TOUT SE DÉTOX

Quand la santé revient enfin, il faut le dire et même le crier!

Notes et réfléxions sur le document 'Thérapie par la chélati

Messagede Sophocle » Ven 4 Oct 2019 11:14

          [img]smile/xsgrin.gif[/img] [img]smile/xsgrin.gif[/img] [img]smile/xsgrin.gif[/img]
          Rappel : une présentation générale (Table des matières, renvois, sources, ...) de ce topic est placée à la page 14.


    En un seul document scientifique, tous les aspects des intoxications aux métaux sont brossés.
    Les intoxications chroniques sont également évoquées.
    Cependant, les intoxications aiguës sont mieux documentées que les intoxications chroniques.
    Par exemple, le protocole d'une analyse d'intox chronique avant et après provocation n'est pas précisé.
    Il n'y a certes pas de scoop mais le fait que toutes ces informations soient regroupées donne le sentiment d'une vision panoptique.
    Il y a tout sur tout : tout toxique, tout chélateur, toute maladie, toute administration (orale, iv, dièrèse), études, cas cliniques, toute technique appropriée, ...

    Voici quelques notes générales.
    Quant à la partie métaux, je n'ai lu que les chapitres qui m'intéressent : Cuivre, Arsenic, Plomb, Mercure, et aluminium.
    (mes quelques remarques sont en italiques) :

Chapitre 1
  • On y retrouve des hypersensibilité cutanée à cause d'une intoxication au Nikel.
  • La bhe empêche le chélateur de rentrer, le snc est donc lent à désintoxiquer.
  • Les intox dérégulent le gène P53 (gène appelé "le gardien du génome"), il y a donc un risque de cancer.

Chapitre 2
  • Esther de Dmsa : lipophile
  • Edta : le plomb des os est chélaté, puis il est redistribué dans les tissus mous (surtout dans le cerveau)
  • L'Edta chélate peu de mercure ; zing, cuivre, fer : excrétion x10
  • Dmps : 50% absorbé par l'intestin
  • Dmsa : pic à 3 heures

Chapitre 3
  • L'examen clinique ne donne aucune indication sur la cause
  • Rechercher les antécédents
  • Contamination des os (asymptomatique avant qu'ils ne deviennent cassants)
  • La poussière est très contaminante
  • Des intoxications asymptomatique
  • Dmsa peu efficace sur l'arsenic

Chapitres 4 & 5 (je n'ai lu que les paragraphes qui m'intéressent)
  • Aluminum.
    • Alzheimer : cuivre et non l'aluminium
    • De faibles doses sont parfois aussi efficaces que des doses standard.
  • Arsenic.
    • Herbicides/Pesticides. (population contaminée)
    • Dmps valable en oral, et performant pour intox chronique.
    • Acide lipoïque, bicarbonate de sodium
    • des cas de survie après ingestion de 10 x la dose mortelle
    • Traitement par solution saline.
    • Dmsa peu performant sur l'intox chronique
  • Cuivre
    • Chélateur : TETA
    • Dmsa efficace
  • Plomb
    • 90% dans le squelette, rebond, besoin de répétition des chélations
    • Plomb chélatable dans les tissus mous
    • Edta redistribue le plomb dans le cerveau
    • Pb concentration, irritabilité, fatigue, anxiété, aucun signe discernable.
    • Combinaison Edta & Dmsa pour les intox chroniques.
    • Dmsa : tissus mous ; Edta : Os vers le cerveau si pas de Dmsa.
    • Les symptômes peuvent rester stable en dépit de la chélation (rebond des os ?)
  • Mercure
    • Dmps performant, Dmsa (un) peu efficace
    • Dmsa peu performant dans le cerveau, moins profond
    • Score à l'amalgame
    • "La quantité de mercure mobilisé par le Dmps et les scores obtenus lors de tests neuro-comportementaux ont montré une relation inverse significative".
    • Maladie à changement minimal
    • Paramètres biochimiques indifférents avant vs après traitement.
    • Monoalylesther de Dmsa (Mn-ADMS) performant.

Chapitre 6
  • Métaux : mauvais repliement des protéines, agrégation, neuro-dégénération.
  • Dmsa efficace sur le cuivre.
  • Parkinson, Sep : fer (neuro-inflammation) mais les chélations sont défavorables (?)

Chapitre 7
  • Le chélateur ionisé (négativement) ne rentre pas dans la cellule.
  • Un chélateur lipophile passe mieux la membrane
  • Dmps : cuivre, zinc, mercure, arsenic, plomb.
  • Régime riche en protéines.
  • Dmsa : Arsenic, plomb, mercure, cuivre. pas de zinc.
  • Le chélate ionisé est éliminé par les reins
  • Combinaisons, synergie : Combinaison chélateur lipophile et ionisé pour assurer la mobilisation intracellulaire et l'élimination
  • Alzheimer : cuivre et fer.

Chapitre 8
  • Edta lipophile ?


À la lecture de cette littérature scientifique, quelques réflexions sur mon cas :
[*]Dans ce document, il est difficile de départager les traitements selon l'intox aigüe ou chronique.
J'ai donc encore quelques très légers doutes sur les choix suivants.
  • Pour le mercure et l'arsenic, le dmsa est un second choix et le dmps est un premier choix.
    Quand le dmsa et l'edta, que je prends actuellement, cesseront de produire des effets avec des analyses négatives, je pourrai alors me tourner vers le dmps.
  • Pour le cuivre et le plomb, l'edta et le dmsa sont un premier choix.
    Le dmsa peut être pris seul, mais l'edta devrait être accompagné par du dmsa pour éviter l'effet de redistribution.
    Le zinc et le calcium devraient être les minéraux à supplémenter.
    Un effet rebond peut apparaitre avec le plomb des os.
    La fin des améliorations n'est donc pas un signe de fin d'effet.
    Il faut faire une analyse pour vérifier si du plomb continue à sortir.

Remarque
    L'acide lipoïque est très peu cité.
    En dépit que ce soit chélateur, il n'est pas vraiment reconnu par ce texte.




2ème relecture, Édit 30 déc. 2019 [img]kator/smiley252.gif[/img]
    Sans tenir compte de la précédente lecture, j'ai relu le document alpha car il me faut le digérer et le redigérer pour qu'il m'imbibe en profondeur.

    Cette revue date de 2016.
    Les auteurs de cette revue sont des universitaires qui ont participé à des revues en 1983, 1999, 2002, 2004 et 2015 (ch.7.6).
    Les auteurs de ce documents sont donc des spécialistes au sein de l'hôpital qui ont fait carrière dans l'intoxication aux métaux lourds.

    Préface
      Ses dérivés moins toxiques, l'acide méso-2,3-dimercaptosuccinique (DMSA) et l'acide D , L -2,3-dimercapto-1-propanesulfonique (DMPS), sont maintenant entrés dans le domaine clinique et ont remplacé le dimercaprol dans la plupart des cas de métaux lourds empoisonnements.

    1.1 CHIMIE GÉNÉRALE DES MÉTAUX
      Les électronégativités des métaux de transition (vanadium, chrome, manganèse, fer et cuivre) sont d'environ 1,6 à 1,8, alors que le mercure, le plomb et l'arsenic ont des électronégativités plus élevées, à savoir environ 2,0.

    1.2 ELEMENTS ESSENTIELS ET NON ESSENTIELS
      Calcium : Si le régime alimentaire fournit des quantités insuffisantes de cet élément, l'organisme mobilisera le calcium des os grâce à un processus provoqué par une augmentation des taux circulants de la parathormone (PTH).

    1.3.2 Profils d'exposition et mécanismes de toxicité des métaux
      Mercure: il offre un bon exemple de l'extrême variation des effets cliniques pouvant être produits, en fonction du type d'exposition et de la forme chimique du métal (Kazantzis, 1980).

    1.3.9 Allergies aux métaux
      L'amalgame au mercure est probablement l'alliage dentaire principalement associé aux modifications de la muqueuse buccale telles que le lichen plan buccal.

    1.4 BASE DE LA FORMATION DE COMPLEXES MÉTALLIQUES AVEC DES LIGANDS ENDOGÈNES ET EXOGÈNES
      En raison de la disponibilité de nombreux petits ligands biologiques dans les organismes vivants, les concentrations de métaux toxiques «libres» sont souvent très faibles.
      La capacité d'un chélateur à pénétrer dans le compartiment particulier des dépôts métalliques et d'atteindre ainsi les sites moléculaires critiques peut constituer des déterminants importants de son efficacité clinique. Par exemple, l'enlèvement des dépôts de fer, de cuivre ou de plomb du système nerveux central s'effectue généralement lentement, car la pénétration des chélateurs ou des chélates à travers la barrière hémato-encéphalique est généralement limitée.

    1.5.2 Transferrine et ferritine
      La transferrine est également associée au système immunitaire inné. Il se trouve dans la muqueuse, dans l'intestin et lie le fer, créant ainsi un environnement pauvre en fer libre qui entrave la survie des bactéries dans un processus appelé retenue de fer. Le taux de transferrine diminue dans l'inflammation (Ritchie et al., 1999). (Par voie de conséquence : l’inflammation est propice aux bactéries)

    1.6. CONCLUSIONS
      Les effets aigus ou chroniques de la toxicité liée aux métaux peuvent se manifester dans différents organes, notamment les systèmes respiratoire, cardiovasculaire, rénal et nerveux central.
      Les agents chélateurs possèdent une grande affinité pour le métal à éliminer, libérant les ions mé talliques des structures endogènes vulnérables en formant un chélate non toxique. La chélation est indiquée dans le traitement des intoxications par les métaux et des maladies liées au stockage des métaux, ainsi que dans l'élimination des radionucléides métalliques.

    2.2.1 BAL, DMPS, DMSA
      (DMPS) Il a été synthétisé à l'origine par Petrounkine dans l'ancienne Union soviétique (Petrunkin, 1956).
      Ce chélateur n'est pas autorisé par la FDA, mais disponible en Europe.

    3.3 CONCLUSIONS CLINIQUES
      Des symptômes neurologiques d'encéphalopathie allant de maux de tête, irritabilité et légère somnolence à un dysfonctionnement plus grave comprenant confusion, hallucinations, convulsions et coma ont été décrits après une intoxication au plomb et l'inhalation de vapeurs de mercure, de nickel ou d'arsenic.
      … l’importance de combiner les résultats cliniques avec un historique d'exposition soigneux.
      Au cours des intoxications aiguës ou chroniques, les métaux absorbent les os, ce qui est généralement un processus asymptomatique.

    3.5 ANALYSES TOXICOLOGIQUES
      Dans certains cas, l'interprétation des analyses toxicologiques dans le sang ou l'urine est difficile.
      Dans le diagnostic de l'intoxication par le plomb, des difficultés peuvent survenir lorsque l'exposition a cessé il y a quelque temps et qu'une grande partie du plomb a été transférée du sang vers les os. Dans de tels cas, les concentrations de plomb dans le sang peuvent être revenues à l'intervalle de référence lors de la tentative de diagnostic.

    3.7 ENQUÊTES PHYSIOLOGIQUES, RADIOLOGIQUES ET ULTRASONOGRAPHIQUES
      L'IRM est moins spécifique dans les intoxications par d'autres métaux et ne montre généralement que les conséquences des lésions tissulaires. Une IRM cérébrale dans une intoxication au plomb, au mercure ou au cuivre montre des signes d'encéphalopathie, c'est-à-dire une hyperintensité des noyaux gris centraux et de la substance blanche sur l'imagerie pondérée en T2, reflétant probablement un œdème, une démyélinisation et des cavitations tissulaires.

    4) chélation lors de surexpositions aiguës et chroniques
    4.1 INTRODUCTION

      Cependant, la pharmacocinétique de l'agent chélateur est également très importante, notamment si le complexe chélateur et le complexe métal-chélateur formés sont hydrophiles avec pour résultat une excrétion rénale accrue ou lipophiles avec pour résultat une excrétion biliaire accrue ou un dépôt cérébral.

    4.4.2 Études cliniques
      Son intestin a été purgé avec de grandes quantités de solution saline et du charbon de bois a été administré.

    4.4.3 Discussion et conclusion
      Les rapports de cas examinés précédemment décrivent plusieurs survivances, apparemment sans séquelles, malgré l’ingestion de doses importantes de composés organiques ou inorganiques de l’arsenic, plusieurs fois les doses létales, parfois plus de 10x

    4.14 PLOMB
      Le squelette est le dépôt principal de plomb, contenant plus de 90% de plomb corporel chez les travailleurs en plomb
      Le plomb chélatable n'est toutefois pas une mesure précise de la charge corporelle, reflétant principalement les niveaux de plomb dans le sang et les tissus mous .
      Une exposition élevée au plomb peut provoquer une anémie,
      oblèmes de concentration, irritabilité, fatigue, anxiété, hostilité, humeur dépressive, tension et problèmes interpersonnels observés chez les travailleurs principaux,
      Les études examinées ensemble indiquent que le DMSA oral, seul ou associé à un EDTA parentéral, pourrait être le traitement de chélation le plus efficace pour l’intoxication par le plomb, et que le test de provocation à l’EDTA pour l’estimation diagnostique de la charge corporelle en plomb est dangereux pour le patient. Les données animales combinées avec les données humaines examinées ci-dessous indiquent que la chélation par DMSA mobilise le plomb dans les tissus mous et le plomb récemment déposé, mais que le DMSA ne peut mobiliser qu'indirectement les dépôts de plomb dans les os âgés au cours de la chélation prolongée en épuisant les tissus mous en plomb, favorisant ainsi l'écoulement du plomb. des os. L'EDTA moins efficacement que le DMSA mobilise les dépôts de plomb dans les tissus mous. Cependant, l'EDTA peut mobiliser les dépôts de plomb dans les os âgés. Une question importante dans le traitement par chélation de l'intoxication au plomb est l'effet d'amélioration ou d'inhibition des agents chélateurs sur l'absorption intestinale de plomb. Les résultats d'études chez l'animal indiquent que l'EDTA ne devrait être utilisé qu'après la fin de l'exposition au plomb, alors que les résultats obtenus avec le DMSA ne sont pas tout à fait clairs.

    4.14.2 Études cliniques
      Un défi à relever lors du traitement par chélation de l'intoxication chronique au plomb est un rebond du taux de plomb dans le sang qui se produit peu de temps après la fin du cycle de chélation. Ce rebond est observé avec tous les agents chélatants qui ont été utilisés dans l'intoxication au plomb et est probablement dû à la lenteur de la mobilisation du plomb dans les os et, dans de nombreux cas, nécessite des calendriers de chélation répétés.

    4.16 MERCURE
      Le mercure accumulé dans le cerveau a une demi-période de plusieurs années.
      Aposhian et al. (1992) ont utilisé le test de mobilisation DMPS pour étudier l'exposition au mercure et la charge systémique en mercure dans des populations sans exposition professionnelle au mercure. Dans un groupe de volontaires, une corrélation statistiquement significative a été observée entre le «score à l'amalgame» (nombre et taille des amalgames dentaires) et l'excrétion urinaire de Hg provoquée par le DMPS.
      Dans des études similaires, Zander, Ewers, Frier et Brockhaus (1992) et Herrmann et Schweinsberg (1993) ont constaté une augmentation de 6 à 7 fois et de 9 fois l'excrétion urinaire moyenne de Hg lors des tests de mobilisation du DMPS. Dans les deux études, l'excrétion urinaire de mercure était plus importante chez les sujets amalgames que chez ceux sans amalgame, avant et après la provocation par le DMPS. Herrmann et Schweinsberg (1993) ont observé une corrélation significative entre «l'indice de remplissage d'amalgame» et l'excrétion de mercure.
      Les symptômes neurologiques ont commencé à diminuer 6 mois après le début du traitement par chélation et avaient complètement disparu après 2 ans de chélation.
      Le suivi a montré une amélioration des résultats cliniques. Les auteurs concluent que l'intoxication au mercure a provoqué l'hypertension intracrânienne.

    6) Traitement par chélation
    6.1 INTRODUCTION

      Compte tenu de l'importance des ions métalliques dans les fonctions normales du cerveau humain, il n'est pas surprenant que la dérégulation de l'homéostasie des métaux ait des effets néfastes sur les fonctions cérébrales (Dusek, Litwin et Czlonkowska, 2015). Un nombre croissant de données corrobore l'idée selon laquelle les métaux, le fer et le cuivre, qui sont actifs dans l'oxydo-réduction, peuvent générer un stress oxydatif et une inflammation, accélérant ainsi le mauvais repliement et l'agrégation des protéines associés aux maladies neurodégénératives. Il est de plus en plus évident que la perturbation de la régulation du fer cérébral joue un rôle dans l'étiologie de la maladie d'Alzheimer, de la maladie de Parkinson,

    7.6 THÉRAPIE PAR CHÉLATION
      Les applications pharmacologiques et thérapeutiques des agents chélateurs ont été passées en revue par Catsch et Harmuth-Hoene (1976) et mises à jour par Aaseth (1983), Andersen (1999), Andersen et Aaseth (2002), Andersen (2004) et Aaseth, Skaug, Cao. et Andersen (2015).
      Le traitement est d'autant plus efficace que l'agent chélatant est administré alors que le métal est encore dans la circulation ou dans le compartiment des fluides extracellulaires, car une fois intracellulaire, le métal est moins accessible.

      De nombreux agents chélateurs apparaissent sous une forme ionisée et ont donc une capacité limitée à pénétrer dans les membranes cellulaires.
      De plus, la solubilité du chélate dans l'eau et les lipides, respectivement, doit être prise en compte. La solubilité dans l’eau facilite le transport dans le sang et l’excrétion par les reins. En revanche, un chélateur lipophile peut plus facilement faire passer les membranes cellulaires pour chélater des éléments intracellulaires et a souvent une excrétion plus importante via la bile (Sears, 2013). Il faut tenir compte du fait que les effets de chélateur de métaux peuvent entraîner l'épuisement des métaux essentiels ou la redistribution des métaux toxiques vers d'autres tissus, par exemple le cerveau (Andersen, 2004; Andersen & Aaseth, 2002).

    7.6.2 Sodium 2,3-dimercaptopropane-1-sulfonate (DMPS; Dimaval )
      L’agent a été synthétisé à l’origine par Petrounkine (1956) et est utilisé depuis de nombreuses années comme antidote aux métaux lourds en Russie et, plus récemment, dans le monde occidental également.
      Le DMPS a été utilisé comme test de diagnostic pour l’exposition à de faibles concentrations de mercure, ce qui suggère que le mercure urinaire après le DMPS pourrait être un meilleur indicateur de l’exposition que l’excrétion urinaire de mercure non contestée (Aposhian et al., 1995).


    7.6.3 Acide méso-2,3-dimercaptosuccinique (DMSA; Succimer )
      Le rebond de la concentration de plomb dans le sang qui survient après l’évolution de la chélation est considéré comme étant principalement causé par la mobilisation du plomb dans les os, ce qui nécessite la nécessité d’une chélation répétée.


    7.6.12 Combinaisons d'agents chélateurs
      Edta & Dmsa
      Dmps & Dtpa

    7.7.2 Maladie d'Alzheimer
      il est particulièrement intéressant de noter la présence de niveaux élevés de cuivre et de fer dans les plaques insolubles de bêta-amyloïde dans les cerveaux post-mortem de patients atteints de la maladie d'Alzheimer.



VOIR REMARQUES SUR CE TRAITE à LA PAGE 28.
Dernière édition par Sophocle le Ven 6 Nov 2020 13:56, édité 5 fois.
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Sophocle

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Méthode “Chélasso”: Chélateurs en solution + activités physi

Messagede Sophocle » Ven 4 Oct 2019 14:50

Le post du bas de la page 18 est devenu trop long.
Je le recopie ici, le scinde et le réorganise en plusieurs posts.



Avec l’expérience aquise aux cours de ces années, je vais tenter de reproduire une iv+bf sans iv. [img]kator/smiley16.gif[/img]
Ainsi, je pourrai faire une séance d’élimination à la maison au rythme qui me convient.
Or, y compris en round, les chélateurs en gélule ne me font plus d’effet.
J'attribue le manque d'effet de la gélule à l'absence de dispersion en nuage dans le corps.
Je voudrai donc fabriquer un chélateur liquide puis le coupler à un bain froid de façon à foisonner et à percoler.
Nuage de chélateurs versus nuage de nano-particules de métaux-lourds.
Comme la demi-vie de l’edta est très courte, il faudra donc que la séance soit la plus compacte possible.
Suite à la lecture du rapport de l"Anses, je vais prendre en compte l'effet placébo.
Comme je place beaucoup d'espoir dès les premières séances, je suis donc particulièrement exposé à un effet placébo.



Récapitulatif de la méthode “Chélasso” : synthèse analytique.
    [img]images/icones/icon3.gif[/img] Précaution d’usage. [img]images/icones/icon3.gif[/img]
    Cette méthode est puissante et elle fonctionne certes efficacement sur moi sans effet néfaste.
    L'application à laquelle je m’en suis soumis maximise les échanges, mais elle aurait pu se retourner contre moi si je n'avais pas eu un long parcours naturopathique qui a permis de renforcer significativement mon état de santé par paliers.

    Pour prévenir une allergie par une sensibilisation retardée avant la première séance, il est possible de réaliser un test d'activation lymphocytaire des métaux sur un prélèvement sanguin.
    Cela se fait dans un laboratoire spécialisé.
    Il est donc hautement préférable de consulter un spécialiste en chélation et d'amorcer une petite série de chélations avant de se lancer dans ces chélassos à domicile.

    De plus, ma tolérance aux chélateurs n'est pas représentative de la majorité des témoignages du forum.
    Ma très forte tolérance aux très fortes doses de chélateur n'est vraisemblablement pas courante.
    De plus, plus il y a de métaux-lourds dans le corps, moins il y a besoin de prendre chélateurs en grosses quantités.
    Le flux de sortie doit être faible, il n’est donc pas judicieux de commencer avec les valeurs plafonds.
    Il convient donc d'apprécier l'opportunité, les paramètres intensifs et les valeurs élevées de cette méthode avec discernement.
    C'est-à-dire, il est d'abord préférable de commencer avec de toutes petites doses, et ensuite augmenter par petits paliers s'il n'y a plus d'effet ( ni positifs, ni négatifs).
    Cependant, en dépit que je prends des doses élevées (1,5g de principe actif), la concentration est très faible : inférieure à 5g/l.
    Cette configuration est courante en herboristerie : forte doses mais à très faible concentration.
    Il faut comparer cela à une iv : 0,25g à 50g/l : très faible dose à forte concentration : on risque donc l'accident de concentration pour un bénéfice faible.
    Il est difficile de définir par quel chélateur commencer, cela dépend de l'intoxication de chacun, mais le dmsa est le plus prudent.
    Avec des chélassos, le risque est éloigné en espaçant la fréquence : une par semaine.
    Une alimentation riche en légumes préservera des risques et, au cas où, l'eau de quinton permettra de reminéraliser dans un délai imbattable.
    Par ordre de sécurité : Commencer les chélassos par de petites doses de Dmsa, puis augmenter les doses jusqu'au plafond, et enfin ajouter l'Edta.
    Ordonnancement :
    • Commencer avec des gélules (sans solution).
    • Si fin des effets positifs et négatifs : passer à la solution
    • Si fin des effets positifs et négatifs : passer à la solution + bain froid
    • Si fin des effets positifs et négatifs : passer à marche rapide & escaliers + solution + bain froid.

Solution.jpg
À gauche : Ingrédients ; à droite : avant et après.
Solution.jpg (103.71 Kio) Vu 26283 fois

  1. Pré-requis :
    • Être au meilleur de sa forme, pas de fatigue, pas de rhume, ...
    • les reins doivent être absolument fonctionnels - impératif.
    • Il faut être entrainé aux bains froids de façon à ce que la tension soit rétablie, cela devrait réduire les risques d'allergie en évitant les stases locales.
    • Il faut que les méthodes ordinaires et courantes de chélation orales aient cessé de produire des effets ( ni en bien ni en mal).
      L'extra doit être nettoyé au mieux pour que l'extra ne re-contamine pas l'intra.
    • Commencer avec les doses déjà tolérées et augmenter la dose si ça se passe bien.
    • La réforme alimentaires (légumes) aidera à conforter une réponse robuste de l'organisme face aux chélations.
      En cas de mal-bouffe (pizzas - coca - ...), la chélation va éliminer les rares et précieux minéraux physiologiques et donc provoquer un gros coup de barre qui se résout par une complémentation. Il faut au moins 3 semaines de réforme pour que la robustesse soit amorcée.
    • un unique petit jeûne de trois jours ne sera pas inutile, cela va aider la cellule s'administrer.
  2. Ingrédients :
    1. Voir la photo
    2. Bouteille 1 litre d'eau minérale (Volvic ou Roucous)
    3. Balance de précision :
    4. jusqu'à 1 gramme d'edta (ici : 4 gélules).
    5. Bicarbonate de soude alimentaire
    6. Gingembre (optionnel)
    7. Casserole d'eau chaude (l'eau chaude du robinet convient).
    8. 1 à 2 coupes, 1 touillette
  3. Préparation :
    1. Placer la bouteille d'eau dans le bain-marie.
    2. Ouvrir les gélules (Edta), placer le contenu des gélules dans une coupe (jeter la capsule). - Voir Variantes (plus bas) pour les chélateurs.
    3. Avec l'edta, ajouter 3 grammes de bicarbonate de soude.
    4. Ajouter 4 grammes d'eau.
    5. Touiller un peu de façon à faire une pâte onctueuse
    6. Ajouter un peu d'eau pour diluer.
    7. Verser le contenu de la préparation dans la bouteille d'eau - secouer.
    8. Pour les personnes qui ne peuvent pas faire de sport, ajouter une préparation de gingembre pour provoquer une vasodilatation - voir paragraphe afférent plus bas.
    9. Voir la photo de droite (après) pour le résultat.
    10. Température de la solution : environ 40°c.
      Cette température aide l'eau à pénétrer rapidement dans le sang.
      Cette préparation est équivalente à une iv sans fil. [img]images/icones/icon15.gif[/img]
  4. Application chronométrée (indicatif à quelques minutes près) :
    1. Être à jeun - impératif.
    2. à t=0 minutes, Boire la solution en un quart d'heure environ. [img]smile/kneu_drink.gif[/img] [img]kator/smiley54.gif[/img]
      Avec l"edta, ça n'a pas de goût, il n' y a donc pas de difficulté pour l'ingérer.
      J'ai l'estomac un peu lourd, mais ça passe rapidement.
      J'ai aussi un peu chaud à la tête, avec une petite transpiration, mais ça passe rapidement.
      C'est bon signe, c'est que l'eau est enfin ingérée dans le système circulant.
    3. à t=20m, Douche alternée, chaud, froid, chaud, froid.
      La douche alternée permet de rentrer dans le bain froid sans aucune difficulté.
    4. à t=30m, Bain froid, 15°c, 15 minutes.
      Les membres n'ont pas besoin d'être dans l'eau, voir post afférent.
      Il ne faut donc pas prendre trop de retard sur cette étape car 50% de l'edta a été traité par les reins en une heure.
      Il faut également laisser le temps à la solution de passer dans le sang - 15 minutes après la fin de l'ingestion semble un maximum.
      Le bain froid va faire que le chélateur va foisonner et percoler en profondeur grâce à la mise en forte activité des capillaires.
    5. t=45m, sortie du bain (15 minutes de bain froid - la règle est une minute par degré, 15°=15m environ).
      Mais plus la durée du bain est longue, plus la chélation sera profonde.
    6. Pour les personnes capables de faire des activités physiques intenses, voir le paragraphe "Esacliers" dans un des posts suivants.
  5. Périodicité : C'est à chacun de trouver sa périodicité.
    • 1 x par semaine maximum avec un régime riche en légumes.
      Pour info, en clinique, c’est 1 x toutes les mois ( ou toutes les 3 semaines max) pour le grand public.
      • Se re-minéraliser (légumes ou compléments multi-minéraux) entre 2 séances,
      • Laisser les métaux-lourds sortir de l'intra entre 2 séances.
      • C'est le moment de faire tourner la machine à jus de légumes.
      • ou Eau de Quinton 24h pour prévenir ou guérir de la déminéralisation.
  6. Variantes de chélateur
    • Commencer les chelassos par de petites doses de Dmsa, augmenter et ajouter l'Edta.
    • Dmsa : 0,5 à 0,7g, BCS : 1g facultatif
      Y'a un p'tit goût soufré mais c'est bcp moins difficile qu'une purge yogique.
      Cependant, il est possible que l'Edta seul soit suffisant pour bon nombre de cas.
    • Edta & Dmsa : 0,75g et 0,4g respectivement, + 2,5g de BCS . Prix : 2,99e.
      Ces valeurs sont un point d'arrivée et non un point de départ.
      Cette variante est devenue mon protocole standard (sauf pour la température du bain qui varie de 10 à 15° selon les saisons).
      Je recommande cette variante afin d'ouvrir le spectre de produits chélatés, sans trop risquer d'allergie.
      Pour info : Le dmsa est le produit de repli en cas d'allergie au dmps.
      Mais avec ces chélassos de dmsa/edta, j'ai plus d'effet qu'une iv de Dmps, et de plus, le prix du dmsa est imbattable par rapport au dmps.
  7. Adaptation pour les enfants
      Voici quelques valeurs indicatives pour les enfants ( - svp, à faire impérativement valider par un médecin).
      HAS-SANTÉ a écrit:Poids Dose (DMSA)
      • 8 – 15 kg 100 mg / dose
      • 16 – 23 kg 200 mg / dose
      • 24 – 34 kg 300 mg / dose
      • 35 – 44 kg 400 mg / dose
      • > 45 kg 500 mg / dose
      source

      Volume d'eau pour diluer 100 mg (=0,1g) de dmsa par tranches : 50ml (=0,05l).
      Dans 50ml, on peut ajouter 0,05g d'edta et 0,15g de BCS.
      Il est fortement possible que cette solution soit quand-même un peu efficace dans un court bain frais (5' à 20°c).
  8. Variante sportive de haute intensité pour décalaminer le cerveau : monter des escaliers, voir paragraphe afférent plus bas.
      Paragraphe en attente
  9. Analyses médicales d'urines dans le laboratoire du coin de la rue..
    • Prélèvement 1h30 après la sortie du bain (soit 2h après l'ingestion).
    • Donner un échantillon au laboratoire pour analyses en vérifiant que la méthode d'analyse soit la spectrométrie de masse - ajouter la créatinine.
      À titre indicatif, les résultats doivent être comparées aux références du laboratoire Microtrace (et non avec les références courantes).
      References MTM.pdf
      Copie PDF du lien, exemple d'analyse MTM.
      (664.87 Kio) Téléchargé 384 fois

      Voir posts suivants pour bcp plus de détails.
  10. Prix
      Chez mon fournisseur, le dmsa (6e/g) est dix fois plus cher que l'edta (0,6e/g).
      Donc, même si l'edta était un peu moins performant que l'edta, il demeure très intéressant.
      Le Dmps toune autour de 100e le gramme ; waou, si je peux me débrouiller sans, ça sera pas plus mal.
      le zn-dtpa tournerait autour de 7e/g mais ça n'a pas l'air facile de s'en procurer.
      L'Edta et le dmsa semblent donc les 2 seuls produits courants et pas trop chers.
Dernière édition par Sophocle le Mer 22 Jan 2020 19:15, édité 9 fois.
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Théorie des Chélassos

Messagede Sophocle » Ven 4 Oct 2019 15:06

Éléments préparatoires avec Edta -11 sept
    Bouteille d'eau minérale d'un litre,
    dilution de bicarbonatede soude (max : 87g/l) de façon à maintenir un ph de 8.
    Dilution par mélange d'edta tant qu'il n'y a pas de dépôt (dose encore à définir).
    A boire totalement à jeun ( au moins 4h après un repas) car l'eau passerait directement dans le sang (sans être en contact de l'acidité de l'estomac).
    Puis bain froid - ou je devrais aussi envisager une douche hyper-thermique de façon à ouvrir les capillaires de la peau.
    Pour le dosage des principes actifs, je me suis aligné sur les dosages en iv.

Autres éléments
    Il faut aussi tenir compte de la concentration du sang (10g/l) de façon à ce que l'eau rentre dans la circulation sanguine.
    L'ensemble des électrolytes (bicarb. soud + Edta) doivent donc être inférieurs à 10 g/l
    Eaux : Rouscous ou Volvic pour minimiser les électrolytes de façon a maximiser la dose de chélateur.
    Il faudra peut-être boire un bon litre d'eau pour que quelques grammes de chélateurs passent dans le sang.
    le pH du sang est à 7,4 et son volume est à 5l environ, un bon litre d'eau ingérée n'est pas inutile pour limiter l'effet tampon du sang.

Eau du robinet
    pH non relevé, de mémoire : 6.
    Tout l'edta en poudre se transforme en écume au dessus de l'eau, pas d'edta en suspension dans l'eau.
    J'ai beau mélanger avec le touilleur électrique, y'a rien a faire : tout l'edta se reforme en écume aussitôt.

Premier essai de solubilisation
    Eau : Mont Rouscous, ou volvic, 1 litre,
    ces eaux réduisent les électrolytes en concurrence au strict minimum.
    BCS : Bicarbonate de soude
      BCS : 0g ; Edta : 0g : pH=5,85 sur documentation)
      BCS : 1g ; Edta : 0g, pH=7,5
      BCS : 2g ; Edta : 0g, pH=8
      BCS : 2g ; 4 gélules, pH=7 - y'a pas mal de poudre en suspension mais y'a aussi une part significative de poudre en écume.
      BCS : 4g ; 4 gélules, pH=7,5 - bonne suspension et -50% de poudre en écume par rapport à la ligne précédente.
      Il parait qu'il faut bien mélanger et laisser l'edta se diluer pendant 15 min mini.

    Le pH du sang est à 7,4, cette concomitance est la bien-venue.
    Elle suppose une stabilité de la préparation.
    Une part de l'edta ingérée demeurera donc en suspension.
    Il faut vraiment être à jeun pour maximiser la stabilité de la solution pendant tout le processus d'ingestion.
    L'intérêt de cette préparation :
    1 : c'est que l'edta soit déjà en suspension de façon à le faire passer intégralement et très rapidement dans le sang,
    2 : puis d'activer les capillaires par le bain froid de façon à foisonner et percoler en profondeur.
    Tout doit se faire en un flash de quelques dizaines de minutes.
    Pour aider au transfert de l'eau dans le sang, je ferai une petite déshydratation depuis la veille au soir de façon à augmenter la force osmotique.

Dosage électrolytes
    Moins il y a d'électrolytes, plus l'eau passe très rapidement dans le sang.
    A partir de 10g/l, il n'y a pas d'échange d'eau entre l'intestin et le sang.
    au dessus de 10 g/l, l'eau des intestins (et du sang à retardement) passe dans la lumière de l'intestin, c'est donc vain.
    4g de BCS et 4 gélules, ça fait 8g, c'est trop près de 10 g/l.
    Pour l'instant, je table sur BCS : 2g et 2 gélules.
    Dans les perfusions d'edta, il y a 1 gramme d'edta ; si 1g d'edta de ma préparation passe dans le sang, ce serait déjà un exploit.
    Je ne donc suis donc pas trop inquiet de mon dosage.
    C'est plutôt le taux de passage dans le sang qui me semble très aléatoire.
    Voila pour la théorie, il est temps de passer au bain d'essai.

Edit - Nouveaux éléments - 12 sept 2019. [img]kator/smiley252.gif[/img]
  • La température aiderait à une meilleure dissolution de l'Edta.
    25°c seraient préférable à 20°, je vais donc un peu chauffer la solution...
    Cela m'arrange car je voudrait baisser le volume d'eau à ingérer ( 1litre d'un coup ça fait bcp)...
    1g d'edta me suffit pour l'instant - pas la peine de forcer ...
  • Coup de théâtre : la valeur osmotique ne se calcule pas en g/l mais en osmoles/l.
    Je m'en doutais depuis un moment, - c'est encore un coup du complot des médecins. [img]kator/smiley102.gif[/img]
    C'est le 10g/l du sel de cuisine qui m'a enduit d'erreur...
    10g/l de NaCl sont certes équivalents aux 0,3 Osmoles par litre du sang.
    Mais la pression changerait selon le PM (poids moléculaire) des éléments et par le nombre de particules.
    PM NaCl : 60 g/l = 1 mol/l = 2 Osmoles/l ; Particules : 2 (1Na & 1 Cl).
    10g de NaCl dans 1 litre d'eau = 0,3 osmoles /l = 300 mOsm/l (équivalent aux 300 mOsm du sang) - isotonie (pas de mouvement d'eau).
    BCS : 2 particules a activité osmotique ( 1HCO3 & 1Na), mais PM : 88g/l = 1mol/l = 2 osmoles/l.
    1 osm/l = 44 g/l pour le BCS
    isotonie du sang : 300 mOsm = 13,2 g/l de BCS (cela est un peu différent des 10g/l du NaCl).
    Contrairement en sel de cuisine, on devrait donc mettre un peu plus de BCS pour parvenir à l'isotonie.
    2g de BCS dans 1 litre d'eau est donc égale à 44 mOsm/l (=15% du sang).
    J'ignore si l'edta pur participe à à la pression osmotique - à vérifier -.
    Dans le doute, je le comptabilise quand-même.
    Je nie les 2 autres composés présents dans la poudre (gomme acacia et farine de riz) et je fais comme s'il s'agissait de poudre d'edta pur.
    PM edta : 292g/l, particules : 1.
    1 mol/l = 292 g/l = 1osmole/l.
    1g d'edta pur dans un litre d'eau = 1/292 Osm/l = 3,4 mOsm/l.
    Cette très faible valeur est une très bonne nouvelle : la vitesse de pénétration de l'eau dans le sang ne sera pas ralentie par ce gramme de soluté.
    je pourrai donc augmenter un peu la dose de BCS pour bien dissoudre l'edta.

Minéraux physiologiques - édit
  • Les minéraux physiologiques vont être également éliminés par l'edta, Ca2+, Mg2+, Zn2+, ...
    Je vais augmenter ma dose de légumes et de raisin au quotidienne dont la salade verte pour le calcium.
  • J'ai comme une légère fatigue ; si cela persistait, j'envisagerait une supplémentation en multi-vitamines et multi-minéraux.
    Il serait aussi judicieux de réduire la fréquence de ces chélations à 1 fois tous les 2/3 jours de façon à préserver le capital en ions physiologique et à laisser le temps aux métaux-lourds de diffuser de l'intra vers l'extra après nettoyage de l'extra.

Bibliothèque de notes.
    Pour ouvrir des champs ultérieurement, je note ici quelques pistes de réflexions connexes.
    Teintures mères : coriandre, ail des ours.
    Poudres (gélules) : ALA, DMSA, MSM.
    Je recommencerai ces expériences avec le dmsa.
    Il serait intéressant de diluer les teintures mères dans une solution aqueuse sans qu'il y ait un rétablissement à retardement des phases .
    Il faudrait donc un équivalent à l'huile de ricin sulfatée qui soit ingérable.
    La cure Clark préconise du msm, mais j'ai cru comprendre ce msm étaient utile pour pallier à la carence de souffre de façon à ce que les chélateurs ne soit pas métabolisé.
    J'ai un vague souvenir que la chlorelle demeure dans les intestins pour fixer les ml, elle ne passerait très peu dans le sang.

Edta 15 sept
    Sur l'étiquette du produit que je dispose,
    3 éléments sont annoncés : Edta (250mg), Gomme d'acacia et farine de riz.
    La gélule en elle-même est dite végétale, mais il me semble qu'elle ne rentre pas dans la composition annoncée.
    Toute la poudre contenue de la gélule pèse 500mg.
    En recoupant les infos : le contenu d'1 gélule = 250mg d'Edta pur + 250mg de gomme d'acacia et de farine de riz.
    Il y a donc 50% de poudre qui n'est pas de l'edta.
    Cela peut expliquer les résidus et la petite mousse en dépit du pH8.
    La petite mousse et le petit résidu dans le fond de ma solution sont peut-être la farine de riz et la gomme d'acacia - espérons-le.
    Dans un litre d'eau à 40°, je pourrai donc mettre 4 gélules de façon à obtenir 1g d'edta pur.
    Il n'est pas possible de séparer les 3 éléments.
    Il n'est donc pas possible de dire quels sont les éléments qui ne sont pas dissous dans ma solution.


DMSA - 17 sept
    Quelques notes préalables chinées sur internet :
      Solubilité du dmsa : 2,4 mg/ml (=2,4g/l).
      dosage : 10mg/kg par oral, 1,8g max/jour, 500mg max par dose.
    J'ai testé le dmsa avec le même protocole que l'edta (solubilisation à chaud, puis bain froid).
    Dose : 3 gélules de dmsa (=300mg de dmsa pur) et 1g de BCS.
    Volume d'eau : 125 ml en théorie mais j'ai maintenu une solution d'un litre.
    Y'a certes un petit goût soufré, mais c'est pas la mer à boire.
    Il n'y a pas d'effet éclatant au premier bain mais il n'y a pas eu de symptôme négatifs.
    En tout cas, ça bouge un peu à l'intérieur, j'ai une légère fatigue de type déminéralisation.
    Je ferai un petit bilan des effets après une petite série de séances.
    Les urines sentent le souffre conformément aux indications du dmsa.

Chélasso. Baptême de la méthode
    Ce qui n’a pas de nom n’existe pas.
    Je vais donc donner un nom à cette méthode : “La chélasso”, en attende de mieux.
    C’est un mix entre Chélation et Talasso.


Documentation technique
  • À la page 19 de ce topic, une traduction (en ligne) d'un livre très technique est disponible : Thérapie de chélation - le traitement intoxication des ml (posts en rouge).
    En croisant les chapitres, on peut se faire un avis sur les métaux et sur les chélateurs.
    Le dmps passe pour le chélateur le plus performant sur le plan efficacité/risque.
    Le dmsa passe pour un chélateur le moins risqué mais assez performant.
    L'edta passe pour un chélateur obsolète à cause des effets secondaires.
    En parallèle de ce post, je fais une petite analyse de cette documentation.
    Cette analyse est/sera disponible à fin de cette documentation (bas de la page 19).

  • Avec mon test de provocation au dmps, je sais que je suis intoxiqué au mercure, plomb, arsenic, et au cuivre.
    • 4.4.3 - Arsenic. Dmps > dmsa.
    • 4.10.13 - Cuivre. le DPA, le TETA, le DMSA et le DMPS sont tous des antidotes potentiels.
    • 4.14.3 - Plomb, le dmsa est recommandé.
    • 4.16.13 - Mercure. Dmps > dmsa.

Dmsa et Edta en première intention, Dmps en seconde intention.
  • Sur Microtrace.fr, il est suggéré que les mix de chélateurs ne sont pas vraiment pertinents.
    En dépit que l'edta seul avait quand-même quelques petits effets intéressant sur moi, je vais donc tester le dmsa tout seul à la prochaine séance.
    Selon la documentation alpha, le dmps semble très séduisant. Mais il est très cher.
    Le couplage Edta + dmsa y est évoqué comme pratique de chélation.
    Il y a donc des opportunités pour ce mix de chelateurs.
    Tant que le dmsa et l'edta me procurent des effets, le dmps ne me semble pas intéressant, cependant il me faut être très vigilant sur les effets secondaires de l'edta.
    Cependant, avec le bain froid, le dmsa ou l'edta en chélasso semblent quand-même rivaliser avec une simple iv de dmps.


Vaso-dilatation - Gingembre - Alternative pour les personnes qui ne peuvent pas faire de sport de façon à faire pulser le cerveau.
    Pour augmenter la diffusion dans le snc, il est possible d'ajouterai un produit vaso-dilatatoire.
    Cela peut se faire en ajoutant du gingembre dans la solution à boire.
    Préparation : gingembre frais, taille d'une grosse noix, râper, placer le gingembre râpé dans un verre d'eau, filtrer - ajouter à la solution.
Dernière édition par Sophocle le Ven 25 Oct 2019 12:47, édité 2 fois.
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Pratique des Chélassos

Messagede Sophocle » Ven 4 Oct 2019 15:06

1ere séance - 12 sept.
    Je sors du bain froid, 15°, 25 minutes.
    Auparavant, j'ai bu la solution en 10 minutes (1litre ; 3 gélules (=,750g d'edta pur) ; 4 g BCS) chauffé à 40°.
    J'ai encore des progrès à faire pour obtenir une belle solution homogène car il y a un peu de dépot dans le fond.
    Il m'a fallu 15 min pour qu'elle passe.
    Il est encore trop tôt pour dire s'il y a un effet, mais y'a aucun symptôme négatif.
    Je compte faire une série de 4 bains froids.

2eme Séance. - 13 sept
    Il me semble qu'il y a un léger mieux au niveau des céphalées mais c'est peut-être une petite illusion liée à l'espoir (effet placébo).
    Pour la solution, j'ai mélangé 2g de BCS et 1 gélule d'edta (=250mg d'edta pur) puis versé un peu d'eau de façon à faire une pâte onctueuse.
    Ce se dissous bcp mieux, mais ce n'est pas encore la panacée.

3eme Séance - 15 sept.
    2g de BCS + 2 gélules (=0,5g d'edta pur).
    B.F. 15°, 20 minutes.
    il me semble qu'il y ait encore une toute petite amélioration au niveau des céphalées (placébo?).
    Mais elle est bcp trop petite pour que je sois catégorique avec moi-même, je doute encore.
    Cependant, je suis très conforté pour poursuivre cette expérience.


Prochaine séance
    Remarque : si je prends une douche alternée (chaud, froid, chaud, froid) juste avant le bain froid, je rentre dans le bain froid sans aucun inconfort.
    Je prévois 4 gélules de façon à obtenir 1 gramme d'edta pur à diluer dans l'eau (voir paragraphe ci-dessus sur la composition des gélules).
    Je bois le litre de solution en 10-15 minutes, et j'attends 10 à 25 minutes avant de rentrer dans le bain de façon.
    il y a donc 30min à 45 min entre le moment où je commence à boire la solution et l'entrée dans le bain froid.
    L'inrs a écrit:
    • Les sels de l'EDTA étudiés sont peu absorbés, par voie orale.
    • L’EDTA n’est pratiquement pas métabolisé par l’homme et est rapidement excrété dans l’urine (environ 50 % d’une dose administrée par voie intraveineuse sont excrétés en 1 heure et 90 % en 7 heures). - Source

    Il faut donc maximiser l'absorption et maximiser l'activité des capillaires en un temps record.
    Tout se joue en quelques dizaines de minutes.


16 sept.
    Mon petit rite est rodé.
    Il n'est pas possible de me faire un avis en une seule séance, mais j'ai quand-même quelques petits soulagements au niveau des céphalées et de l'épaule après 4 séances.
    Il est encore trop tôt pour attribuer ces soulagements à cette technique, mais je suis motivé pour persévérer.
    J'ai eu quelques retours de céphalées, les améliorations sont une tendance sans être durable.
    il faut que je prenne patience pour faire le partage des éventuels bénéfices.
    Il est encore bcp trop tôt pour que me fasse un avis sur les résultats de cette technique.
    En comparaison, les améliorations après l'iv et le bain froid étaient franches et nettes.
    Les iv sont redoutablement efficaces, mais elles sont trop peu fréquentes.
    Il faut que je répète cette technique encore quelques semaines pour faire un avis consolidé.
    Patience...
    Je vais bientôt tester le dmsa, il y aura peut-être de meilleurs résultats car le dmsa est plus compatible avec mon intoxication.


6ème séance, fort dosage, 18 sept - 7ème jour.
    Edta : 1g (4gélules) + Dmsa : 0,5g (5 gélules) ; BCS : 3g ; BF : 15',15°.
    le dmsa et l'edta ne partagent pas les mêmes fonctions chélatrices (thiols), leur association est peut-être pertinente - voir cet article sur microtrace.
    Je baisserai un peu leur dosage respectif pour ne pas dépasse le plafon de chélation.
    Le mélange de dmsa et de BCS ont donné lieu à un effet effervescent - touiller et attendre que ça passe.
    ça fait beaucoup de poudre, mais c'est passé sans difficulté.
    En séance : ça ne s'est déroulé ni mieux, ni moins bien que l'edta tout seul, ou le dmsa tout seul.
    La concentration ne semble pas trop élevée de façon à ce que l'effet d'osmose ait quand-même un peu lieu.
    Par contre le mélange est intéressant pour ouvrir un large spectre d'éléments chélatés à chaque séance.
    Mais plus on met de poudre, moins elle passe rapidement par baisse du différentiel osmotique entre le sang et entre la solution.
    Peut-être faut-il diviser les doses respectives par 2 de façon à conforter la force osmotique ? - à voir ultérieurement.
    Cependant, il est peut-être préférable de prolonger la durée du bain au delà de 15 minutes afin de prolonger la durée d'une percolation intense.
    Le levier de profondeur de chélation est plutôt couplé à la durée du bain froid qu'à la dose de chélateur.


... Victoire [img]kator/smiley145.gif[/img]
    4h après le bain froid, de légers effets francs et nets se font sentir sur les céphalées.
    Là, je peux enfin me dire que les chélateurs jouent leur rôle.
    Une iv seule de dmps n'a jamais produit autant d'effets éclatants.
    Je lève donc mon doute de placébo bien qu'il soit possible que l'effet placébo soit possiblement responsable de 50% des apparences d'améliorations.
    J'acte donc l'efficacité de cette méthode sur le snc.
    Selon ces nouveaux éléments, mon problème était jusqu'ici une difficulté du chélateur à accéder aux tissus profonds.
    Dans mon cas, le franchissement du chélateur dans l'intra de la cellule ne semblerait donc pas indispensable.
    Le relargage des ml à retardement semble suffisant pour nettoyer les tissus profonds par de multiples passes de cette méthode.
    Si les améliorations cessaient, j'essayerai avec l'ALA.
    Pour l'instant, je suis dans une phase de traitement intense tant qu'il y a des progrès.
    Je pense qu'il faudra que j'adopterai une fréquence périodique (2x le we) à terme de façon à laisser du temps à la déplétion.


7ème séance - 19 sept.
    Mêmes paramètres que la précédente séance.
    RAS pendant la séance.
    3h après la fin de la séance, quelques petites améliorations apparaissent.
    6h après, les améliorations semblent moins importantes que la veille.
    Mes premières projections de tendance me suggèrent que tous mes symptômes ne seront pas résolus.
    Mais peut-être que des applications chroniques permettront de désintoxiquer en profondeur grâce au relargage à retardement.
    Avec les iv, le relargage à lieu 36h après la séance.
    J'envisage donc prochainement de ralentir le rythme à une fois tous les 2 jours.


22 sept, nouvelle séance - 8ème séance
  • 1g d'edta, 0,5g de dmsa. bf 15' 15°- valeurs que j'établis comme valeurs de références
    Légère amélioration comme une pelure d’oignon - pourvu que ça dure.
    Je me sens mieux au niveau du buste, moins de fatigue mais pas trop de changements quant aux céphalées. :ouin:
    Pas de symptômes négatifs.
    Je suis conforté de continuer au rythme de 2 à 3 séances par semaine.
    Il faut quand même que je surveille cette histoire de calcium de près.
    Il est difficile de trouver une étude bien calibrée sur le sujet, chélateurs, affinités, réponses, comparaisons, ...
  • Petite déplétion au réveil du lendemain. - 23 sept.
    Pour l'instant, je tiens le bon bout - pourvu que ça dure. [img]images/icones/icon10.gif[/img]
    Mon estimation de tendance me permet d'espérer une détox intégrale à moyen-terme.
    Je pourrai peut-être échapper aux longs bains glacés pour récurer en profondeur. [img]images/icones/icon13.gif[/img]
    Encore une fois, je vois le bout du tunnel. [img]smile/rosebud.gif[/img] - espérons que cette fois-ci sera la bonne.
    Mais je dois être prudent et patient pour ne pas faire un accident de détox. :/ - je croise les doigts.
    Je compte consommer une salade par jour pour bien faire le plein de calcium bio-disponible.


Séance de Dmsa seul & Effet Placébo - 24 sept. - 9ème séance
    Dmsa : 0.5g, BCS : 1.5g ; bf : 15°, 15'.
    Le goût est certes fort mais contrairement à l'edta, y'a pas de lourdeur au niveau de l'estomac.
    Il me semble bien qu'il y a des améliorations au niveau des céphalées, elle ne sont certes pas franches et nettes mais j'ai bien ressenti de petits soulagements.
    Comme la demi-vie du dmsa est de quatre heures, j'ai donc tardé à prendre le bf.
    Il m'a semblé que quelques améliorations se présentaient déjà avant même d'avoir pris le bf.
    J'ai donc senti de petites améliorations alors que je ne m'y attendais pas.
    Y eusse-t-il eu un effet placébo ?
    L'eau de Lourdes étant à 12°c, on ne peut que s'immerger dans les méandres de l'effet placébo.
    Dans La Tempête (trad. Hugo), Shakespeare a écrit:Nous sommes de l’étoffe dont sont faits les rêves,
    et notre petite vie est enveloppée dans un somme…
    [img]smile/joker.gif[/img]

    Comme je ne m'attendais pas à ces améliorations, l'effet placébo devait-il intervenir dans ces circonstances ? - Non.
    Placébo ou pas, les chélateurs ont fait l'taf, les symptômes des métaux-lourds s'effacent peu-à-peu et successivement comme à coups de baguettes magiques.
    De plus, pour les frileux, la chélasso pourrait être suffisamment efficace sans bain froid.
    [img]kator/smiley120.gif[/img] [img]kator/smiley120.gif[/img] [img]kator/smiley120.gif[/img]

Séances 10,11 : RAS
Séance 12 : voir paragraphe "Escalier" du post suivant.

13ème scéance - 10 oct.
    Petit soulagement des céphalées sur le moment.
    Projet d'analyses du cuivre avant/après. ... - reporté à la prochaine chélasso.
    5h après la fin de la séance, je confirme une amélioration qui me donne confiance en la méthode, - mais j'appréhende une éventuelle déminéralisation dans les heures à venir.
    Je ne suis pas inquiet pour ma santé mais la déminéralisation est un mauvais moment à passer.
    En dix jours de chélassos, 1 fois par jour, j'ai dépassé la dose médicale de 10 à 20 fois.
    Les statistiques auraient voulu que je sois très exposé à un accident de chélation.
    J'attribue ma robustesse à la réforme alimentaire, aux marches et aux bains froids que j'ai pratiqué régulièrement pendant les mois/années précédent(e)s.
    (suite en attente).
    ...24h après la séance, pas de déminéralisation. Je table donc sur 2 chélassos par semaine max, et je prends les compléments (multiminéraux- zinc - calcium) les jours où je ne fais pas de chélassos.
    ...Les améliorations ne me semblent pas folichonnes, je vais recommencer une analyse de plomb à la prochaine chélasso.
    S'il était possible de faire des analyses de chaque métal à chaque chélasso, ce serait top...

Pointage des chélassos
Dernière édition par Sophocle le Sam 26 Oct 2019 16:47, édité 7 fois.
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Sophocle

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Chélassos : Clinique, analyses, inclassables

Messagede Sophocle » Ven 4 Oct 2019 15:06

:sleep:

Symptômes
  • J’ai quelques progrès au niveau de la cognition.
    J’ai un peu de fatigue et je me sens un peu lourd au niveau du tronc, ces symptômes sont apparus depuis le 4ème jour.
    Pour l’instant c’est peu gênant et peu inquiétant, mais c’est l’aspect intermittent qui m’interpelle, ça va et ça vient.
    Il y a deux hypothèses : déminéralisation et/ou redépose. - Wait and see.
    Il n’est pas encore temps de mettre en place une fenêtre thérapeutique pour examiner l’évolution.
    Mais, ça veut dire que les chélateurs passent bien dans le sang ; ça, c’est une très bonne nouvelle.
  • J'ai un léger goût acre dans la bouche, ça apparait 12h après la séance et ça disparait. Résolution par BBS.
  • Au 7ème jour, la fatigue liée aux séances a totalement disparu.
  • J'ai une drôle de sensation à l'épaule : j'ai l'alerte de la douleur sans la douleur.
    C'est comme le syndrome du membre manquant mais avec la douleur qui m'accompagné pendant un an.
    C'est le syndrome de la douleur manquante.
    La, les très honorables médecins français ont de quoi me caser en asile.
  • Pas trop d'effet sur les picotements. - j'envisage un sauna après le BF pour voir si ça peut aider sur ce symptôme-ci.
  • 22sept - Électro-sensibilité et (in)tolérance gluten & lait inchangées. idem acouphènes.
  • J’ai quand-même une douleur au centre du cerveau qui résiste au traitement.
    Elle me promet de longues séries de séances pour m’en débarrasser.
  • Parfois, j’ai un meilleur sommeil.
    Je n’ai plus besoin de faire occasionnellement une petite sieste.
  • 8 oct. je tolère un peu mieux le gluten.
  • Récemment, après chaque chélasso, j'ai une baisse de céphalées puis un petit retours de céphalées que j'attribue au rebond.
  • 15 oct. Les pb de digestion de la caséine sont en voie de résolution. - reconfirmé le 17 oct.
    J'ai mangé une baguette et un vacherin, et c'est passé comme une lettre à la poste.
    Les chélassos ont donc terminé le travail que les purges yogiques avaient commencé.
  • 2 nov : baisse de l'ehs, 3 nuits sans couper le disjoncteur avec 50% des symptômes de 2 nuits avant les chélassos.
    Grosso modo, l'ehs aurait baissé de 70% en 16 séances (les céphalées ont également bien baissées).
    Dégrossissement d'un calcul, : (100-x)^16=0,30 ; x=7% : A chaque chélasso, je perdrais 7% d'ehs, ou 7% de ml. ça semble un peu fort mais plausible.
    J'arrondis à 5% pour faire un chiffre prudent, rond et pas trop déconnant avec ce que je ressens.
    Ce sont les mêmes vitesses que pour une déshydratation (dont j'ai déjà fait les calculs Modélisation de la détox et Simulation prévisionnelle).
    • Pour diviser les ml par 2, il faudrait 4 mois (15 séances) avec une chélasso hebdomadaire,
    • Pour diviser les ml par 10, il faudrait 1 an (50 séances) avec une chélasso hebdomadaire.
    La différence entre les chélassos et les déshydratations, c'est que les chélassos sont plus faciles, plus rapides et sans effets accumulatifs.
    Il y a un risque de déminéralisation ponctuelle qui se prévient durablement avec les pratiques de bonne santé : légumes (éventuellement en jus), bains froids, eau de quinton.
    Les compléments alimentaires sont un roue de secours +/- fiable mais ils peuvent fournir un flash salvateur - évitez d'avoir à compter dessus, cela est risqué.
    - Ça fait deux chélasso que je fais sans bain froid or les bénéfices ne sont pas aussi forts qu'attendus (hors placébo)
  • ...


Bilan d’étape - 20,21 sept
  • ... fatigue; goût acre dans la bouche, et baisse des améliorations, je fais une pause.
    En une semaine, je me suis envoyé une sacrée dose de chélateurs.
    Je n'ai jamais fait autant de progrès en un seul coup.
    Les améliorations sont là mais une répétition quotidienne à forte dose ne mènera pas à la rémission.
    J’ai encore du chemin à parcourir.
    Je vais ralentir les séances pour voir si ça n’est pas autant efficient mais avec moins d’efforts.
  • ...ces premières séances ont été autant efficaces que plusieurs iv+bf.
    L’équilibre n’est pas encore atteint.
    Je dois encore m’habituer au nouvel état pour mieux le cerner.
    Les progrès ont été significativement rapides.
    Il me semble qu’il est temps que j’attende qu’un nouvel équilibre se consolide.
    Je vais donc faire quelques longues marches pour voir si ça n’aide pas obtenir ce nouvel équilibre.
    Pour l’instant, il me semble d’avoir résolu 10% des maux de tête (après correction de l'effet placébo dû à l'espoir de guérison tant attendu depuis des années).
    Une fois, je suis me surpris à ne pas avoir mal à la tête au réveil (c'est un moment de référence déterminant pour la tendance très longue).
  • ...Prix total de la séance : 2,99 e.
    Selon la page wiki de l'effet placébo, l'effet ressenti du médicament est relatif à son prix.
    Par voie de conséquence, l'effet réel devrait être bien plus fort que celui que j'ai ressenti... [img]images/icones/icon15.gif[/img] [img]images/icones/icon15.gif[/img] [img]images/icones/icon15.gif[/img]
  • ...Il y a encore deux leviers pour curer en profondeur, durée et température du bain.
    y'a une époque, je tenais 30' à 9°( température de l'eau du robinet en période hivernale).
    Il faudrait que je répète ces chélassos dans ces conditions-ci, brrr. :gla:
  • Réflexion, les prochaines séances seront espacées, mais je vais tenter d’allonger le bain froid jusqu’à 30’.
  • ...21sept, comme pour l’iv, quelques améliorations se font sentir au réveil du surlendemain.
    J’attribue cela à la déplétion de l’intra à retardement après le nettoyage de l’extra.
    Autant attente toute la déplétion avant de recommencer une séance de façon à ramasser le max de ml.
    Selon mes retours, la bonne période entre 2 séances est donc de 48h mini.



Voici quelques infos chinées sur les newsletters de Microtrace :
  • Desferal, déféroxamine : chélateur de l'aluminium
  • Pas la peine de sur-doser le chélateur, l'excrétion ne sera pas proportionnelle
  • Pas la peine de mélanger les chélateur aux propriétés thiols (dmps et dmsa)
  • Chélation du cuivre : dmps.
  • L'edta élimine beaucoup de calcium.
  • Les agents chélateurs semblent être plus efficaces dans un milieu légèrement alcalin.
  • Si j'ai bien compris, les os peuvent relarguer des ml jusqu'à 12 mois après les chélations.
    Il serait donc préférable de refaire un test de provocation un an après que des analyses ait été négatives.




Risques
    Le premier risque se situe au niveau de la déminéralisation de calcium.
    Le calcium est très majoritairement présent hors de la cellule.
    Mais il doit pouvoir rentrer dans la cellule pour activer un signal.
    Le dmsa est plutôt sûr, il est donc préféré pour les enfants.
    Mais l’edta possède une forte affinité avec le calcium.
    Le calcium est le premier mineral qui risque de manquer.
    Pour les personnes déjà fragiles, il y a donc un risque à pratiquer des séances rapprochées.
    J’ai donc dressé une liste de prérequis pour rappeler le contexte dans lequel je pratique tant de séances rapprochées.
    Des incidents sont rapportés, et il est difficile de trouver des statistiques et des analyses sur le contexte clinique.
    Il faut donc surveiller la fatigue comme le lait sur le feu.
    Il faudrait peut-être même disposer de calcium en cachets pour pallier à une baisse de tonus.
    Mais la prévention la plus efficace se fait avec la réforme alimentaire.
    Avec le sauna, j’ai déjà fait des déminéralisations mais sans épisode alarmant.
    La fatigue est arrassante et elle dure 2-3 jours.
    Je vais donc établir qu’une séance ne peut être tentée que si l’on est au meilleur de sa forme.
    Avec la réforme alimentaire, la fatigue est un signe avant coureur qui indique qu’il faut suspendre les séances.



Analyses d’urines - généralités
  • Correction des valeurs par la créatinine - voir page test de provocation - information générales
    La valeur annoncée est en mcg/g créa.
    Chez Microtrace minéral (MTM), pour le même dosage de ml en mcg/l, la valeur en mcg/g créa peut varier du demi au double selon la valeur de créa.
    Si j'ai bien compris, cette correction permet d'enlever les aléas des volumes d'eau.
  • Comme d'habitude, le personnel du laboratoire du coin de la rue ne connait rien à l'intox chronique et aux chélateurs.
    Je commerce à comprendre que l'intoxication chronique est complètement en dehors des schémas mentaux du personnel médical.
    Cela fait de nombreuses fois que je me trouve face à des médecins ou biologistes qui sont complètement muets devant mon vocabulaire, dmps, ions complexés, chélation...
    Mes interlocuteurs se trouvent systématiquement dépossédés de leur compétence devant moi.
    Ils demeurent silencieux, et essaient de cacher leur manque de connaissance sur le sujet.
    C'est un aspect psychologique a tenir compte : le médecin perd son auréole devant un intoxiqué aux métaux-lourds...
  • Méthode Microtrace : Spectrométrie de Masse (MS) à plasma à couplage inductif (ICP-MS).
    Cette technique est une variante de la MS, elle permet d'abaisser significativement les seuils les détection.
    Même si les techniques sont un peu différentes entre mon labo et MTM, cela ne semble donc pas influer sur les résultats.
  • Les valeurs de références entre le labo fr. et MTM ne correspondent pas car le contexte clinique est très différent. - voir résultats un peu plus bas.
  • La première analyse devrait être faite chez MTM car il y a une formule de plusieurs dizaines de métaux pour 100e.
    Sur le site de Microtrace, on y trouve les formulaires, les protocoles, ... Prendre contact pour demander un kit.
    Par la suite, il suffit de vérifier les niveaux des métaux positifs chez le labo du coin de la rue...
  • Commande de matériel et du formulaire pour des analyses multi-métaux : test à domicile (sans médecin)

Analyses d’urines - Comparaison laboratoire français VS Microtrace. [img]kator/smiley252.gif[/img] - 25 sept.
  • Fait le 19 sept.
    traitement : 1g d'edta, 0,5g de dmsa dans un litre chaud, bain froid 15' à 15°.
    Prélèvement 1h30 après la sortie du bain (soit 2h après l'ingestion).
  • Je n'ai demandé que le plomb (20e) car le mercure et l'arsenic sont à 50e chacun.
    Cependant, je ne dois aussi surveiller le cuivre (pour mémoire, 15e env.) car il est suspecté de déclencher alzheimer.
  • Méthode standard chez mon labo de quartier (basé en France) : spectrométrie de masse.
    Résultats :
    le labo a écrit:Créatinine :
    • 4,72 mmol/L (réf : 9-21 mmol/24h)
    • 0,53 g/L (réf : 1,02-2,37 g/24h)
    Plomb :
    • 39 nmol/l (réf: inf. à 390 nmol/24h)
    • 8 mcg/l (réf : inf. à 80 mcg/24h)
    • [img]images/icones/icon2.gif[/img] 15 mcg/g créa (réf : inf. à 150 mcg/g créat)
      - Remarque anecdotique : ces analyses sont faites sur un échantillon et non sur 24h.
      - Les références sont fournies sur la feuille d'examen fournie par le labo.
      - le protocole du labo demandait à ce que l'échantillon soit prélevé en fin de poste.
      Cela suggère que ce protocole suppose une intoxication professionnelle suite à une exposition extérieure (travaux, pollution, incendie Notre-Dame, ...).
      Les valeurs de références sont donc établies pour des expositions extérieures récentes (inhalation, accidents, ...) et non pour des intoxications chroniques.

  • Historique :
    Microtarce a écrit:Créatinine :
    • 0,48g/L
    Plomb :
    • [img]images/icones/icon2.gif[/img] 16 mcg/g créa. - (dernière valeur du test de provocation, Iv dmps).
      Valeur de référence chez Microtrace : 5 mcg/g créa.
      Idem,
      - Remarque anecdotique : ces analyses sont faites sur un échantillon et non sur 24h.
      - Les références sont fournies sur la feuille d'examen fournie par MTM dans le cadre d'une exposition chronique.
      Le protocole complet de MTM demande de faire une analyse avant et après provocation de façon à faire un comparatif.

    Sans cadre professionnel, ce résultat est à titre indicatif car MTM demande à connaitre les chélateur et le mode d'administration.
    cependant, les valeurs de mon labo de quartier et les valeurs de Microtrace en mcg/g créa sont voisines.
    Au niveau des analyses, les chélassos rivalisent donc avec les iv.

Escaliers - 28 sept. nouveau programme d'activité physique de façon à faire le pulser les chélateurs à donf dans le cerveau (marche, solution, escaliers, bain froid)
    Au vu de la tendance, il me semble que les chélassos n'iront pas jusqu'au bout du récurage des ml en dépit des progrès significatifs que j'ai relevé depuis le début de ces séances.
    Par ailleurs, je me souviens que l'exercice physique de haute intensité fait pulser intensément le sang dans le cerveau.
    Cela est très marqué quand je suis en inflammation suite à deux nuits sans avoir coupé le disjoncteur.
    Si après deux nuits sans avoir coupé le disjoncteur, je fais une longue marche au cours de laquelle je grimpe une petite colline,
    j'ai remarqué que j'avais des sensations très douloureuses de l'arbre vasculaire dans l'intégralité du cerveau à chaque pulsation de sang et cela cesse entre deux pulsations rapprochées.
    L'organe est en inflammation discrète au repos, mais la vague de sang éveille de fortes céphalées.
    Je sens le cerveau pulser, boum boum, à chaque pulse comme un gueule de bois de intense, mais de période courte, intermittente, évanouissante et à la fréquence dictée par l'effort physique.
    C'est-à-dire que l'inflammation par l'electro-sensibilité prépare un terrain douloureux, certes silencieux au repos physique mais activable par de la marche sur du relief.
    Quand le corps envoie une grosse quantité de sang dans le cerveau, là ça douille pendant les quelques dixièmes de secondes à l'importun rythme où le sang est pulsé intensément dans le cerveau.
    Ces pulsations trés intenses ne se manifestent qu'après 30 minutes de marche rapide et à condition que je ponctue cette marche par la grimpette du seul sommet de mon presque plat pays.
    Demain, je fais un test : préparation dmsa, edta en iv sans fil, puis marche au sommet (et donc sans bf).
    Par de conséquence, en côte ascendante, les pulsations cérébrales sont très puissantes.
    Cela est intéressant pour y envoyer les chelateurs qui auront été ingérés juste auparavant.
    Il est intéressant de rappeler que, il y a quelques années, je tombais dans les pommes quand je montais trop de vite des escaliers.
    Dans le rapport de l'Anses, on retrouve le symptôme de dévacularisation comme facteur commun des ehs.
    Chez moi, ce sont les bains froid qui ont complètement effacé de symptôme.
    ... (29 sept) Grosse séance : chélateur, 1h de Marche rapide, dont un passage en côte, bain froid.
    Mais, en dépit qu'il me reste des céphalées, les effets éclatants n'ont plus lieu à la fin de la séance.
    Je me sens certes un peu mieux mais je ne sais pas dire d'où vient de l'amélioration, grosse rando ?
    Que se passe-t-il au niveau de la raréfaction des améliorations éclatantes ?
    Dois-je attendre plusieurs jours que les rééquilibrages entre compartiments liquidiens de façon à cueillir les ml quand ils ont dispo? - Il me faut de la patience.
    Selon la pratique en médecine, les iv de dmps se font une fois par mois, est-ce le rythme judicieux après avoir la fin des améliorations éclatantes ?
    ... 5h après la séance, il me semble que la digue qui préservait les ml ultra-profonds dans le cerveau et inatteignables jusqu'à aujourd'hui présente des fêlures.
    Je vais retenter cette grosse séance pour voir si ces améliorations sont reproductibles.
    ... complément de circonstance des pulsations : les pulsations ont très précisément lieues au moment où je m’arrête de monter la côte. Cad que l’arrêt brusque en pleine marche de côte provoque un tsunami de sang dans la boîte crânienne. Je vais donc reproduire ce phénomène en montant des volées d’escalier et en m’arrêtant aux paliers intermédiaires.
    Je couche ici mes sensations en vrac, il faudrait que je mette au propre une rédaction un peu plus intelligible. Pour l’instant, je jette mes mots tels qu’ils viennent, je ferai une synthèse ciselée en temps utile.
    ...24h après cette grosse séance, j'ai une petite fatigue que j'impute à une petite déminéramisation. Cependant, il me semble que la séance a bien travaillé en profondeur. Il faut encore que je me reminéralise pour bien trier les + et les - ; mais j'ai bon espoir que j'ai enfin trouvé la méthode qu'il suffit de répéter pour désintoxiquer le snc en intégralité.
    Timeline de la méthode :
    • Préparation de la solution (je ne la chauffe pas);
    • marche rapide 30min pour activer la circulation sanguine,
    • ingestion de la solution pendant 1/4 h au pas ;
    • Puis montée des volées d'escaliers en ville.
    • Je monte une ou deux volées assez rapidement, et je m'arrête pour souffler, c'est à ce moment précis que le cerveau pulse.
    • Ensuite, je répète ces montées et pauses jusqu'à n'en plus pouvoir...
    • Et enfin, Bain froid.
    ...36h après cette grosse séance, je confirme qu'il me semble que les indécrottables céphalées des profondeurs présentent des signes d'affaissement.
    Ces céphalées qui étaient stables et durables sont devenues intermittentes.
    Cette amélioration n'a pas été éclatante, elle a été certes lentes mais suffisamment prononcée.
    Encore quelques coups de butoir, et la digue va céder. [img]kator/smiley19.gif[/img]
    Par ailleurs, cela me confirme que chez moi, il est préférable d'attendre 48h entre 2 chélassos de façon a attendre les déplétion tardive.
    ... Selon les conférences du Collège-de-France sur les astrocytes (voir post afférent page 5), il existerait un passage directe de faible intensité entre les capillaires et les neurones (la bhe ne serait pas étanche à 100%).
    Ainsi, le chélateur pourrait circuler dans la lymphe à proximité immédiate des neurones.
    Cependant, il me semble prudent de reproduire occasionnellement ces exercices physiques à blanc (cad sans chélateur) de façon à drainer la lymphe du cerveau à grandes eaux et à envoyer le chélateur et le ml compléxé vers le système circulant.
    2 oct ... J'ai le coup de barre persistant de la déminéralition, cela est très semblable à mes déminéralisations suite aux excès de saunas. Une petite douche froide fait du bien et donne une sursis de forme pendant quelques heures mais la déminaralisation reprend le dessus. J'ai également du mal a dormir sans que ce soit trop lourd à supporter. Pour me réminéraliser (surtout en calcium) je vais faire un bouillon de légume (dont salade verte) avec une carcasse de poulet, à mijoter pendant une petite demie journée. Les minéraux sont inaliénables, ils ne s'évaporent pas, ça peut donc bouillir longtemps et ça se conserve plusieurs jours au frigo. Les vitamines seront certes perdues mais elles ne m'intéressent pas dans le cas présent.
    ... J'ai donc pu faire 10 chélassos avant qu'une déminralisation sérieuse ne vienne ralentir le rythme.
    J'avais donc un bon stock de minéraux physiologiques.
    Il m'a fallu 4 jours pour me renflouer en minéraux ; il me faut donc espacer les chélassos d'au moins 4 jours.
    Par prudence, il faudrait peut-être attendre 5 à 7 jours entre 2 chélassos (en attente de nouveaux facteurs limitants) de façon à ne pas trop approcher de la ligne blanche.
    Comme je sors d'une déminéralisation durable (4-5 jours), je vais prévoir 10 jours sans chélassos pour me constituer une petit matelas de minéraux.
    ... Depuis le début de ces chélassos, j'ai retrouvé un bon petit confort au cerveau, mais depuis peu, j'ai un petit rebond de symptômes.
    Pour mémoire : ce rebond peut venir soit de la mobilisation des ml par les chélateurs vers le cerveau, soit d'une déplétion des os.
    ...5 oct. Fin de la déminéralisation.
    La fatigue a surgit après le scéance de l'escalier, il n'y a pas eu de prémisses avant coureuses.
    J'en tire deux informations, la méthode des escaliers est puissante, donc salvatrice, mais il faut la dompter par paliers... :D
    Mon état n'était pas alarmant, mais c'était vraiment très désagréable.
    C'est une constante dans mon parcours, je n'ai pas de crises aigües mais j'ai de longues périodes désagréables.
    J'ai passé 7 jours sous la déminéralisation - j'ai pas envie de recommencer.
    C'est une sensation de poids asphyxiant qui pèse sur le plexus et qui diffuse par rayonnement dans le tronc.
    C'est assez similaire à la déminéralisation après la série intense de saunas - mais en plus long : 7 jours au lieu de 3.
    Je vais me programmer une minélasso: Minéraux + Thalasso (activité physiques) : marche 30', minéraux en solution, escaliers, bain froid à alterner avec les chélassos.
    Le programme d'acrtivité est exactement le même, sauf c'est la solution qui change, une fois c'est la solution chélatrice, la fois suivante c'est la solution minéralisante.
    J'ai acheté des minéraux en compléments : calcium, zinc, multiminéraux - je fais tremper dans l'eau, j'ajoute du gingembre, et je bois après 30' de marche rapide et avant les escaliers.
    Il faut que je définisse un calendrier : 1 chélasso par semaine + 1 minélasso 36h après la chélasso.
    ...5 oct, je n'ai durablement plus aucune sensation quand je secoue la tête, or je trainais cette sensation depuis des années.
    J'attribuais cette sensation à une inflammation des méninges, ces dernières pleuraient quand le cerveau tapait contre elles.
    Autre exemple, quand j'éternue, je n'ai plus le flash de douleur au moment de la surpression dans la boite crânienne.
    Quand ça fait dix ans que je redoute un éternuement dont je sais qu'il sera annonciateur d'une belle série de 10 ; là j'en redemande.
    Ces chélassos ont eu un véritable effet bénéfique. Mais j'ai un contre-coup que j'attribue au rebond... J'ai encore du chemin à parcourir.
    Ça fait de nombreux mois que je dis que mes céphalées s'améliorent sans jamais qu'elles soient effacées.
    Suite à la lecture du document alpha, je peux trouver une hypothèse simple pour expliquer cela : le rebond du plomb (ou autres ml?).
    ... 7 oct. je suis totalement remis de la demineralisation.
    Il faut encore que je consititue un matela de minéraux pendant quelques jours de façon à ce que la prochaine chélasso se déroule sans difficulté.
    ...11 oct. Je monte enfin les marches 2 à 2 à tout vitesse, je suis complètement exténué à chaque paliers.
    Grosso Modo, je monte 300 marches par séances en base, mais parfois, je peux pousser l'effort à 500 ou 700 marches.
    ... Pour les amateurs, où trouver les escaliers à Paris :

Alzheimer et cuivre
    Avec tous ces métaux que j'ai accumulé pendant des années, il me semble que j'ai accumulé un bon potentiel pour déclencher de nombreuses maladies de la longévité. :/
    Selon la médecine expérimentale, le taux de cuivre (et éventuellement de fer) semblent contribuer à alzheimer.
    Même si je parvenais à éliminer les symptômes dans un avenir prochain, il serait donc intéressant de poursuivre ces chélassos jusqu'à la baisse individuelle et collègiale de chaque métal.
    Je serai absolument serein uniquement quand tous mes niveaux de métaux seront redescendus en dessous des valeurs de référence de MTM...
    ... à la prochaine chélasso, je prévoie donc de faire des analyses pour le cuivre : avant /après.
    rappel, tests de dmps : valeur moyenne : 700 mcg/g créa. (réf MTM : de 1,5 à 60 mcg/g créa).
    ... Polémiques ! ... Dans la petite planète scientifique, l'intoxication au cuivre ne fait pas consensus et, selon MTM :"un échantillon d’urine prélevé après une provocation au DMPS présentera une teneur élevée en cuivre, même si le patient est à la limite de la carence" (source : Newsletter n°4).
    Donc le cuivre ne donnerait pas alzheimer et les valeurs élevées données par un test de provocation sont compatibles avec une carence.
    Wazaaaaa, je ne sais plus trop où donner de la tête. :crazy:
    Contrairement à un oracle grec, une vérité scientifique moderne scande donc un droit à n'engager que ceux qui veulent y croire. :sarcastic:

Infusion d'Edta - Microtrace
  • Dans sa newsletter d'avril/mai 2012, Microtrace a écrit:12 - Pour l’information sur EDTA et comment préparer une infusion de EDTA contactez Dr. Psenicka a la German Médical Association (Association Médicale d’Allemagne) pour ‘ Clinical Metal Toxicology’ (CMT) (source).

    La prise d'edta sous forme d'infusion est donc une pratique médicale allemande.
    Il existe donc des champs d'application dans lesquels cette forme est efficace.
  • J'ai donc pris contact avec ce médecin.
    Dans sa réponse, Dc Psenicka a écrit:Ce que je peux vous offrir est la suggestion de l´association medicale des intoxications clinique des métaux-lourds.
    Malheureusement c´est en Allemand mais je crois que vous pouvez simplement comprendre les listes des medicaments proposés.

    Zusammensetzung der EDTA-CHELAT-Infusionslösung (Stand 09!13)
    ESSENTIELL:
      1 Na2-EDTA-Amp 10 ml (2 g Na2-EDTA)
      500 ml Kochsalzlösung 0,9 % isoton ( z.B. Fresenius, Braun etc.)
      200 mg elementares Magnesium (z.B. 1000 mg Magnesiumsulfat) 2 ml Amp.
      Vitamin B6 100 mg, 2 ml Amp. (bei hyperallergischen Patienten orale Gabe)
      Folsäure 20 mg 2 ml (separat verabreichen !)
      Vitamin C 5 – 25 g
      Procain 2% 5ml – 15 ml
    FAKULTATIV:
      Natriumhydrogencarbonat 8,4%
      Elektrolyte (z.B.Inzolen-km 21)
      Zus. Vitamin B( Dexpanthenol, Niacinamid, Riboflavin)
      Kaliumchlorid 7,45%

    variable Gabe von Nahrungsergänzungsmitteln mit Vitaminen, Spurenelementen und Mineralien, Vit. B12 i.m. oder oral nach Infusion
    Wichtig: Bei Mangelzuständen ist die Substitution von Eisen, Zink und Kalium erforderlich !
    Achtung: Zink nicht mit EDTA mischen !


    Une traduction en ligne a écrit:Composition de la solution pour perfusion EDTA-CHELAT (à partir de 09! 13)
    ESSENTIEL:
      1 Na2-EDTA-Amp 10 ml (2 g de Na2-EDTA)
      500 ml de solution saline isotonique à 0,9% (par exemple, Fresenius, Braun, etc.)
      200 mg de magnésium élémentaire (par exemple, 1000 mg de sulfate de magnésium) 2 ml Amp.
      Vitamine B6 100 mg, 2 ml Amp. (Pour les patients hypoglycémiques buccaux)
      Acide folique 20 mg 2 ml (à administrer séparément!)
      Vitamine C 5 - 25 g
      Procaïne 2% 5ml - 15 ml
    EN OPTION:
      Bicarbonate de sodium à 8,4%
      Électrolytes (par exemple, inolenium-km 21)
      Zus. Vitamine B (dexpanthénol, niacinamide, riboflavine)
      Chlorure de potassium 7,45%
    Administration variable de compléments alimentaires avec vitamines, oligo-éléments et minéraux, vitamine B12 i.m. oralement après perfusion
    Important: en cas de carence, la substitution du fer, du zinc et du potassium est nécessaire!
    Attention: ne mélangez pas le zinc avec l'EDTA!

  • Il faut encore que je digère ce message.
    Je suis étonné, le traducteur en ligne traduit le mot infusion en perfusion.
    Il me semble qu'il s'agit bien d'une perfusion car la solution est isotonique (et donc,en oral, elle ne traverserait pas la paroi intestinale pour rejoindre le système circulant).
    J'ai peut-être été trompé par le traduction du site de MTM en français : il fallait lire perfusion et non infusion

Crème chélatrice. [img]kator/smiley252.gif[/img] 15 octobre


Dernière édition par Sophocle le Dim 10 Nov 2019 00:22, édité 12 fois.
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Hygiène Buccale

Messagede Sophocle » Mer 9 Oct 2019 12:16

En attendant ma convalescence pour restaurer un matelas de minéraux, je couche ici mes reflexions au long cours sur l'entretien des dents.
Ces reflexions s'ajoutent aux recommandations courantes des dentistes, brosse électrique, brossage du rouge vers le blanc, fil dentaire, ...
Anecdotique, selon mon dentiste, les caries sont apparues avec le train et, donc, avec le transport du sucre ; les dents des squelettes de l'antiquité ne seraient pas cariées..

Première question : Pourquoi le fluor dans le dentifrice ?
    Parce qu'il n'a pas de goût et qu'il est négatif : F-.
    Les anions monoatomiques sont peu nombreux : Bromure Br−, Chlorure Cl−, Fluorure F−, Hydrure H−, Iodure I−, Nitrure N3−, Oxyde O2−, Sulfure S2−.
    Il est donc possible de substituer le fluor avec de l'eau oxygénée (2 gouttes).
    Quant aux cations, leur nombre est bcp plus élevé.
    Pourquoi donc un anion (ion négatif) est préférable dans la bouche ? : Parce qu'il dérange les bactéries.
    Pourquoi les bactéries buccales sont-elles nocives ? : Parce qu'elle métabolisent le sucre et qu'elles produisent des déchets qui acidifient l'ambiance buccale.
    Pourquoi l'ambiance acide n'est pas préférable ? : Parce qu'elle dissous les cations (ions positifs).
    Dans une ambiance acide, on a donc une décalcification (Ca2+).
    Les dents sont des os.
    Cependant, elles sont très exposées aux agressions, alcool, coca, sucres.
    Comme les os, les dents se calcifient dans une ambiance alcaline, et elles se décalcifient dans une ambiance acide (voir post Phénomène d'adsorption).
    Le fluor contribue donc à la bonne santé de la dent en dérangeant les bactéries.
    Cependant, il n'est pas suffisant pour éliminer durablement toutes les bactéries.

Bactéries persistantes.
    Dans le temps, les bactéries vont activer des stratégies pour s'accommoder.
    Par le phénomène de sélection naturelle, les bactéries vont développer une résistance aux produits appliqués de façon répétitive.
    À terme et en dépit du fluor, le fluor ne dérangera pas les bactéries qui ont su d'adapter.
    On résout ce problème en alternant les produits qui dérangent les bactéries : huiles essentielles caustiques.
    Sur Internet, on trouve facilement la liste des He appropriées (clou de girofle, tea tree,...)
    Méthode : dans un flacon, 50% eau, 40% dispersant (solubol, le disper), 10% HE mélangées (source), + tête spray.
    En faisant tourner les huiles essentielles entre elles et avec le flour, on empêche les bactéries de s'installer.
    Il est également judicieux de faire tourner les marques de dentifrice de façon à empêcher les effets vicieux des applications répétitives d'un même produit.
    Cependant, la lutte contre les bactéries est certes utile contre l'acidification mais elle ne rétablie pas une ambiance propice à la calcification.

Calcification des dents
  • La carie est le résultat de la combinaison d'une ambiance acide et de la présence de bactéries non nécessairement pathogènes.
    C'est l'ambiance acide qui rend ces bactéries pathogènes et qui crée les caries.
    C'est une ambiance alcaline qui va aider à la calcification et donc à la prévention des caries.
    Cela est un phénomène minéral universel.
    Une alimentation sans sucre est certes préférable mais cela n'est pas facile à s'y tenir et il est possible de la compenser au mieux.
    Pour obtenir cette ambiance alcaline, il suffit de faire un tout petit Bain de Bouche quotidien au Bicarbonate de Soude (BBBCS).
    Pour que le phénomène d'adsorption des cations (Ca2+) ait lieu, l'aspect quotidien est nécessaire car l'adsorption est une lente tendance de fond.
    De plus, l'ambiance alcaline va figer les métaux-lourds (Hg2+).
    Cela va donc prévenir une contamination générale depuis les amalgames.
  • L'absence de petit-déjeuner (yc un petit café) confortera la tendance classificatrice du soir au midi (2/3 de la journée).

Vidange des muqueuses - électro-galvanisme, ml.
    Même si on fige les métaux-lourds, il n'est pas inutile de changer l'eau des muqueuses de façon à garantir la détox pour tous les moyens possibles.
    De période bisannuelle, une campagne de Bain de Bouche au Sel (BBS) va extraire l'eau des muqueuses.
    Tout ce qui n'est pas indispensable va être extirpé de force vers l'extérieur, ions, bactéries, sucres.
    Cette méthode devrait être très efficace contre les ml qui sont à proximité des gencives et qui se sont dispersés.
    Cette méthode devrait définitivement résorber l'électro-galvanisme.


Oil pulling - La pancha-karma de la bouche
    L'oil pulling va solubiliser les toxines organiques, pesticides, pcp,...
    Or, dans la pancha-karma, il y a des activités physiques après l'ingestion de ghee.
    L'Oil pulling devrait donc être accompagnée d'une activation des capillaires pour renvoyer les toxines vers les systèmes circulatoires (sang et lymphe).
    Pour activer les capillaires : bain de bouche alternée (eau chaude, eau froide, eau chaude,...), activités physique endurance (marche rapide), bain froid, douche alternée du visage.
    Dans l'huile végétale, j'ajouterai également une à deux gouttes d'he caustiques (cannelle, origan, girofle) pour traiter les bactéries en profondeur.


Infection des racines dentaires & dents dévitalisées
    Préalable : Vérifier que la dent ne reçoive pas des chocs réguliers de la mandibule opposée.
    Parfois, on sent une petit boule lorsqu'on passe le doigt en fond de gencive au niveau de la racine, c'est du pus.
    huiles essentielles : laurier noble, girofle, cannelle, tea three, ... vérifier les contre-indications, svp.
    Documentations HE : voir posts : Picotements, ... Lyme, Candida, et autres micro-organismes, les huiles essentielles.
    Les HE efficaces (girofle) sont caustiques, il faudrait donc les diluer (4, 10%, 20%) dans de l'huile végétale (Macadamia, Argan).
  • Découper une bandelette en long (5cm x 0,3cm env.) de coton dans un rond de démaquillant.
    Déposer quelques gouttes d’he le long de la bandelette ; optionnel pour les enfants : ajouter bcp de gouttes de l'hv.
    Perso, je mets trois gouttes de cannelle (bords et milieu de la bandelette) et 4 gouttes de tea tree le premier jour.
    Puis j'alterne les he caustiques diluées et non caustiques (origan, ...) de jours en jours.
  • Placer la bandelette en fond de gencive, entre la lèvre et les racines ; la bandelette demeure facilement en place pendant plusieurs heures.
    Je peux même prendre un café sans interférence...
    La diffusion peut s'étaler sur plusieurs heures, garder la bandelette en place tant qu'elle a du goût.
    Masser occasionnellement la racine avec la bandelette pour extraire son jus.
  • Complément : garder de l'eau fraiche dans la bouche de façon à activer la circulation.
    Alternative : plaquer des glaçons concassés entre la racine et la lève pour vasculariser la zone, à 1x par jour, tous les jours.
    Activer les capillaires (voir paragraphe ci-dessus sur l'oil pulling).
    Alterner les he et les glaçons (ou eau froide, voir paragraphe ci-après) pendant plusieurs jours, matin et soir.
    Je peux bien passer une séance d'une heure par jour pendant plusieurs jours, 3 à 7, mais c'est payant.
    • Le froid et la vascularisation vont recycler le pus à grandes eaux.
    • Les he vont exploser les bactéries façon puzzle.
    Ensuite, une petite série de bain de bouche au sel ne sera pas de trop et peut-être utile pour éliminer les ml.
    ... Plus d'info au post suivant : discussion avec Catpower.

Régénération des gencives, dents, ...
  • => Bains de bouche réguliers à l'eau froide.
    Le froid va vasculariser les tissus et donc augmenter la régénération.
  • Concasser des glaçons, et les faire glisser le long des gencives, à faire tous les jours jusqu'à régénération.
    De jours en jours, la résistance au froid va s'améliorer.
  • Alternative aux glaçons : placer une bouteille d'eau au frigidaire.
    tous les jours, faire des bains de bouche à l'eau froide.
    Commencer en douceur pour abaisser la température sans choc.
    La reconstruction osseuse peut prendre plusieurs semaines.
    Il faut donc multiplier les applications dans le temps.
    Une petite séance de froid mainte fois répétées (1/4h 2x/j) sera bien plus efficace que de grosses séances peu répétée (1h 1x/j).

Huile copie d'une discussion - 2 janv 2021
    Si le froid, ni le sel n’ont pas réussi à désempoisonner, et si tu ne l’as pas encore fait, il reste l’huile.
    Pour enlever une tache de cambouis sur un linge, on met du beurre, on frictionne, on laisse reposer et on place le linge à la machine.
    C’est le même principe avec les tissus organiques (Ayurveda). Un bain d’huile végétale très fluide (sesame,...), préchauffée à 37°, dans lequel, si tu n’avais pas de réaction, j’ajouterai une pincée d’Ala (0,03g à mixer) et une larme d’he pourra peut être baisser la charge de toxines. Il faudra bien faire circuler l’huile pendant 5 longues minutes afin d’imbiber les gencives en profondeur.
    Recracher et laisser reposer au chaud en massant un peu les gencives de façon à imbiber jusqu’à l’os.
    Et enfin des bains glacés pour chasser l’huile et ses toxines par l’hyper-vascularisation.
    Attention au choc thermique.
    À répéter tlj de 15 à 30j.
    Par précaution, je passerai la tête et notamment le visage sous l’eau glacée pour bien éliminer toute cette huile de la zone.
    Comme il y a une forte suspicion de métaux-lourds, les chélateurs solubilisés seraient les bien-venus.
    Pense à commencer en douceur sur les he pour éviter les surprises (1 ou 2 gouttes Max par jour),
    Ce qui fera 60 gouttes en un mois, ce n’est pas mineur.
    Je dois te prévenir que si tu as des mo et des ml imbriqués les uns dans les autres, il y a des risques de réaction. Le mieux est de prolonger cette séances sans augmenter la dose de he. Il faudra surveiller le foie et les intestins (cad suspendre des qu’une fatigue apparaît).
Dernière édition par Sophocle le Sam 2 Jan 2021 21:31, édité 16 fois.
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Re: La Détox ultime par la naturopathie et par la littératur

Messagede gogote » Mer 16 Oct 2019 13:11

Hello Sophocle !

Je repasse dans le coin et je te vois toujours autant assidu. Super de partager toutes ces explications, retour d'expériences et recherches.
A la lecture de tout ceci, et en rapport à notre EHS commune, avec le recul et le temps, je suis toujours autant focus sur le cuivre personnellement. Je me questionne même toujours - comme il y a déjà 4-5 ans - sur le fait que l'organisme ne génère pas de cuivre en réaction aux ondes, comme pour nous protéger de celles-ci...

Il y a aussi le mécanisme du foie ou dans mon cas, la génétique intervient très fortement, en lien à différentes pathologies potentiellement associées au métabolisme et transport du cuivre : Wilson, Menkes, syndrome de la corne occipitale, neuropathie motrice distale, toxémie cuprique, troubles hépatobiliaires par accumulation de cuivre dans le foie etc...

J'arrive clairement à me stabiliser dans mes troubles et gérer l'EHS avec une alimentation type Wilsoniene avec le minimum de cuivre, et dans un lieu le moins exposé aux ondes. En expérimentant cela, je revis, mes troubles disparaissent, l'ensemble de l'organisme se remet à fonctionner correctement. C'est assez incroyable. A l'inverse, ingestion de cuivre et c'est retour de l'EHS et troubles démultipliés, que l'environnement soit chargé ou non en ondes électromagnétiques.

Pour info, mes test MicroTrace, puis différents aux US au cours des années ont toujours montré un cuivre cellulaire très élevé, tandis qu'il revient plutôt bas dans le sang ou carrément très très bas comme en rétention dans les urines. Je vais surement refaire un test de provocation urinaire à celui-ci prochainement avec Pénicillamine ou Trientine afin de voir ce qu'il en est. ( Menkes engendre plus une rétention à ce niveau justement tandis que Wilson crée une hausse de l’excrétion urinaire).

Par ailleurs, j'investigue sur le molybdène qui est aussi antagoniste du cuivre de mémoire, et qui est revenu très très élevé dans une analyse sanguine chez moi ( > 95% percentile ) et ... toujours très faible dans le milieu cellulaire. Le zinc est enfin toujours très haut en association de mon cuivre, les deux se suivant parfaitement. En bref, cuivre-molybdène-zinc et leurs cofacteurs sont très interconnectés et prépondérants, et je crois important de yeuter un peu les risques chez les EHS comme l'hypocéruloplasminémie et/ou de potentielles faiblesses génétiques notamment sur les gènes ATP7B, ATP7A, MOCS1, MOCS2.

Au plaisir de te lire, je reviendrai surement poster ici mes prochains tests urinaires cuivriques + molybdène que je désire faire en ce sens, puisque je suis toujours dans le doute concernant Wilson et forts risques hépatiques en lien à des dysfonctionnements sur le gène KRT8 ( kératine 8 type II ) responsable d'une malfonction avec risques de fibroses péricellulaire, corps de Mallory, jaunisse, oedème ou gonflements, hypertension pulmonaire, et surtout, des dépôts marqués de cuivre par accumulation de celui-ci au niveau du foie. Ça revient à dire qu'on peut chélater autant que l'on veut, si le foie n'est pas à même de gérer cette substance, on retrouvera toujours nos symptômes en correspondance du taux cuivrique ingéré - ou malgéré.

Le cuivre est très très sous-estimé d'après moi et très impliqué tant dans les pathologies précitées que d'autres à type neuromusculaires/démences/schizophrénie; en outre des dysfonctionnements mitochondriaux et/ou autres risques d'Alzheimer par exemple. Dans mon cas et plus globalement, il est aussi très corrélé à une problématique pulmonaire et/ou respiratoire engendrant ou mimant des troubles mitochondriaux avec hausse de l'amoniaque et de l'acide lactique à l'effort en conséquence d'un déficit respiratoire. Pour l'anecdote, ça peut même faire penser à certains symptômes de la fibrose kystique du pancréas ( mucoviscidose ) que l'on m'avait par ailleurs recherché, puisqu'on en vient à ne plus pouvoir respirer ou très faiblement par moment.

Je mets de côté tes messages sur ce que tu nommes " chélasso", parce que ça m'intéresse tout de même grandement de tenter cela, justement via un cocktail spécifique pour le cuivre. Maintenant, il faut rester méfiant entre les notions de carence/intoxication, les valeurs partent parfois dans tous les sens en nous piégeant sur cette bonne compréhension, et une fois encore, il y a beaucoup de cofacteurs qui peuvent engendrer ce type de troubles de manière réactionnelle... ;)
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Re: La Détox ultime par la naturopathie et par la littératur

Messagede Sophocle » Mer 16 Oct 2019 13:28

Gogote a écrit:Au plaisir de te lire
    Salut Gogote, J'ai lu ton message et j'étais justement en plein rédaction d'un message sur les poumons.
    Je suis également intrigué par tout ce cuivre qui sort lors des tests de provocation.
    Je compte également faire des analyses spécifiques sur le cuivre (avant/après).
    Je poste d'abord le message que j'étais en train de rédiger, puis je répondrai ensuite un peu plus longuement à ton message dans un post à venir.

    :jap:
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Détox des poumons.

Messagede Sophocle » Mer 16 Oct 2019 13:35


Détox des poumons
    Dans mes tribulations, je recherche à désintoxiquer les poumons.
    Avant de faire des essais, j'écris au brouillon une méthode pour désintoxiquer les poumons.

Théorie d'ensemble :
    Une chaine complète de détox nécessite de mobiliser les ml, de les fixer, de les drainer, et de les éliminer.
    Pour assurer cette chaine, deux solutions peuvent être préparées : une à pschit-pschitter, et une autre à boire : voie aérienne et voie sanguine.
    Ces deux solutions vont certes assurer la chaine, mais elles vont également prendre les poumons en étau. [img]smile/hug2.gif[/img]

Notice de détox
  • Comment faire se rencontrer le chélateur et les ml ?
    Comme les chélateurs ne rentrent pas dans la cellule, il faut déshydrater la cellule avec le sel.
  • Comment amener le sel jusqu'aux alvéoles ?
    En inspirant un grand coup pendant lequel on actionne un Pschit-Pschit nébuliseur.
  • Comment faire pour que les chélateurs soient là ou il faut ?
    Ajouter les chélateurs dans la solution à pschit-pschitter.
  • Comment drainer ? En activant les poumons.
    Plusieurs solutions à combiner : activité physique, bain froid, plantes drainantes de chez l'herboristerie, gingembre, ventoline, hyper-respiration.
  • Comment fixer les ml et les éliminer ? En ajoutant du bicarbonate de soude (BBS) aux chélateurs.
    Selon MTM, le chélateur agit mieux en milieu basique.
    Et selon le document alpha, les affinités du chélateur changent selon le pH.
    L'ajout de BBS dans la solution à boire va alcaliniser le sang, il va donc stabiliser le chélate jusqu'à l'élimination (les reins cumulent naturellement les charges acides).
    Le BBS peut également être ajouté à la solution à pschit-pschitt.

[img]kator/smiley158.gif[/img] [img]kator/smiley158.gif[/img] [img]kator/smiley158.gif[/img]

Détail des solutions :
  1. Solution à boire
      Eau : 0,5 litre
      Infuser plantes et gingembre
      Ajouter le BBS (2g, 4g ou +)
      Éventuellement des chélateurs (Edta - Dmsa)
  2. Solution à pschit-pschitter :
      Eau de l'infusion (quantité à définir)
      Edta (0,25g pour commencer)
      BBS (1g)
      Sel : 3% du poids de l'eau (30g/l), à ajouter tardivement et après qu'il n'y ait plus d'effets + ou -.

Expérimentation
    Je ne me plains pas des poumons, je ne pourrais donc pas juger de la pertinence de cette méthode.
    Cependant, pour voir comment elle se déroule, je vais tester cette méthode prochainement.
    ... Après avoir rodé cette méthode, je reviendrai par ici pour corriger ou pour compléter.
    ... les valeurs présentés un peu plus haut sont donc provisoires, et elles sont attente de modification selon ces expériences.

Édit 1 : Patatra.
    Au niveau de la nébulisation, les pschit-pschit que je dispose ne sont pas satisfaisants.
    Comme je n'ai pas de soucis au niveau pulmonaire, je ne vais pas investir dans un nébuliseur dans l'immédiat.
    Je reporte donc mes expériences sine die.

Édit 2 : Diffuseur d'HE
    L'huile végétale ne se diffuse pas dans mon diffuseur d'HE.
    Il semble que le nébuliseur doit être fabriqué sur mesure selon le produit.
    Il faudrait peut-être même amender la composition de la solution pour qu'elle se nébulise...
    Ma proposition en l'état est donc éventuellement incomplète.

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Re: La Détox ultime par la naturopathie et par la littératur

Messagede Sophocle » Jeu 17 Oct 2019 10:57

Hello Gogote. [img]smile/!icon_wink.gif[/img]

Je suis également très intéressé par le cuivre. J'ai certes souvent les mains un peu froides mais la globalité de mes symptômes s'apparente vraiment à des métaux-lourds. C'est surtout la bombe à retardement de la maladie d'alzheimer qui me préoccupe. Comme la fourchette d'âge d'apparition d'alzheimer est assez serrée, il y a donc une suspicion d'un co-facteur physiologique lié à la longévité. Le pH est un bon candidat. Avec l'âge, les capacités d'élimination diminuent, le corps s'acidifierait. L'acidité exacerberait les pathologies. En cas d'excès de cuivre et d'acidité, le phénomène d'adsorption s'emballerait et créerait ces fameuses plaques. Plus j'avance dans mes recherches, plus le phénomène de (dés-)adsorption me semble central. Ce phénomène est une tendance de fond qui provoque silencieusement des maladies chroniques à retardement. Bcp de choses se nouerait et se dénouerait autour de ce fameux phénomène d'adsorption.

Selon MTM, le cuivre d'un test de provocation peut être élevé en dépit d'une situation à la limite de l'anémie. On ne peut donc ni savoir si on est en excès ou en carence. :/ . La prudence voudrait qu'il faille désintoxiquer continument le corps tout au long de la vie quitte à se reminéraliser en ions physiologiques. D'ailleurs, cela ne me semble vraiment pas idiot : on élimine régulièrement un large spectre de minéraux et on recharge en minéraux physiologiques. Dans cette configuration-la, on est ni en anémie, ni en intoxication : on élimine de tout et on recharge en ce qu'il faut. On demeure donc dans des fourchettes physiologiques.

Dans la table des éléments périodiques, j'ai remarqué que le nombre de cations était significativement supérieur au nombre d'anions. Ces derniers ne s'élèveraient qu'au nombre de huit. Le corps serait donc immergé dans un bain de cations. À cause de cette spécificité, les cations pourraient être en excès sans qu'il y ait de symptômes précurseurs. En cas d'excès de cations physiologiques, les premiers symptômes (alzheimer,...) seraient des complications issues de causes secondaires, accumulatives, cofactorielles (pH) et donc tardives. Les séquelles parviendrait sans qu'il y ait de prémisses. La recherche de marqueurs anté-pathologie serait vaine.

La chélation préviendrait certes le versant inorganique des pathologies, mais il est aussi préférable de ne pas négliger le versant organique. Il me semble que le pendant organique de la chélation serait la Pancha-Karma. Avec la pancha-karma, on devrait traiter certains composés organiques toxiques indécrottables : pesticides (et donc Parkinson), nicotine (poumon), que le jeûne ne traiterait pas. Selon mes intuitions, la chélation et la pancha-karma feraient parti des traitements de choc contre toute sorte de maladies chroniques. On peut certes attendre les symptômes pour rétablir la bonne santé, mais la pratique préventive ne devrait pas causer d'effets chroniques. L'avantage du traitement préventif, c'est qu'on vit pénard : on peut boire son verre de pif sans souffrir de craindre un éventuel cancer ultérieur...

Si je résume, les leviers se pensent comme un billard à trois bandes entre l'hygiène de vie et l'intracellulaire. Avec un système circulant presque uniforme mais connecté en différents points à des organes dont les physiologies limites peuvent varier du tout au tout, on a du mal à agir dans un sens ou dans un autre. De plus, il faut tenir compte de deux catégories (organique et inorganique) qui supposent des traitements spécifiques mais dont il existe un pont contingent de l'organique vers l'inorganique. Sans compter sur le fait que les analyses médicales ne permettent pas vraiment d'écarter des hypothèses de façon ferme. Franchement, entre les diagnostiques incertains, ou trompeurs, et l'immense variété de paramètres sur les leviers, y'a tout pour plaire. [img]kator/smiley19.gif[/img]

Par dépit d'obtenir un diagnostique non-équivoque, la pratique en alternance des jeûnes, des chélations, des pancha-karma, des bains froids, et la consommation de légumes tout en insistant sur un aspect plutôt qu'un autre selon son parcours et selon sa physio-pathologie demeure une solution qui s'impose sans perdre de temps à voir trop de médecins ou à chiner des diagnostiques très aléatoires. Pour attribuer de façon certaine un effet à une cause, il faut éliminer toutes les autres causes. Avec des faux-diagnostiques et le déni de l'état (in-)organique, la médecine française est donc très loin d'assurer une cause certaine à un effet. Ou si elle le fait, ce n'est que du théâtre. Quand je vois que les bases générales sont aléatoires, il n'est vraiment pas envisageable que le corps médical se lance dans les cas spécifiques par automatisation des traitements par lots. Dans les conférences du Collège-de-France sur la génétique, j'ai cru comprendre que l'expression des gènes était très très plastique. On peut désactiver, réactiver, sur-(/sous-)activer des gènes. 2% des gènes coderaient et le reste régulerait l'expression des gènes de façon + ou - directe ou maitrisée. Les marqueurs épigénétiques devraient renseigner sur c't'affaire...

Les gènes ne pilotent pas tout, il existe toute une machinerie hors gènes pour éliminer ce qui est produit en trop. La justesse du dosage d'une molécule se fait par sculpture, cad par sur-production puis par élimination du surplus. Ex, on peut appréhender les maladies métaboliques autrement que par des maladies de l'excès. On peut voir ces maladies comme une maladie de l'insuffisance de l'élimination. C'est pour cela que le jeûne est si efficace. Avec le jeûne, les boues organiques (ex: plaques coronariennes) sont hachées en éléments mono-atomiques. Tout ce qui n'est pas indispensable est transformé en chaleur. Et question diagnostique médical, ces maladies sont invisibles. En dépit des souffrances qu'elles génèrent, ces boues sont pourtant indécelables à l'analyse sanguine. Tu souhaites donc chélater le cuivre continument et durablement de façon à retrouver une alimentation ordinaire en cuivre. Cela ressemble donc à la démarche naturelle du métabolisme. Il serait préférable de trouver un chélateur spécifique du cuivre. Dans la conférence suivante du Collège-de-France : Quand aurons-nous des traitements efficaces pour traiter la maladie d'Alzheimer, l'orateur annonce qu'il recherche une telle molécule. Il y a donc là une piste supplémentaire pour l'avenir.

Cependant, les chemins de méthylation spécifiques à chacun vont moduler les traitements généraux. La génétique, l'environnement sont des facteurs de différentiations individuelles qui redistribuent les cartes générales. Là, en théorie, il faudrait faire appel à des mathématiciens pour formuler des familles de réponses spécifiques à chaque cas. Nous, on peut certes faire un lien individuel car on peut mesurer les symptômes vis-à-vis du régime alimentaire. Mais entre un point de départ et un point d'arrivée, il y a tant de cheminements possibles que seules les stats et les probabilités peuvent dégrossir le schmilblick. J'ai beaucoup d'espoirs dans les réseaux de neurones informatiques. Cette méthodologie me plaît car elle peut remettre en cause les hypothèses et qu'on peut en faire sur son ordi si on chope la base d'entrainement. Si la seule solution était la chélation, le réseau de neurone le dira. Cette technologie perce en médecine pour lire les radios. Mais comme toute généalogie, elle est très dangereuse pour le système en place. Elle sera donc noyautée par avance. Mais avec les geek, on pourra se débrouiller avec le système D à terme. Il serait drôle que les réseaux de neurones recommandent la naturopathie au détriment de la médecine allopathique. [img]images/icones/icon15.gif[/img] [img]images/icones/icon15.gif[/img] [img]images/icones/icon15.gif[/img]

Il est intéressant que tu puisses moduler l'ehs selon les apports en cuivre. Le cuivre est évidement un élément conducteur, il est donc un très bon candidat pour déclencher des phénomènes magnéto-sensibles lorsqu'il est en nuage de nps. On a peut-être là une des causes possibles à l'ehs, il faudrait étudier cela [img]kator/smiley225.gif[/img]. Dans un monde où les ondes explosent, cela expliquerait pourquoi certains ehs (qui n'ont uniquement que de l'ehs) ont une rémission par rebouteux (voir rapport Anses) en activant simplement et fortement quelques émonctoires.
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Traitement des maladies chroniques et dégénératives.

Messagede Sophocle » Ven 18 Oct 2019 14:35


Comme j'ai fait une grosse dizaine de chélassos en 15 jours, j'ai donc un peu tiré sur la corde des minéraux.
Cela fait quinze jours que je suis en fenêtre thérapeutique pour reconstituer un matelas de minéraux.
Cependant, les améliorations consolidées sont significatives.
Les céphalées ont fortement diminuées.
De plus, l'intolérance au pain et au fromage a été définitivement balayée.
Une fois le matelas de minéraux reconstitué, je pourrai reprendre les chélassos à un rythme hebdomadaire.

Ces trois dernières années pendant lesquelles j’ai fait de nombreuses expériences, de nombreuses études, de nombreux rapports, de nombreuses revues de détails, et de nombreuses revues d’ensembles, de nombreuses conneries, me permettent de proposer une cure générique contre les maladies chroniques et dégénératives. Grosso-modo, j’ai appliqué la méthode de Descartes vis-à-vis de mes symptômes dont la constance m’a donné un repère vis-à-vis des actions. Et, pour me guider, j’ai suivi le serment d’Hyppocrate : que le traitement soit à mon avantage.
[img]kator/smiley180.gif[/img] [img]kator/smiley182.gif[/img] ;)


Maladies dégénératives.
    Les résultats récents me permettent enfin de dessiner un schéma simple des renversements des tendances.
    Je suis donc prêt pour faire une proposition de cure générique contre les maladies dégénératives à faire à domicile.
    Suite aux bons résultats des chélassos sur le plan minéral, je vais extrapoler que la Pancha-Karma (PK) soit appropriée sur le plan organique.
    Les maladies dégénératives semblent être la combinaison d'une ambiance non-physiologique et de multiples intoxications chroniques à faible intensité.
    Pour prévenir ou pour stopper les maladies dégénératives, il faut donc traiter chaque co-facteur un à un.
    Le traitement approprié serait donc le renversement vers une ambiance physiologique doublée de la détox des infrastructures du corps.
    Cette détox restaure la salubrité des infrastructures de la santé.

Fatigues, ehs, et autres joyeusetés chroniques...
    Les fatigues chroniques peuvent parvenir de toxines sur les infrastructures du corps (huile ou eau).
    Les fatigues éveillent la suspicion d'un co-facteur qui préparera le terrain pour des maladies dégénératives liées l'âge (changement de pH).
    En dépit qu'on puisse s'accommoder de ces fatigues, il demeure préférable de les guérir pour prévenir la multiplication des co-facteurs favorisant dégénérence.

Maladies chroniques à virus, bactéries & champignons
    Pour ce volant de maladies, le système immunitaire est éventuellement défaillant.
    Le système immunitaire est un jeu de réponses à tiroirs extrêmement complexe.
    Une légère imprécision peut donc provoquer des erreurs par des phénomènes d'emballements.
    Le système immunitaire est un organe certes dispersé, mais il demeure un organe comme un autre.
    le traitement ci-dessous va donc retaper le système immunitaire de façon à ce qu'il puisse répondre correctement à ces organismes pathogènes.

Périmètres de la biologie
    La première chose à faire, c'est de borner le périmètre de la biologie.
    Ce périmètre donne les champs dans lesquels doivent se faire les interventions.
    Ces champs sont au nombre de 3 : organique et inorganique, pH.
    1. L'organique, ce sont les huiles : lipides, glucides, protéines.
    2. L'inorganique, ce sont les minéraux : des ions solubilisés dans l'eau.
    3. Le pH, c'est une ambiance de fond, acide ou alcaline, qui respectivement dissous ou fixe les cations.
      Avec l'âge, le corps s'acidifie par le ralentissement des émonctoires.
      Il faudra donc pallier à ce ralentissement.

Traitements - 100% PRO [img]kator/smiley195.gif[/img] [img]kator/smiley195.gif[/img] [img]kator/smiley195.gif[/img]
    "Je n'ai rien à proposer que du sang, du labeur, des larmes :ouin: et de la sueur "
    - William Churchill, 13 mai 1940, discours à la chambre des représentants.

    Adaptation de circonstance : Je n'ai rien à proposer que du souffre, du labeur, du froid et de la sueur.

  1. Détox de l'organique.
      Le corps, c'est comme un moteur de voiture, il faut faire la vidange de l'huile.
      2 méthodes : la Pancha-Karma (pk) , et le jeûne.
    • La pk solubilise toutes les graisses (yc les toxiques), puis elle brûle les graisses par l'échauffement du corps (sauna).
      Cette méthode me semble appropriée pour les intoxications extérieures, nicotine, pesticides, peintures, ...
      Comme pour les chélassos, il faudrait pratiquer un sport de haute intensité (ex: monter des marches) pour atteindre le snc pendant l'action du ghee.
      Il serait intéressant de faire des analyses d'urine avant/après une séance de Pancha-Karma.
      Les traces de produits non-biologiques (pesticides, ...) présentes après et non présentes avant peuvent donner une indication.
    • Le jeûne brûle les graisses, les chaines d'atomes assemblées sur un squelette carboné sont cassées en éléments monoatomiques.
      Cette méthode est appropriée pour toutes les accumulations (plaques coronariennes, cancers...) dues au fonctionnement courant du corps.
  2. Détox de l'inorganique.
    • Pour les minéraux non-physiologiques, la chélation demeure la solution la plus raisonnée.
    • Pour les mix non-physiologiques de minéraux physiologiques, les bains froids semblent la solution appropriée.
      Les bains froids vont mettre un frein à l'immobilisme des capillaires. :lol: (je sais, c'est du Coluche)
    Ordonnancement : la détox de l'organique risque d'intoxiquer l'inorganique.
    La détox de l'inorganique est donc à prévoir avant et après une détox de l'organique - ou entremêlée.
  3. pH
    • La réforme alimentaire (bcp de légumes et un peu de viandes) est le seul moyen pour alcaliniser le corps.
    • L'activité physique quotidienne permet de désacidifier le corps.
    • Les bains froids permettent de palier aux méfaits de l'âge suite à la raréfaction des capillaires (-40%).
    Avec ces trois actions, tous les champs d'intoxication devraient être rendus salubres.
    Les maladies dégénératives devraient donc cesser d'évoluer ou être prévenues.


Maladie de Parkinson (MP)
    La MP semble être la maladie qui cumule des difficultés sur tous les champs d'application, pesticides organiques, ml, pH - c'est l'effet grand chelem : effet cocktail + l'âge.
    Elle nécessiterait donc l'application de tous les traitements ci-dessus, pk, bains froids, jeûnes, chélations, sport, & reforme alimentaire.

Autres maladies - Alzheimer, autisme ...
    Pour ces deux maladies, les métaux-lourds comme co-facteur reviennent très fréquemment dans les revues de littérature.
    Cependant il n'y a pas encore de consensus.
    Par prudence, il serait raisonnable de ne pas négliger le plan organique pour conforter la bonne santé.
    Les pesticides inorganiques devraient également être éliminés par les chélations.
    À chaque maladie, il faudrait trouver le bon mix de traitement face au mix des désordres.
    Les fortes améliorations après une chélation, ou après une pk, indiquent la technique à répéter de façon préférentielle.
    Après avoir dégrossi le diagnostique du mix des désordres, il faudrait donc insister sur les champs en particulier.

Substitut à l'activité physique pour traiter le snc.
    Pour les personnes qui peuvent difficilement faire des activités physiques de haute intensité, il existerait une solution de remplacement pour atteindre le snc.
    Un produit vaso-dilatateur (médoc ou gingembre) aidera à ouvrir les capillaires.
    Ce produit serait à ajouter aux solutions à boire (chélassos, ghee).
    Les bains froids activent également les capillaires cérébrales.
    La combinaison du bain froid et du produit vaso-dilatateur me semble être une solution alternative aux activités physiques de haute intensité.

Cerveau : Régénération et Plasticité - traitement de la dégénérescence et du retard du à l'autisme. [img]kator/smiley252.gif[/img]
    Il existe de nombreux leviers qui confortent la très faible régénération du cerveau, sport, alimentation, jeu d'échecs...
    La recherche expérimentale évoque la réouverture de la plasticité neurale.
    Selon les conf. du Collège-de-France, les cellules gliales se reconvertiraient en neurone (Si j'ai bien compris, il n'y aurait que l'axone qui serait empêché de repousser).
    Cependant, il me semble que l'exercice le plus payant passe par l'écriture au quotidien.
    Je me doute bien que, dans certains cas, c'est un effort sur-humain, blessant, et peu satisfaisant pendant de longs mois.
    Mais tout le cerveau s'active en écrivant.
    Ce qu'il ne peut résoudre sur l'instant, le cerveau le retient pour le traiter dans l'inconscient.
    Puis, il délivre sa conclusion à n'importe quel moment comme la madeleine de Proust.
    Illustration par mon expérience : rien que de recopier des auteurs classiques, Racine, Shakespeare, a provoqué chez moi des séries de cascades de reflexions auto-générées pendant de nombreuses semaines...
    C'est comme si le cerveau avait généré ses tentacules à tête chercheuse (synapses) pour résoudre ce qu'il ne parvenait pas à résoudre.
    Cela m'a refaçonné le cerveau comme s'il n'attendait que cela depuis toujours.
    Après une longue série de détox, l'écriture et la littérature comme exercices quotidiens me semblent opportunes pour régénérer le cerveau.
    Pour la pédagogie des enfants, la démarche de Céline Alvarez semble très pertinente.
     [img]smile/xread.gif[/img] [img]smile/xsmilegah.gif[/img] [img]smile/xidea.gif[/img]

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Serment d'Hyppocrate

Messagede Sophocle » Mar 22 Oct 2019 12:15

Au cours de mes pérégrinations, je me suis demandé ce qui motivait un médecin.
Je me suis donc intéressé au texte fondateur, le serment d'Hyppocrate.
Le serment d'Hyppocrate est un texte d'une époque et d'un lieu.
(Comme les mœurs d'un autre lieu et d'une autre époque nous sembleront toujours choquantes, des passages de ce texte détonneront.
Sur son site, l'ordre des médecins publie un serment d'Hyppocrate réécrit dans les mœurs d'aujourd'hui.)
Il apparait que ce texte dresse une longue liste d'interdits.
Cela est étonnant, je m'attendais à ce qu'un texte fondateur suscite des vocations.
Les bonnes pratiques y sont mêmes exigées par contrat sur l'honneur.
Cela est louable, mais tant de précaution fait apparaître à l'esprit de très mauvaises suspicions sur les médecins.
Un serment n'est que du théâtre, ce n'est qu'un texte pour rassurer ceux qui veulent y croire.
Cependant, ce qui ressort des lignes de ce texte, c'est que la médecine est une finalité et non un moyen.
Mais ça, c'est entre les lignes... [img]images/icones/icon12.gif[/img]


Selon la traduction d'Émile Littré, Hyppocrate a écrit:Je jure par Apollon, médecin, par Esculape, par Hygie et Panacée, par tous les dieux et toutes les déesses, les prenant à témoin que je remplirai, suivant mes forces et ma capacité, le serment et l’engagement suivants : Je mettrai mon maître de médecine au même rang que les auteurs de mes jours, je partagerai avec lui mon avoir, et, le cas échéant, je pourvoirai à ses besoins ; je tiendrai ses enfants pour des frères, et, s’ils désirent apprendre la médecine, je la leur enseignerai sans salaire ni engagement. Je ferai part des préceptes, des leçons orales et du reste de l’enseignement à mes fils, à ceux de mon maître, et aux disciples liés par un engagement et un serment suivant la loi médicale, mais à nul autre. Je dirigerai le régime des malades à leur avantage, suivant mes forces et mon jugement, et je m’abstiendrai de tout mal et de toute injustice. Je ne remettrai à personne du poison, si on m’en demande, ni ne prendrai l’initiative d’une pareille suggestion ; semblablement, je ne remettrai à aucune femme un pessaire abortif. Je passerai ma vie et j’exercerai mon art dans l’innocence et la pureté. Je ne pratiquerai pas l’opération de la taille, je la laisserai aux gens qui s’en occupent. Dans quelque maisons que j’entre, j’y entrerai pour l’utilité des malades, me préservant de tout méfait volontaire et corrupteur, et surtout de la séduction des femmes et des garçons, libres ou esclaves. Quoi que je voie ou entende dans la société pendant l’exercice ou même hors de l’exercice de ma profession, je tairai ce qui n’a jamais besoin d’être divulgué, regardant la discrétion comme un devoir en pareil cas. Si je remplis ce serment sans l’enfreindre, qu’il me soit donné de jouir heureusement de la vie et de ma profession, honoré à jamais parmi les hommes ; si je le viole et que je me parjure, puissé-je avoir un sort contraire !



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Décalaminage du cerveau / SNC

Messagede Sophocle » Jeu 24 Oct 2019 10:38

J'ai déjà évoqué ce sujet dans un sous-édit des chélassos.
Mais ce sujet est suffisamment important pour qu'il bénéficie d'un post dédié.


Le cerveau est isolé de la circulation générale sanguine, il est un sanctuaire bien gardé.
Un duvet d'astrocytes, aux jointures très serrées, crée, non une barrière, mais une épaisse muraille entre les neurones et les capillaires.
Contrairement aux autres organes dans lesquels les capillaires sont largement fenestrées de façon à ce que le plasma entre et sorte des capillaires, les capillaires du cerveau sont enveloppées par les astrocytes de façon à sécuriser et à filtrer l'intégralité des échanges.
À cause de ce duvet protecteur, les chélateurs ne rentrent pas dans le cerveau, ils sont donc très peu performants sur le snc.
    P38.jpg
    Illustration du duvet d'astrocytes entre le neurone et les capillaires.
    P38.jpg (26.33 Kio) Vu 24763 fois

    Références : p38 du support de la conférence de Magistretti au Collège-de-France.


Mais,
    Dans ce même support de conférence,
    il existe un passage ténu entre les capillaires et les neurones.
    Dans le schéma ci-dessous, le glucose passe de la capillaire à la synapse par deux circuits : 1: au travers des astrocytes et 2: entre les astrocytes.
    Le passage entre les astrocytes est évoqué à l'oral par le conférencier dans l'une des conférences de cette chaire.
    Ce passage direct est autant un talon d'Achille qu'une voie salvatrice.
    De façon chronique, c'est un talon d'Achille.
    Mais on peut renverser ce passage, la BHE n'est pas efficace à 100%, une faille existe, il faut l'exploiter.
    De façon sportive, c'est une voie salvatrice.
    P21.jpg
    Circuits du glucose entre le sang et la synapse.
    P21.jpg (35.1 Kio) Vu 24763 fois

    En montant les escaliers, le système artériel va pulser énormément de sang dans le cerveau afin de lutter contre la gravité.
    Voici un exemple extrême ; dans la vidéo suivante, on peut voir un passager d'un avion de chasse qui perd et qui reprend connaissance suite aux différents mouvements de l'avion et donc suite au mouvement du sang dans le cerveau.
    Au moment où l'avion vire, le sang se vide du cerveau, le passager perd donc connaissance.
    Quelques secondes après le virage, il reprend connaissance.
    Youtube, 40 sec : Perte et reprise de connaissance dans un avion de chasse.
    En montant des escaliers, le sang du cerveau s'écoule vers le bas du corps comme, dans une moindre mesure, dans le virage de l'avion de chasse.
    Pour éviter l'évanouissement en montant les marches, les système artériel réagit rapidement pour pulser énormément de sang vers le cerveau.
    Au moment où je fais une pause sur un palier après avoir monté une volée de marches 2 à 2, je ressens la circulation sanguine gronder dans la tête comme une rivière souterraine.
    À ce moment-ci, il me semble donc que la lymphe du cerveau est lavée à grandes eaux.
    C'est donc le moment pour y faire entrer le chélateur ou le ghee.

Alternances
    Par expérience, il serait préférable de répéter les séances d'escaliers à blanc (cad sans chélateurs ou sans ghee) de façon à faire sortir le chélateur ou le ghee (et donc les toxines).

Contre-indication, Lyme - bactéries - virus.
    Pour les personnes porteuses de Lyme, les bactéries pourraient éventuellement franchir la bhe.
    Dans un premier temps, il me semble donc préférable de se cantonner à boire la solution de façon à désintoxiquer les tissus ordinaires (cad hors snc).
    Le système immunitaire sera désintoxiqué.
    S'il y a avait une intoxication, Lyme devrait baisser.
    Tant que Lyme est actif, il me semble que la marche rapide, puis éventuellement des bains glacés, demeurent une alternative prudente et efficace.

Recouvrement de la tension par des bains froids.
    Selon le rapport de l’Anses, la dévascularisation cérébrale semble être un symptôme courant chez les ehs.
    Avant, je perdais connaissance en montant les escaliers.
    Mais ça, c'était avant les bains froids.
    Les bains froids ont multiplié les capillaires.
    Depuis que j'ai pratiqué les bains froids, je ne perds jamais connaissance y compris en montant les escaliers 2 à 2.

Alternative aux escaliers.
    Pour les personnes qui ne peuvent pas monter les escaliers, il existe une solution alternative :
    à la solutions chélatrice, ou au ghee, il faut ajouter du gingembre frais en tisane et prendre un bain froid.
    Le gingembre est un vaso-dilatateur, et le bain froid va activer les capillaires cérébrales.
    Cette solution est peut-être un peu moins efficace que les escaliers mais elle a été suffisamment efficace sur moi pour que je ressente des effets éclatants.
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Je suis en rémission (& Pointage des chélassos)

Messagede Sophocle » Sam 26 Oct 2019 13:56

Je suis en rémission :nux: : Les chélassos opèrent un effacement méthodique des céphalées.
Ma première pensée va à mes compagnons d'infortune, disparus ou encore souffrants : [img]smile/luvlove.gif[/img] [img]smile/malelovies.gif[/img]
Ma deuxième pensée va aux médecins français : [img]smile/fuck.gif[/img] [img]smile/fuck.gif[/img]

Dans Henry V, Shakespeare a écrit:Car, quand la mansuétude et la cruauté jouent pour un royaume, c’est la joueuse la plus douce qui gagne.

Je ne suis certes pas doux, mais en maintenant des diagnostiques dont leur absence de fiabilité est connue depuis de nombreuses décennies, les médecins français et les centres anti-poisons français s'exposent à la cruauté populaire. Les médecins français refusent de porter un visage de l'humanité. Je les invite à se reprendre. Sinon, la régularisation par l'extérieur de la médecine sera plus pénible qu'une régularisation par l'intérieur de la médecine.

Excusez cet importun étalage de bonnes nouvelles entremêlées de révolte.
Je ne suis qu'un homme ; les pensées viennent ainsi.
Les désagréments ont été longs et nombreux, je ne ressens donc pas vraiment de joie à cette bonne nouvelle.
Je ressens du soulagement mélangé à de la colère face à tout ce gâchis abondamment nié par les autorités.
Je prétends que je souffrais autant que Van Gogh, ou Nerval ou Artaud ou certains membres du forum.
Contrairement à ce que prétend la médecine française, on peut en revenir à 100%.
Et, je confirme que les chélassos de Dmsa et d’Edta sont beaucoup plus efficaces que les IV de Dmps et de znDtpa.
Face au progrès éclatants des chélassos, j'ai donc arrêté les iv.

C'est l'école de la mort qui m'a poussé à rédiger ce cahier de guérison comme un jardin intérieur.
L'idée de me faire dévorer par des vers de terre me scandalisait.
Comme se moque Shakespeare, je ne suis pas mécontent de redevenir un voyant aveuglé par la route que nous empruntons.
Dans Cymbeline où POSTHUMUS est condamné à mort, Shakespeare a écrit:LE GEOLIER : Votre mort a donc des yeux dans le crâne ? [img]smile/!eyemouth.gif[/img] [img]smile/!eyemouth.gif[/img] [img]smile/!eyemouth.gif[/img] je n’en ai jamais vu ainsi représentée. Il faut ou que vous soyez dirigé par quelqu’un qui prétend le savoir, ou que vous prétendiez vous-même savoir ce qu’à coup sûr vous ne savez pas, ou enfin que vous hasardiez une reconnaissance à vos risques et périls. Comment vous réussirez au bout de votre voyage, je crois que vous ne reviendrez jamais le dire à personne.
POSTHUMUS : Je te le déclare, l’ami, tout le monde a des yeux pour se diriger dans la route que je vais prendre, hormis ceux qui les ferment et ne veulent pas s’en servir.
LE GEOLIER. : Quelle immense plaisanterie ! Est-ce qu’un homme peut avoir l’usage de ses yeux pour voir la route qui l’aveugle ! Je suis bien sûr que la pendaison est le chemin de la cécité.



Je remercie tous mes compagnons de route :
  • En premier : Ptit Gars, pour sa grande humanité et pour son forum.
  • Les intervenants sur mon topic, spécial Ugh à Gogote - & je n'oublie pas les membres en mp.
  • Les lecteurs du topic, qui m'ont été très très utiles.
  • Mon médecin chélateur (je crois qu'on l'appelle le doc du nord sur le forum).
  • Sur Youtube : Thierry Casasnovas ; Fabien Moine, Naturopathe ; Guy de Cancer Therapy.
  • Le Collège-de-France, pour ses conférences qui suggèrent institutionnellement la misère de la médecine allopathique et qui présentent la supériorité de la naturopathie.
  • Et les grands auteurs (Molière, Hugo,...) qui ont dénoncé la médecine française.
    Devant la littérature, les médecins devraient demeurer modestes et ils devraient laisser les avenues de l'esprit aux grands auteurs.
    Les médecins devraient se cantonner à s'occuper de phénomène physico-biologiques, c'est là leur cœur de métier.
    Un peu de modestie médicale fait du bien à l'égo, cela permet aux patients de cheminer en sérénité.



***








La rémission est en cours, mais elle n'est encore pas accomplie au moment où j'écris ces lignes.
Je dois cheminer encore pendant quelques temps.
Je pointe donc ici mes chélassos au fil des semaines.

Pointage des chélassos
    Méthode standard (sauf contre-indication) :
    1. Marche rapide 30',
    2. Ingestion de la Solution (edta : ,75g ; dmsa : 0,4g) pendant la marche (à 15' après le début de la marche, il faut 15' our boire 1l)
    3. Escaliers 2 à 2
    4. Bain froid : 15°, 15'

  • 1, 2, ...9eme séance : les neuf premières chélassos sont rapportées dans un post un peu plus haut : Pratique des Chélassos.
  • 10ème séance - 26 sept - RAS - Ralentissement des améliorations éclatantes.
  • 11ème séance - 28 sept - RAS - bf : 30'. Je vais passer régulièrement la tête sous l'eau froide tant que les chélateurs sont en circulation (env. 12h selon l'odeur des urines).
  • 12ème séance - 29 sept - Déminéralisation. voir paragraphe : Escaliers un post précédent.
  • 13ème séance - 10 oct (0,75g Edta ; 0,4g Dmsa). Marche 30', ingestion solution, escaliers, bain froid. Pas de déminéralisation, j'ai bu qq ampoules d'eau de quinton en prévention de la déminéralisation.
  • 14ème séance - 22 oct. J'ai doublé le nombre de volées à monter. Je ressens le sang circuler dans le cerveau comme une rivière souterraine qui gronde...
    Quelques léger progrès à postériori. Je continu donc dans cette lancée.
    ... Sur le plan des céphalées, je suis clairement en rémission. Mais les picotements ne baissent aussi rapidement que les céphalées.
    La peau demeure plus difficile à désintoxiquer que le cerveau.
    J'envisage de faire une analyse d'urine quand je n'aurai plus de céphalées.
    Si elles étaient positives, je continuerai les chélassos jusqu'à ce que les analyses soient négatives.
  • 15ème séance - 26 octobre. Pas de bf, mais un sauna avec massage à l'huile.
    J'ai monté 3 x ma petite colline. Le tout en courant.
    J'ignorais que j'avais cela en moi.
    De séances en séances, l'endurance se consolide.
    Pas d'effet éclatants pour l'instant (2h après la séance).
    Je devrais voir les premiers effets le lendemain matin
    ...Au lendemain, les progrès sont au rdv. Pas de déminéralisation, je continue à ajouter 1 ou 2 ampoules de quinton dans mon eau minérale.
  • 28 octobre : l’ehs a baissé, je n’ai plus à couper le disjoncteur toutes les nuits.
  • 16ème séance - 2nov 2019. RAS, pas de bf. les progrès baissent conformément à la raréfaction des ml mais les progrès sont présents.
    Avant les chélassos, je tenais 2 nuits consécutives en laissant le disjoncteur allumé.
    Maintenant, j'ai pu faire 3 nuits avec le disjoncteur allumé, et l'inflammation était à 50% de qu'elle était à deux nuits avant les chélassos.
  • 17ème séance - RAS, pas de bain froid. 9 nov. Avant la séance, je n'avais déjà plus de céphalées qui ressemblaient à une torture chinoise.
    Il n'y aura donc pas d'améliorations éclatantes.
    3ème séance d'affilé sans bain froid. Les améliorations ne sont pas aussi folichonnes qu'attendues, je devrais reprendre les bains froids pour voir s'il n'y avait pas de progrès plus éclatants, mais je n’ai plus accès à une baignoire.
    Je ne soufre plus de maux de tête au quotidien, je n'ai que des maux de tête intempestifs et par intermittence.
    Mais de chélassos en chélassos, la tendance de ces maux est à la baisse.
    Le confort cérébral s’installe comme une neige.
    Je rentre dans une phase peu-à-peu asymptomatique au niveau des douleurs mais j'ai encore des difficultés à me concentrer sur des sujets intenses et qui exigent une réponse rapide.
    Le langage tac-o-tac pâtit encore de manque de satisfaction à postériori.
    Dans quelques séances, il faudra que je fasse une analyse de métaux-lourds pour voir où j'en suis au niveau des ml.
    J'envisage de reporter cette prochaine analyse à la mi-janvier car nous sommes en période de saturation des transporteurs de colis et de promesses de grève.
    Il n’y a pas d’effets sur la peau ni l’epaule. J’attribuais ces symptômes aux ml, cela est une erreur. Sans certitude, je les attribue désormais aux micro-organismes.
  • 18eme séance, 24 nov. 0,3g dmsa & 0,75g Edta. J’ai atteint un plateau en zig-zag. La séance a réduit les maux de tête mais les maux reviennent en 15 jours. J’attribue cela au rebond et au relargage depuis les os. Cette séance a également effacé 50% des maux que j’avais bien au foie suite à l’intox au he. Je ne m’y attendais pas, j’ai peut-être un point de concentration au niveau du foie. Cette période est pleine de haut et de bas à cause de mes expériences sur les amocassos.
  • ...


Dernière édition par Sophocle le Dim 24 Nov 2019 16:17, édité 4 fois.
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Re: La Détox ultime par la naturopathie et par la littératur

Messagede un_ptit_gars » Lun 28 Oct 2019 09:51

Et bien quel plaisir de lire que tes multiples recherches et expérimentations portent leur fruit Sophocle!
Bravo a toi, ça fini tjrs par payer qd on ne lache rien... :)

Au plaisir de lire la suite de tes progrès!! :clap:

Pti gars
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