Aluminium, notre poison quotidien - France 5, le 22 janvier

Bonjour à tous,
Dimanche soir prochain, France 5 propose un documentaire de Valérie Rouvière sur l'aluminium à 20 h 35 (2010 - 55 mn, inédit).
Elle sera bientôt aussi longue que la liste des courses, celle des produits qui peuvent éveiller les soupçons du consommateur. Au tour maintenant de l'aluminium, dont on connaissait la présence dans les déodorants - la mention "sans aluminium" est même devenue un argument marketing au rayon cosmétique.
A travers cette enquête, qui chemine entre rayons des supermarchés et paillasse des chercheurs, on apprend qu'il se cache aussi dans le pain industriel, les plats préparés, le lait en poudre pour bébé, le maquillage, les vaccins... Or, explique un médecin, l'accumulation de l'aluminium dans l'organisme (en se fixant dans les muscles et le cerveau) a des effets neurotoxiques. Il y a trois ans, la Commission européenne conseillait même aux consommateurs de ne pas dépasser plus d'un milligramme par semaine et par kilo corporel.
Difficile, pour autant, de savoir combien nous en absorbons quotidiennement. Aucun texte ne contraint en effet les industriels à afficher les quantités sur les étiquettes. Rien ne les limite non plus dans leur usage de cette substance, qui fait figure de poudre magique pour blanchir le pain de mie, allonger la durée de conservation des aliments ou réduire la quantité de principe actif dans les vaccins.
Des industriels ici fort peu bavards, déclinant les demandes d'interviews de la journaliste. Ou se justifiant piteusement, à l'instar de cet ancien responsable des vaccins Pasteur, qui tente de faire passer pour quantité négligeable les malades souffrant d'atteintes neurologiques.
Virginie FELIX -Télérama n° 3236 du 21 au 27 janvier 2012
Rediffusion : le dimanche 29 janvier à 15 h 45.
Dimanche soir prochain, France 5 propose un documentaire de Valérie Rouvière sur l'aluminium à 20 h 35 (2010 - 55 mn, inédit).
Elle sera bientôt aussi longue que la liste des courses, celle des produits qui peuvent éveiller les soupçons du consommateur. Au tour maintenant de l'aluminium, dont on connaissait la présence dans les déodorants - la mention "sans aluminium" est même devenue un argument marketing au rayon cosmétique.
A travers cette enquête, qui chemine entre rayons des supermarchés et paillasse des chercheurs, on apprend qu'il se cache aussi dans le pain industriel, les plats préparés, le lait en poudre pour bébé, le maquillage, les vaccins... Or, explique un médecin, l'accumulation de l'aluminium dans l'organisme (en se fixant dans les muscles et le cerveau) a des effets neurotoxiques. Il y a trois ans, la Commission européenne conseillait même aux consommateurs de ne pas dépasser plus d'un milligramme par semaine et par kilo corporel.
Difficile, pour autant, de savoir combien nous en absorbons quotidiennement. Aucun texte ne contraint en effet les industriels à afficher les quantités sur les étiquettes. Rien ne les limite non plus dans leur usage de cette substance, qui fait figure de poudre magique pour blanchir le pain de mie, allonger la durée de conservation des aliments ou réduire la quantité de principe actif dans les vaccins.
Des industriels ici fort peu bavards, déclinant les demandes d'interviews de la journaliste. Ou se justifiant piteusement, à l'instar de cet ancien responsable des vaccins Pasteur, qui tente de faire passer pour quantité négligeable les malades souffrant d'atteintes neurologiques.
Virginie FELIX -Télérama n° 3236 du 21 au 27 janvier 2012
Rediffusion : le dimanche 29 janvier à 15 h 45.