![diable [img]smile/xsgrin.gif[/img]](./images/smilies/xsgrin.gif)
![diable [img]smile/xsgrin.gif[/img]](./images/smilies/xsgrin.gif)
![diable [img]smile/xsgrin.gif[/img]](./images/smilies/xsgrin.gif)
Rappel : une présentation générale (Table des matières, renvois, sources, ...) de ce topic est placée à la page 14.
- En un seul document scientifique, tous les aspects des intoxications aux métaux sont brossés.
Les intoxications chroniques sont également évoquées.
Cependant, les intoxications aiguës sont mieux documentées que les intoxications chroniques.
Par exemple, le protocole d'une analyse d'intox chronique avant et après provocation n'est pas précisé.
Il n'y a certes pas de scoop mais le fait que toutes ces informations soient regroupées donne le sentiment d'une vision panoptique.
Il y a tout sur tout : tout toxique, tout chélateur, toute maladie, toute administration (orale, iv, dièrèse), études, cas cliniques, toute technique appropriée, ...
Voici quelques notes générales.
Quant à la partie métaux, je n'ai lu que les chapitres qui m'intéressent : Cuivre, Arsenic, Plomb, Mercure, et aluminium.
(mes quelques remarques sont en italiques) :
Chapitre 1
- On y retrouve des hypersensibilité cutanée à cause d'une intoxication au Nikel.
- La bhe empêche le chélateur de rentrer, le snc est donc lent à désintoxiquer.
- Les intox dérégulent le gène P53 (gène appelé "le gardien du génome"), il y a donc un risque de cancer.
Chapitre 2
- Esther de Dmsa : lipophile
- Edta : le plomb des os est chélaté, puis il est redistribué dans les tissus mous (surtout dans le cerveau)
- L'Edta chélate peu de mercure ; zing, cuivre, fer : excrétion x10
- Dmps : 50% absorbé par l'intestin
- Dmsa : pic à 3 heures
Chapitre 3
- L'examen clinique ne donne aucune indication sur la cause
- Rechercher les antécédents
- Contamination des os (asymptomatique avant qu'ils ne deviennent cassants)
- La poussière est très contaminante
- Des intoxications asymptomatique
- Dmsa peu efficace sur l'arsenic
Chapitres 4 & 5 (je n'ai lu que les paragraphes qui m'intéressent)
- Aluminum.
- Alzheimer : cuivre et non l'aluminium
- De faibles doses sont parfois aussi efficaces que des doses standard.
- Arsenic.
- Herbicides/Pesticides. (population contaminée)
- Dmps valable en oral, et performant pour intox chronique.
- Acide lipoïque, bicarbonate de sodium
- des cas de survie après ingestion de 10 x la dose mortelle
- Traitement par solution saline.
- Dmsa peu performant sur l'intox chronique
- Cuivre
- Chélateur : TETA
- Dmsa efficace
- Plomb
- 90% dans le squelette, rebond, besoin de répétition des chélations
- Plomb chélatable dans les tissus mous
- Edta redistribue le plomb dans le cerveau
- Pb concentration, irritabilité, fatigue, anxiété, aucun signe discernable.
- Combinaison Edta & Dmsa pour les intox chroniques.
- Dmsa : tissus mous ; Edta : Os vers le cerveau si pas de Dmsa.
- Les symptômes peuvent rester stable en dépit de la chélation (rebond des os ?)
- Mercure
- Dmps performant, Dmsa (un) peu efficace
- Dmsa peu performant dans le cerveau, moins profond
- Score à l'amalgame
- "La quantité de mercure mobilisé par le Dmps et les scores obtenus lors de tests neuro-comportementaux ont montré une relation inverse significative".
- Maladie à changement minimal
- Paramètres biochimiques indifférents avant vs après traitement.
- Monoalylesther de Dmsa (Mn-ADMS) performant.
Chapitre 6
- Métaux : mauvais repliement des protéines, agrégation, neuro-dégénération.
- Dmsa efficace sur le cuivre.
- Parkinson, Sep : fer (neuro-inflammation) mais les chélations sont défavorables (?)
Chapitre 7
- Le chélateur ionisé (négativement) ne rentre pas dans la cellule.
- Un chélateur lipophile passe mieux la membrane
- Dmps : cuivre, zinc, mercure, arsenic, plomb.
- Régime riche en protéines.
- Dmsa : Arsenic, plomb, mercure, cuivre. pas de zinc.
- Le chélate ionisé est éliminé par les reins
- Combinaisons, synergie : Combinaison chélateur lipophile et ionisé pour assurer la mobilisation intracellulaire et l'élimination
- Alzheimer : cuivre et fer.
Chapitre 8
- Edta lipophile ?
À la lecture de cette littérature scientifique, quelques réflexions sur mon cas :
[*]Dans ce document, il est difficile de départager les traitements selon l'intox aigüe ou chronique.
J'ai donc encore quelques très légers doutes sur les choix suivants.
- Pour le mercure et l'arsenic, le dmsa est un second choix et le dmps est un premier choix.
Quand le dmsa et l'edta, que je prends actuellement, cesseront de produire des effets avec des analyses négatives, je pourrai alors me tourner vers le dmps. - Pour le cuivre et le plomb, l'edta et le dmsa sont un premier choix.
Le dmsa peut être pris seul, mais l'edta devrait être accompagné par du dmsa pour éviter l'effet de redistribution.
Le zinc et le calcium devraient être les minéraux à supplémenter.
Un effet rebond peut apparaitre avec le plomb des os.
La fin des améliorations n'est donc pas un signe de fin d'effet.
Il faut faire une analyse pour vérifier si du plomb continue à sortir.
Remarque
- L'acide lipoïque est très peu cité.
En dépit que ce soit chélateur, il n'est pas vraiment reconnu par ce texte.
2ème relecture, Édit 30 déc. 2019
![special [img]kator/smiley252.gif[/img]](./images/smilies/smiley252.gif)
- Sans tenir compte de la précédente lecture, j'ai relu le document alpha car il me faut le digérer et le redigérer pour qu'il m'imbibe en profondeur.
Cette revue date de 2016.
Les auteurs de cette revue sont des universitaires qui ont participé à des revues en 1983, 1999, 2002, 2004 et 2015 (ch.7.6).
Les auteurs de ce documents sont donc des spécialistes au sein de l'hôpital qui ont fait carrière dans l'intoxication aux métaux lourds.
PréfaceSes dérivés moins toxiques, l'acide méso-2,3-dimercaptosuccinique (DMSA) et l'acide D , L -2,3-dimercapto-1-propanesulfonique (DMPS), sont maintenant entrés dans le domaine clinique et ont remplacé le dimercaprol dans la plupart des cas de métaux lourds empoisonnements.
1.1 CHIMIE GÉNÉRALE DES MÉTAUXLes électronégativités des métaux de transition (vanadium, chrome, manganèse, fer et cuivre) sont d'environ 1,6 à 1,8, alors que le mercure, le plomb et l'arsenic ont des électronégativités plus élevées, à savoir environ 2,0.
1.2 ELEMENTS ESSENTIELS ET NON ESSENTIELSCalcium : Si le régime alimentaire fournit des quantités insuffisantes de cet élément, l'organisme mobilisera le calcium des os grâce à un processus provoqué par une augmentation des taux circulants de la parathormone (PTH).
1.3.2 Profils d'exposition et mécanismes de toxicité des métauxMercure: il offre un bon exemple de l'extrême variation des effets cliniques pouvant être produits, en fonction du type d'exposition et de la forme chimique du métal (Kazantzis, 1980).
1.3.9 Allergies aux métauxL'amalgame au mercure est probablement l'alliage dentaire principalement associé aux modifications de la muqueuse buccale telles que le lichen plan buccal.
1.4 BASE DE LA FORMATION DE COMPLEXES MÉTALLIQUES AVEC DES LIGANDS ENDOGÈNES ET EXOGÈNESEn raison de la disponibilité de nombreux petits ligands biologiques dans les organismes vivants, les concentrations de métaux toxiques «libres» sont souvent très faibles.
La capacité d'un chélateur à pénétrer dans le compartiment particulier des dépôts métalliques et d'atteindre ainsi les sites moléculaires critiques peut constituer des déterminants importants de son efficacité clinique. Par exemple, l'enlèvement des dépôts de fer, de cuivre ou de plomb du système nerveux central s'effectue généralement lentement, car la pénétration des chélateurs ou des chélates à travers la barrière hémato-encéphalique est généralement limitée.
1.5.2 Transferrine et ferritineLa transferrine est également associée au système immunitaire inné. Il se trouve dans la muqueuse, dans l'intestin et lie le fer, créant ainsi un environnement pauvre en fer libre qui entrave la survie des bactéries dans un processus appelé retenue de fer. Le taux de transferrine diminue dans l'inflammation (Ritchie et al., 1999). (Par voie de conséquence : l’inflammation est propice aux bactéries)
1.6. CONCLUSIONSLes effets aigus ou chroniques de la toxicité liée aux métaux peuvent se manifester dans différents organes, notamment les systèmes respiratoire, cardiovasculaire, rénal et nerveux central.
Les agents chélateurs possèdent une grande affinité pour le métal à éliminer, libérant les ions mé talliques des structures endogènes vulnérables en formant un chélate non toxique. La chélation est indiquée dans le traitement des intoxications par les métaux et des maladies liées au stockage des métaux, ainsi que dans l'élimination des radionucléides métalliques.
2.2.1 BAL, DMPS, DMSA(DMPS) Il a été synthétisé à l'origine par Petrounkine dans l'ancienne Union soviétique (Petrunkin, 1956).
Ce chélateur n'est pas autorisé par la FDA, mais disponible en Europe.
3.3 CONCLUSIONS CLINIQUESDes symptômes neurologiques d'encéphalopathie allant de maux de tête, irritabilité et légère somnolence à un dysfonctionnement plus grave comprenant confusion, hallucinations, convulsions et coma ont été décrits après une intoxication au plomb et l'inhalation de vapeurs de mercure, de nickel ou d'arsenic.
… l’importance de combiner les résultats cliniques avec un historique d'exposition soigneux.
Au cours des intoxications aiguës ou chroniques, les métaux absorbent les os, ce qui est généralement un processus asymptomatique.
3.5 ANALYSES TOXICOLOGIQUESDans certains cas, l'interprétation des analyses toxicologiques dans le sang ou l'urine est difficile.
Dans le diagnostic de l'intoxication par le plomb, des difficultés peuvent survenir lorsque l'exposition a cessé il y a quelque temps et qu'une grande partie du plomb a été transférée du sang vers les os. Dans de tels cas, les concentrations de plomb dans le sang peuvent être revenues à l'intervalle de référence lors de la tentative de diagnostic.
3.7 ENQUÊTES PHYSIOLOGIQUES, RADIOLOGIQUES ET ULTRASONOGRAPHIQUESL'IRM est moins spécifique dans les intoxications par d'autres métaux et ne montre généralement que les conséquences des lésions tissulaires. Une IRM cérébrale dans une intoxication au plomb, au mercure ou au cuivre montre des signes d'encéphalopathie, c'est-à-dire une hyperintensité des noyaux gris centraux et de la substance blanche sur l'imagerie pondérée en T2, reflétant probablement un œdème, une démyélinisation et des cavitations tissulaires.
4) chélation lors de surexpositions aiguës et chroniques
4.1 INTRODUCTIONCependant, la pharmacocinétique de l'agent chélateur est également très importante, notamment si le complexe chélateur et le complexe métal-chélateur formés sont hydrophiles avec pour résultat une excrétion rénale accrue ou lipophiles avec pour résultat une excrétion biliaire accrue ou un dépôt cérébral.
4.4.2 Études cliniquesSon intestin a été purgé avec de grandes quantités de solution saline et du charbon de bois a été administré.
4.4.3 Discussion et conclusionLes rapports de cas examinés précédemment décrivent plusieurs survivances, apparemment sans séquelles, malgré l’ingestion de doses importantes de composés organiques ou inorganiques de l’arsenic, plusieurs fois les doses létales, parfois plus de 10x
4.14 PLOMBLe squelette est le dépôt principal de plomb, contenant plus de 90% de plomb corporel chez les travailleurs en plomb
Le plomb chélatable n'est toutefois pas une mesure précise de la charge corporelle, reflétant principalement les niveaux de plomb dans le sang et les tissus mous .
Une exposition élevée au plomb peut provoquer une anémie,
oblèmes de concentration, irritabilité, fatigue, anxiété, hostilité, humeur dépressive, tension et problèmes interpersonnels observés chez les travailleurs principaux,
Les études examinées ensemble indiquent que le DMSA oral, seul ou associé à un EDTA parentéral, pourrait être le traitement de chélation le plus efficace pour l’intoxication par le plomb, et que le test de provocation à l’EDTA pour l’estimation diagnostique de la charge corporelle en plomb est dangereux pour le patient. Les données animales combinées avec les données humaines examinées ci-dessous indiquent que la chélation par DMSA mobilise le plomb dans les tissus mous et le plomb récemment déposé, mais que le DMSA ne peut mobiliser qu'indirectement les dépôts de plomb dans les os âgés au cours de la chélation prolongée en épuisant les tissus mous en plomb, favorisant ainsi l'écoulement du plomb. des os. L'EDTA moins efficacement que le DMSA mobilise les dépôts de plomb dans les tissus mous. Cependant, l'EDTA peut mobiliser les dépôts de plomb dans les os âgés. Une question importante dans le traitement par chélation de l'intoxication au plomb est l'effet d'amélioration ou d'inhibition des agents chélateurs sur l'absorption intestinale de plomb. Les résultats d'études chez l'animal indiquent que l'EDTA ne devrait être utilisé qu'après la fin de l'exposition au plomb, alors que les résultats obtenus avec le DMSA ne sont pas tout à fait clairs.
4.14.2 Études cliniquesUn défi à relever lors du traitement par chélation de l'intoxication chronique au plomb est un rebond du taux de plomb dans le sang qui se produit peu de temps après la fin du cycle de chélation. Ce rebond est observé avec tous les agents chélatants qui ont été utilisés dans l'intoxication au plomb et est probablement dû à la lenteur de la mobilisation du plomb dans les os et, dans de nombreux cas, nécessite des calendriers de chélation répétés.
4.16 MERCURELe mercure accumulé dans le cerveau a une demi-période de plusieurs années.
Aposhian et al. (1992) ont utilisé le test de mobilisation DMPS pour étudier l'exposition au mercure et la charge systémique en mercure dans des populations sans exposition professionnelle au mercure. Dans un groupe de volontaires, une corrélation statistiquement significative a été observée entre le «score à l'amalgame» (nombre et taille des amalgames dentaires) et l'excrétion urinaire de Hg provoquée par le DMPS.
Dans des études similaires, Zander, Ewers, Frier et Brockhaus (1992) et Herrmann et Schweinsberg (1993) ont constaté une augmentation de 6 à 7 fois et de 9 fois l'excrétion urinaire moyenne de Hg lors des tests de mobilisation du DMPS. Dans les deux études, l'excrétion urinaire de mercure était plus importante chez les sujets amalgames que chez ceux sans amalgame, avant et après la provocation par le DMPS. Herrmann et Schweinsberg (1993) ont observé une corrélation significative entre «l'indice de remplissage d'amalgame» et l'excrétion de mercure.
Les symptômes neurologiques ont commencé à diminuer 6 mois après le début du traitement par chélation et avaient complètement disparu après 2 ans de chélation.
Le suivi a montré une amélioration des résultats cliniques. Les auteurs concluent que l'intoxication au mercure a provoqué l'hypertension intracrânienne.
6) Traitement par chélation
6.1 INTRODUCTIONCompte tenu de l'importance des ions métalliques dans les fonctions normales du cerveau humain, il n'est pas surprenant que la dérégulation de l'homéostasie des métaux ait des effets néfastes sur les fonctions cérébrales (Dusek, Litwin et Czlonkowska, 2015). Un nombre croissant de données corrobore l'idée selon laquelle les métaux, le fer et le cuivre, qui sont actifs dans l'oxydo-réduction, peuvent générer un stress oxydatif et une inflammation, accélérant ainsi le mauvais repliement et l'agrégation des protéines associés aux maladies neurodégénératives. Il est de plus en plus évident que la perturbation de la régulation du fer cérébral joue un rôle dans l'étiologie de la maladie d'Alzheimer, de la maladie de Parkinson,
7.6 THÉRAPIE PAR CHÉLATIONLes applications pharmacologiques et thérapeutiques des agents chélateurs ont été passées en revue par Catsch et Harmuth-Hoene (1976) et mises à jour par Aaseth (1983), Andersen (1999), Andersen et Aaseth (2002), Andersen (2004) et Aaseth, Skaug, Cao. et Andersen (2015).
Le traitement est d'autant plus efficace que l'agent chélatant est administré alors que le métal est encore dans la circulation ou dans le compartiment des fluides extracellulaires, car une fois intracellulaire, le métal est moins accessible.
De nombreux agents chélateurs apparaissent sous une forme ionisée et ont donc une capacité limitée à pénétrer dans les membranes cellulaires.
De plus, la solubilité du chélate dans l'eau et les lipides, respectivement, doit être prise en compte. La solubilité dans l’eau facilite le transport dans le sang et l’excrétion par les reins. En revanche, un chélateur lipophile peut plus facilement faire passer les membranes cellulaires pour chélater des éléments intracellulaires et a souvent une excrétion plus importante via la bile (Sears, 2013). Il faut tenir compte du fait que les effets de chélateur de métaux peuvent entraîner l'épuisement des métaux essentiels ou la redistribution des métaux toxiques vers d'autres tissus, par exemple le cerveau (Andersen, 2004; Andersen & Aaseth, 2002).
7.6.2 Sodium 2,3-dimercaptopropane-1-sulfonate (DMPS; Dimaval )L’agent a été synthétisé à l’origine par Petrounkine (1956) et est utilisé depuis de nombreuses années comme antidote aux métaux lourds en Russie et, plus récemment, dans le monde occidental également.
Le DMPS a été utilisé comme test de diagnostic pour l’exposition à de faibles concentrations de mercure, ce qui suggère que le mercure urinaire après le DMPS pourrait être un meilleur indicateur de l’exposition que l’excrétion urinaire de mercure non contestée (Aposhian et al., 1995).
7.6.3 Acide méso-2,3-dimercaptosuccinique (DMSA; Succimer )Le rebond de la concentration de plomb dans le sang qui survient après l’évolution de la chélation est considéré comme étant principalement causé par la mobilisation du plomb dans les os, ce qui nécessite la nécessité d’une chélation répétée.
7.6.12 Combinaisons d'agents chélateursEdta & Dmsa
Dmps & Dtpa
7.7.2 Maladie d'Alzheimeril est particulièrement intéressant de noter la présence de niveaux élevés de cuivre et de fer dans les plaques insolubles de bêta-amyloïde dans les cerveaux post-mortem de patients atteints de la maladie d'Alzheimer.
VOIR REMARQUES SUR CE TRAITE à LA PAGE 28.