TOUT SE DÉTOX

Quand la santé revient enfin, il faut le dire et même le crier!

Re: La Détox ultime par la naturopathie et par la littératur

Messagede Sophocle » Mer 24 Juin 2020 09:23

Merci Catpower. :jap:

Quitte à guérir et quitte à ce que justice soit rendue, quand faut y aller, faut y aller.

Contrairement au coronavirus dont la médecine affirme qu'elle est privée de solution, les CAP traitent toutes les intoxications aux métaux-lourds.
De toute façon, si les gens sont intoxiqués et qu'ils ne sont pas traités, c'est qu'il existe nécessairement un problème.
Comme le dit Didier Raoult à propos du conseil national sanitaire, les Cap sont des bléreaux dans leurs terriers.
Ils se sont accaparés d’une discipline, ils empêchent donc quiconque de traiter.
Même si le diagnostique officiel est reconnu comme peu fiable par la littérature scientifique, ils font passer ce diagnostique pour fiable quitte à laisser tomber tous les faux-négatifs.

Or, les centres antipoison revendiquent une politique publique qui consiste à ne pas donner des traitements quand le diagnostique est positif.
De plus, avec panache, ils sèment la terreur sur les médecins qui traitent.

Refuser un traitement, c'est une chose ; mais interdire le traitement de plusieurs millions de français, cela en est une autre.
Je rappelle que, selon le Collège-de-France, le million d'Alzheimer est porteur de métaux-lourds non décelables dans le sang.

Avec la plainte, il n'y a rien à perdre et tout à gagner.
Cependant, quand je montre, à des médecins, les pratiques publiques et les menaces publiques que font les centres antipoison :
leur visage exprime une très forte contrition. [img]images/icones/icon5.gif[/img]
Ils en perdent le langage et les avantages tirés de ces pratiques les privent d'exprimer une quelconque indignation.

De telles menaces et de telles pratiques sont choquantes, il est donc tout-à-fait normal que les cap s'expliquent devant la justice.

Si la plainte était retenue par le juge, cela sera alors une vraie partie de plaisir. :lol:
Mais, comme le suggère Shakespeare dans Coriolan, ça : il ne faudra pas le montrer au procès.
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Traitement de l'intra par le rebond

Messagede Sophocle » Lun 29 Juin 2020 19:41

Au chapitre du plomb (4.14) du document alpha, il y a écrit:Un défi à relever lors du traitement par chélation de l'intoxication chronique au plomb est un rebond du taux de plomb dans le sang qui se produit peu de temps après la fin du cycle de chélation. Ce rebond est observé avec tous les agents chélatants qui ont été utilisés dans l'intoxication au plomb et est probablement dû à la lenteur de la mobilisation du plomb dans les os et, dans de nombreux cas, nécessite des calendriers de chélation répétés.




Traitement de l'intra
  • En dépit de nombreuses chélations, mon expérience me montre que des métaux-lourds demeurent dans l'intra.
    Les chélassos (solubilisations) ont cependant beaucoup aidé. Les chélassos ont quasiment éliminé les maux-de-têtes permanents (inflammations des méninges) qui sévissaient depuis des années.
    les chélassos ont bien traité les méninges qui souffraient durablement.
    Malheureusement, elles ne sont pas parvenues à bout des symptômes.
    Quelques fatigues demeurent, et quelques céphalées.
    Il me semble que des ml demeurent dans l'intra, ce lieu est inaccessible par le chélateur.
    Je ne suis donc vraiment pas convaincu que les chélateurs lipophiles franchissent la membrane cellulaire.
    Cependant, je confirme que les chélateurs lipophiles peuvent évoluer dans des tissus gras hors d'atteinte aux chélateurs hydrophiles.
    Par exemple, du fait de leur lipophilie, les chélateurs lipophiles seraient les seuls chélateurs à pouvoir circuler dans la mœlle osseuse.
    De plus, l'extrait ci-dessus illustre que des métaux-lourds demeurent dans l'intra en dépit de tout chélateur.
    Mais,
    parce qu'il existe toujours un "mais",
    ce lieu se traite avec le rebond et des micro-chélassos : sortie lente des ml de l'intra vers l'extra par diffusion et micro-doses de chélassos.
  • Le rebond est la réapparition de métaux-lourds après que les diagnostiques de fin de traitement soient sortis négatifs.
    Cette réapparition parvient de la migration des ml de l'intra vers l'extra par diffusion.
    Pour traiter l'intra, il faudrait donc attendre que les métaux-lourds ressortent lentement, puis il suffit de faire un petit balayage.
    Cette sortie à bas débit peut donc durer très longtemps.

Traitement du rebond
  • Pour traiter le rebond, je continue à prendre de l'Ala dans des solubilisations d'huile.
    J'ai donc préparé une bouteille de 250 ml avec 85%hv sésame, 5% Ala, 5% léc. soj., 5% he.
    J'ajoute également un peu d'huiles essentielles (que je fais tourner de bouteilles en bouteilles ) pour maintenir la pression sur les MO.
    Dans l'eau à mixer, j'ajoute également les sels de Schüssler (2g max/l) pour aider au drainage des cations bi-valents.
    J'ai donc également préparé une bouteille d'eau minérale avec les sels.
    Afin de monter en valence, j'ai également ajouté du sel de sodium citrate tri-sodique aux sels de Schüssler.
    C'est un anion tri-valent non toxique qui aurait une faible affinité avec les métaux lourds tri-valents.
    Cet anion chélate majoritairement le calcium (traitement des calculs), il faudra donc demeurer exigent sur l'apport de minéraux par les légumes.
  • Je prépare donc deux bouteilles, une d'eau minérale avec 2g de sels, l'autre d'huiles.
    De temps à autre, une fois par semaine, à jeun, je verse un peu d'eau de la bouteille d'eau dans un verre, je secoue la bouteille d'huile d'où je verse une càc dans le verre d'eau, et je mixe.
    Afin de ne pas gaspiller les principes actifs, la posologie est donc très faible car elle est proportionnée au bas débit de fuite de la sortie des ml.
  • Pour bien traiter l'intra jusqu'au bout, je compte bien conserver ce traitement pendant de nombreuses années quitte à le réduire à quelques semaines pendant un semestre.



Avancement dans le processus global

    Bien que j'ai tout fait à l'envers, je place ci-après mon avancement actuel dans un programme global et ordonnancé de détox, j'en suis au point F : Rebond.
    Les conclusions de ce programme global de détox ont été établies après trois années de pratique naturopathique dont la recherche à pas-à-pas a été consignée tout au long de ce topic.


  1. Traitement de l'huile
    • Réforme alimentaire définitive : légumes et un peu de viandes, quelques écarts si ça passe
    • Un unique jeûne hydrique de trois-quatre jours
  2. Traitement des émonctoires, techniques salines, cures, sels de Schüsller dans l'eau minérale, ...
  3. 5 bains froids 15' à 15°, renforcement (quasi-définitif) :
    • tension artérielle
    • mitochondries
    • capillaires
  4. Traitement de l'eau : Métaux-lourds
    • Rappel : commencer par des micro-doses pour vérifier l’inocuité et installer l’habitude.
    • Mini-Test de provocation par oral dont le dosage solubilisé de chélateur est à 20 % d'une iv et dont la concentration est 150 fois moindre.
      0,2g edta, 0,1g dmsa, 2g bcs dans 1/2l d'eau. à mixer. Ces 2 chélateurs sont hydrophiles et à large spectre.
      + Analyses pré-chélation et post-chélation pour établir formellement l'intoxication tissulaire avec le différentiel de valeurs.
    • Solubilisation de chélateurs hydrophiles jusqu'à fin des effets, edta, dmsa en posologie modérée
      Faire un diagnostique dans un labo français et appeler le centre antipoison
    • Solubilisation de chélateur lipophile jusqu'à fin des effets, Acide alpha lipoïque en posologie modérée
      en option : des chélateurs hydrophiles peuvent être ajoutés
  5. Traitement des micro-organismes : He dans la bouteille de solubilisation des produits lipophiles (+Ala), jus d'ail frais, ...
  6. Traitement du rebond de métaux-lourds et des mo à long terme en très faible posologie avec la solubilisation de l'Ala et des He.

    Remarques 1
      Il est très courant que chaque étape paraisse fastidieuse.
      Chaque intoxiqué adaptera ce programme à son rythme, (exemple : le jeûne de trois jours peut-être fractionné en 5 jeûnes d'un jour).
      Cependant, cet ordonnancement général précis minimise les complications et les risques d'incident de l'étape suivante.
      • La réforme alimentaire va éliminer les toxines glucidiques et lipidiques.
        Avec cette réforme, l'huile qui circule dans le corps sera toujours comme neuve (un peu comme après une vidange de moteur de voiture).
        Cent fois mieux pour cent fois moins cher que les compléments, les légumes vont également renflouer le corps en minéraux. Cela permettra de passer la campagne de chélateurs sans déminéralisation.
      • Le traitement des émonctoires va permettre de les retaper en éliminant les calculs, et autres impuretés.
        Cela va permettre aux émonctoires de supporter aisément la campagne de chélation.
      • Les bains froids vont restructurer tous les tissus (y compris ceux des émonctoires) avec un maillage fin des capillaires et des mitochondries.
        Les bains froids sont une étape essentielle, il restaurent la tension et la pulsabilité des organes.
        Les bains froids permettront une très bonne percolation des produits.
      • Le début de traitement par chélateurs hydrophiles désamorcera les redéposes des chélateurs lipophiles.
      • Surtout, le rodage de la chélation permettra de résoudre un incident de mobilisation de ml après un traitement de mo.
      Cet ordonnancement permet d'écluser les toxines par ordre de façon à chaque étape se déroule dans les meilleures conditions de sûreté et d'efficacité.


      Il également important de suivre ses intuitions, mais :
      La règle d'or est d'établir une posologie à faible dose, à rythme régulier et de façon continue (ne pas oublier de respecter les fenêtres thérapeutiques).
      Pour augmenter la posologie, il n'est pas préférable d'augmenter les doses mais il est préférable de rapprocher des prises fractionnées.

Remarques 2
    En échange en mp, j' a écrit:Tout d'abord, les bains froids et la réforme alimentaire seraient les premiers gestes à installer.
    Si cela ne guérit pas, cela permet de renforcer significativement le cerveau.
    Pour la chélation, il faut vraiment commencer par des micro-chélassos pour voir comment réagit le corps.
    Même s'il réagit un peu bizarrement au début, il faut laisser passer et retenter pour s'habituer au traitement.
    Peu a peu, les effets un peu bizarres disparaissent, chez moi il n'a fallu que quinze prises d'Ala.
    Lors de mes premières gélules de Ala, j'avais les yeux qui regardaient au plafond, c'était un peu bizarre.
    La dose n'était pas très forte (0,2g d'ala en grumeau de gélule).
    Mais certaines personnes ne supportent pas plus de 0,05g, voir moins.
    Mais il faut commencer par le dmsa, puis l'edta, qui sont beaucoup moins problématiques.
    Une fois que le dmsa et l'edta ont fini leur effets bénéfiques, il faudra alors passer à l'Ala.
    Le dmsa et l'edta auront désamorcé des éventuels difficultés de l'Ala.
    Puis, on peut monter peu-à-peu.
    Maintenant, je peux prendre 1 gramme sans effet secondaire, sauf que ça n'a plus d'effet bénéfique car ce qui était nettoyable a été nettoyé.
Dernière édition par Sophocle le Ven 10 Juil 2020 18:00, édité 1 fois.
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CAP - 09 - RECOMMANDATIONS BONNES PRATIQUES

Messagede Sophocle » Jeu 9 Juil 2020 18:00



J'ai un peu avancé dans mes échanges avec le centre antipoison.
Pas mal d'édits ont été consignés au précédent post :
CENTRE ANTI-POISON - 06 - RDV


Suite à ma demande : voici les recommandations des bonnes pratiques que le centre antipoison m'a transmit.
Ce sont donc recommandations sans auteur et avec consensus : donc pas de responsabilité car dilution des responsabilités.

Ces recommandations évitent soigneusement le sujet des métaux qui ne sortent qu'avec le chélateur, mercure, arsenic, ... (CELA EST FAUX)
Ces recommandations évitent soigneusement le sujet de l'EDTA et du DMSA : des chélateurs assez sûrs, performants et en vente libre.

Extrait des recommandations :
    La majorité des éléments métalliques sont présents et mesurables chez la plupart des individus et l’administration d’un chélateur en augmente l’excrétion urinaire chez tous : la comparaison des concentrations mesurées dans ces circonstances aux valeurs de référence en population générale est évidemment erronée.


Ce que dit que cet article, c'est que le diagnostique post-chélation n'est pas recevable car les conditions de diagnostiques ne sont pas conformes aux conditions dans lesquelles les normes ont été établies.
L'élimination significative des métaux-lourds est un donc un affront aux normes. :lol: :lol: :lol:
Les métaux-lourds sont sortis hors des normes, cela n'est pas recevable.
C'est pour cette raison-ci que les centres antipoison refusent de traiter.

Pour que ce diagnostic soit recevable, il faut que ce test fasse l'objet d'un étalonnage de la charge en métaux-lourds stockés dans la population générale.

Pour un médecin du centre antipoison, le retrait des métaux toxiques est du second ordre derrière la norme.
À la Eichmann : sa défense consistait à dire qu'il n'a fait qu'appliquer la règle.
Hannah Arendt a philosophé sur le sujet : c'est le totalitarisme de l'idée.
Le réel a tord s'il donne tord à l'idée.
Dans le cas des centres antipoison, c'est le totalitarisme de la norme.
L'individu et le traitement des éléments toxiques sont superflus devant la méthodologie inaliénable de la norme.
Épatant. :sarcastic:


Pour illustrer la démarche des centres antipoison :
Hannah Arendt et le totalitarisme, texte : Les Origines du totalitarisme
    Voici quelques notes de ce court texte :
      Une idéologie se veut expliquer le monde.
      L'idéologue ne se souci jamais du ici et maintenant.
      L'idéologie réduit le complexe du réel.
      L'idéologie se passe des hommes.
      Obéir à la loi même si elle est immorale.
      Quand il y a terreur, il y a totalitarisme.
      Quand il n'y a plus d'opposition, il y a totalitarisme.
      Quand il y a constitution d'une philosophie scientifique, il y a totalitarisme.
      La vraie pensée est la distinction entre le vrai et le faux ; le totalitarisme efface cette pensée.



Commentaire sur la politique médicale occidentale
    Ce que montre le texte suivant, c'est que toute la médecine occidentale est basée sur une lacune des intoxications tissulaires.
    La lacune est trop scandaleuse pour être publique, elle est donc tue.
    De plus, cette lacune nécessiterait de recalibrer les normes, or cela est le dada de la science.
    Dans ce cadre, une telle procrastination est coupable.


Recommandations transmises par le CAP :
Diagnostic des intoxications par des métaux ou des métalloïdes et mésusage des chélateurs
CONSENSUS
MOTS CLÉS Mercure ; Métal ; Empoisonnement ; Agent chélateur
Mercure, plomb, arsenic, aluminium, cadmium, cobalt, chrome... L’inquiétude sur la présence dans notre environnement d’éléments approximativement désignés sous l’intituléde « métaux lourds » est de plus en plus répandue, relayée et amplifiée par les médiaset par internet (commentaire perso de sophocle : j'ajoute le Collège de France :lol: ). Cette peur est exploitée, y compris parfois dans la communauté médicale, chez un nombre croissant de patients en errance thérapeutique et sert de prétexte à de pseudo-diagnostics d’intoxication puis à divers et coûteux traitements non validés voire dangereux. Sans attendre la fin des polémiques sur les effets sanitaires de telle ou telle exposition chronique, des données suffisantes existent pour évaluer dès maintenant les outils diagnostiques utilisés, notamment les métalluries provoquées [img]kator/smiley223.gif[/img]. À l’image de leurs homologues américains [1] et dans l’intérêt des malades abusés qui les interrogent fréquemment, la Société de toxicologie clinique et la Société française de toxicologie analytique ont souhaité réagir et faire une mise au point scientifique sur l’usage et le mésusage des chélateurs.

Les seules indications de l’administration de chélateurs sont les intoxications par certains métaux ou métalloïdes, en particulier les intoxications par le PLOMB, le MERCURE et l'ARSENIC. Le diagnostic de l’intoxication par un métal nécessite toujours l’association :
    • de signes cliniques et/ou paracliniques traduisant les effets toxiques connus du métal ;
    • et de valeurs élevées d’indicateurs biologiques validés de l’exposition ou de la doseinterne du métal.

L’exposition chronique à certains métaux ou métalloïdesest associée à un risque élevé de certains cancers (parexemple, l’exposition à l’arsenic est associée à une augmentation des risques de carcinomes cutanés, de cancerbroncho-pulmonaire, de cancer des voies urinaires et deplusieurs types de tumeurs hépatiques), mais les tumeurs surviennent longtemps après le début de l’exposition et souvent, longtemps après qu’elle a cessé ; l’administration de chélateurs n’en est pas un traitement et il n’y a pas, àce jour, de preuve qu’elle les prévienne. Contrairement à ce qu’affirment certaines publications para-scientifiques (et avec elles, certains praticiens), il n’y a pas de preuve suffisante d’une association causale entre une contamination par un élément métallique et certaines affections, tellesque l’autisme, la sclérose en plaques, la maladie de Parkinson, le syndrome de fatigue chronique, la goutte, les maladies cardiovasculaires, la dégénérescence maculaire ou la myofascite à macrophages. Chez ces malades comme chez n’importe quel individu, l’administration de chélateurs ne peut se justifier que si le diagnostic d’intoxication est établi par la constatation d’effets toxiques caractéristiques de la substance et d’une élévation de la concentration d’un ouplusieurs indicateurs biologiques de l’exposition et/ou de la dose interne.

Les indicateurs biologiques d’exposition ou de la dose interne utilisés pour le diagnostic de l’intoxication par un élément métallique sont des paramètres scientifiquement validés. Des indicateurs de référence sont identifiés pourla surveillance des expositions et le diagnostic des intoxications par les principaux métaux et métalloïdes(1). Des bases de données nationales et internationales permettent d’identifier ces indicateurs et les valeurs de référence utilisables pour chacun d’entre eux (par exemple, en France, la base Biotox, publiée par l’Institut national de recherche etde sécurité [INRS]).

Les indicateurs biologiques d’exposition ou de dose interne qui ne sont pas validés ne peuvent être utilisés pour le diagnostic d’une contamination par un métal. Leur emploi dans ce but par un praticien ne peut traduire que l’ignorancede ce dernier [2]. Les exemples les plus fréquents de tests non validés improprement employés pour démontrer une contamination par un élément métallique sont la mesure de concentrations salivaires (éventuellement, après mastication), le dosage simultané d’un grand nombre d’éléments dans divers milieux et les tests de provocation. Ces derniers consistent à mesurer la quantité ou la concentration d’un élément dans les urines après l’administration d’un chélateur. Il existe des tests de provocation validés pour un nombre limité de métaux et qui sont applicables dans des conditions précisément déterminées : nommément, pour le cuivre (dans le cadre de la maladie de Wilson), pour le fer (dans le cadre de l’hémochromatose) et pour le plomb (pour décider du traitement de l’intoxication saturnine, à certains niveaux de plombémie). La majorité des éléments métalliques sont présents et mesurables chez la plupart des individus et l’administration d’un chélateur en augmente l’excrétion urinaire chez tous : la comparaison des concentrations mesurées dans ces circonstances aux valeurs de référence en population générale est évidemment erronée. Plusieurs sociétés savantes nord-américaines ont publié des mises au point destinées aux praticiens et au public sur l’emploi abusif de ces tests prétendument diagnostiques[3—5].

Pour que les résultats des analyses soient interprétables, les dosages de métaux doivent être réalisés dans le respect de règles strictes visant les conditions du prélèvement, de son transport et de sa conservation, ainsi que la qualité de l’analyse par le laboratoire. Celui-ci doit se conformer aux bonnes pratiques de laboratoire et avoir mis en place des procédures de contrôle de qualité internes et externes [6]. Le prescripteur doit s’assurer du respect de l’ensemble de ces procédures de contrôle de qualité. Une dizaine de laboratoires français des secteurs public et privé répartis sur le territoire national sont en capacité d’effectuer des dosages de qualité de tous les éléments métalliques d’intérêt. Le choix d’un laboratoire doit toujours être motivé et le recours à un laboratoire situé en dehors du territoire national doit être fondé sur des arguments techniques et/ou économiques précis.
Le dépassement de la valeur de référence en population générale d’un indicateur biologique d’exposition (ou de la dose interne) n’implique pas automatiquement l’indication d’un traitement chélateur. Les chélateurs efficaces ne sont pas dépourvus d’effets indésirables et leur emploi doit s’appuyer sur une évaluation des risques pour la santé, prenant en compte les relations dose—effet de la substancetoxique et la tolérance du médicament. Les indications des traitements chélateurs sont, en pratique, bien codifiées dans tous les traités de toxicologie médicale.

L’usage abusif de chélateurs, en l’absence d’indication validée, est une pratique rapidement croissante en Europe et en Amérique du Nord. Qu’elle traduise une dérive commerciale exploitant l’anxiété et la fragilité de certains patients ou seulement l’ignorance de l’état actuel des connaissances par les prescripteurs, c’est une conduite inacceptable. Elle est assez souvent aggravée par le fait que les mêmes praticiens proposent de fournir à leurs patients (et à des prix prohibitifs) :
    • des médicaments qui ne sont pas commercialisés enFrance, en prétextant d’une plus grande efficacité (en France, c’est le cas du dimercaptopropane sulfonate[DMPS], dont le pouvoir chélateur n’est pas, dans la plupart des indications potentielles, supérieur à celui d’autres médicaments présents sur le marché et qui peut être responsable d’accidents thérapeutiques sévères ; c’est la raison pour laquelle, il n’est, en principe, pas disponible dans notre pays) ;
    • des médicaments « naturels » sans effets thérapeutiques démontrés : ail, bentonite, chlorelle et autres algues,coriandre (cilantro), chlorophylle, cystéine, spiruline,vitamine C.
Aux États-Unis, après des essais inefficaces d’information des prescripteurs au cours des années 2000, certains organismes professionnels recommandent de pénaliser les prescriptions abusives [7].

(1) Par exemple, pour :
  • le plomb : la plombémie ;
  • le mercure inorganique, la concentration sérique ou urinaire du métal;
  • le mercure organique, la concentration du mercure dans le sang total ou dans les cheveux ;
  • l’arsenic inorganique, la somme des concentrations urinaires d’arsenic inorganique, d’acide mono-méthylarsonique et d’acide diméthylarsinique ou d’arsenic dans les cheveux.

Références
[1] McKay Jr CA. Introduction to special issue: use and misuse ofmetal chelation therapy. J Med Toxicol 2013;9(4):298—300.
[2] Seidel S, Kreutzer R, Smith D, McNeel S, Gilliss D. Assessment ofcommercial laboratories performing hair mineral analysis. JAMA2001;385:67—72.
[3] Ruha AM. Recommendations for provoked challenge urine testing. J Med Toxicol 2013;9:318—25.
[4] American college of medical toxicology. American college ofmedical toxicology position statement on post-chelator challenge urinary testing. J Med Toxicol 2010;6:74—5.
[5] Goldman RH, Woolf A. http://www.pehsu.net/documents/chelation therapy guidance general public goldman woolf2012.pdf
[6] Wang RY, Caldwell KL, Jones RL. Analytical considerations inthe clinical laboratory assessment of metals. J med toxicol2014;10:232—9.
[7] Burton BT. ACMT chelation position adopted by Oregon medicalboard. J Med Toxicol 2014;10:244.
    MESUSAGE.pdf
    DOCUMENT TRANSMIS PAR LE CAP (Scan d'une image)
    Au moment où j'écris ces lignes, le contenu de ce texte n'est pas disponible en ligne sur le site officiel (y compris en s'abonnant) :
    https://www.em-consulte.com/article/1003121/resume/diagnostic-des-intoxications-par-des-metaux-ou-des
    Seule l'entête est disponible.
    Il semble que ce texte soit disponible en payant (environ 30e).
    En chinant sur internet, j'ai retrouvé une copie PDF.
    (1.13 Mio) Téléchargé 385 fois

    MESUSAGE CHELATEUR.pdf
    Copie native du document transmis par le CAP en PDF.
    Au cours des 6 dernières années, j'ai fait bcp bcp de recherches sur internet, et je n'étais absolument jamais tombé sur ce texte (ni sur un tel texte).
    C'est le seul texte qui affirme qu'il faut faire un diag post-chélation...
    Même le document alpha n'est pas aussi directif.
    (281.05 Kio) Téléchargé 5505 fois
Page web (non publique, article payant 30e en 2020, puis sur abonnement 55e 2021 - achat à l'unité indisponible) : https://www.em-consulte.com/article/100 ... aux-ou-des
Archive de la page web 25 mars 2021 : https://web.archive.org/web/20210325102 ... aux-ou-des
Le fait que cet article soit payant le rend invisible sur internet. Or, les centres antipoison me l'ont transmis avec mon dossier médical.
S'ils l'opposent aux appelants, il siérait que cet article soit publié sur le site des centres antipoison. Or cela n'est pas le cas, cela est louche, très louche. [img]images/icones/icon12.gif[/img]
page web : http://www.centres-antipoison.net/
Webarchive : https://web.archive.org/web/20210227070 ... oison.net/





Autre sujet.
Liste de mes appels au centre antipoison (si ce n'est pas du harcèlement, ça [img]kator/smiley225.gif[/img]
Image


Suite à la relecture, le mail suivant est obsolète.
Au CAP, le 9 juillet, j' a écrit:Bonjour Madame (Secrétaire du Dr X).

J’ai bien reçu des éléments et je vous en remercie.

Suite au RAR, je vous prie de bien vouloir m’adresser un bordereau avec la liste des documents transmis.
Quand ça fait dix ans que j’urine des métaux-lourds, la moindre des choses, c’est que le médecin signe son compte-rendu dans lequel il annonce que mon diagnostique n’est pas recevable parce que les trop hautes valeurs de métaux-lourds n’ont pas été établies dans les conditions d’établissement des normes.

J’ai demandé un compte-rendu, je veux un vrai compte-rendu avec les formes du compte-rendu revêtu de la signature de son auteur.
Je ne reconnais donc pas le document adressé comme un compte-rendu de la consultation demandé au RAR.
Au mieux, ce sont des notes manuscrites.
Pour qu’un compte-rendu soit recevable, je rappelle que les personnes présentes ont le droit d’émettre des remarques.

De plus, un article est adjoint.
Cet article n’est pas des recommandations aux bonnes pratiques.
Dans cet article, aucune recommandation n’est faite.
De plus, cet article n’est pas présent sur le site de promotion des CAP.
Je ne reconnais donc pas ce document comme les recommandations cités par le docteur X.
Je fais une copie papier de ce courriel avec les pièces reçue et je l’envoie par RAR au Docteur X.

Meilleures salutations
Sophocle



Voici mon commentaire sur l’article que j’ai reçu:

Pour un médecin du centre antipoison, le retrait des métaux toxiques est du second ordre derrière la norme.
À la Eichmann : sa défense consistait à dire qu'il n'a fait qu'appliquer la règle.
Hannah Arendt a philosophé sur le sujet : c'est le totalitarisme de l'idée.
Le réel a tord s'il donne tord à l'idée.
Dans le cas des centres antipoison, c'est le totalitarisme de la norme.
L'individu et le traitement des éléments toxiques sont superflus devant la méthodologie inaliénable de la norme.


Pour illustrer la démarche des centres antipoison, Voici quelques notes d’ Hannah Arendt et le totalitarisme, texte : Les Origines du totalitarisme :
Une idéologie se veut expliquer le monde.
L'idéologue ne se souci jamais du ici et maintenant.
L'idéologie réduit le complexe du réel.
L'idéologie se passe des hommes.
Obéir à la loi même si elle est immorale.
Quand il y a terreur, il y a totalitarisme.
Quand il n'y a plus d'opposition, il y a totalitarisme.
Quand il y a constitution d'une philosophie scientifique, il y a totalitarisme.
La vraie pensée est la distinction entre le vrai et le faux ; le totalitarisme efface cette pensée.


    À la représentante des droits des patients, j' a écrit:Bonjour Madame (La représentante).

    Suite à la diffusion du listing d’appel échangés avec le CAP, il me semble qu’il existe un compte-rendu de l’appel du 13 mai 2019 à 11h57.
    Cet appel parvient du CAP suite à mon envoi de diagnostique par mail.
    Cet envoi était une demande de mon interlocuteur au cours de mon appel du matin à 9h51.

    L’appel de 11h57 a été passé par une secrétaire qui m’a proposé d’être traité à condition que j’acceptais de ne pas être reconnu.
    J’ai dit oui. Puis la secrétaire m’a passé un médecin qui m’a fait parler pendant environ 10 à 20 minutes.

    Au médecin, j’ai raconté la fatigue, les maux de tête, …
    Au bout d’un échange de 10 à 20 minutes, le médecin m’a demandé si j’étais fumeur ou chasseur, j’ai répondu non.
    J’ai ajouté que cela venait peut-être des amalgames.
    Mon interlocuteur m’a dit : « vous êtes sur une ligne d’urgence, au revoir » et il a raccroché.

    Le 7 octobre 2019, après une minute de présentation, mon interlocuteur m’a mis en attente pendant plusieurs minutes.
    Puis, il m’a dit qu’il a retrouvé mon dossier et qu’il fallait que je revienne avec des diagnostiques français.

    Il existerait donc un compte-rendu de l’appel du 13 mai à 11h57.

    Je fais donc une demande de transmission du compte-rendu de l’appel du 13 mai 2019 à 11h57.
    Pour ce compte-rendu-ci, une copie de notes manuscrites me conviendra.
    Si elle n’existait pas, il n’est pas nécessaire d’en faire une mise au propre.
    Je fait également une demande à ce que le temps d’appel de cet échange téléphonique me soit adressé.

    Meilleures salutations
    Sophocle
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CAP - 10 - LE GAG

Messagede Sophocle » Mar 14 Juil 2020 07:21


CORRECTION
    Je désactive ce post car j'ai fait une erreur d'interprétation

28 OCTOBRE - actualisation
    Pas de nouvelles de la justice.
    Bien que les centres antipoison m'ont raccroché au nez et qu'ils n'ont pas procédé à des contrôles d’intoxication aux ml, la situation n'était officiellement pas urgente (voir post du défenseur des droits). je m'attends donc à ce que les centres antipoison soient acquittés avant qu'il y ait jugement.

    J’avais engagé ces démarches administratives car je n’avais pas encore compris que les références n’avaient pas été établies. Même si les médecins sont en indélicatesse avec l’art de la médecine, l’absence de références dédouane les centres antipoison juridiquement. Les centres antipoison français sont des Al Capone : ils échappent légalement à la justice. Grace à une absence de références, ils peuvent refuser de traiter car le diagnostique post-chélation n'est qu'une page blanche faute de références officielles.






GEORGES CLEMENCEAU a écrit:
    « LA GUERRE ! C'EST UNE CHOSE TROP GRAVE POUR LA CONFIER À DES MILITAIRES »

Adaptation politico-littéraire :
    La santé ! C'est une chose trop grave pour la confier à des médecins.




Oh le Gag ! :gla: :gla: :gla:
    Après avoir écrit le post précédent et après avoir échangé avec le CAP, j'ai relu le texte des recommandations transmis par le CAP.
    Je l'avais mal lu, et j'étais resté (à tord car j'étais intoxiqué par les infos du CAP) sur l'interdiction du diag post-chélation (2ème partie du texte).
    Or, ce texte, en première partie, affirme qu'il est indiqué de faire un diag post-chélation pour le mercure, plomb et arsenic, voir passage en rouge dans la citation du post précédent.
    La 2ème partie concerne uniquement les métaux physiologiques, cuivre, fer, à faible dose...
    Oh la blague, le CAP a mal lu le texte des recommandations...
    :hurle: SCANDAL SCANDAL !
    Pour les ml, ils ont inversé le protocole.
    En dépit des recommandations de la STC, le CAP a conservé sa politique anti-test de provocation crié sur tout les toits lors de l'affaire Marie-Christine Boutrais.
    Comme pour Dreyfus, le pot-aux-roses a été livré par les coupables. :lol: :lol: :lol:
    Oh, les pieds-nikelés... j'y crois pas...
    J'ai appelé le CAP pour qu'il relise le texte.
    Au moment où j'écris ces lignes, je suis en attente de leur relecture.

Diachronie
    Ce texte est daté du 17 août 2015, il est publié par la Société Française de Toxicologie Analytique.
    Il est co-écrit avec la STC, citée dans les notes de consultation.
    Dans les dates, il fait suite au texte des prédicateurs intoxicologues marseillais des CAP du 6 mai 2015 :
    Dosages urinaires post-chélation des métaux lourds et pseudoscience : il faut agir ! (publié sur la même plate-forme.)
    Dans son texte; la SFTA évoque la polémique.
    Fait-elle également référence à la fermeture du service de Rouen, MC Boutrais ?
    Les CAP se sont donc fait souffler dans les bronches, et ils ne s'en sont même pas aperçu...
    [img]kator/smiley243.gif[/img]




Petit résumé des bonnes recommandations transmises par le CAP (le bon cette fois-ci)
    Dans ce texte de recommandation, la provocation par chélation est indiquée pour le plomb, le mercure et l'arsenic. waouuu.
    Il me semble que le cuivre et le fer peuvent avoir des taux de provocation élevé et non pathologique.
    Pour certains métaux (cu, fe) physiologiques, la comparaison avec les taux sanguin de la population n'est donc pas valable.

Voici les notes manuscrites de ma consultation par le Docteur X:

Image
Retranscription :
Télé-consultation téléphonique
Car pas de matériel vidéo patient
CF Appels CAP
16/06/20 (docteur X)
Intox "métaux-lourds" : mercure ?
m'informe qu'il a porté plainte contre notre service
Taux élevés de métaux après chélation
Dit être amélioré par la prise d'EDTA à 75 % puis acide a lipoïque
Tb (trouble) concentration
Souhaite être - chélaté par dimercaprol
(Souhaite être) - reconnu intoxiqué par les métaux-lourds
livre 'chélation thérapy'
Source évoquée = amalgames dentaires, qui ont été retirés
Fait des bains de bouche "plus" (ou "salin', j'ai dit salins)
dosage 12/2019 a été fait après chélation
-> J'explique comme précédemment que nous ne pratiquons pas de chélation dans des situations similaires conformément aux recommandations de bonne pratique (STC).
Le patient me dit qu'il obtiendra ses "droits" par voie juridique.


Petit Commentaire perso
    Selon le CdF, les excès de de cuivre, le fer, et le zinc sont concomitants à l'Alzheimer.
    Comme le cuivre physiologique est séquestré dans des protéines, il me semble opportun de chélater jusqu'à ce que le taux rejoigne le plancher.
    Un métal peut se confiner en forte concentration dans un seul organe, son diag peut donc passer sous une référence valable pour tout le corps.
    Contrairement à ce propose ce texte en attendant la fin de la polémique, il me semble préférable de chélater jusqu'à tous les niveaux soit au plus bas.
    Un régime alimentaire en légume pourvoira aux minéraux essentiels.


Édit 1
Plainte
    J'ai été apporter ces nouveaux documents à la plainte initiale.
    Plainte.pdf
    Extraits de la plainte initiale et du dernier complément.
    (1.75 Mio) Téléchargé 393 fois


Edit 2
ANSES et Collège de France
    Avec ces recommandations, il est possible de recommander des études tissulaires concernant les EHS à l'ANSES.
    Avec les conférences du Cdf (maladies dégénératives), il va également être possible de tester toutes maladies chronique...



Édit 3
Trahison
  • Les médecins es CAP appliquent donc volontairement le contraire de leurs recommandations de façon à laisser pourrir des personnes qui sont éligibles au traitement.
    Dans l'histoire de l'humanité, ça ne fait que peu de temps qu'on dispose des molécules pour traiter une intoxication incurable.
    Mais, les médecins, dans l'orgueil de leur empire, ont réussi à priver les intoxiqués des traitements.
    Les médecins sont très singuliers.
  • Tout comme de mauvais outils font de mauvais ouvriers, de mauvais diagnostiques font certes de mauvais médecins.
    Mais quand des avocats maintiennent volontairement de mauvais diagnostiques au détriment de bons diagnostiques recommandés par les bonnes pratiques, cela fait d’eux des traîtres.
    Il en est de même avec les médecins.
    Sans scrupule, les médecins français se foutent de notre gueule.
    Je n'avais pas besoin de ce texte pour savoir que les CAP étaient des traitres :
    Un texte qui interdit aux pompiers d'éteindre un feu peut-il exister ?
    Il en est de même avec les médecins.
    Un texte qui interdit de traiter du mercure, du plomb, de l'arsenic ne peut pas exister.



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Demande au Défenseur des Droits

Messagede Sophocle » Jeu 16 Juil 2020 19:24

Ce jour, j'ai adressé une demande au défenseur des droits.
Le 16 juillet 2020.



À Monsieur X, défenseur des droits.

De Sophocle.




Cher Monsieur,

    Comme évoqué au cours de nos échanges, je vous adresse mon dossier de demande concernant le refus de traitement des métaux-lourds par les centres antipoison français.


Dénouement
    9 juillet 2020 : Transmission des éléments d’information par le CAP.

    ◦ Compte-rendu de consultation (notes manuscrites). Dans son compte-rendu, la médecin a écrit : « (...) Intox "métaux-lourds" : mercure ? (...) Taux élevés de métal après chélation (…) -> J'explique comme précédemment que nous ne pratiquons pas de chélation dans des situations similaires conformément aux recommandations de bonne pratique (STC). »

    ◦ Recommandations de bonne pratique (Article : "Diagnostic des intoxications par des métaux ou des métalloïdes et mésusage des chélateurs"). Dans ces recommandations, il y est écrit : " Sans attendre la fin des polémiques sur les effets sanitaires de telle ou telle exposition chronique, des données suffisantes existent pour évaluer dès maintenant les outils diagnostiques utilisés, notamment les métalluries provoquées. À l’image de leurs homologues américains [1] et dans l’intérêt des malades abusés qui les interrogent fréquemment, la Société de Toxicologie Clinique (STC) et la Société française de toxicologie analytique ont souhaité réagir et faire une mise au point scientifique sur l’usage et le mésusage des chélateurs. Les seules indications de l’administration de chélateurs sont les intoxications par certains métaux ou métalloïdes, en particulier les intoxications par le plomb, le mercure et l’arsenic. Le diagnostic de l’intoxication par un métal nécessite toujours l’association : • de signes cliniques et/ou para-cliniques traduisant les effets toxiques connus du métal ; • et de valeurs élevées d’indicateurs biologiques validés de l’exposition ou de la dose interne du métal. "



Commentaire :
    Dans son CR, le médecin indique que la recommandation est de ne pas traiter dans des cas similaires aux miens (hauts niveaux de métaux post-chélation, mercure, plomb, arsenic). Or, dans le texte des recommandations cité par le médecin, la provocation est indiquée pour le mercure, le plomb et l’arsenic. Les recommandations de bonne pratique mobilisées par le médecin stipulent donc explicitement le contraire de ce qu’affirme le médecin.

Polémique scientifique :
    Le test officiel est une simple prise de sang (sans provocation par chélation) à partir de laquelle a été établie les normes en vigueur. Un test de provocation est un test qui force l’excrétion des métaux, les taux sont donc élevés à l’analyse, les conditions des normes en vigueur ne sont donc pas reproduites. Depuis quelques décennies, le test de provocation est devenu une mode. Faute de consensus sur l’étalonnage, la question des normes se pose car les normes hors chélations sont parfois récupérées par les tests de provocation. Selon les recommandations de la STC, l’excès de certains métaux, fer, cuivre, n’indique pas nécessairement une intoxication. En 2015, les CAP ont vigoureusement pris position en indiquant que les tests de provocation relevaient de la pseudoscience (voir article « Il faut agir »). Selon les CAP, le test de provocation ne serait donc absolument pas recevable pour indiquer une intoxication sur tout métal. Quelques mois plus tard, la STC a publié cette mise au point scientifique dans laquelle elle indique que la provocation de quelques métaux (mercure, plomb, arsenic) est indiquée. En dépit que le CAP ait adopté ce texte comme recommandation, il semble que le CAP n’a pas lu les recommandations.


Listing des échanges avec le CAP de 2014.
    Autre document transmis par le CAP le 9 juillet 2020 : Certificat médical avec la liste de mes appels pour alerter sur ma situation. Depuis 2014, j’ai passé 13 appels au CAP. Aucun appel n’a abouti, sauf celui du 27 janvier 2020 au cours duquel j’ai menacé de porter plainte si je n’obtenais pas une consultation.

    Consultation avortée : Le 13 mai 2019 à 9h51, mon interlocuteur m’a demandé d’envoyer mes diagnostiques, chose que j’ai faite immédiatement. Le CAP m’a rappelé à 11h57 ; cet appel a avorté après dix minutes d’échanges avec un médecin. Le médecin m’a demandé si j’étais fumeur ou chasseur, j’ai dit non ; j’ai ajouté que les amalgames étaient la source de l’intoxication. Le médecin a répondu : « vous êtes sur une ligne d’urgence, au revoir » puis il a raccroché.

Symptômes en 2013
    Au plus fort des désordres, et donc avant les chélations, je portais de nombreux symptômes intempestifs qui se bousculaient : marche difficile ; tête lourde ; imprécisions dans les gestes ; articulation orale déficiente par intermittence ; sensations articulaires multiples ; impossibilité à planifier ; amnésies transitoires ; difficultés à se concentrer ; semi-évanouissements en montant des escaliers ; oublie de fin de la phrase en cours de prononciation ; difficulté à écouter durablement autrui ; impossibilité à faire du sport d'endurance ; impossibilité à lever des masses lourdes ; déséquilibres ponctuels ; sensation de brulures ; grésillements sous la peau ; sensation d'étirements osseux ; sensations de courbatures ; céphalées furtives, céphalées profondes, céphalées ineffables ; électro-sensibilité sévère ; confusion ; bourdonnements continus et virevoltants dans la cavité crânienne ; fatigues en tout genre, fatigues chroniques, fatigues aiguës, fatigues temporaires, fatigues transitoires, fatigues palpitantes ; mal au dos ; légère arthrite ; barbe piquante ; démangeaisons des ongles ; visage raidi ; méningite ; photophobie ; audiophobie ; agoraphobie ; sommeil court et non réparateur ; impossibilité de se projeter dans l'avenir ; anxiétés pour un rien, et tant d'autres pathologies encore...

Plainte :
    Depuis 2008, j'ai eu plusieurs symptômes telles que fatigues maux de tête, insomnies, apraxie, aphasie, agnosie, hypo-tension, électro-sensibilité de manière chronique. Ces symptômes se sont aggravés depuis 2008. J’ai dû arrêter de travailler en 2011. J'al consulté plusieurs médecins généralistes, mais je n'ai eu aucun diagnostique. En 2012, Un médecin cancérologue, le Docteur BELPOMME m'a diagnostique comme électro-sensible. En 2014, une amie m'a contacté pour me dire que son dentiste lui avait dit que les symptômes que j'avais pouvaient venir des amalgames. Elle m'a conseillé d'acheter un livre "la vérité sur les maladies émergentes" de Françoise CAMBEYRAC. Dans ce livre, tous mes symptômes correspondent à une intoxication aux métaux-lourd. Dans ce livre, il écrit de contacter l'éditeur pour avoir une liste de médecins qui sont sensibilisés aux questions relatives à l'intoxication aux métaux lourds. J'ai contacté le premier médecin que j'ai pu consulter. Il m'a expliqué que pour révéler une intoxication tissulaire chronique il fallait faire un test de provocation. Une intoxication tissulaire chronique ne peut pas être révélé par une prise de sang classique. Il faut prendre un traitement Chélateur avant de faire des tests. Ce traitement permet de faire sortir les métaux lourd des tissus. J'ai pris ce traitement puis j'ai fait un test urinaire. Ce test a été fait dans un labo en Allemagne. Ils font une analyse de 30 métaux et sur les résultats, j'ai un taux trop élevé de mercure, de plomb, d'arsenic et de cuivre. Le mercure et le cuivre proviennent des amalgames. Lorsque j'ai eu ces résultats en septembre 2014. J'ai contacté le centre antipoison ils m'ont indiqué qu'ils allaient me recontacter, ce qu'il n'ont jamais fait. J'ai pris le traitement pendant 2 ans. Il s'agit du DMPS. En 2015. J’ai rappelé le centre anti poison suite à de nouvelle analyse. Mais de nouveau ils m'ont dit qu'ils allaient me rappeler, ce qu'ils n'ont jamais fait. J'ai appelé 3 ou 4 fois de nouveau le centre antipoison, à chaque fois on m'indique que l'ont va me recontacter mais cela n'abouti jamais. En mai 2019, j'ai de nouveau appelé j'ai pu leur envoyer mes analyses par mail. Un médecin m'a appelé, et pendant 20 min, il m'a demandé de lui expliquer. Le médecin m'a demandé si j'étais chasseur ou fumeur, ce à quoi j'ai répondu non. J'ai alors dit au médecin que cela provenait des amalgames le médecin m'a alors répondu "vous êtes sur une ligne d'urgence, au revoir''. Le 30/12/2019, j'ai fait des analyses d'urines dans un labo Français. Mon taux de cuivre est trois fois plus élevé que la normale. J'ai rappelé le centre antipoison. Ils m'ont demandé de transmettre la copie des analyses par mail et ils m'ont dit qu'il allait me rappeler, ce qu'ils n'ont Jamais fait. Le 27/01 vers 18h00. J'ai de nouveau appelé le centre antipoison. Je les ai menacé de déposer plainte et on m'a alors communiquer le numéro des consultations. Le 28/01 vers 8h30. J'ai appelé le numéro des consultations pour avoir un rendez-vous, mais la secrétaire m'a indiqué que je n'avais pas de dossier chez eux. Elle m'a indiqué qu'elle allait me rappeler. Lorsqu'elle m'a rappelé plusieurs heures après, elle m'a indiqué que j'avais rendez-vous le 17/03/2020 à 10h00. Ils m'ont demandé de venir avec des urines de 24h sans avoir pris le traitement, ce qui va faire un faux négatif.

    Je voudrais modifier certaines déclarations. à savoir : Ils m'ont demandé de venir avec des urines de 24 heures, sans avoir précisé de prendre le traitement. Ce qui va faire un faux négatif. Je voudrais aussi rajouter des déclarations. à savoir : qu'en novembre 2018. Je consulte un médecin. Le docteur X qui appelle le centre antipoison Pour qu'ils prennent contact avec moi afin de convenir d'un rendez vous. Ce centre antipoison me rappel pour prendre rendez vous. J'indique que j'ai une intoxication aux métaux lourds, et que mes analyses sanguines sont négatives. La secrétaire me répond qu'il n'y aura pas de traitement. Je demande, à ce qu'un médecin confirme cela. Après un moment d'attente. Elle me dit qu'un médecin a confirmé. La discussion prend fin.

    Le février 2020, je suis venu à votre service afin de déposer plainte contre le centre Antipoison qui n'a pas voulu faire l'examen de mon intoxication des métaux-lourds et qui refuse de prendre en charge mon dossier. Suite à mes démarches j'ai réussi à obtenir un rendez-vous téléphonique auprès du Docteur X le 17/03/2020. La consultation téléphonique a eu lieu le 16/06/2020. Durant notre conversation téléphonique, je lui ai annoncé que j'ai une intoxication des métaux lourds, il avait mon dossier sous les yeux, j'ai demandé une reconnaissance et le traitement. Le médecin a répondu par la négative.

    Je veux joindre à ma procédure, une prise de note et une argumentation, établi par le médecin, qu'il m'a envoyé à ma demande. Dont je vous remets copie. Je précise que dans son argumentation, le médecin refuse de me traiter, en précisant qu'il agit conformément aux recommandations de bonne pratique. J'ai donc demandé les informations sur les recommandations de bonne pratique. Le médecin m'en a envoyé suite à ma demande. Ces recommandations stipulent explicitement le contraire de ce qu'il affirme. Je joins également la liste de mes 13 appels depuis le 21-07-2014, au centre antipoison de l'hôpital SAINT LOUIS. Au cours desquels ils ont refusé de me prendre, et en dépits des recommandations de bonnes pratiques qui recommandaient de me prendre. 

Diagnostiques personnels des métaux en excès en nombre de fois la norme
    (exemple : x2 = 2 fois la norme)
    Nota : les valeurs représentent des flux et non des stocks. Les valeurs n’indiquent donc pas une quantité totale du métal dans le corps.

    Décembre 2018 :
      • mercure x30
      • cuivre x10
      • arsenic x8
      • manganèse x3
      • plomb x3
      • nickel x2.5
      • argent x2
      • étain x2

    Avril 2016 :
      • mercure x30
      • cuivre x17
      • plomb x8
      • arsenic x6
      • nickel x4
      • manganèse x3
      • strontium x2

    Octobre 2015 :
      • mercure x30
      • cuivre x12
      • arsenic x8
      • plomb x6
      • manganèse x3
      • nickel x2

    Mars 2015 :
      • mercure x11
      • cuivre x5
      • plomb x4
      • manganèse x3
    Septembre 2014 :
      • mercure x30
      • cuivre x8
      • plomb x6
      • arsenic x2
      • étain x2
      • manganèse x2


Mon intoxication aujourd’hui.
    Suite à de très nombreuses chélations en automédication, à ce jour, mes analyses sont négatives. L’urgence est écartée, cependant des symptômes demeurent : troubles de la concentration. Les chélateurs en vente libre n’explorent pas tous les recoins du corps, notamment l’intérieur de la cellule. Selon la littérature scientifique, les métaux-lourds demeurent dans le corps après les campagnes de chélation, puis ils ressortent au compte-goutte tardivement. Je demande donc un traitement qui est sous prescription. Ce traitement est plus puissant, il explorerait l’intérieur des cellules : le Dimercaprol.

Pièce annexes
    • 2012 01 31 BELPOMME CERTIFICAT EHS
      Certificat d’électo-sensibilité. Les symptômes d’électrosensibilité se manifestent par des désagréments immédiats et/ou à retardement à proximité d’un source électrique alternative (téléphone portable, électricité 220V, …).
    • 2014 09 18 Microtrace Diag Metaux Allemagne
      Diagnostique post-chélation dans le laboratoire allemand.
    • 2015 05 06 Centre AntiPoison - Article publique – « Il faut agir »
      Article « scientifique » publié par le CAP de Marseille. Le CAP de Marseille annonce un refus de reconnaissance des tests de provocation.
    • 2015 07 14 Veille Acteurs de Santé - Fermeture Orléans
      Communiqué de presse. Le service de chélation du CHR de Rouen ferme de façon précipitée suite à la publication du CAP de Marseille.
    • 2015 10 15 Microtrace Diag Metaux Allemagne
    • 2016 04 11 Microtrace Diag Metaux Allemagne
    • 2018 12 10 Microtrace Diag Metaux Allemagne
    • 2018 03 13 RAPPORT ANSES EHS
      Rapport de 2018 de l’ANSES sur l’éléctro-sensibilité (Ehs). Les métaux-lourds sont une piste de recherche pour la cause de l’Ehs. Les études pratiquées avec le test conventionnel indiquent qu’il n’y a pas de corrélation. Il est également indiqué que les études avec le test de provocation sont manquantes (p203/359) Remarque : le test conventionnel est frappé de faux-négatifs systémiques. Cela est ignoré par les auteurs du rapport de l’ANSES.
    • 2019 05 13 CAP Dossier 778554 diagnostiques All
      Courriel d’envoi des 4 diagnostiques allemands au CAP.
    • 2019 12 30 Biomnis Diag Cuivre France
      Diagnostique français positif au cuivre.
    • 2020 01 22 CAP Dossier 1910005083 Diagnostique Cuivre Fr
      Courriel d’envoi du diagnostique français positif au cuivre
    • 2020 01 28 CAP RDV de consultation 17 mars
      Lettre de consultation pour le 17 mars 2020. Report pour des raisons personnelles puis Covid, la consultation a eu lieue le 11 juin 2020 à 11h30 par téléphone.
    • 2020 02 04 Plainte + compléments
      Copie de la plainte initiale et de ses 3 compléments.
    • 2020 07 09 CAP APPELS certificat
      Listing des échanges téléphoniques avec la plate-forme du CAP. À chaque appel, j’ai alerté sur ma situation. Aucun appel n’a abouti sauf celui où j’ai menacé.
    • 2020 07 09 CAP COMPTE-RENDU CONSULTATION 16 JUIN
      Compte-rendu de la consultation transmis par le CAP.
    • 2020 07 09 CAP RECOMMANDANTIONS BONNES PRATIQUES
      Article des mésusages des chélateurs écrit par la STC , texte des recommandations de bonnes pratiques
    • 2020 07 09[CAP][gmail.com][+]transmission éléments dossier médical
      Courriel (au format informatique original) du CAP avec le CR (notes consultation), les recommandations, et le listing d’appels.
    • Carte identité



Les métaux-lourds et le Collège de France
    Conférences disponibles sur le site internet du Collège de France, cliquer sur le lien.

    • ‪Nano-objets magnétiques pour l'imagerie médicale‬‬‬
      Conférence par Clément Sanchez dans le cycle des applications médicales.
      59:42 à 1:07:00 Magnéto-sensibilité (= électro-sensibilité). – Champ Magnétique Alternatif . Sur la diapositive, il est écrit :
      ◦ "Électro-stimulation neuro-musculaire" à une certaine fréquence.
      ◦ Séquences d'une heure sans désagrément
      Le phénomène d'Ehs y est décrit, il est d'ailleurs produit et reproduit pour traiter les tumeurs.
Les métaux-lourds en nuage chauffent lorsqu’ils sont exposés aux ondes. Cependant, les métaux-lourds injectés aux patients sont arrangés de façon à ce qu'ils soient éliminés à terme.
      Des cancéreux sont volontairement traités aux métaux-lourds de façon à ce que les métaux se dirigent vers les tumeurs. Application d'un champ magnétique de façon à faire chauffer les métaux-lourds, et donc tuer la tumeur avec précision et maitrise.
      Fréquences, désagréments, absorption, nature des nps, hyperthermie, taille, travail magnétique...
      Commentaire perso, sur les causes de l'Ehs, tout est dit. Or, l’ANSES prétend que les causes de l’Ehs ne sont pas connues.

    • ‪Oxydes métalliques et stress oxydant‬‬‬
      Conférence du 28/01/2015 dédié à la toxicité des cations (ions positifs):
      à 5:40 activité red/ox qui génèrent des ROS (radicaux réactifs). Dissolution des métaux, formation cationiques, double problème :
      1 : nombre important de cations, problème de lyse, pompe à protons parce qu'il va y avoir énormément d'échange d'ions,
      2 : le potentiel d'acceptance dans la solution, des effets secondaires du cuivre en solution.
      ... les métaux divalents (Hg2+, Pb2+) sont coupables de problème d'éclosion des embryons (changement de valence, surtout les bi-valents).
      à 9:15 Hiérarchie du stress oxydant :
      ROS: espèces oxygénées réactives liées aux nps, NOS espèces nitrogène oxydantes liées aux nps.
      Ces espèces (ROS et NOS) existent dans le vivant, mais les quantités sont petites, et elles sont éliminées.
      Les nps créent des surplus, naissance de problèmes.
      Réponse de niveau 1, réponse normale de l'organisme (aux doses physiologiques et courantes) : enzymes, anti-oxydants, gluthation.
      Réponse de niveau 2, excès de ROS et NOS, signalisation en cascade, inflammation, cytokyne, tnf alpha... nécrose tumorales.
      Réponse de niveau 3, (à ne pas atteindre), le flux de calcium touché, les mitochondries touchées ( le moteur est touché, baisse ATP, perméabilité membranaire, caspases, apoptose ) maladies du stress-oxydant : vieillissement, athérosclérose, cancer, neurodégératives, inflammations chroniques.
      à 9:05 Sur la diapositive : Principaux mécanismes de toxicité des nps.
      -Cu, -Ag, Pb, Hg2+ ->
        o Ros, cations toxiques,
        o endommagement lysosomes,
        o dépliement des protéines,
        o ADN dégâts / Stress oxydant,
        o inhibe ATP
        o et enzymes respiratoires.
      (Commentaire perso : Inhibe ATP = Défonctionnalisation de la cellule ; par échelle Inhibition de l'ATP = défonctionnalisation généralisée du corps = fatigue chronique)
      à 21:15 diapo : paradigme prédictif en toxicologie permettant l'évaluation des risques présentés par les nps.
      à 22:09 diapo cellule en niveau 3
      à 41:30 Selon certaines familles de nps, le fer est oxydé : il passe de Fe2+ à Fe3+, conformation et liguant changés.
      à 44:47 diapo : rupture lysosomale par effet pompe à protons
      à 46:10 le fer baisse la solubilité de nps, donc baisse de la toxicité. Aspect toxique sur la solubilité (la solubilité baisse la toxicité).

    • ‪Quand aurons-nous des traitements efficaces pour traiter la maladie d'Alzheimer ?‬‬‬‪ ‬‬‬
      ‬Conférence tenue par Bernard Meunier, directeur au CNRS.
      à 27 :00 les traitements actuels d’Alzheimer sont toxiques et inefficaces
      à 27 :25 lien entre excès de cuivre, excès de fer, excès de zinc et Alzheimer.
      Ces métaux apparaissent en excès à l’autopsie du cerveau.
      Sur la diapo : le taux de ces métaux dans le sang est normal.


    • ‪Modèle de maladies psychiatriques‬‬‬
      Conférence tenue par Alain Prochiantz, neurobiologiste et directeur du Collège de France
      ‪à 12 :50 Facteurs communs des maladies neuro-dégénératives: âge, environnement, tabac, sport, armée, champs électromagnétiques, pesticides, plomb, métaux-lourds, modification chromatine.‬‬‬

Mes deux demandes sont les suivantes :
    Suite au dévoilement des recommandations de bonne pratique dont la date de publication est de 2015,
    - en dépit des refus des centres antipoison, je demande un traitement médical contre une intoxication aux métaux-lourds, mercure, plomb, arsenic.
    - je demande également une reconnaissance rétroactive de mon intoxication à la date du premier diagnostique.

    Extension de demande : les premiers symptômes sont apparus en 2008. J’ai pu travailler jusqu’en 2012, une reconnaissance à partir 2012 m’arrangerait. Je dispose d’un certificat d’électro-sensibilité établi par le Professeur Belpomme. Dans le rapport de l’ANSES de 2018 sur l’EHS, la piste des métaux-lourds est évoquée. Faute d’études par provocation, la piste d’intoxication tissulaire de métaux-lourds est encore en suspens. Cependant, des conférences du Collège de France rapportent que les médecins savent produire et reproduire le phénomène d’électro-sensibilité avec des métaux-lourds. Ce certificat sous-tend donc que l’intoxication était déjà présente en 2012.


Autre information, indication d’un cahier
    Sur Internet, je tiens un cahier personnel sur l’intoxication. Je ne place pas ce cahier ce dossier. Je ne demande pas à ce que ce cahier soit lu. Je l’indique pour montrer que mon histoire est déjà écrite. Page : ‪La Détox ultime par la naturopathie et par la littérature.‬‬‬‪ ‬‬‬‬


Glossaire :
    CAP : Centre AntiPoison.
    Chélateur : antidote, produit médical qui traitre spécifiquement les métaux-lourds
    Chélation : acte de traiter par un chélateur
    Ehs : Électro-sensibilité
    Métal : ion positif , cation
    Nps : Nano-Particules
    STC : Société de Toxicologie Clinique
    Post-chélation : juste après chélation
    Provocation (=test de provocation) : analyse d’urine post-chélation (métallurie provoquée) ; analyses à partir d’un échantillon d’urines prélevé précisément 1h30 après l’injection du chélateur (moment du pic de charge). Ce test provoque la mobilisation des métaux lors de l’analyse.



1er OCTOBRE
En réponse, le défenseur des droits m' a écrit:
    Le Défenseur des droits a décidé de ne pas engager une médiation avec le CENTRE ANTI POISIN Paris Lariboisière- Fernand pour les motifs suivants. Les Centres anti poison sont régis par le Code de la Santé Publique articles D 6141-37, 38, 39, 41. Les missions sont définies comme suit : information du public, pose d’un diagnostic pour répondre à une urgence d’intoxication, identification du traitement adapté.

    Le Siège du défenseur des droits considère que le CAP est l’équivalent du Samu pour les cas graves mettant en danger immédiat la santé du patient, ce qui n’est pas le cas dans votre situation.


3 OCTOBRE
    Sophocle a écrit:... Ces articles de loi me font surgir le même sentiment que celui rapporté par Stendhal dans ‘Racine et Shakespeare’ à propos de l’Académie Française :
    "Ce sont des fers couverts de fleurs" (de mémoire), à ceci près : je n’ai pas trouvé de fleurs.

    Depuis notre dernier entretien, j’ai enfin compris la raison pour laquelle les centres antipoison m’ont refusé :
    C’est parce que la prestigieuse médecine occidentale n’a pas établi les références de la charge corporelle en métaux-lourds stockés en population générale.
    Par voie de conséquence, elle ne sait pas statuer si mes taux inquiétants sont toxiques ou pas.
    Faute de référence, tout diagnostic n’est qu’une page blanche.

    Il me semble que les Défenseur des Droits ne peut être saisi et j’ai adressé une demande au Ministre de la Santé.

    Je vous prie de bien vouloir lire cette demande (qui est placée au post suivant : ÉCRIRE AU MINISTRE DE LA SANTÉ (post du 2oct- page 27).
    S’il vous semblait que le Défenseur des Droit pouvait être utile dans l’accompagnement de cette demande, voulez-vous bien me le signaler.
    ...


23 NOVEMBRE
Le Défenseur des Droits m' a écrit:
    Pour répondre à votre souhait, j' ai transmis au service juridique du Siège de la Défenseure des droits l'ensemble des pièces que vous m'avez transmises.
    J 'ai proposé que la Défenseure des droits se saisisse du problème de santé publique que vous soulevez.
    La décision qui sera prise vous sera communiquée directement par le Siège de la Défenseure des droits.


13 déc, Pas de nouvelles
15 janvier, je relance par mail.

le 25 janvier 2021, le DDD m' a écrit:... J'ai l'honneur d'accuser réception de votre correspondance par laquelle vous appelez mon attention sur votre situation. Je vous précise que la référence XXXXXXX lui a été attribuée. Je vous remercie par avance de bien vouloir rappeler celle-ci dans tout échange de correspondance concernant cette affaire.
Mes services vont procéder à l'examen de votre réclamation et vous informeront des suites que je pourrai lui réserver, au regard des différentes compétences qui m'ont été attribuées par la loi organique du 29 mars 2011 relative au Défenseur des droits.
Si, à propos de cette affaire, vous aviez présenté une demande semblable à quelque organisme que ce soit, ou engagé une procédure devant les juridictions, ou encore si une décision de justice a été rendue et que vous n'y avez pas fait référence dans votre courrier, je vous remercie par avance de bien vouloir le préciser et faire parvenir les documents utiles à mes services.
Si durant l'instruction conduite par mes services la situation pour laquelle vous m'avez saisi trouve sa solution, je vous remercie également de bien vouloir m'en informer.
Enfin, j'appelle dès à présent votre attention sur le fait que la saisine du Défenseur des droits ne vous empêche pas, si vous le souhaitez, de saisir toute juridiction compétente, dans le respect toutefois des délais de prescription applicables.


15 AVRIL 2021
Réponse certes défavorable mais le Défenseur exprime une sensibilité à la situation.
Cela indique que la situation choque.
L'émotion contre la filière de toxicologie gagne donc du terrain.

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Re: La Détox ultime par la naturopathie et par la littératur

Messagede Catpower » Jeu 16 Juil 2020 20:34

C'est excellent Sophocle!!! J'espère que tu seras entendu, pour toi et pour nous tous.
Catpower

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Re: La Détox ultime par la naturopathie et par la littératur

Messagede Sophocle » Ven 17 Juil 2020 16:20

:jap: Catpower
    J'espère que le défenseur sera dans son jour de grâce car cette histoire est beaucoup trop invraisemblable pour être crédible de prime abord. :gla:
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FORÇAGE DES C.A.P. ET R.A.R.

Messagede Sophocle » Sam 18 Juil 2020 11:44

    6 nov 2020
    Je désactive ce post car cette démarche est inappropriée.
    Le seul recours est d'obtenir les valeurs de références de la charge corporelle en métaux-stockés en population générale.
    Voir post : toxicologie en toc.



AUX INTOXIQUÉS
    Il n'existe donc pas de texte qui permette aux CAP de refuser les diagnostiques post-chélation.
    Pour être désintoxiqué par un CAP, ce n'est pas la peine d'attendre un procès à l'issue tardive et hasardeuse.
    Pour ceux qui le souhaitent, ils peuvent déjà appeler le centre anti-poison de leur région et demander une analyse post-chélation conformément aux recommandations de bonne pratique de la STC.
    Je dois prévenir que la situation risque d'être un peu tendue, mais les CAP s'habitueront. [img]kator/smiley19.gif[/img] [img]kator/smiley19.gif[/img] [img]kator/smiley19.gif[/img]
    Il est donc préférable de réaliser cette démarche avec un médecin généraliste.
    (EDIT : Pour les médecins généralistes récalcitrants : donnez-lui le texte des recommandations de la STC. [img]smile/hapface01.gif[/img] )
    En cas de refus des CAP et pour faire valoir la date d'une reconnaissance au moment d'une éventuelle régularisation, il faut envoyer un RAR.
    En cas d'acceptation, au moment des urines à prélever, il est peut-être intéressant de prélever un deuxième échantillon à envoyer chez Microtrace afin d'établir un listing large de métaux.

    Modèle de RAR en cas de refus :
    Faire une photocopie à conserver, et conserver le papillon de retour.

    RAR n° : xxxxxxxxxx
    A : Centre Antipoison de la ville de (à compléter)
    De : Nom, Prénom, adresse, téléphone.

    Ma ville, le aujoud'hui.

    Madame, monsieur,
    Je suis porteur de symptômes chroniques (fatigue, à compléter...) depuis le mois de (à compléter).
    Je soupçonne une intoxication chronique au mercure, ou au plomb, ou à l'arsenic, ou aluminium, ou autre (uranium, à compléter).
    J'ai appelé la plateforme le (date) avec tel numéro : (à compléter) et j'ai reçu un refus.
    Conformément aux recommandations de bonne pratique de chélation jointes, je vous mets en demeure de m'octroyer une consultation avec compte-rendu pour effectuer une analyse post-chélation.
    Veuillez agréer, madame, monsieur, l'expression de mes salutations sincères.
    NOM + Signature.

    Annexe : recommandations de bonne pratique de la STC (télécharger).
    Annexe (le cas échéant pour ceux qui déjà fait des analyses chez Microtrace) : analyses médicales post-chélation

Dernière édition par Sophocle le Ven 6 Nov 2020 12:47, édité 4 fois.
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RECOMMANDATION DE BONNE PRATIQUE

Messagede Sophocle » Sam 18 Juil 2020 12:07

COUP DE GUEULE [img]smile/mad.gif[/img]
  • Quand des métaux toxiques sont détectés, il n'est pas la peine d'attendre une polémique de scientifiques boutonneux pour savoir qu'il faut traiter.
    Il n'y a pas de besoin d'un débat d'experts pour savoir qu'il faut éliminer le plomb, le mercure, l'arsenic ou autres éléments toxiques dès le premier atome.
    Les recommandations indiquent certes que les études existent déjà pour affirmer que le chélateur est nécessaire, mais cela est une précaution intuitive.
  • Quand je vois que des médecines conventionnelles ou alternatives qui traitent avec des éléments toxiques, je suis dubitatif.
    Vaccins, homéopathie, ... On ne soigne pas le mal par le mal.
    Tout se traite par le retour de la salubrité.
    Cependant, si des patients sont informés des méthodes de retour à la salubrité, mais qu'ils demandent à être traités par des éléments toxiques, ça les regarde.
    Mais, une alternative consisterait à retirer les éléments toxiques.
    Encore faut-il que ce retrait soit efficace à 100% car cela ne semble pas le cas chez moi.
    Cependant, que ces personnes, qui optent pour la facilité, ne viennent pas pleurnicher si un cancer ou un Parkinson se déclenche trente ans plus tard.

Méthodologie d'analyse : Traitement des ML
  • Les ml doivent être traités jusqu'à ce que le taux post-chélation rejoigne le taux sans chélation.
    Ce n'est pas une histoire de normes, c'est une histoire de parfait achèvement du traitement.
    Il ne faut pas oublier qu'il faut commencer par le chélateur le plus sur jusqu'à ce que les analyses soient négatives puis passer au chélateur un peu plus efficaces suivant.
    Voici une liste de chélateur par ordre : DMSA, EDTA, (DMPS), ALA, BAL.
    Cependant, pour maximiser la sureté au moment du passage aux chélateurs lipophiles (ALA, BAL), il est possible d'ajouter un chélateur hydrophile (DMSA, EDTA).
    Ne pas oublier le bcs, les bains froids, la réforme alimentaire, ...
    Quant aux métaux physiologiques à basse dose et toxiques à haute dose, il me semble qu'il est également nécessaire de traiter jusqu'à ce que le taux post-chélation rejoigne le taux sans chélation.
    Ces métaux demeurent fixés dans des poches, ils créent du stress oxydant permanant, il faut donc traiter tant que le chélateur est efficace.
    Cependant, il existe peut-être des contre-indications qui peuvent être dépassées par des traitements à basse intensité et au long cours.
    Ne pas oublier les bains froids et la réforme alimentaire : cela permet une percolation de haute efficacité.
  • Pour le test, je ne connais pas les pratiques des CAP.
    Font-ils des iv ? à haute dose ? à forte concentration ?
    Le risque d'incident est minime, mais il existe.
    Le test le plus sûr mais tout juste indicatif me semble être 0,1g de DMSA avec du 2g de BCS dans 1/2l d'eau à boire à jeun.
    Vider la vessie avant de boire, prélever 2 échantillons avant/ après 1h30 et faire 2 analyses de façon à comparer avant/après.
    Ce test peut se faire chez soi, ce n'est pas remboursé, mais ça donne des jalons.
  • Il ne faut pas oublier les contrôles périodiques pour vérifier s'il n'y avait pas de rebond.
  • Même s'il est intéressant d'avoir une reconnaissance par les CAP, et donc de passer éventuellement par une iv, il me semble que la solubilisation est bien plus sure car le principe actif en faible dose mais en nuage est très performant.
    Ensuite, c'est une question de posologie, dose vs fréquence.

Alternative aux chélateurs : les sels de Schüssler
  • De plus, pour éliminer les ml, il existe d'autres méthodes douces.
    Les sels de Schüssler me semblent la première initiative à tenter car elle fonctionne par compétition magnétique.
    Il ne faut certes pas installer cette cure à vie, mais elle désinstalle les métaux-lourds par la même voie d'installation : la diffusion par une polarité magnétique.
    À basse intensité, les anions physiologiques bi-valents vont drainer les cations bi-valents.
    Les métaux-lourds étant des cations, ils vont donc être solubilisés de façon à rencontrer les émonctoires et de façon à être éliminés.
    Cette méthode n'est pas a installer à vie car elle dissoudrait les os.
    Cependant, pour pallier à la dissolution des os, il suffit d'adopter la réforme alimentaire.
  • Pour maximiser la sûreté, il faut démarrer avec les 4 sels de sodium à basse dose: chlore, BCS, sulfates, Phosphates.
    Puis, il faut augmenter la dose jusqu'à 3g/l dans l'eau minérale volvic ou rouscous.
  • Je rappelle que, selon Jade Allègre, la prise de soufre est une alimentation traditionnelle (soufre = anion).

Implications
    Il me semble que ces recommandations peuvent faire tomber tout les traitements à base d'éléments toxiques.
    En effet, ce texte démontre que les éléments toxiques sont accumulés derrière le sang...
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Justice médicale

Messagede Sophocle » Dim 19 Juil 2020 12:57

Le 17 septembre 2016, Nicolah a écrit:J'ai téléphoner a mon grand pere qui était médecin et je lui ai parlé de cet intox au mercure et c'est toujours la même chose; " tous le monde en as des métaux lourds "
Bref je n'inciste pas mais c'est dommage.
Tu m'étonne que je me renferme si c'est pour entendre des choses comme ça ! (post)


Le 16 octobre 2016, Nicolah a écrit:PS : ma grand mere m'a parler des electrochocs pour me soigner les gens sont toalement a la masse (post)


Nicolah portait des symptômes d'une intoxication aux métaux-lourds.
Or, en dépit de ses nombreuses visites auprès de médecins, en dépit des recommandations et en dépit des études existantes, le test approprié pour diagnostiquer ces métaux n'a jamais été réalisé.
De plus, le témoignage de Nicolah semble rapporter que le diagnostique officiel n'a pas été proposé à Nicolah.
Il est possible d'envisager que les médecins n'ont donc pas proposé la prise de sang.
En dépit des alertes de Nicolah, les médecins n'ont jamais prescrit aucun diagnostique sur les métaux-lourds.

De façon générale, les centres antipoison ont commis l'erreur d'instaurer un diagnostique systématiquement non fiable sans veiller à son potentiel de faux-négatifs.
Les centres antipoisons ont commis une deuxième erreur en rejetant les diagnostiques fiables (post-chélation).
Or, le centre antipoison étant au contact des patients et des tests, il est le premier lieu où le test officiel non-fiable aurait du être dénoncé.
De plus, il s'agit précisément du moment opportun où le test aurait du être fait.
Scientifiquement, le test post-chélation à comparer avec le test à blanc est un réflexe de parfait achèvement.

Comme la médecine est non contestée, elle semble optimale.
Dans ce cadre, les familles relaient l'erreur de diagnostique, elles imposent donc le faux comme vrai.
Le système médical a installé un barrage jusque dans la pensée.
En dépit des symptômes et en dépit d’un test fiable, la bonne médication est volontairement écartée.
De plus, le CAP fait la chasse aux sorcières envers les médecins qui traitent.
Le refus de diagnostiquer et de traiter est cranté dans l’Adn de la médecine.

Dans ce contexte, l'erreur des centres antipoison est donc devenu une vérité populaire :
Cad que ceux qui ont des symptômes extrêmes d'une intoxication aux métaux-lourds voient leur situation médicale et globale dégénérer.
On peut sauver ces personnes mais le CAP préfère les laisser errer.
Faute de traitement efficace, elles font donc l'objet d’une réclamation de tortures médicales de la part des proches.

Cependant, la STC a publié, il y a cinq ans, un article dans lequel elle indique que le diagnostique post-chélation est indiqué pour le mercure, le plomb et l'arsenic.
Les centres antipoison faisaient donc l'objet d'alertes des patients et des sociétés toxicologiques.
Rien n'y fait, les centres antipoison ont maintenu la politique de la norme.

Pour un médecin du centre antipoison, le retrait des métaux toxiques est du second ordre derrière la norme.
À la Eichmann : sa défense consistait à dire qu'il n'a fait qu'appliquer la règle.
Hannah Arendt a philosophé sur le sujet : c'est le totalitarisme de l'idée.
Le réel a tord s'il donne tord à l'idée.
Dans le cas des centres antipoison, c'est le totalitarisme de la norme.
L'individu et le traitement des éléments toxiques sont superflus devant la méthodologie inaliénable de la norme.

Pour illustrer la démarche des centres antipoison, voici quelques notes du court texte d'Hannah Arendt sur le totalitarisme, texte : Les Origines du totalitarisme
    Une idéologie se veut expliquer le monde.
    L'idéologue ne se souci jamais du ici et maintenant.
    L'idéologie réduit le complexe du réel.
    L'idéologie se passe des hommes.
    Obéir à la loi même si elle est immorale.
    Quand il y a terreur, il y a totalitarisme.
    Quand il n'y a plus d'opposition, il y a totalitarisme.
    Quand il y a constitution d'une philosophie scientifique, il y a totalitarisme.
    La vraie pensée est la distinction entre le vrai et le faux ; le totalitarisme efface cette pensée.

De plus, le seul pays occidental dans lequel le diagnostique post-chélation est refusé, c'est la France.
À ce jour, j'ai identifié que la Suisse, la Belgique, l'Allemagne, et les États-Unis comme des pays qui acceptent par tolérance le diagnostique post-chélation.
Cependant, dans ces pays, le diagnostique officiel (test sanguin) semble ne pas être remis en cause pour le mercure, plomb et arsenic.

Dans cette histoire de métaux-lourds, on a bien un totalitarisme :
Les élites et les victimes sont informées d'un désordre scientifique avéré, mais le gouvernement conserve le statut quo.
Le faux est instauré comme vrai et le vrai comme faux.
Par voie de conséquence, le basculement du diagnostique foireux vers le diagnostique fiable sera très très difficile obtenir...

On retrouve ce schéma en impasse dans le texte de Céline sur la fièvre puerpérale : Semmelweis.
Rappel : la série de femmes traitées par le même médecin dans la journée mourrait à l'accouchement faute de précaution anti-bactériennes.
En dépit des évidences, les médecins refusaient de se désinfecter.

Comme le dit Victor Hugo à propos des Communards,
Il faut que la question se pose comme nouvelle dans une nouvelle assemblée...
C'est sur cette situation peu probable que le CAP compte prospérer.

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Analyse complète des recommandations

Messagede Sophocle » Lun 20 Juil 2020 08:25

L'article des recommandations est riche en informations (texte complet au post du 9 juillet).
Je relève donc les passages saillants et je les commenterai.



Dans leurs recommandations, la STC et la SFTA a écrit:Sans attendre la fin des polémiques sur les effets sanitaires de telle ou telle exposition chronique, des données suffisantes existent pour évaluer dès maintenant les outils diagnostiques utilisés, notamment les métalluries provoquées.

  • On y apprend qu'une polémique sur le test de provocation est en cours et que des données sont suffisantes pour permettent de trancher la polémique.
    Ce passage est clair : l'évaluation du test de provocation est désormais possible.
    Dans ces recommandations, la STC et la SFTA livrent le résultat de leur évaluation.



Dans leurs recommandations, la STC et la SFTA a écrit:Les seules indications de l’administration de chélateurs sont les intoxications par certains métaux ou métalloïdes, en particulier les intoxications par le plomb, le mercure et l'arsenic.

  • Le test de provocation est donc indiqué en particulier pour le plomb, le mercure et l'arsenic.
    Il me semble que cette phrase sous-tende que la valeur de comparaison de ces métaux pour un test post-chélation soit bien celle de la population générale (cad sans chélation).
  • Ce passage laisse également entendre que la liste des métaux pour lesquels le test de provocation est indiqué s'étend au-delà des 3 métaux cités.
    Il semble donc non-déraisonnable d'appliquer le test de provocation à chaque métal toxique dès le premier atome, uranium, aluminium,..., la liste est longue...
    Le test de provocation multi-métaux semble quand-même très opportun.
    Cela milite pour que ce test soit retenu comme le futur test conventionnel.
  • Ce passage sous-tend que le test officiel est frappé de faux-négatifs systémiques. - ÉDIT 26 juillet 2020.
    En voilà une sacrée nouvelle, nous le savions certes déjà.
    Mais, là, c'est écrit par les deux sociétés françaises de toxicologie dans une mise au point scientifique.
    Ce n'est pas une petite étude dans un recoin de la littérature scientifique, il s'agit d'un coup de tonnerre au ralenti dans le monde des métaux-lourds.
    Ce texte est opposable aux tests officiels.




Dans leurs recommandations, la STC et la SFTA a écrit:L’exposition chronique à certains métaux ou métalloïdes est associée à un risque élevé de certains cancers (...), mais les tumeurs surviennent longtemps après le début de l’exposition et souvent, longtemps après qu’elle a cessé ; l’administration de chélateurs n’en est pas un traitement et il n’y a pas, à ce jour, de preuve qu’elle les prévienne. (...), il n’y a pas de preuve suffisante d’une association causale entre une contamination par un élément métallique et certaines affections, telles que l’autisme, la sclérose en plaques, la maladie de Parkinson, le syndrome de fatigue chronique, la goutte, les maladies cardiovasculaires, la dégénérescence maculaire ou la myofascite à macrophages. Chez ces malades comme chez n’importe quel individu, l’administration de chélateurs ne peut se justifier que si le diagnostic d’intoxication est établi par la constatation d’effets toxiques caractéristiques de la substance et d’une élévation de la concentration d’un ou plusieurs indicateurs biologiques de l’exposition et/ou de la dose interne.

  • Ce passage indique qu'il n'existe pas de preuve entre les intoxications et les maladies dégénératives.
    Or, le Collège de France stipule explicitement le contraire (voir post afférents).
  • De ce passage, je déduis que les personnes qui ont un cancer demandent à être chélatées.
    Les personnes porteuses d'affections (sep, ...) demandent également à être chélatées.
    À ces personnes-ci, s'ajoutent des personnes qui n'ont pas de symptômes mais qui expriment une inquiétude d'une future maladie dégénérative.
    Le nombre de personnes qui demande à être chélatées serait donc très élevé.
    Cela explique peut-être le barrage mis en place par le CAP.
    Le barrage installé est très étanche, tout prétexte serait bon à prendre pour refuser les personnes qui se présentent aux CAP.
    Y compris avec des symptômes, mais faute de diagnostique dans les normes strictes, l'intoxiqué avec de forts symptômes est donc refoulé. :gla:


Dans leurs recommandations, la STC et la SFTA a écrit:Chez ces malades comme chez n’importe quel individu, l’administration de chélateurs ne peut se justifier que si le diagnostic d’intoxication est établi par la constatation d’effets toxiques caractéristiques de la substance et d’une élévation de la concentration d’un ouplusieurs indicateurs biologiques de l’exposition et/ou de la dose interne.

    Ce passage est explicite, les personnes intoxiquée mais qui n'ont pas de symptômes caractérisés ne doivent pas être traitées. :gla:
    un diabétique qui sort 30 microgrammes de mercure ne doit pas être traité car le diabète n'est présent dans la liste des symptômes. :sarcastic: [img]images/icones/icon18.gif[/img]
    On laisse donc pourrir les gens sur pied à petit feu.
    De plus, les personnes dont la maladie naît du cumul de toxines, pesticides et métaux-lourds, ne seront jamais traitées car les symptômes n'appartiennent strictement pas aux métaux-lourds aux pesticides.
    Quand on fait autant de chichis, il ne faut pas s'étonner d'être tant raillé par les grands auteurs.


Dans leurs recommandations, la STC et la SFTA a écrit:La majorité des éléments métalliques sont présents et mesurables chez la plupart des individus et l’administration d’un chélateur en augmente l’excrétion urinaire chez tous : la comparaison des concentrations mesurées dans ces circonstances aux valeurs de référence en population générale est évidemment erronée.

  • Les normes sans chélation ne s'appliquent certes pas pour un test de provocation. Je ne peux être que d'accord.
    Il est compréhensible que du cuivre qui sorte à haute dose lors d'une chélation ne doive pas être comparé à des normes établies sans chélation.
    Mais, s'il n'y a pas de normes post-chélation sur le mercure, c'est la faute à la science, c'est pas la faute aux intoxiqués.
    Le fait de reprocher un test de provocation est odieux. :o



Dans leurs recommandations, la STC et la SFTA a écrit:Il existe des tests de provocation validés pour un nombre limité de métaux et qui sont applicables dans des conditions précisément déterminées : nommément, pour le cuivre (dans le cadre de la maladie de Wilson), pour le fer (dans le cadre de l’hémochromatose) et pour le plomb (pour décider du traitement de l’intoxication saturnine, à certains niveaux de plombémie).

  • Il n'existe pas de test de provocation validé pour le mercure ou pour l'arsenic.
    Les CAP exploitent cette faille pour exercer une levée les boucliers.
  • Cependant, le test de provocation est donc déjà en place pour certains métaux avec validation, cuivre, fer, plomb.
    Le test de provocation n'est donc pas une nouveauté.
    Toute une science des normes est établie.
    Cela est une argumentation choc contre les anti test de provocation.
    Les CAP pestent donc contre des bonnes pratiques déjà validées sur quelques métaux.
  • Au vu de sa pertinence, il est évident que le test de provocation va s'imposer sur le mercure et l'arsenic.
    Je suis très étonné que les CAP invoquent des normes pour ne pas traiter le plomb, le mercure ou l'arsenic.
    Cela est nécessairement se condamner à terme.
    De plus, en dépit de la mise au point scientifique des recommandations de la STC et de la SFTA, les CAP persistent dans l'erreur.
    Peut-être assiste-on à une apoptose du centre antipoison ? :D


Dans leurs recommandations, la STC et la SFTA a écrit:Les chélateurs efficaces ne sont pas dépourvus d’effets indésirables et leur emploi doit s’appuyer sur une évaluation des risques pour la santé, prenant en compte les relations dose—effet de la substancetoxique et la tolérance du médicament. Les indications des traitements chélateurs sont, en pratique, bien codifiées dans tous les traités de toxicologie médicale.

  • Cela milite pour un traitement à la maison à basse intensité et à longue durée.
    Pour une reconnaissance, la question du test demeure.


Dans leurs recommandations, la STC et la SFTA a écrit: des médicaments qui ne sont pas commercialisés en France, en prétextant d’une plus grande efficacité (en France, c’est le cas du dimercaptopropane sulfonate[DMPS], dont le pouvoir chélateur n’est pas, dans la plupart des indications potentielles, supérieur à celui d’autres médicaments présents sur le marché et qui peut être responsable d’accidents thérapeutiques sévères ; c’est la raison pour laquelle, il n’est, en principe, pas disponible dans notre pays) ;

    Et PAN sur le DMPS : il est bien plus cher, moins sur et pas plus efficace.


Dans leurs recommandations, la STC et la SFTA a écrit:• des médicaments « naturels » sans effets thérapeutiques démontrés : ail, bentonite, chlorelle et autres algues,coriandre (cilantro), chlorophylle, cystéine, spiruline,vitamine C.

    Sans commentaire.


Commentaire général
    Ces recommandations sont un véritable progrès : la provocation est indiquée lors de symptômes.
    Mais, sans symptômes, elle n'est pas indiquée.
    Ces recommandations installent donc la petite intoxication chronique qui couve à petit feu pendant des années. :gla:
    Tout comme on se brosse les dents, il demeure raisonnable que l'élimination des métaux en excès devrait être une hygiène de vie.
Dernière édition par Sophocle le Lun 3 Aoû 2020 17:13, édité 2 fois.
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MISE EN DEMEURE DU CENTRE ANTI POISON + Remarques Consultati

Messagede Sophocle » Lun 20 Juil 2020 09:40

    Ces démarches ont été vaines.
    Le seul recours est l'obtention des valeur de références de la charge corporelle en métaux stockés dans la population générale.
    Voir post toxico en toc


Au Docteur du CAP, j' a écrit:RAR xxxx
Le lundi 20 juillet 2020. Au Docteur X
Docteur,
    Contrairement à vos notes manuscrites, les recommandations de bonne pratique stipulent que les métalluries provoquées sont indiquées pour le mercure, le plomb et l'arsenic.
    Par voie de conséquence, je vous mets en demeure de pratiquer une chélation à réception de ce courrier. En cas de refus ou sans suite, je déposerai plainte. Je vous informe que j'ai déjà porté plainte contre les refus passés.
    Veuillez agréer, Docteur, l'expression de ...
Sophocle
Copie : Madame la représentante des droits des patients.
Pj : recommandations de bonne pratique et CR consultation.


Au vendredi 24, Pas de nouvelles

Au docteur X, j' a écrit:Paris, le 25 juillet 2020.
    Au Docteur X, CAP de Paris.
    Objet : remarques de la consultation du 16 juin 2020.

    Docteur,

    Faute de compte-rendu de la consultation du 16 juin 2020, j’exprime mes remarques sur la consultation.
    J’adresse une copie de ces présentes remarques à la STC et à la SFTA pour que ces dernières prennent connaissance de ce que vous leur faites dire en consultation.
    Je dresse également mes mises en demeure.

I) Commentaire sur l’article des recommandations de bonne pratique (STC et SFTA 2015)
    Suite à la consultation du 16 juin 2020, vous m’avez transmis les recommandations de bonne pratique que le CAP a adopté. Ces recommandations portent la forme d’un article, coécrit par la STC et la SFTA, publié en 2015 par la SFTA et intitulé : « Diagnostic des intoxications par des métaux ou des métalloïdes et mésusage des chélateurs ».

    Extrait de l’article :
      « Sans attendre la fin des polémiques sur les effets sanitaires de telle ou telle exposition chronique, des données suffisantes existent pour évaluer dès maintenant les outils diagnostiques utilisés, notamment les métalluries provoquées. À l’image de leurs homologues américains et dans l’intérêt des malades abusés qui les interrogent fréquemment, la Société de toxicologie clinique et la Société française de toxicologie analytique ont souhaité réagir et faire une mise au point scientifique sur l’usage et le mésusage des chélateurs.
      Les seules indications de l’administration de chélateurs sont les intoxications par certains métaux ou métalloïdes, en particulier les intoxications par le plomb, le mercure et l'arsenic. Le diagnostic de l’intoxication par un métal nécessite toujours l’association :
      • de signes cliniques et/ou para-cliniques traduisant les effets toxiques connus du métal ;
      • et de valeurs élevées d’indicateurs biologiques validés de l’exposition ou de la dose interne du métal. »

    Les recommandations de bonne pratique, que votre service a adopté, stipulent donc que les métalluries provoquées sont indiquées pour le mercure, le plomb et l'arsenic.
II) Rappel historique de nos échanges
    En 2014, je suis porteurs de lourds symptômes. Depuis 2014, j’ai joints environ une dizaine de fois vos services pour alerter sur ma situation (voir certificat d’appels joint). Aucun appel n’a abouti spontanément. Depuis 2014 jusqu’en 2020, le standardiste, qui avait promis à chaque appel de me rappeler, n’a pas rappelé.
    Deux exceptions :
    • En mai 2019, en dépit qu’il ait mes nombreux diagnostics positifs entre les mains, un médecin m’a fait parler pendant 10 minutes, puis il a raccroché de façon impromptue.
    • En janvier 2020, j’ai menacé vos services de porter plainte. Suite à ces menaces, vos services ont octroyé une consultation en mars 2020. Pour raison personnelle, puis pour raison sanitaire, cette dernière a été repoussée au 16 juin 2020.
    Résumé de la consultation du 13 mai 2019 par téléphone :
      L’appel du 13 mai 2019 à 11h57 parvient du CAP suite à mon envoi de diagnostics allemands par mail. Cet envoi était une demande de mon interlocuteur au cours de mon appel du matin à 9h51. L’appel de 11h57 a été passé par une secrétaire qui m’a proposé d’être traité à condition que j’accepte de ne pas être reconnu. Faute de mieux, j’ai dit oui. Puis la secrétaire m’a passé un médecin qui m’a fait parler pendant environ 10 minutes. Au médecin, j’ai raconté la fatigue extrême, les maux de tête permanents depuis 10 ans … À la fin de la consultation, le médecin m’a demandé si j’étais fumeur ou chasseur, j’ai répondu non. J’ai ajouté que cela venait peut-être des amalgames. De façon étonnante et inattendue, le médecin m’a dit : « vous êtes sur une ligne d’urgence, au revoir » et il a raccroché. Pas de rappel. Le 7 octobre 2019, après une trente secondes de présentation, mon interlocuteur m’a mis en attente pendant plusieurs minutes. Puis, il m’a dit qu’il a retrouvé mon dossier informatique et qu’il fallait que je revienne avec des diagnostiques français.
    Selon l’article de la STC et de la SFTA, dont la publication date de 2015, j’étais donc déjà éligible à la reconnaissance.

III) Remarques sur la consultation en objet
    Consultation du 16 juin 2020 (prévue initialement en mars et repoussée)
    Au cours de la consultation du 16 juin, vous ne m’avez pas demandé de m’exprimer sur les circonstances des symptômes ni sur mes antécédents. Alors que nous n’avons jamais échangé, de but en blanc, vous m’avez demandé où j’en étais aujourd’hui. Or, selon les bonnes pratiques de la consultation, le compte rendu doit rendre compte des circonstances de la survenu des symptômes et des antécédents médicaux.
    Par la présente, je complète donc la consultation avec les circonstances et les antécédents exigés par les bonnes pratiques de la consultation.
    En 2008, des symptômes de fatigues chroniques sont apparus avec un gradient inexorable. J’ai du arrêter de travaillent en 2011. En 2012, le Professeur BELPOMME a dressé un diagnostic d’électro-sensibilité. En 2015, sur mon cahier, j’ai noté :
      Au plus fort des désordres, et donc avant les chélations, je portais de nombreux symptômes intempestifs qui se bousculaient : marche difficile ; tête lourde ; imprécisions dans les gestes ; articulation orale déficiente par intermittence ; sensations articulaires multiples ; impossibilité à planifier ; amnésies transitoires ; difficultés à se concentrer ; semi-évanouissements en montant des escaliers ; oublie de fin de la phrase en cours de prononciation ; difficulté à écouter durablement autrui ; impossibilité à faire du sport d'endurance ; impossibilité à lever des masses lourdes ; déséquilibres ponctuels ; sensation de brulures ; grésillements sous la peau ; sensation d'étirements osseux ; sensations de courbatures ; céphalées furtives, céphalées profondes, céphalées ineffables ; électro-sensibilité sévère ; confusion ; bourdonnements continus et virevoltants dans la cavité crânienne ; fatigues en tout genre, fatigues chroniques, fatigues aiguës, fatigues temporaires, fatigues transitoires, fatigues palpitantes ; mal au dos ; légère arthrite ; barbe piquante ; démangeaisons des ongles ; visage raidi ; méningite ; photophobie ; audiophobie ; agoraphobie ; sommeil court et non réparateur ; anxiétés pour un rien, et tant d'autres pathologies encore...
    Depuis, j’ai identifié ces symptômes comme une aphasie, une agnosie et une apraxie.
    En 2014, suite à un diagnostic post-chélation positif au mercure, au plomb et à l’arsenic, un médecin de ville a pratiqué des chélations (iv de DMPS) pendant plusieurs années. Mensuellement, une trentaine d’intraveineuses n’ont résolu que 15% environ des mes symptômes. Les uniques améliorations de mon état parvenaient systématiquement et précisément 24 heures après l’intraveineuse du chélateur. Ces chélations ont certes un peu amélioré mes symptômes, mais la vitesse de résolution était beaucoup trop lente. Plusieurs années de traitement se sont donc déroulées sans qu’une véritable rémission ne se dégage. En 2019, par moi-même, j’ai donc pratiqué des chélations par voie orale avec des produits en vente libre (Dmsa, Edta et d’Acide Alpha-Lipoïque). En dépit des croyances médicales, une solubilisation du principe actif en nuage à boire à jeun centuple l’efficacité du principe actif par rapport à une intraveineuse. En trois mois, j’ai réalisé deux douzaines de chélations à très haute posologie qui ont effacé environ 60 % des symptômes. Grâce à ces chélations, j’ai pu réaliser les diagnostics positifs dans un laboratoire français de façon à vous menacer de porter plainte avec des documents officiels français. L’urgence de ma situation est certes désormais écartée mais, en dépit du renouvellement des chélations, il demeure aujourd’hui des symptômes que vous avez notés. Conformément à vos notes, je demande donc a être traité par un chélateur plus puissant et sous ordonnance. Suite à vos barrages multiples et faute de diagnostic officiel sur les métaux-lourds, je suis en errance médicale depuis 2008. Je ne peux pas travailler et je ne suis pas reconnu. Comme je vous l’ai déjà indiqué, je tente de faire valoir mes droits par voie administrative.

IV) Remarques sur vos notes de consultations
    Retranscription de vos notes manuscrites de la consultation du 16 juin 2020 :
      « Télé-consultation téléphonique - Car pas de matériel vidéo patient - CF Appels CAP - 16/06/20 (Docteur X)
      Intox "métaux-lourds" : mercure ?
      m'informe qu'il a porté plainte contre notre service
      Taux élevés de métaux après chélation
      Dit être amélioré par la prise d'EDTA à 75 % puis acide a lipoïque
      Tb (trouble) concentration
      Souhaite être - chélaté par dimercaprol
      (Souhaite être) - reconnu intoxiqué par les métaux-lourds
      livre 'Chelation Therapy'
      source évoquée : amalgames dentaires, qui ont été retirés
      fait des bains de bouche "salins" (ou "plus" ? en tout cas j'ai dit "salins")
      dosage 12/2019 a été fait après chélation
      -> J'explique comme précédemment que nous ne pratiquons pas de chélation dans des situations similaires conformément aux recommandations de bonne pratique (STC).
      Le patient me dit qu'il obtiendra ses "droits" par voie judiciaire.
      »

    Contrairement à ce que vous faites dire à la STC, la STC et la SFTA indiquent de pratiquer la chélation dans des situations similaires aux miennes (symptômes et hauts niveaux de mercure, de plomb et d’arsenic post-chélation). Le contenu textuel de vos recommandations stipulent donc le contraire de ce que vous leur faîtes dire en consultation.

V) Mises en demeure
    Je rappelle que, en dépit que selon la STC et la SFTA, les données existaient déjà en 2015 pour évaluer le diagnostique post-chélation, et suite à la publication « Dosages urinaires post-chélation des métaux lourds et pseudoscience : il faut agir !», en 2015, du centre antipoison de Marseille, le seul service officiel de diagnostique post-chélation en France a fermé dans la précipitation. Ce service venait d’ouvrir au CHR d’Orléans, il était tenu par le docteur Marie-Christine BOUTRAIS, et il a fermé alors qu’un reportage sur ce service venait d’être diffusé sur la télévision publique. C’est suite à ce reportage que vos confrères de Marseille font référence: « … Il faut agir ! ».
    • Docteur, je vous mets en demeure de me transmettre le compte-rendu de la consultation du 13 mai 2019 tenue par téléphone.
    • Docteur, je vous mets en demeure de me transmettre un compte-rendu de la consultation du 16 juin 2020, papier à en-tête, texte dactylographié, tampon, signature et identification claire que l’article de la STC et de la SFTA est vos recommandations de bonne pratique adoptées par vos services.
    • Docteur, suite aux indications de la STC et de la SFTA, je vous mets en demeure de traiter mon intoxication et d’engager une procédure de reconnaissance.
VI) Plainte
    Le 20 juillet, par Rar, je vous ai signalé votre erreur de compréhension de l’article des mésusages de la STC et de la SFTA et je vous ai adressé une mise en demeure de traitement. En dépit des recommandations de bonne pratique qui recommandent de traiter les cas similaires aux miens, vous n’avez pas donnée suite, ni pris contact avec moi. Je vous annonce donc que j’ai porté plainte et que j’ai déposé une demande auprès du Défenseur des Droits.


Veuillez agréer, docteur, l’expression de mes salutations cordiales.
Sophocle

VII) Annexes – Pièces jointes
    • Courrier du Centre antipoison de Paris du 10 juillet 2020 :
    o Recommandations de bonne pratique (STC),
    o Notes manuscrites de la consultation,
    o Listing de mes appels avec le CAP de Paris.
    • 4 diagnostics de chez Microtrace de 2014 à 2018, positifs au mercure, au plomb et à l’arsenic ; + diagnostic français
    • Rar du 6 et 20 juillet, demande de document et mise en demeure
    • Du Centre antipoison de Paris : Confirmation de consultation (initialement prévue en mars puis repoussée en juin 2020)
    • Article du Centre antipoison de Marseille : « Dosages urinaires post-chélation des métaux lourds et pseudoscience : il faut agir !»

VIII) Diffusion
    • Destinataire : Docteur X, CAP Paris
    • Copies : Direction des soins de l’hôpital Lariboisière
    • Défenseur de Droits,
    • Docteur X , hôpital Lariboisière
    • Docteur X, chef de service du CAP Paris
    • Mme X, représentante des droits des patients
    • Mme X, centre antipoison.
    • STC – Monsieur le président - Société de Toxicologie Clinique, 200 rue du Faubourg Saint-Denis 75010 Paris
    • SFTA – Madame la présidente, Service de Pharmacologie et Toxicologie, Faculté de Médecine PIFO, Université de Versailles Saint Quentin, 104 Bd Raymond Poincaré, 92380 GARCHES

Dernière édition par Sophocle le Ven 12 Nov 2021 11:41, édité 4 fois.
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le Cocktox : le cocktail détox du diable

Messagede Sophocle » Mar 21 Juil 2020 10:17

Dans Macbeth, Shakespeare a écrit:Sorcière Hécate aux 3 sorcières :
    N’ai-je pas raison de l’être, mégères, quand vous êtes si insolentes et si effrontées ? Comment avez-vous osé commercer et trafiquer avec Macbeth d’oracles et d’affaires de mort, sans que moi, la maîtresse de vos enchantements, l’agent mystérieux de tout maléfice, j’aie été appelée à intervenir ou à montrer la gloire de notre art ? Et, qui pis est, vous avez fait tout cela pour un fils entêté, rancuneux, colère, qui, comme les autres, vous aime pour lui-même, non pour vous. Mais réparez votre faute maintenant : partez et venez au trou de l’Achéron me rejoindre demain matin : il doit s’y rendre pour connaître sa destinée. Préparez vos vases, vos sortilèges, vos enchantements, tout enfin. Moi, je vais dans l’air ; j’emploierai cette nuit à une œuvre terrible et fatale. Une grande affaire doit être achevée avant midi. À la pointe de la lune pend une goutte de vapeur profonde ; je l’attraperai avant qu’elle tombe à terre. Cette goutte, distillée par des procédés magiques, fera surgir des apparitions fantastiques qui, par la force de leurs illusions, l’entraîneront à sa ruine. Il insultera le destin, narguera la mort, et mettra ses espérances au-dessus de la sagesse, de la religion et de la crainte. Et, vous le savez toutes, la sécurité est la plus grande ennemie des mortels.


    Le rebond génère des symptômes lents et accumulatifs que l'ALA seul ne parvient pas à traiter.
    J'ai donc opté pour le cocktail de détox. [img]smile/xsgrin.gif[/img]

  1. SOLUTION À BOIRE
    Dans une solution, j'y mets tous les produits qui ont eu un effet détox sur les ml.
      Dans 1/2 litre d'eau minérale (volvic ou rouscous), je verse :
      • 1,5 grammes des Sels de Schüssler (12% de NaHCO₃ ; 24% de NaCl ; 33% de Na₂HPO₄ ; 7% de Na₂SO₄; 24% Na₃C₆H₅O₇)
      • 1,5 grammes de bicarbonate de soude
      • 0,2 gramme de PA de DMSA
      • 0,5 gramme de PA d'EDTA
      • Je mixe.
      • Ensuite j'ajoute 2 cuillers à soupe du mix d'huiles (85% HV ; 5% LdJ ; 5% HE ; 5% ALA) = 0,5g ALA env.
      • Je mixe.
      Puis, je pars faire ma marche rapide.
      Ensuite, après 20 minutes de marche, je bois la mixture.
      Et enfin, je grimpe la colline panoptique du quartier.
      Et les symptômes sont balayés. [img]kator/smiley149.gif[/img]
      Fréquence : selon symptômes (bi-mensuel en ce moment).
      Occasionnellement, je bois cette mixture juste avant un bain froid.



  2. CRÈME POUR LA PEAU
      Dans un bêcher de 100 ml, je verse :
      • 40ml de crème nivéa soft
      • Tout en touillant la crème, je verse 7 grammes de sels de Schüssel (voir composition ci-dessus)
      • Je mixe
      • Je verse 15 ml du mix d'huiles (85% HV ; 5% LdJ ; 5% HE ; 5% ALA) = 0,5g ALA env.
        Attention aux he photo-sensibilisantes, pas de soleil pd 6h après application (ou appliquer le soir).
      • En option : 0,4 gramme d'Edta (Pas de dmsa car il ne franchit pas la peau)
      • Je mixe
      • J'applique
      • Sauna


    Nota : chacun adaptera la posologie et les éléments à solubiliser à sa convenance. Commencer par un gradient.
    Ce qui est important ici, c'est la solubilisation de produits hydrophiles et de produits lipophiles.


    ANNEXE : LYME ET HE
      Je place ici un guide du traitement de Lyme par les He qui a été rédigé pour être lu par un néophyte.
      On y trouve les he et leurs contre-indications.
      On y trouve aussi de multiples compositions de HE variées avec les posologies.
      J'ai trouvé ce guide sur Lyme-Santé-Vérité et sur le site de Marc Ivo Böhning.
      Protocole-Borrheliose-Lyme-Aromarc.pdf
      Guide Lyme - Par les Huiles Essentielles.
      Marc Ivo Böhning.
      (693.47 Kio) Téléchargé 337 fois
      Les rotations de multiples compositions me semblent vraiment pertinentes.
      Je ne retiens certes pas le mode d'application (gouttes directement sur la peau), mais je m'inspire de ces compositions pour les 5% d'He dans le mix d'huiles.





Dans Macbeth, Shakespeare a écrit:
[img]smile/xread.gif[/img] [img]smile/xread.gif[/img] [img]smile/xread.gif[/img]

PREMIÈRE SORCIÈRE: Trois fois le chat tacheté a miaulé.
DEUXIÈME SORCIÈRE : Trois fois ; et une fois le hérisson a grogné.
TROISIÈME SORCIÈRE : La harpie crie : il est temps ! il est temps !

PREMIÈRE SORCIÈRE
    Tournons en rond autour du chaudron,
    Et jetons-y les entrailles empoisonnées.
    Crapaud qui, sous la froide pierre,
    Endormi trente-un jours et trente-une nuits,
    As mitonné dans ton venin,
    Bous le premier dans le pot enchanté.

TOUTES TROIS
    Double, double, peine et trouble !
    Feu, brûle, et, chaudron, bouillonne ! [img]smile/xmadfire.gif[/img]

DEUXIÈME SORCIÈRE
    Filet de couleuvre de marais,
    Dans le chaudron bous et cuis.
    Œil de salamandre, orteil de grenouille,
    Poil de chauve-souris et langue de chien,
    Langue fourchue de vipère, dard de reptile aveugle,
    Patte de lézard, aile de hibou,
    Pour faire un charme puissant en trouble,
    Bouillez et écumez comme une soupe d’enfer.

TOUTES TROIS
    Double, double, peine et trouble !
    Feu, brûle, et, chaudron, bouillonne !

TROISIÈME SORCIÈRE
    Écaille de dragon, dent de loup,
    Momie de sorcière, estomac et gueule
    De requin dévorant des mers,
    Racine de ciguë arrachée dans l’ombre,
    Fiel de bouc, branches d’if
    Cassées dans une éclipse de lune,
    Nez de Turc et lèvre de Tartare,
    Doigt d’un marmot étranglé en naissant
    Et mis bas par une drôlesse dans un fossé,
    Faites une bouillie épaisse et visqueuse ;
    Ajoutons les boyaux de tigre,
    Comme ingrédient, dans notre chaudron.
TOUTES TROIS
    Double, double, peine et trouble !
    Feu, brûle, et, chaudron, bouillonne !

DEUXIÈME SORCIÈRE
    Refroidissons le tout avec du sang de babouin,
    Et le charme sera solide et bon.
[img]smile/xsgrin.gif[/img] [img]smile/xsgrin.gif[/img] [img]smile/xsgrin.gif[/img]
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DESCARTES : UNE PENSÉE PASSIVE DU CORPS

Messagede Sophocle » Mer 22 Juil 2020 10:22

Pensée passive et bruissement
    Bien que le livre, qu'il présente, semble passionnant, le texte suivant exprime à merveille l'une des capacités que j'ai du faire prospérer en moi.
    Selon Descartes, le corps bruisse de pensées passives.
    Je n'aurai jamais su mieux le dire. [img]kator/smiley225.gif[/img]
    Heureusement qu'il existe des auteurs qui savent mettre les mots justes sur les choses.
    Sur le temps long et par la force des choses, j'ai donc du développer, à l'extrême, une écoute attentive de ce corps qui pense passivement et qui bruisse.
    L'expérience la plus explicite, c'est la respiration Tummo.
    À partir de cette expérience, il m'a été possible de ressentir ce bruissement qui vibre en permanence dans le silence.



Dans sa présentation de la pensée passive, PhiloMag a écrit:
    Achevant sa magistrale relecture de l’œuvre cartésienne, Jean-Luc Marion dévoile un Descartes inattendu et secret en philosophe de la chair : sous la métaphysique palpite une pensée du corps et de la sensation pure, une «pensée passive» restée inaperçue.


    1. Le corps pense
      Contrairement à ce que l’on croit, il n’y a pas seulement chez Descartes l’âme qui pense d’un côté et les choses matérielles de l’autre : il y a aussi mon propre corps, où bruisse une « pensée passive » fondée sur la sensation. La chose pensante est aussi et avant tout une chose « sentante ». C’est avec cette clef que Jean-Luc Marion relit la sixième des Méditations métaphysiques, où la démonstration de l’existence des choses extérieures en passe, selon lui, par l’épreuve de la passivité de la pensée. Sans « se sentir ressentir », impossible de penser les corps qui ne sont pas miens : il y a au cœur de la métaphysique cartésienne un appel à la certitude de la chair, à une vérité de la pure sensation ressentie et donc indubitable.

    2. Descartes précurseur
      « D’où vient à Descartes l’avance qui l’a rendu si longtemps incompris et solitaire ? » Incompris par ses contemporains, le philosophe aura aussi essuyé les critiques de la phénoménologie du XXe siècle, dénonçant dans l’ego cogito un sujet emmuré en lui-même et coupé du monde. Pourtant, le concept de « chair » inventé par Husserl se découvrirait déjà dans la distinction entre le « corps mien » et les « autres corps » : ce corps auquel je suis, dit Descartes, « tellement confondu et mêlé que je compose comme un seul tout avec lui », Marion l’identifie à « la chair [qui] s’expose au monde par une passivité affectée » chez Husserl – quitte, se désoleront certains, à « phénoménologiser » à outrance la pensée du maître.

    3. Vivre sans philosopher
      Cette nouvelle figure de l’ego, qui pense passivement selon la chair, exprime l’union de l’âme et du corps. Irréductible à un mixte des deux substances, cette union est à repenser à partir d’elle-même, c’est-à-dire à partir de l’expérience et de la vie, puisqu’elle est ce « que chacun éprouve toujours en soi-même sans philosopher ». Entre les lignes s’esquisserait donc une sortie de la philosophie, où se révèle un autre Descartes, sensuel et rêveur : « notre pensée erre nonchalamment, sans s’appliquer à rien de soi-même », note-t-il dans les Passions de l’âme. Un art de « ne penser à rien, même à soi-même et pourtant [de] s’éprouver alors purement comme uni à soi » à travers lequel Marion affirme, avec cet ouvrage, en finir avec Descartes.
    source : Philomag





AUTRES SUJETS
Vidéo de l'atelier DÉTOX
    Ateliers des préparations Détox, Schüssler, mix d'huiles, Chélassos royales, Crème détox peau.
    Youtube, 4 Ateliers complets dont la durée totale est 30 minutes environ.
    Toute la chaine de confection des traitements détox est filmée à la loupe.

    Compléments dans la description de la vidéo :
      • Présentation des ateliers, de 00:00 à 00:50
      • Atelier Schüssler, de 00:50 à 04:15
      • Atelier Mix d'huiles : de 04:15 à 16:00
      • Atelier Chélassos : de 16:00 à 23:15
      • Atelier crème détox peau : de 23:15 à 27:20 fin.

      ... Voir la suite des compléments sur la page de la vidéo...

Jeûne hydrique : effet de trainée.
  • Au début du mois de juillet, j'ai fait un jeûne hydrique.
    Au troisième jour, des désagréments sont apparus sur le palais et sur la langue.
    Le contact entre la langue et le palais faisait naître une irritation très désagréable.
    J'ai donc rompu le jeûne, le symptôme a disparu en trois jours. Puis grosse marche et douches froides pour activer le corps.
    Le désagrément a disparu par gradient en trois jours après la reprise alimentaire.
    J'ai donc recommencé le jeûne hydrique, et ça s'est passé à merveille : pas de désagrément.
    Voilà un exemple d'effet de trainée.
    Si je n'avais pas rompu le jeûne, j'aurais peut-être trainé ce symptôme tout du long du jeûne.
    En rompant le jeûne de façon à faire disparaitre le symptôme et en recommençant le jeûne, les premiers symptômes virulents disparaissent de façon à ce que le long et second jeûne soit confortable.
  • J'avais déjà remarqué cet effet de trainée avec le bain froid.
    Si je rentre de but en blanc dans un bain froid, j'ai froid.
    Mais, si j'ai pris une douche froide juste avant le bain froid, je n'ai pas froid pendant les 10 premières minutes du bain froid.
    Il existe donc des petites astuces d'amorce des techniques naturopathiques qui réduisent significativement les désagréments.
  • Ces astuces semblent se généraliser en pratiquant un court essai juste auparavant de se lancer de s'installer dans la technique naturopathique.

Rotation des infrastructures
  • Mes précédents jeûnes étaient regroupés.
    Ils parvenaient rapidement à effet plafond.
    En trois jours de jeûne hydrique, j'avais atteint le maximum d'effets bénéfiques.
    Si je prolongeais le jeûne, ou si je le répétais, je n'avais pas d'améliorations liées à la prolongations ou à la répétition.
    Mais, depuis que j'ai fait les bains froids, et les chélations, les bénéfices du jeûne hydrique a franchi un nouveau palier.
    Cela est également valable entre les bains froids, les jeûnes et les chélations.
    Un traitement sur une infrastructure semble déverrouiller en silence et en gradient une seconde infrastructure.
    Ce n'est qu'en traitant la seconde infrastructure que l'effet bénéfique apparaitra.
  • Les traitements par rotation des infrastructures semble mener au retour des capacités des cellules : huile, eau, mitochondries, capillaires, mo, huile, eau, mitochondries, ...

Précaution des chélateurs
  • L'un des risques de la chélation, c'est qu'un organe soit très acide.
    Ce changement de pH provoque un changement de forme de la molécule chélatrice.
    Cela libère les métaux-lourds.
    Exemple, un cerveau acide va faire l'objet d'un largage des métaux-lourds capturés par les chélateurs.
  • Pour minimiser les risques de chélation, il faudrait alcaliniser tous les organes.
    Il est certes possible d'ajouter du BCS dans la solution à boire au moment du traitement et de prolonger la prise de BCS pendant 24h.
    Mais, il est prudent d'associer la ceinture aux bretelles.
    L'autre moyen de fixer le pH est d'adopter le régime en légumes et peu de viandes.
    Ce régime va faire baisser durablement l'acidité du corps en évitant une alimentation acidifiante.
  • Pour renforcer d'autant plus la protection, il est également possible de prendre des bains froids.
    Les bains froids multiplient et musclent le réseau de capillaires.
    Ainsi tonifiées, les capillaires éliminent les toxines et leur acidité rapidement sans apparition d'accumulation.


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Sophocle

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Suprasso : Poliorcétique de l'intra (I)

Messagede Sophocle » Ven 31 Juil 2020 15:12

Invaincu mais non invincible (Corneille)
  • En dépit de mes nombreuses chélassos, il me semble que mes métaux-lourds demeurent dans l'intra.
    Depuis des années d'attaques continues, l'intra demeure un bastion imprenable.
  • Il est dit que les chélateurs lipophiles pénètrent dans l'intra, mais mon expérience personnelle infirme cela.
    De plus, le document alpha suggère que les chélateurs ne sont pas capables d'explorer toutes les recoins.
    Je dirais plutôt que tous les chélateurs, hydrophiles et lipophiles, demeurent dans l'extra.
    Mais il me semble que, contrairement aux hydrophiles, les chélateur lipophiles peuvent rejoindre l'extra d'un organe très gras, moelle, snc.
    Les lipophiles circulent certes plus loin que les hydrophiles mais ils ne circuleraient pas aussi loin que ce qu'on veut bien leur prétendre.

Poliorcétique
  • La poliorcétique est l'art de mener le siège d'une ville.
    Exemple : avec son cheval, Ulysse fit tomber Troyes après 10 ans de guerre infructueuse.
    Comme un cheval de Troyes, il faudrait enrober les chélateurs de molécules qui entrent dans les cellules.
    Je vais donc préparer une solution aqueuse avec bcp de glucose pur anhydre solubilisé et mixé avec de l'Ala.
    Or, le glucose est une molécule prioritaire, il entre dans les cellules.
    S'il est solubilisé avec un bagage, le bagage entrera peut-être dans l'intra avec le glucose.
    Avant de les diluer dans 1/2l d'eau, je mixerai donc le chélateur dans un sirop de glucose afin de coller les chélateurs au glucose.
  • Je tire l'idée de ce cheval de Troyes du récent scanner du Samouraï (Cancer Thérapy), dont il vient de nous apprendre qu'il est remis de son cancer... [img]kator/clap.gif[/img] [img]kator/clap.gif[/img] [img]kator/clap.gif[/img]
    Pour détecter les cellules cancéreuses, du glucose marqué par une légère radioactivité est injecté.
    Ce glucose se concentre dans les cellules cancéreuses car ces dernières sont en phases de division perpétuelle.
    Puis, il suffit de prendre une radio pour relever les hautes concentrations.

Sursaut par le jeûne
  • En cas d'échec, la solution de repli, c'est de créer une forte carence en glucose avec trois jours de jeûne hydrique.
    Et, je réserve donc le jeûne pour plus tard afin de réactiver un sursaut de bénéfices.
    Lors du jeûne, le glucose est tari en trois jours.
    Mais, y compris en période de jeûne, le cerveau ne peut pas être privé de glucose.
    Il est donc servi par le foie, qui se sacrifie, pour produire du glucose en période de jeûne.
    En jeûne, le cerveau serait le seul organe qui accepterait du glucose.
    En jeûne, le cerveau serait donc prioritaire, mais cela demeure à confirmer.
  • Mais, en période courante, je pratiquerai la suprasso 12 heures après le dernier repas pour qu'il n'y ait pas de sucre dans le sang.
    Cela permettra d'éviter une compétition qui réduirait l'absorption des chélateurs.
    Donc, je prendrai donc la suprasso au déjeuner, au moment où la faim s'exprime, cad au moment où le cerveau réclame sa dose.

Glucose pur anhydre
    Le sucre du commerce ne conviendrait pas car il est formé de chaines de sucres.
    Sa forme n'est pas strictement celle qu'attend la cellule.
    Le sucre de commerce devra donc être transformé pour qu'il soit opérationnel, cela ne se fera pas dans l'heure du traitement.
    Le sucre du commerce risque de faire échouer le cheval de Troyes.
    Pour que la molécule soit comme la cellule l'attend, il lui faut du glucose pur.
    Ça s'achète en pharmacie préparatoire sous le nom de Glucose Anhydre (poudre), 10e/250g.
    Il faudra mélanger le glucose à un peu d'eau, puis le chauffer au bain marie (40° env.) pour en faire un sirop ou qu'il devienne transparent.

Circuit du glucose
    Je replace ici un schéma présenté dans un précédent post : Décalaminage du cerveau / SNC.
    Ce schéma parvient d'une série de conférences du CdF sur les astrocytes, sur lesquelles j'ai fait un résumé.
    Image
    On peut voir que le glucose passe de la capillaire aux cellules du snc à l'insu de la BHE.
    Le glucose, c'est THE carburant, il est donc son propre laisser passer...

Pompe sodium-glucose et canaux glucose
    Au cours d'une conférence du CdF, Emergences du « monde d'hier » revisitées : la peste et le choléra, j'ai noté que le glucose et le sodium, ensemble, étaient injectés dans la cellule par un transporteur.
    Le remède contre la déshydratation du choléra était donc de boire un litre d'eau avec un peu de sucre et un peu de sel de façon à retrouver une tonicité de la cellule.
    Par contre, il est a supporter que la pompe est sélective, l'ala serait donc filtrée. mais il serait idiot de ne pas tester...
    De toutes mes conférences vues du CdF, voici l'une des deux solutions non-médicamenteuses données par le CdF.
    (L'autre remède non médicamenteux, c'est le jeûne indiqué par le cancérologue Hugues de Thé.)
  • Mais il existe des passages libres : des canaux à glucose.
    Ces canaux se multiplient en cas de forte influence de glucose :
    Voir : TRANSPORT MEMBRANAIRES DU GLUCOSE à 32:25.
    Intéressant, ce n’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd.


Premiers tests de dissolution sur la paillasse 1 août.
    • Le glucose anhydre se solubilise un peu dans de l'huile, puis il tombe peu à peu comme de la neige dans le fond du verre.
    • L'ala ne se solubilise pas dans un sirop* de glucose acide.
    • L'Ala se solubilise dans un sirop de glucose alcalin.
    • Avec du citrate dans le sirop, l'Ala se dissous quasi totalement jusqu'à disparaitre, presque idem avec l'Edta, et dmsa. [img]kator/smiley223.gif[/img]
      Le citrate trisodium est un anion trivalent, il est donc un peu plus puissant que les sulfates et les phosphates physiologiques (divalents).
      Cela est très intéressant car cela permet de baisser la dose de PA tout en augmentant l'efficacité.
    • Avec du BCS dans le sirop, l'Ala se dissous partiellement, idem avec l'Edta, et dmsa.
    • Avec le mix d'anions de Schüssler, la dissolution du chélateur est intermédiaire entre le citrate et le BCS.
      *Sirop = du glucose anhydre + un peu d'eau + bain marie, cela donne un sirop visqueux et transparent.

Projet de test en grandeur nature
  • Rappel, pour tenter ces expériences, j'ai déjà pratiqué de nombreuses chélassos qui ont élagué le problème de redépose.
    Cad, svp, ne tentez pas ces expériences de but en blanc sans avoir pratiquée les chélateurs un a un jusqu'à la fin des effets bénéfiques du premier pour passer au second.
  • Je vais tenter une solution avec les 3 chélateurs (doses à convenir) dans de le sirop de glucose et avec du citrate.
  • L'isotonie du glucose est à 5% (50g/l). je placerai moins de la moitié de l'isotonie pour que l'eau passe dans le sang, soit 10g dans 1/2l



Suprasso #1 - Déroulement du premier test- 1 aout. (Suprasso = chélassos + Glucose)
  • Solution : 10g de glucose ; 3g de citrate de sodium ; 0,1g PA dmsa ; 0,25g PA EDTA ; 0,5g ALA ; + 2 càs. du mix d'huile (0,5gAlA) ; le tout mixé dans 1/2l d'eau volvic.
    Les valeurs des dosages et quelques ingrédients évolueront selon les résultats.
    En dépit que je place l'Ala dans un mix d'huiles, l'ala est également hydrophile : il se mélange à l'eau sous un pH bien précis, j'en mets donc dans l'eau.
    La confection de la supasso part de la même base d'une chélasso, mais, au tout début, il faut chauffer l'eau minérale au bain marie (entre 35 et 45°), puis mixer en ajoutant le glucose jusqu'à que la solution deviennent totalement transparente.
  • Ayé, je viens de finir le test.
    J'ai marché, j'ai bu, et j'ai grimpé 300 marches 2 à 2 avec des pauses toutes les 30 marches.
    Température Ext : 27°C, j'ai un peu transpiré.
    Quelques effets bénéfiques se sont fait ressentir au coeur du cerveau quelques instants après avoir fini de monter les marches.
    Cette immédiateté milite pour un travail des chélateurs hydrophiles (edta, dmsa).
    Ces effets ne sont certes pas aussi éclatants que les toutes premières chélassos.
    Mais, ils se sont fait bien sentir, mais, au moment où j'écris ces lignes, il est trop tôt pour consolider cet effet.
    Par prudence, et en attente des traitements suivants, je place ces premières améliorations encourageantes sous un effet placébo.
  • J'ai fait varier deux paramètres : glucose et citrate.
    je ne sais donc pas lequel à fait l'effet.
    Ou peut-être les 2.
    Je recommence un deuxième traitement demain, j'ai hâte.
  • Il faudrait que je parvienne à trouver les bons ingrédients pour que les chélateurs se solubilisent parfaitement et totalement dans la solution.
    Une totale dissolution est le signe d'une solution très efficace qui pénètre en profondeur et en nuage.
  • À pH6, les solutions sont +/- opalescentes, ou avec des mini-grumeaux, ou des floques.
    En passant la lumière du smartphone, cela dévoile les très nombreuses imperfections.
    Selon des essais complémentaires de mélanges, les chélateurs se dissolvent aussi bien dans les sels de Schüssler (pH8) que le phosphate (pH9) ou dans le citrate (pH8).
    Je note quand-même que dans le phosphate disodique, l'Ala se dissous parfaitement à 100% (transparence totale).
    Cela est très bonne nouvelle car je vais pouvoir relancer l'hydrotomie percutanée car mon épaule me fait encore souffrir.
    Dans les sels de Schüssler ou le citrate, la dissolution est à 99,8%, quelques rares mini-grappes de molécules se laissent voir. :/
    De légères différences demeurent certes entre les suspensions, ou la limpidité, ou l'homogénéité des suspensions, ou la dimension des particules mais cela ne semble pas déterminent.
    Selon cette page : Basic alpha lipoic acid solution and its uses, l'optimum de la solubilisation de l'Ala est à pH8,5.
  • Pour en avoir le cœur net, pour la 2ème suprasso, je fais refaire une solution comme je la faisais auparavant (Sels de Schüssler) et je vais juste ajouter 10g de glucose.
    Ainsi, je saurai arbitrer si le glucose intervient dans les améliorations.
    Quelques heures après cette suprasso, j'ai quand-même l'impression que ma concentration s'est améliorée : Je fais moins de fautes de frappes.
    La gestuelle des doigts qui tapotent sur le clavier se fait en tâche de fond, cela me permet de mieux réfléchir au contenu de la phrase en cours de frappe.
  • Quelques légers soulagements se sont faits ressentir au réveil du lendemain.
    Ce retardement milite pour un travail du chélateur lipophile.
    Cependant, je suis parfois pris de doutes sur la réalité de ces améliorations.

Suprasso #2 - minimum de paramètres - prévue le 2 août
    Je vais tenter 1g d'Ala avec le glucose (12g). Reste à définir la dose de phosphate : j'en ajouterai jusqu'à ce que la dissolution soit parfaite.
    ... je sors de la randonnée, pas d'effet remarquable sur le moment. Il encore attendre 12h pour voir si des effets à retardement apparaissent.
    une plaque rouge est apparue sur la cuisse, je ne sais pas trop si c'est lié mais c'est le genre de symptôme occasionnel, qui selon le médecin chélateur, qui peut arriver après une iv.
    Plaque.jpg
    Suprassos les 1, 2 & 3 août. Photographie de la plaque rouge sur la cuisse intérieure gauche qui est apparue après la première suprasso.
    Rien d'inquiétant, j'ai déjà vu bien pire (yeah)... 12h après, la plaque est encore présente, à 85%.
    Le 7 août : crème avec 4g de MgCl2. Baisse significative de l'inflammation 6h après.
    Le 10 août : disparition à 95% de l'intensité de rougeur de la plaque.
    La totalité de la surface demeure devinable par une légère rougeur irisée.
    Quelques traces demeurent mais elles disparaissent provisoirement ( et totalement) sous la pression du doigt (=fin de l'inflammation).
    Plaque.jpg (83.63 Kio) Vu 18113 fois

    ... le lendemain matin, je me sens mieux mais je n'ai pas vraiment ressenti de baisse de symptômes.
    Je vais donc recommencer avec les paramètres de la suprasso #1 pour voir si les améliorations réapparaissent.

    Suprasso #3 - doses maximales 3 août
      Solution : 12g de glucose ; 3g de sels de Schüssler ; 0,5g PA dmsa ; 1g PA EDTA ; 0,5g ALA ; + 3 càs. du mix d'huile (0,5gAlA) ; le tout mixé dans 1/2l d'eau volvic.
      ... je sors de la rando, pas d'effet éclatant, mais je me sens quand-même un peu mieux.
      Les effets sont peut-être lents...
      Je vais donc persévérer pour vérifier qu'il n'y ait pas un effet tardif.
      ... De façon feutrée, des soulagements au cerveau semblent se manifester.
      Ce caractère feutré m'empêche d'être péremptoire, mais je pourrai peut-être affermir mon avis en quelques poignées de jours.
      ...Il me semble que mes douleurs à l'épaule ont baissé.
      Il est encore un peu tôt pour être formel car les variations sur ces douleurs sont durables, y'a des hauts et des bas sur plusieurs semaines.
      De plus, je ne m'attendais pas à des progrès sur ces douleurs, je n'étais donc pas à l'écoute des évolutions.

    Symptômes
    • En plus de la plaque sur la cuisse, d’autres zones avec ces rougeurs sont apparues.
      Ces symptômes sont apparus depuis que du glucose a été ajouté aux solutions à boire.
      Poignet.JPG
      Suprassos les 1, 2 & 3 août. Photographie du poignet gauche intérieur, le 3 août. Petits points rouges dispersés.
      Le 7 août : crème avec 4g de MgCl2. Baisse significative de l'inflammation 6h après.
      Le 10 août : disparition quasi-totale de tous les points.
      Quelques traces demeurent mais elles disparaissent provisoirement sous la pression du doigt (=fin de l'inflammation).
      Poignet.JPG (93.12 Kio) Vu 18085 fois

      Sur la peau, j'ai quelques zones sur lesquelles des petits points rouges sont apparus.
      Il y en a sur sur la face interne du bras gauche, du poignet jusqu'à l'épaule.
      Tous les jours je découvre des petites grappes, 4 points par-ci, 30 points par-là, sur le dos des mains, un peu sur le tibia, derrière le mollet, sur le flanc de la cuisse.
      Sur le bras droit, j'ai une petite pastille rouge :
      Point rouge.JPG
      Suprassos les 1, 2 & 3 août. Photo le 3 août au niveau des muscles brachiaux du bras droit. À droite, pastille rouge. Au centre, grappe de points rouges.
      Le 7 août : crème avec 4g de MgCl2. Baisse significative de l'inflammation 6h après.
      Le 10 août, quelques traces demeurent mais elles disparaissent provisoirement sous la pression du doigt (=fin de l'inflammation).
      Seule la pastille demeure un peu rouge après la pression du doigt.
      Je surveille cette pastille, si elle demeurait, j'envisagerai un injection d'eau de Quinton.
      Point rouge.JPG (137.69 Kio) Vu 17974 fois

        En déc 2018, j'avais déjà eu une pastille suite à une hydrotomie percutanée à l'épaule.
        Image
        Cette pastille avait été résolue en injectant de l'eau saline en intradermique.
        Voir post : Du sel et du froid : la détox cryosaline ...
        Mais, pour tenter de résoudre ces rougeurs, je ne vais pas me faire une hydrotomie percutanée générale.
      Etonnamment, les hanches sont épargnées.
      J'ai appliqué la crème nivéa soft+huiles+ala sur la plaque et sur les points, pas d'effet.
      J'ai appliqué un bloc de froid, pas d'effet,
      J'ai appliqué de l'huile végétale de coco, pas d'effet,
      J'ai appliqué une douche alternée, pas d'effet,
      J'ai appliqué une goutte d'he de Livèche, pas d'effet,
      J'ai appliqué la crème que j'avais préparé pour l'épaule (cire d'abeille+sel), + bloc de froid, pas d'effet.
      J'ai appliqué de l'hv de coco, avec trois gouttes d'he de Livèche et un bloc de froid, le tout en même temps, pas d'effet, hummmm...
      Toutes ces applications ne suspendent même pas l'inflammation pendant quelques minutes, rien à faire.
      Je suspends donc mes expériences de suprassos.
      Mais, j'ai mis un coup de pied dans la fourmilière.
      De cela, en sortira peut-être quelque-chose.
    • De ces symptômes, il en ressort une belle relocalisation.
      Par contre, je n'ai pas fait d'incident aux tripes comme à chaque grosse mobilisation, j'attribue cela aux sels de Schüssler car ces sels ont résolu le précédent incident lors de la précédente grosse mobilisation avec les crèmes.
      Je me doutais pas que le glucose soit si efficace.
      J'ignore si, comme espéré, le glucose entre dans l'intra, mais il fait des points et des plaques rouges...
      Bien que je sois un adepte des traitements extrêmes, je ne me doutais pas que 12g de glucose feraient autant d'effet.
      Il me semble que je peux raisonnablement baisser les doses.
      De plus, par mes précédentes expériences, je n'aurai pas tenir ce rythme de chélateurs au-delà de 7 à 10 jours sans une déminéralisation extrême (sept ou oct 2019).
      Pour une application quotidienne, je peux donc diviser les doses, au pif en première évaluation, par 2.
      Ou d'alterner avec/sans glucose tant l'un ou l'autre est nécessaire.
      Cela reste à affiner dans les détails.
      Mais, au vu de ces symptômes, le glucose semble faire ses preuves.
      Le jeûne, dont j'envisageais l'éventualité pour renforcer l'effet du glucose par éviction des compétiteurs, ne semble donc pas nécessaire pour l'instant.
    • [img]kator/smiley158.gif[/img] Hypothèse de cause des incidents de chélation.
        Cet épisode me permet de proposer une suggestion sur la cause des incidents de chélation.
        Comme le sucre chemine en grosse quantité jusqu'aux neurones, le sucre peut donc être le véhicule des chélateurs chargés de métaux-lourds.
        Chez quelqu'un dont l'extra n'est pas encore désintoxiqué, la prise de sucre à un moment proche de la chélation peut donc envoyer les ml vers le cerveau et l'intra.
        Si le cerveau était acide, le chélateur lâchera sa proie comme maître Corbeau avec son fromage.
        La parade serait donc un régime sans sucre pendant 48h, cad 24h avant et 24h après, et une alcalinisation du terrain par les légumes, par les sels alcalins, et par des bains froids (ceintures et bretelles).
      • [img]kator/smiley158.gif[/img] Hypothèse de résolution de mes nouveaux et récents symptômes.
          Suite à de nombreuses chélassos qui ont donné des bénéfices mais qui n'en donnent plus, je peux raisonnablement supposer que mon extra est clean.
          Les chélateurs ne se rendant pas d'eux-même dans l'intra, seul mon intra serait intoxiqué.
          Avec les récentes suprassos (chélassos+sucre), le glucose aurait fait dégorger les ml vers l'extra.
          Si mes hypothèses étaient justes, des chélassos devraient donc résoudre mes récents symptômes.
          Yapluka tester... Si cela s'avérait juste, il faudra donc alterner chélassos et suprassos de façon à mobiliser et éliminer...
          Ou bien, la dose de glucose est à ajuster de façon à mobiliser sans excès de façon à ce que la capacité à éliminer demeure supérieure à la mobilisation.
          Cad, peu de glucose (2 à 6g) en début de traitement de l'intra, puis bcp de glucose (6 à 12g) par la suite.
          
  • 4 Août Baisse des symptômes
    • Au matin. 24 à 48h après l'apparition des symptômes (plaque et points rouges), l'intensité de la couleur rouge à baissé de 30%.
      Les petits points sont toujours aussi nombreux, mais ils se fondent un peu plus sur le fond.
      La plaque sur la cuisse s'est rétractée de 30%.
      Je vais donc tester une chélasso pour tenter d'effacer tous ces symptômes d'un coup.
    • ...Je sors de la rando, avec une chélasso (pas de glucose) pour éliminer les ml dans l'extra.
      Pas d'effet éclatants. Les points rouges et la plaque demeurent identitiques.
      Mais je me souviens que la pastille rouge de décembre 2018 avait disparue tardivement avec un gradient pendant les 8 jours après avoir appliqué l'injection.
      Cad que, même si les ml ont été éliminés, l'inflammation poursuit sa course avec une trainée.
    • Mieux être. Même si je n'ai pas ressenti d'effets éclatants, un mieux-être d'ensemble et durable s'est installé depuis que j'ai commencé ces suprassos.
      mais la peau est un organe qui fonctionne à l'envers : il s'intoxique à chaque fois que les autres organes sont désintoxiqués.
      Les crèmes ont certes bien désintoxiqué la peau, mais des métaux-lourds demeurent en dépit de la multiplications de l'application de la crème.
      Je vais donc tenter une crème avec du glucose.
      ...Dans les progrès, il y a une véritable différence avec les précédente améliorations.
      Tant que l'extra était traité (hydrophile ou lipophiles), je souffrais de moins en moins à chaque traitement de chélateur.
      Mais là, avec le glucose, et donc avec l'intra, j'ai un mieux être.
      La nuance est majeure.
      ...
  • 5 Août
    • Le contour de la plaque a certes un peu diminué mais y'a pas de quoi fouetter un chat.
      Les points rouges sur les bras et autres zones sont stables.
      Par contre, depuis que j'ai fait les suprasso, la douleur à l'épaule a bien diminué et ça s'est stabilisé.
      Même chose pour le mieux-être, suite aux suprasso, le mieux-être a bien remonté et ça s'est stabilisé.
      Comme, grâce au pH du phosphate, j'ai enfin réussi à réaliser une solution dans laquelle l'Ala disparaissait (=parfaite solubilisation), j'avais envisagé de reprendre l'hydrotomie percutanée pour traiter l'épaule.
      J'avais évoqué la chose dans un paragraphe au pied de ce post dans la rubrique 'AUTRE SUJET'.
      Mais, au vu de ces récents résultats, il est préférable d'attendre les suprassos à venir dès que les plaques et les points rouges auront disparu.
      Pour l'instant, il faut que je résolve cette histoire de peau.
    • Suite aux effets du phosphate (pH9) sur l'Ala; je vais tenter une crème au phosphate et à l'Ala.
      (Rappel, les crèmes que je prépare ne sont pas stable, elles déphasent lentement à température ambiante.
      Je prépare donc toujours mes crèmes juste avant de les appliquer.)
      Je soupçonne que le pH acide de la peau (pH5) provoque une déconformation du chélateur.
      Il en résulterait une libération des métaux-lourds.
      Je vais donc tenter d'inverser le pH afin de récupérer les ml...
      ...
  • 6 août - Statut quo
    • Sur la même surface, l'intensité de la plaque a diminué.
      Elle est à 50% de son intensité la plus forte.
      Mais les nombreuses grappes de points rouges demeurent stables.
      J'ai donc suspendu les suprassos, cependant, j'en tire un confort durable au niveau du snc et de l'épaule.
      ... nouveaux bénéfices des suprassos : Hier, j'ai pu répondre tacotac les mots justes avec le ton juste sur une situation impromptue. [img]kator/smiley223.gif[/img]
      Ça, c'est nouveau, et j'ai même réussi à masquer que j'étais scotché par moi-même. Pokerface.
      J'en conclue que les suprassos sont très efficaces pour traiter l'intra.
      Je les garde donc de côté en attendant de résoudre les problèmes de plaques et de points rouges sur la peau.
      Faute de solution efficace sur la peau, je vais tenter une hydrotomie percutanée sur une grappe.
      Même si ce n'est pas une solution généralisable, j'aurai des réponses si le sel et les chélateurs sont appropriés.
      ...Séance d'hydrotomie percutanée, j'ai préparé une solution avec du phosphate à 3 fois l'isotonie avec un peu d'Ala.
      L'Ala, dans le phosphate se solubilise totalement, la solution devient totalement limpide et peu jaune, épatant.
      Une puissante odeur de soufre s'en dégage.
      Mais l'injection est très douloureuse, :/ j'ai quand-même injecté quelques gouttes sous la pastille rouge du bras droit.
      Une réponse devrait éventuellement apparaitre sous quelques jours.
      Je vais retenter avec du NaCl et un peu du mix d'huiles.
      Préparation avec du NaCl et un peu du mix d'huiles : la solution déphase très rapidement. :/
      Bon, l'hydrotomie percutanée n'est pas encore au point, y'a toujours un truc qui va pas.
      ... La peau est étonnante, elle est l'organe le plus accessible, mais à la pratique, c'est l'organe le plus difficile à traiter, wacha, ...
    • Faute de résolution éclatante, je me rabats sur ce qui a déjà fonctionné.
      Je vais reprendre une application quotidienne des crèmes + sauna.
      Cette solution a bien fonctionné.
      Il a certes fallu de nombreuses séances mais les picotements (et donc les ml) avaient été évincés.
  • Recentrage, Synthèse analytique
    • Maintenant que j'ai un peu de recul, je vais faire une synthèse de ces suprassos.
      J'ai réalisé 3 suprassos en trois jours. Cela a été largement suffisant afin d'explorer les limites bénéfices vs risques.
      J'ai ressenti un soulagement cérébral et un mieux-être général qui se sont durablement installés.
      La douleur à l'épaule, que je traine depuis les déshydratations (2018), est durablement soulagée.
      En contre-partie, juste après ces suprassos, des rougeurs durables en plaques et en grappe de points se sont installées sur la peau.
      Mes posologies sont toujours extrêmes, cela me permet d'apprécier l'efficacité du traitement.
      Quand aux effets secondaires, j'avise.
      Mais il est essentiel de savoir si les ingrédients ou la combinaison d'ingrédients sont efficaces.
      Les plaques rouges sont peu de choses à côté des maux de têtes permanents.
      Comme j'avais déjà traité l'extra avec les solubilisations, il y a donc là un bon argument pour envisager que les suprassos traitent l'intra-cellulaire car il n'y aurait plus de ml ailleurs.
      Les rougeurs sont la manifestation d'une sur-mobilisation de métaux-lourds.
      La baisse de symptômes d'un côté (céphalées) et la hausse de symptômes de l'autre côté (peau) suggèrent un transfert de métaux-lourds de l'intra vers les émonctoires.
      Comme espéré, le glucose aurait emmené les chélateurs jusqu'à l'intra et par-delà la bhe, puis les chélateurs se seraient chargés en ml dans la membrane, puis ils seraient sortis de la zone.
    • À l'avenir, si je n'ai pas de rougeurs accumulatives, je pratiquerai des suprassos hebdomadairement.
      Il me faut encore apprendre à moduler la balance de dosage entre le glucose et les chélateurs afin de minimiser les rougeurs.
      Et, si nécessaire, entre les suprassos, je ferai des applications quotidiennes de crèmes + sauna.
  • 7 Août.
    • Les rougeurs (plaques et points) sont à la légère baisse.
      Ce sont les zones sur lesquelles j'ai appliqué le plus de traitements (huiles, chaud, froid, crème chélatrice) qui manifestent un plus grand retour vers la normalité.
      La détox se fait certes lentement toute seule, mais elle peut donc être un peu aidée par une activation doublée de chélateurs.
      Je maintiens donc les crèmes et les saunas quotidiens.
    • Je prévois une nouvelle suprasso pour le 9 ou 10 août.
      Par chance, je n'ai pas de rougeur sur le visage.
      D'ici là, je vais réfléchir à comment protéger la peau.
      Pour l'instant, j'envisage une crème au magnésium (Cation bi-valent qui va repousser les cations).
      Ce cation devrait repousser les métaux-lourds car les métaux-lourds sont des cations, et les renvoyer vers la circulation sanguine.
      En stock, je n'ai pas de sel de chlorure de magnésium (Cl2Mg), mais j'ai du sel d'epsom (MgSO4).
      J'aurai préféré un Cl2Mg car le chlore est un atome monovalent, il attirerait moins les ml2+ qu'un SO₄²-.
      D'ailleurs, je devrais tester une crème au sel d'epsom pour voir si ça fait effet sur les rougeurs...
      Je ferais cela ce soir...
      Il faut que je procure du chlorure de magnésium pour tester.
      Les anions attirent (to pull) les ml et les cations repoussent (to push) les ml.
      Je mets donc en place une technique de pull and push.
      les anions drainent les ml jusqu'aux émonctoires, mais si je veux éviter la peau, je mets de cations en barbelés.
      y'a plus qu'à tester, y'a une chance sur deux que ça marche ou que ça empire... :lol:
      Je vais donc faire une application sur une zone couverte par des vêtements...
      ... testé le NaCl, 1g dans 10ml de crème sur la plaque et sur le bras droit.
      Pas d'effet sur l'instant.
      ...1h après, Statut quo, peut-être une légère baisse.
      Je fais donc une application intégrale, puis, demain je testerai le MgSO4.
      Autant tester tous les sels.
      De plus, l'idée de faire tourner tous les sels me plaît, anions physiologiques mono et bivalents, cations physiologiques bivalent, anions et cations bivalents physiologiques ensembles
      ...En pharmacie, j'ai trouvé 40g de MgCl2.
      J'ai préparé la crème, elle se liquéfie beaucoup, je n'ai versé que 4 g de MgCl2.
      J'ai ajouté un peu du mix d'huile et quelques gouttes d'he positivantes, tout ce qui est positivant est le bien venu (organique (He) et inorganique Mg)).
      anecdotique, je conserve le mix d'huiles au frigo. Pendant les quelques secondes suivant le versement du mix d'huile dans la crème, la crème a totalement déphasé.
      Puis en mixant, elle s'est reconstituée.
      ... Il ne serait pas étonnant que la peau ait une électro-biochimie décalée par rapport au reste du corps.
      Avec ce décalage, ce qui est sensible à l'intérieur du corps ne franchit pas la peau, la peau fait barrière ;
      et avec ce qui est sensible avec la peau passe certes au travers de ma peau mais cela, faute de compatibilité, serait neutre à l'intérieur du corps.
      Ce ne sont que des idées d'hypothèses tirées d'une simulation d'une logique.
      ...Bronzette. En cette période estivale intense, il faut que je précise que je fais des séances de bronzage.
      Depuis plusieurs semaines, une heure par jour en fin de journée (entre 17 et 19h) , je m'expose au soleil de façon à ne pas mettre de crème (ni protectrice ni bronzante).
      Je précise cela car ça peut influer sur l'évolution des symptômes.
      Au cours du bain de soleil, je me réhydrate avec un demi litre d'eau minérale auquel j'ai ajouté 1g d'anions se Schüssler.
      ...23h. De façon généralisée, les rougeurs se sont rétractées. Il n'en reste que quelques traces.
      Depuis qu'elles sont apparues, les rougeurs ne sont jamais rétractées aussi rapidement.
      Pour l'instant, j'attribue ces effets aux cations dans la crème pour la peau (voie externe) et aux anions dans l'eau minérale (voie orale, interne).
      Je dois préciser que c’est l’application généralisée qui semble avoir eu un effet sur chaque zone localisée.
      La même crème appliquée localement ne me semble pas avoir eu un effet aussi prononcé sur la zone sur laquelle elle a été appliquée.
      Cela reste à affiner mais je tiens là un début de résolution rapide de symptômes que je recherche à résoudre depuis plusieurs dizaines de mois...
      ... J’ai certes trouvé un ordonnancement, mais ce dernier est propre à mon terrain. J’invite donc le lecteur à expérienter les différentes variantes d’ions de façon à dresser un ordonnancement qui lui correspond.
  • 8 août
    • Les rougeurs en sont là où je les ai laissées hier soir, elles n'ont pas bougées.
      J'ai relu le post sur sels de Schüssler.
      Il n'y est pas fait mention du Mg2+, mais du potassium, K+. il y est notamment écrit :
      Conseillé aux personnes qui ont des problèmes de peau ou de cheveu soit de façon chronique soit parce que, au cours d’un traitement de désintoxication, il y a excrétion et réaction de l’organisme à travers le système cutané. Est souvent prescrit en alternance avec Silicea.
      Cela est mon cas : réaction peau suite à détox.
      Le Silicea n'est pas facile a trouver, mais, pour l'instant il ne m'intéresse pas car ce n'est pas un ion physiologique à taux élevé.
      Je préfère me débrouiller avec les ions physiologiques à taux élevé.
      Depuis 2018, les sels de potassium sont passés sous prescription médicale.
      En intraveineuse, il est injecté sous perfusion au rythme d'1g/h.
      D'après un chinage superficiel sur internet, il semble qu'il y ait des incidents car le KCl était utilisé en substitution du NaCl.
      Le potassium provoque des arythmie chez les personnes cardiaques.
      D'après mon chinage, il y aurait des incidents à l'hôpital : erreur de dosage, erreur de vitesse de perf, étiquettes confuses,...
      Le magnésium est un cation bivalent, et le chlore est un cation monovalent, on a donc un spectre des cation.
      Cependant, de part son nombre élevé, le potassium est la cation dominant de l'intra, il insuffle une ambiance de fond dans la cellule.
    • Ma nouvelle théorie, c'est que les tensions insufflées par un ion + ou -, et monovalent ou bivalent va permettre de drainer les ml dans tous les différents des ambiances.
      Ainsi, les ml cheminent d'un organe jusqu'aux émonctoires.
      Comme la peau et les intestins ont différents pH, les différents ions vont se relayer pour drainer les Ml.
      Par exemple, le Mg2+ permettrait d'impulser un mouvement à pH5 (couche cornée), puis le chlore permettrait de prendre le relai à pH6 (hypoderme), puis pH7 avec sodium, puis pH8 avec le phosphate (intestins).
      Il ne s'agit là que d'un exemple avec des propositions à titre d'illustration, j'ignore si la réalité des associations sont telles que présentés ci-dessus.
      Mais, dans mon cas personnel, le phosphate a été efficace pour résorber des accumulation de ml dans les intestins et il a été inefficace sur la peau.
      À contrario, le magnésium ne semble pas avoir été efficace pour drainer les ml accumulés dans les intestins, mais il semble efficace dans la peau.
      J'ajoute que ces associations seraient fonctionnelles pour drainer dans l'extra.
      Et que pour sortir les ml de l'intra, c'est la forte dose de sel qui aspire les minéraux par osmose.
      Rappel : le phosphate est un anion physiologique bivalent, et le magnésium est un cation physiologique. Ils sont l'un et l'autre des macro-éléments.
    • Au cours du traitement detox de la peau (page 25, mois de mai 2020), j'utilisais du phosphate, du sulfate, du bcs et du NaCl, mais pas de magnésium.
      Les réactions (plaques rouges) me montraient que j'arrivais à sortir les ml de l'intra mais je me plaignais du manque de drainage.
      En dépit qu'ils étaient sortis de l'intra, il m'a bien semblé que les ml demeuraient dans la peau.
      J'ai donc du multiplier les applications.
      Peut-être qui si j'avais utilisé du Mg, les ml auraient été rapidement évacués.
      Les applications avec du Mg auraient peut-être été moins nombreuses et efficaces.
    • Comme il provoque des incidents, l'absence du potassium ne me chagrine pas trop, il faut apprendre à s'en passer.
      ...18h. Nouvelle application de la crème pour la peau, 40ml de crème + 10 ml mix d'huile, + 3g de MgCl2 + 3g de NaCl.
      J'ai ajouté le NaCl pour que des cations monovalents accompagnent les cations bivalents (peut-être que cela suppléera-t-il l'action du potassium K+).
      Après application, pas besoin de masser, la crème est totalement imbibée par la peau en 10 minutes.
      Les capillaires sont entrés en activité sanguine toutes seules, cela se voit avec les veines du dos de la main et des pieds qui se dessinent en relief.
      Les bras sont devenus rouge comme après une activation sanguine.
      J'ai fait 15 minutes de sauna, le coeur est monté en régime de façon progressive avec de puissants battements sans excès de rythme, j'ai bien transpiré, petits coups de surpression, lente hyper-respiration, puis soulagement.
      Toute la peau s'est légèrement foncée pendant 30 minutes comme si j'avais fait une séance de bronzage, mais j'ai retrouvé ma couleur d'origine.
      Puis je bois de l'eau minérale avec les anions de Schüssler (natranium régul'O) afin de drainer à l''intérieur du corps.
      Il faut attendre demain pour voir si ça a fait effet.
    9 Août
      La crème au MgCl2 du 7 aout avait significativement diminué les rougeurs, mais celle du 8 août n'a eu aucun effet.
      Ce jour, les petits points rouges comme ceux sur le poignet ont quasiment totalement disparu de façon durable.
      Mais les grappes de points et les plaques demeurent encore un peu visible, parfois elles s'estompent, parfois elles se renforcent.
      ...Petit détail, j'ai relu le passage du 7 aout, en plus du MgCl2, j'avais ajouté une he positivante, mais le 8 août, je n'ai mis que du MgCl2, il faut que je reteste.
    10 août
      Statut quo des rougeurs, mais,
      Les restes de rougeurs s'estompent pendant 5 secondes sous la pression du doigts, et ils s'effacent pendant 30 secondes après un massage.
      Pendant ces quelques secondes, la peau retrouve sa couleur de façon à se fondre totalement avec toute la surface avoisinante.
      Cela veut dire que ces rougeurs ne parviennent pas d'une inflammation, mais d'une accumulation de sang.
      À priori, il s'agirait d'une altération de la peau suite à une inflammation modérée et longue (~8 jours).
      Pour une vérification à postériori, il faut donc attendre la reconstruction de la peau (~6 semaines).
      Je vais donc supposer que la crème au MgCl2 a totalement dénoué la cause première de ces plaques.
      Comme en naturopathie, ce qui dénoue prévient ; je vais donc procéder à un encadrement de la prochaine suprasso par cette crème.
      Il me semble que la crème au MgCl2 ait agit en une petite dizaine d'heure.
      Je vais donc faire une suprasso immédiatement précédée d'un crème, puis, une demie journée plus tard, je ferai une deuxième crème.
      ... retour sur les précédentes suprassos : Au niveau de l'épaule et du snc, les bénéfices modérés des suprassos du 1er au 3 août se sont consolidés.
    11 Août. Suprasso #4
      Aujourd'hui (16:00), c'est jour de suprasso. 1/2l d'eau ; 2g anions de Schüssler ; 8g de glucose ; 0,3g de PA Dmsa ; 0,75g d'Edta ; 0,5g d'Ala (1,5 càs du mix d'huiles).
      Mais la canicule sévit, 38°, c'est trop chaud pour faire des activités physiques.
      Je bois donc la suprasso au repos, je verrai ainsi si la suprasso sans activité aura des effets ou pas.
      Sauf si des plaques rouges apparaissaient, je prévois de ne pas appliquer la crème de MgCl2 car il fait trop chaud pour un sauna.
      ... je surveille la peau comme le lait sur le feu. à 21:00, pas de rougeurs.
      /// Nouvelle vidéo : Traitement chélateur complet avec illustration des solutions. Posologies, produits, prévention
      ...le lendemain matin, pas de rougeurs sur la peau.
      + Un léger mieux-être qu’il est difficile d’attribuer avec certitude à la Suprasso, mais rien de folichon.
      Sans activité physique, les effets semblent moindres.
  • La suite dans un prochain post...





AUTRES SUJETS




Vidéo de la randonnée, Youtube, 2 minutes.
    Pour forcer la percolation de la molécule chélatrice, je bois la solution pendant une randonnée.
    Image

Sort du chélateur dans l'intra
    je me demandais comment le chélateur sortirait s'il parvenait à entrer.
    En tout cas, selon le document alpha, un métal lourd qui piégé dans un chélateur devient neutre.
    Ce n'est donc pas très grave si le chélateur demeurait un long séjour dans la cellule.

Dépôt d'Ala dans le fond de la bouteille du mix d'huile
  • En faisant ces tests, je me suis douté que les he influaient sur le solubilisation du mix d'huiles (hv+he+ala+LdS).
    Dans ma bouteille du mix d'huiles, un léger dépôt d'Ala se forme dans le fond (environ 5% de la dose d'Ala).
    Pour souci de perfection, je souhaiterai dissoudre ce dépôt.
    Test : dans un échantillon du mix d'huiles, j'ai ajouté 10 gouttes de menthe poivrée (très négativante), dans un autre échantillon j'ai ajouté du 10gouttes de palmarosa (positivante)
    j'ai mixé, les échantillon se montent en mousse (comme une mousse onctueuse de guisness).
    C'est bon signe = solubilisation avec l'air, et donc c'est un indicateur de solubilisation avec l'eau.
    L'échantillon avec la menthe poivrée demeure en mousse longtemps (comme du blanc d'oeuf battu) alors que l'échantillon avec la palmarosa se reconstitue en huile lentement.
    50% de la mousse palmarosa s'est reconstituée en huile en 15 minutes environ.
    50% de la mousse menthe poivrée s'est reconstituée en huile en 35 minutes environ.
    Mais pas d'effet sur le dépôt d'Ala.
    Par contre, il y a deux paramètres aux he, pos/nég & polaire/apolaire.
    il faut encore que je vérifie lequel de ces paramètres influe sur la solubilité de l'huile...
  • Par contre, la température influe sur le dépôt : le dépôt triple de volume lorsque le mix d'huile est placé au frigo.
    Je vais donc chauffer l'huile à 37°c, résultat : baisse significative du dépôt. Il fallait s'y attendre.
    C'est une bonne nouvelle, car, une fois dans le corps, le dépôt devrait se solubiliser.
    Du coup, je n'ai pas trop besoin de me soucier des he qui influent sur la solubilisation dans l'huile.
    Il suffit de bien secouer la bouteille avec de prélever les quelques ml à verser dans l'eau.
  • J'ai réussi à éliminer tout le dépôt de façon définitive.
    Il faut chauffer l'huile au bain marie à 40°, et secouer la bouteille toutes les cinq minutes.
    Les dépôts sont des mini-amas de poudre qui sont déjà présents dans la poudre qui parvient du fournisseur.
    Par action mécanique (secousses), ces amas se disloquent peu-à-peu jusqu'à totalement disparaitre.
    Cela est une bonne nouvelle car une solution sans dépôt est une solution correctement composée, bien dosée et donc très efficace.

Hydrotomie percutanée 3 et 4 août
  • Faute de chélateur dans la solution lors de mes précédents séances d'hydrotomie percutanée, les symptômes revenaient.
    J'avais essayé de mettre des chélateurs, mais ces derniers n'étaient pas solubilisées à 100% : l'aiguille se bouchait.
  • Avec mes récentes découvertes, je peux relancer l'hydrotomie percutanée sur l'épaule.
    En effet, j'ai réussi à solubiliser parfaitement l'Ala de façon à ce qu'aucune suspension indésirable ne demeure dans la solution.
    J'ai déjà fait un test, j'ai pu faire passer les 10ml du canon de la seringue au travers de l'aiguille sans aucun encombre.
  • Avec un peu de sels de phosphate, au bain marie, et quelques minutes de patience, les molécules d'Ala disparaissent complètement.
    Même en inspectant la solution avec le faisceau de lumière d'un smartphone, la solution est homogène et équilibrée à 100%.
    Pour l'instant, je n'ai réussi à obtenir un tel résultat qu'avec l'Ala, mais je n'ai pas réussi à obtenir le même résultat avec le dmsa et l'edta.
  • Je ferai donc une séance prochainement.
  • Tests : il faut que je teste sur les chélateurs passent dans l'aiguille que j'utilise.
    C'est la plus petite du marché, intradermique, 0.13mm de lumière, soit le diamètre d'un cheveux.
    Je viens de tester l'Ala avec le phosphate et bain marie, les 10ml du canon sont passés sans encombre.
    Tant que j'y suis, j'ai testé 9ml d'eau et 1ml du mix d'huile et un peu de phosphate, et ça passe comme de l'eau.
    Dans les deux cas, y'a pas de bouchon ni de dépôt sur la surface intérieure du canon, nada, nikel.
    Je vais donc enfin pouvoir composer une solution qui aspire par osmose et qui fixe les métaux-lourds comme une vraie séance d'hydrotomie percutanée.


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Sophocle

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