Au chapitre du plomb (4.14) du document alpha, il y a écrit:Un défi à relever lors du traitement par chélation de l'intoxication chronique au plomb est un rebond du taux de plomb dans le sang qui se produit peu de temps après la fin du cycle de chélation. Ce rebond est observé avec tous les agents chélatants qui ont été utilisés dans l'intoxication au plomb et est probablement dû à la lenteur de la mobilisation du plomb dans les os et, dans de nombreux cas, nécessite des calendriers de chélation répétés.
En échange en mp, j' a écrit:Tout d'abord, les bains froids et la réforme alimentaire seraient les premiers gestes à installer.
Si cela ne guérit pas, cela permet de renforcer significativement le cerveau.
Pour la chélation, il faut vraiment commencer par des micro-chélassos pour voir comment réagit le corps.
Même s'il réagit un peu bizarrement au début, il faut laisser passer et retenter pour s'habituer au traitement.
Peu a peu, les effets un peu bizarres disparaissent, chez moi il n'a fallu que quinze prises d'Ala.
Lors de mes premières gélules de Ala, j'avais les yeux qui regardaient au plafond, c'était un peu bizarre.
La dose n'était pas très forte (0,2g d'ala en grumeau de gélule).
Mais certaines personnes ne supportent pas plus de 0,05g, voir moins.
Mais il faut commencer par le dmsa, puis l'edta, qui sont beaucoup moins problématiques.
Une fois que le dmsa et l'edta ont fini leur effets bénéfiques, il faudra alors passer à l'Ala.
Le dmsa et l'edta auront désamorcé des éventuels difficultés de l'Ala.
Puis, on peut monter peu-à-peu.
Maintenant, je peux prendre 1 gramme sans effet secondaire, sauf que ça n'a plus d'effet bénéfique car ce qui était nettoyable a été nettoyé.
Extrait des recommandations :La majorité des éléments métalliques sont présents et mesurables chez la plupart des individus et l’administration d’un chélateur en augmente l’excrétion urinaire chez tous : la comparaison des concentrations mesurées dans ces circonstances aux valeurs de référence en population générale est évidemment erronée.
Diagnostic des intoxications par des métaux ou des métalloïdes et mésusage des chélateurs
CONSENSUS
MOTS CLÉS Mercure ; Métal ; Empoisonnement ; Agent chélateur
Mercure, plomb, arsenic, aluminium, cadmium, cobalt, chrome... L’inquiétude sur la présence dans notre environnement d’éléments approximativement désignés sous l’intituléde « métaux lourds » est de plus en plus répandue, relayée et amplifiée par les médiaset par internet (commentaire perso de sophocle : j'ajoute le Collège de France ). Cette peur est exploitée, y compris parfois dans la communauté médicale, chez un nombre croissant de patients en errance thérapeutique et sert de prétexte à de pseudo-diagnostics d’intoxication puis à divers et coûteux traitements non validés voire dangereux. Sans attendre la fin des polémiques sur les effets sanitaires de telle ou telle exposition chronique, des données suffisantes existent pour évaluer dès maintenant les outils diagnostiques utilisés, notamment les métalluries provoquées . À l’image de leurs homologues américains [1] et dans l’intérêt des malades abusés qui les interrogent fréquemment, la Société de toxicologie clinique et la Société française de toxicologie analytique ont souhaité réagir et faire une mise au point scientifique sur l’usage et le mésusage des chélateurs.
Les seules indications de l’administration de chélateurs sont les intoxications par certains métaux ou métalloïdes, en particulier les intoxications par le PLOMB, le MERCURE et l'ARSENIC. Le diagnostic de l’intoxication par un métal nécessite toujours l’association :• de signes cliniques et/ou paracliniques traduisant les effets toxiques connus du métal ;
• et de valeurs élevées d’indicateurs biologiques validés de l’exposition ou de la doseinterne du métal.
L’exposition chronique à certains métaux ou métalloïdesest associée à un risque élevé de certains cancers (parexemple, l’exposition à l’arsenic est associée à une augmentation des risques de carcinomes cutanés, de cancerbroncho-pulmonaire, de cancer des voies urinaires et deplusieurs types de tumeurs hépatiques), mais les tumeurs surviennent longtemps après le début de l’exposition et souvent, longtemps après qu’elle a cessé ; l’administration de chélateurs n’en est pas un traitement et il n’y a pas, àce jour, de preuve qu’elle les prévienne. Contrairement à ce qu’affirment certaines publications para-scientifiques (et avec elles, certains praticiens), il n’y a pas de preuve suffisante d’une association causale entre une contamination par un élément métallique et certaines affections, tellesque l’autisme, la sclérose en plaques, la maladie de Parkinson, le syndrome de fatigue chronique, la goutte, les maladies cardiovasculaires, la dégénérescence maculaire ou la myofascite à macrophages. Chez ces malades comme chez n’importe quel individu, l’administration de chélateurs ne peut se justifier que si le diagnostic d’intoxication est établi par la constatation d’effets toxiques caractéristiques de la substance et d’une élévation de la concentration d’un ouplusieurs indicateurs biologiques de l’exposition et/ou de la dose interne.
Les indicateurs biologiques d’exposition ou de la dose interne utilisés pour le diagnostic de l’intoxication par un élément métallique sont des paramètres scientifiquement validés. Des indicateurs de référence sont identifiés pourla surveillance des expositions et le diagnostic des intoxications par les principaux métaux et métalloïdes(1). Des bases de données nationales et internationales permettent d’identifier ces indicateurs et les valeurs de référence utilisables pour chacun d’entre eux (par exemple, en France, la base Biotox, publiée par l’Institut national de recherche etde sécurité [INRS]).
Les indicateurs biologiques d’exposition ou de dose interne qui ne sont pas validés ne peuvent être utilisés pour le diagnostic d’une contamination par un métal. Leur emploi dans ce but par un praticien ne peut traduire que l’ignorancede ce dernier [2]. Les exemples les plus fréquents de tests non validés improprement employés pour démontrer une contamination par un élément métallique sont la mesure de concentrations salivaires (éventuellement, après mastication), le dosage simultané d’un grand nombre d’éléments dans divers milieux et les tests de provocation. Ces derniers consistent à mesurer la quantité ou la concentration d’un élément dans les urines après l’administration d’un chélateur. Il existe des tests de provocation validés pour un nombre limité de métaux et qui sont applicables dans des conditions précisément déterminées : nommément, pour le cuivre (dans le cadre de la maladie de Wilson), pour le fer (dans le cadre de l’hémochromatose) et pour le plomb (pour décider du traitement de l’intoxication saturnine, à certains niveaux de plombémie). La majorité des éléments métalliques sont présents et mesurables chez la plupart des individus et l’administration d’un chélateur en augmente l’excrétion urinaire chez tous : la comparaison des concentrations mesurées dans ces circonstances aux valeurs de référence en population générale est évidemment erronée. Plusieurs sociétés savantes nord-américaines ont publié des mises au point destinées aux praticiens et au public sur l’emploi abusif de ces tests prétendument diagnostiques[3—5].
Pour que les résultats des analyses soient interprétables, les dosages de métaux doivent être réalisés dans le respect de règles strictes visant les conditions du prélèvement, de son transport et de sa conservation, ainsi que la qualité de l’analyse par le laboratoire. Celui-ci doit se conformer aux bonnes pratiques de laboratoire et avoir mis en place des procédures de contrôle de qualité internes et externes [6]. Le prescripteur doit s’assurer du respect de l’ensemble de ces procédures de contrôle de qualité. Une dizaine de laboratoires français des secteurs public et privé répartis sur le territoire national sont en capacité d’effectuer des dosages de qualité de tous les éléments métalliques d’intérêt. Le choix d’un laboratoire doit toujours être motivé et le recours à un laboratoire situé en dehors du territoire national doit être fondé sur des arguments techniques et/ou économiques précis.
Le dépassement de la valeur de référence en population générale d’un indicateur biologique d’exposition (ou de la dose interne) n’implique pas automatiquement l’indication d’un traitement chélateur. Les chélateurs efficaces ne sont pas dépourvus d’effets indésirables et leur emploi doit s’appuyer sur une évaluation des risques pour la santé, prenant en compte les relations dose—effet de la substancetoxique et la tolérance du médicament. Les indications des traitements chélateurs sont, en pratique, bien codifiées dans tous les traités de toxicologie médicale.
L’usage abusif de chélateurs, en l’absence d’indication validée, est une pratique rapidement croissante en Europe et en Amérique du Nord. Qu’elle traduise une dérive commerciale exploitant l’anxiété et la fragilité de certains patients ou seulement l’ignorance de l’état actuel des connaissances par les prescripteurs, c’est une conduite inacceptable. Elle est assez souvent aggravée par le fait que les mêmes praticiens proposent de fournir à leurs patients (et à des prix prohibitifs) :• des médicaments qui ne sont pas commercialisés enFrance, en prétextant d’une plus grande efficacité (en France, c’est le cas du dimercaptopropane sulfonate[DMPS], dont le pouvoir chélateur n’est pas, dans la plupart des indications potentielles, supérieur à celui d’autres médicaments présents sur le marché et qui peut être responsable d’accidents thérapeutiques sévères ; c’est la raison pour laquelle, il n’est, en principe, pas disponible dans notre pays) ;
Aux États-Unis, après des essais inefficaces d’information des prescripteurs au cours des années 2000, certains organismes professionnels recommandent de pénaliser les prescriptions abusives [7].
• des médicaments « naturels » sans effets thérapeutiques démontrés : ail, bentonite, chlorelle et autres algues,coriandre (cilantro), chlorophylle, cystéine, spiruline,vitamine C.
(1) Par exemple, pour :
- le plomb : la plombémie ;
- le mercure inorganique, la concentration sérique ou urinaire du métal;
- le mercure organique, la concentration du mercure dans le sang total ou dans les cheveux ;
- l’arsenic inorganique, la somme des concentrations urinaires d’arsenic inorganique, d’acide mono-méthylarsonique et d’acide diméthylarsinique ou d’arsenic dans les cheveux.
Références
[1] McKay Jr CA. Introduction to special issue: use and misuse ofmetal chelation therapy. J Med Toxicol 2013;9(4):298—300.
[2] Seidel S, Kreutzer R, Smith D, McNeel S, Gilliss D. Assessment ofcommercial laboratories performing hair mineral analysis. JAMA2001;385:67—72.
[3] Ruha AM. Recommendations for provoked challenge urine testing. J Med Toxicol 2013;9:318—25.
[4] American college of medical toxicology. American college ofmedical toxicology position statement on post-chelator challenge urinary testing. J Med Toxicol 2010;6:74—5.
[5] Goldman RH, Woolf A. http://www.pehsu.net/documents/chelation therapy guidance general public goldman woolf2012.pdf
[6] Wang RY, Caldwell KL, Jones RL. Analytical considerations inthe clinical laboratory assessment of metals. J med toxicol2014;10:232—9.
[7] Burton BT. ACMT chelation position adopted by Oregon medicalboard. J Med Toxicol 2014;10:244.Page web (non publique, article payant 30e en 2020, puis sur abonnement 55e 2021 - achat à l'unité indisponible) : https://www.em-consulte.com/article/100 ... aux-ou-des
Archive de la page web 25 mars 2021 : https://web.archive.org/web/20210325102 ... aux-ou-des
Le fait que cet article soit payant le rend invisible sur internet. Or, les centres antipoison me l'ont transmis avec mon dossier médical.
S'ils l'opposent aux appelants, il siérait que cet article soit publié sur le site des centres antipoison. Or cela n'est pas le cas, cela est louche, très louche.
page web : http://www.centres-antipoison.net/
Webarchive : https://web.archive.org/web/20210227070 ... oison.net/
Au CAP, le 9 juillet, j' a écrit:Bonjour Madame (Secrétaire du Dr X).
J’ai bien reçu des éléments et je vous en remercie.
Suite au RAR, je vous prie de bien vouloir m’adresser un bordereau avec la liste des documents transmis.
Quand ça fait dix ans que j’urine des métaux-lourds, la moindre des choses, c’est que le médecin signe son compte-rendu dans lequel il annonce que mon diagnostique n’est pas recevable parce que les trop hautes valeurs de métaux-lourds n’ont pas été établies dans les conditions d’établissement des normes.
J’ai demandé un compte-rendu, je veux un vrai compte-rendu avec les formes du compte-rendu revêtu de la signature de son auteur.
Je ne reconnais donc pas le document adressé comme un compte-rendu de la consultation demandé au RAR.
Au mieux, ce sont des notes manuscrites.
Pour qu’un compte-rendu soit recevable, je rappelle que les personnes présentes ont le droit d’émettre des remarques.
De plus, un article est adjoint.
Cet article n’est pas des recommandations aux bonnes pratiques.
Dans cet article, aucune recommandation n’est faite.
De plus, cet article n’est pas présent sur le site de promotion des CAP.
Je ne reconnais donc pas ce document comme les recommandations cités par le docteur X.
Je fais une copie papier de ce courriel avec les pièces reçue et je l’envoie par RAR au Docteur X.
Meilleures salutations
Sophocle
Voici mon commentaire sur l’article que j’ai reçu:
Pour un médecin du centre antipoison, le retrait des métaux toxiques est du second ordre derrière la norme.
À la Eichmann : sa défense consistait à dire qu'il n'a fait qu'appliquer la règle.
Hannah Arendt a philosophé sur le sujet : c'est le totalitarisme de l'idée.
Le réel a tord s'il donne tord à l'idée.
Dans le cas des centres antipoison, c'est le totalitarisme de la norme.
L'individu et le traitement des éléments toxiques sont superflus devant la méthodologie inaliénable de la norme.
Pour illustrer la démarche des centres antipoison, Voici quelques notes d’ Hannah Arendt et le totalitarisme, texte : Les Origines du totalitarisme :
Une idéologie se veut expliquer le monde.
L'idéologue ne se souci jamais du ici et maintenant.
L'idéologie réduit le complexe du réel.
L'idéologie se passe des hommes.
Obéir à la loi même si elle est immorale.
Quand il y a terreur, il y a totalitarisme.
Quand il n'y a plus d'opposition, il y a totalitarisme.
Quand il y a constitution d'une philosophie scientifique, il y a totalitarisme.
La vraie pensée est la distinction entre le vrai et le faux ; le totalitarisme efface cette pensée.
À la représentante des droits des patients, j' a écrit:Bonjour Madame (La représentante).
Suite à la diffusion du listing d’appel échangés avec le CAP, il me semble qu’il existe un compte-rendu de l’appel du 13 mai 2019 à 11h57.
Cet appel parvient du CAP suite à mon envoi de diagnostique par mail.
Cet envoi était une demande de mon interlocuteur au cours de mon appel du matin à 9h51.
L’appel de 11h57 a été passé par une secrétaire qui m’a proposé d’être traité à condition que j’acceptais de ne pas être reconnu.
J’ai dit oui. Puis la secrétaire m’a passé un médecin qui m’a fait parler pendant environ 10 à 20 minutes.
Au médecin, j’ai raconté la fatigue, les maux de tête, …
Au bout d’un échange de 10 à 20 minutes, le médecin m’a demandé si j’étais fumeur ou chasseur, j’ai répondu non.
J’ai ajouté que cela venait peut-être des amalgames.
Mon interlocuteur m’a dit : « vous êtes sur une ligne d’urgence, au revoir » et il a raccroché.
Le 7 octobre 2019, après une minute de présentation, mon interlocuteur m’a mis en attente pendant plusieurs minutes.
Puis, il m’a dit qu’il a retrouvé mon dossier et qu’il fallait que je revienne avec des diagnostiques français.
Il existerait donc un compte-rendu de l’appel du 13 mai à 11h57.
Je fais donc une demande de transmission du compte-rendu de l’appel du 13 mai 2019 à 11h57.
Pour ce compte-rendu-ci, une copie de notes manuscrites me conviendra.
Si elle n’existait pas, il n’est pas nécessaire d’en faire une mise au propre.
Je fait également une demande à ce que le temps d’appel de cet échange téléphonique me soit adressé.
Meilleures salutations
Sophocle
GEORGES CLEMENCEAU a écrit:« LA GUERRE ! C'EST UNE CHOSE TROP GRAVE POUR LA CONFIER À DES MILITAIRES »
Télé-consultation téléphonique
Car pas de matériel vidéo patient
CF Appels CAP
16/06/20 (docteur X)
Intox "métaux-lourds" : mercure ?
m'informe qu'il a porté plainte contre notre service
Taux élevés de métaux après chélation
Dit être amélioré par la prise d'EDTA à 75 % puis acide a lipoïque
Tb (trouble) concentration
Souhaite être - chélaté par dimercaprol
(Souhaite être) - reconnu intoxiqué par les métaux-lourds
livre 'chélation thérapy'
Source évoquée = amalgames dentaires, qui ont été retirés
Fait des bains de bouche "plus" (ou "salin', j'ai dit salins)
dosage 12/2019 a été fait après chélation
-> J'explique comme précédemment que nous ne pratiquons pas de chélation dans des situations similaires conformément aux recommandations de bonne pratique (STC).
Le patient me dit qu'il obtiendra ses "droits" par voie juridique.
Le 16 juillet 2020.
À Monsieur X, défenseur des droits.
De Sophocle.
Cher Monsieur,Comme évoqué au cours de nos échanges, je vous adresse mon dossier de demande concernant le refus de traitement des métaux-lourds par les centres antipoison français.
Dénouement9 juillet 2020 : Transmission des éléments d’information par le CAP.
◦ Compte-rendu de consultation (notes manuscrites). Dans son compte-rendu, la médecin a écrit : « (...) Intox "métaux-lourds" : mercure ? (...) Taux élevés de métal après chélation (…) -> J'explique comme précédemment que nous ne pratiquons pas de chélation dans des situations similaires conformément aux recommandations de bonne pratique (STC). »
◦ Recommandations de bonne pratique (Article : "Diagnostic des intoxications par des métaux ou des métalloïdes et mésusage des chélateurs"). Dans ces recommandations, il y est écrit : " Sans attendre la fin des polémiques sur les effets sanitaires de telle ou telle exposition chronique, des données suffisantes existent pour évaluer dès maintenant les outils diagnostiques utilisés, notamment les métalluries provoquées. À l’image de leurs homologues américains [1] et dans l’intérêt des malades abusés qui les interrogent fréquemment, la Société de Toxicologie Clinique (STC) et la Société française de toxicologie analytique ont souhaité réagir et faire une mise au point scientifique sur l’usage et le mésusage des chélateurs. Les seules indications de l’administration de chélateurs sont les intoxications par certains métaux ou métalloïdes, en particulier les intoxications par le plomb, le mercure et l’arsenic. Le diagnostic de l’intoxication par un métal nécessite toujours l’association : • de signes cliniques et/ou para-cliniques traduisant les effets toxiques connus du métal ; • et de valeurs élevées d’indicateurs biologiques validés de l’exposition ou de la dose interne du métal. "
Commentaire :Dans son CR, le médecin indique que la recommandation est de ne pas traiter dans des cas similaires aux miens (hauts niveaux de métaux post-chélation, mercure, plomb, arsenic). Or, dans le texte des recommandations cité par le médecin, la provocation est indiquée pour le mercure, le plomb et l’arsenic. Les recommandations de bonne pratique mobilisées par le médecin stipulent donc explicitement le contraire de ce qu’affirme le médecin.
Polémique scientifique :Le test officiel est une simple prise de sang (sans provocation par chélation) à partir de laquelle a été établie les normes en vigueur. Un test de provocation est un test qui force l’excrétion des métaux, les taux sont donc élevés à l’analyse, les conditions des normes en vigueur ne sont donc pas reproduites. Depuis quelques décennies, le test de provocation est devenu une mode. Faute de consensus sur l’étalonnage, la question des normes se pose car les normes hors chélations sont parfois récupérées par les tests de provocation. Selon les recommandations de la STC, l’excès de certains métaux, fer, cuivre, n’indique pas nécessairement une intoxication. En 2015, les CAP ont vigoureusement pris position en indiquant que les tests de provocation relevaient de la pseudoscience (voir article « Il faut agir »). Selon les CAP, le test de provocation ne serait donc absolument pas recevable pour indiquer une intoxication sur tout métal. Quelques mois plus tard, la STC a publié cette mise au point scientifique dans laquelle elle indique que la provocation de quelques métaux (mercure, plomb, arsenic) est indiquée. En dépit que le CAP ait adopté ce texte comme recommandation, il semble que le CAP n’a pas lu les recommandations.
Listing des échanges avec le CAP de 2014.Autre document transmis par le CAP le 9 juillet 2020 : Certificat médical avec la liste de mes appels pour alerter sur ma situation. Depuis 2014, j’ai passé 13 appels au CAP. Aucun appel n’a abouti, sauf celui du 27 janvier 2020 au cours duquel j’ai menacé de porter plainte si je n’obtenais pas une consultation.
Consultation avortée : Le 13 mai 2019 à 9h51, mon interlocuteur m’a demandé d’envoyer mes diagnostiques, chose que j’ai faite immédiatement. Le CAP m’a rappelé à 11h57 ; cet appel a avorté après dix minutes d’échanges avec un médecin. Le médecin m’a demandé si j’étais fumeur ou chasseur, j’ai dit non ; j’ai ajouté que les amalgames étaient la source de l’intoxication. Le médecin a répondu : « vous êtes sur une ligne d’urgence, au revoir » puis il a raccroché.
Symptômes en 2013Au plus fort des désordres, et donc avant les chélations, je portais de nombreux symptômes intempestifs qui se bousculaient : marche difficile ; tête lourde ; imprécisions dans les gestes ; articulation orale déficiente par intermittence ; sensations articulaires multiples ; impossibilité à planifier ; amnésies transitoires ; difficultés à se concentrer ; semi-évanouissements en montant des escaliers ; oublie de fin de la phrase en cours de prononciation ; difficulté à écouter durablement autrui ; impossibilité à faire du sport d'endurance ; impossibilité à lever des masses lourdes ; déséquilibres ponctuels ; sensation de brulures ; grésillements sous la peau ; sensation d'étirements osseux ; sensations de courbatures ; céphalées furtives, céphalées profondes, céphalées ineffables ; électro-sensibilité sévère ; confusion ; bourdonnements continus et virevoltants dans la cavité crânienne ; fatigues en tout genre, fatigues chroniques, fatigues aiguës, fatigues temporaires, fatigues transitoires, fatigues palpitantes ; mal au dos ; légère arthrite ; barbe piquante ; démangeaisons des ongles ; visage raidi ; méningite ; photophobie ; audiophobie ; agoraphobie ; sommeil court et non réparateur ; impossibilité de se projeter dans l'avenir ; anxiétés pour un rien, et tant d'autres pathologies encore...
Plainte :Depuis 2008, j'ai eu plusieurs symptômes telles que fatigues maux de tête, insomnies, apraxie, aphasie, agnosie, hypo-tension, électro-sensibilité de manière chronique. Ces symptômes se sont aggravés depuis 2008. J’ai dû arrêter de travailler en 2011. J'al consulté plusieurs médecins généralistes, mais je n'ai eu aucun diagnostique. En 2012, Un médecin cancérologue, le Docteur BELPOMME m'a diagnostique comme électro-sensible. En 2014, une amie m'a contacté pour me dire que son dentiste lui avait dit que les symptômes que j'avais pouvaient venir des amalgames. Elle m'a conseillé d'acheter un livre "la vérité sur les maladies émergentes" de Françoise CAMBEYRAC. Dans ce livre, tous mes symptômes correspondent à une intoxication aux métaux-lourd. Dans ce livre, il écrit de contacter l'éditeur pour avoir une liste de médecins qui sont sensibilisés aux questions relatives à l'intoxication aux métaux lourds. J'ai contacté le premier médecin que j'ai pu consulter. Il m'a expliqué que pour révéler une intoxication tissulaire chronique il fallait faire un test de provocation. Une intoxication tissulaire chronique ne peut pas être révélé par une prise de sang classique. Il faut prendre un traitement Chélateur avant de faire des tests. Ce traitement permet de faire sortir les métaux lourd des tissus. J'ai pris ce traitement puis j'ai fait un test urinaire. Ce test a été fait dans un labo en Allemagne. Ils font une analyse de 30 métaux et sur les résultats, j'ai un taux trop élevé de mercure, de plomb, d'arsenic et de cuivre. Le mercure et le cuivre proviennent des amalgames. Lorsque j'ai eu ces résultats en septembre 2014. J'ai contacté le centre antipoison ils m'ont indiqué qu'ils allaient me recontacter, ce qu'il n'ont jamais fait. J'ai pris le traitement pendant 2 ans. Il s'agit du DMPS. En 2015. J’ai rappelé le centre anti poison suite à de nouvelle analyse. Mais de nouveau ils m'ont dit qu'ils allaient me rappeler, ce qu'ils n'ont jamais fait. J'ai appelé 3 ou 4 fois de nouveau le centre antipoison, à chaque fois on m'indique que l'ont va me recontacter mais cela n'abouti jamais. En mai 2019, j'ai de nouveau appelé j'ai pu leur envoyer mes analyses par mail. Un médecin m'a appelé, et pendant 20 min, il m'a demandé de lui expliquer. Le médecin m'a demandé si j'étais chasseur ou fumeur, ce à quoi j'ai répondu non. J'ai alors dit au médecin que cela provenait des amalgames le médecin m'a alors répondu "vous êtes sur une ligne d'urgence, au revoir''. Le 30/12/2019, j'ai fait des analyses d'urines dans un labo Français. Mon taux de cuivre est trois fois plus élevé que la normale. J'ai rappelé le centre antipoison. Ils m'ont demandé de transmettre la copie des analyses par mail et ils m'ont dit qu'il allait me rappeler, ce qu'ils n'ont Jamais fait. Le 27/01 vers 18h00. J'ai de nouveau appelé le centre antipoison. Je les ai menacé de déposer plainte et on m'a alors communiquer le numéro des consultations. Le 28/01 vers 8h30. J'ai appelé le numéro des consultations pour avoir un rendez-vous, mais la secrétaire m'a indiqué que je n'avais pas de dossier chez eux. Elle m'a indiqué qu'elle allait me rappeler. Lorsqu'elle m'a rappelé plusieurs heures après, elle m'a indiqué que j'avais rendez-vous le 17/03/2020 à 10h00. Ils m'ont demandé de venir avec des urines de 24h sans avoir pris le traitement, ce qui va faire un faux négatif.
Je voudrais modifier certaines déclarations. à savoir : Ils m'ont demandé de venir avec des urines de 24 heures, sans avoir précisé de prendre le traitement. Ce qui va faire un faux négatif. Je voudrais aussi rajouter des déclarations. à savoir : qu'en novembre 2018. Je consulte un médecin. Le docteur X qui appelle le centre antipoison Pour qu'ils prennent contact avec moi afin de convenir d'un rendez vous. Ce centre antipoison me rappel pour prendre rendez vous. J'indique que j'ai une intoxication aux métaux lourds, et que mes analyses sanguines sont négatives. La secrétaire me répond qu'il n'y aura pas de traitement. Je demande, à ce qu'un médecin confirme cela. Après un moment d'attente. Elle me dit qu'un médecin a confirmé. La discussion prend fin.
Le février 2020, je suis venu à votre service afin de déposer plainte contre le centre Antipoison qui n'a pas voulu faire l'examen de mon intoxication des métaux-lourds et qui refuse de prendre en charge mon dossier. Suite à mes démarches j'ai réussi à obtenir un rendez-vous téléphonique auprès du Docteur X le 17/03/2020. La consultation téléphonique a eu lieu le 16/06/2020. Durant notre conversation téléphonique, je lui ai annoncé que j'ai une intoxication des métaux lourds, il avait mon dossier sous les yeux, j'ai demandé une reconnaissance et le traitement. Le médecin a répondu par la négative.
Je veux joindre à ma procédure, une prise de note et une argumentation, établi par le médecin, qu'il m'a envoyé à ma demande. Dont je vous remets copie. Je précise que dans son argumentation, le médecin refuse de me traiter, en précisant qu'il agit conformément aux recommandations de bonne pratique. J'ai donc demandé les informations sur les recommandations de bonne pratique. Le médecin m'en a envoyé suite à ma demande. Ces recommandations stipulent explicitement le contraire de ce qu'il affirme. Je joins également la liste de mes 13 appels depuis le 21-07-2014, au centre antipoison de l'hôpital SAINT LOUIS. Au cours desquels ils ont refusé de me prendre, et en dépits des recommandations de bonnes pratiques qui recommandaient de me prendre.
Diagnostiques personnels des métaux en excès en nombre de fois la norme(exemple : x2 = 2 fois la norme)
Nota : les valeurs représentent des flux et non des stocks. Les valeurs n’indiquent donc pas une quantité totale du métal dans le corps.
Décembre 2018 :• mercure x30
• cuivre x10
• arsenic x8
• manganèse x3
• plomb x3
• nickel x2.5
• argent x2
• étain x2
Avril 2016 :• mercure x30
• cuivre x17
• plomb x8
• arsenic x6
• nickel x4
• manganèse x3
• strontium x2
Octobre 2015 :• mercure x30
• cuivre x12
• arsenic x8
• plomb x6
• manganèse x3
• nickel x2
Mars 2015 :• mercure x11
Septembre 2014 :
• cuivre x5
• plomb x4
• manganèse x3• mercure x30
• cuivre x8
• plomb x6
• arsenic x2
• étain x2
• manganèse x2
Mon intoxication aujourd’hui.Suite à de très nombreuses chélations en automédication, à ce jour, mes analyses sont négatives. L’urgence est écartée, cependant des symptômes demeurent : troubles de la concentration. Les chélateurs en vente libre n’explorent pas tous les recoins du corps, notamment l’intérieur de la cellule. Selon la littérature scientifique, les métaux-lourds demeurent dans le corps après les campagnes de chélation, puis ils ressortent au compte-goutte tardivement. Je demande donc un traitement qui est sous prescription. Ce traitement est plus puissant, il explorerait l’intérieur des cellules : le Dimercaprol.
Pièce annexes• 2012 01 31 BELPOMME CERTIFICAT EHS
Certificat d’électo-sensibilité. Les symptômes d’électrosensibilité se manifestent par des désagréments immédiats et/ou à retardement à proximité d’un source électrique alternative (téléphone portable, électricité 220V, …).
• 2014 09 18 Microtrace Diag Metaux AllemagneDiagnostique post-chélation dans le laboratoire allemand.
• 2015 05 06 Centre AntiPoison - Article publique – « Il faut agir »Article « scientifique » publié par le CAP de Marseille. Le CAP de Marseille annonce un refus de reconnaissance des tests de provocation.
• 2015 07 14 Veille Acteurs de Santé - Fermeture OrléansCommuniqué de presse. Le service de chélation du CHR de Rouen ferme de façon précipitée suite à la publication du CAP de Marseille.
• 2015 10 15 Microtrace Diag Metaux Allemagne
• 2016 04 11 Microtrace Diag Metaux Allemagne
• 2018 12 10 Microtrace Diag Metaux Allemagne
• 2018 03 13 RAPPORT ANSES EHSRapport de 2018 de l’ANSES sur l’éléctro-sensibilité (Ehs). Les métaux-lourds sont une piste de recherche pour la cause de l’Ehs. Les études pratiquées avec le test conventionnel indiquent qu’il n’y a pas de corrélation. Il est également indiqué que les études avec le test de provocation sont manquantes (p203/359) Remarque : le test conventionnel est frappé de faux-négatifs systémiques. Cela est ignoré par les auteurs du rapport de l’ANSES.
• 2019 05 13 CAP Dossier 778554 diagnostiques AllCourriel d’envoi des 4 diagnostiques allemands au CAP.
• 2019 12 30 Biomnis Diag Cuivre FranceDiagnostique français positif au cuivre.
• 2020 01 22 CAP Dossier 1910005083 Diagnostique Cuivre FrCourriel d’envoi du diagnostique français positif au cuivre
• 2020 01 28 CAP RDV de consultation 17 marsLettre de consultation pour le 17 mars 2020. Report pour des raisons personnelles puis Covid, la consultation a eu lieue le 11 juin 2020 à 11h30 par téléphone.
• 2020 02 04 Plainte + complémentsCopie de la plainte initiale et de ses 3 compléments.
• 2020 07 09 CAP APPELS certificatListing des échanges téléphoniques avec la plate-forme du CAP. À chaque appel, j’ai alerté sur ma situation. Aucun appel n’a abouti sauf celui où j’ai menacé.
• 2020 07 09 CAP COMPTE-RENDU CONSULTATION 16 JUINCompte-rendu de la consultation transmis par le CAP.
• 2020 07 09 CAP RECOMMANDANTIONS BONNES PRATIQUESArticle des mésusages des chélateurs écrit par la STC , texte des recommandations de bonnes pratiques
• 2020 07 09[CAP][gmail.com][+]transmission éléments dossier médicalCourriel (au format informatique original) du CAP avec le CR (notes consultation), les recommandations, et le listing d’appels.
• Carte identité
Les métaux-lourds et le Collège de FranceConférences disponibles sur le site internet du Collège de France, cliquer sur le lien.
• Nano-objets magnétiques pour l'imagerie médicaleConférence par Clément Sanchez dans le cycle des applications médicales.
59:42 à 1:07:00 Magnéto-sensibilité (= électro-sensibilité). – Champ Magnétique Alternatif . Sur la diapositive, il est écrit :
◦ "Électro-stimulation neuro-musculaire" à une certaine fréquence.
◦ Séquences d'une heure sans désagrément
Le phénomène d'Ehs y est décrit, il est d'ailleurs produit et reproduit pour traiter les tumeurs. Les métaux-lourds en nuage chauffent lorsqu’ils sont exposés aux ondes. Cependant, les métaux-lourds injectés aux patients sont arrangés de façon à ce qu'ils soient éliminés à terme.
Des cancéreux sont volontairement traités aux métaux-lourds de façon à ce que les métaux se dirigent vers les tumeurs. Application d'un champ magnétique de façon à faire chauffer les métaux-lourds, et donc tuer la tumeur avec précision et maitrise.
Fréquences, désagréments, absorption, nature des nps, hyperthermie, taille, travail magnétique...
Commentaire perso, sur les causes de l'Ehs, tout est dit. Or, l’ANSES prétend que les causes de l’Ehs ne sont pas connues.
• Oxydes métalliques et stress oxydantConférence du 28/01/2015 dédié à la toxicité des cations (ions positifs):
à 5:40 activité red/ox qui génèrent des ROS (radicaux réactifs). Dissolution des métaux, formation cationiques, double problème :
1 : nombre important de cations, problème de lyse, pompe à protons parce qu'il va y avoir énormément d'échange d'ions,
2 : le potentiel d'acceptance dans la solution, des effets secondaires du cuivre en solution.
... les métaux divalents (Hg2+, Pb2+) sont coupables de problème d'éclosion des embryons (changement de valence, surtout les bi-valents).
à 9:15 Hiérarchie du stress oxydant :
ROS: espèces oxygénées réactives liées aux nps, NOS espèces nitrogène oxydantes liées aux nps.
Ces espèces (ROS et NOS) existent dans le vivant, mais les quantités sont petites, et elles sont éliminées.
Les nps créent des surplus, naissance de problèmes.
Réponse de niveau 1, réponse normale de l'organisme (aux doses physiologiques et courantes) : enzymes, anti-oxydants, gluthation.
Réponse de niveau 2, excès de ROS et NOS, signalisation en cascade, inflammation, cytokyne, tnf alpha... nécrose tumorales.
Réponse de niveau 3, (à ne pas atteindre), le flux de calcium touché, les mitochondries touchées ( le moteur est touché, baisse ATP, perméabilité membranaire, caspases, apoptose ) maladies du stress-oxydant : vieillissement, athérosclérose, cancer, neurodégératives, inflammations chroniques.
à 9:05 Sur la diapositive : Principaux mécanismes de toxicité des nps.
-Cu, -Ag, Pb, Hg2+ ->o Ros, cations toxiques,
(Commentaire perso : Inhibe ATP = Défonctionnalisation de la cellule ; par échelle Inhibition de l'ATP = défonctionnalisation généralisée du corps = fatigue chronique)
o endommagement lysosomes,
o dépliement des protéines,
o ADN dégâts / Stress oxydant,
o inhibe ATP
o et enzymes respiratoires.
à 21:15 diapo : paradigme prédictif en toxicologie permettant l'évaluation des risques présentés par les nps.
à 22:09 diapo cellule en niveau 3
à 41:30 Selon certaines familles de nps, le fer est oxydé : il passe de Fe2+ à Fe3+, conformation et liguant changés.
à 44:47 diapo : rupture lysosomale par effet pompe à protons
à 46:10 le fer baisse la solubilité de nps, donc baisse de la toxicité. Aspect toxique sur la solubilité (la solubilité baisse la toxicité).
• Quand aurons-nous des traitements efficaces pour traiter la maladie d'Alzheimer ? Conférence tenue par Bernard Meunier, directeur au CNRS.
à 27 :00 les traitements actuels d’Alzheimer sont toxiques et inefficaces
à 27 :25 lien entre excès de cuivre, excès de fer, excès de zinc et Alzheimer.
Ces métaux apparaissent en excès à l’autopsie du cerveau.
Sur la diapo : le taux de ces métaux dans le sang est normal.
• Modèle de maladies psychiatriquesConférence tenue par Alain Prochiantz, neurobiologiste et directeur du Collège de France
à 12 :50 Facteurs communs des maladies neuro-dégénératives: âge, environnement, tabac, sport, armée, champs électromagnétiques, pesticides, plomb, métaux-lourds, modification chromatine.
Mes deux demandes sont les suivantes :Suite au dévoilement des recommandations de bonne pratique dont la date de publication est de 2015,
- en dépit des refus des centres antipoison, je demande un traitement médical contre une intoxication aux métaux-lourds, mercure, plomb, arsenic.
- je demande également une reconnaissance rétroactive de mon intoxication à la date du premier diagnostique.
Extension de demande : les premiers symptômes sont apparus en 2008. J’ai pu travailler jusqu’en 2012, une reconnaissance à partir 2012 m’arrangerait. Je dispose d’un certificat d’électro-sensibilité établi par le Professeur Belpomme. Dans le rapport de l’ANSES de 2018 sur l’EHS, la piste des métaux-lourds est évoquée. Faute d’études par provocation, la piste d’intoxication tissulaire de métaux-lourds est encore en suspens. Cependant, des conférences du Collège de France rapportent que les médecins savent produire et reproduire le phénomène d’électro-sensibilité avec des métaux-lourds. Ce certificat sous-tend donc que l’intoxication était déjà présente en 2012.
Autre information, indication d’un cahierSur Internet, je tiens un cahier personnel sur l’intoxication. Je ne place pas ce cahier ce dossier. Je ne demande pas à ce que ce cahier soit lu. Je l’indique pour montrer que mon histoire est déjà écrite. Page : La Détox ultime par la naturopathie et par la littérature.
Glossaire :CAP : Centre AntiPoison.
Chélateur : antidote, produit médical qui traitre spécifiquement les métaux-lourds
Chélation : acte de traiter par un chélateur
Ehs : Électro-sensibilité
Métal : ion positif , cation
Nps : Nano-Particules
STC : Société de Toxicologie Clinique
Post-chélation : juste après chélation
Provocation (=test de provocation) : analyse d’urine post-chélation (métallurie provoquée) ; analyses à partir d’un échantillon d’urines prélevé précisément 1h30 après l’injection du chélateur (moment du pic de charge). Ce test provoque la mobilisation des métaux lors de l’analyse.
En réponse, le défenseur des droits m' a écrit:Le Défenseur des droits a décidé de ne pas engager une médiation avec le CENTRE ANTI POISIN Paris Lariboisière- Fernand pour les motifs suivants. Les Centres anti poison sont régis par le Code de la Santé Publique articles D 6141-37, 38, 39, 41. Les missions sont définies comme suit : information du public, pose d’un diagnostic pour répondre à une urgence d’intoxication, identification du traitement adapté.
Le Siège du défenseur des droits considère que le CAP est l’équivalent du Samu pour les cas graves mettant en danger immédiat la santé du patient, ce qui n’est pas le cas dans votre situation.
Sophocle a écrit:... Ces articles de loi me font surgir le même sentiment que celui rapporté par Stendhal dans ‘Racine et Shakespeare’ à propos de l’Académie Française :
"Ce sont des fers couverts de fleurs" (de mémoire), à ceci près : je n’ai pas trouvé de fleurs.
Depuis notre dernier entretien, j’ai enfin compris la raison pour laquelle les centres antipoison m’ont refusé :
C’est parce que la prestigieuse médecine occidentale n’a pas établi les références de la charge corporelle en métaux-lourds stockés en population générale.
Par voie de conséquence, elle ne sait pas statuer si mes taux inquiétants sont toxiques ou pas.
Faute de référence, tout diagnostic n’est qu’une page blanche.
Il me semble que les Défenseur des Droits ne peut être saisi et j’ai adressé une demande au Ministre de la Santé.
Je vous prie de bien vouloir lire cette demande (qui est placée au post suivant : ÉCRIRE AU MINISTRE DE LA SANTÉ (post du 2oct- page 27).
S’il vous semblait que le Défenseur des Droit pouvait être utile dans l’accompagnement de cette demande, voulez-vous bien me le signaler.
...
Le Défenseur des Droits m' a écrit:Pour répondre à votre souhait, j' ai transmis au service juridique du Siège de la Défenseure des droits l'ensemble des pièces que vous m'avez transmises.
J 'ai proposé que la Défenseure des droits se saisisse du problème de santé publique que vous soulevez.
La décision qui sera prise vous sera communiquée directement par le Siège de la Défenseure des droits.
le 25 janvier 2021, le DDD m' a écrit:... J'ai l'honneur d'accuser réception de votre correspondance par laquelle vous appelez mon attention sur votre situation. Je vous précise que la référence XXXXXXX lui a été attribuée. Je vous remercie par avance de bien vouloir rappeler celle-ci dans tout échange de correspondance concernant cette affaire.
Mes services vont procéder à l'examen de votre réclamation et vous informeront des suites que je pourrai lui réserver, au regard des différentes compétences qui m'ont été attribuées par la loi organique du 29 mars 2011 relative au Défenseur des droits.
Si, à propos de cette affaire, vous aviez présenté une demande semblable à quelque organisme que ce soit, ou engagé une procédure devant les juridictions, ou encore si une décision de justice a été rendue et que vous n'y avez pas fait référence dans votre courrier, je vous remercie par avance de bien vouloir le préciser et faire parvenir les documents utiles à mes services.
Si durant l'instruction conduite par mes services la situation pour laquelle vous m'avez saisi trouve sa solution, je vous remercie également de bien vouloir m'en informer.
Enfin, j'appelle dès à présent votre attention sur le fait que la saisine du Défenseur des droits ne vous empêche pas, si vous le souhaitez, de saisir toute juridiction compétente, dans le respect toutefois des délais de prescription applicables.
RAR n° : xxxxxxxxxx
A : Centre Antipoison de la ville de (à compléter)
De : Nom, Prénom, adresse, téléphone.
Ma ville, le aujoud'hui.
Madame, monsieur,
Je suis porteur de symptômes chroniques (fatigue, à compléter...) depuis le mois de (à compléter).
Je soupçonne une intoxication chronique au mercure, ou au plomb, ou à l'arsenic, ou aluminium, ou autre (uranium, à compléter).
J'ai appelé la plateforme le (date) avec tel numéro : (à compléter) et j'ai reçu un refus.
Conformément aux recommandations de bonne pratique de chélation jointes, je vous mets en demeure de m'octroyer une consultation avec compte-rendu pour effectuer une analyse post-chélation.
Veuillez agréer, madame, monsieur, l'expression de mes salutations sincères.
NOM + Signature.
Annexe : recommandations de bonne pratique de la STC (télécharger).
Annexe (le cas échéant pour ceux qui déjà fait des analyses chez Microtrace) : analyses médicales post-chélation
Le 17 septembre 2016, Nicolah a écrit:J'ai téléphoner a mon grand pere qui était médecin et je lui ai parlé de cet intox au mercure et c'est toujours la même chose; " tous le monde en as des métaux lourds "
Bref je n'inciste pas mais c'est dommage.
Tu m'étonne que je me renferme si c'est pour entendre des choses comme ça ! (post)
Le 16 octobre 2016, Nicolah a écrit:PS : ma grand mere m'a parler des electrochocs pour me soigner les gens sont toalement a la masse (post)
Dans leurs recommandations, la STC et la SFTA a écrit:Sans attendre la fin des polémiques sur les effets sanitaires de telle ou telle exposition chronique, des données suffisantes existent pour évaluer dès maintenant les outils diagnostiques utilisés, notamment les métalluries provoquées.
Dans leurs recommandations, la STC et la SFTA a écrit:Les seules indications de l’administration de chélateurs sont les intoxications par certains métaux ou métalloïdes, en particulier les intoxications par le plomb, le mercure et l'arsenic.
Dans leurs recommandations, la STC et la SFTA a écrit:L’exposition chronique à certains métaux ou métalloïdes est associée à un risque élevé de certains cancers (...), mais les tumeurs surviennent longtemps après le début de l’exposition et souvent, longtemps après qu’elle a cessé ; l’administration de chélateurs n’en est pas un traitement et il n’y a pas, à ce jour, de preuve qu’elle les prévienne. (...), il n’y a pas de preuve suffisante d’une association causale entre une contamination par un élément métallique et certaines affections, telles que l’autisme, la sclérose en plaques, la maladie de Parkinson, le syndrome de fatigue chronique, la goutte, les maladies cardiovasculaires, la dégénérescence maculaire ou la myofascite à macrophages. Chez ces malades comme chez n’importe quel individu, l’administration de chélateurs ne peut se justifier que si le diagnostic d’intoxication est établi par la constatation d’effets toxiques caractéristiques de la substance et d’une élévation de la concentration d’un ou plusieurs indicateurs biologiques de l’exposition et/ou de la dose interne.
Dans leurs recommandations, la STC et la SFTA a écrit:Chez ces malades comme chez n’importe quel individu, l’administration de chélateurs ne peut se justifier que si le diagnostic d’intoxication est établi par la constatation d’effets toxiques caractéristiques de la substance et d’une élévation de la concentration d’un ouplusieurs indicateurs biologiques de l’exposition et/ou de la dose interne.
Dans leurs recommandations, la STC et la SFTA a écrit:La majorité des éléments métalliques sont présents et mesurables chez la plupart des individus et l’administration d’un chélateur en augmente l’excrétion urinaire chez tous : la comparaison des concentrations mesurées dans ces circonstances aux valeurs de référence en population générale est évidemment erronée.
Dans leurs recommandations, la STC et la SFTA a écrit:Il existe des tests de provocation validés pour un nombre limité de métaux et qui sont applicables dans des conditions précisément déterminées : nommément, pour le cuivre (dans le cadre de la maladie de Wilson), pour le fer (dans le cadre de l’hémochromatose) et pour le plomb (pour décider du traitement de l’intoxication saturnine, à certains niveaux de plombémie).
Dans leurs recommandations, la STC et la SFTA a écrit:Les chélateurs efficaces ne sont pas dépourvus d’effets indésirables et leur emploi doit s’appuyer sur une évaluation des risques pour la santé, prenant en compte les relations dose—effet de la substancetoxique et la tolérance du médicament. Les indications des traitements chélateurs sont, en pratique, bien codifiées dans tous les traités de toxicologie médicale.
Dans leurs recommandations, la STC et la SFTA a écrit: des médicaments qui ne sont pas commercialisés en France, en prétextant d’une plus grande efficacité (en France, c’est le cas du dimercaptopropane sulfonate[DMPS], dont le pouvoir chélateur n’est pas, dans la plupart des indications potentielles, supérieur à celui d’autres médicaments présents sur le marché et qui peut être responsable d’accidents thérapeutiques sévères ; c’est la raison pour laquelle, il n’est, en principe, pas disponible dans notre pays) ;
Dans leurs recommandations, la STC et la SFTA a écrit:• des médicaments « naturels » sans effets thérapeutiques démontrés : ail, bentonite, chlorelle et autres algues,coriandre (cilantro), chlorophylle, cystéine, spiruline,vitamine C.
Au Docteur du CAP, j' a écrit:RAR xxxx
Le lundi 20 juillet 2020. Au Docteur X
Docteur,Contrairement à vos notes manuscrites, les recommandations de bonne pratique stipulent que les métalluries provoquées sont indiquées pour le mercure, le plomb et l'arsenic.
Sophocle
Par voie de conséquence, je vous mets en demeure de pratiquer une chélation à réception de ce courrier. En cas de refus ou sans suite, je déposerai plainte. Je vous informe que j'ai déjà porté plainte contre les refus passés.
Veuillez agréer, Docteur, l'expression de ...
Copie : Madame la représentante des droits des patients.
Pj : recommandations de bonne pratique et CR consultation.
Au docteur X, j' a écrit:Paris, le 25 juillet 2020.Au Docteur X, CAP de Paris.
Objet : remarques de la consultation du 16 juin 2020.
Docteur,
Faute de compte-rendu de la consultation du 16 juin 2020, j’exprime mes remarques sur la consultation.
J’adresse une copie de ces présentes remarques à la STC et à la SFTA pour que ces dernières prennent connaissance de ce que vous leur faites dire en consultation.
Je dresse également mes mises en demeure.
I) Commentaire sur l’article des recommandations de bonne pratique (STC et SFTA 2015)Suite à la consultation du 16 juin 2020, vous m’avez transmis les recommandations de bonne pratique que le CAP a adopté. Ces recommandations portent la forme d’un article, coécrit par la STC et la SFTA, publié en 2015 par la SFTA et intitulé : « Diagnostic des intoxications par des métaux ou des métalloïdes et mésusage des chélateurs ».
II) Rappel historique de nos échanges
Extrait de l’article :« Sans attendre la fin des polémiques sur les effets sanitaires de telle ou telle exposition chronique, des données suffisantes existent pour évaluer dès maintenant les outils diagnostiques utilisés, notamment les métalluries provoquées. À l’image de leurs homologues américains et dans l’intérêt des malades abusés qui les interrogent fréquemment, la Société de toxicologie clinique et la Société française de toxicologie analytique ont souhaité réagir et faire une mise au point scientifique sur l’usage et le mésusage des chélateurs.
Les seules indications de l’administration de chélateurs sont les intoxications par certains métaux ou métalloïdes, en particulier les intoxications par le plomb, le mercure et l'arsenic. Le diagnostic de l’intoxication par un métal nécessite toujours l’association :
• de signes cliniques et/ou para-cliniques traduisant les effets toxiques connus du métal ;
• et de valeurs élevées d’indicateurs biologiques validés de l’exposition ou de la dose interne du métal. »
Les recommandations de bonne pratique, que votre service a adopté, stipulent donc que les métalluries provoquées sont indiquées pour le mercure, le plomb et l'arsenic.En 2014, je suis porteurs de lourds symptômes. Depuis 2014, j’ai joints environ une dizaine de fois vos services pour alerter sur ma situation (voir certificat d’appels joint). Aucun appel n’a abouti spontanément. Depuis 2014 jusqu’en 2020, le standardiste, qui avait promis à chaque appel de me rappeler, n’a pas rappelé.
Deux exceptions :
• En mai 2019, en dépit qu’il ait mes nombreux diagnostics positifs entre les mains, un médecin m’a fait parler pendant 10 minutes, puis il a raccroché de façon impromptue.
• En janvier 2020, j’ai menacé vos services de porter plainte. Suite à ces menaces, vos services ont octroyé une consultation en mars 2020. Pour raison personnelle, puis pour raison sanitaire, cette dernière a été repoussée au 16 juin 2020.
Résumé de la consultation du 13 mai 2019 par téléphone :L’appel du 13 mai 2019 à 11h57 parvient du CAP suite à mon envoi de diagnostics allemands par mail. Cet envoi était une demande de mon interlocuteur au cours de mon appel du matin à 9h51. L’appel de 11h57 a été passé par une secrétaire qui m’a proposé d’être traité à condition que j’accepte de ne pas être reconnu. Faute de mieux, j’ai dit oui. Puis la secrétaire m’a passé un médecin qui m’a fait parler pendant environ 10 minutes. Au médecin, j’ai raconté la fatigue extrême, les maux de tête permanents depuis 10 ans … À la fin de la consultation, le médecin m’a demandé si j’étais fumeur ou chasseur, j’ai répondu non. J’ai ajouté que cela venait peut-être des amalgames. De façon étonnante et inattendue, le médecin m’a dit : « vous êtes sur une ligne d’urgence, au revoir » et il a raccroché. Pas de rappel. Le 7 octobre 2019, après une trente secondes de présentation, mon interlocuteur m’a mis en attente pendant plusieurs minutes. Puis, il m’a dit qu’il a retrouvé mon dossier informatique et qu’il fallait que je revienne avec des diagnostiques français.
Selon l’article de la STC et de la SFTA, dont la publication date de 2015, j’étais donc déjà éligible à la reconnaissance.
III) Remarques sur la consultation en objetConsultation du 16 juin 2020 (prévue initialement en mars et repoussée)
Au cours de la consultation du 16 juin, vous ne m’avez pas demandé de m’exprimer sur les circonstances des symptômes ni sur mes antécédents. Alors que nous n’avons jamais échangé, de but en blanc, vous m’avez demandé où j’en étais aujourd’hui. Or, selon les bonnes pratiques de la consultation, le compte rendu doit rendre compte des circonstances de la survenu des symptômes et des antécédents médicaux.
Par la présente, je complète donc la consultation avec les circonstances et les antécédents exigés par les bonnes pratiques de la consultation.
En 2008, des symptômes de fatigues chroniques sont apparus avec un gradient inexorable. J’ai du arrêter de travaillent en 2011. En 2012, le Professeur BELPOMME a dressé un diagnostic d’électro-sensibilité. En 2015, sur mon cahier, j’ai noté :Au plus fort des désordres, et donc avant les chélations, je portais de nombreux symptômes intempestifs qui se bousculaient : marche difficile ; tête lourde ; imprécisions dans les gestes ; articulation orale déficiente par intermittence ; sensations articulaires multiples ; impossibilité à planifier ; amnésies transitoires ; difficultés à se concentrer ; semi-évanouissements en montant des escaliers ; oublie de fin de la phrase en cours de prononciation ; difficulté à écouter durablement autrui ; impossibilité à faire du sport d'endurance ; impossibilité à lever des masses lourdes ; déséquilibres ponctuels ; sensation de brulures ; grésillements sous la peau ; sensation d'étirements osseux ; sensations de courbatures ; céphalées furtives, céphalées profondes, céphalées ineffables ; électro-sensibilité sévère ; confusion ; bourdonnements continus et virevoltants dans la cavité crânienne ; fatigues en tout genre, fatigues chroniques, fatigues aiguës, fatigues temporaires, fatigues transitoires, fatigues palpitantes ; mal au dos ; légère arthrite ; barbe piquante ; démangeaisons des ongles ; visage raidi ; méningite ; photophobie ; audiophobie ; agoraphobie ; sommeil court et non réparateur ; anxiétés pour un rien, et tant d'autres pathologies encore...
Depuis, j’ai identifié ces symptômes comme une aphasie, une agnosie et une apraxie.
En 2014, suite à un diagnostic post-chélation positif au mercure, au plomb et à l’arsenic, un médecin de ville a pratiqué des chélations (iv de DMPS) pendant plusieurs années. Mensuellement, une trentaine d’intraveineuses n’ont résolu que 15% environ des mes symptômes. Les uniques améliorations de mon état parvenaient systématiquement et précisément 24 heures après l’intraveineuse du chélateur. Ces chélations ont certes un peu amélioré mes symptômes, mais la vitesse de résolution était beaucoup trop lente. Plusieurs années de traitement se sont donc déroulées sans qu’une véritable rémission ne se dégage. En 2019, par moi-même, j’ai donc pratiqué des chélations par voie orale avec des produits en vente libre (Dmsa, Edta et d’Acide Alpha-Lipoïque). En dépit des croyances médicales, une solubilisation du principe actif en nuage à boire à jeun centuple l’efficacité du principe actif par rapport à une intraveineuse. En trois mois, j’ai réalisé deux douzaines de chélations à très haute posologie qui ont effacé environ 60 % des symptômes. Grâce à ces chélations, j’ai pu réaliser les diagnostics positifs dans un laboratoire français de façon à vous menacer de porter plainte avec des documents officiels français. L’urgence de ma situation est certes désormais écartée mais, en dépit du renouvellement des chélations, il demeure aujourd’hui des symptômes que vous avez notés. Conformément à vos notes, je demande donc a être traité par un chélateur plus puissant et sous ordonnance. Suite à vos barrages multiples et faute de diagnostic officiel sur les métaux-lourds, je suis en errance médicale depuis 2008. Je ne peux pas travailler et je ne suis pas reconnu. Comme je vous l’ai déjà indiqué, je tente de faire valoir mes droits par voie administrative.
IV) Remarques sur vos notes de consultationsRetranscription de vos notes manuscrites de la consultation du 16 juin 2020 :
« Télé-consultation téléphonique - Car pas de matériel vidéo patient - CF Appels CAP - 16/06/20 (Docteur X)
Intox "métaux-lourds" : mercure ?
m'informe qu'il a porté plainte contre notre service
Taux élevés de métaux après chélation
Dit être amélioré par la prise d'EDTA à 75 % puis acide a lipoïque
Tb (trouble) concentration
Souhaite être - chélaté par dimercaprol
(Souhaite être) - reconnu intoxiqué par les métaux-lourds
livre 'Chelation Therapy'
source évoquée : amalgames dentaires, qui ont été retirés
fait des bains de bouche "salins" (ou "plus" ? en tout cas j'ai dit "salins")
dosage 12/2019 a été fait après chélation
-> J'explique comme précédemment que nous ne pratiquons pas de chélation dans des situations similaires conformément aux recommandations de bonne pratique (STC).
Le patient me dit qu'il obtiendra ses "droits" par voie judiciaire. »
Contrairement à ce que vous faites dire à la STC, la STC et la SFTA indiquent de pratiquer la chélation dans des situations similaires aux miennes (symptômes et hauts niveaux de mercure, de plomb et d’arsenic post-chélation). Le contenu textuel de vos recommandations stipulent donc le contraire de ce que vous leur faîtes dire en consultation.
V) Mises en demeureJe rappelle que, en dépit que selon la STC et la SFTA, les données existaient déjà en 2015 pour évaluer le diagnostique post-chélation, et suite à la publication « Dosages urinaires post-chélation des métaux lourds et pseudoscience : il faut agir !», en 2015, du centre antipoison de Marseille, le seul service officiel de diagnostique post-chélation en France a fermé dans la précipitation. Ce service venait d’ouvrir au CHR d’Orléans, il était tenu par le docteur Marie-Christine BOUTRAIS, et il a fermé alors qu’un reportage sur ce service venait d’être diffusé sur la télévision publique. C’est suite à ce reportage que vos confrères de Marseille font référence: « … Il faut agir ! ».
VI) Plainte
• Docteur, je vous mets en demeure de me transmettre le compte-rendu de la consultation du 13 mai 2019 tenue par téléphone.
• Docteur, je vous mets en demeure de me transmettre un compte-rendu de la consultation du 16 juin 2020, papier à en-tête, texte dactylographié, tampon, signature et identification claire que l’article de la STC et de la SFTA est vos recommandations de bonne pratique adoptées par vos services.
• Docteur, suite aux indications de la STC et de la SFTA, je vous mets en demeure de traiter mon intoxication et d’engager une procédure de reconnaissance.Le 20 juillet, par Rar, je vous ai signalé votre erreur de compréhension de l’article des mésusages de la STC et de la SFTA et je vous ai adressé une mise en demeure de traitement. En dépit des recommandations de bonne pratique qui recommandent de traiter les cas similaires aux miens, vous n’avez pas donnée suite, ni pris contact avec moi. Je vous annonce donc que j’ai porté plainte et que j’ai déposé une demande auprès du Défenseur des Droits.
Veuillez agréer, docteur, l’expression de mes salutations cordiales.
Sophocle
VII) Annexes – Pièces jointes• Courrier du Centre antipoison de Paris du 10 juillet 2020 :
o Recommandations de bonne pratique (STC),
o Notes manuscrites de la consultation,
o Listing de mes appels avec le CAP de Paris.
• 4 diagnostics de chez Microtrace de 2014 à 2018, positifs au mercure, au plomb et à l’arsenic ; + diagnostic français
• Rar du 6 et 20 juillet, demande de document et mise en demeure
• Du Centre antipoison de Paris : Confirmation de consultation (initialement prévue en mars puis repoussée en juin 2020)
• Article du Centre antipoison de Marseille : « Dosages urinaires post-chélation des métaux lourds et pseudoscience : il faut agir !»
VIII) Diffusion• Destinataire : Docteur X, CAP Paris
• Copies : Direction des soins de l’hôpital Lariboisière
• Défenseur de Droits,
• Docteur X , hôpital Lariboisière
• Docteur X, chef de service du CAP Paris
• Mme X, représentante des droits des patients
• Mme X, centre antipoison.
• STC – Monsieur le président - Société de Toxicologie Clinique, 200 rue du Faubourg Saint-Denis 75010 Paris
• SFTA – Madame la présidente, Service de Pharmacologie et Toxicologie, Faculté de Médecine PIFO, Université de Versailles Saint Quentin, 104 Bd Raymond Poincaré, 92380 GARCHES
Dans Macbeth, Shakespeare a écrit:Sorcière Hécate aux 3 sorcières :N’ai-je pas raison de l’être, mégères, quand vous êtes si insolentes et si effrontées ? Comment avez-vous osé commercer et trafiquer avec Macbeth d’oracles et d’affaires de mort, sans que moi, la maîtresse de vos enchantements, l’agent mystérieux de tout maléfice, j’aie été appelée à intervenir ou à montrer la gloire de notre art ? Et, qui pis est, vous avez fait tout cela pour un fils entêté, rancuneux, colère, qui, comme les autres, vous aime pour lui-même, non pour vous. Mais réparez votre faute maintenant : partez et venez au trou de l’Achéron me rejoindre demain matin : il doit s’y rendre pour connaître sa destinée. Préparez vos vases, vos sortilèges, vos enchantements, tout enfin. Moi, je vais dans l’air ; j’emploierai cette nuit à une œuvre terrible et fatale. Une grande affaire doit être achevée avant midi. À la pointe de la lune pend une goutte de vapeur profonde ; je l’attraperai avant qu’elle tombe à terre. Cette goutte, distillée par des procédés magiques, fera surgir des apparitions fantastiques qui, par la force de leurs illusions, l’entraîneront à sa ruine. Il insultera le destin, narguera la mort, et mettra ses espérances au-dessus de la sagesse, de la religion et de la crainte. Et, vous le savez toutes, la sécurité est la plus grande ennemie des mortels.
Dans Macbeth, Shakespeare a écrit:
PREMIÈRE SORCIÈRE: Trois fois le chat tacheté a miaulé.
DEUXIÈME SORCIÈRE : Trois fois ; et une fois le hérisson a grogné.
TROISIÈME SORCIÈRE : La harpie crie : il est temps ! il est temps !
PREMIÈRE SORCIÈRETournons en rond autour du chaudron,
Et jetons-y les entrailles empoisonnées.
Crapaud qui, sous la froide pierre,
Endormi trente-un jours et trente-une nuits,
As mitonné dans ton venin,
Bous le premier dans le pot enchanté.
TOUTES TROISDouble, double, peine et trouble !
Feu, brûle, et, chaudron, bouillonne !
DEUXIÈME SORCIÈREFilet de couleuvre de marais,
Dans le chaudron bous et cuis.
Œil de salamandre, orteil de grenouille,
Poil de chauve-souris et langue de chien,
Langue fourchue de vipère, dard de reptile aveugle,
Patte de lézard, aile de hibou,
Pour faire un charme puissant en trouble,
Bouillez et écumez comme une soupe d’enfer.
TOUTES TROISDouble, double, peine et trouble !
Feu, brûle, et, chaudron, bouillonne !
TROISIÈME SORCIÈREÉcaille de dragon, dent de loup,
TOUTES TROIS
Momie de sorcière, estomac et gueule
De requin dévorant des mers,
Racine de ciguë arrachée dans l’ombre,
Fiel de bouc, branches d’if
Cassées dans une éclipse de lune,
Nez de Turc et lèvre de Tartare,
Doigt d’un marmot étranglé en naissant
Et mis bas par une drôlesse dans un fossé,
Faites une bouillie épaisse et visqueuse ;
Ajoutons les boyaux de tigre,
Comme ingrédient, dans notre chaudron.Double, double, peine et trouble !
Feu, brûle, et, chaudron, bouillonne !
DEUXIÈME SORCIÈRERefroidissons le tout avec du sang de babouin,
Et le charme sera solide et bon.
Dans sa présentation de la pensée passive, PhiloMag a écrit:Achevant sa magistrale relecture de l’œuvre cartésienne, Jean-Luc Marion dévoile un Descartes inattendu et secret en philosophe de la chair : sous la métaphysique palpite une pensée du corps et de la sensation pure, une «pensée passive» restée inaperçue.
1. Le corps penseContrairement à ce que l’on croit, il n’y a pas seulement chez Descartes l’âme qui pense d’un côté et les choses matérielles de l’autre : il y a aussi mon propre corps, où bruisse une « pensée passive » fondée sur la sensation. La chose pensante est aussi et avant tout une chose « sentante ». C’est avec cette clef que Jean-Luc Marion relit la sixième des Méditations métaphysiques, où la démonstration de l’existence des choses extérieures en passe, selon lui, par l’épreuve de la passivité de la pensée. Sans « se sentir ressentir », impossible de penser les corps qui ne sont pas miens : il y a au cœur de la métaphysique cartésienne un appel à la certitude de la chair, à une vérité de la pure sensation ressentie et donc indubitable.
2. Descartes précurseur« D’où vient à Descartes l’avance qui l’a rendu si longtemps incompris et solitaire ? » Incompris par ses contemporains, le philosophe aura aussi essuyé les critiques de la phénoménologie du XXe siècle, dénonçant dans l’ego cogito un sujet emmuré en lui-même et coupé du monde. Pourtant, le concept de « chair » inventé par Husserl se découvrirait déjà dans la distinction entre le « corps mien » et les « autres corps » : ce corps auquel je suis, dit Descartes, « tellement confondu et mêlé que je compose comme un seul tout avec lui », Marion l’identifie à « la chair [qui] s’expose au monde par une passivité affectée » chez Husserl – quitte, se désoleront certains, à « phénoménologiser » à outrance la pensée du maître.
3. Vivre sans philosopherCette nouvelle figure de l’ego, qui pense passivement selon la chair, exprime l’union de l’âme et du corps. Irréductible à un mixte des deux substances, cette union est à repenser à partir d’elle-même, c’est-à-dire à partir de l’expérience et de la vie, puisqu’elle est ce « que chacun éprouve toujours en soi-même sans philosopher ». Entre les lignes s’esquisserait donc une sortie de la philosophie, où se révèle un autre Descartes, sensuel et rêveur : « notre pensée erre nonchalamment, sans s’appliquer à rien de soi-même », note-t-il dans les Passions de l’âme. Un art de « ne penser à rien, même à soi-même et pourtant [de] s’éprouver alors purement comme uni à soi » à travers lequel Marion affirme, avec cet ouvrage, en finir avec Descartes.
source : Philomag
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