls des mo étaient atteints par la sur-dose d'he.
    Cela expliquerait des témoignages de guérison de l'ehs lors d'un traitement de lyme - voir audition de la sociologue du rapport de l'Anses.
    Je vais donc ajouter un peu d'edta (0,25g d'edta et 2g de bcs) aux amocassos de façon à capturer les ml immédiatement libérés par les amoc.
    Amocasso + chélasso = amochélasso.
    D'ailleurs, le rebond de ml dont je me plains depuis plusieurs semaines peut être éventuellement approvisionné par les mo.
    J'ai peut-être un important stock de ml dans le mo et j'accuse éventuellement les os à tord.
    Cependant, je continuerai les séances de chélassos hebdomadaires à fortes doses de façon à continuer à travailler en profondeur.
    ...Après consolidation et sédimentation de mes réflexions, il me semble que les symptômes d'après la forte dose d'he étaient dus aux ml car les symptômes étaient persistants avant la chélasso et qu'ils se sont totalement durablement résorbés depuis la chélasso.
    Pendant la période de symptômes, j'ai revécu un échantillon de la période du pic de ml (2014-15) :
    -avant la chélasso, j'étais dépassé par la situation, et je devais prendre sur moi pour afficher une attitude de circonstance avec le monde extérieur, j’ai donc fatigué de l’intérieur et je devais faire des efforts pour masquer cela ;
    -après la chélasso, je respirais la confiance en moi car le foie et le cerveau étaient silencieux ; je n’avais qu’à jouer le jeu de mon intériorité pour afficher une attitude de circonstance avec le monde extérieur ; j’étais donc très à l’aise.
    C'est exactement pendant la chélasso (de gorgées en gorgées) que la situation à basculée.
    Pendant la marche rapide, je confirme que la solution est passée par le foie en quelques secondes/minutes.
    À jeun et en période d'activation sanguine par l'activité physique, le transfert de la gorgée jusqu'au foie se fait extrêmement rapidement.
    La vitesse d'imbibition de la chélasso est donc élevée.
    Une intoxication aux he ne peut pas être résolue en si peu de temps car il faut que les tissus se régénèrent suite à une inflammation.
    Cette résolution si rapide indique que les ml étaient agglutinés dans l’extra et qu’ils étaient donc dispo pour se faire ramasser par les chélateurs.
    Cela indique également que les ml peuvent séjourner plusieurs jours dans l’extra avant d’être éliminés ou de franchir la membrane cellulaire.
    Cela est intéressant car on dispose donc de souplesse entre les amocassos et les chélassos.
    Je revis exactement le schéma décrit dans l'e-book du forum à propos du tabouret à 3 pieds...
    Avec les he et autres amoc, j'ai une piste sérieuse : un gros stock insoupçonné de ml couvent dans les mo.
    Il demeure donc bcp de ml que les chélassos ne captent pas.
    Cela confirme également que les chélassos ne rentrent absolument pas dans l’intra-cellulaire.
    ...Je me rappelle que, juste avant l'incident aux he, j'avais pratiqué des massages à l'he de cannelle et d'origan dosés à 10%.
    Il est donc probable que ces massages aient fortement participé à la libération des ml de façon à réduire la part de participation des amocassos.
    Lors de l'incident, je m'étais dis qu'il ne fallait pas que je recommence ces massages, mais depuis la résolution de l'incident par une chélasso, la donne a changé.
    Je vais donc éventuellement tenter de recommencer ces massages à des doses un peu plus raisonnables.
    ...Ces massages avaient provoqué des inflammations sur la peau qui s'étaient résolues en appliquant abondamment de l'hv.
    Partiellement à tord, j'avais donc émis l'hypothèse que les he se sont concentrées dans le foie et qu'elles avait provoqué l'incident.
    La résolution de l'incident du foie par la chélasso dément partiellement cette hypothèse et relance l'hypothèse de la libération de ml suite à l'agression des mo par les he.
    ... il est étonnant que les ml se soient retrouvés dans le foie car ils ont demeurés non-circulants depuis quelques années.
    Des conditions particulières les ont fait circuler, les décrits de mo ont peut-être solubilisé les ml.
    Il existe donc une solubilisation des ml.
    Les chélassos hebdomadaires devraient certes résorber les effets accumulatifs des amoc.
    Mais, je préfère intercepter les ml au plus tôt pour prévenir de nouveaux problèmes.
    Je vais donc réaliser des crèmes amoc (dont he) et chélatrices.
    Ainsi, le mo est desingué et le ml est capturé.
    J’ai une préférence pour la voie cutanée à la voie orale car il n’y a pas de goulot d’étranglement ni de système digestif.
    ...

Chélateur intracellulaire.
    Les chélateurs seuls ne rentrent pas dans les cellules car ils sont chargés négativement.
    La surface extérieure de la membrane cellulaire est négative, elle repousse donc le chélateur.
    Mais, s'il était possible de réaliser une solution eau/huile comestible, le chélateur rentrerait dans l'intra.
    Apparemment, les mono(di-)-glycérides des glaces (crèmes glacées) remplissent cette fonction mais ça ne se trouve pas en détail.
    Sinon, en cas de tolérance des produits laitiers, il y a de la crème fouettée, avec de la crème fraiche entière et épaisse à laquelle on ajoute 20% de chélasso (edta, bcs).
    L'edta n'ayant pas de goût, ça devrait passer très facilement.
    Sur le papier, cette technique devrait permettre de rentrer dans les cellules et dans les mo.
    ...C'est une espèce de Pancha-Karma tunnée à la chantilly et aux chélateurs - Pourquoi pas si ça résout les problèmes.
    C'est un complément ou une alternative intéressante aux he : cela évite la toxicité des he a postériori du relargage des ml, de plus, les ml sont capturés dans l'œuf...
    ...Cependant, je m'inflige déjà assez de traitements au quotidien, je vais donc me contenter des amocassos et des chélassos.
    La chélasso étant la résolution de l'amocasso et comme il faudra passer nécessairement par une amocasso, cette piste perd un peu de son intérêt.
    De plus, la crème fouettée va déclencher un processus de digestion, cela est plutôt un obstacle.
    Il faudrait créer une solution E/H/E de façon à bénéficier d'une solution aqueuse qui franchirait rapidement l'estomac.
    Il serait peut-être possible d'obtenir cela avec du jaune d'œuf, mais là ça relève de l'ingénierie de solubilisation, je vais me documenter si cela était faisable...

Capture du ml par le chélateur [img]kator/smiley252.gif[/img]
    Je vais faire une petit récap de ce qui se passe entre les ions et entre les molécules chélatrices.
    Selon le document alpha (Chélation Therapy), un chélateur neutralise les méfaits des ml.
    C'est-à-dire que, dès que le ml est capturé par le chélateur, il cesse d'être toxique y compris quand le chélateur demeure dans la cellule.
    Par voie de conséquence, les chélateurs sont quand-même efficaces même s'ils n'étaient pas éliminés.
    Le ml est un cation avec 2 électrons manquants (ions 2+), le chélateur est une chaine avec 2 pôles dont chaque pôle dispose d'un électron en excédant.
    Lors de la rencontre d'un ml et d'un chélateur, les pôles du chélateurs vont se replier sur le ml de façon à partager les électrons.
    Les affinités entre ml et et chélateurs seraient fortes, un ml et un chélateur ont donc tendance à se combiner ensemble et à demeurer ainsi.
    Il semble que le complexe (chélateur + ml) soit stable.
    Il est donc intéressant de faire passer le chélateur au travers de la membrane cellulaire pour neutraliser le ml au cœur des problèmes.
    Avec la crème fouettée, on pourrait donc construire un cheval de Troie qui pénètre les mo et les cellules car la crème fouettée serait une micelle qui renfermerait le chélateur.
    Ensuite, on a plus qu'à miner les mo avec des he.
    Avec les he, les mo seraient disloqués, le chélateur sera ensuite libéré, et le ml serait déjà inoffensif car il serait déjà pris par le chélateur.
    Avec toutes ces supputations, je suis certes un doux rêveur, mais le big-bang n'a-t-il pas été inventé par un poète ?
    Cependant, je m'attends à ce que la crème fouettée ne fasse pas d'effet sur le cerveau car les neurones sont protégés par une épaisse muraille d'astrocytes dont la mission est justement de filtrer les chevaux de Troie.
    ... Une forte dose de he est peut-être un coup d'épée dans l'eau car les mo se reconstituent mais la captation des ml présents dans les mo est peut-être une piste pour étouffer les mo.
    Cad qu'il faudrait capter les ml au moment où les mo sont maltraités de façon à empêcher que les mo se reconstituent.
    Il y a donc deux actions synchronisées : agression des mo et capture des ml en concomitance pour réduire le potentiel de reconstitution des mo.



Dernière édition par Sophocle le Ven 29 Nov 2019 13:37, édité 1 fois.
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MOC 10 : Massages Amochélasso - Lyme, ehs, candida.

Messagede Sophocle » Jeu 28 Nov 2019 15:31

Suite à mes dernières expériences (résolution des complications suite à l'intoxication aux he), il me semble que je détienne enfin une application musclée et "raisonnée" contre les MO.
Je ne sais pas si ça va résoudre mes problèmes de picotements mais qui ne tente rien n'a rien.
Cependant, j'ai la preuve qu'une dose significative de ml ont été libérés après une application d'he.
J'ai donc là une réserve de ml qu'il est préférable d'éliminer.
Comme les chélassos sont en perte d'effets éclatants, je peux donc me lancer dans une nouvelle vague mobilisation.


Projections passées et future
  • Ça fait un an et demi que je fais des expériences sur la peau sans que, jusqu'ici, il y ait des des résultats.
    Les premiers symptômes sur la peau sont apparus en novembre 2017, il y a deux ans, suite aux premières déshydratations.
    J'ai commenté ces problèmes à la page 9, et 13 pages (200 messages) plus tard, j'arrive enfin à quelque-chose.
    J'ai toujours négligé les mo par flemme, car le traitement des mo a nécessité un apprentissage expérimenté des huiles essentielles.
    Je peux donc reconstruire ce qu'il s'est passé lors des déshydrations : les ml ont été mobilisés du snc vers les tissus ordinaires.
    Dans les tissus ordinaires, les ml ont été encapsulés par des mo.
    Les ml étant un minéral physiologique pour les mo, les mo commensaux se sont donc multipliés de façon à encapsuler tous les ml.
    Cela est préférable à ce que le ml entre dans une cellule.
    Les effets néfastes des ml sont neutralisés par les mo, et le nombre élevé de mo provoquerait des effets secondaires gênants mais non-délétères.
    Il s'agit peut-être là d'un moindre mal.
    Pour traiter ces problèmes de peau, il fallait donc exploser les mo et capturer immédiatement les ml de façon à empêcher les mo de se renouveler.
    Il fallait donc deux actions musclées et combinées pour résoudre définitivement le problème.
  • Il est étonnant que je pensais que je n'avais pas de mo avant de m'être lancé dans les chélassos et que les picotements ne baissaient pas au rythme des effets sur le cerveau.
    Non seulement j'avais des mo, mais ils étaient chargés en ml.
    Jusqu'ici, je savais que j'avais des ml dans les tissus ordinaires mais ils déjouaient toutes mes tentatives de les capturer.
    Les crèmes chélatrices et les chélassos ne sont donc pas efficaces sur les ml qui sont planqués derrière une membrane cellulaire.
    Après la résolution des mo, j'aurais certes résolu mes problèmes à 90% mais il demeurera le problème des ml dans les cellules.
    J'ignore encore si je pourrai m'attaquer à ce problème et à sa résolution.
    J'ai certes une piste avec des émulsions e/h/e, mais avec la raréfaction des symptômes, les expériences deviennent de moins en moins révélatrices de progrès.


Synthèses des difficultés en chaine VS solutions
  • Le problème des amoc, c'est qu'ils sont toxiques à forte dose ou à faible dose chronique.
      Il y a donc deux plafonds de dosages des amoc, dose quotidienne et dose chronique.
      Les doses à respecter sont sur les boites des produits ; concernant les he, les doses sont préconisées par la féd. fr. d'Aromathérapie.
      Cependant, il n'est pas inutile de rechercher un dosage à la baisse ou à la hausse.
      C'est à chacun d'apprendre à doser ses produits.
      Je ne préconise pas de sur-doser ; mais je préconise d'apprendre à apprendre à doser.
      La phase d'apprentissage est fastidieuse mais elle est indispensable.
      La dose quotidienne préconisée par la boite est peut-être excessive pour certaines physiologies, il faut donc la tester.
      Pour ma part, je surdose mais cela ne concerne que moi-même.
      Mon intoxication est très profonde mais ma robustesse semble peu commune.
      Le rétablissement de la tension par des bains froids, par la réforme alimentaire, par un petit jeûne de 3 jours est un matelas significatif de résilience physiologique.
      Cependant, il faut être au point sur le protocole commotion (repos, bouillotte, diète, chélassos, douches alternées, ...).
      La consolidation d'une excellente tension permettra justement d'ouvrir un interval de dosages de façon à trouver un compromis entre l'intensité et la longueur.
      Les mo sont des phénix, il faut donc les battre sur leur terrain.
  • La destruction des mo provoque une intoxication par les ml libérés et par les débris libérés.
      Dans la lutte contre les mo, les intoxications s'accumulent.
      Il faut donc conjuguer la dose, le renforcement des émonctoires et la détox.
      Les facteurs limitants sont nombreux (toxicité, ml, fatigue des émonctoires).
      Il faut donc régler plusieurs curseurs à la baisse de façon à permettre aux cycles à distance et les cycles à retardement de se réaliser pleinement.
  • Le problème des moc, c'est qu'ils sont régénérants.
      Beaucoup d'efforts peuvent être gaspillés si on s'arrête à la dernière marche.
      Il faut donc apprendre à se ménager de façon à durer.
      Et ce n'est qu'en s'exerçant qu'on arrive à monter de plus en plus haut.
      Cependant, l'élimination des ml présents dans les mo devrait ralentir la capacité des mo à se régénérer.
      Donc même si on chute à la dernière marche, on a contribué à faciliter les futures ascensions.

Quelques enseignements
  • Même si les he passent par la lymphe et court-circuitent le foie, des he par voie orale passent par le sang (et donc par le foie) avant d'arriver dans les tissus.
    Les he et le foie sont donc dégradés avant même que le principe actif n'arrive dans les tissus.
    Cela demande beaucoup d'efforts pour peu de résultats.
    La voie cutanée me semble une alternative avantageuse car elle permet d'accéder directement aux tissus avant la dégradation des principes actifs.
    La résolution de l'inflammation directe sur la peau en appliquant abondamment de l'huile végétale est très efficace.
  • Cette phase d'inflammation m'intrigue car elle cesse dès que j'applique de l'hv en abondance.
    La réaction à donc lieu à une certaine concentration d'he et elle cesse immédiatement dès que la concentration de l'he baisse.
    La vitesse de désactivation est très rapide - tant mieux, cela permet de bénéficier d'un retour à la normale rapidement.
    Mais, en sus de l'he caustique, la réaction inflammatoire peut avoir lieu suite à la destruction des mo.
    La destruction des mo devrait libérer beaucoup de matériel réactif, adn, ml, ...
    L'inflammation va donc s'enclencher pour traiter ce matériel.
    Selon la documentation, les he caustiques sont pro-inflammatoires, il est possible que ce soit l'inflammation qui provoque la destruction des mo.
    À contrario, il est possible que les he caustiques soient suffisantes pour tuer directement les bactéries.
    La chaine de causes et de conséquences est certes permutable ; mais pour l'instant je recherche le résultat et je décortiquerai les combinaisons de dosages si les tendances m'en donnent l'occasion.
    En tout cas, mes premières expériences ont montré une inflammation cutanée en feu de paille suivie, quelques demies-journées après, d'une intoxication au foie par des ml.
    À la longue, je pourrai éventuellement trancher sur l'éventuelle nécessité indispensable ou pas d'une brève et faible inflammation cutanée.
    Dans l'expérimental, le facteur humain est très prégnant.
  • De plus, la voie orale est un goulot d'étranglement qui impose un facteur limitant qu'on peut lever par la voie cutanée, me semble-t-il.
    La voie cutanée est une immense surface qui permet de réduire la densité des amoc.
    En outre, avec la voie cutanée, on évite le foie à l'aller, le foie est donc moins exposé.
  • Les he caustiques ont créé une intoxication aux ml inattendue.
    Avec les chélateurs, je compte traiter l'intoxication à retardement avant qu'elle n'ait lieue.
    Si cela n'était pas efficace, je peux toujours compter sur une chélasso.
    Un traitement chélateur combiné aux amoc est donc préférable : le chélateur est déjà sur le site de bataille entre mo et amoc.
    De plus, les ml ne seront plus disponibles pour conforter la régénérescence des mo.

Mes marqueurs de limite haute
    Pour l'instant, l'inflammation cutanée et l'intoxication du foie sont mes deux signaux d'alerte.
    Je vais donc ajuster mes dosages d'he caustiques selon deux critères chacun suffisants :
    • Le dosage quotidien (5j/7) ne doit pas excéder une très légère inflammation cutanée rapidement auto-désactivante.
      Il est possible que cette inflammation soit due à la destruction des mo.
      Je ne veux donc pas l'éviter absolument, mais je veux à peine la déclencher et la contrôler sans avoir recours à l'hv.
    • Le dosage hebdomadaire ne doit pas excéder un début de mal de foie qui devra être désamorcé par une chélasso.
      Je me débrouillerai pour que le début de mal de foie apparaisse le jour de la chélasso hebdomadaire.
    • Pour l'instant, je n'ai pas identifié d'autres signes vraiment déterminants.

Confection de la crème Amochélasso
    Le traitement amoc doit donc traiter en même temps autant les mo que les ml.
    Je vais donc compléter la crème chélatrice déjà opérationnelle (mais sans résultats jusqu'ici) avec des produits amoc.
    Ainsi, les ml libérés par la dislocation des mo devraient être captés aussitôt.
    Je replace ici une vidéo de la confection de la crème chélatrice : Crèmechélatrice -youtube 5'.
    Atelier fabrication de la crème : voir édit 4 du post Détox peau II : Crème déshydratante
    J'ai revu les doses de chélateurs à la baisse car 1 chélasso à effacé tous les symtpômes, edta : 0,5g (2gél.) ; dmsa : 0,1g (1gél.).
    Après la confection de cette crème, j'attends qu'elle tiédisse afin de ne pas brusquer les he, puis j'ajoute les amoc et je mélange avec la touillette électrique:
    • 0,5ml d'he caustiques (cannelle, origan,...), soit 15 gouttes au total. (=2% de la solution huileuse)
    • 1 ml de la bouteille d'he non caustiques, soit 20 gouttes env.
    • Propolys, Epp, huile d'ac. caprylique, tout amoc soluble dans l'huile.
    • Nota : les produits en poudres (berbérine, ac. caprylique en poudre) sont pris par voie orale classique.
      Ces produits peuvent être éventuellement ajoutés à la phase aqueuse de la crème - à tester mais ça fait bcp de poudre à diluer.

Précaution
    Les he sont photo-sensibilisantes pendant 6 heures. [img]images/icones/icon3.gif[/img] [img]images/icones/icon3.gif[/img] [img]images/icones/icon3.gif[/img]
    Il faut donc se protéger du soleil ou faire l'application au couché du soleil.

Projet d’Application
  • Massage avec la crème amochélasso
  • Sauna
  • Douche alternée
  • Toute autre activité physique est la bien venue : marche rapide (évt dans le froid), bain froid,...
    Cette séquence permet d'imbiber les produits amoc et d'activer fortement la lymphe cutanée de façon à faire percoler les amoc et les chélateurs avec les mo et les ml.
  • Fréquence : Quotidienne (ou bi-quotidienne selon les symptômes)

Extra
    Suite à cette expérience, j'ai complété le post sur l'hygiène buccale avec un traitement contre les infections des racines dentaires.
    [img]images/icones/icon2.gif[/img] [img]images/icones/icon2.gif[/img] l'hygiène buccale


Pointage des applications
  1. Petite inflammation comme je la souhaitais, mais au sauna, la transpiration à été étonnamment peu abondante, pas de hausses du rythme cardiaque, chaleur non ressentie. La pores semblent obstrués. Or, l’huile végétale ouvre les pores et provoque une transpiration rapide et abondante. Avec les he caustique, il y a donc eu une réaction... J'ai retesté un sauna à blanc 24h après : RAS.
  2. 10go cannelle, 5go origan. petite inflammation, baisse des symptômes, transpi sauna paraît normale... j'ai parfois des éclaircies cérébrales. Pas de pb au foie... je tiens le bon bout.
    Le he caustiques obtiennent des résultats que les he non caustiques n'obtiennent pas.
    Selon mes cultures de mo, les premiers amas apparaissent en 2 à 4 jours.
    Pour l'instant, je n'envisage donc pas de passer à 2 séances par jour et à moitié dose de façon à appliquer une pression continue.
  3. 3 déc. - Après plusieurs semaines d'essais en tout genre, il me semble que les seules le he caustiques me provoquent des symptômes que seules les chélassos peuvent résorber.
    Les massages d'amocasso sont assez fastidieux et ils n'apportent pas d'effets éclatants, je vais donc les suspendre.
    Pour l'instant, je vais donc me concentrer sur les he caustique, 16 gouttes matin et soir, matin : diluées à 10% dans de l'huile, le soir : amocasso (bouteille d'eau et jaune d'œuf, puis marche).
    Avant le couché, je prends une mini-chélasso avec 0,25 ou 0,5g d'edta (selon symptômes au foie) + 1g de BCS, et si j'en ai l'occasion je mets une bouillotte sur le foie.


Dernière édition par Sophocle le Mar 3 Déc 2019 13:13, édité 1 fois.
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Lyme, ehs, candida,... & ml : une centrale énergétique

Messagede Sophocle » Ven 29 Nov 2019 18:30

Maladies à micro-organismes
    Il me semble que le principe de ces amochélassos serait pertinent pour lutter contre l’ehs, Lyme et autres pathologies dues aux micro-organismes.
    Les ml et les mo sont enchâssés l'un dans l'autre.
    Par voie de conséquence :
    les campagnes anti-ml et anti-mo séparées l'une de l'autre de quelques jours ne sont pas efficaces car les ml sont protégés des chélateurs par les mo et que les mo se régénèrent grâce aux ml.
    Avec les mo et le ml, il existe un effet de bouclier auto-régénérant grâce au ml.
    Le ml semble être un catalyseur de la multiplication des micro-organismes.
    Le ml est comme un signal du quorum sensing qui contrôle la population de mo.
    Voir les paragraphes suivants pour une hypothèse de facteur de croissance des mo par les ml.
    Pour enrayer les micro-organismes :
    • il faudrait donc exploser le mo avec la/les molécule(s) appropriée(s),
    • puis ensuite il faudrait capter immédiatement son ml gardé précieusement comme une perle au fond d'une huitre.
    Sans la capture de ce ml, un mo va se régénérer et re-séquestrer le précieux ml libéré par un précédent mo.
    Contre les mo, il faudrait donc des campagnes anti-mo et anti-ml quasi-simultanées ou très rapprochées.

EHS
    Avec les amochélassos, des ehs résistant au Dmps devrait également se résorber.
    Les micro-organismes expliqueraient éventuellement la raison pour laquelle les IV de dmps n'arrivent pas à bout de certains ehs car le chélateur ne franchit pas les membranes des mo.

Inflammation
    En cas d'inflammation, je prendrai également un médicament anti-inflammatoire.
    Pour le coup, il n'y a pas plus performant que la médecine moderne dans ce domaine-ci.


Métal-lourd : une centrale énergétique thermique débordante [img]kator/smiley252.gif[/img]
    Selon l'académie de médecine (Rapport Anses), les métaux-lourds dégagent de la chaleur lorsqu'ils sont placés dans un champ oscillant.
    En présence de champs oscillants, les électrons des métaux-lourds s'agitent : c'est le phénomène de chaleur par l'activité cinétique des molécules.
    Avec des ondes, les métaux-lourds se comportent donc comme une centrale énergétique thermique.
    Dans un champ oscillant et à toute échelle conservée, le métal-lourd produit le même effet qu'une centrale nucléaire : un échauffement.
    En physique, la chaleur dissipée et l'énergie sont exactement la même chose.
    Avec les ondes, les électrons s'éloignent du noyau, leur vitesse de rotation augment, les molécules acquièrent de la vitesse cinétique, la chaleur augmente donc.
    Les électrons sont donc disponibles pour se lier à d'autres molécules, les réactions chimiques sont confortées.
    Les électrons transforment les ondes oscillantes en chaleur : ils transmettent de l'énergie au système biologique.
    À son tour, le système biologique va entrer en action.
    C'est là le mode de fonctionnement du vivant : y'a de l'énergie, la chaîne de réaction se met en place.
    Selon Pierre Magistretti (Cdf, voir revue de médecine), Le corps est dans un cycle pendulaire, éveil - sommeil : production de toxines pendant l'activité et recyclage des toxines pendant la passivité.
    Le corps est organisé pour forcer une période de sommeil de façon à drainer les toxines créées pendant l'éveil.
    L'apport de chaleur active le système biologique, il empêche de dormir, il empêche le recyclage des toxines, et donc les toxines s'accumulent dans la cellule.
    C'est donc un phénomène d'emballement qui se traite quotidiennement par le drainage et qui se résout par l'élimination des ml.
    D'ailleurs, il suffit de chauffer un organe pour qu'il s'active, bouillotte sur le foie, échauffement musculaire, concentration,...
    C'est une inertie fonctionnelle thermique et énergétique.
    Quand un ml est à l'intérieur d'un organisme, il se comporte donc comme une source énergétique activée.
    Hors du cycle énergétique physiologique, le ml fait que le gradient des réactions chimiques passives bascule vers un mode actif, les cycles biologiques se mettent donc en branle.
    La chaleur fait rentrer les organismes en activé : mouvement, fonctionnalité (le cerveau pense, le cœur bat + vite,...), division cellulaire, production de déchets,...
    L'organisme plonge dans l'épuisement mais son système demeure activé par la chaleur permanente des métaux-lourds.
    Quand le ml est dans un mo, le mo s'active ; ce dernier dispose d'une énergie abondante et débordante, mêmes causes, mêmes effets : mouvement, fonctionnalités, ...
    Il devrait en être de même avec les cellules : les cellules disposent d'une énergie abondante et débordante qui dé-régule ses cycles dans l'instant et/ou à petit feu.
    -> Multiplications des mo et des cellules, Lyme, cancers, dégénérescence, parkinson, Alzheimer, ...
    La dégénérescence serait la suite d’une sur-générescence légère mais continue.




En attendant de relocaliser les paragraphes suivants dans leurs posts de circonstances, je place ci-après quelques notes.

He à 10%
    Je fais tellement de recherches que je ne peux pas tout écrire - Malheureusement, je ne dis pas tout.
    Cette semaine, j'ai essayé de reproduire ma récente intox aux he de façon maitrisée.
    Mais je n'y suis pas parvenu. À qui la faute ? - fin du stock des mo/ml ? faiblesse du dosage ?
    Juste avant de faire l'intox aux he, je me rappelle que, chaque matin, je buvais également un petite gorgée mon huile à 10% d'he non-caustiques.
    Je me le note ici pour penser à réactiver cette action-ci.

Pointage de la récente Chélasso - 30 nov -19ème séance : 0,75g d'edta, 3,5g BCS ; 0,3g de Dmsa.
    C'est le we, j'ai donc arrêté les actions avec les he (fenêtre thérapeutique) et j'ai fait ma chélasso hebdomadaire.
    Lors de la montée des escaliers, les courbatures sont apparues tardivement par rapport aux semaines passées.
    La chélasso a effacé de légers maux de tête qui ont trouvé naissance pendant la semaine passée.
    Les amocassos et les chélassos demeurent donc efficaces.
    Les amochélassos ne semblent pas totalement efficaces sur le plan de la chélation des ml libérés par les mo, mais peut-être sont-elles partiellement efficaces.
    J'ai encore quelques légers maux de tête durables (et désagréables) mais les effets des chélassos sur les symptômes durables semblent parvenir à un plateau.
    Est-ce la fin des ml ? est-ce la fin de l'efficacité des chélassos ? y a-t-il un rebond de diffusion à retardement ? Où en suis-je au niveau des ml ?
    Je sais que j'ai encore des ml mais j'arrive dans des zones d'incertitudes.
    Je vais prochainement faire des analyses chez Microtrace pour savoir si des ml continuent à sortir.
    Au même moment que les tests chez Microtrace, je vais également tester mon électro-sensibilité en laissant le disjoncteur allumé pendant quelques nuits.
    Le test du disjoncteur est un peu long : 3 à 5 jours, et il est désagréable à supporter et il est long à se résorber (2 jours) , mais il m'informera sur la quantité de ml.

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1/2 - La mitochondrie : la centrale énergétique de la cellul

Messagede Sophocle » Lun 2 Déc 2019 18:46



    Suite au paragraphe du précédent post sur les métaux-lourds comme centrale thermique non-physiologique, voici des recherches sur la vraie centrale énergétique physiologique : la mitochondrie.

  1. Conférences sur la mitochondrie et le cancer
    1. Thomas Seyfried
      Je place ici mes notes d'une conférence de T. Seyfried sur la mitochondrie dont le rôle dans le cancer lui semble déterminant.
      Merci à Cancer Therapy pour m'avoir fait découvrir ce médecin.
      Je confirme que le traitement que s'est concocté Guy de Cancer Therapy est un mélange des traitements de L. Schwartz et de T. Seyfried.
      Avec cette conférence de Thomas Seyfried, j'ai enfin un schéma (voir image ci-après) qui semble clair, concis et complet du contour des processus du cancer.
      Comparé aux conférences du Collège-de-France, le discours de T. Seyfried est beaucoup plus ciselé et démonstratif.
      Contrairement au Collège-de-France, T. Seyfried présente des cas de rémission.
      La rémission demeure valable tant que le régime cétogène est appliqué, les restrictions alimentaires semblent efficaces en préventif et en curatif.
      Il n'est pas étonnant que, si le traitement métabolique était efficace, ce soit la mitochondrie qui cause le problème.
      De plus, le Collège-de-France confirme plusieurs fois (E. Heard, A. Prochiantz & H. de Thé - voir revues de médecine) que le régime cétogène ou que le jeûne sont efficaces contre les maladies neuro-dégénératives sans pour autant proposer d'alternative.

      Conférence : Youtube, 20', Dr Seyfried : Le Cancer et l'approche Métabolique (EN) - sous-titrée (FR)
        Qui est Thomas Seyfried ? C'est médecin américain qui propose une origine métabolique au cancer (et non génomique).
        Selon la science, la cause du cancer parviendrait de mutations de l'Adn.
        On est bien loin de l'époque récente du dogme scientifique qui imposait que l'Adn était figé à jamais.
        En sciences, c’est comme les trains : un dogme peut en cacher un autre.
        Cependant, les statistiques des dernières décennies signalent aucune amélioration du traitement du cancer depuis l’après-guerre.
        Il faudrait que je fasse un post sur les dogmes scientifiques démontés par le Collège-de-France : vaccins, adn,...


      Notes :
        ( Ces notes ne sont pas une retranscription directe.
        Je n'ai pas relevé tous les sujets traités, je n'ai relevé que ceux qui m'intéressaient dans un premier temps.
        Les tournures sont un peu simplifiées, il conviendra de se rapporter à la source...
        Mais, à l'occasion, je ferai une revue détaillée de ses études quand je trouverais une longue conférence complète traduite en français.
        Cependant, ce qu'il ressort de cette démonstration, c'est un ordonnancement entre les causes et les conséquences. )

      Selon la science moderne, l'origine du cancer est considérée comme génomique.
      La question est d'établir si cela est vrai ou faux.
        Voici le schéma présenté par T. Seyfried :
        Image
        1. Les cellules vertes sont saines, elles donnent des cellules saines.
        2. Les cellules rouges sont cancéreuses, elles donnent des cellules cancéreuses.
          Dans la cellule cancéreuse, la mitochondrie et le noyau sont altérés.
        3. Il existe des études où l'on a transféré des noyaux de cellules cancéreuses (en rouge) dans des cellules souches (saines, en vert) et on obtient des cellules normales et quelquefois des tissus normaux ou des organismes entiers à partir du noyau d'une cellule cancéreuse.
          Le nombre de mutation dans le génome ne cause par le cancer mais il interrompt le développement.
        4. Si vous prenez le noyau d'une cellule normale et que vous la placez dans une cellule cancéreuse, on obtient des cellules mortes ou cancéreuses et non normales.
      Cela indique que les mitochondries ont la capacité de supprimer la formation de la tumeur et que les mutations ne sont pas la cause de la maladie.
      (...)
      Dans une cellule cancéreuse, la respiration normale est altérée.
      La fermentation du glucose et de la glutamine sont une alternative à la défaillance de production d'énergie par les mitochondries.
      On ne retrouve jamais de mitochondries correctement formées dans une cellule cancéreuse.
      Les mitochondries envoient un signal au noyau comme quoi elles ne peuvent plus produire de l'énergie.
      Le noyau va mettre en marche des oncogènes qui vont compenser le manque d'énergie par la fermentation.
      Mais si la fermentation continue, le noyau devient instable, le génome est instable, cela est un effet secondaire causé par le dommage de la respiration.
      (...)
      Les traitements courants sont inefficaces contre les glioblastomes.
      Traitement métabolique chez la souris : mises en place de restrictions caloriques pour maintenir des niveaux adéquats de minéraux et de nutriments (cela est différent du jeûne).
      Si cette restriction calorique chez la souris est faite de la bonne méthode, en suivant des marqueurs biologiques, on améliore la biogenèse des mitochondries.
      La restriction calorique chez la souris est la mimique du jeûne thérapeutique hydrique chez l'homme (cela est du au métabolisme 7x+ important chez la souris).
      (...)
      Les cellules normales métabolisent les corps cétoniques (jeûne) mais les cellules cancéreuses ne métabolisent pas les corps cétoniques.
      Les cellules cancéreuses se retrouvent marginalisées.
      La formation des vaisseaux sanguins est réduite de façon significative dans les tumeurs.
      Cela déclenche le programme d'apoptose de la cellule cancéreuse.
      De plus, le jeûne cesse l'inflammation qui est liée à la propagation de la maladie (fin des métastases par absence de rupture de la lame basale).
      (...)
      Dans une diète cétonique, les récepteurs du glucose des cellules cancéreuses sont excités : pression additionnelle sur la cellule tumorale.
      On lui donne un substitut du glucose qui ne peut pas être métabolisé : le 2-deoxy-D-glucose.
      Synergie : diète cétonique + 2DD-glucose pour que le médicament cible la cellule tumorale.
      (...)
      Le traitement strictement médicamenteux du cancer du cerveau est une chose terrible car il est responsable du décès de la plus part des patients.
      La patient meurt du traitement, et non du cancer.
      (...)
      Traitement métabolique d'un patient atteint d'un glioblastome : 3 jours de jeûne puis diète cétonique à restriction calorique sur plusieurs mois : résultat remarquable sur le cerveau, une rémission.
      Le patient a cessé la diète cétogène, deux mois après, la tumeur a récidivé.
      Au lieu de reprendre la diète, la patient a choisi le traitement médicamenteux et il est décédé.
      Le bon traitement serait la diète et le traitement médicamenteux associé au 2-DD-glucose pour cibler les cellules cancéreuses survivantes à la diète.

      Nota - Annonce du conférencier en séance, certains sujets ne sont pas traités par manque de temps :
      - ciblage de la glutamine comme 2ème source au cancer derrière le glucose.
      - maladies des macrophages.


      Selon cette démonstration, une cellule dont l'adn est muté ne pose pas de problème sur le système : son développement cesse.
      La cellule entre en sénescence ou elle sera éliminée.

    2. Laurent Schwartz, exemple de conférence : Conférence Laurent Schwartz 28 septembre 2019 CSI (Youtube) (je ferai un post dédié à cette conf. ultérieurement).
        Le discours de Laurent Schwartz est le même que celui de T. Seyfried mais expliqué avec un tout autre versant :
        Selon L. Schwartz, la cellule fait deux choses : elle synthétise des composés organiques et elle détruit des composés organiques, elle sculpte donc sa propre production.
        La synthèse se fait par fermentation et elle correspond à la période de croissance, de développement ou de régénération après une inflammation.
        La fermentation n’est pas une anomalie, elle est un processus courant du corps mais elle est normalement régulée, ex : par arrêt ou par catabolisme (destruction de matières organiques).
        Or, par le trouble de la respiration (manque d'oxygène), la fonction de destruction des composés organiques est inopérante, la cellule est donc bloquée en synthèse.
        Elle grossit donc et elle se divise mécaniquement en réponse à sa taille.
        La destruction de lipides est également un moment de livraison d’énergie par cassure des liaisons entre atomes.
        Sans destruction des lipides, le besoin d’énergie n’est pas comblé, la finesse de régulation de la croissance ne serait donc pas assurée.
        La synthèse et/ou la production d'énergie par fermentation semble être un processus très basique et automatique.
        Tout comme la restauration de l'état de santé de la cellule est énergivore, la régulation de la fermentation nécessite également une machinerie énergivore.
        Le défaut de cette machinerie par elle-même (adn) ou par manque d'énergie (mitochondries) créerait donc des pathologies chroniques.

  2. Pistes de la relance de mitochondrie
      Je me suis souvent demandé comment relancer la mitochondrie.
      La mitochondrie est intelligente : elle produit de la chaleur quand il faut et elle n'est produit pas quand il n'en faut pas.
      Comme toute organite, elle a besoin d'être stimulée sinon elle décrépit.
      Au cours de ces dernières années, j'ai ramassé les quelques pistes suivantes de relance de la mitochondrie :
      1. Jeûne hydrique, régime cétogène.
          Selon T. Seyfried, en temps normal, on peut retrouver jusqu'à 2000 mitochondries dans une cellule.
          Avec la conférence ci-dessus, on vient de voir que le sucre était un poison chronique de la mitochondrie et que le régime cétogène restaurait la mitochondrie.
          Ce discours n'est pas nouveau, on le retrouve très régulièrement.
          J'ajoute que le tout premier jeûne de trois jours devrait éliminer les vieilles mitochondries cabossées qui ont rendu un important service et qui participent la chauffe du corps en temps de restriction calorique par leur élimination.
          Le jeûne devrait donc faire du ménage chez la population de mitochondries et c'est peut-être pour cela que le traitement de T. Seyfried commence par 3 jours de jeûne.
          De plus, les corps cétoniques semblent être le carburant physiologique des mitochondries, les mitochondries devraient donc retrouver une certaine fraicheur.
      2. Bain froid et hyper-respiration
          Selon Wim Hof, les bains froids font exploser la demande en mitochondrie de façon à restaurer la chaleur corporelle en un temps record.
          Il me semble que les bains froids sont un levier très puissant pour stimuler une forte population de mitochondries nouvellement formées, saines et pro-actives.
          Du point de vue de la mitochondrie, les bains froids seraient très efficaces pour lutter contre le cancer.
          Les bains froids vont également multiplier les capillaires : respiration, nutriments, détox,...
          Avec les bains froids, toute la machinerie de l'endurance silencieuse se met en place.
          Avec l'hyper-respiration, les tissus seront oxygénés en profondeur, la cellule pourra donc réguler sa production de matière organique.
      3. Bleu de méthylène, Acide alpha-lipoïque, ... et autres compléments alimentaires.
          Selon Laurent Schwartz, en sus de la diète cétonique, le bleu de méthylène relance efficacement la mitochondrie.
          Cette solution ne me semble pas un traitement qui garantisse le maximum de chances de remission.
          Il s'agit de compléments alimentaires qui optimisent les cycles cellulaires mais je crains que ce levier soit palliatif et qu'il ne soit pas aussi durablement performant qu'un bain froid.
  3. Synthèse :
      Le jeûne élimine les mauvaises mitochondries, et stimule la genèse de mitochondries nouvelles.
      Puis, les bains froids vont faire tourner la planche à mitochondrie au taquet de façon à ce que la chaleur foisonne en un temps record.
      Jeûnes et bains froids semblent un traitement de choc pour rétablir la vitalité de la population de mitochondrie : assainissement et multiplication des mitochondries.
      Selon Alain Prochiantz (prof. de neuro-génèse au CdF- la longévité cérébrale), l'auto-réparation est une activité permanente de la cellule (raboutage de l'adn, ravaudage de la membrane,...).
      Dans un fonctionnement normal, la cellule est sans cesse dégradée.
      Pour se maintenir, elle dispose donc d'un programme de restauration permanent.
      Avec la longévité, la production énergétique baisse, la santé de la cellule en pâtirait mécaniquement par manque de restauration.
      La baisse de production d'énergie en quantité et en qualité aurait donc un impact significatif sur la bonne santé de la cellule.
      De plus, selon A. Prochiantz, les nombreux problèmes chroniques et variés liés à la longévité du cerveau parviendraient d'une baisse de la fourniture d'énergie liée à un organe maxi-énergivore (20% du corps pour 2% du poids total).
      Avec ce ratio élevé, le cerveau est le premier organe à pâtir d'une baisse d'énergie.
      La diète et les bains froids permettraient donc d'enrayer le déclin des mitochondries et de restaurer une haute vitalité dans l'ensemble du corps.
      Ces bénéfices ne seraient pas limités aux cancers, ils seraient également valables contre de nombreuses maladies dégénératives liées à la baisse d'énergie.
  4. Remarques
    • Je comprends maintenant pourquoi j'ai la gouache quelques heures après une douche froide : ce n'est pas que grâce à l'activation des capillaires mais aussi des mitochondries.
      Avec la multiplication des mitochondries, le système est plus réactif au lancement et à la durée.
      Mais les bains froids (15' à 15° 1x/sem.) agissent bien plus en profondeur que les douches froides.
      Je possède deux marqueurs crescendo de l'efficacité des bains froids, 1: tonus en montant les escaliers ; 2: pas de baisse de tension pendant un jeûne (y compris au cours d'une marche rapide).
      Cependant, les bains froids n'ont absolument pas résolu mes problèmes d'intoxication, j'ai simplement acquis une très forte robustesse aux variations.
      Il demeure donc préférable d’éliminer également les métaux-lourds et les pesticides avec les techniques appropriées.
    • Même si l'adn n'interviendrait pas dans la résolution du cancer, la mitochondrie est également équipée d'adn, il me semble donc le travail de recherche sur l'adn de la mitochondrie peut également fournir des trouvailles de compréhension.


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2/2 - la Mitochondrie, conf. Laurent Schwartz

Messagede Sophocle » Mer 4 Déc 2019 15:20

Voici les notes de la conférence (citée dans le précédent post - Paragraphe Bb) de Laurent Schwartz sur le traitement du cancer par la relance de la mitochondrie.

Conférence Laurent Schwartz 28 septembre 2019 CSI

C'est une conférence très dense et rapide.
Au premier visionnage, Il est difficile de comprendre la pertinence de chaque diapo et donc de comprendre les enchaînements, on en sort avec du dépit.
Il faut se familiariser avec le contenu de chaque diapo pour comprendre la suivante.
De plus, par économie de temps, des diapos affichées ne sont pas expliquées, cependant leur contenu est intéressant.
Sans une lecture attentive, cette conférence paraît très dispersée et peu exploitable ; mais tout se recoupe avec une lecture très attentives de chaque diapositive.
Comme le contour systémique semble totalement dessiné, il est donc utile de faire l'effort de la lecture attentive.
Au milieu des notes suivantes, je placerai de rares commentaires, ces derniers seront identifiés par l'italique.
Les explications de Laurent dépassent le cadre du cancer, hydratation métabolique, radicaux libres, mais cela permet de contextualiser le cancer.
Cette conférence donne beaucoup de réponses à des questions que je me posais : oxygène, hydrogène, électron, longévité, origine, causes, conséquences... - Épatant. [img]kator/smiley223.gif[/img]
En un seul discours, de nombreux sujets usuellement disparates sont noués, eau métabolique, source énergétique, combustion complète et incomplète, H+, e-,...
Il me semble que ce cadre peut expliquer un fonctionnement global du corps à partir duquel on peut comprendre bcp de la maladies de la longévité (autres que le cancer, alzheimer,...).
Merci à Guy, de Cancer Therapy, d'avoir signalé ces 2 conférences très éclairantes.
Grâce à ces 2 conférences, j'ai l'impression d'avoir fait un looping dans un train à vapeur et que le train soit retombé sur ses roues... :jap:
(...)
Plusieurs causes candidates ont traversé un siècle de recherche, infection, Warburg, adn, désorganisation tissulaire,...
La recherche médicale avance à tâtons. Si une molécule avait un petit effet, elle est commercialisée mais la recherche ne dispose pas d'un schéma directeur.
(...)
Le cancer est un effet Warburg.
Effet Warburg : transformation du sucre en acide lactique (fermentation) + peu d'énergie.
C'est une combustion incomplète.
On retrouve la combustion incomplète dans la crampe : accumulation d'acide lactique par manque d'oxygénation du tissu.
L'accumulation de l'acide lactique acidifie le milieu tissulaire.
Les cellules tumorales captent 3x à 20x fois plus de glucose qu'une cellule saine.
On identifie les cellules tumorales par du glucose radio-actif.
(...)
Avec l'âge, la mitochondrie s'éteint, la cellule est moins gonflée en eau, elle se déshydrate chroniquement.
exemple : le dessèchement de la peau par la perte en eau intracellulaire.
En temps normal, le corps produit 600ml d'eau métabolique intracellulaire par jour par métabolisation du glucose dans la mitochondrie.
Glucose intracellulaire + oxygène => dioxyde de carbone + eau métabolique intracellulaire (= gonflement de la cellule).
(...)
La cellule cancéreuse ne dispose plus de respiration (pas d'O2 ni d'Atp)
Le rendement énergétique s'interrompt.
Pour compenser le creux énergétique, la cellule fait rentrer beaucoup de glucose pour créer le peu d'énergie dont elle a besoin.
Conséquence en cascade :
    Création de poids (accumulation d'acide lactique),
    Augmentation de la pression,
    Augmentation de la pression sur les tissus voisins par renforcement du contact entre cellules,
    Déclenchement de l'inflammation pour faire baisser la pression de contact.
Autre conséquence : mutation par le changement alimentaire de la cellule : action de la cellule pour faire entrer du sucre.
les oncogènes sont des gènes pour faire entrer du sucre dans la cellule.
Des anomalies sur ces oncogènes peuvent créer des cancers mais la majorité des cancers ne parvient pas forcément d'anomalies sur le génome.
Inflammation répétée : cancers (ex: cigarette,...) : phénomène d'emballement : cancer, inflammation du voisinage, cancer, inflammation,...
(...)
Alimentation = Biomasse + chaleur + déchets.
Si les déchets ne s'évacuent pas, la (bio)masse de la cellule augmente.
Traitement : inverser l'effet Warburg : faire sortir la chaleur.
(...)
La mitochondrie fixe l'électron issue de la métabolisation sur l'oxygène.
En cas de baisse de la mitochondrie, les électrons sont moins disponibles, hausse des radicaux libres.
Effet d'emballement : déshydratation : baisse de la circulation des électrons, baisse de la production d'eau métabolique, hausse de l'effet Warburg, acidification,...
Résolution par le transport de l'électron jusqu'à l'oxygène en relançant la mitochondrie.
(...)
Carbo-Hydates (glucides) cassés donnent des H+ et des e- (pH et Oxydo-réduction).
En cas de cancer, les électrons ne parviennent pas jusqu'à l'oxygène.
les électrons énergétiques produisent des radicaux libres qui cassent l'adn et qui provoque des mutations.
Plus la cellule est déshydratée, plus elle crée des radicaux libres.
Les lésions sur l'adn est une conséquence secondaire.
La radio-thérapie et la chimio-thérapie traitent les radicaux libres par d'autres radicaux libres mais ils sont corrosifs.
Alternatives non toxiques : Dioxyde de chlore (O2Cl), bleu de méthylène, ...
(...)
Baisser les radicaux libres par oxygène, jeûne, bleu de m., ClO2, a. lipoïque, hydroxycitrate.
(..)
Solution : relancer la mitochondrie.
- restriction calorique
- bloquer la glutamine (press pulse)
(...)
Chimio : Enlève l'effet Warburg mais tue la mitochondrie, rechute à terme par manque de mitochondire.
(...)
Bleu de méthylène efficace contre les infections, paludisme, lèpre, tuberculose ; travaille sur la red-ox.
résultats sur l'alzheimer, parkinson
2e/kg
Effet secondaire : légère sur-activité.
(...)
Di-oxyde de chlore : ClO2, efficace mais temporaire - résistance.
(...)
L. Schwartz et ses partenaires veulent monter une fondation pour recueillir le retour des patients.
(...) Régime cétogène nourrit en silence le cancer de façon à ce qu'il demeure en veille.
Idée pour la rechercher : tenter de bloquer l'entrée du corps cétonique dans la cellule cancéreuse.
Le sport régénère la mitochondrie, son efficacité est avérée.

En fin de conférence, on peut voir notre ami de Cancer Therapy, Guy, faire une petite présentation de son association...



Réflexion perso : - sucre et confort
    Le fonctionnement correct de la mitochondrie procure un effet protecteur sur la cellule sur de nombreux plans.
    La mitochondrie accepte autant le diésel (corps cétoniques) que le super (glucose).
    Je peux tirer la conclusion que, avec le maintien d'un nombre élevé de mitochondries, le sucre n'est pas nécessairement toxique.
    Le sucre devient donc toxique lors de la raréfaction des mitochondries.
    La cause première semble être un désordre sur la mitochondrie et non sur le sucre.
    Le régime céto va certes mécaniquement priver la cellule cancéreuse du carburant qui la pousse à la division.
    Il est donc une solution palliative en attente de relance de la mitochondrie.
    Mais en maintenant un nombre élevé de mitochondries, on peut donc se permettre un peu de sucre...
    De part leur influence vers un tarissement des mitochondries, le confort thermique et la sédentarisation sont donc les toutes premières causes natives du cancer.
    Le sucre n'est donc qu'un facteur du deuxième ordre.

Petite récap chimique de cette conférence
    Combustion incomplète du glucose : C6H12O6 => 2(C3H6O3 (a. lac.) + peu d'énergie (2ATP) mais cette réaction se fait sans oxygène.
    Combustion complète : C6H12O6 + 6O2 => 2(C3H4O3 pyruvate) + 4O2 + 2H2O => 6CO2 + 6H2O (eau métabolique) + bcp d'énergie (32 ATP) mais besoin d'oxygène.
    L'H2O dégagé maintient une bonne tonicité de la cellule : la combustion du glucose est une source significative de l'hydratation de la cellule.
    Le CO2 et l'H2O sont rapidement éliminés par la respiration si besoin.
    En présence d'oxygène et de mitochondrie, la même molécule de glucose donne 16 fois plus d'énergie et sans déchets toxiques.
    Sans mitochondrie ni oxygène, la cellule va donc faire entrer 16 fois plus de glucose pour entretenir son train de vie dans des conditions instables décrites ci-dessus.

Bains froids et relance de la mitochondries : traitement du cancer et des pathologies de la longévité.
    L. Schwartz évoque les biens-faits du sport mais il n'évoque pas la pertinence des bains froids sur la mitochondrie.
    Par extrapolation, il me semble que si les bains froids étaient couplés au régime céto, leurs effets sur le cancer seraient très efficaces grâce à la très grande multiplication des mitochondries.
    Quand Alain Prochiantz, prof. au CdF, indique que les maladies de la longévité parviennent de la baisse d'énergie (voir post sur la longévité cérébrale de la revue de médecine), il semble donc que les bains froids contribuent significativement à la résolution de ce problème par la biogénèse mitochondriale via la stimulation de la thermo-génèse.

Chaud VS Froid
    Je commence à mieux comprendre les enjeux spécifiques du chaud et du froid.
  • Le chaud transmet de l'énergie à l'organe, il se substitue donc à la mitochondrie.
    Pour que le foie se mette à travailler, il faut le placer au contact d'une bouillotte.
    Avec la chaleur, l'organe se met à rehausser sa fonction (le filtrage du sang pour le foie) et sa propre régénération.
    Cependant, les mitochondries du foie demeurent au repos, elles ne sont donc pas stimulées et elles se dévitalisent.
  • Selon les lois de la thermo-dynamique, les deux-tiers de la transformation d'un stock d'énergie se dissipe en chaleur.
    Pour rétablir la température physiologique, les mitochondries vont donc simplement brûler les molécules de glucose.
    L'application du froid contre un organe stimule donc les mitochondries et les capillaires de façon à restaurer la température physiologique.
    L'organe acquière donc une clairance, une autonomie et une endurance par la multiplication des mitochondries et des capillaires.
    Avec des mitochondries vitalisées par de multiples stimulations, l'organe consolide son couple, sa puissance et sa rapidité à monter dans les tours.
  • Cela est valable pour tous les organes, muscles, vaisseaux, ... et y compris le système immunitaire.
    Sauf pour la mitochondrie, dont le principe est inversé du fait qu'elle soit une centrale énergétique (froid=stimulation, chaud=atrophie).
    En période de bonne santé, on se vitalise donc avec le froid, et on fait entrer les organes en action par le chaud (ex : fièvre) ou lorsque nécessaire (bouillotte, ...).

Science et naturopathie
    Les conférences scientifiques permettent certes de bien dessiner le contour des problèmes mais elles peinent à proposer des remissions satisfaisantes.
    Les pratiques naturopathiques donnent certes des guérisons éclatantes mais elles peinent à définir le champs d'application de ces pratiques.
    Le rassemblement et le croisement de ces disciplines permettraient de tenter de démêler l'écheveau des connaissances afin de consolider des leviers et des résolutions.

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MOC11 : Amocassos à l'ail et mini-chélassos

Messagede Sophocle » Mer 11 Déc 2019 15:15

Édit : Suite au débordement de toxines, le protocole a été revu et corrigé le 15 janv. 2020... (voir posts suivants) : dosage à la baisse et mise en place du ghee.



J'ai enfin rodé une petite posologie routinière contre les Micro-Organismes (mo) et contre les toxines libérées (ml & autres) par les MO détruits par les anti-mo.
Je vais me reporter sur l'ail frais car c'est le seul produit naturel, efficace, facile à trouver en quantité, et sans trop de toxicité par lui-même.
Les he caustiques sont également efficaces mais elle pâtissent d'une forte toxicité par elles-mêmes supplémentaire à la toxicité des ml libérés.
Les autres amoc, (he non-caustiques, EPP, propolys, caprylique, berbérine,...) n'ont pas provoqué de symptômes (ni toxicité propre, ni toxicité par la libération de ml).
Pour éviter l'accumulation de ml, je prends donc des mini-chélassos régulièrement selon les symptômes.
Les symptômes sont : mal à la tête, mal au foie, insomnie.
Ces symptômes sont traités par les mini-chélassos réparties sur la journée de façon à éviter un pic en écoulant régulièrement le stock de ml crées.
Aux mini-chélassos, je pratique une vraie (grosse-) chélasso hebdomadaire avec des activités physiques pour éliminer en profondeur.

  • Amocassos à boire à jeun, ou a siroter à jeun :
    Grand volume d'eau (sup à 1 litre) dans lequel je verse le filtre d'un râpé d'une gousse d'ail.
    Préparation : filtration d'un râpé d'ail (1 gousse max par jour, ou moins).
    Je râpe la gousse au-dessus d'un bol, puis je place un peu d'eau dans le bol, puis je touille avec la touillette électrique.
    Le râpé d'ail permet de générer les molécules anti-mo (allicine) par le mélange des compartiments de l'ail.
    Il semble que l'allicine ait une durée de vie courte (15h env.), elle ne se conserve pas, il faut donc produire le râpé d'ail à chaque application.
    puis, je filtre au chinois et je verse le filtre dans une bouteille d'eau minérale (1l) et je sirote tout le matin (à jeun).
    Je bois gorgées par gorgées pour éviter un trop forte concentration.
    (Alternative sport : selon le même principe des chélassos, je bois pendant une marche rapide de façon à ce que ça percole en profondeur mais cela n'est pas obligatoire tant qu'il y a des symptômes.)
      -Alternative pour éviter le goût, préparation à l'huile pour un massage (l'allicine est également liposoluble) :
      Exemple d'hv (très fluide) : sésame, tournesol, pépins de raisins.
      Râpé d'une gousse d'ail dans 40ml d'huile végétale, touillage, filtration au chinois.
      -Massage avec l'huile, puis petit sauna, puis douche alternée, pour activer la circulation sanguine.
      -Application le matin au lever pour ne pas avoir à pâtir des insomnies (effets sur 12h, levé des effets par les mini-chélassos).
  • Mini-chélassos, jusqu'à 3 fois si nécessaire, dans la journée à jeun, mais 1 x devrait être suffisant.
      Je peux prendre une mini-chélasso matin, midi et/ou soir pour intercepter les ml en mobilisation qui provoquent des symptômes.
      Mini-chélasso : 1 verre d'eau tiède ; 0,1g de dmsa (poudre d'1 gélule) ; 0,25g d'Edta (poudre d'une gél) ; 1,5g de BCS ; + touillage vigoureux pour bien mélanger la poudre à l'eau.
      Tant que les symptômes n'ont pas disparu, je répète les mini-chélassos si nécessaire au-delà de 3x mais c'est rarement nécessaire.
      Par contre, je fais au moins une mini-chélasso le soir pour éviter l'insomnie.
  • Ghee
      J'ajoute du ghee de façon exagérée à ma cuisine pour solubiliser les toxines lipidiques libérées par les MO (Contenu de la cellule, Biofilm ?, ...).
  • Amoc en complément ou en alternative.
      En complément, je prends éventuellement 1 autre amoc en alternance (pas trop efficaces, berbérine, caprylique,...) par jour pour maintenir la pression sur les mo.
      Éventuellement, je peux ajouter quelques gouttes d'he quand j'ai déjà bien rodé mon rite.




Autres sujets :
  • HE: Après de multiples sur-dosages chroniques, je confirme que je ne peux pas dépasser les doses chroniques prescrites par le fédération fr. d'aromathérapie pour cause de toxicité.
    Cette toxicité ralenti le traitement anti-mo.
    Le foie est déjà sensible par les ml, il vaut mieux trouver une alternative quitte à ce qu'elle soit moins pratique.
    Le filtré du haché d'ail fait le même travail que les he caustiques mais vraisemblablement sans la toxicité propre aux he (caustiques ou non).
  • ehs en forte baisse récemment : j'ai pu tenir 3 jours en laissant le disjoncteur allumé pendant la nuit sans trop de symptômes déclenchés par les basses fréquences.
    Les chélassos font donc leur travail mais je me sens encore un peu mieux si le disjoncteur était coupé pendant la nuit.
  • Pour le jus d'ail, éviter de le diluer dans un trop petit volume d'eau (ex: un verre) sinon risque de mini-choc à l'estomac.
  • Méthyl-ml. Je suis intrigué par l'accumulation de ml dans le foie et par la résolution rapide des symptômes par des chélassos.
    Jusqu'ici, il me semblait que les ml inorganiques demeuraient sur leur site et qu'il fallait les chercher sur place.
    Un ml libéré d'une bactérie tuée devrait donc être captif de la lymphe là où le mo meurt car mes symptômes ont été étonnamment stables pendant des années avec de légères variations tendancielles.
    Or, les ml des débris de mo semblent migrer en formation jusqu'au foie, cela est franchement étonnant car cela est contraire à mes expériences personnelles.
    Sur le site du laboratoire Brême, une analyse de méthyl-ml après une iv est disponible, les methyl-ml seraient donc chélatés par les chélateurs.
    J'émets donc des hypothèses :
      1 : les ml des mo seraient des methyl-ml.
      2 : Les methyl-ml des mo tués pourraient se déplacer seuls jusqu'au foie en étant solubilisés par la partie méthylée.
      3 : Cette mobilisation se transforme en une accumulation au foie et elle provoque des sensations au foie.
      4 : Ces methyl-ml et ces sensations seraient éliminés par le chélateur.
    Ce sont là des hypothèses de résolution immédiate des apparences, ces hypothèses sont très très fragiles, mais elles m'aident à ajuster le pool de questions qui se posent.
    À ce jour, je ne peux pas vérifier que j'ai des mo ni des ml dans les mo, mais j'ai des symptômes au foie après le haché d'ail et ces symptômes se résorbent par les mini-chélassos.
  • Source d'info sur l'allicine : L’AIL ET SON INTERET EN PHYTOTHERAPIE
  • Apparemment, l'allicine altèrerait le profil lipidique des membranes des bactéries. source : thèse en pharmacie sur l'ail.
  • Lallicine est liposoluble, il serait peut-être intéressant de faire une préparation à base d'huile. - modif du passage amocasso.
  • L'allicine est dégradée dans le tube digestif, par voie de conséquence, la consommation d'ail dans l'alimentation n'est pas vraiment efficace.

Pointage chélassos et analyses plomb
  • 20ème (grosse) chélasso, 7 déc.
      J'ai baissé les doses et le volume d'eau pour faciliter l'ingestion : 1/2l d'eau ; 3g bcs ; 0,2g dmsa ; 0,5g edta.
  • J'ai envoyé un échantillon au labo du coin de la rue, plomb (20e), c'est pas cher et ce serait de nouveau remboursé si prescription.
      ... résultat, 13 déc. 2019 : plomb : 12 mcg/gcréa. ( 0,2g dmsa ; 0,5g edta.)
      Historique, 25 sept 2019 : plomb : 15 mcg/gcréa (0,5g dmsa ; 1g edta).
      80% de plomb de la précédente analyse pour 50% de principe actif.
      Fait à noter : chélasso en période d'amocassos
      Conclusion : le plomb continue de sortir dans des quantités équivalentes.
  • Il me semble que le prélèvement à 4h après l'ingestion devrait être plus chargé qu'à 2h.
      Je me le note pour le prochain prélèvement.
  • pour info : cuivre 10e remboursé. Mercure et arsenic sont chers, 50 e chacun, et c'est non remboursé.


Dernière édition par Sophocle le Mer 15 Jan 2020 14:39, édité 1 fois.
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Point général

Messagede Sophocle » Dim 15 Déc 2019 22:31

21ème (grosse) chélasso - 14 déc. - 1/2l d'eau ; 3g bcs ; 0,2g dmsa ; 1g d'edta ; marche rapide + escaliers.
    Les effets bénéfiques se raréfient. Mais il demeure des symptômes permanents : quelques maux de tête, et les picotements n'ont pas baissé.
    Avec ces 20 chélassos, l'inflammation des méninges ou du cortex cérébral, l'ehs et autres symptômes ont quand-même très très fortement baissé.
    Les résultats sur le cerveau ont été spectaculaires ; en trois mois, les symptômes ont baissé de 70% (0,95%^20).
    Or, les ivl faisaient du surplace au niveau des symptômes avant que je commence ces chélassos.
    Cependant, les ml sortaient au niveau des analyses après ivl.

Point d'avancement sur les symptômes.
  • Désormais, je peux faire surgir des émotions intérieures à la demande et les exprimer correctement sur le visage comme si je n'avais jamais eu aucune intoxication.
    Cela est très pratique au niveau d'un échange avec autrui.
  • Si je pouvais enfin trouver la solution contre les picotements, je serai libéré de mes recherches.
  • Pour mes problèmes d'épaule, j'ai transformé mon siège de bureau en un siège de voiture en plaçant des mousses de canapé recouvertes d'un tissu.
    De plus, je me suis fait un correcteur de posture du dos avec une écharpe, et ça atténue fortement les problèmes...
    Avec ces deux solutions, peut-être parviendrai-je enfin à éliminer un problème qui est nait avec les déshydratations.

Fin des chélassos
    Comme je prends des mini-chélassos en semaine pour traiter les effets secondaires des amocasso, peut-être n'y a-t-il plus de ml dispo pour être capturés lors d'une grosse chélasso hebdomadaire.
    Je me pose la question du ralentissement ou de la suspension de ces grosses chélassos en période de mini-chélassos.
    Cependant, il me semble que les grosses chélassos hebdomadaire passe la voiture balai sur des symptômes des amocassos et que les mini-chélassos ne parviennent pas à résoudre.
    Cependant, le plomb sort toujours en quantité substantielle lors d'une analyse (voir post précédent) suivant une grosse chélasso hebdomadaire.
    Je maintiendrai au moins une grosse chélasso par mois pour écoper les ml enfouis dans les tissus profonds et qui parviendraient de la diffusion à retardement (sortie intra vers extra par baisse concentration extra).
    Du moins, je ferai ces grosses chélassos hebdomadaire selon le ressenti.

Analyses restreintes à un seul métal.
    Tant qu'un seul métal-lourd ressort aux analyses, il ne m'est pas nécessaire de faire les analyses pour les autres métaux.
    Un seul métal est suffisant pour continuer le traitement.
    Quand le plomb sortira enfin à zéro, j'envisagerai donc de procéder au pack d'analyses de chez microtrace (30 métaux pour 100 euros) pour savoir où j'en suis.
    Là, pour 20 euros, j'ai des analyses de plomb faciles à faire dans le labo du coin de la rue (pas d'envoi par la poste, pas de virement bancaire, pas d'attente, ...)

Limites des traitements
    Je remarque que les traitements parviennent à une limite sans aboutir à la résolution définitive du problème.
    Il me faut sans cesse repousser les champs d'application de façon à récurer les ml toujours plus profondément.
    Liste des champs par ordre de profondeur :
    1. Protocole Cutler : superficiel (extra des émonctoires) ;
    2. ivl : artères et veines (macro-circulation) ;
    3. chélassos : capillaires (micro-circulation) ;
    4. amocassos et mini-chélassos : destruction du micro-organisme et captage du ml libéré par le mo.
      J'en suis à cinq années d'application majoritairement pro-actives.
      Quelle est donc la prochaine étape ?
    5. L'intra.

Problématique de l'intra
    Il me semble que les chélateurs n'entrent absolument pas dans la cellule.
    Les ml se collent à la membrane ou entrent dans la cellule car la membrane extérieure des cellule est négative et que les métaux sont positifs.
    Pour capter les ions positifs, seules des molécules négatives peuvent faire le job.
    Par voie de conséquence, les chélateurs sont barrés à la frontière des cellules dans lesquelles les ml demeurent.
    Quelles solutions au curage définitif ?
      - Attendre la diffusion ionique à retardement, mais les délais sont longs et le curage n'est pas garanti - non satisfaisant.
      - Déshydrater les cellules mais je n'ai pas encore remédié aux effets secondaires des déshydratations de l'année dernière - les complications sont nombreuses.
      - Faire générer le chélateur à l'intérieur de la cellule - résolution improbable.
      - Faire entrer le chélateur en l'enrobant d'une micelle positive (solution e/h/e) - mais cela demande une importante expérience de l'ingénierie
      - ...
    La solution miracle n'existe pas encore.
    La question de la problématique de l'intra demeure entière.
    La solution de la micelle me semble la plus pertinente mais elle n'est franchement pas facile à inventer dans la cuisine.
    La recherche expérimentale à venir devrait creuser de ce côté-là.


Micelle chélatrice [img]kator/smiley252.gif[/img]
    Je note ici mes reflexions à propos de cette micelle.
    Une solution e/h/e (eau dans huile dans eau) permettrait une autonomie de traitement et un éventuel curage en profondeur.
    Une (e/h)/e est une solution imbriquée dans elle-même : ((e/h)/e) : ((eau chélatrice dans huile) dans eau).
    la première solution (e/h) permettrait de faire passer le chélateur dans la cellule via la micelle.
    La micelle devrait masquer la polarité négative du chélateur.
    Avec ce masquage, le chélateur devrait entrer dans la cellule.
    Peut-être est-il possible que la micelle soit positive pour faciliter son infiltration.
    Or, une solution e/h est une solution lipidique, elle ne franchirait donc pas l'estomac lorsqu'elle est prise par voie orale.
    La solution (e/h)/e permettrait donc d'ingérer la solution (e/h) de façon à passer l'estomac sans encombres.
    À jeun, comme de l'eau, les phases aqueuses passent directement dans le sang sans que l'estomac ne dégrade la solution.
    Il demeure encore le problème de l'extraction du chélateur hors de la cellule, mais peut-être que ce problème se résout par lui-même.


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E/H/E - 01 : documentation

Messagede Sophocle » Jeu 19 Déc 2019 11:50

Transition
    Depuis six semaines, mes nombreuses expériences sur les AMOC ont mis mon foie K.O.
    En dépit d'un repos, quelques légères sensibilités au foie demeurent sans que je ne parvienne à y remédier.
    Cependant, la solution de l'ail haché est prometteuse pour faire avancer le schmilblick dès que j'aurai retapé le foie, j'ai donc le moral.
    Trois gousses d'ail me sonnent à chaque fois, il faudra que je baisse les prochaines doses à 1 gousse d'ail.
    Heureusement que j'ai trouvé cette solution car, sinon, je rongerai mon frein.
    Pour soulager le foie, j'ai même arrêté l'alcool, mais cela n'est pas suffisant.
    Je me lancerai donc dans un petit jeûne pour voir comment les choses évoluent.
    Les traitements chroniques nécessitent de demeurer au top.
    Avec la solution vraisemblablement efficace de l'ail, j'ai l'esprit dégagé des amoc et je peux m'atteler à la solution e/h/e.

Documentation e/h/e
    Suite au précédent post, je me renseigne sur les e/h/e.
    Dans une thèse de doctorat ( Formation d’émulsions multiples, pdf), j'ai trouvé quelques informations précieuses.
    L'objet de la thèse porte sur une molécule chimique qui permettrait de réaliser des solutions e/h/e qui répondrait aux exigences industrielle (stabilité, ...).
    Le contenu de cette thèse se rapproche des applications proposées par le prf. du CdF Sanchez dont des posts lui sont consacré dans ce topic.
    Cependant, je suis libéré des exigences industrielles et commerciales car j'envisage de produire cette solution au coup par coup.
    Au contraire, j'ai même besoin que la solution soit instable de façon à ce que les phases se reconstituent pour obtenir la libération des principes actifs.
    En dépit qu'ils aient un intérêt, je délaisse donc les chapitres de cette thèse sur la molécule miracle.
    Cependant, de nombreuses informations d'ordre général que je collecte ici sont assez précieuses.

Notes (commentaires perso en italique)
page 1 :
    e/h/e faible stabilité à long-terme. (pas d'application commerciale)
page 2 :
    emulsifiant unique (valable e/h & h/e)
Page 3 :
    nous utiliserons chacun des trois stimuli suivants, pH, force ionique et température, pour les déstabiliser et libérer l’espèce encapsulée.
    Nous conclurons ce chapitre par des résultats préliminaires sur l’encapsulation d’un composé d’intérêt : la Vitamine C.
page 10 :
    Libération non contrôlée
page 19,20 :
    enjeu du pH, controle libération par pH
page 21/22
    La génération d’une émulsion multiple par agitation mécanique est le procédé le plus répandu de par sa facilité d’exécution, son faible coût et son rendement important.
    Les émulsions multiples formées par agitation mécanique le sont généralement grâce à un procédé en deux étapes, ou alors par un procédé en une étape couplé avec une inversion de phase.
    Pour le procédé en deux étapes, les émulsions sont stabilisées par au moins deux émulsifiants.
    Par exemple, pour obtenir une émulsion multiple E/H/E, la première étape consiste en l’obtention d’une émulsion inverse stabilisée par l’émulsifiant hydrophobe.
    Cette émulsion doit être obtenue sous cisaillement élevé afin d’obtenir des gouttes de taille assez fine (diamètre < 1 μm en général).
    L’émulsion est ensuite dispersée dans la phase aqueuse externe en présence de l’émulsifiant hydrophile afin d’obtenir l’émulsion multiple.
    Cette deuxième étape doit être réalisée dans des conditions d’agitation plus douces afin de ne pas endommager la structure de l’émulsion primaire que l’on souhaite disperser (FIGURE I-8).
    Le processus inverse permet d’obtenir une émulsion multiple H/E/H.
page 180 :
    Par exemple, Depardieu et al. ont préparé des microcapsules multi-compartimentées à partir d’émulsions H/E/H pour lesquelles la phase huileuse externe est ensuite minéralisée afin d’obtenir la capsule finale.
    L’huile choisie pour la formation de ces capsules est solide à température ambiante. .
    Lors d’une élévation de la température, l’huile fond et l’augmentation de son volume conduit à la destruction de la capsule et ainsi à la libération d’un éventuel composé encapsulé.



Premiers commentaires
  • Recette
    La recette e/h/e est donnée à la page 21.
    En dépit qu'ils soient prévus pour des crèmes cutanées à faire à domicile, je dispose d'émulsifiants sur lesquels il écrit qu'il ne faut pas les avaler.
    Le jaune d'œuf est un émulsifiant à tendance e/h.
    Il faut encore que je mette la main sur des émulsifiants h/e naturels : mono(di-)-glycérides (E471).
    ...Il y en aurait chez aromazone, produit VE, sous le nom Glyceryl stearate.
  • Double emploi
    Selon certaines conditions, une catégorie d'émulsifiants bascule d'h/e vers e/h et inversement.
    Il me semble avoir constaté que le jaune d'œuf remplissait cette spécificité. - à vérifier ...
    Cette double fonction permettrait d'éviter les produits industriels que j'achète chez aromazone...
  • Libération du Principe Actif (PA)
    Le problème de la stabilisation indispensable à la commercialisation et du contrôle de la libération n'est pas un problème pour une fabrication artisanale :
    au contraire, la déstabilisation naturelle des e/h/e permet la libération des principes actifs après ingestion.
    Tout est une question de timing, il faudra calibrer une solution qui soit stable juste pendant quelques dizaines de minutes tant que la solution foisonne en profondeur.
    Ensuite, la déstabilisation naturelle libérera le principe actif au cœur de la cellule.
    Dans mes futures expériences, il faudra que j'obtienne une séparation de phase à 37° en quelques dizaines de minutes.
  • Huile solide et liquide
    En cas de besoin, je pourrai me reporter sur l'huile de coco car elle est solide à 15° et elle est liquide à 25°.
    L'huile enfermera le principe actif à chaud et je la rendrai solide en la plaçant dans un bac d'eau froide.
    La solution demeurera stable.
    L'huile va se liquéfier dès que la solution sera bue, le principe actif devrait donc être libéré.
    Cette particularité permettrai donc de préparer une grande quantité de solution sans nécessité d'utilisation immédiate.
  • Extraction
    Selon le livre 'Chelation Therapy', les ml sont neutralisés dès qu'ils sont complexés avec le chélateur.
    Les symptômes devraient donc baisser dès que le chélateur entre dans la cellule.
    Il me reste à traiter l'extraction du complexe de façon à éliminer le ml.
    Le gradient de polarité étant le problème à surmonter pour renter dans la cellule, je peux extrapoler que la sortie du chélateur devrait se faire naturellement.
    Mais encore faut-il que cela se vérifie lorsque le chélateur est complexé avec le ml car les charges positives du ml devraient atténuer la négativité du chélateur complexé.


Édits 30/12/2019
  • Retour des expériences sur la production d'e/h/e. 30 déc. 19 - [img]kator/smiley252.gif[/img]
      J'ai réussi à réaliser la recette mais je butte sur la vérification de la solution.
      J'ignore donc si la solution est conforme à ce que j'attends.
      Je suis donc dans le dépit que le chélateur ait rejoint la phase aqueuse extérieure.
      Si cela était le cas, cette solution serait vaine.
      De plus, la fabrication est "un peu" laborieuse.
      Je suspends donc ces expériences sine die en attente de la possibilité de vérification.
      Pour ne pas terminer sur un dépit, je me suis reporté sur une solution e/h avec laquelle je suis certain que le chélateur est enfermé dans la phase minoritaire.
      Ensuite, il faut boire l'huile comme dans une pancha-karma.
      Mais il n'est pas possible d'en boire beaucoup, et la phase aqueuse chélatrice est forcément limitée en quantité.
      Ce n'est pas vraiment aussi facile et aussi satisfaisant qu'une chélasso.
      Pour l'instant, j'abandonne donc cette piste-ci.

      Cependant, je souhaite persévérer dans le nettoyage des ml de l'intra.
      Pour atteindre les ml dans l'intra, je me dis donc qu'il serait plus simple de boire une mini-chélasso après une mini-déhsydratation.
      Même si le chélateur n'entrerait pas dans la cellule en dépit de la vague de réhydratation intracellulaire, la cellule se serait vidée de ses ml et de ses mo pendant la déshydratation.
      Ensuite, le chélateur ferait son travail de captage de ml dans l'extra.
      Il faudrait aussi ajouter un amoc à la solution pour palier à la sortie des mo et capter leur ml.
      C"est une hypothèse que je testerai prochainement.
  • Mitochondrie [img]kator/smiley252.gif[/img] - autre sujet
      Je place ici des notes complémentaires que je vais recopier dans les posts sur la mitochondrie.
      Complément aux 2 récents posts sur la mitochondrie.

      Une série de conférence porte sur les "Moteurs, contraintes et régulations de la croissance" cellulaire - T. Lecuit (Collège-de-France).
      Un passage traite de la mitochondrie dans la conférence suivante : - Coordination et symétrie.
      Cette conférence-ci ne traite pas de la mitochondrie dans un contexte pathologie, mais elle traite de la mitochondrie dans un contexte ordinaire de croissance des tissus cellulaires.
      Cette conférence est donc utile pour planter le contexte sain du fonctionnement d'une cellule.
      Je place ici mes notes du passage sur la mitochondrie.


      Mitochondrie : lieu unique de la production de l'ATP.
      1 glucose donne du pyruvate + 2ATP, puis cycle de Kreps, 32 ATP.
      ATPsynthase : 100hz (100 cycles par secondes), 3 ATP par cycle.
      100.000 ATPsynthases par cellule.
      100 mitochondries par cellules, et 1.000 ATPsynthases par mitochondries.
      Besoin d'oxygène comme accepteur d'électrons.
      En hypoxie : arrêt de la mitochondrie et basculement en fermentation du glucose.
      l'ATP sert à la synthèse protique.
      Au repos, la cellule des protéines : besoin d'énergie. (entretien - réparation)
      Senseur d'oxygène : si baisse d'O2, activation de la vascularisation.
      à 01:01:10, lors de l'absence de nutriments pour éviter la production de ROS (espèces oxygénées réactives), sinon vieillissement de la cellule, il faut désactiver le cycle de Kreps,
      Des senseurs de l'énergie et de l'oxygène pour activer/désactiver la mitochondrie et éviter le vieillissement.

      Les conférences de l'année prochaine seront dédié à l'énergie cellulaire.


      Dans les conférences précédentes de cette même série, il y est dit que l'ensemble du corps recycle environ 40 kg d'ADPT en ATP par jour.
      Y compris au repos, le besoin en énergie est donc volumineux et permanent (100 Watt).

      Une combustion complète se produit lors de la présence de 3 facteurs : ressource (glucose ou lipides), oxygène et ATPsynthases.
      En cas de baisse d'oxygène ou d'ATPsynthase, la cellule éteint la mitochondrie pour se protéger des espèces réactives et active la fermentation par un processus hors mitochondrie.
      La suite, on la connaît, effets délétères à retardement : augmentation de la biomasse, division cellulaire, cancer...

  • Document alpha, 2ème relecture [img]kator/smiley252.gif[/img] - autre sujet


Pointage des chélassos.
  • #22. 21 déc. R.A.S. - les maux de tête remontent entre 2 chélassos et baissent à la chélasso. Il me semble que c'est le fameux rebond.
    Cependant, j'ai fait tellement d'expériences récemment avec les amoc que je suis en période de perturbations.
    Il faut donc que je me fasse un avis dans une période sans changements de contextes.
  • #23. 28 déc. J'ai enfin trouvé le bon volume d'eau pour ne pas être écœuré pendant la marche : 0,75l. 4g de bcs ; 1g edta ; 0,5g dmsa.
    Il faut boire un maximum d'eau pour alcaliniser tous les organes : du cerveau aux reins.
    mais le litre de la chélasso est en compétition avec les 5 litres sanguins.
    Avec qu'un seul litre d'eau à pH8, le pH du sang (7.4) sera un peu influencé.
    L'enjeu est de taille car l'edta se solubilise à pH8.
    Surtout, le pH des reins est fortement à la baisse, l'edta risque donc de relacher sa proie.
    Mais, je peine à finir la bouteille d'un litre pendant les exercices physiques.
    Il me semble qu'il serait judicieux de reboire de l'eau à pH 8 pendant les 24 heures qui suivent la chélasso afin de consolider la solubilisation des chélateurs.
    Sur son site, Microtrace a écrit:Un appareil digestif moins toxique est aussi moins acide. Les agents chélateurs semblent être plus efficaces dans un milieu légèrement alcalin.
    source : Microtrace, Newletter N° 10 - Novembre 2014.
      De plus, sur tous les forums de recherche en biologie, il est écrit que l'Edta ne solubilise qu'à pH 8.
      J'ai pu vérifier cela en préparant mes chélassos.

  • J'ai fait deux échantillons d'urine, avant et après la chélasso car je n'ai jamais fait la comparaison.
    J'ai donné les échantillons au labo du coin de la rue pour analyses du cuivre et du mercure.
    Leur méthode d'analyse est la même que celle de microtrace : ICP-MS. [img]images/icones/icon7.gif[/img]
    Il m'a fallu parlementer avec le personnel car ma démarche sort de leurs protocoles pour le cuivre.
    Pour le cuivre, ils veulent des urines de 24h et non sur échantillon pour des questions de normes.
    Pour faciliter la prise en charge de ma demande, j'ai indiqué que j'avais un médecin en Allemagne (ce qui n'est pas vrai).
    Cela est un petit mensonge pour ne pas paraitre supérieur à leur savoirs, cela permet d'éloigner ainsi le refus de prise en charge.
    J'ai remarqué qu'un professionnel souffrait qu'un patient fasse le malin en exprimant des savoirs sur des disciplines dont on ne souhaite pas sur lesquels il s'informe.
    Par contre, ce professionnel jouit que le patient face le docile en se soumettant à une autorité médicale.
    Ils ont quand-même accepté de prendre en charge ma demande, ouf, ils étaient à 2 doigts de tout refuser.
    Le biologiste du laboratoire a exprimé une très grande intrigue à la lumière de ce que suggérait ma demande quant aux protocoles officiels.
    La panique silencieuse se lisait sur son visage. :gluk:
    J'ai fait le tour des laboratoires, et je n'ai trouvé qu'un seul laboratoire qui fasse des analyses minéralogiques ; il ne faut donc pas que je crée une polémique.
    La prochaine fois, je viendrai avec des urines de 24h et il faut absolument que je trouve un médecin pour me faire des ordonnances afin de ne pas éveiller des éventuelles méfiances...
    Résultats vers le 6 janv.




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MOC 11 : Résolution incident AMOC

Messagede Sophocle » Jeu 2 Jan 2020 13:41

Résolution pas-à-pas de l'incident
    Début Novembre, suite à mes nombreuses expériences sur les mo, j'avais fait un incident : J'avais mal au foie.
    L'arrêt des expériences a résorbé la crise aigüe, mais il demeurait des sensibilités.
    Les sensibilités ont été à moitié résolues par des chélassos, mais l'autre moitié demeurait.
    J'ai fait faire un bilan hépatique, mais aucune anomalie est apparue.
    J'en ai parlé à l'herboristerie, l'herboriste a indiqué qu'on a jamais mal au foie et qu'il peut s'agir de la VB ou du colon transverse qui passe derrière le foie.
    Ce n'est pas la première fois que j'ai une forte accumulation de ml au niveau du colon transverse, cela était déjà arrivé à ma première déshydratation.
    Dans le cas présent, il s'agissait bien du colon transverse et non du foie.
    Le colon était intoxiqué par les 2 catégories de toxines : lipophiles et hydrophiles.
    Après 48 h de jeûne, les sensibilités ont bien diminué, j'en déduis que les toxines lipophiles ont été brûlées.
    Au moment où j'écris ces lignes, il me faut donc encore poursuivre ce jeûne pour voir si ces sensibilités s'effaceraient définitivement.
    Une Pancha-Karma ou une Matra-Basti aurait pu concourir à la résolution du problème en solubilisant les toxines lipidiques.
    La concentration de toxines baisse, cela peut aider à soulager les symptômes, mais les toxines demeurent et flottent dans le corps.
    Le jeûne est plus complet car il brûle les toxines lipidiques en éléments mono-atomiques : la résolution est définitive.
    Pour éviter les sur-incidents, un mode de résolution raisonné serait un mixe de jeûne et de pancha-karma à trouver en tâtonnant d'une méthode à l'autre.

Détox à double détente : vigueur, salubrité et (pan-)détoxo-pathie.
    De cette mésaventure, je tire la conclusion que les débris de micro-organismes ont intoxiqué les deux solvants du corps, huileux et aqueux.
    Les chélassos ont ôté les minéraux pathologiques (ml) de la phase aqueuse, et le jeûne a éliminé les toxines lipidiques.
    Cela n'est pas étonnant car les micro-organismes sont des cellules, et que ces dernières sont donc constitués des deux phases.
    Il n'est donc pas étonnant que les débris de micro-organismes intoxiquent l'eau et l'huile.
    À ce retour de salubrité par la détoxo-pathie, il n'y a plus qu'à pratiquer un petit bain froid pour insuffler de la vigueur aux cellules...

Prévention
    Comment prévenir cet incident : en écoulant les toxines.
    La posologie de d'allicine devrait être inférieure à la capacité d'élimination.
    Les chélassos devraient écouler les ml, et un jeûne intermittent peut recycler les toxines lipidiques.
    Je vais donc baisser la dose d'allicine dans mon amocasso routinière au jus d'une seule gousse d'ail par jour tant qu'il n'y a pas de symptômes.
    ... J'ai retesté une seule gousse, re-mini-sensibilités, que j'ai réussi à éliminer mais fastidieusement, ghee, chélasso.
    j'ai donc cessé l'allicine.
    24janv.20...Je suis revenu aux huiles essentielles non corrosives diluées à 10% (10ml).
    Les sensibilités sont revenues dès deux prises, les he sont donc moins virulentes que l'allicine.
    25janv20...je vais tester 5 ml d'He 1 jour sur 2 pour voir si ça passe sans sensibilités...

Guérison
    Comment guérir en cas d'incident : cycles de chélassos, de jeûnes, et de pancha-karma.
    Pour traiter très rapidement les intestins, voir post détox des intestins.

Poupées russes de phases.
    Cet incident m'a fait comprendre que le corps humain est un emboitement de phases e/h et h/e :
    Peau/Sang/Organe/Lymphe/Membrane cellulaire/Cytoplasme/Membrane du noyau/Nucléo-plasme/ADN : H/E/H/E/H/E/H/E/H.
    C'est une mise en abîme de 9ème rang.

Dernière édition par Sophocle le Ven 24 Jan 2020 14:24, édité 1 fois.
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Document alpha - suite.

Messagede Sophocle » Jeu 2 Jan 2020 14:00



Auteurs du document alpha
    Les auteurs de ce documents sont des universitaires qui ont fait une carrière dans l'intoxication aux métaux-lourds.
    Ces auteurs ont régulièrement rédigé des mises-à-jours de revues de littérature scientifique depuis les années 80.

Document alpha : Autisme et dogme.
    Dans Timon d'Athènes, Shakespeare a écrit:"Trust not the physician (médecin); his antidotes are poison, and he slays."

    Selon le document alpha, la littérature scientifique ne rapporte pas que l'autisme ait fait l'objet d'études expérimentales sur la recherche de métaux-lourds par provocation.
    Ce document indique également que le test officiel des métaux-lourds est non-contesté or ce document indique également que le test de provocation peut-être un meilleur indicateur.
    Cela est un euphémisme pour indiquer que la science moderne fait l'objet d'un dogme.
    La science fait l'objet de dogmes, la terre a été plate pendant 2000 ans, et l'ADN était totalement fixe au cours des précédentes décennies.
    De plus, selon le Collège de France, les épidémies ont été enrayées par l'assainissement et non par les vaccins.
    Ce document laisse supposer que la résolution des pathologies orphelines est donc disponible.
    Tant que ces pathologies demeurent orphelines, elles garantissent un taux de remplissage du système médical.

Ordonnancement de chélateurs jusqu'à la chélation de l'intra par le BAL.
  • Le document alpha indique qu'il serait préférable de délaisser le BAL pour cause de toxicité.
    Mais le BAL est le seul chélateur lipophile, il est donc le chélateur de l'intra.
    Pour une meilleure sécurité, il faut appliquer un calendrier ordonnancé des chélateurs.
    Pour un calendrier de chélation en meilleure sécurité, il conviendra d'appliquer un ordonnancement des chélateurs.
    Ordonnancement : de l'hydrophile au lipophile, cad de l'extra à l'intra, DMSA (> DMPS) > EDTA > BAL.
  • Pour l'administration du BAL, je passerais en solution aqueuse d'1l avec 1 jaune d'œuf.
    Recette : Mélanger une dose de BAL avec un jaune d'œuf, mélanger, verser le mélange dans une bouteille d'eau d'1litre, boire à jeun par gorgées.
    Pourquoi passer par un médecin onéreux et par un IM compliquée quant on peut faire simple.
    Normalement, il ne devrait pas y avoir de goût car le produit actif est masqué par la micelle de jaune d'œuf.
    Si le goût était gênant, il est toujours possible de passer par des suppositoires (extrêmement facile à réaliser soi-même).

Test de provocation
    Selon ce document, le test de provocation peut se faire avec de l'Edta.
    À mon sens, n'importe quel chélateur par n'importe-quelle voie semble éligible.
    Les analyses d'urine avant et après chélation semblent les seules analyses pertinentes pour donner un état d'intoxication des tissus mous.
    Les os et le cerveau ne sont pas vraiment analysables (sinon peut-être par imagerie).


Autre sujet : Déshinibition de l'ATP
    Selon le Collège de France, les métaux-lourds inhibent l'ATP (voir Diapo du post Toxicité des M.L. selon le Collège de France - 1/2 - sources.
    Pour déshiniber l'ATP, les bains froids vont provoquer une bio-génèse mitochondriale par la thermo-génèse.
    Ces bains devraient pallier à la fatigue chronique tant que les métaux-lourds sont présents.

Test de Solubilisation - solvant lipophyle. - édit.
    Sur le site de mon labo d’analyse, des analyses de pesticides sont disponibles.
    Sur le modèle du test de provocation, on pourrait faire un test de solubilisation des pesticides.
    Je me suis donc dis qu’il était possible de provoquer la solubilisation des pesticides par l’ingestion d’un verre de ghee.
    Ensuite, il faudrait faire une analyse d’urine ( avant / après) pour voir si des toxines apparaissaient.
    J’essayerais à l’occasion, où si des tremblements type Parkinson apparaissaient.

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MOC 13 : résolution incident et prévention

Messagede Sophocle » Mer 8 Jan 2020 17:04


Résolution
    L'incident est en voie de résolution, enfin.
    La permanence et la stabilité de la sensibilité sur plusieurs semaines indiquait qu'il s'agissait d'une accumulation de toxines inertes (organique ou inorganique mais pas de mo).
    J'ai fait un jeûne mais la sensibilité n'a diminué que très légèrement puis les progrès ont rapidement cessé.
    J'ai fait des lavements avec la solution saline mais aucun effet à la baisse.
    Par contre la sensibilité est passée d'un point au niveau du foie à tout le long du colon transverse tout en baissant en intensité.
    J'ai donc fait un lavement avec de l'huile (1l), eurêka, j'ai écris la méthodo dans le post des lavements (Détox intestins. page 8)
    Cela a résolu la moitié des sensibilités et j'ai retrouvé immédiatement une bonne tension.
    La combinaison de tentatives de résolution indique que ces toxines étaient lipophiles et hydrophobes.
    Je dispose maintenant de la résolution en cas d'incident, cela est apaisant pour la suite du traitement.

Prévention
    Cependant, j'ai profité des dernières et légères sensibilités pour mettre au point une méthode douce de l'écoulement de ces toxines.
    Cette méthode servira de prévention pour la suite du traitement.
    Comme il s'agit de toxines lipidiques, il faut les faire entrer en solubilisation (en évitant la grosse pancha-karma trop lourde).
    Pour écouler ces toxines, je fais donc une cuisine au ghee dont les doses sont volontairement exagérées.
    Comme l'alcool est un solvant bi-phase, je ne néglige pas ce très précieux remède au cours du repas.
    Puis je fais ma marche rapide (à jeun) pour bien faire vibrer les intestins de façon à ce que les toxines se dispersent et s'écoulent comme du cambouis dans du beurre.
    L'écoulement n'est certes pas aussi rapide qu'un lavement, mais il a peut-être le mérite d'être suffisamment efficace pour écoper.

Nouvel essai allicine - janv. 2020 [img]kator/smiley252.gif[/img]
    J'ai refait une prise d'allicine (une demi gousse râpée selon le protocole cité un peu plus haut.
    Les sensibilités se sont réveillées durablement.
    Ces sensibilités s'estompent après ingestion de ghee à jeun.
    C'est très fastidieux à éliminer.

Retour aux he non- corrosives.
    Je vais donc suspendre l'allicine et je vais retester les he non-corrosives.
    méthodo :
    HE 10%, HV 90% dans une bouteille préparée - voir posts plus haut.
    10 ml de mélange d'he dans hv (secouer avant verser) : 0,25 g de lécithine de soja en granules, mixer, verser dans un verre d'eau, mixer, boire à jeun.
    LMMJV
Dernière édition par Sophocle le Mer 22 Jan 2020 10:42, édité 1 fois.
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Supervision de la chélation par compartiment

Messagede Sophocle » Mer 8 Jan 2020 17:31



Calendrier
    Voici un calendrier synthétique, prévisionnel et provisoire de chélation à longue échéance.
    Image

    L'idée est de procéder méticuleusement par ordre avec un schéma d'avancement selon les compartiments.
    Quand il n'y a durablement plus d'effets (ni bénéfique, ni mauvais) d'une technique, on peut passer au palier supérieur : 1a,1b, 2, 3a,3b.
    D'étape en étape, l'intra du snc sera protégé : l'étape 3a va permettre d'éloigner l'incident dans l'étape 3b, et ainsi de suite : 2 avec 3a, 1b avec 2, 1a avec 1b.
    Il faut donc commencer avec 1a, ensuite 1b, puis 2, 3a et enfin 3b.

    1. Extra-cellulaire
      1. iv de DMPS,c'est la solution du débutant sous contrôle médical.
        L'iv traite le snc avec lenteur, mais il est possible de traiter le scn par le froid ou en faisant des activités physiques juste après l'iv.
      2. Etda, dmsa, pH8, 1litre oral, activ.physiques : traitement du snc.
        La prise orale dans un litre d'eau préserve des incident du trop de concentration.
        1a (détox de l'extra ordinaire) peut se faire avec du dmsa, edta et pH8 si on omet les activités physiques.
    2. Micro-Organismes
        Élimination des micro-orgnaismes et captation des métaux-lourds relargués.
        L'allicine est un anti-micro-organisme à large spectre donné à titre indicatif.
    3. Intra-cellulaire.
        Chélateur : BAL (Dimercaprol). Traitement des tissus ordinaires, et, (par extrapolation à l'heure où j'écris ces lignes) du snc par les bains froids ou par des activités physiques.
        Nota : Pour les contre-indications, voir le document alpha (notamment le ch. 2.2.1).
        Je n'ai pas encore fait mes expériences sur le BAL.
        Je ne peux donc pas indiquer si ce chélateur est efficace sur mes symptômes à l'heure où j'écris ces lignes.
        De plus, le mode d'administration est donc fortement susceptible d'être amendé de façon à éviter l'im quitte à améliorer significativement son efficacité et à baisser le risque d’incident par baisse de la concentration en mélangeant la dose à un jaune d’œuf à boire dans un litre d’eau.
      1. traitement sans activités physiques : intra des tissus ordinaires.
      2. traitement avec activités physiques (froid, escaliers, ...) : intra du snc.

nota
  • [img]images/icones/icon3.gif[/img] Le BAL est réputé toxique, notamment il capte le ml dans l'extra et il l'emmène dans l'intra.
    Les anti-micro-organismes risquent de créer une accumulation de métaux-lourds et de débris.
    Les paliers 2 et 3 nécessitent un traitement de l'extra au préalable pour éviter les incidents.
    Ces 2 paliers nécessiteraient éventuellement un traitement de l'extra en même temps.
  • Prix indicatifs (€/g) : dmsa : 5, edta : 1, dmps : 80, bal : 30.
  • Le DMPS ne serait pas indispensable pour guérir.
    Des solutions alternatives légales et aussi efficaces existent.
  • Concentration IV Ampoule DMPS: 0,25g PA dans 5ml = 50g/l.
    L'IVL est donc préférable pour diluer le PA.
    Concentration Chélasso : PA : 1,5 g/l (0,5g max DMSA et 1g Edta).
    Avec une chélasso, la dose de PA est supérieure mais l'accident de concentration est éloigné grâce à la faible concentration.
  • Selon Microtrace : Il semble que plus de 0,5g de DMSA n'excrète pas plus de 0,5g de DMSA, il n'est donc pas nécessaire d'augmenter les doses.
    Il existe certes des iv avec 2 ou 3g d'Edta, mais cet Edta est couplé à du Mg et de Ca pour éviter l'incident.
    Comme j'ai fait une déminéralisation après 10 j de chélassos au cours desquelles j'ai pratiqué une chélasso 1 x / jour, les fortes doses ne me semblent pas intéressantes.
    Il est préférable de lisser les doses pour s'installer dans un rythme sécurisé.
    sources : https://www.microtrace.fr/fileadmin/upl ... _FR_12.htm & https://www.microtrace.fr/fileadmin/upl ... _FR_04.htm


Autre sujet : traitement intégral de la mitochondrie, effacement de la fatigue, relance de l'ATP, & prévention des maladies dégénératives.
    Recette :
  1. Jeûne de 3 jours : élimination des mitochondries qui ont rendu un important service.
  2. Bains froids 15' 15° : multiplication des mitochondries par bio-génèse naturelle par thermo-génèse.
    Les bains glacés courts ne me semblent pas nécessaires car la machinerie est en place dès 15° et qu'il faut la maintenir durablement pour que la bio-génèse ait lieue.

    Prévention des maladies dégénératives.
      Selon A. Prochiantz (cdf), les maladies dégénératives sont en préparation avant qu'elles n'éclosent.
      J'émets donc l'hypothèse que la baisse de la mitochondrie pourrait déclencher les maladies dégénératives suite à l'acidification du terrain par combustion incomplète du glucose.
      Cette acidification est un basculement du terrain qui pourrait éventuellement réveiller les maladies dégénératives.
      Mon hypothèse n'est qu'une suggestion qui tente d'expliquer les apparences des choses.
      Il existe certes d'autres facteurs (érosion de l'adn,...) mais la mitochondrie demeure un pivot métabolique aux conséquences systémiques.

Autre sujet 2 : Chélasso de BAL (sans im)
    Lors de mes expériences e/h & h/e, j'ai remarqué que le jaune d'œuf était réversible.
    S'il était majoritaire, c'est un émulsifiant e/h, s'il était minoritaire c'est un émulsifiant h/e.
    On peut voir cette réversibilité lors qu'on verse délicatement le mélange huile+j.d'œuf dans de l'eau.
    Le mélange se comporte comme une nappe d'huile : la phase est séparée.
    Puis, en touillant l'eau, le jaune d'œuf se disperse durablement dans tout le volume de l'eau.
    [img]images/icones/icon2.gif[/img] Le jaune d'œuf est donc peut-être approprié pour réaliser une chélasso avec le BAL avec une grande facilité.
    Cette solution est donc peut-être une alternative avantageuse à l'im.
    De plus, la concentration de Principe ActifPA serait fortement diminuée, les risques seraient donc atténués.
    Autre info : la lécithine de soja en granule remplit exactement le même service que le jaune d'œuf.
    C'est donc bcp plus pratique que le jaune d'œuf car ça se range facilement, ça se conserve longtemps, ça demeure naturel et c'est fait pour l'alimentation.

Historique de mon avancement - Édit.
    Image
    Violet : Métaux-lourds (mercure, arsenic, plomb, cuivre), en nombre de fois le flux limite selon microtrace.
    Rouge : EHS et sensations des céphalées.
    2015-17 : Ivl DMPS, 1x/mois, analyses 1x/an env. Tendance 2030, Stop.
    2017-18 : 100 jours cumulés jeûne secs. Stop effets secondaires.
    2019 : Naturopathie haute intensité au quotidien. Retour de la tension normale par 8 bains froids 15' à 15°.
    Sept 2019 : Chélassos : très haute efficacité. Mais arrêt des bénéfices par effets de compartiment et rebond hebdomadaire.
    Nov 2019 : Compartiment micro-organismes. - En cours à l'heure où j'écris ces lignes.
    Projet : compartiment Intra avec BAL.


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Effet des chélassos sur un cheveu.

Messagede Sophocle » Ven 10 Jan 2020 14:53

Question progrès, voici éventuellement un effet des chélassos : un cheveu, blanc à la pointe, brun à la racine :

Image

    Les mélanocytes de ce cheveu ont donc un retour de leur fonctionnalité. [img]kator/clap.gif[/img] [img]kator/clap.gif[/img] [img]kator/clap.gif[/img]
    Par son retour à la couleur d'origine, ce cheveu a fait l'objet d'un renversement d'une tendance généralement immuable.
    J'ai trouvé ce cheveux aujourd'hui.
    Comme les cheveux poussent environ d'un centimètre par mois et la longueur brune étant de 2 cm, le basculement à la couleur brune date donc de oct-nov.
    Cette date-ci correspond en plein à la période de chélassos intenses de l'époque...
    Ce cheveu est peut-être un témoignage de l’élimination intense des ml en si peu de temps.
    Malheureusement, il est le seul cheveu à retrouver sa couleur d'origine, ma barbe poivre et sel et mes tempes argentées demeurent en l'état.
    Il ne s'agit que d'un seul cheveu, ce progrès est donc certes futile.
    Mais, il est une illustration des effets des chélassos sur mes céphalées, il est donc remarquable.

    Je garde précieusement ce cheveux comme preuve.
    En cas de besoin, il sera peut-être possible de faire des analyses...

Édit, info connexe : selon le document alpha, les cheveux gardent la trace d’intoxication aux methyl-ML mais non aux ML inorganiques.
Cependant, la fonctionnalité des mélanocyte peut être suspendue par des ml inorganiques sans qu’il y ait de trace de ml inorganique dans les cheveux.

Édit : Symptômes au long cours sur les cheveux.
    Je suis dans la force de l'âge, et j'ai donc quelques bouquets de cheveux blancs.
    Ces quelques cheveux blancs sont survenus il y a cinq ans environ.
    Mais depuis que je fais les chélations, la couleur de mes cheveux s'est figée.
    Cad que la progression de la glace qui s'écoule s'est arrêtée et elle s'est solidifiée là où elle était il y a cinq ans.
    J'ai quand-même de très légères améliorations : les cheveux bruns ont retrouvé un éclat au soleil, cad qu'ils blondissent et dorent au soleil.
    Cela n'était pas le cas avant.
    La lente perte de cheveux s'est également stoppée.
    J'en conclus que les métaux-lourds miment un effet de vieillesse qui est suspendu au fil des chélations.
    En règle général, depuis que je fais les chélations, je n'ai pas de retour en arrière mais j'ai un arrêt net des symptômes sur les cheveux.
    J'ai également remarqué que le bronzage de la peau était moins fastidieux qu'avant.
    Il suffit que je mette au soleil de façon à ce que je n'ai pas besoin de crème, et je bronze.
    Cela n'était pas trop pas le cas il y a cinq ans.


Pointage des chélassos
  • #24 - 4 janv. RAS. IDEM. Rebond, légers maux de tête qui remontent entre 2 chélassos et baisse après la chélasso - voir courbe du post précédent.
  • #25 - 11 janv. IDEM . Même topo. La recherche de solution avec le BAL commence à s'imposer de plus en plus.

Mitochondrie
    Voici une conférence postée par Cancer Thérapie, qui fait un lien entre quantité de mitochondrie dans la cellule et cancer.
    La Piste pour Guerir du Cancer: Multiplier la Mitochondrie et questions reponses. L. Schwartz repond
    Je ne fais qu'un petit commentaire car les éléments présentés sont plus ou moins déjà consignés dans les posts sur la Conf. de L. Schwartz.
    Mais cette conférence détaille en profondeur le rôle de la mitochondrie : c'est elle qui reçoit l'ordre d'apoptose (et procède à l'exécution de l'ordre).
    S'il n'y a pas de mitochondrie dans la cellule, la cellule ne peut donc pas s'éliminer, d'où le cancer...
    De plus, il existerait un effet de seuil en nombre de mitochondries en-deçà duquel la cellule bascule en mode fermentation.
    Fermentation et perte d'apoptose semblent être intriqués par le même phénomène.
    Le conférencier propose de remonter le nombre de mitochondrie pour relancer la mitochondrie.
    La piste du régime cétogène est évoquée pour faire remonter le nombre de mitochondries mais pas les bains froids...
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